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Filou, que je n'oublierai jamais

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Merci Anne, pour ce témoignage suite à la disparition mystérieuse de ton Filou d'amour.
 
Ce que j’espère, aujourd’hui, samedi 6 novembre 2004, que tu sois dans de bonnes mains, heureux, car je veux avant tout ton bonheur...
J’ai toujours pensé que rien ne pourrait nous séparer, et j’ai eu tort, il ne faut pas penser trop vite, il faut laisser le temps s’écouler...
Je dis cela pour les gens qui sont comme moi, pensant que le bonheur n’aurait pas de limites, qu’il ne s’arrêterait jamais...
 
Voila qu’aujourd’hui, cela fait un an, jour pour jour que tu as disparu...
Oui, je m’en souviens comme si c’était hier, le jeudi 6 novembre 2003... Je suis rentrée le soir.
Tu n’étais pas dans ton petit coin habituel, ce coin que tu aimais tant, là où tu cachais tous tes jouets d’ailleurs. Non tu n’y étais pas.
J’ai pensé tout d’abord que papa t’avait amené au travail, ce qu’il faisait « parfois »... Mais, cela me semblait tout de même bizarre... Je l’ai alors appelé pour avoir la certitude que tu étais avec lui... Il m’a dit « non »...
J’ai alors téléphoné à Laurent, Maman, pour savoir s’ils ne t’avaient pas aperçu ... « non »...

Je suis donc allée dans les quartiers voisins, voir si je ne t’apercevais pas...
Et « non »... C’était toujours « non » et « non » depuis que tu avais disparu.
Que voulais-tu que je fasse à présent ? J’étais toute seule à la maison, je n’avais pas de moyen de locomotion pour me déplacer plus loin, pour te chercher.

Le soir, quand tout le monde était rentré, ce n’était pas comme avant.
L’ambiance était basse. Basse comme jamais elle ne l’avait été...
Plus tard dans la soirée, nous sommes partis à ta recherche, pendant au moins 2h... Nous sommes rentré à 1h00 du matin...
Nous avons hurlé, en pensant que tu nous entendrais peut-être. Nous avions apporté les croquettes, ta laisse et nous les avons secoué ; on savait que dès que tu entendais ces bruits, tu étais tout content ! Mais là....encore une fois « non »...

Nous avons fait l’impossible pour te trouver, en vain.

Nous avons alors mis des affiches. Dans notre ville, dans les villes d’à côté... Dans les boîtes aux lettres...
Certains nous ont appelé, nous disant qu’il y avait un chien devant chez eux, qui, « soit disant » te ressemblais.
Nous sommes alors venu voir... Et « non » ce n’était pas toi, une fois de plus...

Pourquoi cela m’arrive à moi ? Pourquoi à « moi », à « nous », à « notre famille », pourquoi ?
Moi qui, la première t’avais vu, lorsque tu étais encore une boule de poils, je t’avais dit que jamais on ne se quitterai...
Je pensais que cela était vrai, que ça allait se faire, c’était pourtant si bien parti...

C’est bête comment les choses peuvent changer. Sans en être prévenu ; tout ça, du jour au lendemain, sans avoir le temps de te protéger, de t’avertir... Mais maintenant, que veux-tu faire ?

Je ne parle pas souvent de toi autour de moi, même pas à mes copines, sauf certaines. Les larmes me montent aux yeux si facilement !
Mais là, tu vois j’ai fait un texte sur toi... Ce n’est même pas un texte, c’est comme une déclaration...
Car je veux que tu saches, Filou, que même si tu n’es plus là, avec moi, avec nous, aujourd’hui, je veux que tu saches avant tout que dans mon coeur, dans mes pensées, tu y es.
Tu y seras toujours, personne ne pourra te remplacer, toi le Filou que j’ai connu.
C’est une promesse. Une promesse que je tiendrai.

Ce que j’espère, aujourd’hui, samedi 6 novembre 2004, que tu sois dans de bonnes mains, heureux, car je veux avant tout ton bonheur...
J’ai toujours pensé que rien ne pourrait nous séparer, et j’ai eu tort, il ne faut pas penser trop vite, il faut laisser le temps s’écouler...
Je dis cela pour les gens qui sont comme moi, pensant que le bonheur n’aurait pas de limites, qu’il ne s’arrêterait jamais...

 

  • Créé le
    donderdag 15 mei 2014
  • Créé par
    Francis Vandersteen
  • Dernière modification le
    donderdag 29 december 2016
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