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Chien polaire argentin
Il n'est pas reconnu par la F.C.I.
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Origine
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Argentine |
Traduction
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Francis Vandersteen |
Le chien polaire argentin (perro polar argentino) était une race de chien argentin aujourd'hui éteinte. Les chiens polaires d'Argentine ont été développés par l'armée argentine dans le but de doter leurs bases antarctiques de chiens de traîneau. La race était le résultat d'un croisement entre un Husky de Sibérie, un chien du Groenland, un Malamute d'Alaska et un Spitz de Mandchourie. Cependant, la race s'est éteinte en 1994 en raison de son déménagement hors de l'Antarctique conformément au Protocole sur la protection de l'environnement du Traité sur l'Antarctique (PEPAT).
La nécessité de voyager rapidement, à moindre coût et en toute sécurité en Antarctique a poussé une équipe de plus de trente sous-officiers de l'armée argentine, commandés par Hector Martin et Felix Daza Rodriguez, à mettre au point une race de chiens capables de supporter des charges importantes sur de longues distances, facile à reproduire, facile à entretenir et capable de remplir des fonctions opérationnelles similaires à celles des transports à chenilles mécaniques.
À l'origine du chien polaire argentin se trouvent les principales races de chiens arctiques. La formation de sa base génétique et la stabilisation de ses standards ont pris 31 ans de travail militaire. Spécialement entraînés pour la marche ou le "mushing" avec des traîneaux, ces chiens glissaient facilement sur des surfaces enneigées ou verglacées. Avec l'identification de l'Argentine en tant que pays bicontinental, l'exploration et la conquête de l'Antarctique ont commencé dans les années 50 et la volonté d'atteindre le pôle Sud est venue avec elle. Le général Hernán Pujato a amené les premiers chiens de traîneau d’Alaska et du Groenland, commençant ainsi les traversées.
Les chiens polaires d’Argentine sont protégés des basses températures par leur triple couche, composée d’une couche de laine, d’un poil et d’un sous-poil, ainsi que d’une couche adipeuse sous-cutanée de 2 cm d’épaisseur. Les chiens avaient quatre dents canines acérées ou des crocs dans la bouche qui déchiraient, des incisives qui leur permettaient de couper et des molaires à moudre. Cela permettait aux chiens de déchirer facilement la chair.
La capacité des tracteurs de traîneau des chiens polaires argentins était deux fois plus élevée que celle de tout autre chien. Un groupe de 11 chiens polaires argentins pourrait tirer un traîneau chargé de 1,1 tonne (1.000 kg) à 35 km/h sur un terrain plat et à 50 km/h dans les descentes, dans les deux cas sans repos pendant 6 heures d'affilée.
La température normale de travail des chiens était de -70° C. Il a été documenté qu'ils étaient en visite et attendaient tranquillement devant la station soviétique de Vostok le jour où le record du monde a été enregistré (-89,2° C, soit -128,6° F).
Les chiens polaires d’Argentine ont pour fonction vitale d’aider les soldats à éviter les fissures et les pièges mortels dans la glace et à les détecter lorsque rien ne le permet. Ils avaient également un bon sens de l'orientation et étaient fiables dans les opérations de sauvetage, même lors de grandes tempêtes. Les chiens étaient capables de se déplacer rapidement et facilement sur des routes non consolidées ou des couches de glace minces incapables de supporter le poids des tracteurs motorisés.
Les chiens polaires argentins étaient nourris une fois par jour (deux fois plus souvent que les Huskies de Sibérie), mais ils étaient très appréciés car leur coût de maintenance était bien inférieur à celui du carburant des tracteurs diesel transportant les mêmes charges. Les chiens polaires argentins ne recevaient pas d'eau à boire, car ils étaient capables de boire la neige. La première nourriture apportée par Hernán Pujato pour commencer la course était du pemmican, un comprimé préparé avec de la viande en poudre, du gras et des céréales contenant des protéines de bœuf, des calories provenant du gras et des vitamines de baies variées. L'avantage d'utiliser le concentré alimentaire de pemmican était qu'il pouvait être stocké pendant de longues périodes sans prendre beaucoup de place. Les habitants des bases antarctiques argentines de l'époque mélangeaient la nourriture avec des restes de viande, permettant ainsi au chien polaire argentin de devenir plus robuste et plus grand que ses races d'origine.
Vers 1967, les chiens polaires argentins s'étaient adaptés aux températures froides de l'Antarctique et ont commencé à rejeter le pemmican dont la formule avait changé. Avant la possibilité de rejet et la perte de poids des chiens, ceux-ci ont commencé à être nourris avec un aliment plus conventionnel dans sa version premium. Il a été transporté dans des sacs de vingt kilogrammes qui ont été stockés dans des hangars jusqu'à leur utilisation. Cependant, les restes de nourriture humaine ont continué à être mélangés.
Les vétérinaires et les médecins des bases antarctiques étaient responsables des accouchements ou des blessures des chiens. La principale cause de décès chez les chiens polaires argentins était le combat, en raison de l'agressivité de leur race à l'égard de leurs pairs.
Le poids moyen des chiens polaires argentins était de 60 kilogrammes, celui des chiennes polaires argentines était de 52 kilogrammes.
Les chiens polaires argentins pourraient être sacrifiés et utilisés comme nourriture pour les hommes ou les chiens comme moyen de survie. |
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Argentine polar dog
He is not recognized by the F.C.I.
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Origin
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Argentina |
Translation
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Francis Vandersteen |
The Argentine polar dog (perro polar argentino) was a breed of Argentine dog that is now extinct. Argentine polar dogs were developed by the Argentine army to provide sled dogs for their Antarctic bases. The breed was the result of a cross between a Siberian Husky, a Greenland Dog, an Alaskan Malamute and a Manchurian Spitz. However, the breed became extinct in 1994 when it was moved out of Antarctica under the Protocol on Environmental Protection to the Antarctic Treaty (PEPAT).
The need to travel quickly, cheaply and safely to Antarctica prompted a team of over thirty Argentine army NCOs, led by Hector Martin and Felix Daza Rodriguez, to develop a breed of dog that could carry heavy loads over long distances, was easy to breed and maintain, and could perform operational functions similar to those of mechanical tracked transports.
The Argentine Polar Dog is descended from the main Arctic dog breeds. Forming its genetic base and stabilizing its standards took 31 years of military work. Specially trained for walking or mushing with sledges, these dogs glide easily over snowy or icy surfaces. With the identification of Argentina as a bicontinental country, the exploration and conquest of Antarctica began in the 1950s, and with it came the desire to reach the South Pole. General Hernán Pujato brought the first sled dogs from Alaska and Greenland, thus beginning the crossings.
Argentina's polar dogs are protected from low temperatures by their triple layer of wool, hair and undercoat, plus a 2 cm-thick layer of subcutaneous fat. The dogs had four sharp canine teeth or fangs in their mouths that tore, incisors that enabled them to cut and molars to grind. This enabled the dogs to tear flesh easily.
The Argentine Polar Dogs' sled tractor capacity was twice that of any other dog. A group of 11 Argentine Polar Dogs could pull a loaded sled weighing 1.1 tons (1,000 kg) at 35 km/h on flat ground and 50 km/h downhill, in both cases without rest for 6 hours at a time.
The dogs' normal working temperature was -70°C. It has been documented that they were visiting and quietly waiting outside the Soviet Vostok station on the day the world record was set (-89.2° C, or -128.6° F).
Argentina's polar dogs have the vital function of helping soldiers to avoid cracks and death traps in the ice, and to detect them when nothing else allows. They also had a good sense of direction and were reliable in rescue operations, even during major storms. The dogs were able to move quickly and easily over unconsolidated roads or thin ice sheets unable to support the weight of motorized tractors.
Argentinian polar dogs were fed once a day (twice as often as Siberian Huskies), but they were highly valued because their maintenance costs were far lower than the fuel costs of diesel tractors carrying the same loads. Argentinian polar dogs were not given water to drink, as they were able to drink snow. The first food brought by Hernán Pujato to start the race was pemmican, a tablet prepared with powdered meat, fat and cereals containing beef protein, calories from fat and vitamins from various berries. The advantage of using pemmican food concentrate was that it could be stored for long periods without taking up much space. The inhabitants of Argentine Antarctic bases at the time mixed the food with leftover meat, enabling the Argentine polar dog to grow stronger and larger than its original breeds.
By 1967, Argentine polar dogs had adapted to the cold temperatures of Antarctica and began to reject the pemmican whose formula had changed. Before the possibility of rejection and weight loss, the dogs began to be fed a more conventional food in its premium version. This was transported in twenty-kilogram bags, which were stored in sheds until needed. However, leftover human food continued to be mixed in.
Veterinarians and doctors at Antarctic bases were responsible for delivering or injuring dogs. The main cause of death in Argentine Polar Dogs was fighting, due to their breed's aggressiveness towards their peers.
The average weight of Argentine polar dogs was 60 kilograms, that of Argentine polar bitches 52 kilograms.
Argentine polar dogs could be sacrificed and used as food for humans, or the dogs as a means of survival. |
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Argentinische Polarhund
Er wird vom F.C.I. nicht anerkannt
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Ursprung
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Argentinien |
Übersetzung
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Francis Vandersteen |
Der Argentinische Polarhund (perro polar argentino) war eine argentinische Hunderasse, die heute ausgestorben ist. Die argentinischen Polarhunde wurden von der argentinischen Armee entwickelt, um ihre antarktischen Stützpunkte mit Schlittenhunden auszustatten. Die Rasse war das Ergebnis einer Kreuzung zwischen einem Sibirischen Husky, einem Grönlandhund, einem Alaskan Malamute und einem Mandschurischen Spitz. Die Rasse starb jedoch 1994 aus, da sie gemäß dem Umweltschutzprotokoll des Antarktisvertrags (PEPAT) aus der Antarktis verlegt wurde.
Die Notwendigkeit, schnell, kostengünstig und sicher in die Antarktis zu reisen, veranlasste ein Team von mehr als 30 Unteroffizieren der argentinischen Armee unter dem Kommando von Hector Martin und Felix Daza Rodriguez, eine Hunderasse zu entwickeln, die große Lasten über lange Strecken tragen kann, leicht zu züchten und zu pflegen ist und ähnliche operative Funktionen wie mechanische Raupentransporter erfüllen kann.
Am Ursprung des Argentinischen Polarhundes stehen die wichtigsten arktischen Hunderassen. Die Bildung seiner genetischen Basis und die Stabilisierung seiner Standards nahmen 31 Jahre militärischer Arbeit in Anspruch. Diese Hunde, die speziell für den Marsch oder das "Mushing" mit Schlitten trainiert wurden, glitten leicht über verschneite oder vereiste Flächen. Mit der Identifizierung Argentiniens als bikontinentales Land begann in den 1950er Jahren die Erforschung und Eroberung der Antarktis, und damit einher ging der Wunsch, den Südpol zu erreichen. General Hernán Pujato brachte die ersten Schlittenhunde aus Alaska und Grönland mit und begann damit die Überquerungen.
Argentinische Polarhunde sind durch ihre dreifache Schicht, die aus einer Wollschicht, Haar und Unterwolle sowie einer 2 cm dicken subkutanen Fettschicht besteht, vor niedrigen Temperaturen geschützt. Die Hunde hatten vier scharfe Eckzähne oder Reißzähne im Mund, die zerfetzten, Schneidezähne, mit denen sie schneiden konnten, und Backenzähne, mit denen sie mahlen konnten. Dadurch konnten die Hunde das Fleisch leicht zerreißen.
Die Kapazität der Schlittenzugmaschinen der argentinischen Polarhunde war doppelt so hoch wie die jedes anderen Hundes. Eine Gruppe von 11 Argentinischen Polarhunden konnte einen mit 1,1 Tonnen (1.000 kg) beladenen Schlitten mit 35 km/h auf ebenem Gelände und mit 50 km/h bergab ziehen, in beiden Fällen ohne Pause für 6 Stunden am Stück.
Die normale Arbeitstemperatur der Hunde betrug -70° C. Es wurde dokumentiert, dass sie zu Besuch waren und an dem Tag, an dem der Weltrekord (-89,2° C bzw. -128,6° F) aufgestellt wurde, ruhig vor der sowjetischen Wostok-Station warteten.
Die lebenswichtige Funktion der argentinischen Polarhunde besteht darin, den Soldaten zu helfen, Risse und tödliche Fallen im Eis zu vermeiden und sie aufzuspüren, wenn nichts anderes möglich ist. Sie hatten außerdem einen guten Orientierungssinn und waren bei Rettungsaktionen selbst in schweren Stürmen zuverlässig. Die Hunde waren in der Lage, sich schnell und einfach über unbefestigte Straßen oder dünne Eisschichten zu bewegen, die nicht in der Lage waren, das Gewicht von motorisierten Traktoren zu tragen.
Die argentinischen Polarhunde wurden einmal am Tag gefüttert (doppelt so oft wie die Sibirischen Huskies), aber sie waren sehr beliebt, da die Unterhaltskosten weit unter den Treibstoffkosten für Dieseltraktoren lagen, die die gleiche Last transportierten. Die argentinischen Polarhunde bekamen kein Wasser zu trinken, da sie in der Lage waren, Schnee zu trinken. Das erste Futter, das Hernán Pujato mitbrachte, um das Rennen zu beginnen, war Pemmikan, eine aus Fleischpulver, Fett und Getreide zubereitete Tablette, die Rindfleischprotein, Kalorien aus Fett und Vitamine aus verschiedenen Beeren enthielt. Der Vorteil der Verwendung von Pemmikan-Lebensmittelkonzentrat bestand darin, dass es über lange Zeiträume gelagert werden konnte, ohne viel Platz zu beanspruchen. Die damaligen Bewohner der argentinischen Antarktisbasen mischten das Futter mit Fleischresten, wodurch der Argentinische Polarhund robuster und größer als seine ursprünglichen Rassen werden konnte.
Um 1967 hatten sich die argentinischen Polarhunde an die kalten Temperaturen in der Antarktis angepasst und begannen, das Pemmikan, dessen Rezeptur sich geändert hatte, abzulehnen. Bevor die Hunde möglicherweise abgestoßen wurden und an Gewicht verloren, wurden sie mit einem konventionelleren Futter in der Premiumversion gefüttert. Es wurde in Zwanzig-Kilogramm-Säcken transportiert, die bis zu ihrer Verwendung in Lagerhallen aufbewahrt wurden. Die menschlichen Nahrungsreste wurden jedoch weiterhin untergemischt.
Die Tierärzte und Ärzte der antarktischen Stützpunkte waren für die Entbindungen oder Verletzungen der Hunde verantwortlich. Die häufigste Todesursache bei Argentinischen Polarhunden waren Kämpfe, was auf die rassetypische Aggressivität gegenüber Gleichaltrigen zurückzuführen ist.
Das Durchschnittsgewicht der argentinischen Polarhunde betrug 60 Kilogramm, das der argentinischen Polarhündinnen 52 Kilogramm.
Argentinische Polarhunde könnten geopfert und als Nahrung für Menschen oder die Hunde als Überlebensmittel verwendet werden. |
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Perro polar argentino
Él no es reconocido por el F.C.I.
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Origen
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Argentina |
Traducción
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Francis Vandersteen |
El perro polar argentino era una raza de perro argentina actualmente extinta. Los perros polares argentinos fueron desarrollados por el ejército argentino para dotar de perros de trineo a sus bases antárticas. La raza era el resultado de un cruce entre un Husky siberiano, un perro de Groenlandia, un Malamute de Alaska y un Spitz de Manchuria. Sin embargo, la raza se extinguió en 1994, cuando fue trasladada fuera de la Antártida en virtud del Protocolo sobre Protección Medioambiental del Tratado Antártico (PEPAT).
La necesidad de viajar de forma rápida, barata y segura en la Antártida impulsó a un equipo de más de treinta suboficiales del ejército argentino, dirigidos por Héctor Martín y Félix Daza Rodríguez, a desarrollar una raza de perro que pudiera transportar cargas pesadas a largas distancias, fuera fácil de criar y mantener y pudiera desempeñar funciones operativas similares a las de los transportes mecánicos sobre orugas.
El perro polar argentino desciende de las principales razas de perros árticos. Fueron necesarios 31 años de trabajo militar para desarrollar su base genética y estabilizar sus estándares. Especialmente adiestrados para caminar o hacer mushing con trineos, estos perros se deslizan con facilidad sobre superficies nevadas o heladas. Con la identificación de Argentina como país bicontinental, en los años 50 comenzó la exploración y conquista de la Antártida, y con ella el deseo de llegar al Polo Sur. El general Hernán Pujato trajo los primeros perros de trineo desde Alaska y Groenlandia, iniciando así las travesías.
Los perros polares argentinos se protegen de las bajas temperaturas gracias a su triple capa, formada por una capa de lana, un pelaje y un subpelo, además de una capa de grasa subcutánea de 2 cm de espesor. Los perros tenían en la boca cuatro dientes caninos afilados o colmillos que desgarraban, incisivos que les permitían cortar y molares para triturar. Esto permitía a los perros desgarrar carne con facilidad.
La capacidad tractora del trineo del perro polar argentino era el doble que la de cualquier otro perro. Un grupo de 11 perros polares argentinos podía tirar de un trineo cargado con 1,1 toneladas (1.000 kg) a 35 km/h en terreno llano y a 50 km/h cuesta abajo, en ambos casos sin descanso durante 6 horas seguidas.
La temperatura normal de trabajo de los perros era de -70°C. Se ha documentado que estaban de visita y esperaban tranquilamente fuera de la estación soviética de Vostok el día en que se estableció el récord mundial (-89,2º C, o -128,6º F).
Los perros polares argentinos tienen la función vital de ayudar a los soldados a evitar grietas y trampas mortales en el hielo y a detectarlas cuando no hay nada que las detecte. También tenían un buen sentido de la orientación y eran fiables en las operaciones de rescate, incluso durante grandes tormentas. Los perros eran capaces de desplazarse con rapidez y facilidad por caminos no consolidados o finas placas de hielo incapaces de soportar el peso de tractores motorizados.
Los perros polares argentinos se alimentaban una vez al día (el doble que los huskies siberianos), pero eran muy apreciados porque sus costes de mantenimiento eran mucho más bajos que los de combustible de los tractores diesel que transportaban las mismas cargas. A los perros polares argentinos no se les daba agua para beber, ya que podían beber de la nieve. El primer alimento que trajo Hernán Pujato para iniciar la carrera fue el pemmican, una tableta preparada con carne en polvo, grasa y cereales que contenía proteínas de vacuno, calorías de la grasa y vitaminas de diversas bayas. La ventaja de utilizar concentrado alimenticio de pemmican era que podía almacenarse durante largos periodos sin ocupar mucho espacio. Los habitantes de las bases antárticas argentinas de la época mezclaban el alimento con restos de carne, lo que permitió al perro polar argentino hacerse más robusto y grande que sus razas originales.
En 1967, los perros polares argentinos se habían adaptado a las bajas temperaturas de la Antártida y empezaron a rechazar el pemmican, cuya fórmula había cambiado. Ante la posibilidad de rechazo y pérdida de peso, los perros empezaron a ser alimentados con un alimento más convencional en su versión premium. Se transportaba en bolsas de veinte kilos que se almacenaban en cobertizos hasta que se utilizaban. Sin embargo, se siguieron mezclando restos de comida humana.
Los veterinarios y médicos de las bases antárticas se encargaban de entregar o herir a los perros. La principal causa de muerte de los perros polares argentinos eran las peleas, debido a la agresividad de su raza hacia sus congéneres.
El peso medio de los perros polares argentinos era de 60 kilogramos, mientras que el de las perras polares argentinas era de 52 kilogramos.
Los perros polares argentinos podían ser sacrificados y utilizados como alimento para humanos o perros como medio de supervivencia. |
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Argentijnse poolhond
Hij wordt niet erkend door de F.C.I.
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Land van oorsprong
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Argentinië |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
De Argentijnse poolhond (perro polar argentino) was een ras van Argentijnse honden dat nu is uitgestorven. Argentijnse poolhonden werden ontwikkeld door het Argentijnse leger om hun Antarctische bases te voorzien van sledehonden. Het ras was het resultaat van een kruising tussen een Siberische Husky, een Groenlandse hond, een Alaska Malamute en een Mantsjoerijse Spitz. Het ras stierf echter uit in 1994 toen het werd verplaatst uit Antarctica onder het Protocol inzake Milieubescherming bij het Verdrag inzake Antarctica (PEPAT).
De noodzaak om snel, goedkoop en veilig te reizen in Antarctica bracht een team van meer dan dertig onderofficieren van het Argentijnse leger, onder leiding van Hector Martin en Felix Daza Rodriguez, ertoe om een hondenras te ontwikkelen dat zware lasten over lange afstanden kon dragen, gemakkelijk te fokken en te onderhouden was en operationele functies kon uitvoeren die vergelijkbaar waren met die van mechanische rupstransporten.
De Argentijnse poolhond stamt af van de belangrijkste Arctische hondenrassen. Het kostte 31 jaar militair werk om zijn genetische basis te ontwikkelen en zijn normen te stabiliseren. Deze honden, die speciaal zijn getraind om te wandelen of te sleeën, glijden gemakkelijk over besneeuwde of ijzige oppervlakken. Met de identificatie van Argentinië als een bicontinentaal land, begon de verkenning en verovering van Antarctica in de jaren 1950, en daarmee ook de wens om de Zuidpool te bereiken. Generaal Hernán Pujato bracht de eerste sledehonden mee uit Alaska en Groenland, waarmee de overtochten begonnen.
Argentijnse poolhonden worden beschermd tegen lage temperaturen door hun driedubbele laag, die bestaat uit een laag wol, een vacht en een ondervacht, en een 2 cm dikke laag onderhuids vet. De honden hadden vier scherpe hoektanden of fangs in hun bek die scheurden, snijtanden waarmee ze konden snijden en kiezen om te malen. Hierdoor konden de honden gemakkelijk vlees scheuren.
De sledetrekkercapaciteit van de Argentijnse poolhond was twee keer zo groot als die van elke andere hond. Een groep van 11 Argentijnse poolhonden kon een slee geladen met 1,1 ton (1.000 kg) trekken met 35 km/u op vlak terrein en 50 km/u bergafwaarts, in beide gevallen zonder te rusten gedurende 6 uur achter elkaar.
De normale werktemperatuur van de honden was -70°C. Het is gedocumenteerd dat ze het Sovjetstation Vostok bezochten en rustig afwachtten op de dag dat het wereldrecord werd gevestigd (-89,2° C, of -128,6° F).
De poolhonden van Argentinië hebben de vitale functie om soldaten te helpen scheuren en dodelijke vallen in het ijs te vermijden en om ze op te sporen als er niets is om ze op te sporen. Ze hadden ook een goed richtingsgevoel en waren betrouwbaar bij reddingsoperaties, zelfs tijdens zware stormen. De honden konden zich snel en gemakkelijk verplaatsen over ongeconsolideerde wegen of dunne ijsplaten die het gewicht van gemotoriseerde tractoren niet konden dragen.
Argentijnse poolhonden kregen één keer per dag te eten (twee keer zo vaak als Siberische Husky's), maar ze werden zeer gewaardeerd omdat hun onderhoudskosten veel lager waren dan de brandstofkosten van dieseltractoren die dezelfde ladingen vervoerden. Argentijnse poolhonden kregen geen water te drinken, omdat ze de sneeuw konden drinken. Het eerste voedsel dat Hernán Pujato meebracht om de race te beginnen was pemmican, een tablet bereid met poedervormig vlees, vet en granen die rundereiwitten bevatten, calorieën uit het vet en vitaminen uit verschillende bessen. Het voordeel van het gebruik van pemmican was dat het lange tijd kon worden bewaard zonder veel ruimte in te nemen. De toenmalige bewoners van de Argentijnse Antarctische bases mengden het voedsel met restjes vlees, waardoor de Argentijnse poolhond robuuster en groter werd dan zijn oorspronkelijke rassen.
Tegen 1967 hadden de Argentijnse poolhonden zich aangepast aan de koude temperaturen van Antarctica en begonnen ze de pemmican, waarvan de formule was veranderd, af te wijzen. Voor de mogelijkheid van afwijzing en gewichtsverlies, begonnen de honden te worden gevoed met een meer conventionele voeding in de premium versie. Het werd vervoerd in zakken van twintig kilo die werden opgeslagen in schuren totdat ze werden gebruikt. Er werd echter nog steeds menselijk voedsel doorheen gemengd.
De dierenartsen en doktoren op de Antarctische bases waren verantwoordelijk voor het afleveren of verwonden van de honden. De belangrijkste doodsoorzaak bij Argentijnse poolhonden waren gevechten, vanwege de agressie van hun ras tegenover soortgenoten.
Het gemiddelde gewicht van Argentijnse poolhonden was 60 kilogram, terwijl dat van Argentijnse poolteven 52 kilogram was.
Argentijnse poolhonden konden worden geofferd en gebruikt als voedsel voor mensen of honden om te overleven. |
