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Chien de berger des Pyrénées à poil long Standard FCI Nº 141
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Origine
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France |
Groupe
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Groupe 1 Chiens de berger et de bouvier (sauf chiens de bouvier suisse) |
Section
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Section 1 Chiens de berger |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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vendredi 28 janvier 1955 |
Publication du standard officiel en vigueur
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jeudi 26 mars 2009 |
Dernière mise à jour
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lundi 25 mai 2009 |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog long haired |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Langhaariger Pyrenäen schäferhund |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de pelo largo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond langhaar |
Utilisation
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Chien de berger utilisé dans les fermes et les pâturages pyrénéens. |
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Bref aperçu historique
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D’humbles origines, il est pratiquement inconnu de la cynophilie officielle jusqu’au début du XXe siècle. Son type varie assez considérablement d’une vallée à une autre, son format, sa fourrure, peuvent être très différents, son caractère et son comportement, eux, ne varient pas. C’est entre 1921 et 1925 que s’élabore le premier standard officiel dû à M. Bernard Sénac-Lagrange. Il a été modifié d’abord sous sa présidence puis sous celles de M. Charles Duconte (1954-1986), de M. Guy-Jean Mansencal (1986-2000) et de M. Alain Pécoult (depuis 2000- …) avec l’étroite collaboration de M. Raymond Triquet depuis 2001. |
Aspect général
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Chien dénotant sous un minimum de taille et de poids un maximum d'influx nerveux. Une physionomie toujours en éveil, un air malin et méfiant, joints à une grande vivacité de mouvement, donnent à ce chien une allure caractéristique à nulle autre pareille. |
Proportions importantes
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• Le crâne est à peu près aussi long que large. • Le museau est plus court que le crâne dans un rapport chanfrein 2, crâne 3. • La longueur du corps est supérieure à la hauteur au garrot. • La distance du coude au sol est supérieure à la moitié de la hauteur au garrot. |
Comportement / caractère
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C’est un petit chien courageux, débrouillard, capable d’initiative et entièrement dévoué à son maître. Il est de caractère volontaire et une bonne poigne est généralement nécessaire pour canaliser son énergie et tirer le meilleur parti de son intelligence et de sa vivacité. Il est souvent méfiant envers les étrangers. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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Dans sa forme générale elle est triangulaire. |
Crâne
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Il est moyennement développé, presque plat, avec un sillon central légèrement accusé, il s’arrondit harmonieusement sur les côtés ; protubérance occipitale peu prononcée. Il est à peu près aussi large que long. Sa partie antérieure se relie en pente douce au museau. |
Stop
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Il est peu marqué. |
Région faciale
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Truffe
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Elle est noire. |
Museau
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Il est droit, un peu plus court que le crâne, allant en s’amenuisant en forme de coin, son extrémité n’est cependant pas pointue. |
Lèvres
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Elles sont peu épaisses, recouvrent parfaitement la mâchoire inférieure et ne présentent aucune commissure apparente. Leur bord et le palais sont noirs ou fortement marqués de noir. |
Mâchoires et dents
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La denture doit être complète. Les canines sont fortes. L’articulé est en ciseaux. L’articulé en tenaille (bout à bout) est admis. |
Yeux
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Ils sont expressifs, légèrement en amande et de couleur brun foncé. Ils ne doivent être ni proéminents, ni trop enfoncés. Les yeux vairons sont admis chez les chiens à robe bleu bigarré de noir (arlequin ou gris ardoisé) dont ils sont presque toujours une caractéristique. Les paupières sont bordées de noir, quelle que soit la couleur de la robe. |
Oreilles
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Elles doivent être assez courtes, modérément larges à la base et placées pas trop près l’une de l’autre au sommet du crâne, ni trop écartées. Elles sont triangulaires, fines et terminées en pointe, tombantes, plates, très mobiles. Lorsque le chien est en éveil, vues de face, leur bord supérieur prolonge sensiblement la ligne transversale du crâne. Elles peuvent aussi être partiellement dressées ; en ce cas, leur partie inférieure doit être dressée et mobile, idéalement, le tiers supérieur ou la moitié de l’oreille doit retomber vers l’avant ou le côté, de façon symétrique pour les deux oreilles. |
Cou
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Il est plutôt long, assez musclé, bien dégagé des épaules. |
Corps
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Généralité
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L’ossature est solide sans lourdeur, la musculature est sèche. |
Profil supérieur
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Il est bien soutenu. |
Garrot
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Il est bien ressorti. |
Dos
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Il est assez long et solide. |
Rein
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Il est court et légèrement arqué , il le paraît d’autant plus que la toison du chien est souvent plus fournie sur l’arrière-main. |
Croupe
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Elle est plutôt courte et assez oblique. |
Poitrine
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Elle est moyennement développée, elle descend au niveau du coude. |
Côtes
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Les côtes sont légèrement arrondies. |
Flanc
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Il est peu descendu. |
Queue
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Pas très longue, attachée plutôt bas et formant crochet à son extrémité ; elle est bien frangée. Quand le chien est en éveil, en général, elle dépasse à peine la ligne de dessus, cependant, elle peut se recourber vers l’avant. Dans les pays où cette pratique n’est pas interdite par la loi, certains sujets sont écourtés. Queue rudimentaire admise. |
Membres antérieurs
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Généralités
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D’aplomb, secs, nerveux, bien frangés. |
Epaules
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Assez longue, moyennement oblique. |
Bras
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Oblique et de longueur moyenne. |
Avant-bras
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Droit. |
Carpe
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L’articulation du poignet est accusée. |
Métacarpe
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Légèrement oblique vu de profil. |
Pieds antérieurs
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Sec, assez plat, d’un ovale accentué. Les coussinets sont foncés. Les ongles, petits et durs, sont recouverts par le poil que l’on trouve aussi sous le pied, entre les tubercules. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Les angulations sont assez fermées. Les chiens au poil demi-long ont les membres dépourvus de franges. |
Cuisses
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Elle n’est pas très longue et moyennement oblique, bien musclée, « gigotée ». |
Grassets
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Il est bien angulé et dans l’axe du corps. |
Jambes
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Elle est assez longue et oblique. |
Jarret
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Il est sec, placé bas, bien coudé. Les jarrets sont parfois un peu clos. |
Métatarse
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Il est vertical ou très légèrement oblique vers l’avant. |
Pieds postérieurs
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Il est sec, assez plat, d’un ovale accentué. Les coussinets sont foncés. Les ongles, petits et durs, sont recouverts par le poil que l’on trouve aussi sous le pied, entre les tubercules. Les membres postérieurs peuvent, ou non, porter des ergots simples ou doubles. |
Allures
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Au pas, le Berger des Pyrénées a une allure assez réduite. Le trot, allure préférée du Berger des Pyrénées, doit être franc et vigoureux. Au petit trot la tête est portée un peu haut ; au trot allongé la tête est dans la ligne du dos. Les pieds ne sont jamais très relevés, l’allure est coulante, le chien rase le sol. |
Peau
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Elle est fine, souvent marbrée de taches foncées, et cela, quelle que soit la couleur de la robe. |
Robe
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Qualité du poil
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Le poil, long ou mi-long, mais toujours bien fourni, est presque plat ou légèrement ondulé, plus fourni et plus laineux sur la croupe et les cuisses, sa texture tenant le milieu entre le poil de chèvre et la laine de brebis. Le mélange du poil sec et du poil laineux peut occasionner chez certains sujets des sortes de mèches ou de cordes appelées « cadenettes » et parfois des plaques ou « matelotes » qui se recouvrent comme des tuiles sur la croupe et la cuisse. On peut trouver des « cadenettes » même au poitrail et sur les antérieurs au niveau du coude. Le museau porte un poil plus court et moins fourni. Sur le bout du museau, et parfois tout le museau, il est couché et implanté d’avant en arrière. Sur les côtés ainsi que sur les joues, le poil est plus long et rebroussé « en coup de vent » d’avant en arrière. Les yeux doivent être bien apparents et non recouverts par le poil. |
Couleur du poil
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Fauve plus ou moins foncé, charbonné ou non, avec parfois un peu de blanc au poitrail et aux membres ; gris plus ou moins clair, avec souvent du blanc en tête, au poitrail et aux membres ; bleu bigarré de noir (arlequin ou bleu ardoisé). Il existe également des robes bringées et des robes noires ou noires marquées de blanc (panachure limitée). Les robes de couleur franche sont préférées. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Mâle 42 à 48 cm, femelle 40 à 46 cm. Une tolérance de 2 cm en plus ou en moins est admise pour les sujet parfaitement typés. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts graves
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Chien lourd, sans vivacité.
Crâne ogival, front bombé, stop trop marqué ou inexistant.
Museau carré ou rectangulaire, manque de pigmentation de la truffe ou des lèvres.
Yeux clairs ou d’expression hagarde.
Bord des paupières dépigmenté.
Queue portée enroulée sur ou au-dessus du rein.
Queue dite « d’écureuil » (rabattue à l’horizontale sur le dos).
Vertèbres soudées.
Poil trop abondant en tête, surtout quand il recouvre les yeux et au museau quand il prend l’aspect de moustaches de griffon.
Mauvaise texture, poil mou, fil de fer, bouclé ou frisottant.
Pelage manquant de densité ou d’épaisseur.
Panachure dépassant un tiers de la robe.
Robe arlequin manquant de contraste entre le gris et le noir ou présentant des reflets fauve.
Robe très diluée.
Robe noire avec feux en tête et aux membres (noir marqué de fauve). |
Défauts entrainant l’exclusion
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Chien agressif ou peureux.
Truffe et paupières d’une couleur autre qu’absolument noire.
Prognathisme supérieur ou inférieur, ou toute malformation des mâchoires.
Absence de plus de 2 dents, PM1 non concernées.
La présence des canines et carnassières est obligatoire.
Oreilles droites naturelles.
Oeil vairon chez les chiens autres que bleu bigarré de noir (arlequin ou gris ardoisé).
Ladre aux paupières.
Oeil jaune clair.
Queue molle, tombant verticalement.
Poil frisé.
Robe blanche ou non précisée au standard.
Panachure supérieure à 1/3 de la robe chez les noirs.
Taille en dehors des limites. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Destin paradoxal que celui du Berger des Pyrénées, puisque ce chien, pourtant fort ancien, a été l'une des races bergères françaises les plus tardivement reconnues, bien après le Briard ou le Beauceron notamment, alors même que son aspect, contrairement à celui de ses rivaux, avait fort peu changé au cours des siècles.
Selon les études les plus récentes, les Bergers des Pyrénées actuels auraient en effet pour aïeux des petits chiens de troupeau, eux-mêmes issus des Terriers du Tibet qui, aux côtés de chiens plus gros descendant du Dogue du Tibet, avaient accompagné les hordes asiatiques lors des grandes invasions du IVe siècle. A mesure de la progression vers l'ouest des armées d'Attila et de Gengis Khan, Dogues et Terriers du Tibet auraient été croisés à des souches indigènes pour donner naissance, d'une part, aux ancêtres des Nizinny, des Bergers des Tatras et autres molosses à robe blanche et, d'autre part, à ceux des Bergers Catalans (Gos d'Atura) et des Bergers des Pyrénées.
Cette thèse, sans conteste la plus convaincante qui ait été émise sur la question, anéantit du même coup bon nombre de théories soutenues naguère par certains spécialistes pour qui le Berger des Pyrénées serait un descendant du Berger de Brie. Si ces races ont à l'évidence un certain nombre de points communs, ne serait-ce que parce qu'elles sont toutes deux bergères, il est fort peu probable qu'elles aient eu jamais l'occasion de se croiser à des époques où les moyens de communication pas très développés faisaient de chaque province, surtout lorsqu'elle était montagneuse, une véritable « île continentale ».
Et en admettant même que de telles « infusions » génétiques aient pu se produire entre un chien connu seulement dans le quart sud-ouest de la France et un autre répandu surtout dans les plaines du nord du pays, on voit mal comment le Briard aurait pu donner naissance au petit Pyrénéen, alors que ce dernier est, selon la tradition orale de son terroir d'origine, bien antérieur à son ancêtre présumé.
Pour couronner le tout et achever de jeter le trouble dans l'esprit du public, certains cynologues de la fin du XlXe siècle sont même allés jusqu'à prétendre que Berger des Pyrénées et Chien de Montagne des Pyrénées ne formaient qu'une seule et même race, alors que tout distingue notre athlète léger de son compère, digne représentant d'un autre groupe, lui aussi très ancien, celui des molossoïdes. L'origine de ces confusions successives se trouve probablement dans les errements d'auteurs anciens, habituellement mieux inspirés, dont les travaux sur le Berger des Pyrénées, menés souvent à partir d'informations non recoupées ou vérifiées sur le terrain, procédaient davantage de l'œuvre d'imagination que de l'observation scientifique. Ainsi, des sommités aussi renommées que Brehm en Allemagne, Reul en Belgique, le comte de Bylandt aux Pays-Bas évoquèrent dans leurs ouvrages respectifs un Berger des Pyrénées à la limite de la fantaisie, bien différent en tout cas du sujet réel. Témoin cet avant-projet de standard que proposait en 1897 le comte de Bylandt dans son livre Les Races de chiens, et qui décrivait un chien au poil broussailleux et demi-long, au crâne peu bombé, au museau long, aux oreilles petites, aux yeux parfois vairons et au corps assez long, ou cette citation de l'Allemand Brehm, qui évoque un chien au poil presque dur, frisé lorsqu'il est jeune, blanc taché de larges plaques noires, de haute taille, court et musclé, avec les doigts largement palmés, la tête large et développée, les oreilles assez pointues et tombantes, le museau long, carré, et de grands yeux bleus saillants soulignant l'intelligence, la douceur, l'intrépidité.
Plus proche du sujet et visiblement mieux renseigné, Pierre Mégnin, pour sa part, brossait ainsi le portrait du Berger des Pyrénées : « C'est un Griffon dont la tête est peu chargée de poils; à peine a-t-il quelques poils longs sur les sourcils, mais il n'a ni moustache ni barbiche prononcées. C'est au train arrière que s'est accumulé le poil. Là, il a de fortes culottes et, sur les cuisses, un épais matelas. Les membres sont presque ras. Les pieds sont très étalés et rappellent la patte de l'ours. Les oreilles aussi sont droites au lieu d'être couchées. Quant à la couleur, ce n'est pas blanc avec de larges plaques noires, mais gris argenté avec lesdites taches noires, avec ou sans feu aux pattes, couleur que l'on appelle vulgairement danoisé. Les yeux sont fréquemment vairons, c'est-à-dire à iris bleu clair. »
Malgré l'intérêt que les cynophiles français et étrangers commençaient à porter au Berger des Pyrénées, il fallut attendre la Première Guerre mondiale pour que ce chien sorte véritablement de l'ombre. En 1916, le sous-lieutenant Paul Mégnin, le commandant Malric et le vétérinaire Hérout, qui avait sous sa responsabilité le Service des chiens de guerre, suggérèrent à l'état-major français d'utiliser le Berger des Pyrénées comme chien de liaison et accompagnateur de patrouilles. L'idée fut aussitôt retenue par les responsables militaires, et le Service des chiens de guerre envoya dans la région pyrénéenne Théodore Dretzen, fin connaisseur de la race, pour qu'il y recrute le plus grand nombre de sujets possible. Plus fins de nez que beaucoup d'autres races bergères, les petits Pyrénéens allaient bientôt devenir de précieux auxiliaires pour les fantassins alliés. Témoin cette appréciation de J. Dhers publiée plus tard dans les colonnes de L'Eleveur, journal dont il était entre-temps devenu collaborateur : « En ma qualité d'ancien officier dresseur du Service des chiens de guerre, il est de mon devoir de proclamer hautement que c'est la race du petit Berger des Pyrénées qui a fourni à l'armée les chiens de liaison les plus intelligents, les plus roublards, les plus rapides et les plus habiles. »
Ces états de service éloquents devaient contribuer à la renommée du Berger des Pyrénées dans l'immédiat après-guerre, et aboutir à la création en 1923 ; sous la houlette de Bernard Senac-Lagrange, à qui nous devons une étude exhaustive de ses caractères raciaux, et de quelques cynophiles pyrénéens ; de la Réunion des amateurs de chiens pyrénéens. Ce club ayant rédigé un standard, rien ne s'opposait désormais à la reconnaissance du Berger des Pyrénées par la Société centrale canine et par le ministère de l'Agriculture, reconnaissance qui intervint en 1926. Ce chien pouvait dès lors participer, au même titre que les autres races bergères telles que le Beauceron et le Briard, au Concours central général agricole.
Fait rare dans les annales de la cynophilie, les rédacteurs du standard avaient eu soin de distinguer deux variétés de Bergers des Pyrénées: l'une dont la tête, dans sa forme générale, rappelle celle de l'ours brun, avec le museau en forme de coin, l'autre à face rase et au poil un peu plus court sur le corps; ils avaient en outre admis une différence de dix centimètres dans la taille des sujets. Nombre d'amateurs s'en sont étonnés, notamment J. Dhers, à la fin du siècle dernier, qui expliquait cette particularité par l'insularité continentale évoquée plus haut, et qui écrivait : « Bien que la race soit très nettement fixée et définie, on constate dans nos montagnes que les types varient quelque peu de vallée à vallée. Le standard reste le même, mais certains petits détails n'échappent pas aux cynophiles montagnards. C'est ainsi que le chien d'Arbazzie serait le type modèle du standard. Le petit chien de Saint-Béat est costaud, a la tête ronde. On dirait un Bobtail miniature. Le Berger d'Azun, toujours noir, semble un diminutif du Groenendael ».
Ces différences morphologiques s'expliquent en effet essentiellement par des raisons géographiques, et notamment par les difficultés de communication entre les pôles d'habitat en altitude, qui favorisaient la fixation de certains types locaux hautement consanguins.
A l'inverse, le type à face rase proprement dit est, selon les spécialistes, issu de croisements entre le Berger des Pyrénées dit « classique » et des chiens des régions subpyrénéennes. Charles Duconte, juge de la SCC et fin connaisseur de la race, écrivait d'ailleurs à ce sujet : « Il existe dans la région sous-pyrénéenne, et particulièrement dans le Béarn, la Bigorre et le bassin de l'Adour, un grand nombre de chiens .de berger. Leur proximité d'habitat, la transhumance de certains troupeaux qu'accompagnaient les chiens font qu'il y a eu forcément des unions entre eux et leurs frères montagnards. Il en est résulté en général un chien plus haut sur jambes, à poil demi-long sur le corps, ras sur la tête et sur les membres, dont la boîte crânienne, un peu plus développée, rappelle cependant par sa forme celle du pur montagnard. Ces chiens sont, d'ailleurs, très appréciés des maquignons et "toucheurs de bestiaux" qui courent les foires dans la région. »
Très estimé pour ses aptitudes à la conduite de moutons et de chevaux, loué par les militaires pour les services qu'il avait rendus en temps de guerre, le Berger des Pyrénées avait acquis des titres de noblesse qui lui permirent d'entamer une irrésistible ascension. Dès 1927, Dutrey de Rabastens lui consacrait une remarquable thèse de doctorat vétérinaire intitulée Le Berceau d'une race canine: le chien de berger des Pyrénées ; cette thèse inspirera plus tard Duconte et Sabouraud pour leur ouvrage Les Chiens pyrénéens. Le petit Pyrénéen était donc désormais au cœur des préoccupations des cynologues distingués.
Après la Seconde Guerre mondiale, le développement du tourisme, qui permit à des milliers de citadins de se familiariser avec ce petit chien, accrut encore sa popularité, qui devint dès lors internationale. Le Berger des Pyrénées était peut-être la dernière race bergère que le monde de la cynophilie découvrît, mais sa notoriété ne devait plus jamais être remise en cause. A telle enseigne qu'il est aujourd'hui un chien de compagnie fort apprécié. On pourrait dire du Berger des Pyrénées qu'il jouit d'une réputation inversement proportionnelle à son gabarit. La race est en effet unanimement louée, et par les professionnels qui ont choisi de la faire travailler et par les particuliers qui l'ont adoptée comme chien de compagnie. C'est avant tout un chien remarquablement adapté à l'altitude. Son corps s'inscrit dans un rectangle, et son centre de gravité, près de terre, lui assure une stabilité maximale dans les pentes accentuées. Il a le pied sec et la sole maigre, et tient fort bien le rocher. Légèrement tournés vers l'extérieur, ses membres postérieurs lui facilitent en outre la marche en montagne. Ses besoins alimentaires raisonnables et sa petite taille, qui lui évitait de renverser un mouton en le bousculant, en faisaient autrefois l'auxiliaire idéal des bergers.
Au travail, son comportement reflète parfaitement ses deux qualités essentielles : vigilance et vivacité. Très rapide, il pousse les traînards d'un coup de museau, fait rentrer dans le rang les isolés, fonce en tête du troupeau pour indiquer aux moutons ou aux brebis la direction à suivre. Mais, quand il le faut, il sait également mettre un frein à sa fougue. Dans les passages dangereux, adroitement, il dirigera les bêtes une par une d'une manière vigilante pour les mettre en lieu sûr.
S'il est un domaine où le Berger des Pyrénées surpasse le berger lui-même, c'est bien dans la recherche d'une bête égarée. Un mouton manque à l'appel. Précédant le berger, le petit Pyrénéen entame ses recherches, fouille les recoins les plus difficiles d'accès, explore la moindre faille. Un sens du devoir que nous décrit ainsi un berger: « Durant l'hiver, pour l'engraissement des jeunes, j'avais l'habitude de conduire les agneaux dans un box spécial pour leur donner une ration supplémentaire. Les agneaux comprenaient très vite le but de la manœuvre et me rendaient ainsi la tâche plus facile. Willy, un Berger des Pyrénées, assistait régulièrement à l'opération, assis près de la porte. On aurait juré qu'il comptait les agneaux au passage. Un jour, alors que les agneaux avaient fini de manger et avaient quitté le box, le chien partit, comme il le faisait habituellement, visiter le lieu d'où venaient les petits et, affolé, revint aussitôt vers ma femme, essayant de lui faire comprendre qu'il fallait y aller voir. Devant son indifférence, il tira le bas de son tablier. Ma femme décida enfin de se rendre compte sur place et trouva un agneau coincé derrière un râtelier, à bout de souffle à force de s'être débattu. Willy lécha pendant plus de cinq minutes la tête du petit animal pour le réconforter et l'accompagna auprès de sa mère. »
Un autre berger, Philippe Defrance, évoque à son tour les qualités du petit Pyrénéen : « Les réflexes du Berger Pyrénéen sont incomparables et supérieurs à ceux de toutes les autres races bergères. Son obéissance et sa fidélité sont remarquables. Son initiative, son jugement et sa mémoire ne font jamais défaut dès qu'il est mis à l'épreuve. Son courage résulte de son endurcissement à la souffrance. Les lices n'en sont pas moins excellentes laitières quand elles trouvent dans leurs rations les matières nutritives nécessaires. »
Assez exclusif, le Berger des Pyrénées a tendance à ne connaître qu'un seul maître, auquel il restera passionnément attaché, supportant tout de lui s'il sent qu'il est utile. Sa vigilance au travail n'a d'égale que sa méfiance à la maison. Sa bravoure est, elle aussi, légendaire. On dit même que jadis il n'hésitait pas à s'attaquer aux ours qui se seraient un peu trop approchés du troupeau de son maître. Assez batailleur, le Berger des Pyrénées est souvent à l'origine de bagarres avec d'autres chiens. Dans ces moments-là, il fait preuve de souplesse, de rapidité, n'offrant que peu de prise à son adversaire, et, par une succession d'esquives adroites et d'attaques imprévues, il place quelques coups de dents bien sentis. C'est un athlète léger, un lutteur sans faiblesse, caractéristiques que l'on a parfois tendance à oublier lorsque ce chien vit en ville.
Pour préserver les qualités du Berger Pyrénéen, les éleveurs et les responsables du club La Réunion des amateurs de chiens pyrénéens ont repris à leur compte, depuis quelques années le credo de tous les « bergérophiles » : hors du travail, point de salut. Ce qui veut dire, d'une manière plus explicite: on ne peut retirer au chien de berger les fonctions de chien de travail qu'il remplit depuis de nombreux siècles sans courir à la dégénérescence du type. A cette fin, le Berger des Pyrénées, qui, pour des raisons économiques évidentes, n'avait plus d'avenir dans la conduite des moutons, s'est reconverti dans de nouvelles tâches, reconversion que sa polyvalence lui a permis de réussir pleinement.
N'hésitant pas à mordre si nécessaire, le petit Pyrénéen s'est ainsi initié au rôle de chien de défense et de police. Si sa taille l'empêche de sauter aussi haut que certains autres, sa détente n'en force pas moins l'admiration. On a même vu un mâle blessé à une patte antérieure franchir un mur de pierre de 1,70 mètre et une clôture surmontée de barbelés. Doté de telles possibilités, le Berger des Pyrénées était donc tout naturellement appelé à devenir un gardien d'enfants, d'autant qu'il sait se montrer calme en présence d'un plus faible, lui qui est d'ordinaire si exubérant.
Très sportif, il supporte assez mal d'être confiné dans un appartement, et même dans un jardin s'il n'a pas la possibilité de courir sur de plus grands espaces. Dans son milieu naturel, il peut parcourir de 15 à 40 kilomètres par jour. Il a grand besoin de la présence de son maître ; s'il doit rester seul trop souvent, et surtout s'il se sent inutile, il peut devenir maussade, voire agressif. Hormis ce cas, il ne pose pas de problèmes particuliers, et, à la condition que son éducation ait été ferme mais juste et dispensée entre deux et six mois, il peut être emmené partout.
Laissé seul à la maison ou dans une voiture, le Berger des Pyrénées aura tendance à aboyer. Quelquefois gênante, cette propension à faire entendre sa voix fait partie de sa personnalité, qu'il n'est jamais bon de contrarier systématiquement. Animal de compagnie depuis qu'il n'a plus à se dépenser sur les versants pyrénéens, ce chien n'en reste pas moins héréditairement marqué par la vie de ses ancêtres. Même si son domaine est de plus en plus celui des grandes villes, il a besoin de mener une vie qui lui permettra, quotidiennement, d'exprimer sa vitalité et son intelligence.
Tous ; ou presque tous les propriétaires de Bergers des Pyrénées sont certains et fiers d'avoir un chien qui n'est pas « comme les autres ». Ils n'ont pas forcément tort. Appelé dans sa région originelle « le chien qui a vu Dieu » en raison de son regard expressif qui dénote l'intelligence et parfois même l'exaltation, ce montagnard dans l'âme a montré depuis longtemps qu'il savait s'adapter à d'autres lieux, urbains ou ruraux. |
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Pyrenean sheepdog long haired FCI Standard No. 141
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Origin
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France |
Translation
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Revised by Jennifer Mulholland in collaboration with Raymond Triquet |
Group
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Group 1 Sheepdogs and Cattle Dogs (except Swiss Cattle Dogs) |
Section
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Section 1 Sheepdogs |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Friday 28 January 1955 |
Publication of the official valid standard
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Thursday 26 March 2009 |
Last update
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Monday 25 May 2009 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à poil long |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Langhaariger Pyrenäen schäferhund |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de pelo largo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond langhaar |
Usage
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Sheepdog used in the farms and pastures of the Pyrenees. |
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Brief historical summary
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Coming from humble beginnings, it was practically unknown to the official dog scene until the early 20th century. Its type varies considerably from one valley to the next, its shape, its coat can be very different, but its character and behaviour never vary. The first official standard was drawn up between 1921 and 1925 by Mr. Bernard Sénac-Lagrange. It was first modified under his presidency and then under those of Messrs. Charles Duconte (1954-1986), Guy Mansencal (1986-2000) and Alain Pécoult (since 2000-…) in close collaboration with Raymond Triquet since 2001. |
General appearance
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Dog displaying a maximum of nervous energy in a minimum of size and weight. An ever alert physiognomy, a knowing air combined with great liveliness of movement give this dog a characteristic appearance unlike any other. |
Important proportions
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• Skull is about as long as wide. • Muzzle is shorter than skull in ratio: muzzle 2, skull 3. • Length of body is greater than height at withers. • Distance from elbow to ground is greater than half height at withers. |
Behaviour / temperament
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It is a courageous, resourceful little dog, showing initiative ant totally devoted to its master. It is headstrong by nature and firm control is usually needed to channel its energy and bring out the best of its intelligence liveliness. It is often wary of strangers. |
Head
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Cranial region
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Head
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Triangular in shape. |
Skull
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Moderately developed, almost flat, with a scarcely noticeable central furrow, harmoniously rounded on the sides, showing a very slight occipital protuberance. Approximately as long as it is wide. Front section slopes gently to the muzzle. |
Stop
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Scarcely discernible. |
Facial region
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Nose
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Black. |
Muzzle
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Straight, a little shorter than the skull, tapering like a wedge but without a pointed tip. |
Lips
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Not very thick, covering the lower jaw completely and showing no apparent corners. Edges and palate are black or heavily marked with black. |
Jaws and teeth
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Complete dentition. Strong canines. Scissor bite (upper incisors covering lower incisors without loss of contact). Pincer bite (edge to edge) is tolerated. |
Eyes
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Expressive, slightly almond-shaped and dark brown. Neither protruding nor sunken. Wall eyes are accepted in dogs having blue with black mottling (harlequin or slate grey) coats of which they are almost always a characteristic. Eye rims are black whatever the coat colour. |
Ears
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They must be rather short, moderately broad at the base and not set too close to each other at the top of the skull, but not set too far apart either. They are triangular, fine and ending in a point; dropped, flat and very mobile. When alert, seen from the front, the top edge notably prolongs the transversal line of the skull. They may also be half-pricked; in which case the lower part must be pricked and mobile, and ideally the top third or half of the ear should fall forward to the front or the side, symmetrically for both ears. |
Neck
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Rather long and muscled, springing well up from shoulders. |
Body
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Body
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The bone structure is strong without heaviness, muscle is lean. |
Upper profile
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Well-supported. |
Withers
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Prominent. |
Back
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Rather long and strong. |
Loin
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Short, slightly arched, but seems more so because coat is often thicker on hindquarters and croup. |
Croup
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Fairly short and rather oblique. |
Chest
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Moderately developed, reaching to elbow. |
Ribs
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The ribs are slightly rounded. |
Side
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Scarcely descending. |
Tail
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Well fringed, not very long, set rather low and with a hooked tip. When the dog is alert, the tail should, in general, hardly rise above the topline, however it may curve forward. In countries where this practice is not forbidden by law, some dogs are docked. A rudimentary tail is permitted. |
Forequarters
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Generality
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Upright, lean, sinewy, well-fringed. |
Shoulders
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Rather long, moderately oblique. |
Upper arm
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Oblique and moderately long. |
Forearm
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Straight. |
Carpal
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Noticeable wrist joint. |
Pastern
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Slightly oblique seen from the side. |
Forefeet
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Lean, fairly flat, of a definite oval shape. Dark pads. Small hard nails covered by hair which is also found under the foot, between the pads. |
Hindquarters
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Generality
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Rather closed angulation. Semi-long coated dogs have no fringing on limbs. |
Upper thigh
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Not very long, moderately oblique, strong, well-defined muscle. |
Lower thigh
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Rather long and oblique. |
Stifle
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Well-angulated and parallel to the body. |
Metatarsus
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Perpendicular to the ground or very slightly oblique from back to front. |
Hock
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Lean, set low, well angulated, hocks are sometimes a little close. |
Hind feet
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Lean, fairly flat, of a definite oval shape. Dark pads. Small hard nails covered by hair which is also found under the foot, between the pads. Single or double dewclaws are acceptable on hind legs as is their absence. |
Gait and movement
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Walking, the Pyrenean Sheepdog has a rather short stride. The trot, preferred pace of the Pyrenean Sheepdog should be free and vigorous. At a gentle trot, the head is carried fairly high, when the speed increases, the head is in line with the back. The feet are never raised high, the movement is flowing, the dog skims over the ground. |
Skin
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Thin, often marbled with dark patches, irrespective of coat-colour. |
Coat
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Hair
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Long, or semi-long, but always dense, almost flat or slightly wavy, thicker and woollier on the croup and thighs, texture somewhere between goat’s hair and sheep’s wool. In some dogs the mixture of coarse and woolly hair can produce sorts of strands or cords called “cadenettes" and sometimes matted or felted hair called “matelotes” which overlap like tiles on the croup. “Cadenettes” can be found on the chest and the forelegs at elbow level. The muzzle has shorter, less dense hair. On the end of the muzzle, and sometimes along the whole muzzle, it is laid flat and set from front to back. On the sides as well as on the cheeks, the hair is longer and brushed up in a windswept way from front to back. Eyes must be clearly visible and not covered by hair. |
Colour
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Fawn, lighter or darker, overlaid with black or not and sometimes with a little white on the chest and on the limbs; grey, lighter or darker, often with some white on the head, chest and limbs; blue with black mottling (harlequin or slate blue). There are also brindle, black coats and or black with white markings (limited spotting). Solid colours are preferred. |
Size and weight
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Height at withers
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Males from 42 cm to 48 cm, females from 40 cm to 46 cm. A tolerance of + or - 2 cm is allowed for perfectly typed specimens. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Serious faults
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Heavy dog, not very active.
Ogival skull, rounded forehead, stop too much pronounced or non existent.
Muzzle square or rectangular, lack of pigmentation on nose or lips.
Eyes light or of wild expression.
Lack of pigmentation on the eyerims.
Tail curled on or over the loin.
“squirrel tail” (carried horizontally over the back).
Fused vertebrae.
Coat too abundant on the head, especially when it covers the eyes and on the muzzle when it looks like a griffon's moustache.
Poor texture, soft, wiry, curly or frizzy.
Coat lacking density or thickness.
White covering more than one third of the coat.
Harlequin coat lacking contrast between grey and black or having fawn glints.
Very diluted coat colour.
Black coat with tan on head and on limbs (black marked with fawn). |
Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy.
Nose and eyelids any colour other than perfectly black.
Over or under-shot, or any malformation of the jaws.
Absence of more than 2 teeth (except PM 1).
The presence of canines and carnassial teeth (PM4 upper jaw & M1 lower jaw) is obligatory.
Naturally erect ears.
Wall-eyes for any dogs other than blue with black mottling (harlequin or slate-grey).
Flesh colour on the eye-rims.
Light yellow eyes.
Tail limp, hanging vertically.
Coat curly.
White or colour not stipulated in standard.
Wwhite covering more than 1/3 of coat in black dogs.
Outside the limits. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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Paradoxical destiny as that of the Shepherd of the Pyrenees, since this dog, yet very old, was one of the breeds shepherds French later recognized, well after the Briard or Beauceron in particular, even though its appearance, unlike that of its rivals had changed very little over the centuries.
According to the most recent studies, the current Pyrenean Shepherds would have for their ancestors small herd dogs, themselves from the Tibetan Terriers who, along with larger dogs descended from the Tibetan Mastiff, had accompanied the Asian hordes. during the great invasions of the fourth century. As the westward advance of Attila's and Genghis Khan's armies, Mastiffs and Terriers of Tibet were allegedly crossed with native stumps to give birth to the ancestors of the Nizinny, Tatra Shepherds and other white-clothed mastiffs and, on the other hand, those of the Catalan Shepherds (Gos d'Atura) and the Pyrenean Shepherds.
This thesis, unquestionably the most convincing that has been issued on the question, at the same time destroys many of the theories previously supported by certain specialists for whom the Pyrenean Shepherd would be a descendant of the Berger de Brie. If these races clearly have a certain number of points in common, if only because they are both shepherdesses, it is highly unlikely that they have ever had the opportunity to meet at times when the means of communication not very developed made each province, especially when it was mountainous, a true "continental island".
And even assuming that such genetic "infusions" could have occurred between a dog known only in the southwestern quarter of France and another widespread especially in the plains of the north of the country, it is hard to see how the Briard could have to give birth to the small Pyrenean, while the latter is, according to the oral tradition of his home soil, much earlier than his presumed ancestor.
To top it all off and to end up disturbing the public mind, some cynologists of the late nineteenth century went so far as to claim that the Pyrenean Shepherd and the Pyrenean Mountain Dog were one and the same. race, while everything distinguishes our light athlete from his friend, a worthy representative of another group, also very old, that of molossoids. The origin of these successive confusions is probably found in the errors of ancient authors, usually better inspired, whose work on the Berger des Pyrénées, often conducted from information not checked or verified in the field, proceeded more from the imagination than scientific observation. Thus, luminaries as famous as Brehm in Germany, Reul in Belgium, the Earl of Bylandt in the Netherlands evoked in their respective works a Pyrenean Shepherd at the limit of fantasy, quite different in any case from the real subject. Witness this preliminary draft standard proposed by the Earl of Bylandt in 1897 in his book The Dog Breeds, and which described a dog with hair bushy and half-long, with a little curved skull, long snout, small ears, eyes sometimes narrowed and long-bodied, or this quote from the German Brehm, which evokes a dog with almost hard hair, curly when young, white stained with large black plates, tall, short and muscular, with the fingers are broadly webbed, the head broad and developed, the ears fairly pointed and drooping, the snout long, square, and large blue eyes salient emphasizing intelligence, gentleness, intrepidity.
Closer to the subject and visibly better informed, Pierre Mégnin, for his part, portrayed the portrait of the Pyrenean Shepherd: "It is a Griffon whose head is scarcely loaded with hair; he has barely a few long hairs on his eyebrows, but he has neither mustache nor pronounced goatee. It is at the rear end that the hair has accumulated. There, he has strong panties and, on the thighs, a thick mattress. The members are almost flush. The feet are very spread out and remind the paw of the bear. The ears are straight instead of lying down. As for the color, it is not white with large black plates, but silver gray with the said black spots, with or without fire on the legs, a color that is vulgarly called Danish. The eyes are frequently minnows, that is, with a light blue iris. "
Despite the interest that French and foreign dogs began to bring to the Shepherd of the Pyrenees, it was not until the First World War that this dog really emerged from the shadows. In 1916, Sub-Lieutenant Paul Mégnin, Commander Malric and Veterinarian Hérout, who had been under his responsibility for the Service des chiens de guerre, suggested to the French staff that the Pyrenean Shepherd be used as a liaison dog. patrol officer. The idea was immediately adopted by the military officials, and the Service of the dogs of war sent to the Pyrenean region Théodore Dretzen, a connoisseur of the race, to recruit as many subjects as possible. Narrower than many other shepherd breeds, the Pyrenean were soon to become valuable auxiliaries for the Allied infantrymen. Witness this appreciation of J. Dhers later published in the columns of L'Eleveur, newspaper in which he had meanwhile become a collaborator: "As a former training officer of the Service of the dogs of war, it is my duty to to proclaim loudly that it is the race of the little Pyrenean Shepherd who has furnished the army with the most intelligent, the most cunning, the quickest, and the most skilful liaison dogs. "
These eloquent statements of service were to contribute to the renown of the Pyrenean Shepherd in the immediate post-war period, culminating in the creation in 1923; under the leadership of Bernard Senac-Lagrange, to whom we owe an exhaustive study of his racial characters, and some Pyrenean dogs; of the Meeting of Pyrenean dog lovers. This club having drafted a standard, nothing was now opposed to the recognition of the Shepherd of the Pyrenees by the Central Canine Society and the Ministry of Agriculture, recognition which intervened in 1926. This dog could therefore participate, the same other shepherd breeds such as Beauceron and Briard at the Central Agricultural General Competition.
A rarity in the annals of dog breeding, the drafters of the standard had been careful to distinguish two varieties of Pyrenean Shepherds: one whose head, in its general form, is reminiscent of the brown bear, with the muzzle shaped corner, the other with a clean face and a little shorter hair on the body; they had moreover admitted a difference of ten centimeters in the size of the subjects. Many amateurs were surprised, especially J. Dhers, at the end of the last century, who explained this particularity by the continental insularity mentioned above, and who wrote: "Although the race is very clearly fixed and defined we see in our mountains that the types vary somewhat from valley to valley. The standard remains the same, but some small details do not escape the mountain cynophiles. This is how Arbazzie's dog would be the model type of the standard. The little dog Saint-Beat is beefy, with a round head. Looks like a miniature Bobtail. The Shepherd of Azun, always black, seems a diminutive of the Groenendael.
These morphological differences are explained mainly by geographical reasons, and especially by the difficulties of communication between the poles of habitat at altitude, which favored the fixation of certain local types highly consanguineous.
Conversely, the clean-face type proper is, according to specialists, derived from crosses between the so-called "classical" Berger des Pyrénées and dogs from subpyrenees. Charles Duconte, judge of the SCC and end connoisseur of the race, wrote besides on this subject: "There exists in the sub-Pyrenean region, and particularly in Béarn, the Bigorre and the Adour basin, a big number of sheep dogs. Their proximity of habitat, the transhumance of certain herds which accompanied the dogs make that there were necessarily unions between them and their mountain brothers. This resulted in general a dog higher on legs, half-long hair on the body, flush on the head and limbs, whose cranial box, a little more developed, yet reminds by its shape that of pure mountain . These dogs are, moreover, very much appreciated by the horse traders and "beaters" who run the fairs in the region. "
Highly esteemed for his ability to drive sheep and horses, praised by the military for the services he had rendered in time of war, the Pyrenean Shepherd had acquired titles of nobility that allowed him to begin an irresistible rise . As early as 1927, Dutrey de Rabastens devoted to him a remarkable doctoral thesis entitled The Cradle of a Canine Race: the Pyrenean Sheepdog; this thesis will later inspire Duconte and Sabouraud for their book Pyrenean Dogs. The small Pyrenean was henceforth at the heart of the concerns of distinguished cynologists.
After the Second World War, the development of tourism, which allowed thousands of townspeople to get acquainted with this little dog, further increased its popularity, which became international. The Pyrenean Shepherd was perhaps the last shepherd race that the world of dog-eating discovered, but its notoriety should never be questioned again. So much so that today he is a very appreciated pet dog. We could say that the Pyrenean Shepherd enjoys a reputation inversely proportional to its size. The breed is indeed unanimously praised, and by the professionals who chose to make it work and by the individuals who adopted it as a pet dog. It is above all a dog remarkably adapted to the altitude. Its body is in a rectangle, and its center of gravity, close to the ground, ensures maximum stability in the accentuated slopes. He has a dry foot and lean sole, and holds the rock very well. Slightly turned outwards, her hind limbs make it easier for her to walk in the mountains. His reasonable food needs and small size, which prevented him from overturning a sheep by jostling him, made him once the ideal auxiliary for shepherds.
At work, his behavior perfectly reflects his two essential qualities: alertness and alertness. Very fast, he pushes the stragglers with a blow of muzzle, makes return in the row the insulated, darkness in front of the herd to indicate the sheep or the sheep the direction to follow. But when necessary, he also knows how to stop his passion. In dangerous passages, deftly, he will direct the animals one by one in a vigilant manner to put them in a safe place.
If there is one area where the Shepherd of the Pyrenees surpasses the shepherd himself, it is in the search for a lost animal. A sheep is missing. Preceding the shepherd, the small Pyrenean begins his search, searches the most difficult to access corners, explores the slightest flaw. A sense of duty described to us by a shepherd: "During the winter, for the fattening of the young, I used to drive the lambs in a special box to give them an extra ration. The lambs quickly understood the purpose of the maneuver and thus made the job easier. Willy, a Pyrenean Shepherd, regularly attended the operation, sitting near the door. One would have sworn he counted the lambs in passing. One day, when the lambs had finished eating and had left the box, the dog went, as he usually did, to visit the place where the little ones came from and, panicked, returned immediately to my wife, trying to make him understand that you have to go see. Before his indifference, he pulled the bottom of his apron. My wife finally decided to realize on the spot and found a lamb stuck behind a rack, breathless from having struggled. Willy licked the little animal's head for more than five minutes to comfort him and accompanied him to his mother. "
Another shepherd, Philippe Defrance, evokes in his turn the qualities of the small Pyrenees: "The reflexes of the Pyrenean Shepherd are incomparable and superior to those of all the other shepherd races. His obedience and faithfulness are remarkable. His initiative, his judgment and his memory are never lacking as soon as he is put to the test. His courage results from his hardening to suffering. The lices are no less excellent dairy when they find in their rations the necessary nutrients. "
Quite exclusive, the Pyrenean Shepherd tends to know only one master, to which he will remain passionately attached, supporting everything of him if he feels that it is useful. His vigilance at work is matched only by his mistrust at home. His bravery is legendary too. It is even said that formerly he did not hesitate to attack the bears who would have approached a little too closely his master's flock. Quite a fighter, the Pyrenean Shepherd is often at the origin of fights with other dogs. In these moments, he shows flexibility, rapidity, offering only little grip to his adversary, and, by a succession of skilful dodges and unexpected attacks, he places a few well-felt teeth. He is a light athlete, a fighter without weakness, characteristics that we sometimes tend to forget when this dog lives in the city.
To preserve the qualities of the Pyrenean Shepherd, the breeders and managers of the Reunion club of Pyrenean dog lovers have taken over, for some years now, the credo of all the "bergérophiles": out of work, no salvation. Which means, in a more explicit way: the dog can not be removed from the functions of a working dog which he has filled for many centuries without running to the degeneracy of the type. To this end, the Pyrenean Shepherd, who, for obvious economic reasons, had no future in driving sheep, has reconverted to new tasks, reconversion that his versatility has allowed him to succeed fully.
Not hesitating to bite if necessary, the small Pyrenean was thus initiated to the role of dog of defense and police. If its size prevents it from jumping as high as some others, its relaxation does not less than admire. One injured male was seen on an anterior paw crossing a stone wall of 1.70 meters and a fence surmounted by barbed wire. With such possibilities, the Pyrenean Shepherd was naturally called to become a guardian of children, especially since he knows how to be calm in the presence of a weaker, he is usually so exuberant.
Very sporty, he can hardly stand being confined to an apartment, and even in a garden if he does not have the opportunity to run on larger spaces. In its natural environment, it can travel from 15 to 40 kilometers per day. He badly needs the presence of his master; if he has to stay alone too often, and especially if he feels useless, he can become sullen, even aggressive. Apart from this case, he does not pose any particular problems, and, provided his education has been firm but fair and given between two and six months, he can be taken everywhere.
Left alone at home or in a car, the Pyrenean Shepherd will tend to bark. Sometimes embarrassing, this propensity to make his voice heard is part of his personality, which is never good to annoy systematically. Pet since he no longer has to spend on the slopes of the Pyrenees, this dog remains hereditarily marked by the lives of his ancestors. Although his field is increasingly that of large cities, he needs to lead a life that will allow him, daily, to express his vitality and intelligence.
All; or almost all owners of Pyrenean Shepherds are certain and proud to have a dog that is not "like the others". They are not necessarily wrong. Called in his original region "the dog who saw God" because of his expressive look that denotes intelligence and sometimes even exaltation, this mountaineer in the soul has shown for a long time that he knew how to adapt to other places, urban or rural. |
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Langhaariger Pyrenäen schäferhund FCI-Standard Nr. 141
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Ursprung
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Frankreich |
Übersetzung
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Josef Müller, ergänzt & überarbeitet, Christina Bailey |
Gruppe
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Gruppe 1 Hütehunde und Treibhunde (ausgenommen Schweizer Sennenhunde) |
Sektion
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Sektion 1 Schäferhunde |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Freitag 28 Januar 1955 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Donnerstag 26 März 2009 |
Letzten Aktualisierung
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Mittwoch 07 September 2011 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à poil long |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog long haired |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de pelo largo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond langhaar |
Verwendung
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Hütehund auf den Bauernhöfen und Weiden der Pyrenäen. |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Von bescheidener Herkunft, bleibt der langhaarige Pyrenäenschäferhund bis zum Beginn des 20. Jahrhunderts in der offiziellen Kynologie so gut wie unbekannt. Sein Typ variiert von einem Tal zum anderen beträchtlich, seine Gestalt und sein Haarkleid sind sehr unterschiedlich, sein Verhalten und sein Charakter sind jedoch überall gleich. Der erste offizielle Rassestandard wurde in den Jahren von 1921 bis 1925 von Mr. Bernard Sénac-Lagrange erstellt. Er wurde erstmalig überarbeitet während seiner Präsidentschaft und dann später unter der, der Herren Charles Duconte 1954-1986), Guy Mansencal (1986-2000) and Alain Pécoult (seit 2000-...) in enger Zusammenarbeit mit Raymond Triquet (seit 2001). |
Allgemeines erscheinungsbild
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Ein Hund, der bei einem Minimum an Größe und Gewicht ein Maximum an Lebhaftigkeit ausstrahlt. Sein stets wachsamer Gesichtsausdruck und seine pfiffige, mißtrauische Miene verbunden mit seiner impulsiven Bewegungsfreude prägen das charakteristische, einzigartige Auftreten dieses Hundes. |
Wichtige proportionen
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• Der Schädel ist beinahe ebenso lang wie breit. • Der Fang ist kürzer als der Schädel im Verhältnis: Fang 2, Schädel 3. • Die Körperlänge übertrifft die Widerristhöhe. • Die Entfernung des Ellenbogens vom Boden übertrifft die Hälfte der Widerristhöhe. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Ein kleiner, mutiger Hund, schlau, zur Initiative fähig, seinem Herrn vollkommen ergeben. Er ist eigensinnig und benötigt im Allgemeinen eine feste Hand, um seine Energie in die richtigen Bahnen zu lenken und das Beste aus seiner Intelligenz und Lebhaftigkeit zu machen. Fremden gegenüber verhält er sich oft mißtrauisch. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Insgesamt gesehen dreieckig. |
Schädel
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Mäßig entwickelt, fast flach, mit leicht ausgeprägter Stirnfurche; zu den Seiten hin ist er harmonisch abgerundet, der Hinterhauptstachel ist wenig betont. Er ist fast ebenso lang wie breit. Sein vorderer Teil verläuft in sanfter Neigung zum Fang. |
Stop
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Wenig sichtbar. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Schwarz. |
Fang
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Gerade, etwas kürzer als der Oberkopf. Er verjüngt sich keilförmig, ist jedoch nicht zugespitzt. |
Lefzen
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Wenig dick; sie bedecken den Unterkiefer vollständig, der Lefzenwinkel ist nicht sichtbar. Ihre Ränder und der Gaumen sind schwarz oder kräftig schwarz markiert. |
Kiefer / Zähne
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Das Gebiss soll vollständig sein. Fangzähne stark, die Schneidezähne haben Scherenschluss (die obere Schneidezahnreihe bedeckt ohne Zwischenraum die untere); Zangengebiss (die Kanten der oberen und unteren Schneidezähne stehen aufeinander) ist zulässig. |
Augen
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Ausdrucksvoll, leicht mandelförmig, dunkelbraun; weder vorstehend noch zu tief liegend. Bei Hunden mit blauer oder schwarzer Tüpfelung im Haar (harlekinfarben oder schiefergraues) sind Birkenaugen zulässig und fast immer charakteristisch. Die Lidränder sind – unabhängig von der Fellfarbe – schwarz. |
Ohren
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Ziemlich kurz, am Ansatz mäßig breit; sie sind weder zu dicht beieinander noch zu weit voneinander oben auf dem Schädel angesetzt. Sie sind dreieckig, fein und enden in einer Spitze; hängend, flach und sehr beweglich. Während Aufmerksamkeit und von vorne betrachtet verlängert das obere Ende merkbar die transversale Linie des Schädels. Sie können auch halb aufgerichtet sein; in diesem Fall muss der untere Teil der Ohrmuschel aufgerichtet und beweglich sei, und das obere Drittel oder die Hälfte soll im Idealfall nach vorn oder zur Seite kippen, wobei beide Ohren symmetrisch sein sollen. |
Hals
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Eher lang, genügend bemuskelt, gut von den Schultern abgesetzt. |
Körper
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Allgemeinheit
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Der Knochenbau ist kräftig, jedoch nicht schwer; trockene Bemuskelung. |
Obere Profil
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Fest. |
Widerrist
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Gut ausgeprägt. |
Rücken
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Ziemlich lang, kräftig. |
Lenden
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Kurz, leicht gewölbt; die Wölbung erscheint stärker ausgeprägt, da die Behaarung über der Hinterhand und auf der Kruppe häufig reichlicher ist. |
Kruppe
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Eher kurz, ziemlich schräg gelagert. |
Brust
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Mittelmäßig entwickelt, bis zu den Ellenbogen herabreichend. |
Rippen
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Leicht gewölbt. |
Flanke
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Nicht tief. |
Rute
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Gut befedert, nicht sehr lang, eher tief angesetzt, an der Spitze einen Haken bildend. In der Aufmerksamkeit soll die Rute generell kaum oberhalb der Rückenlinie getragen werden aber sie darf nach vorne gebogen sein. In Ländern, ohne Kupierverbot sind einige Exemplare kupiert. Eine angeborene Stummelrute ist erlaubt. |
Vorderhand
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Allgemeines
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Gerade, trocken, sehnig, gut befedert. |
Schultern
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Schulterblatt genügend lang, mäßig schräg gelagert. |
Oberarm
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Schräg gelagert, mittellang. |
Unterarm
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Gerade. |
Vorderfusswurzelgelenk
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Das Gelenk ist gut markiert. |
Vordermittelfuss
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Von der Seite gesehen leicht schräggestellt. |
Vorderpfoten
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Trocken, ziemlich flach, deutlich oval; dunkle Ballen. Nägel klein und hart, von Haar bedeckt, das sich auch unter der Pfote zwischen den Ballen findet. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Ziemlich geschlossene Winkelungen. Bei Hunden mit halblangem Haar sind die Läufe frei von Befederungen. |
Oberschenkel
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Nicht sehr lang, mäßig schräg, muskulös, "muskelbepackt". |
Unterschenkel
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Gut gewinkelt, parallel zur Körperachse gelagert. |
Knie
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Ziemlich lang, schräg gestellt. |
Hintermittelfuss
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Senkrecht oder sehr leicht schräg nach vorn gestellt. |
Sprunggelenk
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Trocken, tief gestellt, gut gewinkelt; gelegentlich etwas kuhhessig stehend. |
Hinterpfoten
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Trocken, ziemlich flach, deutlich oval. Dunkle Ballen. Nägel klein und hart, von Haar bedeckt, das sich auch unter den Pfoten zwischen den Ballen findet. Können an den Hinterläufen einfach oder doppelt vorhanden sein oder fehlen. |
Gangwerk
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Im Schritt ist die Bewegung des Pyrenäen-Schäferhundes ziemlich verkürzt. Der Trab, seine bevorzugte Gangart, soll frei und kraftvoll sein. Im langsamen Trab wird der Kopf etwas angehoben, im verlängerten Trab wird er auf Höhe der Rückenlinie getragen. Die Pfoten werden niemals stark angehoben, die Bewegungen sind fließend, wobei die Pfoten dicht über den Boden gleiten. |
Haut
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Fein; unabhängig von der Fellfarbe oft mit dunklen Flecken marmoriert. |
Coat
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Haar
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Lang oder mittellang, jedoch stets dicht, fast glatt oder leicht gewellt; dichter und wolliger über der Kruppe und auf den Schenkeln; in seiner Textur ein Mittelding zwischen Ziegenhaar und Schafwolle. Die Mischung aus trockenem und wolligem Haar bildet bei manchen Hunden Zotten oder Schnüre, auch „cadenetten“ genannt, oder manchmal Platten, die schuppen- oder dachziegelartig die Kruppe und die Schenkel bedecken. „Cadenetten“ finden sich sogar an der Brust und an der Vorderhand in Höhe der Ellenbogen. Das Haar am Fang ist kürzer und weniger dicht. Am Ende des Fangs, manchmal auch am ganzen Fang, liegt das Haar an und hat die Wuchsrichtung von vorn nach hinten. An den Seiten und den Wangen ist das Haar länger und erscheint wie durch einen Windstoß von vorn zurückgeweht. Die Augen müssen gut sichtbar sein, ohne von Haar bedeckt zu werden. |
Farbe
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Mehr oder weniger dunkles Faule mit oder ohne Überdeckung von schwarzen Haaren und gelegentlich etwas Weiß an Brust und Gliedmaßen; mehr oder weniger intensives Grau, oft mit Weiß an Kopf, Brust und Gliedmaßen; Blau mit schwarzer Tüpfelung (Harlekin oder Schieferblau). Ebenso kommen die Farben Gestromt, Schwarz oder Schwarz mit weißen Flecken (begrenzt gesprenkelt) vor. Die reinen Farben werden bevorzugt. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Rüden 42 bis 48 cm, Hündinnen 40 bis 46 cm. Eine Toleranz von + oder – 2 cm ist bei vollkommen typischen Hunden zulässig. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Schwere fehler
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Schwerfälliger Hund ohne Lebhaftigkeit.
Spitzbogiger Schädel, gewölbte Stirn, Stop zu stark betont oder nicht vorhanden.
Fang quadratisch oder rechteckig, Pigmentmangel an Nasenchwamm oder Lefzen.
Augen HHell oder mit scheuem Ausdruck.
Lidränder depigmentiert.
Ringelrute auf dem oder über dem Rücken.
"Eichhörnchen Rute" (horizontal über dem Rücken getragen).
Zusammengewachsene Wirbel.
Übermäßig viel Haar am Kopf, vor allem, wenn es die Augen bedeckt und am Fang einen griffonähnlichen Schnauzbart bildet.
Schlechte Textur, weiches oder drahtiges, gelocktes oder sich kräuselndes Haar.
Haarkleid, dem es an Dichte oder Stärke fehlt.
Farbe Weißscheckung in mehr als einem Drittel der Behaarung.
Harlekinfarbenes Haar mit mangelndem Kontrast zwischen dem Grau und dem Schwarz oder mit fauvefarbenem Glitzern.
Sehr verwaschene Haarfarbe.
Schwarz mit lohfarbenen Abzeichen an Kopf und Gliedmaßen (Schwarz mit fauvefarbenen Abzeichen). |
Disqualifizierende fehler
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Aggressiv oder ängstlich.
Nasenschwamm & Augenlider Jede andere Farbe als vollkommen schwarz.
Rückbiß oder Vorbiss oder jegliche Kiefermissbildung.
Das Fehlen von mehr als 2 Zähnen (ausgenommen PM 1).
Die Eckzähne und Reißzähne (PM4 im Oberkiefer und M1 im Unterkiefer) müssen in jedem Fall vorhanden sein.
Natürliche Stehohren.
Glasaugen bei Hunden, die nicht Blau mit Schwarz getüpfelt sind (harlekinfarben oder schiefer-grau).
Rosa Augenlider.
Hellgelbe Augen.
Schlaff, runter hängend.
Haar Gelockt.
Farbe Weiss oder andere nicht im Standard angegebene Farben.
Weiss, welches mehr als 1/3 des Haares bei schwarzen Hunden ergibt.
Ausserhalb der angegebenen Begrenzung. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Paradoxes Schicksal wie das des Hirten der Pyrenäen, da dieser Hund, noch sehr alt, eine der Rassen war, die Schäferhunde später, besonders nach dem Briard oder Beauceron im Besonderen, anerkannten, obwohl sein Aussehen, anders als das von Seine Rivalen hatten sich über die Jahrhunderte nur wenig verändert.
Jüngsten Studien zufolge hätten die heutigen Pyrenäen-Hirten für ihre Vorfahren kleine Herdenhunde, die von den Tibet-Terriern stammen, die zusammen mit größeren Hunden, die vom Tibet-Mastiff abstammen, die asiatischen Horden begleitet hatten. während der großen Invasionen des vierten Jahrhunderts. Als der westliche Vormarsch von Attilas und Dschingis Khans Armeen, Mastiffs und Terrier von Tibet angeblich mit einheimischen Stümpfen gekreuzt wurden, um die Vorfahren der Nizinny, Tatra Shepherds und andere weiß gekleidete Mastiffs und andererseits die katalanischen Hirten (Gos d'Atura) und die Pyrenäen-Hirten.
Diese zweifellos überzeugendste These, die zu dieser Frage veröffentlicht wurde, zerstört gleichzeitig viele der Theorien, die früher von gewissen Spezialisten unterstützt wurden, für die der Pyrenäen-Schäfer ein Nachkomme des Berger de Brie sein würde. Wenn diese Rassen eine gewisse Anzahl von Punkten gemeinsam haben, schon allein deshalb, weil sie beide Hirtinnen sind, ist es höchst unwahrscheinlich, dass sie jemals die Gelegenheit hatten, sich zu bestimmten Zeiten zu treffen die Mittel der Kommunikation, die nicht sehr entwickelt sind, machten jede Provinz, besonders wenn es gebirgig war, eine wahre "kontinentale Insel".
Und selbst wenn man annimmt, dass solche genetischen "Infusionen" zwischen einem Hund, der nur im südwestlichen Viertel Frankreichs bekannt ist, und einem anderen, der besonders in den Ebenen des Nordens des Landes verbreitet ist, aufgetreten sind, ist es schwer zu sehen, wie der Briard aussehen könnte um die kleinen Pyrenäen zu gebären, während die letztere, nach der mündlichen Überlieferung seines Heimatbodens, viel früher als sein vermutlicher Vorfahre ist.
Um das Ganze abzurunden und am Ende die öffentliche Meinung zu stören, gingen einige Kynologen des späten neunzehnten Jahrhunderts so weit, zu behaupten, dass der Pyrenäen-Hirte und der Pyrenäen-Sennenhund ein und dasselbe seien. Rennen, während alles unseren leichten Athleten von seinem Freund unterscheidet, ein würdiger Vertreter einer anderen Gruppe, auch sehr alt, das von molossoids. Der Ursprung dieser sukzessiven Verwirrungen liegt wahrscheinlich in den Fehlern der meist besser inspirierten antiken Autoren, deren Arbeit am Berger des Pyrénées, die oft aus nicht überprüften oder verifizierten Informationen durchgeführt wurde, die meiste Zeit verlief. Imagination als wissenschaftliche Beobachtung. So haben Koryphäen wie Brehm in Deutschland, Reul in Belgien, der Graf von Bylandt in den Niederlanden in ihren jeweiligen Werken einen Pyrenäen-Hirten an der Grenze der Phantasie heraufbeschworen, der sich vom eigentlichen Gegenstand jedenfalls durchaus unterscheidet. Man beachte diesen vorläufigen Entwurf, den der Graf von Bylandt 1897 in seinem Buch Die Hunderassen vorgeschlagen hatte und der einen Hund mit buschigen und halb langen Haaren, mit einem kleinen gekrümmten Schädel, einer langen Schnauze, kleinen Ohren, Augen manchmal verengt und lang, oder dieses Zitat aus dem deutschen Brehm, das an einen Hund mit fast hartem Haar erinnert, lockig wenn jung, weiß mit großen schwarzen Platten befleckt, groß, kurz und muskulös, mit die Finger sind breit gewebet, der Kopf breit und entwickelt, die Ohren ziemlich spitz und hängenden, die Schnauze lang, quadratisch, und große blaue Augen, die hervortreten, betonen Intelligenz, Sanftheit, Unerschrockenheit.
Näher am Thema und sichtlich besser informiert, porträtierte Pierre Mégnin seinerseits das Porträt des Hirten der Pyrenäen: "Es ist ein Griffon, dessen Kopf nicht sehr voller Haare ist; er hat kaum ein paar lange Haare auf seinen Augenbrauen, aber er hat weder Schnurrbart noch ausgeprägten Spitzbart. Es ist am hinteren Ende, dass die Haare angesammelt haben. Dort hat er starke Höschen und an den Oberschenkeln eine dicke Matratze. Die Mitglieder sind fast bündig. Die Füße sind sehr weit gespreizt und erinnern an die Pfote des Bären. Die Ohren sind gerade anstatt zu liegen. Was die Farbe betrifft, ist sie nicht weiß mit großen schwarzen Platten, sondern silbergrau mit den genannten schwarzen Flecken, mit oder ohne Feuer an den Beinen, eine Farbe, die gemeinhin Dänisch heißt. Die Augen sind häufig Elritzen, also mit einer hellblauen Iris. "
Trotz des Interesses, das französische und ausländische Hunde dem Schäfer der Pyrenäen zu bringen begannen, kam dieser Hund erst im Ersten Weltkrieg wirklich aus dem Schatten. Im Jahr 1916 schlugen Unterleutnant Paul Mégnin, Kommandant Malric und Tierarzt Hérout, der unter seiner Verantwortung für den Dienst der Chiens de Guerre war, den französischen Mitarbeitern vor, dass der Pyrenäen-Schäferhund als Verbindungshund verwendet werden sollte. Streifenpolizist. Die Idee wurde sofort von den Militärs angenommen, und der Dienst der Kriegshunde schickte Théodore Dretzen, einen Kenner der Rasse, in die Pyrenäenregion, um möglichst viele Untertanen zu rekrutieren. Schmaler als viele andere Hirtenrassen waren die Pyrenäen bald wertvolle Hilfstruppen für die alliierten Infanteristen. Zeuge dieser Wertschätzung von J. Dhers später veröffentlicht in den Kolumnen von L'Eleveur, Zeitung, in der er inzwischen ein Kollaborateur geworden war: "Als ehemaliger Ausbildungsoffizier des Dienstes der Kriegshunde ist es meine Pflicht um laut zu verkünden, dass es die Rasse des kleinen Pyrenäen-Hirten ist, der die Armee mit den intelligentesten, den schlauesten, den schnellsten und den geschicktesten Verbindungshunden ausgestattet hat. "
Diese eloquenten Aussagen des Dienstes sollten zur Berühmtheit des Pyrenäen-Hirten in der unmittelbaren Nachkriegszeit beitragen, die in der Schaffung 1923 kulminierte; unter der Leitung von Bernard Senac-Lagrange, dem wir eine gründliche Studie seiner Rassecharaktere und einiger Pyrenäen-Hunde verdanken; des Treffens der Pyrenäen-Hundeliebhaber. Nachdem dieser Club einen Standard entworfen hatte, war nichts gegen die Anerkennung des Hirten der Pyrenäen durch die Central Canine Society und das Landwirtschaftsministerium, Anerkennung, die im Jahr 1926 intervenierte. Dieser Hund konnte daher teilnehmen andere Schäferrassen wie Beauceron und Briard beim Central Agricultural General Competition.
Eine Seltenheit in den Annalen der Hundezucht, hatten die Herausgeber des Standards darauf geachtet, zwei Sorten von Pyrenäen-Hirten zu unterscheiden: einer, dessen Kopf in seiner allgemeinen Form an den braunen Bären erinnert, mit der Schnauze geformt Ecke, die andere mit einem sauberen Gesicht und ein wenig kürzeres Haar am Körper; sie hatten darüber hinaus einen Unterschied von zehn Zentimetern in der Größe der Probanden zugegeben. Viele Amateure waren überrascht, besonders J. Dhers am Ende des letzten Jahrhunderts, der diese Besonderheit durch die oben erwähnte kontinentale Insularität erklärte und schrieb: "Obwohl die Rasse sehr klar festgelegt und definiert ist Wir sehen in unseren Bergen, dass die Arten von Tal zu Tal variieren. Der Standard bleibt der gleiche, aber einige kleine Details entgehen den Bergzynophilen nicht. So wäre der Hund von Arbazzie der Modelltyp des Standards. Der kleine Hund Saint-Beat ist bullig und hat einen runden Kopf. Sieht aus wie ein Miniatur Bobtail. Der Schäfer von Azun, immer schwarz, scheint eine Verkleinerungsform des Groenendael zu sein.
Diese morphologischen Unterschiede werden hauptsächlich durch geographische Gründe erklärt, und insbesondere durch die Schwierigkeiten der Kommunikation zwischen den Polen des Habitats in der Höhe, was die Fixierung bestimmter lokaler Arten stark blutsverwandt begünstigte.
Umgekehrt stammt der Typ der reinen Gesichtshaut nach Ansicht von Spezialisten aus Kreuzungen zwischen dem sogenannten "klassischen" Berger des Pyrénées und Hunden aus Subpyrenäen. Charles Duconte, Richter am SCC und Endkenner der Rasse, schrieb dazu: "Es gibt in der subpyrenäischen Region, und besonders in Béarn, das Bigorre und das Adour-Becken, ein großes Anzahl der Schäferhunde. Ihre Nähe zum Lebensraum, die Transhumanz bestimmter Herden, die die Hunde begleiteten, führten dazu, dass es notwendigerweise Verbindungen zwischen ihnen und ihren Bergbrüdern gab. Dies führte in der Regel zu einem Hund höher auf den Beinen, halb-lange Haare auf dem Körper, bündig auf dem Kopf und Gliedmaßen, deren Schädel-Box, ein wenig mehr entwickelt, erinnert jedoch durch seine Form, die von reinem Berg . Diese Hunde werden außerdem von den Pferdehändlern und "Treibern", die die Messen in der Region leiten, sehr geschätzt. "
Sehr geschätzt für seine Fähigkeit, Schafe und Pferde zu fahren, die vom Militär für die Dienste, die er in Kriegszeiten geleistet hatte, gelobt wurden, hatte der Pyrenäen-Hirte Adelstitel erworben, die ihm einen unwiderstehlichen Aufstieg ermöglichten . Bereits 1927 widmete ihm Du- trey de Rabastens eine bemerkenswerte Dissertation mit dem Titel Die Wiege einer Hunde- Rasse: der Pyrenäen-Schäferhund; Diese These wird später Duconte und Sabouraud für ihr Buch Pyrenean Dogs inspirieren. Das kleine Pyrenäengebiet stand fortan im Mittelpunkt der Interessen der angesehenen Kynologen.
Nach dem Zweiten Weltkrieg hat die Entwicklung des Tourismus, die es Tausenden von Städtern ermöglichte, sich mit diesem kleinen Hund vertraut zu machen, seine Popularität weiter erhöht, die international wurde. Der Pyrenäen-Hirte war vielleicht das letzte Hirtenvolk, das die Welt des Hundeessens entdeckte, aber seine Bekanntheit sollte nie wieder hinterfragt werden. So sehr, dass er heute ein sehr geschätzter Haustierhund ist. Wir können sagen, dass der Pyrenäen-Hirte einen Ruf genießt, der umgekehrt proportional zu seiner Größe ist. Die Rasse wird in der Tat einstimmig gelobt, und von den Fachleuten, die sich dafür entschieden haben, es zu arbeiten, und von den Personen, die es als ein Hund angenommen haben. Es ist vor allem ein Hund, der bemerkenswert an die Höhe angepasst ist. Sein Körper ist in einem Rechteck und sein Schwerpunkt, nahe dem Boden, sorgt für maximale Stabilität in den akzentuierten Hängen. Er hat einen trockenen Fuß und eine schlanke Sohle und hält den Stein sehr gut. Leicht nach außen gedreht, erleichtern ihre Hinterbeine das Gehen in den Bergen. Seine vernünftigen Nahrungsbedürfnisse und seine geringe Größe, die ihn daran hinderten, ein Schaf zu schlagen, indem sie ihn drängten, machten ihn einst zum idealen Hilfsmittel für Hirten.
Bei der Arbeit reflektiert sein Verhalten perfekt seine zwei wesentlichen Eigenschaften: Wachheit und Wachsamkeit. Sehr schnell schiebt er die Nachzügler mit einem Mündungsstoß, lässt im Isolierfeld die Dunkelheit vor der Herde zurückkehren, um den Schafen oder den Schafen die Richtung anzuzeigen, der sie folgen sollen. Aber wenn es nötig ist, weiß er auch, wie er seine Leidenschaft stoppen kann. In gefährlichen Passagen wird er geschickt die Tiere einer nach dem anderen aufmerksam führen, um sie an einen sicheren Ort zu bringen.
Wenn es einen Bereich gibt, wo der Hirte der Pyrenäen den Hirten selbst übertrifft, ist es auf der Suche nach einem verlorenen Tier. Ein Schaf fehlt. Vor dem Hirten beginnt die kleine Pyrenäen ihre Suche, sucht die am schwersten zugänglichen Ecken ab, erkundet den kleinsten Fehler. Ein Pflichtbewusstsein, das uns ein Hirte beschrieb: "Im Winter, zur Mast der Jungen, habe ich die Lämmer in einer speziellen Kiste gefüttert, um ihnen eine zusätzliche Ration zu geben. Die Lämmer verstanden schnell den Zweck des Manövers und erleichterten so die Arbeit. Willy, ein Schäfer aus den Pyrenäen, besuchte regelmäßig die Operation und saß neben der Tür. Man hätte geschworen, dass er die Lämmer im Vorbeigehen zählte. Eines Tages, als die Lämmer mit dem Essen fertig waren und die Kiste verlassen hatten, ging der Hund, wie er es gewöhnlich tat, zu dem Ort, wo die Kleinen herkamen, und kehrte in Panik zu meiner Frau zurück und versuchte ihn zu machen verstehe, dass du gehen musst. Vor seiner Gleichgültigkeit zog er die Schürze hoch. Meine Frau entschied sich schließlich, auf der Stelle zu erkennen und fand ein Lamm, das hinter einem Gestell steckte, atemlos vom Kämpfen. Willy leckte den Kopf des kleinen Tieres für mehr als fünf Minuten, um ihn zu trösten und begleitete ihn zu seiner Mutter. "
Ein anderer Hirte, Philippe Defrance, erinnert an die Qualitäten der kleinen Pyrenäen: "Die Reflexe des Hirten der Pyrenäen sind unvergleichlich und denen aller anderen Hirtenrassen überlegen. Sein Gehorsam und seine Treue sind bemerkenswert. Seine Initiative, sein Urteilsvermögen und seine Erinnerung werden nie fehlen, sobald er auf die Probe gestellt wird. Sein Mut resultiert aus seiner Verhärtung zum Leiden. Die Läuse sind nicht minder ausgezeichnete Molkereien, wenn sie in ihren Rationen die notwendigen Nährstoffe finden. "
Ganz exklusiv, der Pyrenäen-Hirte neigt dazu, nur einen Meister zu kennen, dem er leidenschaftlich verbunden bleibt und alles von ihm unterstützt, wenn er das Gefühl hat, dass es nützlich ist. Seine Wachsamkeit bei der Arbeit wird nur von seinem Misstrauen zu Hause verglichen. Seine Tapferkeit ist auch legendär. Es wird sogar gesagt, dass er früher nicht zögerte, die Bären anzugreifen, die sich der Herde seines Meisters ein wenig zu nahe genähert hätten. Der Pyrenäen-Hirte ist ein ziemlicher Kämpfer und oft der Ursprung von Kämpfen mit anderen Hunden. In diesen Momenten zeigt er Flexibilität, Schnelligkeit und bietet seinem Gegner nur wenig Griff, und durch eine Reihe von geschickten Ausweichmanövern und unerwarteten Angriffen legt er ein paar gut gefühlt Zähne. Er ist ein Leichtathlet, ein Kämpfer ohne Schwäche, Eigenschaften, die wir manchmal vergessen, wenn dieser Hund in der Stadt lebt.
Um die Qualitäten des Pyrenäen-Hirten zu bewahren, haben die Züchter und Manager des Club de la Réunion der Pyrenäen-Hundeliebhaber seit einigen Jahren das Credo aller "Bergérophilen" übernommen: ohne Arbeit, ohne Erlösung. Was deutlicher heißt: Der Hund kann nicht aus den Funktionen eines Arbeitshundes entfernt werden, den er seit vielen Jahrhunderten gefüllt hat, ohne in die Entartung des Typs zu geraten. Zu diesem Zweck hat der Pyrenäen-Hirte, der aus offensichtlichen wirtschaftlichen Gründen keine Zukunft in der Schafzucht hatte, sich wieder neuen Aufgaben zuwenden können, die er durch seine Vielseitigkeit wiedererlangen konnte.
Ohne zu zögern, bei Bedarf zu beißen, wurde die kleine Pyrenäen so zur Rolle des Hundes der Verteidigung und der Polizei initiiert. Wenn seine Größe verhindert, dass es so hoch springt wie andere, ist seine Entspannung nicht weniger als bewundernswert. Ein verletzter Mann wurde an einer Vorderpfote gesehen, die eine Steinmauer von 1,70 Metern und einen Zaun mit Stacheldraht überquerte. Mit solchen Möglichkeiten wurde der Pyrenäen-Hirte natürlich dazu berufen, ein Wächter der Kinder zu werden, zumal er in Gegenwart eines Schwächeren ruhig zu sein weiß, er ist normalerweise so überschwänglich.
Sehr sportlich, kann er es kaum ertragen, in einer Wohnung und sogar in einem Garten eingesperrt zu sein, wenn er nicht die Möglichkeit hat, auf größeren Räumen zu laufen. In seiner natürlichen Umgebung kann es 15 bis 40 Kilometer pro Tag zurücklegen. Er braucht dringend die Anwesenheit seines Meisters; wenn er zu oft allein bleiben muss, und besonders wenn er sich nutzlos fühlt, kann er mürrisch, sogar aggressiv werden. Abgesehen von diesem Fall stellt er keine besonderen Probleme, und wenn seine Ausbildung fest, aber fair und zwischen zwei und sechs Monaten gegeben ist, kann er überall hin mitgenommen werden.
Zu Hause oder in einem Auto allein gelassen, neigt der Pyrenäen-Schäfer dazu, zu bellen. Manchmal ist es peinlich, dass diese Neigung, seine Stimme zu Gehör zu bringen, Teil seiner Persönlichkeit ist, die nie gut ist, um systematisch zu nerven. Pet, da er nicht mehr an den Hängen der Pyrenäen verbringen muss, bleibt dieser Hund erblich geprägt von den Leben seiner Vorfahren. Obwohl sein Gebiet zunehmend das von großen Städten ist, muss er ein Leben führen, das es ihm täglich ermöglicht, seine Vitalität und Intelligenz auszudrücken.
Alles; oder fast alle Besitzer von Pyrenäen-Hirten sind sicher und stolz darauf, einen Hund zu haben, der nicht "wie die anderen" ist. Sie sind nicht unbedingt falsch. In seiner ursprünglichen Region "der Hund, der Gott sah" aufgrund seines ausdrucksvollen Aussehens, das Intelligenz und manchmal sogar Erhöhung bedeutet, genannt, hat dieser Bergsteiger in der Seele lange gezeigt, dass er sich anzupassen wusste andere Orte, städtische oder ländliche. |
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Pastor de los Pirineos de pelo largo FCI Standard No. 141
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Origen
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Francia |
Traducción
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Iris Carrillo (Federación Canófila de Puerto Rico) |
Grupo
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Grupo 1 Perros de pastor y perros boyeros (excepto perros boyeros suizos) |
Sección
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Sección 1 Perros de pastor |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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viernes 28 enero 1955 |
Publicación del estándar oficial válido
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jueves 26 marzo 2009 |
Última actualización
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lunes 21 septiembre 2009 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à poil long |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog long haired |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Langhaariger Pyrenäen schäferhund |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond langhaar |
Utilizacion
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Perro de pastor utilizado en las fincas y los pastos de los Pirineos. |
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Breve resumen historico
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De origines humildes, es prácticamente desconocido en la canofilia oficial hasta principios del siglo XX. Su tipo varía considerablemente de un valle al otro. Su formato, su pelaje, pueden ser muy diferentes, pero su carácter y su comportamiento no varían. Es entre 1921 y 1925 que se elabora el primer estándar oficial atribuído a M. Bernard Sénac-Lagrange. Fue modificado primero bajo su presidencia y luego bajo aquellas de M. Charles Duconte (1954-1986), M. Guy-Jean Mansencal (1986-2000) y M. Alain Pécoult (desde el 2000...) con la colaboración de M. Raymond Triquet desde el 2001. |
Aspecto general
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Con un mínimo de tamaño y de peso, denota un máximo de vigor. Una fisionomía siempre alerta, un aire astuto y desconfiado, unidos a una gran vivacidad, le imparten a este perro una apariencia característica que no tiene igual. |
Proporciones importantes
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• El cráneo es casi tan largo como ancho. • El hocico es más corto que el cráneo en una proporción caño nasal 2, cráneo 3. • La longitud del cuerpo es superior a la altura a la cruz. • La distancia del codo al terreno es superior a la mitad de la altura a la cruz. |
Temperamento / comportamiento
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Este es un pequeño perro valiente, desenvuelto, con iniciativa, y completamente fiel a su amo. Es de carácter voluntarioso y se necesita generalmente una mano firme para canalizar su energía y sacar el mejor partido de su inteligencia y su vivacidad. A menudo es desconfiado con los extraños. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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Su apariencia general, es de forma triangular. |
Cráneo
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Es medianamente desarrollado, casi plano, con un surco central levemente pronunciado. Se vuelve armoniosamente más redondo en los lados. La protuberancia occipital es poco pronunciada. Es poco más o menos tan ancho como largo. Su parte anterior se une en una suave pendiente al hocico. |
Depresión naso-frontal (stop)
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Es poco marcada. |
Facial region
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Trufa
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Es negra. |
Hocico
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Recto, un poco más corto que el cráneo. Aunque disminuye en forma de cuña, su extremidad no es puntiaguda. |
Belfos
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No son muy gruesos. Cubren perfectamente la mandíbula inferior y no presentan ninguna comisura aparente. El borde de los labios y el paladar son negros o claramente marcados de negro. |
Mandíbulas / Dientes
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La dentadura debe estar completa. Los caninos son fuertes. La articulación es en forma de tijera. Se permite la articulación en forma de tenaza (punta con punta). |
Ojos
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Son expresivos, ligeramente almendrados y de color pardo oscuro. No deben ser ni prominentes, ni demasiado hundidos. Se permite los ojos de color diferente en los perros de pelaje azul entremezclado con negro (arlequín o gris pizarra) en los cuales esto es casi siempre una característica. El borde de los párpados es negro sin importar el color del pelaje. |
Orejas
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Deben ser bastante cortas, moderadamente anchas en su base. No deben presentarse muy cerca una de la otra en la parte superior del cráneo, ni demasiado separadas. Son triangulares, finas y terminan en punta, son colgantes, planas, muy móviles. Cuando el perro está alerta, vistas de frente, el borde superior prolonga visiblemente la línea transversal del cráneo. Pueden también presentarse parcialmente erguidas; en este caso, su parte inferior debe ser también erguida y móvil. Idealmente, el tercio superior o la mitad de la oreja deben caer hacia el frente o hacia el lado, de forma simétrica en las dos orejas. |
Cuello
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Es más bien largo, bastante musculoso, bien separado de los hombros. |
Cuerpo
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Generalidad
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Los huesos son sólidos, pero no pesados, la musculatura es delgada. |
Perfil superior
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Es bien firme. |
Cruz
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Bien prominente. |
Espalda
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Es bastante larga y sólida. |
Lomo
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Corto y ligeramente arqueado, lo parece aún más cuanto que la lana del perro es a menudo más abundante en el cuarto posterior. |
Grupa
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Es más bien corta y bastante oblicua. |
Pecho
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Medianamente desarrollado, desciende hasta el nivel del codo. |
Costillas
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Las costillas son levemente redondeadas. |
Flanco
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Es poco inclinado. |
Cola
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No es muy larga, se presenta más bien baja y en forma de gancho en la extremidad; el flequillo es abundante. En general, cuando el perro está alerta, ésta sobrepasa a penas el márgen superior, sin embargo, puede enroscarse hacia el frente. En los países en donde la práctica es permitida por ley, algunos ejemplares tienen cola recortada. Se permite la cola rudimentaria. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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Están aplomados. Son delgados, vigorosos y están bien cubiertos de flequillo. |
Hombro
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Bastante largos y medianamente oblicuos. |
Brazo
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Oblicuos, de longitud mediana. |
Antebrazo
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Son rectos. |
Carpo
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La articulación de la muñeca es pronunciada. |
Metacarpo
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Vistos de perfil, son ligeramente oblicuos. |
Pies delanteros
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Delgados, bastante planos, forman un óvalo pronunciado. Los cojinetes plantares son oscuros. Las uñas, pequeñas y duras, están cubiertas por el pelo que se encuentra también bajo los pies, entre los tubérculos. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Las angulaciones son bastante cerradas. Los perros de pelo semi-largo presentan extremidades sin flequillo. |
Muslo
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Son medianamente oblicuos, no muy largos, bien musculosos y « bien formados ». |
Pierna
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Bien anguladas y en el eje del cuerpo. |
Rodilla
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Bastante largas y oblicuas. |
Metatarso
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Son verticales o muy ligeramente oblicuos al frente. |
Corvejón
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Delgados, se presentan bajos, bien acodados. Los corvejones son a veces un poco cerrados. |
Pies traseros
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Delgados, bastante planos, forman un óvalo pronunciado. Los cojinetes plantares son oscuros. Las uñas, pequeñas y duras, están cubiertas por el pelo que se encuentra también bajo los pies, entre los tubérculos. Los miembros posteriores pueden o no presentar espolones simples o dobles. |
Movimiento
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Al paso, el Perro de pastor de los Pirineos tiene un movimento bastante reducido. El trote, su paso preferido, debe ser libre y vigoroso. Durante el trote corto, la cabeza se presenta un poco alta; durante el trote largo, la cabeza se encuentra en el márgen de la espalda. Los pies nunca están muy levantados, el movimiento es suelto, el perro roza el terreno. |
Piel
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Es fina y a menudo está veteada de manchas oscuras ; y esto es así sin importar el color del pelaje. |
Manto
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Pelo
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El pelo, largo o semi-largo, pero siempre bien abundante, es casi liso o ligeramente ondulado, más abundante y más lanudo sobre la grupa y los muslos. Presenta una textura entre el pelo de cabra y la lana de oveja. La mezcla de pelo seco y pelo lanudo puede ocasionar en algunos ejemplares una especie de mechones o de cuerdas llamadas “trenzas” y a veces nudos o pelos anudados que se recogen como tejas sobre la grupa y el muslo. Podemos encontrar “trenzas” aun en el pecho y en las extremidades anteriores a nivel del codo. El hocico presenta un pelo más corto y menos abundante. Sobre la punta del hocico y a veces en todo el hocico, es estirado y va desde el frente hacia atrás. Sobre los lados, así como sobre las mejillas, el pelo es más largo y levantado hacia atrás como en “ráfaga de viento”, de delante hacia atrás. Los ojos deben ser bien aparentes y no estar cubiertos por el pelo. |
Color
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Leonado más o menos oscuro, carbonado o no, en ocasiones con un poco de blanco en el antepecho y en las extremidades; gris más o menos claro, a menudo con blanco en la cabeza, en el pecho y en las extremidades; azul entremezclado de negro (arlequín o azul pizarra). Existen también pelajes moteados y pelajes negros o negros marcados de blanco (parches de color diferente limitados). Se prefiere los pelajes de color puro. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Machos de 42 a 48 cm, hembras de 40 a 46 cm. Se acepta una tolerancia de 2 cm de más en los ejemplares que corresponden perfectamente al tipo. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas graves
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Perro pesado, sin vivacidad.
Cráneo ojival, frente abultada, depresión naso-frontal marcada o inexistente.
Hocico cCuadrado o rectangular, falta de pigmentación de la trufa o de los labios.
Ojos claros o de expresión extraviada.
Borde de los párpados despigmentado.
Cola que se presenta enroscada sobre o por encima del lomo.
La llamada cola de “ardilla” inclinada en forma horizontal sobre la espalda.
Vértebras sólidas.
Pelo demasiado abundante en la cabeza, sobre todo cuando cubre los ojos, y el hocico cuando toma la forma de bigotes de grifón.
Textura inadecuada, pelo suave, de alambre, ondulado o rizado.
Pelaje que no es denso o abundante.
Parches de color diferente que sobrepasan un tercio del pelaje.
Pelaje arlequín sin contraste entre gris y el negro o que presenta reflejos color leonado.
Pelaje muy diluído.
Pelaje negro con fuego en la cabeza y en las extremidades (negro marcado de leonado). |
Faltas descalificantes:
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Perro agresivo o temeroso.
Trufa y párpados de otro color que no sea absolutamente negro.
Prognatismo superior o inferior o cualquier malformación de las mandíbulas.
Ausencia de más de 2 dientes, no incluye los PM1.
La presencia de los caninos y de las muelas carniceras es obligatoria.
Orejas rectas naturales.
Ojos de color diferente en otros perros que no sean los de color azul entremezclado de negro (arlequín o gris pizarra).
Manchas con despigmentación en los párpados.
Ojo amarillo claro.
Cola floja, que cae verticalmente.
Pelo rizado.
Pelaje blanco o no indicado en el estándar.
Manchas de color diferente que sobrepasan 1/3 del pelaje en los ejemplares negros.
Tamaño fuera de los límites. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Destino paradójico como el del Pastor de los Pirineos, ya que este perro, aunque muy viejo, fue uno de los pastores de razas que Francia reconoció más tarde, bien después del Briard o Beauceron en particular, aunque su apariencia, a diferencia de la de sus rivales habían cambiado muy poco a lo largo de los siglos.
Según los estudios más recientes, los actuales pastores pirenaicos tendrían para sus antepasados pequeños perros de rebaño, ellos mismos de los Terriers tibetanos que, junto con perros más grandes descendientes del mastín tibetano, habían acompañado a las hordas asiáticas. durante las grandes invasiones del siglo IV. Como el avance hacia el oeste de los ejércitos de Atila y Genghis Khan, los mastines y terrieres del Tíbet fueron supuestamente cruzados con tocones nativos para dar a luz a los antepasados de los Nizinny, Tatra Shepherds y otros mastines vestidos de blanco y, por otro lado, los de los pastores catalanes (Gos d'Atura) y los pastores pirenaicos.
Esta tesis, indiscutiblemente la más convincente que se ha emitido sobre la cuestión, al mismo tiempo destruye muchas de las teorías previamente apoyadas por ciertos especialistas para quienes el Pastor Pirenaico sería descendiente del Berger de Brie. Si estas razas tienen claramente un cierto número de puntos en común, aunque solo sea porque ambas son pastoras, es muy poco probable que alguna vez hayan tenido la oportunidad de encontrarse a veces cuando los medios de comunicación no muy desarrollados hicieron que cada provincia, especialmente cuando era montañosa, fuera una verdadera "isla continental".
E incluso suponiendo que esas "infusiones" genéticas podrían haber ocurrido entre un perro conocido solo en el sudoeste de Francia y otro ampliamente diseminado especialmente en las llanuras del norte del país, es difícil ver cómo podría haberlo tenido el Briard. para dar a luz al pequeño Pirineo, mientras que el segundo es, de acuerdo con la tradición oral de su tierra natal, mucho antes que su presunto antepasado.
Para colmo, y para terminar perturbando la mente del público, algunos cinólogos de finales del siglo XIX llegaron a afirmar que el Pastor de los Pirineos y el Perro de Montaña de los Pirineos eran uno y el mismo. raza, mientras que todo distingue a nuestro atleta ligero de su amigo, un digno representante de otro grupo, también muy viejo, el de los molosoides. El origen de estas confusiones sucesivas se encuentra probablemente en los errores de los autores antiguos, por lo general mejor inspirados, cuyo trabajo en el Berger des Pyrénées, a menudo realizado a partir de información no verificada o verificada en el campo, procedió más de la imaginación más que observación científica Así, luminarias tan famosas como Brehm en Alemania, Reul en Bélgica, el conde de Bylandt en los Países Bajos evocaron en sus respectivas obras a un pastor pirenaico en el límite de la fantasía, bastante diferente en cualquier caso del sujeto real. Sea testigo de este anteproyecto de norma propuesto por el conde de Bylandt en 1897 en su libro The Dog Breeds, y que describe a un perro con pelo espeso y medio largo, con una pequeña calavera curvada, hocico largo, orejas pequeñas, ojos a veces estrechados y de cuerpo largo, o esta cita del alemán Brehm, que evoca a un perro con el pelo casi duro, rizado cuando joven, blanco manchado con grandes placas negras, alto, bajo y musculoso, con los dedos están ampliamente palmeados, la cabeza ancha y desarrollada, las orejas bastante puntiagudas y caídas, el hocico largo, cuadrado y grandes ojos azules que resaltan la inteligencia, la dulzura, la intrepidez.
Más cerca del tema y visiblemente mejor informado, Pierre Mégnin, por su parte, retrató el retrato del Pastor Pirenaico: "Es un Grifón cuya cabeza no está muy llena de pelo; tiene apenas unos pocos pelos largos en las cejas, pero no tiene bigote ni barbita pronunciada. Es en la parte trasera donde el cabello se ha acumulado. Allí, tiene bragas fuertes y, en los muslos, un grueso colchón. Los miembros están casi enrojecidos. Los pies están muy extendidos y recuerdan la pata del oso. Las orejas son rectas en lugar de estar acostadas. En cuanto al color, no es blanco con grandes placas negras, sino gris plateado con dichas manchas negras, con o sin fuego en las patas, un color vulgarmente llamado danés. Los ojos son frecuentemente pececillos, es decir, con un iris azul claro. "
A pesar del interés que los perros franceses y extranjeros comenzaron a traer al Pastor de los Pirineos, no fue hasta la Primera Guerra Mundial que este perro realmente emergió de las sombras. En 1916, el sub teniente Paul Mégnin, el comandante Malric y el veterinario Hérout, que habían estado bajo su responsabilidad por el Servicio de Chiens de Guerre, sugirieron al personal francés que el Pastor Pirenaico se usara como perro de enlace. patrullero La idea fue adoptada de inmediato por los oficiales militares, y el Servicio de los perros de guerra envió a la región pirenaica a Théodore Dretzen, un conocedor de la raza, para reclutar tantos súbditos como fuera posible. Más estrechos que muchas otras razas de pastores, los Pirineos pronto se convertirían en valiosos auxiliares para los soldados de infantería aliados. Sea testigo de esta apreciación de J. Dhers publicada más tarde en las columnas de L'Eleveur, periódico que, mientras tanto, se había convertido en colaborador: "En mi calidad de antiguo oficial de entrenamiento del Servicio de perros de guerra, es mi deber proclamar en voz alta que es la raza del pequeño pastor pirenaico que ha proporcionado al ejército los perros de enlace más inteligentes, astutos, rápidos y hábiles. "
Estas elocuentes declaraciones de servicio contribuyeron a la fama del pastor pirenaico en el período inmediatamente posterior a la guerra, que culminó en la creación en 1923; bajo la dirección de Bernard Senac-Lagrange, a quien debemos un estudio exhaustivo de sus personajes raciales, y algunos perros pirenaicos; del Encuentro de amantes de los perros de los Pirineos. Este club había redactado un estándar, nada se oponía al reconocimiento del Pastor de los Pirineos por parte de la Sociedad Central Canina y el Ministerio de Agricultura, reconocimiento que intervino en 1926. Este perro pudo por lo tanto participar, el mismo otras razas de pastores como Beauceron y Briard en la Competencia General Agrícola Central.
Una rareza en los anales de la cría de perros, los redactores de la norma habían tenido cuidado de distinguir dos variedades de pastores pirenaicos: uno cuya cabeza, en su forma general, es una reminiscencia del oso pardo, con la forma del hocico esquina, el otro con una cara limpia y un pelo un poco más corto en el cuerpo; además, admitieron una diferencia de diez centímetros en el tamaño de los sujetos. Muchos aficionados se sorprendieron, especialmente J. Dhers, a finales del siglo pasado, que explicaron esta particularidad por la insularidad continental mencionada anteriormente, y que escribió: "Aunque la raza está claramente definida y definida vemos en nuestras montañas que los tipos varían un poco de valle a valle. El estándar sigue siendo el mismo, pero algunos pequeños detalles no escapan a los cinófilos de montaña. Así es como el perro de Arbazzie sería el tipo de modelo del estándar. El pequeño perro Saint-Beat es carnoso, con una cabeza redonda. Parece una Bobtail miniatura. El Pastor de Azun, siempre negro, parece un diminutivo del Groenendael.
Estas diferencias morfológicas se explican principalmente por razones geográficas, y especialmente por las dificultades de comunicación entre los polos del hábitat en altitud, lo que favoreció la fijación de ciertos tipos locales altamente consanguíneos.
Por el contrario, el tipo de cara limpia propiamente dicha es, según los especialistas, derivado de los cruces entre los llamados "clásicos" Berger des Pyrénées y los perros de los subpirenos. Charles Duconte, juez del SCC y experto en la raza, escribió además sobre este tema: "Existe en la región subpirenaica, y particularmente en Béarn, Bigorre y la cuenca Adour, una gran cantidad de perros ovejeros Su proximidad de hábitat, la trashumancia de ciertas manadas que acompañaban a los perros hacen que necesariamente haya uniones entre ellos y sus hermanos de la montaña. Esto resultó en general un perro más alto en las piernas, pelo medio largo en el cuerpo, al ras en la cabeza y las extremidades, cuya caja craneal, un poco más desarrollada, aún recuerda por su forma la de la montaña pura . Estos perros son, además, muy apreciados por los comerciantes de caballos y "batidores" que dirigen las ferias en la región. "
Muy apreciado por su habilidad para conducir ovejas y caballos, elogiado por los militares por los servicios que prestó en tiempo de guerra, el Pastor Pirenaico había adquirido títulos de nobleza que le permitieron comenzar un irresistible ascenso. . Ya en 1927, Dutrey de Rabastens le dedicó una notable tesis doctoral titulada La cuna de una raza canina: el perro ovejero pirenaico; Esta tesis inspirará más tarde a Duconte y Sabouraud en su libro The Pyrenean Dogs. El pequeño Pirineo estaba en lo sucesivo en el centro de las preocupaciones de distinguidos cinólogos.
Después de la Segunda Guerra Mundial, el desarrollo del turismo, que permitió a miles de ciudadanos conocer a este pequeño perro, aumentó aún más su popularidad, que se convirtió en internacional. El Pastor Pirenaico fue tal vez la última raza de pastores que descubrió el mundo de la comida canina, pero su notoriedad nunca debería ser cuestionada de nuevo. Tanto que hoy es un perro muy apreciado. Podríamos decir que el Pastor de los Pirineos goza de una reputación inversamente proporcional a su tamaño. La raza es de hecho unánimemente elogiada, y por los profesionales que eligieron hacerlo funcionar y por los individuos que la adoptaron como mascota. Es sobre todo un perro notablemente adaptado a la altitud. Su cuerpo está en un rectángulo, y su centro de gravedad, cerca del suelo, asegura la máxima estabilidad en las pendientes acentuadas. Él tiene un pie seco y una suela delgada, y sostiene la roca muy bien. Ligeramente hacia afuera, sus patas traseras le facilitan caminar en las montañas. Sus necesidades alimenticias razonables y su pequeño tamaño, que le impedían volcar una oveja empujándolo, lo hicieron una vez el auxiliar ideal para los pastores.
En el trabajo, su comportamiento refleja perfectamente sus dos cualidades esenciales: estado de alerta y alerta. Muy rápido, empuja a los rezagados con un golpe de hocico, hace que regresen al sonido aislado, la oscuridad frente a la manada para indicar a las ovejas o las ovejas la dirección a seguir. Pero cuando es necesario, también sabe cómo detener su pasión. En pasajes peligrosos, hábilmente, dirigirá a los animales uno por uno de forma vigilante para ponerlos en un lugar seguro.
Si hay un área donde el Pastor de los Pirineos supera al pastor, es en la búsqueda de un animal perdido. Una oveja está perdida. Precediendo al pastor, el pequeño Pirineo comienza su búsqueda, busca en las esquinas de más difícil acceso, explora la más mínima falla. Un sentido del deber que nos describe un pastor: "Durante el invierno, para el engorde de los jóvenes, solía llevar los corderos en una caja especial para darles una ración extra. Los corderos entendieron rápidamente el propósito de la maniobra y así facilitaron el trabajo. Willy, un pastor pirenaico, asistía regularmente a la operación, sentado cerca de la puerta. Uno habría jurado que contó los corderos de paso. Un día, cuando los corderos habían terminado de comer y habían dejado la caja, el perro fue, como solía hacer, a visitar el lugar del que provenían los pequeños y, presa del pánico, regresó inmediatamente con mi esposa, tratando de obligarlo a hacerlo. entiende que tienes que ir a ver. Ante su indiferencia, tiró de la parte inferior de su delantal. Mi esposa finalmente decidió darse cuenta en el acto y encontró un cordero atrapado detrás de una rejilla, sin aliento por haber luchado. Willy lamió la cabeza del pequeño animal por más de cinco minutos para consolarlo y lo acompañó a su madre. "
Otro pastor, Philippe Defrance, evoca a su vez las cualidades de los pequeños Pirineos: "Los reflejos del Pastor Pirenaico son incomparables y superiores a los de todas las demás razas de pastores. Su obediencia y fidelidad son notables. Su iniciativa, su juicio y su memoria nunca faltan tan pronto como es puesto a prueba. Su coraje es el resultado de su endurecimiento al sufrimiento. Los licios no son menos excelentes lácteos cuando encuentran en sus raciones los nutrientes necesarios. "
Muy exclusivo, el Pastor de los Pirineos tiende a conocer un solo maestro, al que permanecerá apasionadamente unido, apoyando todo de él si siente que es útil. Su vigilancia en el trabajo solo se corresponde con su desconfianza en casa. Su valentía es legendaria también. Incluso se dice que antes no dudó en atacar a los osos que se habrían acercado demasiado al rebaño de su amo. Muy luchador, el Pastor Pirenaico a menudo está en el origen de las peleas con otros perros. En estos momentos, muestra flexibilidad, rapidez, ofreciendo poco agarre a su adversario y, mediante una sucesión de esquivas diestras y ataques imprevistos, coloca unos buenos dientes. Es un atleta ligero, un luchador sin debilidad, características que a veces tendemos a olvidar cuando este perro vive en la ciudad.
Para preservar las cualidades del Pastor Pirenaico, los criadores y gestores del Club de la Reunión de amantes de los perros de los Pirineos han asumido, desde hace algunos años, el credo de todos los "bergérophiles": sin trabajo, sin salvación. Lo que significa, de una manera más explícita: el perro de las ovejas no puede ser eliminado de las funciones de un perro de trabajo que ha llenado durante muchos siglos sin correr a la degeneración del tipo. Con este fin, el pastor pirenaico, que, por razones económicas obvias, no tenía futuro en la conducción de ovejas, se ha reconvertido a nuevas tareas, reconversión que su versatilidad le ha permitido tener éxito por completo.
Sin dudar en morder si es necesario, el pequeño Pirineo se inició así en el papel de perro de la defensa y la policía. Si su tamaño le impide saltar tan alto como otros, su relajación no es menos que admirarlo. Se observó a un hombre herido en una pata anterior que cruzaba una pared de piedra de 1,70 metros y una cerca coronada por alambre de púas. Con tales posibilidades, el Pastor de los Pirineos fue llamado naturalmente a convertirse en guardián de los niños, especialmente porque sabe calmarse en presencia de un ser más débil, por lo general es tan exuberante.
Muy deportivo, apenas puede soportar estar confinado en un departamento, e incluso en un jardín si no tiene la oportunidad de correr en espacios más grandes. En su entorno natural, puede viajar de 15 a 40 kilómetros por día. Él necesita desesperadamente la presencia de su maestro; si tiene que quedarse solo demasiado seguido, y especialmente si se siente inútil, puede volverse hosco, incluso agresivo. Aparte de este caso, él no plantea ningún problema en particular, y, siempre que su educación haya sido firme pero justa y se haya dado entre dos y seis meses, puede ser llevado a todas partes.
Si se queda solo en casa o en un automóvil, el pastor pirenaico tenderá a ladrar. A veces embarazosa, esta propensión a hacer que su voz se escuche es parte de su personalidad, lo que nunca es bueno para molestar sistemáticamente. Debido a que ya no tiene que pasar en las laderas de los Pirineos, este perro sigue marcado hereditariamente por la vida de sus antepasados. Aunque su campo es cada vez más el de las grandes ciudades, necesita llevar una vida que le permita, diariamente, expresar su vitalidad e inteligencia.
Todo; o casi todos los propietarios de los pastores pirenaicos están seguros y orgullosos de tener un perro que no sea "como los demás". No son necesariamente incorrectos. Llamado en su región original "el perro que vio a Dios" debido a su aspecto expresivo que denota inteligencia y, a veces incluso exaltación, este montañista en el alma ha demostrado durante mucho tiempo que sabía cómo adaptarse a otros lugares, urbanos o rurales. |
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Pyreneese herdershond langhaar FCI standaard nr. 141
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Land van oorsprong
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Frankrijk |
Groep
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Groep 1 Herdershonden en veedrijvers (uitgezonderd Zwitserse berg en sennenhonden) |
Sectie
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Sectie 1 Herdershonden |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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vrijdag 28 januari 1955 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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donderdag 26 maart 2009 |
Laatste update
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maandag 25 mei 2009 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à poil long |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog long haired |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Langhaariger Pyrenäen schäferhund |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de pelo largo |
Gebruik
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Herdershond, in gebruik op boerderijen en op de Pyreneese weiden. |
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Kort historisch overzicht
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Het ras is van nederige komaf en was tot het begin van de twintigste eeuw nauwelijks bekend in de officiële kynologie. De verschijningsvormen die in de diverse dalen voorkomen, lopen behoorlijk uiteen: de grootte, de vacht, die zijn soms erg verschillend, maar in karakter en gedrag bestaat geen verschil. Tussen 1921 en 1925 werd door Dhr. Bernard Sénac-Lagrange de eerste officiële standaard samengesteld. Deze standaard werd veranderd, eerst onder zijn voorzitterschap, daarna onder de voorzitterschappen van Dhr. Charles Duconte (1954-1986), van Dhr. Guy Jean Mansencal (1986-2000) en van Dhr. Alain Pécoult (2000-...) in nauwe samenwerking met Dhr. Raymond Triquet sinds 2001. |
Algemeen totaalbeeld
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Een hond, die bij een minimum aan hoogte en gewicht blijk geeft van een maximale spanning. Door zijn uiterlijk van voortdurende waakzaamheid, zijn slimheid en wantrouwen, in combinatie met zijn levendige manier van bewegen, is de hond zo karakteristiek, dat hij niet met andere honden te vergelijken is. |
Belangrijke verhoudingen
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• De schedel is ongeveer even lang als breed. • De snuit is korter dan de schedel, de verhouding is voorsnuit 2, schedel 3. • De lichaamslengte is groter dan de schofthoogte. • De afstand van de elleboog tot de bodem bedraagt meer dan de helft van de schofthoogte. |
Gedrag en karakter (aard)
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Het is een kleine moedige hond, zelfredzaam, in staat zelf initiatieven te nemen en volledig toegewijd aan zijn baas. Hij is eigenzinnig van aard en over het algemeen is een energieke aanpak nodig om zijn energie in goede banen te leiden en het beste uit zijn intelligentie en levendigheid te halen. Tegenover vreemden is hij vaak wantrouwend. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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In zijn algemene vorm is het hoofd driehoekig. |
Schedel
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De matig ontwikkelde schedel, vrijwel vlak met een lichte groef in het midden, gaat harmonieus afgerond in de zijkanten over en heeft een weinig geprononceerde achterhoofdsknobbel. Hij is vrijwel even lang als breed. Het voorste deel gaat zacht glooiend over in de snuit. |
Stop
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De stop is nauwelijks zichtbaar (glijdend). |
Facial region
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Neus
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Zij is zwart. |
Voorsnuit
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De snuit is recht, wat korter dan de schedel, wigvormig, maar het uiteinde mag niet spits zijn. |
Lippen
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Deze zijn niet erg dik; ze bedekken de onderkaak volkomen zonder dat de mond zichtbaar is. De randen van de lippen en het gehemelte zijn zwart of overwegend zwart getekend. |
Kiezen / tanden
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Het gebit moet compleet zijn. De hoektanden zijn sterk ontwikkeld. Boven- en ondergebit zijn scharend (de snijtanden boven bedekken de snijtanden onder doch blijven ermee in contact). Een tanggebit (waarbij de snijtanden boven op de snijtanden onder staan) is toegestaan. |
Ogen
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De ogen zijn expressief, enigszins amandelvormig en hebben een donkerbruine kleur. Ze mogen noch uitpuilen noch te diep liggen. Glasogen zijn toegestaan bij honden met een blauwe vacht met zwart gemengd (harlekijn of leigrijs), waarvan ze bijna altijd een kenmerk zijn. De oogleden zijn zwart omrand, ongeacht de kleur van de vacht. |
Oren
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De oren moeten tamelijk kort zijn, matig breed bij de aanzet, ze mogen noch te dicht bij elkaar geplaatst zijn, bovenop de schedel noch te wijd uiteen staan. Ze zijn driehoekig, dun en eindigen in een punt, vallend, vlak, zeer beweeglijk. Als de hond attent is, gezien van de voorkant, trekt de bovenste zijde van de oren enigszins de transversale lijn van de schedel door. Ze kunnen ook gedeeltelijk staan: in dat geval, moet hun onderste deel staan en beweeglijk zijn, ideaal zijn oren waarvan het bovenste deel voor een derde of de helft naar voren of opzij valt, op voor beide oren symmetrische wijze. |
Hals
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De hals is eerder lang, tamelijk gespierd, goed vrij van de schouders. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Het skelet is stevig, maar niet zwaar, de bespiering is droog. |
Bovenprofiel
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Heeft een goede gespannen bovenbelijning. |
Schoft
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Komt duidelijk uit. |
Rug
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De rug is tamelijk lang en stevig. |
Lendenpartij
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De lendenen zijn kort en licht gewelfd, dit lijkt des te meer zo, omdat de vacht van de hond op de achterhand en op het kruis vaak rijkelijker is. |
Croupe
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Het kruis is eerder kort en ligt tamelijk schuin. |
Borst
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De borst is matig ontwikkeld, ze reikt tot de elleboog. |
Ribben
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De ribben zijn licht gewelfd. |
Flank
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De flank reikt niet ver omlaag. |
Staart
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De staart is niet erg lang, eerder laag aangezet en vormt een haak aan het uiteinde, de staart is goed bevederd. Als de hond attent is, mag de staart in het algemeen nauwelijks boven de ruglijn uitkomen, echter kan deze in een krul naar voren komen. In landen waar couperen door de wet niet verboden is, zijn sommige exemplaren gecoupeerd. Rudimentaire staart toegestaan. |
Voorhand
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Algemeen
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Deze zijn recht, droog, krachtig, en goed bevederd. |
Schouders
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De schouder is tamelijk lang, en ligt middelmatig schuin. |
Opperarm
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Deze ligt schuin en heeft een gemiddelde lengte. |
Onderarm
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De onderarm is recht. |
Voorvoetwortelgewricht
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Het gewricht van de pols is duidelijk geprononceerd. |
Voormiddenvoet
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Deze zijn licht schuin geplaatst, en profiel gezien. |
Voorvoeten
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De voet is droog, tamelijk vlak, met een duidelijk ovale vorm. De zooltjes zijn donker. De nagels, klein en hard, zijn bedekt door de vacht, die men ook aantreft onder de voet, tussen de voetkussentjes. |
Achterhand
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Algemeen
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De hoekingen zijn tamelijk gesloten. Honden met halflange vacht hebben ledematen zonder bevedering. |
Dijbeen
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Deze is niet heel lang en ligt matig schuin, goed gespierd, bevleesd. |
Onderbeen
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Dit is tamelijk lang en schuin geplaatst. |
Knie
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De knie is goed gehoekt, in de richting van de lichaamsas. |
Achtermiddenvoet
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Verticaal geplaatst of iets schuin naar voren. |
Spronggewricht
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De sprong is droog, laag geplaatst, goed gehoekt. De sprongen zijn soms wat nauw. |
Achtervoeten
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De voet is droog, tamelijk vlak, met een duidelijk ovale vorm. De zooltjes zijn donker. De nagels, klein en hard, zijn bedekt door de vacht, die men ook aantreft onder de voet, tussen de voetkussentjes. De achterpoten kunnen al dan niet enkele of dubbele hubertusklauwen hebben. |
Gangwerk
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In stap heeft de Pyreneese herder een tamelijk ingehouden gang. De draf, die door de Pyreneese herder wordt verkozen, moet vrij en krachtig zijn. Bij de korte draf wordt het hoofd iets hoog gedragen; bij de langgestrekte draf ligt het hoofd in het verlengde van de ruglijn. De voeten worden nooit sterk opgeheven, de beweging is vloeiend, de hond scheert over de grond. |
Huid
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De huid is fijn, vaak gemarmerd met donkere vlekken, ongeacht de kleur van de vacht. |
Coat
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Haarkwaliteit
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De lange of halflange, maar altijd rijkelijke beharing is vrijwel vlak of licht golvend, rijkelijker en wolliger op de kroep en op de dijen, de structuur houdt het midden tussen geitenhaar en schapenwol. De mengeling van droog haar en wollig haar veroorzaakt bij bepaalde honden strengetjes of koorden die "cadenettes" genoemd worden, en soms platen of "matelotes", die dakpansgewijs de kroep en de dijen bedekken. Men kan de "cadenettes" zelfs op de borst aantreffen en op de voorste ledematen ter hoogte van de ellebogen. De snuit heeft een kortere en minder rijke beharing. Aan het eind van de snuit, en soms op de hele snuit ligt het haar naar achteren, het is van voor naar achteren ingeplant. Aan de zijkanten, evenals op de wangen, is het haar langer en ziet het eruit alsof het "en coup de vent" (door een windvlaag) van voren naar achteren is weggestreken. De ogen moeten goed zichtbaar zijn en mogen niet door de beharing bedekt worden. |
Haarkleur
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Meer of minder donker fauve met of zonder menging van zwarte haren en soms wat wit aan borst en poten; donker of lichter grijs, met vaak wat wit aan hoofd, borst en ledematen; blauw met zwart gemengd (harlekijn of Leiblauw). Er komen ook gestroomde en zwarte vachten voor, of zwarte vachten met witte aftekeningen (beperkte aftekeningen). Zuivere vachtkleuren hebben de voorkeur. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Reuen van 42 tot 48 cm, teven van 40 tot 46 cm. Voor exemplaren die van een uitmuntend type zijn wordt tot 2 cm. schouderhoogte meer getolereerd. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Zware defecten
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Zware hond, zonder levendigheid.
Spitsboogvormige schedel.
Gewelfd voorhoofd.
Een stop die te sterk gemarkeerd is.
Een stop die ontbreekt.
Snuit vierkant of rechthoekig.
Pigmentgebrek op de neus of de lippen.
Te lichte ogen of ogen met een verwilderde blik.
Pigmentgebrek op de oogleden.
Staart in krul op of boven de lendenen gedragen "eekhoorntjesstaart" (over de rug horizontaal omgebogen).
Samengegroeide wervels.
Te overvloedig op het hoofd, vooral als de ogen bedekt worden en als de beharing van de snuit er griffonachtig door wordt.
Slechte structuur, te zachte vacht, draadharig, een vacht met krullen of gekroesd haar.
Een vacht die niet dicht of dik genoeg is.
Witte aftekeningen die meer dan 1/3 van de vacht beslaan.
Een harlekijnvacht waarbij het contrast tussen grijs en zwart ontbreekt of waarin zwemen van fauve te zien zijn.
Een te verbleekte vacht.
Een zwarte vacht met rode aftekeningen aan hoofd en ledematen (zwart met fauve aftekeningen). |
Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of bang.
Neus en oogleden van een andere kleur dan absoluut zwart.
Ondervoorbijter of bovenvoorbijter, of alle misvormingen van de kaken.
Afwezigheid van meer dan 2 tanden, PM1 tanden niet betrokken.
De aanwezigheid van de hoektanden en van de scheurkiezen verplicht.
Natuurlijke oren die staand gedragen worden.
Glasogen bij alle honden die geen harlekijnvacht of leigrijze vacht hebben.
Vlekken door pigmentgebrek op de oogleden.
Lichte gele ogen.
Slappe staart die verticaal valt.
Beharing gekruld.
Witte vacht of een kleur die niet in de standaard is aangegeven.
Aftekeningen die meer dan 1/3 van de vacht bij zwarte honden beslaan.
Afmetingen die buiten de toegestane maten vallen. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Paradoxale bestemming als die van de Herder van de Pyreneeën, aangezien deze hond, nog zeer oud, een van de herders van het ras was die later door Fransen werd herkend, zeker na de Briard of Beauceron in het bijzonder, hoewel het uiterlijk ervan, in tegenstelling tot dat van zijn rivalen waren in de loop van de eeuwen heel weinig veranderd.
Volgens de meest recente studies zouden de huidige Pyreneese herders voor hun voorouders kleine kuddehonden hebben, zelf van de Tibetaanse Terriërs die, samen met grotere honden afstammelingen van de Tibetaanse Mastiff, de Aziatische hordes hadden vergezeld. tijdens de grote invasies van de vierde eeuw. Toen de westwaartse opmars van de legers van Attila en Genghis Khan, Mastiffs en Terriers of Tibet, naar verluidt werden gekruist met inheemse stompen om de voorouders van de Nizinny, Tatra Shepherds en andere wit geklede mastiffs en, aan de andere kant, die van de Catalaanse herders (Gos d'Atura) en de Pyrenese herders.
Dit proefschrift, ongetwijfeld het meest overtuigend dat is uitgegeven over de vraag, vernietigt tegelijkertijd veel van de theorieën die eerder werden ondersteund door bepaalde specialisten voor wie de Pyreneese herder een afstammeling van de Berger de Brie zou zijn. Als deze races duidelijk een bepaald aantal punten gemeen hebben, al was het alleen maar omdat ze beiden herderinnen zijn, is het hoogst onwaarschijnlijk dat ze ooit de gelegenheid hebben gehad elkaar te ontmoeten op momenten dat het communicatiemiddel niet erg ontwikkeld maakte elke provincie, vooral toen het bergachtig was, een echt "continentaal eiland".
En zelfs in de veronderstelling dat dergelijke genetische "infusies" kunnen hebben plaatsgevonden tussen een hond die alleen bekend is in de zuidwestelijke wijk van Frankrijk en een andere die wijdverspreid is, vooral in de vlaktes van het noorden van het land, is het moeilijk te zien hoe de Briard zou kunnen hebben om de kleine Pyreneeën te baren, terwijl de laatste, volgens de mondelinge traditie van zijn thuisland, veel eerder is dan zijn veronderstelde voorouder.
Als klap op de vuurpijl en om de publieke opinie te verstoren, gingen enkele cynologen van de late negentiende eeuw zo ver dat ze beweerden dat de Pyreneese herder en de Pyreneese berghond een en dezelfde waren. ras, terwijl alles onze lichte atleet onderscheidt van zijn vriend, een waardige vertegenwoordiger van een andere groep, ook erg oud, die van molossoïden. De oorsprong van deze opeenvolgende verwarringen is waarschijnlijk te vinden in de fouten van oude auteurs, meestal beter geïnspireerd, wiens werk aan de Berger des Pyrénées, vaak uitgevoerd vanuit informatie die niet is gecontroleerd of geverifieerd in het veld, meer is voortgekomen uit de verbeelding dan wetenschappelijke waarneming. Aldus hebben beroemdheden zoals Brehm in Duitsland, Reul in België, de graaf van Bylandt in Nederland in hun respectievelijke werken een Pyreneese herder opgeroepen met de grens van fantasie, in elk geval heel verschillend van het echte onderwerp. Wees getuige van deze voorlopige ontwerpnorm die door de graaf van Bylandt in 1897 werd voorgesteld in zijn boek De hondenrassen, en die een hond beschreef met haar borstelig en halflang, met een kleine gebogen schedel, lange snuit, kleine oren, ogen soms versmald en lang gebouwd, of dit citaat uit de Duitse Brehm, dat een hond oproept met bijna harde haren, krullend als ze jong zijn, wit gekleurd met grote zwarte platen, lang, kort en gespierd, met de vingers zijn breedvliezen, het hoofd breed en ontwikkeld, de oren vrij spits en hangend, de snuit lange, vierkante en grote blauwe ogen springen in het oog door intelligentie, zachtheid, onverschrokkenheid te benadrukken.
Dichter bij het onderwerp en zichtbaar beter geïnformeerd, beeldde Pierre Mégnin van zijn kant het portret van de Pyreneese herder af: "Het is een Griffon wiens hoofd niet erg vol haren is; hij heeft nauwelijks een paar lange haren op zijn wenkbrauwen, maar hij heeft noch snor noch uitgesproken sik. Het is aan de achterkant dat het haar zich heeft opgehoopt. Daar heeft hij stevig slipje en op de dijen een dikke matras. De leden zijn bijna gelijk. De voeten zijn erg verspreid en herinneren de poot van de beer. De oren zijn recht in plaats van liggen. Wat betreft de kleur, het is niet wit met grote zwarte platen, maar zilvergrijs met de genoemde zwarte vlekken, met of zonder vuur op de benen, een kleur die vulgair Deens wordt genoemd. De ogen zijn vaak minnows, dat wil zeggen met een lichtblauwe iris. "
Ondanks de interesse die Franse en buitenlandse honden begonnen te brengen aan de herder van de Pyreneeën, duurde het tot de eerste wereldoorlog dat deze hond echt uit de schaduw tevoorschijn kwam. In 1916 stelde sub-luitenant Paul Mégnin, commandant Malric en dierenarts Hérout, die onder zijn verantwoordelijkheid voor de dienst des chiens de guerre was geweest, het Franse personeel voor dat de Pyreneese herder als een verbindingshond zou worden gebruikt. patrouille officier. Het idee werd onmiddellijk aangenomen door de militaire functionarissen, en de dienst van de honden van oorlog gestuurd naar de Pyrenese regio Théodore Dretzen, een kenner van het ras, om zoveel mogelijk onderwerpen te rekruteren. Kleiner dan veel andere herdersrassen, zouden de Pyreneanen weldra waardevolle assistenten worden voor de geallieerde infanteristen. Getuige deze waardering van J. Dhers later gepubliceerd in de kolommen van L'Eleveur, een krant die hij ondertussen medewerker was geworden: "In mijn hoedanigheid als voormalig trainingsofficier van de Dienst van de honden van oorlog, is het mijn plicht om hardop te verkondigen dat het de race is van de kleine Pyreneese herder die het leger heeft voorzien van de meest intelligente, sluwste, de snelste en de meest vaardige verbindingshonden. "
Deze welsprekende dienstbetuigingen zouden bijdragen aan de faam van de Pyreneese herder in de onmiddellijke naoorlogse periode, culminerend in de creatie in 1923; onder leiding van Bernard Senac-Lagrange, aan wie we een grondige studie van zijn raciale karakters en enkele Pyrenese honden te danken hebben; van de Ontmoeting van hondenliefhebbers uit de Pyreneeën. Deze club had een standaard opgesteld, niets was nu tegengesteld aan de erkenning van de Herder van de Pyreneeën door de Centrale Hondenmaatschappij en het Ministerie van Landbouw, erkenning die tussenbeide kwam in 1926. Deze hond kon dus deelnemen, dezelfde andere herdersrassen zoals Beauceron en Briard op de Centrale Algemene Agrarische Wedstrijd.
Een zeldzaamheid in de annalen van de hondenfokkerij, de redactie van de standaard had zorgvuldig twee soorten Pyreneese herders onderscheiden: een waarvan het hoofd in zijn algemene vorm doet denken aan de bruine beer, met de snuit gevormd hoek, de andere met een schoon gezicht en iets korter haar op het lichaam; ze hadden bovendien een verschil van tien centimeter in de grootte van de onderwerpen toegegeven. Veel amateurs waren verrast, vooral J. Dhers, aan het einde van de vorige eeuw, die deze bijzonderheid verklaarde door de hierboven genoemde continentale insulariteit, en die schreef: "Hoewel de race heel duidelijk is vastgesteld en gedefinieerd we zien in onze bergen dat de typen enigszins variëren van vallei tot vallei. De standaard blijft hetzelfde, maar sommige kleine details ontsnappen niet aan de bergcynofielen. Dit is hoe Arbazzie's hond het modeltype van de standaard zou zijn. De kleine hond Saint-Beat is vlezig, met een ronde kop. Lijkt op een miniatuur Bobtail. De herder van Azun, altijd zwart, lijkt een verkleinwoord van het Groenendael.
Deze morfologische verschillen worden hoofdzakelijk verklaard door geografische redenen, en vooral door de moeilijkheden van communicatie tussen de polen van habitat op hoogte, die de bevestiging van bepaalde lokale soorten zeer consanguineous bevorderden.
Omgekeerd is het eigenlijke type schoon gezicht volgens specialisten afgeleid van kruisen tussen de zogenaamde "klassieke" Berger des Pyrénées en honden van subpyrenees. Charles Duconte, rechter van de SCC en eindkenner van het ras, schreef verder over dit onderwerp: "Er bestaat in de sub-Pyrenese regio, en in het bijzonder in Béarn, de Bigorre en het Adour-bekken, een grote aantal schapenhonden. Hun nabijheid van leefgebied, de transhumance van bepaalde kuddes die de honden vergezelden, maken dat er noodzakelijkerwijs bonden waren tussen hen en hun bergbroeders. Dit resulteerde in het algemeen in een hond hoger op poten, halflang haar op het lichaam, gelijk op het hoofd en ledematen, waarvan de craniale box een beetje meer ontwikkeld is, maar herinnert aan zijn vorm die van pure berg . Deze honden worden bovendien zeer gewaardeerd door de paardenhandelaren en "kloppers" die de beurzen in de regio runnen. "
Hoog gewaardeerd om zijn vermogen om schapen en paarden te drijven, geprezen door het leger voor de diensten die hij had geleverd in tijden van oorlog, had de Pyreneese herder titels van adel gekregen die hem in staat stelden een onweerstaanbare opkomst te beginnen . Al in 1927 wijdde Dutrey de Rabastens hem een opmerkelijke proefschrift getiteld The Cradle of a Canine Race: de Pyrenese herdershond; dit proefschrift zal later Duconte en Sabouraud inspireren voor hun boek Pyrenese honden. De kleine Pyreneeën vormden voortaan het hart van de zorgen van vooraanstaande cynologen.
Na de Tweede Wereldoorlog nam de ontwikkeling van het toerisme, waardoor duizenden stedelingen kennis konden maken met deze kleine hond, de populariteit ervan verder op, die internationaal werd. De Pyreneese herder was misschien wel de laatste herdervlucht die de wereld van het hondeneten ontdekte, maar de bekendheid ervan mag nooit opnieuw ter discussie worden gesteld. Zozeer zelfs dat hij vandaag een zeer gewaardeerde hond is. We zouden kunnen zeggen dat de Pyreneese herder een reputatie heeft die omgekeerd evenredig is aan zijn grootte. Het ras wordt inderdaad unaniem geprezen, en door de professionals die ervoor kozen om het te laten werken en door de personen die het als een hond hebben geadopteerd. Het is vooral een hond die opmerkelijk is aangepast aan de hoogte. Zijn lichaam bevindt zich in een rechthoek, en zijn zwaartepunt, dicht bij de grond, zorgt voor maximale stabiliteit in de geaccentueerde hellingen. Hij heeft een droge voet en een magere zool en houdt de rots heel goed vast. Lichtjes naar buiten gekeerd, maken haar achterpoten het gemakkelijker voor haar om in de bergen te lopen. Zijn redelijke voedselbehoeften en kleine omvang, die hem verhinderden om een schaap omver te werpen door hem te verdringen, maakten hem ooit de ideale hulp voor herders.
Op het werk weerspiegelt zijn gedrag perfect zijn twee essentiële eigenschappen: alertheid en alertheid. Zeer snel, duwt hij de achterblijvers met een snuit van de snuit, keert terug in de rij de geïsoleerde duisternis voor de kudde om de schapen of de schapen de richting aan te geven die moet volgen. Maar waar nodig, weet hij ook hoe hij zijn passie moet stoppen. In gevaarlijke passages, behendig, zal hij de dieren één voor één op een waakzame manier leiden om ze op een veilige plaats te zetten.
Als er een gebied is waar de Herder van de Pyreneeën de herder zelf overtreft, is het op zoek naar een verloren dier. Er ontbreekt een schaap. Voorafgaand aan de herder begint de kleine Pyreneeën zijn zoektocht, doorzoekt de moeilijkst bereikbare hoeken, onderzoekt de minste fout. Een plichtsgevoel dat ons door een herder is beschreven: "Tijdens de winter, voor het mesten van de jongen, reed ik de lammeren in een speciale doos om ze een extra rantsoen te geven. De lammeren begrepen snel het doel van de manoeuvre en maakten het werk dus gemakkelijker. Willy, een Pyreneese herder, woonde regelmatig de operatie bij, zittend bij de deur. Men zou gezworen hebben dat hij de lammeren terloops telde. Op een dag, toen de lammeren klaar waren met eten en de kist hadden verlaten, ging de hond, zoals hij gewoonlijk deed, naar de plaats waar de kleintjes vandaan kwamen en raakte in paniek onmiddellijk naar mijn vrouw terug, in een poging hem te maken begrijp dat je moet gaan kijken. Voor zijn onverschilligheid trok hij de bodem van zijn schort. Mijn vrouw besloot uiteindelijk ter plekke te beseffen dat er achter een rek een lam zat vastgelopen, zonder adem te hebben gekregen. Willy likte het hoofd van het diertje langer dan vijf minuten om hem te troosten en vergezelde hem naar zijn moeder. "
Een andere herder, Philippe Defrance, roept op zijn beurt de kwaliteiten van de kleine Pyreneeën op: "De reflexen van de Pyreneese herder zijn onvergelijkbaar en superieur aan die van alle andere herdervluchten. Zijn gehoorzaamheid en trouw zijn opmerkelijk. Zijn initiatief, zijn oordeel en zijn geheugen ontbreken nooit zodra hij op de proef wordt gesteld. Zijn moed komt voort uit zijn verharding tot lijden. De luizen zijn niet minder uitstekende zuivelproducten wanneer ze in hun rantsoenen de noodzakelijke voedingsstoffen vinden. "
Heel exclusief, de Pyreneese Herder heeft de neiging om slechts één meester te kennen, waaraan hij hartstochtelijk gehecht zal blijven, en die alles van hem steunt als hij vindt dat het nuttig is. Zijn waakzaamheid op het werk wordt alleen geëvenaard door zijn wantrouwen thuis. Zijn dapperheid is ook legendarisch. Er wordt zelfs gezegd dat hij vroeger niet aarzelde om de beren aan te vallen, die een beetje te dichtbij de kudde van zijn meester zouden hebben benaderd. Nogal een vechter, de Pyreneese herder is vaak de oorzaak van gevechten met andere honden. Op deze momenten toont hij flexibiliteit, snelheid en biedt hij zijn tegenstander maar weinig houvast, en door een opeenvolging van bekwame bewegingen en onvoorziene aanvallen plaatst hij een paar goede tanden. Hij is een lichte atleet, een jager zonder zwakte, eigenschappen die we soms neigen te vergeten wanneer deze hond in de stad woont.
Om de kwaliteiten van de Pyreneese herder te behouden, hebben de fokkers en managers van de reünieclub van hondenliefhebbers in de Pyreneeën sinds enkele jaren het credo van alle "bergérophiles" overgenomen: zonder werk, zonder behoud. Dat betekent, op een meer expliciete manier: de hond van schapen kan niet worden verwijderd uit de functies van een werkhond die hij vele eeuwen heeft gevuld zonder naar de degeneratie van het type te rennen. Te dien einde is de Pyreneese herder, die om voor de hand liggende economische redenen geen toekomst had in het drijven van schapen, teruggekeerd naar nieuwe taken, reconversie die hem door zijn veelzijdigheid volledig heeft kunnen slagen.
Niet aarzelend om te bijten indien nodig, werd de kleine Pyreneeën dus ingewijd in de rol van hond van defensie en politie. Als de grootte ervan voorkomt dat hij zo hoog springt als sommige anderen, bewondert zijn ontspanning niet minder dan bewondering. Een gewonde man werd gezien op een voorste klauw door een stenen muur van 1,70 meter en een hek met prikkeldraad erboven. Met dergelijke mogelijkheden, werd de Pyreneese herder natuurlijk geroepen om een bewaker van kinderen te worden, vooral omdat hij weet hoe kalm te zijn in aanwezigheid van een zwakker, hij is meestal zo uitbundig.
Zeer sportief, hij kan het nauwelijks verdragen zich te beperken tot een appartement, en zelfs in een tuin als hij niet de mogelijkheid heeft om op grotere plaatsen te rennen. In zijn natuurlijke omgeving kan hij reizen van 15 tot 40 kilometer per dag. Hij heeft de aanwezigheid van zijn meester dringend nodig; als hij te vaak alleen moet blijven, en vooral als hij zich nutteloos voelt, kan hij nors worden, zelfs agressief. Afgezien van deze zaak stelt hij geen specifieke problemen en, mits zijn opleiding stevig maar eerlijk is en tussen twee en zes maanden gegeven, kan hij overal worden meegenomen.
Alleen gelaten thuis of in een auto, zal de Pyreneese herder neigen te blaffen. Soms beschamend, is deze geneigdheid om zijn stem te laten horen deel van zijn persoonlijkheid, wat nooit goed is om systematisch te ergeren. Huisdier, omdat hij niet langer op de hellingen van de Pyreneeën hoeft te spenderen, deze hond blijft erfelijk getekend door het leven van zijn voorouders. Hoewel zijn vakgebied steeds meer die van grote steden is, moet hij een leven leiden dat hem dagelijks zijn vitaliteit en intelligentie kan laten uiten.
alle; of bijna alle eigenaren van Pyreneese herders zijn er zeker van en trots op een hond die niet "is zoals de anderen". Ze zijn niet per se verkeerd. Genaamd in zijn oorspronkelijke regio "de hond die God zag" vanwege zijn expressieve blik die duidt op intelligentie en soms zelfs op verhoging, heeft deze bergbeklimmer in de ziel al lang bewezen dat hij wist hoe hij zich moest aanpassen aan andere plaatsen, stedelijk of landelijk. |