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Dobermann

Standard FCI Nº 143

Origine
Allemagne
Traduction
Prof. R. Triquet et Dr. J-M. Paschoud
Groupe
Groupe 2 Chiens de type Pinscher et Schnauzer - Molossoïdes - Chiens de montagne et de bouvier suisse
Section
Section 1.1 Pinscher et Schnauzer
Epreuve
Avec épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
samedi 01 janvier 1955
Publication du standard officiel en vigueur
vendredi 13 novembre 2015
Dernière mise à jour
vendredi 30 septembre 2016
In English, this breed is said
Dobermann
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Dobermann
En español, esta raza se dice
Dobermann
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Dobermann

Utilisation

Chien d’accompagnement, de protection et d’utilité.

Bref aperçu historique

Le Dobermann est la seule race en Allemagne à porter le nom de son célèbre premier éleveur Frédéric Louis Dobermann (2.1.1834 – 9.6.1894).
Selon la tradition, il était recouvreur d’impôts, gérant d’un équarissage et accessoirement employé municipal légalement patenté pour le ramassage des chiens errants. Pour son élevage, il choisissait dans ce stock des chiens spécialement mordants. Dans la genèse de la race Dobermann, ce sont certainement des chiens appelés « chiens de boucher » qui ont joué un rôle prépondérant, chiens qui, dans les circonstances de l’époque, peuvent être considérés comme une « race » relativement bien établie. Ces chiens, en partie les ancêtres des actuels Rottweiler, ont été croisés avec une sorte de chien de berger à la robe noir et feu qui existait en Thüringe. C’est par de tels croisements que Dobermann a élevé des chiens dans le courant des années 70 du siècle dernier. Il obtint ainsi « sa race », un chien d’utilité non seulement vigilant, mais aussi un « chien de ferme et un chien de protection des biens particulièrement résolu face à l’homme. » Ils furent souvent employés comme chiens de garde et de protection des troupeaux et comme chiens de police. Leur utilisation fréquente au service de la police leur valut le surnom de « chien de gendarme ». A la chasse, on les utilisait pour combattre les prédateurs. Dans ces conditions, il était presque inévitable que dès le début de ce siècle, le Dobermann fût officiellement reconnu comme chien de police.
L’élevage du Dobermann recherche un chien de taille moyenne, construit en force, musclé, qui, malgré toute sa substance, se distingue par une silhouette pleine d’élegance et de distinction. Il doit avoir toutes les qualités du chien de compagnie, de protection, d’utilité et de famille.

Aspect général

Le Dobermann est de taille moyenne, construit en force et bien musclé. Par ses lignes élégantes, sa fière prestance, son caractère bien trempé et son expression résolue, il correspond à l’image idéale du chien.

Proportions importantes

Le Dobermann, surtout le mâle, est pratiquement inscriptible dans un carré. Chez le mâle, la longueur du tronc (mesurée de la pointe de l’épaule à la pointe de la fesse), ne doit pas dépasser de plus de 5% (chez la femelle pas plus de 10%) la hauteur au garrot.

Comportement / caractère

Le Dobermann est fondamentalement aimable et pacifique ; dans le cadre familial, il est très attaché et gentil avec les enfants. On recherche un tempérament et un mordant d’intensité moyenne tout comme un seuil absolu de réponse moyen. Facile à éduquer et plein de zèle au travail, le Dobermann doit être efficace, courageux et d’un caractère bien trempé. Etant donné qu’il est très attentif à ce qui se passe autour de lui, son attention étant adaptée aux circonstances, on apprécie qu’il soit sûr de lui et impavide.

Tête

Région crânienne

Crâne
Le crâne est fort et en harmonie avec l’ensemble du chien ; vu de dessus il a la forme d’un coin tronqué. Vu de devant, la ligne transversale du sommet du crâne doit être presque horizontale et ne pas descendre sur le côté vers les oreilles. Le profil du chanfrein est prolongé presque en ligne droite par celui du crâne qui ensuite descend vers la nuque en formant un léger arrondi. Les arcades sourcilières sont bien développées sans être proéminentes. Les sillon médio-frontal est encore visible. L’os occipital ne doit pas être trop visible. Vu de devant et de dessus, les faces latérales du crâne ne doivent pas donner l’impression d’être saillantes (joufflues). La légère courbure latérale du maxillaire et des os zygomatiques doit s’accorder harmonieusement avec la longueur du crâne. Les muscles sont fortement développés. 
Stop
La dépression crânio-faciale est peu développée, mais parfaitement perceptible.

Région faciale

Truffe
Bien développée, plus large que ronde avec de grandes narines, sans être proéminente dans son ensemble. Chez les chiens noirs elle est de couleur noire, chez les chiens marron elle est d’un ton plus clair correspondant.
Museau
Bien proportionné par rapport au crâne et fortement développé, le museau est haut. La fente buccale doit aller jusqu’au niveau des molaires. Au niveau des incisives supérieures et inférieures, le museau doit aussi présenter une bonne largeur.
Lèvres
Elles doivent être fermes et lisses, bien appliquées sur les mâchoires et assurer une fermeture parfaite de la gueule. Pigmentation foncée ; chez les chiens marron d’un ton quelque peu plus claire.
Mâchoires et dents
Les mâchoires supérieures et inférieures sont puissantes et larges. Articulé en ciseaux avec 42 dents correspondant à la formule dentaire, d’un développement normal.
Yeux
De grandeur moyenne, ovales, de couleur foncée. Chez les chiens marron une couleur d’un ton quelque peu plus clair est admise. Les paupières épousent bien la forme du globe oculaire. Bord des paupières fourni de cils.
Oreilles
Attachées haut et coupées à une longueur bien proportionnée à la tête, elles sont portées dressées. Dans les pays où la coupe des oreilles est prohibée, l’oreille non coupée est de même valeur pour le jugement que l’oreille coupée (on recherche une oreille de grandeur moyenne dont le bord antérieur est bien accolé à la joue).

Cou

D’une longueur bien proportionnée au corps et à la tête, il est sec et bien musclé. Son profil ascendant dessine une arcure élégante. Son port est relevé et distingué.

Corps

Garrot
Surtout chez les mâles, il doit être nettement sorti ; sa hauteur et sa longueur déterminent la ligne de dessus qui est ascendante à partir de la croupe.
Dos
Solide et court, de bonne longueur et bien musclé.
Rein
De bonne longueur et bien musclé. La chienne peut avoir un rein un peu plus long pour faire place aux mamelles.
Croupe
A partir du sacrum en direction de la racine de la queue elle n’est que très peu, presque imperceptiblement inclinée ; d’un aspect bien arrondi, elle n’est ainsi ni horizontale ni visiblement tombante. De bonne largeur avec une musculature puissante.
Poitrine
La hauteur et la longueur de la poitrine doivent être bien proportionnées à la longueur du tronc ; avec ses côtes légèrement cintrées, sa hauteur doit atteindre à peu près la moitié de la taille mesurée au garrot. Elle est d’une bonne largeur et particulièrement bien développée vers l’avant (poitrail).
Ligne du dessous
Depuis l’extrémité postérieure du sternum jusqu’au bassin le ventre est nettement relevé.

Queue

Attachée haut, elle est courte, étant coupée de manière à maintenir d’une façon apparente deux vertèbres caudales. Dans les pays, où la loi proscrit la caudectomie, la queue naturelle peut être conservée.

Membres

Membres antérieurs

Généralités
Dans leur ensemble, les antérieurs, vus de tous côtés, sont presque droits et perpendiculaires au sol ; ils sont de forte constitution.
Epaules
L’omoplate, fermement appliquée sur le thorax, bien musclée des deux côtés de l’épine scapulaire, domine les apophyses épineuses des vertèbres dorsales. Aussi oblique que possible et bien dirigée vers l’arrière, elle fait par rapport à l’horizontale un angle d’environ 50°.
Bras
De bonne longueur et bien musclé. L’angle scapulo-huméral varie entre 105° et 110°.
Coudes
Bien appliqués au corps, pas tournés en dehors.
Avant-bras
Fort et droit, bien musclé. Sa longueur est en harmonie avec l’ensemble du corps.
Carpe
Solide.
Métacarpe
Ossature solide ; vu de devant, d’aplomb ; vu de profil obliquité seulement esquissée (au plus 10°).
Pieds antérieurs
Pied court avec doigts serrés et cambrés (pied de chat). Ongles courts, noirs.

Membres postérieurs

Généralités
Dans son ensemble, vu de derrière, à cause de la puissante musculature du bassin (hanche et croupe), le Dobermann donne l’impression d’être large et arrondi. Les muscles qui vont du bassin à la cuisse et à la jambe donnent une largeur également appréciable dans la région de la cuisse, du grasset et de la jambe. Les postérieurs sont puissants, perpendiculaires au sol et parallèles.
Cuisses
D’une bonne longueur et largeur et fortement musclée. Bonne angulation de la hanche. La cuisse forme par rapport à l’horizontale un angle d’environ 80° à 85°.
Grassets
L’articulation du grasset, formée par la cuisse, la jambe et la rotule, est robuste. L’angle du grasset atteint environ 130°.
Jambes
De longueur moyenne, en harmonie avec la longueur de l’arrière-main.
Jarret
Moyennement forts, parallèles, formant entre les os de la jambe et ceux du métatarse un angle du jarret d’environ 140°.
Métatarse
Court, perpendiculaire au sol.
Pieds postérieurs
Comme pour le pied antérieur, les doigts du pied postérieur sont courts, bien serrés et cambrés. Ongles courts, noirs.

Allures

Les allures sont d’une importance toute particulière aussi bien pour la performance que pour l’apparence externe. Le pas est élastique, élégant, souple, dégagé et couvre beaucoup de terrain. Les antérieurs se portent aussi loin en avant que possible. Les postérieurs fournissent l’impulsion nécessaire par l’ampleur et l’élasticité de leurs mouvements. Le chien avance simultanément l’antérieur d’un côté et le postérieur de l’autre. Le dos, les ligaments et les articulations sont résistantes.

Peau

La peau, partout parfaitement tendue, est bien pigmentée.

Robe

Qualité du poil
Le poil est court, rude et serré. Lisse et bien couché, il est réparti régulièrement sur toute la surface du corps. Aucun sous-poil n’est admis.
Couleur du poil
Les couleurs sont : noir ou marron, avec des marques feu de teinte rouille bien prononcées et nettement délimitées. Les marques feu se trouvent sur le museau, en forme de taches sur les joues et au-dessus des yeux, sur la gorge, au poitrail (deux taches), sur les métacarpes et métatarses, aux pieds, à la face interne des cuisses, au pourtour de l’anus et à la pointe des fesses.

Taille et poids

Hauteur au garrot
Mâles 68 – 72 cm, femelles 63 – 68 cm. Pour les deux sexes, une taille moyenne est recherchée.
Poids
Mâles environ 40 – 45 kg, femelles environ 32 – 35 kg.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts généraux

 Aspect général : Caractères liés au sexe trop peu prononcés – peu de substance – trop léger – trop lourd – enlevé – ossature faible.
 Tête : Trop forte, trop étroite, trop longue, stop trop/trop peu marqué, chanfrein busqué, ligne transversale du crâne descendant fortement de côté, mandibule faiblement développée, œil rond ou bridé, œil clair, joues en relief, lèvres non jointives, œil saillant/enfoncé, oreilles attachées trop haut/trop bas, commissure labiale lâche.
 Cou : Un peu court, trop court, peau de l’encolure trop abondante, fanon, encolure concave dite de cerf, cou trop long (dysharmonique).
 Tronc : Dos pas assez ferme, croupe avalée, dos ensellé, dos de carpe, côtes en tonneau/plates, poitrine trop descendue ou trop étroite, dos trop long dans son ensemble, poitrail trop peu développé, queue attachée trop haut/trop bas, ligne de dessous trop/trop peu remontée.
 Membres : Angulations des antérieurs/des postérieurs trop/trop peu accentuées, coudes décollés, position et longueur des os et des articulations incompatibles avec le standard, pied panard/cagneux, jarrets de vache/en tonneau/trop clos, pieds ouverts ou affaissés, doigts insuffisamment développés, ongles clairs.
 Robe : Marques et taches feu trop claires/pas nettement délimitées/sales (charbonnées), masque trop foncé, grandes taches noires sur les membres, taches à peine visibles/trop étendues sur le poitrail, poil long/mou/terne/ondulé, plages glabres ou avec poil éclairci, poil en larges épis surtout sur le tronc, sous-poil visible.
 Comportement-Caractère : Absence d’équilibre psychique, tempérament trop accusé, mordant trop prononcé, seuil de réponse trop bas/trop haut.
 Taille : Un écart par rapport au standard jusqu’à 2 cm en plus ou en moins sera pénalisé par une qualification moindre.
 Allures : Démarche irrégulière, raccourcie, raide ; amble.

Défauts entrainant l’exclusion

 Caractère : Chien peureux, nerveux ou agressif.
 Aspect général : Renversement marqué des caractères liés au sexe.
 Oeil : Oeil jaune (œil d’oiseau de proie), yeux vairons.
 Denture : Prognathisme supérieur ou inférieur, articulé en pince, nombre de dents n’atteignant pas celui exigé par la formule dentaire.
 Robe : Taches blanches, chien à poil d’une longueur très prononcée ou d’une ondulation très marquée, poil nettement éclairci ou larges plages glabres.
 Taille : Ecart de plus de 2 cm en plus ou en moins par rapport au standard.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

Le Dobermann est une race qui a un siècle d'existence : les premiers spécimens sont apparus aux environs de 1885 ; soit une dizaine d'années avant ceux de deux autres races célèbres, le Berger Allemand et le Boxer. Il y a d'ailleurs une importante différence entre eux : le Berger Allemand et le Boxer peuvent en effet se targuer d'être l'aboutissement moderne d'un type ancestral, chien de berger lupoïde dans un cas, molosse de combat dans l'autre, tandis que le Dobermann, lui, représente un type vraiment nouveau (on serait bien en peine de trouver, dans des écrits ou sur des tableaux anciens, un chien semblable).

Le nom même de la race traduit son originalité dans le monde canin, puisqu'elle porte le patronyme de son créateur, un certain Friedrich Ludwig Dobermann (1834 - 1894). Cet homme est souvent présenté soit comme un responsable de fourrière, soit comme un huissier de la ville d'Apolda en Thuringe. En fait, cet employé communal cumulait des fonctions multiples : il contrôlait les abattoirs, s'occupait de l'équarrissage, ramassait les chiens errants, tout en recouvrant aussi les amendes, des fermages et diverses redevances. Bref, le bourgmestre d'Apolda le chargeait de toutes sortes de tâches ingrates et de démarches difficiles.

En raison de son rôle, il est probable que le personnage ne devait pas trouver beaucoup d'amis chez les administrés en retard de contribution ou sommés de payer une amende. De plus, lorsqu'il circulait à cheval, seul, dans ce coin vallonné et boisé de la Thuringe, porteur de sommes d'argent parfois importantes, il pouvait craindre de tenter quelque malandrin. Il est donc naturel qu'il ait songé à se faire accompagner de chiens au caractère trempé, capables de lui venir en aide en cas de difficulté. De tels chiens, il avait dû en remarquer parmi ceux qu'il devait conduire en fourrière ou ceux auxquels il avait à se frotter dans les fermes, lorsqu'il était accueilli sans aménité. La sélection fut rudimentaire, certes, mais efficace. Et comme, de par ses fonctions, il avait accès aux abattoirs, le problème de la nourriture, pour entretenir une vaste meute de chiens gros mangeurs, ne se posait pas.

Nous ne savons pas exactement quels chiens il utilisa pour créer la race qui devait porter son nom, car il n'a laissé aucune trace écrite de son travail de sélection. Au départ, d'ailleurs, il ne projeta probablement pas de « fabriquer » précisément une race, et il se contenta d'unir des chiens dont le caractère correspondait à ce qu'il cherchait. Mais la réputation que ses chiens acquirent rapidement dans la région en décida autrement, car nombreux furent les cynophiles intéressés par le type qu'il avait très empiriquement obtenu.

Compte tenu du manque de documents sur les expériences de Friedrich Ludwig Dobermann, les spécialistes en sont réduits à se livrer à des conjectures pour essayer de reconstituer leur cheminement, en retrouvant les racines raciales du chien que nous connaissons aujourd'hui.

Ainsi, des cynologues français, au vu de sa robe noir et feu caractéristique, ont pensé à notre Beauceron national. On peut certes objecter que les types morphologiques des deux races sont assez éloignés l'un de l'autre; mais les éleveurs français des années vingt n'avaient-ils pas sélectionné un Bas-Rouge nettement « dobermannisé », c'est-à-dire affiné et au poil court, presque ras? Et pour expliquer la présence du chien français en Thuringe, on a suggéré que les armées napoléoniennes auraient pu en laisser des spécimens au cours de leurs campagnes.

Il faut bien avouer que cette hypothèse, si elle satisfait un certain esprit cocardier, apparaît surtout comme une manifestation de la germanophobie d'une certaine époque, qui conduisait par exemple à dénier, malgré l'évidence, une ascendance allemande au Berger Allemand, qualifié « d’Alsacien ». Ajoutons que la France n'avait pas l'exclusivité des antiques et solides mâtins à robe noir et feu. Outre-Rhin, en effet, ils étaient aussi répandus et ont donné naissance, par exemple, au Rottweiler ou au Hovawart. Ils sont également les ancêtres des premiers Bergers Allemands. On peut raisonnablement conclure qu'ils sont en partie responsables de la couleur caractéristique du Dobermann et de sa taille.

Mais le Dobermann rappelle un autre type canin : le Pinscher. Celui-ci était, dans l'Allemagne du milieu du XlX" siècle, un chien des plus répandus : alors que le cheval était encore omniprésent, comme monture ou pour l'attelage, la présence d'un destructeur de rongeurs nuisibles était indispensable dans toutes les écuries et les fermes. Le Pinscher ; le nom vient de l'anglais to pinch, serrer, pincer ; peut être considéré comme la version allemande des chiens ratiers français et des Terriers (non bassets) que possédaient les Anglais. D'origine très ancienne ; on a pu rapprocher son type morphologique de celui du Canis palustris du néolithique, bien connu grâce à l'archéologie ; il pouvait présenter un poil court ou griffonné, de teinte fauve, noire ou gris loup. Le Pinscher à poil hirsute, c'est-à-dire le Schnauzer, a rapidement rencontré un grand succès. Quant au Pinscher à poil ras, il a bien failli ne se perpétuer qu'à travers le Dobermann. En effet, ce dernier, auquel à l'origine on avait significativement accolé le nom de Pinscher, a été caractérisé avant le Pinscher Moyen. Il est donc légitime de considérer le Dobermann comme une sorte de Pinscher géant : il possédait les qualités de pugnacité, de vivacité ; et jusqu'à la façon de mordre ; du ratier allemand, avec l'avantage d'une taille plus élevée, lui permettant de devenir un chien de garde et de défense. L'idée de créer un Terrier géant était d'ailleurs dans l'air du temps : elle a abouti, en Grande-Bretagne, à la mise au point de l'Airedale, tandis que les Munichois créaient les premiers Schnauzers Géants.

Les documents les plus anciens montrant les premiers Dobermanns tendent à confirmer la part du Pinscher dans leur ascendance, F. L. Dobermann ayant probablement reconnu dans ce type canin le courage et le mordant qu'il recherchait. C'était d'ailleurs l'avis de la revue allemande Unsere Hunde (citée par J. Mézières et A. Whilhelm, auteurs d'ouvrages de référence sur la race), qui, dans son numéro de décembre 1898, écrivit ce qui suit : « Vers 1870, Dietsch, propriétaire à l'époque de sablières à Apolda, possédait une chienne bleu-gris, une sorte de Pinscher qu'il fit saillir par un chien de boucher noir. Cet étalon possédait déjà les taches feu caractéristiques et provenait d'un croisement entre chien de berger et chien de boucher. L'équarrisseur Dobermann, qui, malheureusement, est mort trop tôt, croisa des descendants de ces deux chiens devenus de bons chiens de garde avec des Pinschers allemands. Voici l'origine de l'actuel Dobermann. Comme il est établi que cet homme a, le premier, sélectionné ces chiens, nous ne voyons pas d'inconvénient à ce qu'ils perpétuent son nom. »

Cette ascendance Pinscher étant reconnue, il reste qu'une demi-douzaine d'autres races sont citées pour avoir servi ; ou pu servir ; à l'élaboration de ce mélange éminemment tonique qui a nom Dobermann. Ainsi, à voir un Dobermann coiffé d'oreilles tombantes (leur port naturel lorsqu' elles ne sont pas taillées), on peut supposer l'apport de Braques Allemands, voire de Braques de Weimar, le rôle de ces chiens, il est vrai, ne se limitant pas à quêter, arrêter, rapporter le gibier, mais comprenant en plus la destruction des bêtes nuisibles et la garde du carnier. Mais, dans la mesure où l'on cite souvent le Dobermann comme responsable de ce caractère mordant, il faut se demander qui a le plus apporté à l'autre.

Pour expliquer l'élégance des lignes du Dobermann, d'aucuns ont songé au Lévrier. On cite en particulier fréquemment l'utilisation d'une lice Greyhound (Lévrier Anglais), à robe noire et de tempérament très agressif. Le Dogue Allemand revient aussi régulièrement comme ascendant probable, pour sa taille et le coloris bleu qu'il aurait transmis. Une telle filiation est admissible, si l'on songe que ce chien était, à la fin du XlXe siècle, moins gigantesque qu'aujourd'hui, puisque le mâle toisait entre 75 et 80 centimètres, au plus. Il y aurait enfin dans les veines du Dobermann du sang de Terrier Black and Tan (Noir et Feu), qui aurait affiné la morphologie et donné des feux plus soutenus.

En fait, le devenir de la race aurait été tout autre si le sieur Dobermann n'avait eu des amis et successeurs pour poursuivre son œuvre. L'intervention d'Otto Goller, en particulier, a été déterminante pour passer du rude Dobermann primitif, compact, de taille très moyenne (de 50 à 60 cm) et à la tête un peu épaisse et courte, au superbe athlète actuel, sans conteste l'un des plus beaux types canins.

Un autre père fondateur, Goswin Tischler, veilla sur les destinées du Dobermann en fondant un chenil réputé, baptisé « von Groenland » du nom d'une rue d'Apolda. Aux premiers sujets agréés par F. L. Dobermann ; Lux, Landgraf, Rambo, Schnupp (celui-ci portant le numéro 1 dans le livre d'élevage de la race) ; s'ajoutèrent ainsi les sujets de Tischler : ses chiens Bosco et Caesi, par exemple, produisirent le premier champion de la race, Prinz Matzi von Groenland, né le 15 août 1895.

Otto Gôller, qui avait, lui, l'affixe « von Thüringen », obtint ses sujets à partir de 1901. Parmi les étalons qu'il produisit et qui sont considérés comme des patriarches de la race, on note Hellegraf von Thüringen, né le 12 juin 1904. Auparavant, il avait acquis auprès de Tischler un sujet qui se révéla entre ses mains un remarquable raceur, Graf Belling. En 1910, avec la naissance de deux autres grands raceurs, Bodo et Bob von Egenfeld, dont les têtes avaient déjà quasiment la ciselure et l'élégance des chiens actuels, se termine la période d'élaboration de la race. C'est sans doute après cette date que diverses-infusions d'autres races furent essayées, avec, il faut le dire, plus ou moins de bonheur: le Manchester Terrier, par exemple, a pu apporter de la finesse et des couleurs plus soutenues et régulières, mais aussi un gabarit trop léger.

Quant au Lévrier Anglais, il semble avoir donné des tailles plus élevées, mais également une cage thoracique plate et un corps trop long. Ces croisements avaient ainsi amené des caractéristiques indésirables, que les éleveurs durent s'attacher à extirper pendant l'entre-deux-guerres. Avec le choix entre deux options : conserver à la race ses qualités natives, déjà légendaires, de ténacité et de courage ou la faire évoluer vers un type plus souple de caractère, doté d'une morphologie plus fine. C'est, dans l'ensemble, la première solution qui a été adoptée.

Le Dobermann a très vite conquis de nombreux amateurs, allemands puis européens. Ce phénomène, rarement souligné, montre quel était le potentiel de qualités de la race, à ses débuts. Le premier club fut fondé par Otto Gôller, à Apolda, en 1899. Rapidement, une douzaine d'autres associations naquirent, en particulier dans le sud de l'Allemagne, pour se fédérer en 1912 dans le cadre d'un grand club couvrant toute l'Allemagne. Compte tenu de sa force de séduction, le Dobermann fut présenté très tôt dans des expositions. A celle de Cologne, en 1910, on pouvait noter le chiffre record de 105 engagements.

Hors d'Allemagne, ce sont les Suisses qui eurent les réflexes les plus rapides: dès 1902, en fondant un club à Arau, ils montrèrent combien ce chien à la silhouette nette, facile à entretenir, d'un caractère sûr, leur plaisait. Les Hollandais leur emboîtèrent le pas en 1909, et ils furent les premiers à constater son adaptation aux climats tropicaux, lorsqu'ils l'emmenèrent dans leurs lointaines colonies, notamment aux Philippines. A la même époque, les Alsaciens le découvrirent à leur tour, et un premier club local fut formé en 1913. Un club national, destiné en principe à couvrir tout l'Hexagone, fut créé en 1920 à Strasbourg, mais il fallut attendre quasiment les années soixante pour que le Dobermann se répande vraiment dans la plupart des régions françaises.

Les Américains éprouvèrent à leurs dépens les qualités de ce chien de guerre, utilisé par l'armée allemande lors du premier conflit mondial; réagissant de façon très pragmatique, ils n'hésitèrent pas, après la guerre, à acquérir de bons reproducteurs, pour acclimater chez eux une race qui avait fait ses preuves. Ainsi naquit, en 1922, un club américain. L'Autriche et l'Italie ont adopté elles aussi le Dobermann, puis, à leur tour, des pays à climat chaud comme l'Uruguay et le Brésil en ont fait rapidement leur chien de garde préféré. C'est finalement la Grande-Bretagne gui, pour une fois, a emprunté le wagon de queue. A cause, sans doute, de la quarantaine de six mois obligatoire dans ce pays et surtout de l'interdiction de tailler les oreilles (ce qui modifie considérablement la silhouette du chien), la race ne s'y est véritablement implantée qu'en 1947. Ainsi, vite apprécié - dans la plupart des cas ; dès qu’on le découvrait, le Dobermann est devenu un des chiens de garde les plus efficaces, donc les plus répandus dans le monde.

Conçu pour être un chien de service, le Dobermann est resté essentiellement cantonné, au cours du premier quart du vingtième siècle, dans cette fonction, que ce soit au service des particuliers ou à celui des administrations. Du fait qu'il représentait le « must » en matière de courage, de ténacité, de rapidité d'intervention, ses utilisateurs ont eu tendance, pour exalter ses qualités, à en rajouter, en lui faisant une réputation de chien peu commode, très dur, difficile à contrôler. Dans les années vingt, un éleveur suisse renommé, Gottfried Liechti, exprimait d'ailleurs très bien cette mentalité : « Ils étaient certes robustes et n'avaient peur de rien ; pas même du diable en personne ; et il fallait une bonne dose de courage pour en posséder un. »

Même son de cloche chez Philipp Gruenig, historien de la race, qui rapporte, à propos d'Alarich von Thüringen, né en 1897 : « Il était connu pour son incroyable intelligence et on le craignait d'autant. » Bien sûr, l'intelligence alliée à une certaine rudesse caractérise ces chiens, mais il n'est pas indispensable, pour autant, de qualifier leur audace d'absolue et leur intelligence d' incroyable, comme si on cherchait à se faire peur en décrivant un animal quasiment diabolique (la couleur de la robe aidant). Encore faut-il replacer ces propos, quelque peu excessifs, dans leur contexte: la concurrence était grande, à l'époque, entre des races germaniques sélectionnées à peu près au même moment, pour des emplois similaires, mais à partir de « familles » canines radicalement différentes; Berger Allemand, Boxer, Rottweiler, Dobermann briguaient tous le titre de meilleur chien de garde et de défense.

Aujourd'hui, cette image ne correspond plus que très partiellement à la réalité : si le Dobermann, chien de ronde et d'intervention dans le « civil », reste aussi un excellent animal de travail, apte aux concours de chiens de défense, de tels chiens utilitaires ne constituent plus qu'une petite partie de la population des Dobermanns, lesquels, pour leur plus grand bonheur et le plaisir de leur maître, passent le plus clair de leur temps qui confortablement installé dans un fauteuil ou sur un coussin, qui se faisant conduire en voiture, qui prenant l'air dans le jardin, qui épaulant le petit dernier pour qu'il marche droit.

Bien entendu, il ne faut pas en déduire que le Dobermann convient à tous les maîtres et à n'importe quelle situation. Ce chien, qui n'est pas exagérément nerveux, n'est jamais méchant ; ou simplement agressif ; sans raison. C'est un animal équilibré mais de caractère. Le maître d'un Dobermann n'est pas, ne peut et ne doit pas être le même que celui d'un Caniche. Pour donner la pleine mesure de ses multiples qualités, ce chien exige en contrepartie que son maître en possède quelques-unes. Il est donc prudent, pour celui qui n'est pas un familier de la race ou qui n'a pas encore manié de chien au caractère viril, de choisir une femelle, s'il veut débuter dans la « Dobermannia ». Plus souple de tempérament, plus démonstrative dans son affection et plus douce, elle n'en possède pas moins une vigilance égale à celle du mâle. En revanche, pour ceux qui ont une main ferme (mais non brutale) et le « feeling » avec les chiens, à défaut d'une vaste expérience en matière de dressage, le caractère entier d'un mâle Dobermann ne pourra qu'être source de joies et de fierté. Une condition, cependant: à cette fermeté gantée de velours, le maître d'un Dobermann devra ajouter du calme et de la patience. Déconseillons donc sans ambages ce chien aux velléitaires, aux débonnaires, à ceux qui répugnent à faire preuve d'autorité.

Un bon maître doit donc être bien informé de la nature profonde du Dobermann. Tout d'abord, c'est un chien dominateur ; si le néophyte ne décèle pas cette caractéristique chez son chiot de trois mois, elle lui sautera à la figure lorsque le chiot sera devenu un adolescent dégingandé de huit mois. En fait, le chien essaye simplement de devenir chef de meute, pour voir si « ça marche ». Et quelquefois, effectivement, il atteint son but: il lui aura suffi de gronder, de montrer les dents, pour imposer sa volonté. Il est pourtant impératif de ne pas se laisser impressionner par ces manœuvres d'intimidation. Le maître doit se conduire comme tel, avec une poigne juste mais solide.

Ce mélange de justice et d'autorité est d'autant plus nécessaire que la fierté et l'indépendance sont deux autres composantes fondamentales du comportement du Dobermann. Tout en étant très attaché à ses maîtres, c'est un chien qui a souvent tendance à n'en faire qu'à sa tête, dès lors que la pression éducative du maître se révèle insuffisante. Il faut donc pratiquer un apprentissage rigoureux dans la marche en laisse, puis sans laisse, et enfin pour le rappel. Nombre de possesseurs de Dobermanns se font promener par leur chien plus qu'ils ne le sortent.

En ce qui concerne la fierté du Dobermann, qui constitue un de ses traits les plus fascinants, elle s'exprime par le biais de l'esthétique: son port de tête majestueux, sa démarche assurée ne sont pas qu'apparence et traduisent parfaitement son type de caractère, pour le moins réservé ; de fait, n'étant pas de ceux qui ont tendance à faire la fête aux inconnus, ce chien se montre insensible aux marques de cordialité ; éventuellement un peu forcées des invités.

Il est bien entendu que cette attitude distante suppose la présence du maître. Dans le cas contraire, le chien se montrera beaucoup plus actif ; intraitable, voire féroce ; dans la surveillance de la maison ou de la voiture. Son instinct de protection du territoire étant inné et hyper développé, sa vigilance n'est jamais prise en défaut. En ce domaine, il n'est nul besoin d'un dressage spécifique : le chien réagit spontanément. Il étend naturellement sa protection à tous ceux qui vivent sur le territoire familial, en particulier aux enfants, qui, eux, devront apprendre à respecter ce partenaire. Avec les autres chiens, le Dobermann ne cherche pas obligatoirement la bagarre, mais il ne se laissera en aucun cas dominer. Aussi la prudence commande d'éviter les occasions de confrontation.

Le Dobermann, né et sélectionné exclusivement pour la protection des biens et des personnes, est un animal très observateur, doué d'une grande mémoire, adaptable, comprenant tout rapidement, pressentant, devinant même ce que son maître ne lui dit pas. Il possède donc de grandes aptitudes au dressage, bien que sa psychologie diffère notablement de celle des chiens de berger, qui servent le plus souvent de référence aux dresseurs ; se hiérarchisant beaucoup moins facilement qu'un Berger, il garde toujours un fond dominateur, ainsi qu'une certaine tendance à l'indépendance, qu'il faut veiller à contenir. Pour canaliser efficacement son énergie, le dressage devra ménager sa susceptibilité, tenir compte de sa fierté native et surtout le motiver. Car le Doberrnann est un passionné, qui ne travaille bien que par amour pour son maître. Son attachement pour celui-ci est très profond, quasiment exclusif ; d'où, parfois, une certaine tendance à la jalousie ; et va toujours de pair avec une extrême méfiance envers les inconnus.

Contrairement à la réputation qui lui est trop souvent faite, le Dobermann n'est pas un chien difficile mais un chien exigeant, dont on doit s'occuper sérieusement. Aussi peut-on regretter qu'il ne soit pas plus fréquemment présenté dans les concours de travail (les dresseurs qui s'attachent à le faire travailler sont, en fait, peu nombreux). Dans son pays d'origine, mais aussi aux Etats-Unis et dans de nombreuses autres contrées, le Dobermann a pour discipline favorite le « Schutzhund » (obligatoire en Allemagne, pour la qualification de reproducteur). Les Allemands, qui ont bien exporté leurs chiens de défense, ont du même coup réussi à imposer presque partout dans le monde leur programme de travail. Celui-ci est composé d'épreuves d'obéissance, d'assouplissement, de mordant et de défense du maître; il repose moins sur des performances athlétiques ou la finesse du dressage que sur une exécution parfaite.

Le pistage est aussi un concours où le Dobermann peut s'Illustrer ; plusieurs sujets ont d'ailleurs atteint ces dernières années les plus hauts niveaux. Il y trouve l'occasion de démontrer son sens de l'initiative et de tirer parti, au mieux, de sa fougue naturelle et de son flair ; l'entraînement à cette discipline (accessible au néophyte) a un grand intérêt psychologique car il renforce la connivence avec le maître. C'est sans doute en ring que le Dobermann est le moins à l'aise. Ses capacités athlétiques ne sont évidemment pas en cause, mais son mordant est peu adapté aux exigences de cette discipline : le chien doit en effet réaliser une prise solide, à fond de gueule, pendant quinze secondes, alors que le Dobermann a tendance, lui, à mordre par prises successives, avec les dents antérieures.

Les concours de travail ne concernant, bien sûr, qu'un petit nombre de chiens, la plupart des Dobermanns ne disposent pas d'une telle occasion de défoulement. Or leur équilibre exige, impérieusement, d'intenses activités physiques; il faut donc leur offrir de longues promenades et des exercices fréquents (mais courts). Il serait même. franchement aberrant de laisser de tels chiens à l'attache, dans un chenil, ou encore d'en faire des gardiens d'entrepôts. Car le Dobermann a besoin de contacts humains: si possible variés et précoces, ces contacts sont essentiels pour « civiliser » le jeune chien et n'entameront pas pour autant sa vigilance. En revanche, s'il est condamné à l'isolement, l'animal risque alors effectivement de devenir difficilement contrôlable.

Au plan de la santé, le Dobermann est un chien robuste, élégant, plein de « substance ». Il ne présente pas de points faibles particuliers ; tout au plus peut-on relever chez certains sujets une sensibilité aux maladies de peau et aux parasites externes (surtout chez les rares et très beaux sujets bleu et feu). Il faut signaler, cependant, la fréquence relative des accidents cardiaques ; problème commun à de nombreuses races sportives, à la fois pleines de fougue et de puissance. En comptabilisant les chiens victimes de crise cardiaque, la longévité moyenne du Dobermann, d'une douzaine d'années (les sujets atteignant quatorze ans sont rares), peut descendre à dix ans. Une hygiène de vie rigoureuse tout au long de sa vie, une attention et une surveillance plus soutenues dès qu'il atteint six ou huit ans sont donc recommandées.

Le Dobermann est né et vit toujours, aujourd'hui. sous le signe de la passion. Son tempérament ne peut se satisfaire de compromis ou de demi-mesures et il suscite chez les humains des réactions extrêmes: d' un côté victime de préjugés, de l'autre, il est défendu avec énergie par ses amateurs. Vous serez sans doute du nombre de ces derniers, si vous êtes aussi exigeant envers vous-même qu'envers votre chien.

English

Dobermann

FCI standard Nº 143

Origin
Germany
Translation
Dobermann Council of K.U.S.A. (Kennel Union of Southern Africa)
Group
Group 2 Pinscher and Schnauzer type-Molossian type and Swiss Mountain and Cattle Dogs
Section
Section 1 Pinscher and Schnauzer type
Working
With working trial
Acceptance on a definitive basis by the FCI
Saturday 01 January 1955
Publication of the official valid standard
Friday 13 November 2015
Last update
Thursday 17 December 2015
En français, cette race se dit
Dobermann
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
Dobermann
En español, esta raza se dice
Dobermann
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Dobermann

Usage

Companion, protection and working dog.

Brief historical summary

The Dobermann is the only German breed which bears the name of its original breeder, Friedrich Louis Dobermann (02.01.1834 – 09.06.1894).
He was believed to be a tax collector, offal abbatoir manager (knacker) and a part time dog catcher, legally able to catch all stray dogs. He bred with animals from this reservoir that were particularly sharp. The so called “butcher’s dogs” which were already considered a relatively pure breed at that time, played a most important role in the origination of the Dobermann breed. These dogs were an early type of Rottweiler, mixed with a type of shepherd which existed in “Thüringen” as a black dog with rust red markings. Herr Dobermann bred with this mixture of dogs in the Eighteen Seventies. Thus he obtained “his breed” : not only alert, but highly protective working and housedogs. They were often used as guard and police dogs. Their extensive use in police work led to the nickname “Gendarme dog”. They were used in hunting to control large vermin.
In these circumstances it was a matter of course that the Dobermann was recognized officially as a Police Dog by the beginning of the century. The Dobermann breed requires a medium sized, powerful, muscular dog. Despite his substance he shall be elegant and noble, which will be evident in his body line. He must be exceptionally suitable as a companion, protection and working dog and also as a family dog.

General appearance

The Dobermann is of medium size, strong and muscularly built. Through the elegant lines of its body, its proud stature, and its expression of determination, it conforms to the ideal picture of dog.

Important proportions

The body of the Dobermann appears to be almost square, particularly in males. The length of the body measured from the point of the shoulder to the point of the buttock shall not be more than 5% longer than the height from the withers to the ground in males, and 10% in females.

Behaviour / temperament

The disposition of the Dobermann is friendly and calm; very devoted to the family it loves children. Medium temperament and medium sharpness (alertness) is desired. A medium threshold of irritation is required with a good contact to the owner. Easy to train, The Dobermann enjoys working, and shall have good working ability, courage and hardness. The particular values of self confidence and intrepidness are requied, and also adaptability and attention to fit the social environment.

Head

Cranial region

Skull
Strong and in proportion to the body. Seen from the top the head is shaped in the form of a blunt wedge. Viewed form the front the crown line shall be almost level and not dropping off to the ears. The muzzle line extends almost straight to the top line of the skull which falls, gently rounded, into the neck line. The superciliary ridge is well developed without protruding.
The forehead furrow is still visible. The occiput shall not be conspicuous. Seen from the front and the top the sides of the head must not bulge. The slight bulge between the rear of the upper jawbone and the cheek bone shall be in harmony with the total length of the head. The head muscles shall be well developed.  
Stop
Shall be slight but visibly developed.

Facial region

Nose
Nostrils well developed, more broad than round, with large openings without overall protrusion. Black – on black dogs; on brown dogs, corresponding lighter shades.
Muzzle
The muzzle must be in the right proportion with the upper head and must be strongly developed. The muzzle shall have depth. The mouth opening shall be wide, reaching to the molars. A good muzzle width must also be present on the upper and lower incisor area.
Lips
They shall be tight and lie close to the jaw which will ensure a tight closure of the mouth. The pigment of the gum to be dark; on brown dogs a corresponding lighter shade.
Jaws and teeth
Powerful broad upper and under jaw, scissor bite, 42 teeth correctly placed and normal size.
Eyes
Middle sized, oval and dark in colour. Lighter shades are permitted for brown dogs. Close lying eyelids. Eyelids shall be covered with hair. Baldness around the rim of the eye is highly undesirable.
Ears
The ear, which is set high, is carried erect and cropped to a length in proportion to the head. In a country where cropping is not permitted the uncropped ear is equally recognized. (Medium size preferred and with the front edge lying close to the cheeks).

Neck

The neck must have a good length and be in proportion to the body and the head. It is dry and muscular. Its outline rises gradually and is softly curved. Its carriage is upright and shows much nobility.

Body

Withers
Shall be pronounced in height and length, especially in males and thereby determine the slope of the topline rising from the croup to the withers.
Back
Short and tight, of good width and well muscled.
Loin
Of good width and well muscled. The bitch can be slightly longer in loin because she requires space for suckling.
Croup
It shall fall slightly, hardly perceptible from sacrum to the root of the tail, and appears well rounded, being neither straight nor noticeably sloping, of good width and well muscled.
Chest
Length and depth of chest must be in the right proportion to the body length. The depth with slightly arched ribs should be approximately 50% the height of the dog at the withers. The chest has got a good width with especially well developed forechest.
Underline and belly
From the bottom of the breastbone to the pelvis the underline is noticeably tucked up.

Tail

It is high set and docked short whereby approximately two tail vertebrae remain visible. In countries where docking is legally not permitted the tail may remain natural.

Limbs

Forequarters

Generality
The front legs as seen from all sides are almost straight, vertical to the ground and strongly developed.
Shoulders
The shoulder-blade lies close against the chest, and both sides of the shoulder-blade edge are well muscled and reach over the top of the thoracic vertebra, slanting as much as possible and well set back. The angle to the horizontal is approximately 50%.
Upper arm
Good length, well muscled, the angle to the shoulder- blade is approximately 105° to 110°.
Elbows
Close in, not turned out.
Forearm
Strong and straight. Well muscled. Length in harmony with the whole body.
Carpal
Strong.
Pastern
Bones strong. Straight seen from the front. Seen from the side, only slightly sloping, maximum 10°.
Forefeet
The feet are short and tight. The toes are arched towards the top (cat like). Nails short and black.

Hindquarters

Generality
Seen from the back the Dobermann looks, because of his well developed pelvic muscles in hips and croup, wide and rounded off. The muscles running from the pelvic towards the upper and lower thigh result in good width development, as well as in the upper thigh area, in the knee joint area and at the lower thigh. The strong hind legs are straight and stand parallel.
Upper thigh
Good length and width, well muscled. Good angulation to the hip joint. Angulation to the horizontal approximately between 80° to 85°.
Lower thigh
Medium length and in harmony with the total length of the hindquarter.
Stifle
The knee joint is strong and is formed by the upper and lower thigh as well as the knee cap. The knee angulation is approximately 130°.
Metatarsus
It is short and stands vertical to the ground.
Hock
Medium strength and parallel. The lower thigh bone is joined to the metatarsal at the hock joint (angle about 140°).
Hind feet
Like the front feet, the toes of the back feet are short, arched and closed. Nails are short and black.

Gait and movement

The gait is of special importance to both the working ability as well as the exterior appearance. The gait is elastic, elegant, agile, free and ground covering. The front legs reach out as far as possible. The hind quarter gives far reaching and necessary elastic drive. The front leg of one side and back leg of the other side move forward at the same time. There should be good stability of the back, the ligaments and the joints.

Skin

The skin fits closely all over and is of good pigment.

Coat

Hair
The hair is short, hard and thick. It lies tight and smooth and is equally distributed over the whole surface. Undercoat is not allowed.
Colour
The colour is black or brown, with rust red clearly defined and clean markings. Markings on the muzzle, as a spot on the cheeks and the top of the eyebrow, on the throat, two spots on the forechest, on the metacarpus, metatarsus and feet, on the inside of the back thigh, on the arms and below the tail.

Size and weight

Height at withers
Males : 68 – 72 cm. Bitches : 63 – 68 cm. Medium size desirable.
Weight
Males : about 40 – 45 kg. Bitches : about 32 – 35 kg.

Faults

• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness.

General faults

 General Appearance : Reversal of sexual impression; little substance; too light; too heavy; too leggy; weak bones.
 Head : Too heavy, too narrow, too short, too long, too much or too little stop; Roman nose, bad slope of the top line of the skull; weak underjaw; round or slit eyes; light eye; cheeks too heavy; loose flews; eyes too open or too deepset; ear set too high or too low; open mouth angle.
 Neck : Slightly short; too short; loose skin around the throat; dewlap; too long (not in harmony); ewe neck.
 Body : Black not tight; sloping croup; sway back; roach back; insufficient or too much spring of rib; insufficient depth or width of chest; back too long overall; too little forechest; tail set too high or too low; too little or too much tuck up.
 Limbs : Too little or too much angulation front or hindquarters; loose elbow; deviations from the standard position and length of bones and joints; feet too close together or too wide apart; cow-hocks, spread hocks, close hocks; open or soft paws, crooked toes; pale nails.
 Coat : Markings too light or not sharply defined; smudged markings; mask too dark; big black spot on the legs; chest markings hardly visible or too large; hair long, soft, curly or dull.
 Thin coat; bald patches; large tufts of hair particularly on the body; visible undercoat.
 Character : Inadequate self confidence; temperament too high; sharpness too high; too high or too low a threshold of irritation.
 Size : Deviation of size up to two centimetres from the standard should result in a lowering of the quality grading.
 Gait : Wobbly; restricted or stiff gait; pacing.

Abnormalities

 Aggressive or overly shy dogs.
 General : Pronounced reversal of sexual impressions.
 Eyes : Yellow eyes (bird of prey eye); wall eye.
 Dentition : Overshot; level bite; undershot; missing teeth.
 Coat : White spots; pronounced long and wavy hair; pronounced thin coat or large bald patches.
 Size : Dogs which deviate more than two centimetres over or under the standard.

NB :

• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding.

Bibliography

http://www.fci.be/

 

Detailed history

The Dobermann is a breed that has a century of existence: the first specimens appeared around 1885; about ten years before those of two other famous breeds, the German Shepherd and the Boxer. There is also an important difference between them: the German Shepherd and the Boxer can in fact boast of being the modern result of an ancestral type, lupoid shepherd dog in one case, fighting dog in the while the Dobermann represents a truly new type (one would be hard-pressed to find, in writings or old paintings, a similar dog).

The very name of the breed reflects its originality in the canine world, since it bears the name of its creator, a certain Friedrich Ludwig Dobermann (1834 - 1894). This man is often presented as either a pound-keeper or a bailiff of the town of Apolda in Thuringia. In fact, this communal employee had multiple functions: he controlled slaughterhouses, handled rendering, picked up stray dogs, and also collected fines, rent, and various royalties. In short, the burgomaster of Apolda charged him with all sorts of ungrateful tasks and difficult steps.

Because of his role, it is likely that the character was not to find many friends in the late-paying citizens or ordered to pay a fine. Moreover, when he was riding on horseback, alone, in this hilly and wooded corner of Thuringia, carrying sometimes large sums of money, he might be afraid of attempting some mischief. It is natural, therefore, that he thought of bringing with him dogs with a temperament, capable of helping him in case of difficulty. Such dogs, he must have noticed among those he had to drive in the pound or those he had to rub on the farms, when he was greeted without amenity. The selection was rudimentary, certainly, but effective. And since, by his functions, he had access to the slaughterhouses, the problem of food, to maintain a large pack of heavy dogs, did not arise.

We do not know exactly which dogs he used to create the breed that was to bear his name, because he left no written record of his selection work. In the beginning, moreover, he probably did not plan to "make" exactly one breed, and he contented himself with uniting dogs whose character corresponded to what he was looking for. But the reputation that his dogs quickly acquired in the region decided otherwise, because many were dog enthusiasts interested in the type he had very empirically obtained.

Given the lack of documents on Friedrich Ludwig Dobermann's experiments, specialists are reduced to speculating to try to reconstruct their journey, by finding the racial roots of the dog we know today.

Thus, French cynologists, considering its characteristic black and fire dress, thought of our national Beauceron. It may be objected that the morphological types of the two races are quite far apart; but did the French breeders of the 1920s not select a distinctly "dobermannised" Low-Red, that is to say, refined and short-haired, almost flabby? And to explain the presence of the French dog in Thuringia, it has been suggested that the Napoleonic armies could have left specimens in their campaigns.

It must be admitted that this hypothesis, if it satisfies a certain cocardier spirit, appears above all as a manifestation of the Germanophobia of a certain period, which led for example to deny, despite the evidence, a German ancestry to the German Shepherd, qualified "Alsatian". Let us add that France did not have the exclusivity of ancient and solid mastiffs with black and fire dress. On the other hand, they were also widespread and gave birth, for example, to Rottweiler or Hovawart. They are also the ancestors of the first German Shepherds. It is reasonable to conclude that they are partly responsible for the Doberman's characteristic color and size.

But the Dobermann is reminiscent of another canine type: the Pinscher. In mid-nineteenth century Germany, this dog was one of the most widespread dogs: while the horse was still ubiquitous, both as a horse and as a hitch, the presence of a rodent destroyer was essential in all the stables and farms The Pinscher, the name comes from the English to pinch, tighten, pinch, can be considered as the German version of French dog breeds and Terriers (not bassets) that possessed the English. very old, its morphological type could be compared to that of the Neolithic Canis palustris, well known thanks to archeology, it could have a short or scribbled hair, tawny, black or gray wolf. that is to say the Schnauzer, has quickly met a great success.The Pinscher with short hair, it almost did not perpetuate itself through the Dobermann.In fact, the latter, which originally had significantly the name of Pinscher, was characterized before the middle Pinscher. It is therefore legitimate to consider the Dobermann as a sort of giant Pinscher; he possessed the qualities of pugnacity and vivacity; and up to the way of biting; German ratier, with the advantage of a larger size, allowing him to become a watchdog and defense. The idea of creating a giant Terrier was in the air of the time: it resulted, in Britain, in the development of the Airedale, while the people of Munich created the first Giant Schnauzers.

The oldest documents showing the first Dobermanns tend to confirm the Pinscher's part in their ancestry, FL Dobermann having probably recognized in this canine type the courage and the mordant he sought. This was also the opinion of the German magazine Unsere Hunde (quoted by J. Mézières and A. Whilhelm, authors of reference books on race), which, in its December 1898 issue, wrote the following : "About 1870, Dietsch, owner at the time of sandpits in Apolda, owned a blue-gray bitch, a kind of Pinscher that he made out by a black butcher's dog. This stallion already possessed the characteristic fire stains and came from a cross between a sheepdog and a butcher's dog. The Dobermann rendering machine, which, unfortunately, died too early, crossed the descendants of these two dogs, who had become good guard dogs with German Pinschers. Here is the origin of the current Dobermann. As it is established that this man first selected these dogs, we have no objection to them perpetuating his name. "

This Pinscher ancestry is recognized, but half a dozen other breeds are cited for service; or serve; to the development of this eminently tonic mixture that has Doberman name. Thus, to see a Dobermann wearing drooping ears (their natural port when they are not cut), we can assume the contribution of Braques Germans, even Braques Weimar, the role of these dogs, it is true, not only to quest, stop, bring back the game, but also including the destruction of harmful animals and the guard of the game. But since the Dobermann is often cited as responsible for this biting character, we must ask ourselves who brought the most to the other.

To explain the elegance of Dobermann lines, some have thought of the Greyhound. In particular, we often mention the use of a Greyhound lice, with a black coat and a very aggressive temperament. The Great Dane also regularly returns as probable ascendant, for its size and the blue color that it would have transmitted. Such filiation is admissible, if we consider that this dog was, at the end of the nineteenth century, less gigantic than today, since the male was between 75 and 80 centimeters at most. Finally, in the Dobermann's veins, Terrier Black and Tan (Black and Fire) blood would have been refined, which would have refined the morphology and given more sustained fires.

In fact, the future of the race would have been different if Mr. Dobermann had not had friends and successors to continue his work. In particular, Otto Goller's intervention was instrumental in moving from the primitive, compact, very medium-sized Doberman Dobermann (50 to 60 cm) and the rather short and thick head to the superb athlete without contests one of the most beautiful canine types.

Another founding father, Goswin Tischler, watched over the destiny of the Dobermann by founding a famous kennel named "von Greenland" after a street in Apolda. To the first subjects approved by FL Dobermann; Lux, Landgraf, Rambo, Schnupp (this one bearing the number 1 in the breeding book of the breed); Tischler's subjects were added: his dogs Bosco and Caesi, for example, produced the first champion of the breed, Prinz Matzi von Groenland, born on August 15, 1895.

Otto Goller, who had the affix "von Thüringen", obtained his subjects from 1901. Among the stallions he produced and who are considered patriarchs of the breed, there is Hellegraf von Thüringen, born on June 12, 1904. Previously, he had acquired from Tischler a subject which revealed in his hands a remarkable racer, Graf Belling. In 1910, with the birth of two other great racers, Bodo and Bob von Egenfeld, whose heads already had almost the carving and elegance of the current dogs, ends the period of elaboration of the race. It is undoubtedly after this date that various infusions of other races were tried, with, it must be said, more or less happiness: the Manchester Terrier, for example, could bring finesse and more sustained colors. and regular, but also a template too light.

As for the English Greyhound, it seems to have given higher sizes, but also a flat rib cage and a body too long. These crossings had thus brought undesirable characteristics, which the farmers had to strive to root out during the inter-war period. With the choice between two options: to preserve the race's native qualities, already legendary, tenacity and courage or evolve to a more flexible type of character, with a finer morphology. This is, in the main, the first solution that has been adopted.

The Dobermann quickly conquered many amateurs, German and European. This phenomenon, rarely emphasized, shows what was the potential qualities of the breed, in its infancy. The first club was founded by Otto Goller at Apolda in 1899. Quickly, a dozen other associations were born, especially in the south of Germany, to federate in 1912 as part of a large club covering all Germany. Given its seductive power, the Dobermann was presented very early in exhibitions. In Cologne, in 1910, there was a record 105 commitments.

Outside of Germany, it was the Swiss who had the quickest reflexes: as early as 1902, when they founded a club at Arau, they showed how much they liked this dog with a clean, easy-to-care silhouette. The Dutch followed suit in 1909, and they were the first to notice its adaptation to tropical climates, when they took it to their distant colonies, especially in the Philippines. At the same time, the Alsatians discovered it in turn, and a first local club was formed in 1913. A national club, intended in principle to cover all the Hexagon, was created in 1920 in Strasbourg, but it was necessary to wait until almost sixties for the Doberman to really spread in most French regions.

The Americans experienced at their expense the qualities of this dog of war, used by the German army during the first world conflict; reacting in a very pragmatic way, they did not hesitate, after the war, to acquire good breeders, to acclimate at home a race which had proved itself. Thus was born, in 1922, an American club. Austria and Italy have also adopted the Dobermann, and then, in turn, countries with hot climates such as Uruguay and Brazil have quickly made them their favorite watchdog. In the end, it was Britain, for once, that used the wagon. Because, no doubt, of the obligatory quarantine of six months in this country and especially of the prohibition to prune the ears (which modifies considerably the silhouette of the dog), the race did not really take root there until 1947 So, quickly appreciated - in most cases; as soon as it was discovered, the Dobermann became one of the most effective guard dogs, so the most widespread in the world.

Designed to be a service dog, the Dobermann was essentially confined in the first quarter of the twentieth century, in this function, whether serving individuals or the administrations. Because it represented the "must" in terms of courage, tenacity, speed of intervention, its users have tended, to exalt its qualities, to add, making it a reputation as a dog inconvenient, very hard, difficult to control. In the twenties, a renowned Swiss breeder, Gottfried Liechti, expressed this mentality very well: "They were certainly robust and were not afraid of anything; not even the devil himself; and it took a good deal of courage to own one. "

The same is true of Philipp Gruenig, historian of the breed, who reports about Alarich von Thüringen, born in 1897: "He was known for his incredible intelligence and was feared all the same. Of course, the intelligence combined with a certain roughness characterizes these dogs, but it is not essential, for all that, to qualify their daring as absolute and their intelligence as incredible, as if they were trying to scare themselves describing an animal almost diabolical (the color of the dress helping). It is also necessary to place these somewhat exaggerated remarks in their context: the competition was great at the time between Germanic races selected at about the same time, for similar jobs, but from "families" radically different canines; German Shepherd, Boxer, Rottweiler, Dobermann all sought the title of best guard dog.

Today, this image only partially corresponds to the reality: if the Dobermann, dog of round and intervention in the "civil", also remains an excellent animal of work, suitable for the contests of dogs of defense, of such utilitarian dogs are only a small part of the population of Dobermanns, who, for their greatest happiness and the pleasure of their master, spend most of their time comfortably seated in an armchair or cushion, being driven by car, who takes the air in the garden, who shoulders the last to walk straight.

Of course, it should not be deduced that the Doberman is suitable for all teachers and any situation. This dog, who is not overly nervous, is never mean; or simply aggressive; without reason. It is a balanced animal but of character. The master of a Dobermann is not, can not and must not be the same as that of a Poodle. To give the full measure of its many qualities, this dog requires in return that his master has some. It is therefore prudent for anyone who is not familiar with the breed or who has not yet handled a manly dog, to choose a female, if he wants to start in the "Dobermannia". More supple in temperament, more demonstrative in her affection, and sweeter, she nevertheless possesses vigilance equal to that of the male. On the other hand, for those who have a firm hand (but not brutal) and the "feeling" with the dogs, in the absence of a vast experience in dressage, the whole character of a male Dobermann can only be source of joys and pride. One condition, however: to this gloved velvet firmness, the master of a Dobermann will have to add calmness and patience. So let's not bluntly advise this dog to the vellitarians, the debonair, to those who are reluctant to show authority.

A good teacher must therefore be well informed of the deep nature of the Dobermann. First of all, it's a domineering dog; if the neophyte does not detect this characteristic in his three-month-old puppy, she will jump at him when the puppy becomes an ungainly eight-month-old. In fact, the dog is simply trying to become pack leader, to see if "it works". And sometimes, indeed, he reaches his goal: it will have been enough to scold him, to show his teeth, to impose his will. It is imperative, however, not to be intimidated by these intimidating maneuvers. The master must behave as such, with a fair but solid grip.

This mixture of justice and authority is all the more necessary because pride and independence are two other fundamental components of Doberman's behavior. While being very attached to its masters, it is a dog which often tends to do as its head, since the educative pressure of the master is revealed to be insufficient. It is therefore necessary to practice a rigorous learning in the leash, then without leash, and finally for the recall. Many owners of Dobermanns walk their dogs more than they take out.

As for the pride of the Dobermann, which is one of its most fascinating features, it expresses itself through aesthetics: its majestic head-wear, its confident gait are not only apparent and perfectly reflect its type of character, for the least reserved; in fact, not being those who tend to party to strangers, this dog is insensitive to marks of cordiality; possibly a little forced guests.

It is understood that this distant attitude supposes the presence of the master. If not, the dog will be much more active; intractable, even fierce; in the surveillance of the house or the car. His instinct of protection of the territory being innate and hyper-developed, his vigilance is never faulted. In this area, there is no need for specific training: the dog reacts spontaneously. It naturally extends its protection to all those who live in the family territory, especially children, who will have to learn to respect this partner. With other dogs, the Dobermann does not necessarily look for a fight, but it will not be allowed to dominate. Also caution requires avoiding opportunities for confrontation.

The Dobermann, born and selected exclusively for the protection of property and people, is a very observant animal, endowed with a great memory, adaptable, understanding everything quickly, sensing, even guessing what his master does not tell him. He therefore has great training skills, although his psychology differs significantly from that of sheepdogs, which are most often used as a reference for trainers; he is hierarchizing much less easily than a Shepherd, he always keeps a dominating background, as well as a certain tendency to independence, which must be kept in check. To effectively channel his energy, the training will have to spare his susceptibility, take into account his native pride and especially motivate him. Because the Doberrnann is an enthusiast, who only works well out of love for his master. His attachment for this one is very deep, almost exclusive; hence, sometimes, a certain tendency to jealousy; and always goes with extreme mistrust towards strangers.

Unlike the reputation that is often made to him, the Dobermann is not a difficult dog but a demanding dog, which one must take care seriously. It may therefore be regretted that he is not more frequently presented in the work competitions (the trainers who try to make him work are, in fact, few). In his home country, but also in the United States and many other countries, Dobermann's favorite sport is the "Schutzhund" (compulsory in Germany for breeding). The Germans, who have exported their defensive dogs, have at the same time managed to impose their work program almost everywhere in the world. This is composed of tests of obedience, relaxation, biting and defense of the master; it relies less on athletic performance or the finesse of dressage than on a perfect performance.

Tracking is also a contest where the Dobermann can be illustrated; several subjects have in recent years reached the highest levels. He finds the opportunity to demonstrate his sense of initiative and to take advantage, at best, of his natural passion and flair; training in this discipline (accessible to the neophyte) has a great psychological interest because it reinforces the connivance with the master. It's probably in the ring that the Dobermann is the least comfortable. His athletic abilities are obviously not in question, but his bite is not adapted to the requirements of this discipline: the dog must indeed make a solid hold, bottom mouth, for fifteen seconds, while the Dobermann tends, him, to bite in successive shots, with the anterior teeth.

Work competitions are, of course, only a small number of dogs, most Dobermanns do not have such an opportunity for release. But their balance requires, imperiously, intense physical activities; they must therefore be offered long walks and frequent (but short) exercises. It would be same. frankly aberrant to leave such dogs at home, in a kennel, or to make warehouse keepers. Because the Dobermann needs human contacts: if possible varied and early, these contacts are essential to "civilize" the young dog and will not diminish his vigilance. On the other hand, if he is sentenced to solitary confinement, the animal may then become difficult to control.

In terms of health, the Dobermann is a robust dog, elegant, full of "substance". It does not present particular weak points; at most, one can detect in some subjects a sensitivity to skin diseases and external parasites (especially in the rare and very beautiful subjects blue and fire). It must be pointed out, however, the relative frequency of cardiac accidents; a problem common to many sport breeds, both full of passion and power. When counting dogs who have suffered a heart attack, the average longevity of Dobermann, a dozen years (subjects reaching fourteen years are rare), can go down to ten years. A rigorous lifestyle throughout one's life, more attention and monitoring when it reaches six or eight years are recommended.

The Dobermann was born and still lives today. under the sign of passion. His temperament can not be satisfied with compromises or half measures and it arouses in humans extreme reactions: on one side a victim of prejudice, on the other, it is defended with energy by its amateurs. You will probably be among them, if you are as demanding of yourself as your dog.

Deutsch

Dobermann

FCI-Standard Nº 143

Ursprung
Deutschland
Gruppe
Gruppe 2 : Pinscher und Schnauzer, Molosser und Schweizer Sennenhunde
Sektion
Sektion 1 : Pinscher und Schnauzer
Arbeitsprüfung
Mit Arbeitsprüfung
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
Samstag 01 Januar 1955
Publikation des gültigen offiziellen Standards
Freitag 13 November 2015
Letzten Aktualisierung
Donnerstag 17 Dezember 2015
En français, cette race se dit
Dobermann
In English, this breed is said
Dobermann
En español, esta raza se dice
Dobermann
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Dobermann

Verwendung

Begleit-, Schutz- und Gebrauchshund.

Kurzer geschichtlicher abriss

Die Dobermannrasse führt als einzige deutsche Rasse den Namen ihres ersten bekannten Züchters Friedrich Louis Dobermann (2.1.1834 - 9.6.1894).
Nach der Überlieferung war er Steuereintreiber, Abdeckereiverwalter und nebenbei städtischer Hundefänger, mit dem gesetzlichen Recht alle freiumherlaufenden Hunde einzufangen. Zur Zucht paarte er aus diesem Reservoir besonders scharfe Hunde. Die bedeutendste Rolle bei der Bildung der Dobermannrasse spielten sicherlich die sogenannten „Fleischerhunde“ die unter den damaligen Verhältnissen schon als eine relativ durchgezüchtete „Rasse“ angesehen werden konnten. Diese Hunde waren eine Art Vorläufer der heutigen Rottweiler vermischt mit einer Art Schäferhund, der in Thüringen in schwarz mit rostroten Abzeichen vorhanden war. Mit der hier aufgezählten Mischung von Hunden hat Dobermann in den 70er Jahren des vorigen Jahrhunderts gezüchtet. Er erhielt dadurch „seine Rasse“, d.h. Gebrauchshunde, die nicht allein wachsam sondern auch „mannfeste Hof- und Haushunde“ waren. Sie wurden viel als Hüte- und Polizeihunde eingesetzt. Die zahlreiche Verwendung im Polizeidienst führte damals zu dem Beinamen „Gendarmenhunde“. Bei der Jagd wurden sie überwiegend zur Bekämpfung des Raubwildes benutzt.
Unter den hier geschilderten Voraussetzungen war es fast zwangsläufig, dass der Dobermann schon zu Beginn dieses Jahrhunderts als Polizeihund offiziell anerkannt wurde. Die Dobermannzucht erstrebt einen mittelgroßen, kräftigen und muskulös gebauten Hund, der trotz aller Substanz in der Linienführung des Körpers Eleganz und Adel erkennen lässt.
Er soll sich als Begleit-, Schutz- und Gebrauchshund sowie als Familienhund in besonderem Masse eignen.

Allgemeines erscheinungsbild

Der Dobermann ist mittelgroß, kräftig und muskulös gebaut. Durch die elegante Linienführung seines Körpers, die stolze Haltung, das temperamentvolle Wesen und den Ausdruck von Entschlossenheit, entspricht er dem Idealbild eines Hundes.

Wichtige proportionen

Das Gebäude des Dobermanns erscheint fast quadratisch, dies gilt besonders für die Rüden. Die Rumpflänge (Brustbein bis Sitzbeinhöcker) soll die Widerristhöhe bei Rüden um nicht mehr als 5% und bei den Hündinnen um nicht mehr als 10% überschreiten.

Verhalten / charakter (wesen)

Die Grundstimmung des Dobermanns ist freundlich friedlich, in der Familie sehr anhänglich und kinderliebend. Gefordert werden ein mittleres Temperament und eine mittlere Schärfe. Weiterhin wird eine mittlere Reizschwelle gefordert. Bei einer guten Führigkeit und Arbeitsfreude des Dobermanns ist auf Leistungsfähigkeit, Mut und Härte zu achten. Bei angepasster Aufmerksamkeit gegenüber der Umwelt ist auf Selbstsicherheit und Unerschrockenheit besonders Wert zu legen.

Kopf

Oberkopf

Schädel
Kräftig, zum Gebäude passend. Von oben gesehen entspricht der Kopf einem stumpfen Keil. Die Querlinie des Scheitels soll von vorne gesehen annähernd waagrecht verlaufen, also nicht zu den Ohren abfallen.
Die fast gerade in Fortsetzung zum Nasenrücken verlaufende Scheitelbeinlinie fällt zum Nacken in leichter Rundung ab. Die Augenbrauenbögen sind gut entwickelt, ohne hervorzutreten. Die Stirnfurche ist noch sichtbar. Das Hinterhauptbein soll nicht auffällig sein.
Von vorn und oben betrachtet dürfen die Seitenflächen des Kopfes nicht ausladend (backig) wirken. Die seitliche leichte Wölbung des Oberkiefers und der Jochbeine müssen in Harmonie zur Gesamtlänge des Kopfes stehen. Die Muskeln des Kopfes sind kräftig entwickelt . 
Stop
Der Stirnabsatz ist gering, aber deutlich erkennbar ausgebildet.

Facial region

Nasenschwamm
Nasenkuppe gut ausgebildet, mehr breit als rund und mit großen Öffnungen, ohne insgesamt hervorzutreten. Bei schwarzen Hunden ist sie schwarz, bei braunen entsprechend mit einer helleren Tönung angepasst.
Fang
Der Fang muss im richtigen Verhältnis zum Oberkopf stehen und kräftig entwickelt sein. Der Fang ist tief, die Mundspalte soll weit bis zu den Molaren reichen. Eine gute Fangbreite muß auch im Bereich der oberen und unteren Schneidezähne vorhanden sein.
Lefzen
Sie sollen fest und glatt an den Kiefern liegen und einen straffen Verschluss der Mundspalte gewährleisten. Dunkle Pigmentierung, bei braun etwas hellere Tönung.
Kiefer / Zähne
Kräftiger, breiter Ober- und Unterkiefer. Scherengebiss, 42 Zähne entsprechend dem Zahnschema, normale Größe.
Augen
Sie sind mittelgroß, oval und von dunkler Farbe. Bei braunen Hunden ist eine etwas hellere Tönung erlaubt. Gut anliegende Augenlider. Lidrand behaart.
Ohren
Das hoch angesetzte Ohr wird aufrecht getragen und ist auf eine im Verhältnis zum Kopf passende Länge geschnitten. Soweit in einem Land Kupierverbot besteht, wird gleichrangig das unkupierte Ohr anerkannt. (Gewünscht mittelgroß und mit dem vorderen Rand glatt an den Wangen anliegend).

Hals

Im Verhältnis zum Körper und Kopf von guter Länge. Er ist trocken und muskulös. Die Linienführung ist aufsteigend und gefällig gebogen. Seine Haltung ist aufrecht und zeigt viel Adel.

Körper

Widerrist
Er soll besonders bei den Rüden in Höhe und Länge hervortreten und dadurch der Rückenlinie den von der Kruppe her ansteigenden Verlauf bestimmen.
Rücken
Kurz und fest, von guter Breite und gut bemuskelt.
Lenden
Von guter Breite und gut bemuskelt. Die Hündin kann in der Lendenpartie etwas länger sein, da sie für das Gesäuge Platz benötigt.
Kruppe
Sie soll vom Kreuzbein in Richtung Rutenansatz gering, also kaum wahrnehmbar abfallen; wirkt somit gut abgerundet, ist weder gerade noch auffällig abfallend. Gute Breite mit starker Muskulatur.
Brust
Die Brustlänge und –tiefe muß im richtigen Verhältnis zur Rumpflänge stehen, dabei soll die Tiefe mit leicht gewölbten Rippen annähernd die Hälfte der Widerristhöhe erreichen. Die Brust ist von guter Breite und nach vorn besonders ausgeprägt (Vorbrust).
Untere Profillinie und Bauch
Vom Ende des Brustbeins zum Becken ist die Bauchdecke deutlich aufgezogen.

Rute

Sie ist hoch angesetzt und kurz kupiert, wobei zwei Rutenwinkel sichtbar erhalten bleiben. In Ländern, in denen der Gesetzgeber ein Rutenkupierverbot erlassen hat, kann die Rute naturbelassen bleiben.

Gliedmassen

Vorderhand

Allgemeines
Die Vorderläufe stehen von allen Seiten gesehen fast gerade, d.h. senkrecht zum Boden und sind kräftig ausgebildet.
Schultern
Das Schulterblatt liegt fest dem Brustkorb an, ist beiderseits der Schulterblattgräte gut bemuskelt und überragt oben die Dornfortsätze der Brustwinkel. Möglichst schräg und gut zurückgelagert, beträgt der Winkel zur Waagerechten ca. 50°.
Oberarm
Gute Länge mit guter Bemuskelung, Winkel zum Schulterblatt etwa 105° - 110°.
Ellenbogen
Gut anliegend, nicht ausdrehend.
Unterarm
Kräftig und gerade, gute Bemuskelung. Länge in Harmonie zum Gesamtkörper.
Vorderfusswurzelgelenk
Kräftig.
Vordermittelfuss
Knochen kräftig, von vorn gesehen gerade, von der Seite nur angedeutete Schrägstellung (höchstens 10°).
Vorderpfoten
Die Pfoten sind kurz und geschlossen. Die Zehen sind nach oben gewölbt (Katzenpfoten); Nägel kurz, schwarz.

Hinterhand

Allgemeines
Von hinten betrachtet wirkt der Dobermann auf Grund seiner ausgeprägten Beckenmuskulatur in Hüfte und Kruppe breit und abgerundet. Die vom Becken zum Ober- und Unterschenkel verlaufenden Muskeln ergeben eine gute Breitenentwicklung auch im Oberschenkelbereich, in der Kniegegend und am Unterschenkel. Die kräftigen Hinterläufe sind gerade und stehen parallel.
Oberschenkel
Gute Länge und Breite mit starker Bemuskelung. Gute Winkelung am Hüftgelenk. Winkelung zur Horizontalen etwa 80° - 85°.
Unterschenkel
Mittellang, in Harmonie zur Gesamtlänge der Hinterhand.
Knie
Das Kniegelenk ist kräftig und wird vom Ober- und Unterschenkel sowie der Kniescheibe gebildet. Der Kniewinkel beträgt etwa 130°.
Hintermittelfuss
Er ist kurz und steht senkrecht zum Boden.
Sprunggelenk
Mittelkräftig, parallel. Die Unterschenkelknochen verbinden sich im Sprunggelenk mit dem Mittelfußknochen (Winkel ca.140°).
Hinterpfoten
Wie die Vorderpfoten sind auch die Zehen der hinteren Gliedmassen kurz, gewölbt und geschlossen. Nägel kurz, Schwarz.

Gangwerk

Das Gangwerk ist sowohl für die Leistungsfähigkeit, als auch für das Exterieur von besonderer Bedeutung. Der Gang ist elastisch, elegant, wendig, frei und raumgreifend.
Die Vorderläufe schwingen möglichst weit vor. Die Hinterhand gibt weitausgreifend und federnd die erforderliche Schubkraft.
Der Vorderlauf der einen und der Hinterlauf der anderen Seite werden zugleich nach vorne geführt. Gute Festigkeit des Rückens, der Bänder und Gelenke.

Haut

Die Haut liegt überall straff an und ist gut pigmentiert

Coat

Haar
Das Haar ist kurz, hart und dicht. Es liegt fest und glatt an und ist gleichmässig über die ganze Oberfläche verteilt. Unterwolle ist nicht statthaft.
Farbe
Die Farbe ist schwarz oder braun mit rostrotem, scharf abgegrenztem und sauberem Brand. Der Brand befindet sich am Fang, als Fleck auf den Backen und oberhalb der Augenbrauenbögen, an der Kehle, zwei Flecken auf der Brust, an den Mittelfüssen und Pfoten, an den Innenseiten der Hinterschenkel, am After und Sitzbeinhöcker.

Grösse und gewicht

Widerristhöhe
Rüden : 68 – 72 cm. Hündinnen : 63 – 68 cm. Jeweils Mittelgrösse erwünscht.

Fehler

• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden.

Allgemeine Fehler

 Allgemeines Erscheinungsbild: Mangelndes Geschlechts- gepräge; Wenig Substanz, zu leicht, zu schwer, hochgestellt, schwache Knochen.
 Kopf: Zu Kräftig; zu schmal, zu kurz, zu lang, zu viel/zu wenig Stop, Ramsnase, stark abfallende Scheitelbeinlinie, schwach ausgebildeter Unterkiefer, rundes oder Schlitzauge, helles Auge, zu starke Backen, nicht anliegende Lefzen, offenes- zu tief liegendes Auge, zu hoch oder zu tief angesetzte Ohren; offene Maulwinkel.
 Hals: Etwas kurz, zu kurz, übermässig entwickelte Kehlhaut, Wamme, Hirschhals, zu lang (unharmonisch).
 Körper: Rücken nicht fest, abfallende Kruppe, Senkrücken, Karpfenrücken, zu wenig oder zuviel Rippenwölbung, nicht genügend Brusttiefe bzw -breite, Rücken insgesamt zu lang, fehlende Vorbrust, zu hoch oder zu tief angesetzte Rute, Bauchlinie zu wenig / zu stark aufgezogen.
 Gliedmassen: Zu wenig oder zuviel Winkelung der Vorder- bzw Hinterhand, Ellenbogen lose, vom Standard abweichende Lage und Länge der Knochen und Gelenke, zehenenger und zehenweiter Stand, kuhhessiger/fassbeiniger und enghessiger Stand der Hinterhand, offene oder weiche Pfoten, verkümmerte Zehen, helle Nägel.
 Haarkleid: Zu heller, nicht scharf abgegrenzter, unsauberer (rußiger) Brand, zu dunkle Maske, grosse schwarze Flecken an den Läufen, kaum sichtbare oder auch zu grosse Brustflecken; Langes, weiches, glanzloses und welliges Haar sowie haararme und kahle Stellen; Größere Haarwinkel besonders am Körper, sichtbare Unterwolle.
 Wesen: Mangelnde Selbstsicherheit, zu hohes Temperament, zu hohe Schärfe, zu niedrige oder zu hohe Reizschwelle.
 Grösse: Abweichende Grössen vom Standardmass bis 2 cm sind durch Herabsetzung im Formwert zu ahnden.
 Gangwerk: Wackeliger, trippelnder, unfreier Gang und Passgang.

Disqualifizierende fehler

 Aggressive oder übermässig ängstliche Hunde.
 Wesen : Ängstliche, nervöse und aggresive Hunde.
 Allgemeines: Ausgesprochene Umkehrung des Geschlechtsgepräges.
 Auge: Gelbes Auge (Greifvogelauge) Verschiedenfarbige Augen.
 Gebiss: Vorbiss, Zangengebiss, Rückbiss und Zahnunterzahl nach dem Zahnschema.
 Haarkleid: Weisse Flecken, ausgesprochen lang und wellhaarige Hunde, ausgesprochen dünne Behaarung und grössere Kahlstellen.
 Grösse: Hunde die mehr als 2 cm von dem Standardmass nach unten oder oben abweichen.

NB :

• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden.

Bibliografie

http://www.fci.be/

 

Detaillierter Verlauf

Der Dobermann ist eine Rasse, die ein Jahrhundert des Bestehens hat: die ersten Exemplare erschienen um 1885; etwa zehn Jahre vor denen von zwei anderen berühmten Rassen, dem Deutschen Schäferhund und dem Boxer. Es gibt auch einen wichtigen Unterschied zwischen ihnen: Der Deutsche Schäferhund und der Boxer können sich tatsächlich rühmen, das moderne Ergebnis eines angestammten Typs zu sein, lupoide Schäferhunde in einem Fall, Kampfhunde in der während der Dobermann einen wirklich neuen Typ darstellt (man würde es schwer finden, in Schriften oder alten Gemälden einen ähnlichen Hund zu finden).

Schon der Name der Rasse spiegelt ihre Originalität in der Hundewelt wider, denn sie trägt den Namen ihres Schöpfers, eines gewissen Friedrich Ludwig Dobermann (1834 - 1894). Dieser Mann wird oft als Pfandhalter oder Gerichtsvollzieher der Stadt Apolda in Thüringen dargestellt. Tatsächlich hatte dieser kommunale Angestellte mehrere Funktionen: Er kontrollierte Schlachthöfe, kümmerte sich um Putzarbeiten, nahm streunende Hunde auf und sammelte Geldstrafen, Miete und verschiedene Lizenzgebühren. Kurz gesagt, der Bürgermeister von Apolda beschuldigte ihn mit allen möglichen undankbaren Aufgaben und schwierigen Schritten.

Aufgrund seiner Rolle war es wahrscheinlich, dass der Charakter nicht viele Freunde in den spät zahlenden Bürgern fand oder eine Geldstrafe zu zahlen hatte. Außerdem, wenn er zu Pferd in dieser hügeligen und bewaldeten Ecke Thüringens ritt und manchmal große Geldsummen trug, hatte er vielleicht Angst, etwas Unheiliges zu tun. Es ist daher natürlich, dass er daran dachte, Hunde mit einem Temperament mitzubringen, die ihm im Falle von Schwierigkeiten helfen können. Solche Hunde muss er unter denen bemerkt haben, die er ins Pfund fahren musste oder die er auf den Farmen reiben musste, als er ohne Annehmlichkeit gegrüßt wurde. Die Auswahl war rudimentär, sicherlich, aber effektiv. Und da er durch seine Funktionen Zugang zu den Schlachthöfen hatte, entstand das Problem der Nahrung, um eine große Packung schwerer Hunde zu halten, nicht.

Wir wissen nicht genau, mit welchen Hunden er die Rasse geschaffen hat, die seinen Namen trägt, denn er hat keine Aufzeichnungen über seine Auswahl hinterlassen. Anfangs plante er wahrscheinlich nicht, genau eine Rasse zu "machen", und er begnügte sich damit, Hunde zu vereinen, deren Charakter dem entsprach, wonach er suchte. Aber der Ruf, den seine Hunde schnell in der Region erlangten, entschied sich anders, denn viele waren Hundefreunde, die an dem Typ interessiert waren, den er sehr empirisch erworben hatte.

Angesichts des Mangels an Dokumenten zu Friedrich Ludwig Dobermanns Experimenten sind Spezialisten darauf angewiesen, zu spekulieren, um zu versuchen, ihre Reise zu rekonstruieren, indem sie die Rassenwurzeln des Hundes finden, den wir heute kennen.

So dachten die französischen Kynologen angesichts ihres charakteristischen schwarzen und feuerroten Kleides an unseren nationalen Beauceron. Man könnte einwenden, dass die morphologischen Typen der beiden Rassen ziemlich weit voneinander entfernt sind; aber haben die französischen Züchter der zwanziger Jahre kein "dobermannisiertes" Low-Red gewählt, das heißt, raffiniert und kurzhaarig, fast schlaff? Und um die Anwesenheit des französischen Hundes in Thüringen zu erklären, wurde vermutet, dass die napoleonischen Armeen bei ihren Feldzügen Exemplare zurückgelassen haben könnten.

Es muss zugegeben werden, dass diese Hypothese, wenn sie einen bestimmten Herzmuskelgeist erfüllt, vor allem als eine Manifestation der Germanophobie einer gewissen Zeit erscheint, die zum Beispiel dazu führte, dass trotz der Beweise eine deutsche Abstammung dem Deutschen Schäferhund abgesprochen wurde "Elsässer". Fügen wir hinzu, dass Frankreich nicht die Exklusivität von alten und soliden Mastiffs mit Schwarz- und Feuerkleidung hatte. Auf der anderen Seite waren sie auch weit verbreitet und z. B. Rottweiler oder Hovawart geboren. Sie sind auch die Vorfahren der ersten deutschen Schäferhunde. Es ist vernünftig zu folgern, dass sie teilweise für die charakteristische Farbe und Größe des Dobermanns verantwortlich sind.

Aber der Dobermann erinnert an einen anderen Hundetyp: den Pinscher. In der Mitte des 19. Jahrhunderts war dieser Hund einer der am weitesten verbreiteten Hunde: Während das Pferd noch allgegenwärtig war, als ein Reittier oder für die Beförderung, war die Anwesenheit eines Nagetierzerstörers in Alle Ställe und Farmen Der Pinscher, der Name kommt aus dem Englischen, um zu kneifen, festzuziehen, zu kneifen, kann als die deutsche Version von französischen Hunderassen und Terriern (nicht Bassets) angesehen werden, die das Englische besaßen. sehr alt, sein morphologischer Typ könnte mit dem des Neolithischen Canis palustris verglichen werden, das dank der Archäologie gut bekannt ist, könnte es einen kurzen oder gekritzelten Haar-, Wald-, schwarzen oder grauenwolf haben. das heißt, der Schnauzer, hat schnell einen großen Erfolg gehabt. Der Pinscher mit kurzen Haaren, es hat sich fast nicht durch den Dobermann verewigt. Tatsächlich ist letzterer, der ursprünglich hatte deutlich der Name Pinscher wurde vor dem mittleren Pinscher geprägt. Es ist daher legitim, den Dobermann als eine Art Riesenpinscher zu betrachten, er besaß die Qualitäten der Kampfeslust und der Lebendigkeit; und bis zur Art zu beißen; Deutsch ratier, mit dem Vorteil einer größeren Größe, so dass er ein Wachhund und Verteidigung werden. Die Idee, einen riesigen Terrier zu kreieren, lag in der Luft der Zeit: Sie führte in Großbritannien zur Entwicklung der Airedale, während die Münchner die ersten Riesenschnauzer erschufen.

Die ältesten Dokumente, die die ersten Dobermanns zeigen, bestätigen die Abstammung des Pinschers, FL Dobermann hat in diesem Hundetyp wahrscheinlich den Mut und das Beizmittel erkannt, das er suchte. Dies ist auch die Meinung der deutschen Zeitschrift Unsere Hunde (zitiert von J. Mézières und A. Whilhelm, Autoren von Nachschlagewerken über Rasse), die in ihrer Dezemberausgabe 1898 folgendes schrieb : "Um 1870 besaß Dietsch, der Besitzer von Sandgruben in Apolda, eine blau-graue Hündin, eine Art Pinscher, die er von einem schwarzen Metzgerhund erlegte. Dieser Hengst besaß bereits die charakteristischen Feuerflecken und kam aus einer Kreuzung zwischen einem Schäferhund und einem Metzgerhund. Die leider zu früh verstorbene Dobermann-Putzmaschine kreuzte die Nachkommen dieser beiden Hunde, die mit deutschen Pinschern gute Wachhunde geworden waren. Hier ist der Ursprung des heutigen Dobermanns. Da festgestellt wird, dass dieser Mann diese Hunde zuerst ausgewählt hat, haben wir keine Einwände dagegen, dass sie seinen Namen fortführen. "

Diese Pinscher Abstammung wird anerkannt, aber ein halbes Dutzend anderer Rassen werden für den Dienst zitiert; oder dienen; zur Entwicklung dieser eminent tonischen Mischung, die den Namen Doberman trägt. Also, um einen Dobermann mit herabhängenden Ohren zu sehen (ihr natürlicher Port, wenn sie nicht geschnitten werden), können wir den Beitrag von Braques Germanen, sogar Braques Weimar, vermuten, die Rolle dieser Hunde ist zwar wahr, nicht nur um zu suchen, zu stoppen, das Spiel zurückzubringen, sondern auch die Zerstörung von schädlichen Tieren und die Wache des Spiels. Aber da der Dobermann oft für diesen beißenden Charakter verantwortlich gemacht wird, müssen wir uns fragen, wer am meisten zum anderen gebracht hat.

Um die Eleganz der Dobermann-Linien zu erklären, haben einige an den Greyhound gedacht. Insbesondere erwähnen wir oft die Verwendung von Greyhound-Läusen, mit einem schwarzen Fell und einem sehr aggressiven Temperament. Die Deutsche Dogge kehrt auch regelmäßig als wahrscheinlicher Aszendent zurück, wegen ihrer Größe und der blauen Farbe, die sie übertragen hätte. Eine solche Abstammung ist zulässig, wenn man bedenkt, daß dieser Hund Ende des neunzehnten Jahrhunderts weniger gigantisch war als heute, da das Männchen zwischen 75 und 80 Zentimetern betrug. Schließlich, in den Adern des Dobermanns, wäre Terrier Black and Tan (Schwarz und Feuer) Blut veredelt worden, was die Morphologie verfeinert und mehr anhaltende Feuer gegeben hätte.

In der Tat wäre die Zukunft des Rennens anders verlaufen, wenn Herr Dobermann keine Freunde und Nachfolger gehabt hätte, um seine Arbeit fortzusetzen. Vor allem das Eingreifen von Otto Goller war ausschlaggebend für den Wechsel vom primitiven, kompakten, sehr mittelgroßen Dobermann Dobermann (50 bis 60 cm) und dem eher kurzen und dicken Kopf zum heutigen Spitzensportler bestreitet einen der schönsten Eckzähne.

Ein weiterer Gründervater, Goswin Tischler, bewachte das Schicksal des Dobermanns, indem er nach einer Straße in Apolda einen berühmten Zwinger namens "von Grönland" gründete. Zu den ersten von FL Dobermann zugelassenen Themen; Lux, Landgraf, Rambo, Schnupp (dieser mit der Nummer 1 im Zuchtbuch der Rasse); Tischlers Themen kamen hinzu: Seine Hunde Bosco und Caesi beispielsweise produzierten den ersten Champion der Rasse, Prinz Matzi von Groenland, geboren am 15. August 1895.

Otto Goller, der die Aufschrift "von Thüringen" trug, erhielt seine Untertanen ab 1901. Unter den von ihm produzierten Hengsten, die als Patriarchen der Rasse gelten, ist Hellegraf von Thüringen, geb. 12. Juni 1904. Zuvor hatte er von Tischler ein Thema erworben, das in seinen Händen einen bemerkenswerten Rennfahrer, Graf Belling, enthüllte. Im Jahr 1910, mit der Geburt von zwei anderen großen Rennfahrern, beenden Bodo und Bob von Egenfeld, deren Köpfe bereits fast die Schnitzerei und Eleganz der aktuellen Hunde hatten, die Periode der Ausarbeitung des Rennens. Zweifellos wurden nach diesem Datum verschiedene Infusionen anderer Rassen ausprobiert, mit mehr oder weniger Glück, wie zum Beispiel der Manchester Terrier, der Finesse und nachhaltigere Farben bringen konnte. und regelmäßig, aber auch eine Vorlage zu leicht.

Was den englischen Greyhound anbelangt, scheint er höhere Größen, aber auch einen flachen Brustkorb und einen zu langen Körper gegeben zu haben. Diese Übergänge hatten so unerwünschte Eigenschaften hervorgebracht, die die Bauern in der Zwischenkriegszeit zu beseitigen suchten. Mit der Wahl zwischen zwei Optionen: um die ursprünglichen Qualitäten der Rasse zu bewahren, bereits legendär, Hartnäckigkeit und Mut oder entwickeln sich zu einer flexibleren Art von Charakter, mit einer feineren Morphologie. Dies ist im Wesentlichen die erste Lösung, die angenommen wurde.

Der Dobermann eroberte schnell viele Amateure, Deutsche und Europäer. Dieses Phänomen, das selten betont wird, zeigt, was die potentiellen Qualitäten der Rasse in ihren Anfängen waren. Der erste Club wurde 1899 von Otto Goller in Apolda gegründet. Schnell wurden ein Dutzend weiterer Vereine, vor allem in Süddeutschland, gegründet, die sich 1912 als Teil eines großen Vereins zusammenschlossen Deutschland. Aufgrund seiner verführerischen Kraft wurde der Dobermann sehr früh in Ausstellungen präsentiert. In Köln gab es 1910 einen Rekord von 105 Verpflichtungen.

Außerhalb Deutschlands hatten die Schweizer die schnellsten Reflexe: Bereits 1902, als sie in Arau einen Club gründeten, zeigten sie, wie sehr sie diesen Hund mit einer sauberen, pflegeleichten Silhouette mochten. Die Holländer folgten 1909, und sie waren die ersten, die ihre Anpassung an das tropische Klima bemerkten, als sie es in ihre fernen Kolonien brachten, besonders auf den Philippinen. Zur gleichen Zeit entdeckten die Elsässer diese wiederum und ein erster lokaler Verein wurde 1913 gegründet. Ein nationaler Klub, der im Prinzip das ganze Hexagon abdecken sollte, wurde 1920 in Straßburg gegründet, aber es war notwendig, bis fast zu warten 60er Jahren, dass sich der Dobermann in den meisten französischen Regionen ausbreitete.

Die Amerikaner erlebten auf ihre Kosten die Qualitäten dieses Kriegshundes, den die deutsche Armee während des ersten Weltkrieges benutzte; Sie reagierten sehr pragmatisch und zögerten nach dem Krieg nicht, gute Züchter zu gewinnen, um sich ein Rennen zu akklimatisieren, das sich bewährt hatte. So wurde 1922 ein amerikanischer Club geboren. Österreich und Italien haben auch den Dobermann übernommen, und dann haben Länder mit heißen Klimazonen wie Uruguay und Brasilien sie schnell zu ihrem Lieblingswächter gemacht. Am Ende war es einmal Großbritannien, das den Wagen benutzte. Ohne Zweifel, wegen der obligatorischen Quarantäne von sechs Monaten in diesem Land und vor allem wegen des Verbots, die Ohren zu beschneiden (was die Silhouette des Hundes erheblich verändert), hat die Rasse dort bis 1947 nicht wirklich Fuß gefasst Also, schnell geschätzt - in den meisten Fällen; Sobald es entdeckt wurde, wurde der Dobermann einer der effektivsten Wachhunde, also der am meisten verbreitete in der Welt.

Als Dobermann konzipiert, war der Dobermann im Wesentlichen auf das erste Viertel des zwanzigsten Jahrhunderts beschränkt, in dieser Funktion, ob es nun um Einzelpersonen oder die Verwaltung ging. Weil es das "Muss" in Bezug auf Mut, Hartnäckigkeit, Geschwindigkeit des Eingreifens darstellte, neigten seine Benutzer, ihre Qualitäten zu erhöhen, hinzuzufügen, und machten es einen Ruf als ein unbequem Hund, sehr schwer, schwer zu kontrollieren. In den zwanziger Jahren drückte ein renommierter Schweizer Züchter, Gottfried Liechti, diese Mentalität sehr gut aus: "Sie waren sicherlich robust und hatten vor nichts Angst; nicht einmal der Teufel selbst; und es hat viel Mut gekostet, einen zu besitzen. "

Gleiches gilt für den Begründer der Rasse, Philipp Grünig, der über den 1897 geborenen Alarich von Thüringen berichtet: "Er war bekannt für seine unglaubliche Intelligenz und war dennoch gefürchtet. Die Intelligenz, kombiniert mit einer gewissen Rauheit, charakterisiert diese Hunde natürlich, aber es ist nicht unbedingt notwendig, ihre Kühnheit als absolut und ihre Intelligenz als unglaublich zu bezeichnen, als ob sie sich selbst erschrecken wollten beschreibt ein Tier fast teuflisch (die Farbe des Kleides hilft). Es ist auch notwendig, diese etwas übertriebenen Bemerkungen in ihren Zusammenhang zu stellen: Die Konkurrenz war damals groß zwischen germanischen Rassen, die ungefähr zur gleichen Zeit für ähnliche Jobs ausgewählt wurden, aber von "Familien" radikal verschiedene Eckzähne; Deutscher Schäferhund, Boxer, Rottweiler, Dobermann suchten den Titel bester Wachhund.

Heute entspricht dieses Bild nur teilweise der Realität: Wenn der Dobermann, Hund der Runde und Intervention im "Zivil", auch ein ausgezeichnetes Arbeitstier bleibt, geeignet für die Wettkämpfe von Hunden der Verteidigung, von Solche Nutzhunde sind nur ein kleiner Teil der Bevölkerung von Dobermanns, die wegen ihres größten Glücks und der Freude ihres Meisters die meiste Zeit bequem in einem Sessel oder Kissen verbringen, Mit dem Auto gefahren werden, wer die Luft im Garten nimmt, wer die letzten Schultern trägt, um geradeaus zu gehen.

Natürlich darf nicht abgeleitet werden, dass der Dobermann für alle Lehrer und Situationen geeignet ist. Dieser Hund, der nicht übermäßig nervös ist, ist nie gemein; oder einfach aggressiv; ohne Grund. Es ist ein ausgewogenes Tier, aber von Charakter. Der Meister eines Dobermanns ist, kann und darf nicht derselbe wie der eines Pudels sein. Um seinen vielen Qualitäten voll gerecht zu werden, verlangt dieser Hund als Gegenleistung, dass sein Herr etwas hat. Es ist daher ratsam für jemanden, der mit der Rasse nicht vertraut ist oder der noch keinen männlichen Hund behandelt hat, ein Weibchen zu wählen, wenn er in der "Dobermannia" starten möchte. Im Temperament geschmeidiger, demonstrativer in ihrer Zuneigung und süßer, besitzt sie dennoch Wachsamkeit, die der des Mannes entspricht. Auf der anderen Seite, für diejenigen, die eine feste Hand haben (aber nicht brutal) und das "Gefühl" mit den Hunden, in Ermangelung einer großen Erfahrung in der Dressur, kann der ganze Charakter eines männlichen Dobermann nur Quelle sein von Freuden und Stolz. Eine Bedingung jedoch: Zu dieser behandschuhten Samtfestigkeit muss der Meister eines Dobermanns Ruhe und Geduld hinzufügen. Lasst uns also diesen Hund nicht unverblümt an die Vellitarier, die Debütigen, an diejenigen richten, die sich weigern, Autorität zu zeigen.

Ein guter Lehrer muss daher gut über die tiefe Natur des Dobermanns informiert sein. Vor allem ist es ein dominierender Hund; wenn der Neophyt diese Eigenschaft bei seinem drei Monate alten Welpen nicht entdeckt, wird sie auf ihn springen, wenn der Welpe ein plumpes acht Monate altes Kind wird. Tatsächlich versucht der Hund einfach, Rudelführer zu werden, um zu sehen, ob "es funktioniert". Und manchmal, tatsächlich, erreicht er sein Ziel: es wird genug gewesen sein, um ihn zu schelten, seine Zähne zu zeigen, seinen Willen durchzusetzen. Diese Einschüchterungsmanöver sollten sich jedoch nicht einschüchtern lassen. Der Meister muss sich so verhalten, mit einem fairen aber festen Griff.

Diese Mischung aus Gerechtigkeit und Autorität ist umso notwendiger, weil Stolz und Unabhängigkeit zwei weitere grundlegende Bestandteile von Dobermans Verhalten sind. Während er sehr an seinen Meistern hängt, ist es ein Hund, der oft dazu neigt, seinen Kopf zu machen, da sich der erzieherische Druck des Meisters als unzureichend erweist. Es ist daher notwendig, ein strenges Lernen in der Leine, dann ohne Leine und schließlich für den Rückruf zu üben. Viele Dobermann-Besitzer gehen ihren Hunden mehr als sie wegnehmen.

Was den Stolz des Dobermanns betrifft, der eines seiner faszinierendsten Merkmale ist, drückt es sich durch die Ästhetik aus: seine majestätische Kopfbedeckung, seine selbstbewusste Gangart sind nicht nur offensichtlich und spiegeln perfekt seine Art des Charakters, für die am wenigsten reserviert; in der Tat, nicht diejenigen, die dazu neigen, Fremde zu feiern, dieser Hund ist unempfindlich gegen die Zeichen der Herzlichkeit; möglicherweise ein wenig gezwungene Gäste.

Es versteht sich, dass diese entfernte Haltung die Anwesenheit des Meisters voraussetzt. Wenn nicht, wird der Hund viel aktiver sein; hartnäckig, sogar heftig; in der Überwachung des Hauses oder des Autos. Sein Instinkt für den Schutz des Territoriums ist angeboren und hyperentwickelt, seine Wachsamkeit wird nie in Frage gestellt. In diesem Bereich ist kein spezielles Training erforderlich: Der Hund reagiert spontan. Es dehnt natürlich seinen Schutz auf alle aus, die im Familiengebiet leben, besonders auf Kinder, die lernen müssen, diesen Partner zu respektieren. Mit anderen Hunden sucht der Dobermann nicht unbedingt einen Kampf, aber er darf nicht dominieren. Auch Vorsicht erfordert die Vermeidung von Konfrontationsmöglichkeiten.

Der Dobermann, geboren und ausgewählt ausschließlich für den Schutz von Eigentum und Menschen, ist ein sehr aufmerksames Tier, ausgestattet mit einem großen Gedächtnis, anpassungsfähig, alles schnell verstehend, spürend, sogar erratend, was sein Meister ihm nicht sagt. Er verfügt daher über hervorragende Trainingsfähigkeiten, obwohl seine Psychologie sich signifikant von der der Schäferhunde unterscheidet, die am häufigsten als Referenz für Trainer verwendet werden; er hierarchisiert sich viel weniger leicht als ein Hirte, er behält immer einen dominierenden Hintergrund, ebenso wie eine gewisse Tendenz zur Unabhängigkeit, die in Schach gehalten werden muss. Um seine Energie effektiv zu kanalisieren, muss das Training seine Empfänglichkeit bewahren, seinen Heimatstolz berücksichtigen und ihn besonders motivieren. Denn der Doberrnann ist ein Enthusiast, der nur aus Liebe zu seinem Meister gut arbeitet. Seine Anhaftung an diesen einen ist sehr tief, fast exklusiv; daher manchmal eine gewisse Tendenz zur Eifersucht; und geht immer mit extremem Misstrauen gegenüber Fremden.

Anders als der Ruf, der ihm oft entgegengebracht wird, ist der Dobermann kein schwieriger Hund, sondern ein anspruchsvoller Hund, den man ernst nehmen muss. Es kann daher bedauert werden, dass er nicht häufiger in den Arbeitswettbewerben präsentiert wird (die Ausbilder, die versuchen, ihn zur Arbeit zu bringen, sind in der Tat wenige). In seinem Heimatland, aber auch in den USA und vielen anderen Ländern ist Dobermanns Lieblingssport der "Schutzhund". Die Deutschen, die ihre Abwehrhunde exportiert haben, haben es gleichzeitig fast überall auf der Welt geschafft, ihr Arbeitsprogramm durchzusetzen. Dies besteht aus Prüfungen des Gehorsams, der Entspannung, des Beißens und der Verteidigung des Meisters; Es setzt weniger auf sportliche Leistung oder die Finesse der Dressur als auf eine perfekte Leistung.

Tracking ist auch ein Wettbewerb, bei dem der Dobermann illustriert werden kann; mehrere Fächer haben in den letzten Jahren die höchsten Niveaus erreicht. Er findet die Möglichkeit, seinen Sinn für Initiative zu zeigen und bestenfalls seine natürliche Leidenschaft und sein Gespür zu nutzen; Training in dieser Disziplin (zugänglich für den Neophyten) hat ein großes psychologisches Interesse, weil es die Unterordnung mit dem Meister verstärkt. Es ist wahrscheinlich im Ring, dass der Dobermann am wenigsten bequem ist. Seine athletischen Fähigkeiten sind offensichtlich nicht in Frage, aber sein Biss ist nicht an die Anforderungen dieser Disziplin angepasst: Der Hund muss in der Tat einen festen Halt, Boden Mund, für fünfzehn Sekunden, während der Dobermann neigt, ihn, bei aufeinanderfolgenden Schüssen mit den Frontzähnen zu beißen.

Arbeitswettbewerbe sind natürlich nur eine kleine Anzahl von Hunden, die meisten Dobermanns haben keine solche Möglichkeit zur Freilassung. Aber ihr Gleichgewicht erfordert gebieterisch intensive körperliche Aktivitäten; Sie müssen daher lange Spaziergänge und häufige (aber kurze) Übungen angeboten werden. Es wäre das gleiche. ehrlich gesagt, solche Hunde zu Hause, in einem Zwinger zu lassen oder Lagerhalter zu machen. Weil der Dobermann menschliche Kontakte braucht: wenn möglich, vielfältig und früh, sind diese Kontakte wichtig, um den jungen Hund zu "zivilisieren" und seine Wachsamkeit nicht zu verringern. Auf der anderen Seite, wenn er zu Einzelhaft verurteilt wird, kann es schwierig werden, das Tier zu kontrollieren.

In puncto Gesundheit ist der Dobermann ein robuster Hund, elegant, voller "Substanz". Es zeigt keine besonderen Schwachstellen; höchstens kann man bei manchen Personen eine Empfindlichkeit gegenüber Hautkrankheiten und äußeren Parasiten feststellen (besonders bei den seltenen und sehr schönen Motiven Blau und Feuer). Es muss jedoch darauf hingewiesen werden, die relative Häufigkeit von Herzinfarkten; ein Problem, das vielen Sportrassen gemeinsam ist, beide voller Leidenschaft und Kraft. Bei der Zählung von Hunden, die einen Herzinfarkt erlitten haben, kann die durchschnittliche Lebensdauer von Dobermann, die ein Dutzend Jahre beträgt (Personen, die vierzehn Jahre alt sind, selten sind), auf zehn Jahre sinken. Ein stringenter Lebensstil während des gesamten Lebens, mehr Aufmerksamkeit und Überwachung, wenn es sechs oder acht Jahre erreicht, werden empfohlen.

Der Dobermann wurde geboren und lebt noch heute. im Zeichen der Leidenschaft. Sein Temperament kann sich nicht mit Kompromissen oder halben Takten zufrieden geben und ruft beim Menschen extreme Reaktionen hervor: Auf der einen Seite wird ein Opfer von Vorurteilen, auf der anderen Seite wird es von seinen Amateuren mit Energie verteidigt. Sie werden wahrscheinlich unter ihnen sein, wenn Sie so anspruchsvoll sind wie Ihr Hund.

Español

Dobermann

FCI Standard Nº 143

Origen
Alemania
Traducción
Federación Canófila Mexicana A.C.
Grupo
Grupo 2 Perros tipo Pinscher y Schnauzer - Molosoides y perros tipo montaña y boyeros suizos
Sección
Sección 1 Pinscher y Schnauzer
Prueba de trabajo
Con prueba de trabajo
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
sábado 01 enero 1955
Publicación del estándar oficial válido
viernes 13 noviembre 2015
Última actualización
viernes 30 septiembre 2016
En français, cette race se dit
Dobermann
In English, this breed is said
Dobermann
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Dobermann
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Dobermann

Utilizacion

Perro de utilidad, compañía y protección.

Breve resumen historico

La raza Dobermann es en Alemania la única en llevar el nombre de su primer criador conocido: Friederich Louis Dobermann (2 de enero, 1834 - 9 de junio, 1894).
Según la historia, él era recaudador de impuestos, administrador de un rastro, y además "perrero", con el derecho legal de atrapar a todos los perros que anduviesen libres. Para la crianza, él apareó perros especialmente mordedores del refugio canino. Los "perros de carnicero" jugaron el papel más importante en la formación de la raza Dobermann, que en aquellos tiempos ya eran vistos como una raza en sí. Dichos perros eran del tipo de los precursores del Rottweiler actual, mezclados con un tipo de perro Pastor de color negro con marcas rojo-óxido que era común en la región de Turingia. Con éstas mezclas, Dobermann inició su criadero en los años 70 del siglo pasado. De ésta manera, el obtuvo "su raza" de perros de utilidad, de hogar y ranchos, que no eran sólo vigilantes, sino también muy apegados al hombre. Se le utilizaba mucho como perro de protección y para la policía.
Su amplia utilidad en el Servicio Policíaco le dio en aquel tiempo el nombre de "perro gendarme". En la cacería se le utilizaba principalmente para el exterminio de las alimañas. Por todas las condiciones anteriormente expuestas, era caso obvio que el Dobermann se reconociera oficialmente como perro policía al principio de éste siglo. La crianza del Doberman dió como resultado un perro mediano, fuerte y musculoso, que a pesar de toda su substancia permite reconocer elegancia y nobleza. Es idóneo como perro de compañía, protección y utilidad.

Aspecto general

De tamaño mediano, fuerte y musculoso. Las líneas elegantes de su cuerpo, la actitud altanera, la naturaleza temperamental y la expresión de un perro decidido, corresponden a la imagen del perro ideal.

Proporciones importantes

La forma de su cuerpo es más bien cuadrada, sobre todo en los machos. La longitud del tronco (medida desde la articulación del hombro hasta las protuberancias ilíacas) en relación con la altura a la cruz, no debe sobrepasar 5% en machos y 10% en hembras.

Temperamento / comportamiento

Esencialmente amistoso y pacífico. Muy dependiente de la familia y cariñoso con los niños. Se le fomenta una bravura y un temperamento medianos, además de un umbral de excitación mediano. Debido a su docilidad y alegría para el trabajo el Dobermann se caracteriza por su valor, dureza y capacidad. Con una adecuada atención de su entorno, se le puede valorar principalmente por ser muy seguro de sí mismo y nada asustadizo.

Cabeza

Region craneal

Cráneo
Fuerte, adecuada a su aspecto general; vista desde arriba, presenta una cuña aguda; la línea transversal de su coronilla, vista de frente, debe ser casi horizontal, o sea, no debe caer sobre las orejas. La línea entre los parietales, que empieza desde la caña nasal, cae sobre la nuca con una leve redondez.
El área de las cejas está bien desarrollada, pero sin sobresalir. El surco frontal es visible. El hueso occipital no debe ser demasiado notorio. Vistos desde arriba y de frente los lados de la cabeza no deben ser muy abultados. La leve redondez lateral del maxilar superior y del arco cigomático deben estar en armonía con la longitud total de la cabeza. Los músculos de la cabeza están fuertemente desarrollados.  
Depresión naso-frontal (stop)
La depresión frontonasal es leve, pero debe ser reconocible.

Facial region

Trufa
Bien desarrollada, más ancha que redonda, con grandes orificios, pero sin sobresalir. En perros negros debe ser de color negro, en perros de color café debe ser de un color más claro.
Hocico
Debe estar en relación correcta con el cráneo, bien desarrollado, profundo. La apertura bucal debe llegar casi hasta los molares. También debe ser suficientemente amplio en el área de los incisivos superiores e inferiores.
Belfos
Deben estar bien apretados y adherentes a las mandíbulas y mostrar un rígido cierre en las comisuras. De pigmentación oscura; en perros cafés puede ser un poco más clara.
Mandíbulas / Dientes
Quijadas fuertes y anchas, tanto la superior como la inferior. Mordida de tijera, con 42 piezas dentales (de acuerdo a la fórmula dentaria), de tamaño normal.
Ojos
De tamaño mediano y ovalados, color oscuro; se permite una tonalidad un poco más clara en perros de color café. Párpados bien adherentes. Las comisuras poseen pelo.
Orejas
De implantación alta, se llevan levantadas y recortadas a una longitud relacionada con la cabeza. En los países donde se prohíben las amputaciones estéticas, las orejas completas se valoran de igual forma (se desea que tengan tamaño mediano con la orilla anterior bien pegada a las mejillas).

Cuello

En relación a la cabeza y el cuerpo, tiene una buena longitud. Compacto y musculoso. Su línea es ascendente y galantemente curva, de posición derecha, mostrando gallardía.

Cuerpo

Cruz
Debe sobresalir en altura y longitud, principalmente en machos, de manera que la espalda muestre una trayectoria ascendente desde la grupa.
Espalda
Corta, dura,ancha y bien musculada.
Lomo
La región lumbar debe ser ancha y bien musculada. Las hembras pueden tener la región lumbar un poco más larga, ya que necesitarán ése espacio durante la gestación.
Grupa
Forma un pequeño declive desde el sacro y hacia la implantación de la cola, no muy notorio, dando una impresión redondeada, no recta ni caída. Bien ancha, con una fuerte musculatura.
Pecho
La longitud y profundidad del pecho debe estar relacionada con la longitud del tronco, de manera que la profundidad del pecho (con costillas ligeramente abultadas) se aproxima a la mitad de la altura de la cruz. El pecho tiene buena anchura y es muy notorio adelante (antepecho).
Línea inferior
Desde el final del esternón hasta la pelvis, el abdomen se presenta claramente recogido.

Cola

De implantación alta, y amputada corta, quedando dos vértebras visibles. En países donde las amputaciones estéticas están prohibidas, se puede mostrar al perro con la cola de longitud normal.

Extremidades

Miembros anteriores

Generalidad
En general, vistos de cualquier ángulo, deben mantenerse rectos, perpendiculares al suelo, y de fuerte estructura.
Hombro
La escápula se presenta bien adherente al costillar, por ambos lados bien musculada, y sobrepasando a las espinas vertebrales superiores. Preferentemente bien inclinada y hacia atrás, formando un ángulo de 50 grados con una línea horizontal.
Brazo
Buena longitud, con una buena musculatura, formando un ángulo con la escápula de 105 a 110 grados.
Codo
Bien pegados al cuerpo, sin verse torcidos hacia afuera.
Antebrazo
Fuerte y recto, de buena musculatura. La longitud debe estar en armonía con todo el cuerpo.
Carpo
Fuerte.
Metacarpo
De huesos fuertes, visto de frente: recto, por los lados, con una pequeña inclinación (máximo 10 grados).
Pies delanteros
Cortos y cerrados. Los dedos son redondeados y hacia arriba (pie de gato), uñas cortas y negras.

Miembros posteriores

Generalidad
En general, vistos de atrás y debido a su buena musculatura pelviana y de la grupa, anchos y redondeados. Los músculos que corren desde la plevis hasta los muslos y piernas dan como resultado que el área del muslo, las rodillas y piernas sea bien ancha. Los miembros posteriores son fuertes y de posición paralela.
Muslo
Bien anchos y largos, con fuerte musculatura. Buena angulación en la articulación de la cadera. En ángulo en relación a una línea horizontal debe ser de 80 a 85 grados.
Pierna
De longitud mediana, en armonía con toda la extremidad.
Rodilla
La articulación es fuerte, formada por el muslo, pierna y rótula. La angulación debe ser de 130 grados.
Metatarso
Corto y perpendicular al suelo.
Corvejón
Medianamente fuertes, paralelos. Aquí se unen los huesos de la pierna con los del metatarso formando un ángulo aproximado de 140 grados.
Pies traseros
Así como en los delanteros, los dedos son cortos, redondeados y cerrados; uñas cortas y negras.

Movimiento

Tiene una especial importancia tanto para su capacidad al trabajo como para su apariencia. El movimiento es elástico, elegante, ágil, libre y espacioso. Los miembros anteriores se abalanzan lo más posible hacia adelante. Los miembros posteriores dan el empuje fuerte y necesario, logrando buena distancia. El miembro anterior de un lado, y el posterior del otro lado se dirigen hacia adelante al mismo tiempo. Buena rigidez en espalda y articulaciones.

Piel

En todo el cuerpo la piel está bien pigmentada y apretada.

Manto

Pelo
Debe ser corto, duro y denso, bien pegado y liso, uniformemente repartido sobre toda la superficie del cuerpo. No se permite lanilla interna.
Color
Negro o café oscuro con marcas limpias, bien delimitadas de color rojo-óxido. Estas marcas se encuentran en el hocico, mejillas, cejas, garganta, dos manchas en el pecho, en metacarpos, metatarsos y pies, parte interna de los muslos, región perineal y protuberancias iliácas.

Tamaño y peso

Altura a la cruz
Machos 68 - 72 cm. Hembras 63 - 68 cm En ambos casos se desea una medida intermedia.

Faltas

• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad.

Faltas generales

 Apariencia general: Ausencia de caracteres sexuales; Poca substancia, demasiado ligero, demasiado pesado, huesos débiles.
 Cabeza: Demasiado poderosa; muy delgada, muy corta, muy larga; Stop muy notorio o casi inadvertible; Nariz de borrego; Línea parietal muy caída; Mandíbula inferior débil, ojos redondos o rasgados; ojos claros, demasiado profundos o saltones; mejillas demasiado grandes, labios no adherentes; Orejas de implantación demasiado alta o demasiado baja; Ángulo del hocico abierto.
 Cuello: Moderadamente o demasiado corto, con demasiada piel, o papada; Cuello de venado, demasiado largo (no armónico).
 Cuerpo: Falta de dureza en la espalda, grupa caída, espalda vencida, espalda convexa; mucha o muy poca redondez de las costillas, profundidad o anchura de pecho insuficiente; Espalda demasiado larga en su totalidad, antepecho ausente, cola de implantación muy alta o muy baja; Vientre poco o demasiado recogido.
 Extremidades: Muy poca o demasiada angulación de los miembros anteriores y posteriores, codos sueltos; discrepancia en la posición y longitud de huesos y articulaciones; Al estar en pie, mantener la patas muy juntas o muy separadas; extremidades de vaca o abarriladas: Pies abiertos y blandos, dedos torcidos, uñas de color claro.
 Manto : Marcas muy claras, sin buena definición ni limpieza, máscara muy oscura, manchas oscuras y grandes en extremidades; Las marcas del pecho casi imperceptibles o demasiado grandes; Pelo largo, suave, sin brillo u ondulado, así como áreas alopécicas o con poco pelo; Grandes remolinos en el cuerpo, lanilla interna visible.
 Temperamento: No seguro de sí mismo, demasiado temperamental, demasiada bravura, agresividad, umbral de excitación demasiado alto o demasiado bajo.
 Tamaño: Cualquier medida distinta del estándar hasta por 2 cm es sancionable.
 Movimiento: Vacilante, con tropiezos, marcha y trote sin libertad.

Faltas descalificantes:

 Agresividad o extrema timidez.
 Carácter: Timidez, miedo; Perros nerviosos o exageradamente agresivos.
 En general: Inversión de caracteres sexuales (machos con caracteres femeninos y viceversa).
 Ojos: Amarillos (ojo de ave de rapiña), de distinto color (anisocromía).
 Dentadura: Prognatismo, mordida de pinza, enognatismo y fórmula dentaria incompleta.
 Manto: Manchas blancas, pelo blanco u ondulado, muy delgado o con grandes áreas alopécicas.
 Tamaño: Se descalifican perros que midan más o menos de dos centímetros de la medida del standard.

NB :

• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza.

Bibliografía

http://www.fci.be/

 

Historia detallada

El Dobermann es una raza que tiene un siglo de existencia: los primeros especímenes aparecieron alrededor de 1885; unos diez años antes que los de otras dos razas famosas, el pastor alemán y el boxeador. También hay una diferencia importante entre ellos: el pastor alemán y el boxeador pueden en realidad presumir de ser el resultado moderno de un tipo ancestral, el perro pastor ludoide en un caso, el perro de pelea en el mientras que el Dobermann representa un tipo verdaderamente nuevo (sería difícil encontrar un perro similar en las escrituras o pinturas antiguas).

El propio nombre de la raza refleja su originalidad en el mundo canino, ya que lleva el nombre de su creador, un tal Friedrich Ludwig Dobermann (1834 - 1894). Este hombre a menudo se presenta como un guardián de libras o un alguacil de la ciudad de Apolda en Turingia. De hecho, este empleado comunal tenía múltiples funciones: controlaba los mataderos, procesaba el manejo, recogía perros callejeros y también recaudaba multas, rentas y diversas regalías. En resumen, el burgomaestre de Apolda lo acusó de todo tipo de tareas ingratas y pasos difíciles.

Debido a su papel, es probable que el personaje no encontrara muchos amigos en los ciudadanos que pagaban tarde o que le ordenaran pagar una multa. Además, cuando viajaba a caballo, solo, en esta esquina montañosa y boscosa de Turingia, llevando a veces grandes sumas de dinero, podría temer intentar algo malo. Es natural, por lo tanto, que él pensara en traer consigo perros con temperamento, capaces de ayudarlo en caso de dificultad. Esos perros, él debe haber notado entre los que tenía que conducir en la libra o los que tenía que frotar en las granjas, cuando fue recibido sin comodidades. La selección fue rudimentaria, sin duda, pero efectiva. Y dado que, por sus funciones, tenía acceso a los mataderos, el problema de la comida, para mantener un gran paquete de perros pesados, no surgió.

No sabemos exactamente qué perros utilizó para crear la raza que llevaría su nombre, porque no dejó ningún registro escrito de su trabajo de selección. Al principio, además, probablemente no planeaba "hacer" exactamente una raza, y se contentó con unir perros cuyo carácter correspondía a lo que estaba buscando. Pero la reputación que adquirieron rápidamente sus perros en la región decidió lo contrario, porque muchos eran entusiastas de los perros interesados ​​en el tipo que había obtenido empíricamente.

Dada la falta de documentos sobre los experimentos de Friedrich Ludwig Dobermann, los especialistas se reducen a especular para tratar de reconstruir su viaje, al encontrar las raíces raciales del perro que conocemos hoy.

Así, los cinólogos franceses, considerando su característico vestido negro y de fuego, pensaron en nuestro Beauceron nacional. Se puede objetar que los tipos morfológicos de las dos razas están bastante separados; pero, ¿los criadores franceses de la década de 1920 no seleccionaron un rojo oscuro claramente "dobermannizado", es decir, refinado y de pelo corto, casi flácido? Y para explicar la presencia del perro francés en Turingia, se ha sugerido que los ejércitos napoleónicos podrían haber dejado especímenes en sus campañas.

Debe admitirse que esta hipótesis, si satisface cierto espíritu coercitivo, aparece sobre todo como una manifestación de la germanofobia de un cierto período, que llevó por ejemplo a negar, a pesar de la evidencia, una ascendencia alemana al pastor alemán, calificado "Alsaciano". Permítanos agregar que Francia no tenía la exclusividad de los mastines antiguos y sólidos con vestido negro y fuego. Por otro lado, también estaban muy extendidos y dieron a luz, por ejemplo, a Rottweiler o Hovawart. También son los antepasados ​​de los primeros pastores alemanes. Es razonable concluir que son parcialmente responsables del color y tamaño característicos del Doberman.

Pero el Dobermann es una reminiscencia de otro tipo canino: el Pinscher. A mediados del siglo XIX en Alemania, este perro era uno de los perros más extendidos: mientras que el caballo era omnipresente, como una montura o para el transporte, la presencia de un roedor destructivo era indispensable en todos los establos y granjas El Pinscher, el nombre viene del inglés para pellizcar, apretar, pellizcar, se puede considerar la versión alemana de las razas de perros franceses y los terriers (no bassets) que poseían el inglés. muy viejo, su tipo morfológico podría compararse con el del Neolítico Canis palustris, bien conocido gracias a la arqueología, podría tener un pelo corto o garabateado, leonado, negro o gris lobo. es decir, el Schnauzer, rápidamente se encontró con un gran éxito. El Pinscher con pelo corto, casi no se perpetúa a través del Dobermann. De hecho, este último, que originalmente tenido significativamente el nombre de Pinscher, se caracterizó antes del Pinscher medio. Por lo tanto, es legítimo considerar al Dobermann como una especie de Pinscher gigante: poseía las cualidades de pugnacidad y vivacidad; y hasta el modo de morder; Ratier alemán, con la ventaja de un tamaño más grande, lo que le permite convertirse en un perro guardián y defensa. La idea de crear un Terrier gigante estaba en el aire de la época: resultó, en Gran Bretaña, en el desarrollo del Airedale, mientras que la gente de Munich creó los primeros Schnauzers gigantes.

Los documentos más antiguos que muestran los primeros Dobermann tienden a confirmar la parte del Pinscher en su ascendencia, FL Dobermann probablemente haya reconocido en este tipo de canino el coraje y el mordiente que buscaba. Esta fue también la opinión de la revista alemana Unsere Hunde (citado por J. Mézières y A. Whilhelm, autores de libros de referencia sobre raza), que, en su número de diciembre de 1898, escribió lo siguiente : "Alrededor de 1870, Dietsch, dueño en el momento de areneros en Apolda, poseía una perra gris azulada, una especie de Pinscher que hizo resaltar por un perro negro de carnicero. Este semental ya poseía las características manchas de fuego y provenía de una cruza entre un perro pastor y un perro de carnicero. La máquina de renderización de Dobermann, que, desafortunadamente, murió demasiado pronto, cruzó a los descendientes de estos dos perros, que se habían convertido en buenos perros de guardia con los Pinschers alemanes. Aquí está el origen del Dobermann actual. Como está establecido que este hombre primero seleccionó estos perros, no tenemos objeción a que perpetúen su nombre. "

Esta ascendencia de Pinscher es reconocida, pero media docena de otras razas son citadas para el servicio; o servir; al desarrollo de esta mezcla eminentemente tónica que tiene nombre de Doberman. Por lo tanto, para ver un Dobermann con orejas caídas (su puerto natural cuando no están cortadas), podemos asumir la contribución de los alemanes Braques, incluso Braques Weimar, el papel de estos perros, es cierto, no solo para buscar, detener, recuperar el juego, sino también para destruir animales dañinos y proteger el juego. Pero dado que el Dobermann a menudo se cita como responsable de este personaje mordaz, debemos preguntarnos quién trajo más a la otra.

Para explicar la elegancia de las líneas de Dobermann, algunos han pensado en el Greyhound. En particular, a menudo mencionamos el uso de un piojo Greyhound, con un pelaje negro y un temperamento muy agresivo. El Gran Danés también regresa regularmente como ascendente probable, por su tamaño y el color azul que habría transmitido. Tal filiación es admisible si consideramos que este perro, a fines del siglo XIX, era menos gigantesco que hoy, ya que el macho tenía entre 75 y 80 centímetros como máximo. Finalmente, en las venas de Dobermann, la sangre de Terrier Black y Tan (Black and Fire) habría sido refinada, lo que habría refinado la morfología y dado incendios más sostenidos.

De hecho, el futuro de la carrera hubiera sido diferente si el Sr. Dobermann no hubiera tenido amigos y sucesores para continuar su trabajo. En particular, la intervención de Otto Goller fue fundamental para pasar del Doberman Doberman primitivo, compacto y muy mediano (50 a 60 cm) y la cabeza más bien corta y gruesa al magnífico atleta sin disputa uno de los tipos caninos más hermosos.

Otro padre fundador, Goswin Tischler, vigiló el destino del Dobermann al fundar una famosa perrera llamada "von Greenland" después de una calle en Apolda. A los primeros temas aprobados por FL Dobermann; Lux, Landgraf, Rambo, Schnupp (este lleva el número 1 en el libro de crianza de la raza); Se agregaron los temas de Tischler: sus perros Bosco y Caesi, por ejemplo, produjeron al primer campeón de la raza, el Prinz Matzi von Groenland, nacido el 15 de agosto de 1895.

Otto Goller, que tenía el afijo "von Thüringen", obtuvo sus temas a partir de 1901. Entre los sementales que produjo y que se consideran patriarcas de la raza, está Hellegraf von Thüringen, nacido en 12 de junio de 1904. Anteriormente, había adquirido de Tischler un tema que reveló en sus manos un notable piloto, Graf Belling. En 1910, con el nacimiento de otros dos grandes corredores, Bodo y Bob von Egenfeld, cuyas cabezas ya tenían casi la talla y la elegancia de los perros actuales, finaliza el período de elaboración de la carrera. Es indudable que después de esta fecha se probaron varias infusiones de otras razas, con, debe decirse, más o menos felicidad: el Manchester Terrier, por ejemplo, podría aportar finura y colores más sostenidos. y regular, pero también una plantilla demasiado clara.

En cuanto al galgo inglés, parece haber dado tallas más altas, pero también una caja torácica plana y un cuerpo demasiado largo. Estos cruces habían traído características indeseables, que los agricultores tuvieron que esforzarse por erradicar durante el período de entreguerras. Con la opción entre dos opciones: preservar las cualidades nativas de la raza, ya legendaria, la tenacidad y el coraje o evolucionar a un tipo de personaje más flexible, con una morfología más fina. Esta es, en general, la primera solución que se ha adoptado.

El Dobermann rápidamente conquistó a muchos aficionados, alemanes y europeos. Este fenómeno, raramente enfatizado, muestra cuáles fueron las cualidades potenciales de la raza, en su infancia. El primer club fue fundado por Otto Goller en Apolda en 1899. Rápidamente, una docena de otras asociaciones nacieron, especialmente en el sur de Alemania, para federarse en 1912 como parte de un gran club que abarcaba todo Alemania. Dado su poder de seducción, el Dobermann se presentó muy temprano en las exhibiciones. En Colonia, en 1910, hubo un récord de 105 compromisos.

Fuera de Alemania, fueron los suizos los que tuvieron los reflejos más rápidos: ya en 1902, cuando fundaron un club en Arau, mostraron cuánto les gustaba este perro con una silueta limpia y fácil de cuidar. Los holandeses lo siguieron en 1909, y fueron los primeros en notar su adaptación a los climas tropicales, cuando lo llevaron a sus colonias distantes, especialmente en las Filipinas. Al mismo tiempo, los alsacianos lo descubrieron a su vez, y se formó un primer club local en 1913. Un club nacional, destinado en principio a cubrir todo el Hexágono, se creó en 1920 en Estrasburgo, pero fue necesario esperar hasta casi la años sesenta para que el Doberman se extendiera realmente en la mayoría de las regiones francesas.

Los estadounidenses experimentaron a su costa las cualidades de este perro de guerra, utilizado por el ejército alemán durante el primer conflicto mundial; reaccionando de forma muy pragmática, no dudaron, después de la guerra, en adquirir buenos criadores, en aclimatarse en casa una carrera que se había demostrado a sí misma. Así nació, en 1922, un club estadounidense. Austria e Italia también han adoptado el Dobermann, y luego, a su vez, los países con climas cálidos como Uruguay y Brasil los han convertido rápidamente en su perro guardián favorito. Al final, fue Gran Bretaña, por una vez, quien usó el vagón. Porque, sin duda, de la cuarentena obligatoria de seis meses en este país y especialmente de la prohibición de podar las orejas (que modifica considerablemente la silueta del perro), la raza no se estableció allí hasta 1947 Entonces, rápidamente lo aprecié - en la mayoría de los casos; tan pronto como se descubrió, el Dobermann se convirtió en uno de los perros de guardia más efectivos, por lo que es el más extendido en el mundo.

Diseñado para ser un perro de servicio, el Dobermann fue esencialmente confinado en el primer cuarto del siglo XX, en esta función, ya sea sirviendo a individuos o las administraciones. Debido a que representa el "deber" en términos de coraje, tenacidad, velocidad de intervención, sus usuarios han tendido, para exaltar sus cualidades, para agregar, lo que hace una reputación como un inconveniente perro, muy difícil, difícil de controlar En los años veinte, un famoso criador suizo, Gottfried Liechti, expresó muy bien esta mentalidad: "Eran ciertamente robustos y no tenían miedo a nada; ni siquiera el diablo mismo; y se necesitó mucho coraje para poseer uno. "

Lo mismo es cierto de Philipp Gruenig, historiador de la raza, que informa sobre Alarich von Thüringen, nacido en 1897: "Era conocido por su increíble inteligencia y era temido de todos modos. Por supuesto, la inteligencia combinada con cierta aspereza caracteriza a estos perros, pero no es esencial, para todo eso, calificar su osadía como absoluta y su inteligencia como increíble, como si estuvieran tratando de asustarse a sí mismos. describiendo un animal casi diabólico (el color del vestido ayuda). También es necesario colocar estas observaciones algo exageradas en su contexto: la competencia fue grande en ese momento entre las carreras germanas seleccionadas aproximadamente al mismo tiempo, para trabajos similares, pero de "familias" caninos radicalmente diferentes; Pastor Alemán, Boxeador, Rottweiler, Dobermann buscaron el título de mejor perro guardián.

Hoy, esta imagen solo corresponde parcialmente a la realidad: si el Dobermann, perro de ronda e intervención en el "civil", también sigue siendo un excelente animal de trabajo, apto para los concursos de perros de defensa, de tales perros utilitarios son solo una pequeña parte de la población de Dobermanns, quienes, para su mayor felicidad y el placer de su amo, pasan la mayor parte de su tiempo cómodamente sentados en un sillón o cojín, que ser conducido por un automóvil, que toma el aire en el jardín, quien es el último en caminar recto.

Por supuesto, no se debe deducir que el Doberman es adecuado para todos los profesores y cualquier situación. Este perro, que no está excesivamente nervioso, nunca es malo; o simplemente agresivo; sin razón. Es un animal equilibrado pero de carácter. El maestro de un Dobermann no es, no puede y no debe ser el mismo que el de un Poodle. Para dar la medida completa de sus muchas cualidades, este perro requiere a cambio que su maestro tenga algo. Por lo tanto, es prudente que cualquier persona que no esté familiarizada con la raza o que todavía no haya manejado un perro viril elija una hembra, si quiere comenzar en la "Dobermannia". Más flexible de temperamento, más demostrativo en su afecto y más dulce, posee una vigilancia igual a la del hombre. Por otro lado, para aquellos que tienen una mano firme (pero no brutal) y la "sensación" con los perros, a falta de una vasta experiencia en doma, todo el carácter de un hombre Dobermann solo puede ser fuente de alegrías y orgullo Una condición, sin embargo: a esta firmeza de terciopelo enguantada, el maestro de un Dobermann tendrá que agregar calma y paciencia. Así que no aconsejemos sin rodeos a este perro a los vellitares, a los que son reacios a mostrar autoridad.

Un buen maestro, por lo tanto, debe estar bien informado de la naturaleza profunda del Dobermann. En primer lugar, es un perro dominante; si el neófito no detecta esta característica en su cachorro de tres meses, ella saltará sobre él cuando el cachorro se convierta en un niño de ocho meses desgarbado. De hecho, el perro simplemente está tratando de convertirse en líder de la manada, para ver si "funciona". Y a veces, de hecho, alcanza su objetivo: habrá sido suficiente para regañarlo, para mostrar sus dientes, para imponer su voluntad. Sin embargo, es imperativo no dejarse intimidar por estas maniobras intimidantes. El maestro debe comportarse como tal, con un agarre justo pero sólido.

Esta mezcla de justicia y autoridad es tanto más necesaria porque el orgullo y la independencia son otros dos componentes fundamentales del comportamiento de Doberman. Si bien está muy apegado a sus amos, es un perro que a menudo tiende a hacer como su cabeza, ya que la presión educativa del maestro se revela insuficiente. Por lo tanto, es necesario practicar un aprendizaje riguroso con la correa, luego sin correa y, finalmente, para la retirada. Muchos dueños de Dobermanns caminan a sus perros más de lo que sacan.

En cuanto al orgullo del Dobermann, que es una de sus características más fascinantes, se expresa a través de la estética: su majestuoso head-wear, su paso confiado no son solo una apariencia y reflejan perfectamente su tipo de personaje, para el menos reservado; de hecho, al no ser quienes tienden a festejar con extraños, este perro es insensible a las señales de cordialidad; posiblemente un poco invitados forzados.

Se entiende que esta actitud distante supone la presencia del maestro. Si no, el perro será mucho más activo; intratable, incluso feroz; en la vigilancia de la casa o el automóvil. Su instinto de protección del territorio es innato e hiperdesarrollado, su vigilancia nunca se toma por defecto. En esta área, no hay necesidad de entrenamiento específico: el perro reacciona espontáneamente. Naturalmente, extiende su protección a todos aquellos que viven en el territorio de la familia, especialmente los niños, que tendrán que aprender a respetar a este compañero. Con otros perros, el Dobermann no necesariamente busca una pelea, pero no se le permitirá dominar. También la precaución requiere evitar oportunidades para la confrontación.

El Dobermann, nacido y seleccionado exclusivamente para la protección de bienes y personas, es un animal muy observador, dotado de una gran memoria, adaptable, comprendiendo todo rápidamente, sintiendo, incluso adivinando lo que su maestro no le dice. Por lo tanto, tiene grandes habilidades de entrenamiento, aunque su psicología difiere significativamente de la de los perros pastores, que se utilizan con mayor frecuencia como referencia para los entrenadores; él está jerarquizando mucho menos fácilmente que un Pastor, siempre mantiene un trasfondo dominante, así como una cierta tendencia a la independencia, que debe mantenerse bajo control. Para canalizar efectivamente su energía, el entrenamiento tendrá que evitar su susceptibilidad, tomar en cuenta su orgullo nativo y especialmente motivarlo. Porque el Dobermann es un entusiasta, que solo trabaja bien por amor a su maestro. Su apego por este es muy profundo, casi exclusivo; por lo tanto, a veces, una cierta tendencia a los celos; y siempre va con extrema desconfianza hacia los extraños.

A diferencia de la reputación que a menudo se le hace, el Dobermann no es un perro difícil sino un perro exigente, que uno debe cuidar seriamente. Por lo tanto, puede lamentarse que no se presente con mayor frecuencia en las competiciones de trabajo (los entrenadores que intentan hacerlo funcionar son, de hecho, pocos). En su país de origen, pero también en los Estados Unidos y en muchos otros países, el deporte favorito de Dobermann es el "Schutzhund" (obligatorio en Alemania para la cría). Los alemanes, que han exportado sus perros de defensa, al mismo tiempo han logrado imponer su programa de trabajo en casi todo el mundo. Esto se compone de pruebas de obediencia, relajación, morder y defensa del maestro; se basa menos en el rendimiento deportivo o la finura de la doma que en un rendimiento perfecto.

El seguimiento es también un concurso donde se puede ilustrar el Dobermann; varios temas han alcanzado en los últimos años los niveles más altos. Encuentra la oportunidad de demostrar su sentido de la iniciativa y aprovechar, en el mejor de los casos, su pasión y talento natural; el entrenamiento en esta disciplina (accesible para el neófito) tiene un gran interés psicológico porque refuerza la connivencia con el maestro. Probablemente esté en el ring que el Dobermann es el menos cómodo. Evidentemente, sus habilidades atléticas no están en cuestión, pero su mordida no está adaptada a los requisitos de esta disciplina: el perro debe hacer un agarre sólido, boca abajo, durante quince segundos, mientras el Dobermann lo tiende, él, morder en tomas sucesivas, con los dientes anteriores.

Las competiciones de trabajo son, por supuesto, solo un pequeño número de perros, la mayoría de los Dobermann no tienen esa oportunidad de ser liberados. Pero su equilibrio requiere, imperiosamente, actividades físicas intensas; por lo tanto, se les debe ofrecer largas caminatas y ejercicios frecuentes (pero cortos). Sería lo mismo. francamente aberrante de dejar tales perros en casa, en una perrera, o para hacer guardianes de almacén. Porque el Dobermann necesita contactos humanos: si es posible, variado y temprano, estos contactos son esenciales para "civilizar" al perro joven y no disminuirán su vigilancia. Por otro lado, si es sentenciado a confinamiento solitario, el animal puede volverse difícil de controlar.

En términos de salud, el Dobermann es un perro robusto, elegante, lleno de "sustancia". No presenta puntos débiles particulares; a lo sumo, uno puede detectar en algunos sujetos una sensibilidad a enfermedades de la piel y parásitos externos (especialmente en los raros y muy bellos temas azul y fuego). Debe señalarse, sin embargo, la frecuencia relativa de accidentes cardíacos; un problema común a muchas razas deportivas, ambas llenas de pasión y poder. Al contar los perros que han sufrido un ataque cardíaco, la longevidad promedio de Dobermann, una docena de años (los sujetos que alcanzan catorce años son raros), puede reducirse a diez años. Se recomienda un estilo de vida riguroso a lo largo de la vida, más atención y supervisión cuando se alcanzan los seis u ocho años.

El Dobermann nació y aún vive hoy. bajo el signo de la pasión. Su temperamento no puede satisfacerse con compromisos o medias tintas y despierta en los humanos reacciones extremas: por un lado es víctima del prejuicio, por otro lado, es defendido con energía por sus aficionados. Probablemente estarás entre ellos, si eres tan exigente contigo mismo como tu perro.

Nederlands

Dobermann

FCI standaard Nº 143

Land van oorsprong
Duitsland
Vertaling
Francis Vandersteen
Groep
Groep 2 Pinschers en Schnauzers type Molossers en Zwitserse Sennenhonden
Sectie
Sectie 1 Pinscher en Schnauzer type
Werkproef
Met werkproef
Definitieve erkenning door de FCI
zaterdag 01 januari 1955
Publicatie van de geldende officiële norm
vrijdag 13 november 2015
Laatste update
donderdag 17 december 2015
En français, cette race se dit
Dobermann
In English, this breed is said
Dobermann
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Dobermann
En español, esta raza se dice
Dobermann

Gebruik

Metgezel, bescherming en werkhond.

Kort historisch overzicht

De Dobermann is de enige Duitse ras, die de naam van zijn oorspronkelijke fokker Friedrich Louis Dobermann (1834/01/02 - 1894/09/06) draagt.
Hij werd verondersteld om een tollenaar, slachtafval abbatoir manager (knacker) en een part-time hond catcher, wettelijk in staat om alle loslopende honden te vangen. Hij kweekte met dieren uit dit reservoir dat bijzonder scherp waren. De zogenaamde "honden slager", die reeds werden beschouwd als een relatief zuiver ras in die tijd, speelde een belangrijke rol bij het ontstaan van de Dobermann ras. Deze honden waren een vroege vorm van Rottweiler, vermengd met een soort herder die bestond in "Thüringen" als een zwarte hond met roest rode markeringen. Herr Dobermann gefokt met dit mengsel van honden in de Achttien jaren zeventig. Zo behaalde hij "zijn ras": niet alleen alert, maar zeer beschermend werken en huishonden. Ze werden vaak gebruikt als bewaker en politiehonden. Hun uitgebreide gebruik in de politie werk leidde tot de bijnaam "Gendarme hond". Ze werden gebruikt in de jacht op grote ongedierte.
In deze omstandigheden was het vanzelfsprekend dat de Dobermann officieel werd erkend als een van de Hond politie aan het begin van de eeuw. De Dobermann ras vereist een middelgrote, krachtige, gespierde hond. Ondanks zijn stof hij zal zijn elegant en nobel, die duidelijk in zijn lichaam lijn zal zijn. Hij moet bij uitstek geschikt als een metgezel, bescherming en werkhond en ook als een familie hond.

Algemeen totaalbeeld

De Dobermann is middelgroot, krachtig en gespierd gebouwd. Door de elegante lijnen van zijn lichaam, zijn trotse gestalte, en de uitdrukking van vastberadenheid, het voldoet aan het ideaalbeeld van de hond.

Belangrijke verhoudingen

Het lichaam van de Dobermann lijkt bijna vierkant is, met name bij reuen. De lengte van het lichaam gemeten vanaf de punt van de schouder tot de punt van de bil niet meer dan 5% langer dan de hoogte van schoft tot de grond bij reuen en 10% bij teven.

Gedrag en karakter (aard)

De dispositie van de Dobermann is vriendelijk en rustig; zeer toegewijd aan de familie is gek op kinderen. Medium temperament en middelgrote scherpte (alertheid) gewenst is. Een medium drempel van irritatie is vereist met een goed contact met de eigenaar. Makkelijk te trainen, De Dobermann geniet van het werken, en draagt zorg voor een goede werkvermogen, moed en hardheid. De bijzondere waarden van zelfvertrouwen en onverschrokkenheid zijn requied, en ook aanpassingsvermogen en aandacht voor de sociale omgeving passen.

Hoofd

Bovenschedel

Schedel
Sterk en in verhouding tot het lichaam. Gezien vanaf de bovenzijde de kop wordt gevormd in de vorm van een stompe wig. Bekeken vorm van de voorkant van de kroon lijn zal bijna-niveau en niet afhaken om de oren. De snuit lijn loopt bijna recht naar de bovenste regel van de schedel, die valt, zacht afgerond, in de hals lijn. De wenkbraauwbogen nok is goed ontwikkeld zonder uitstekende. Het voorhoofd groef nog zichtbaar is. De achterhoofdsknobbel mag niet opvallend. Van voren en boven de zijkanten van de kop niet uitpuilen. De lichte welving tussen de achterkant van de bovenkaak en het jukbeen moeten in harmonie met de totale lengte van de kop. Het hoofd spieren worden goed ontwikkeld. 
Stop
Zijn lichte, maar zichtbaar ontwikkeld.

Facial region

Neus
Neusgaten goed ontwikkeld, meer breed dan rond, met grote openingen zonder algehele uitsteeksel. Zwart - op zwarte honden; op bruine honden overeenkomstig de lichtere tinten.
Voorsnuit
De snuit moet in de juiste verhouding met de bovenste kop en moet krachtig ontwikkeld. De snuit zal diepgang hebben. De mondopening is breed, tot aan de kiezen. Een goede voorsnuit breedte moet ook op de bovenste en onderste snijtanden gebied.
Lippen
Zij zijn strak en liggen dicht bij de kaak, die zal zorgen voor een strakke sluiting van de mond. Het pigment van de gom donker; op bruine honden een overeenkomstige lichtere tint.
Kiezen / tanden
Krachtige brede boven- en onderkaak, schaargebit, 42 tanden en kiezen correct geplaatst en normale grootte.
Ogen
Middelgroot, ovaal en donker van kleur. Lichtere tinten zijn toegestaan voor bruine honden. Dichtbij liggen oogleden. Oogleden worden bedekt met haar. Kaalheid rond de rand van het oog is zeer ongewenst.
Oren
Het oor, die hoog is ingesteld, wordt rechtop gedragen en bijgesneden om een lengte in verhouding tot de weg. In een land waar het bijsnijden niet de gecoupeerde oor is toegestaan wordt eveneens erkend. (Medium formaat de voorkeur en met de voorste rand liggen dicht bij de wangen).

Hals

De hals moet een goede lengte hebben en in verhouding tot het lichaam en de kop. Het is droog en gespierd. De omtrek stijgt geleidelijk en is zacht gebogen. Zijn wagen is rechtop en toont veel adel.

Lichaam

Schoft
Worden uitgesproken in hoogte en lengte, vooral bij mannen en daardoor de helling van de toplijn stijgen van het kruis naar de schoft bepalen.
Rug
Kort en strak, van goede breedte en goed gespierd.
Lendenpartij
Van goede breedte en goed gespierd. Kan de teef iets langer zijn in de lendenen, omdat ze ruimte voor zogende vereist.
Croupe
Het zal licht dalen, nauwelijks waarneembaar van heiligbeen aan de wortel van de staart, en lijkt goed afgerond, wordt noch recht noch opvallend glooiende, van goede breedte en goed gespierd.
Borst
Lengte en diepte van de borst moet in de juiste verhouding tot de lichaamslengte. De diepte met licht gewelfde ribben moet ongeveer 50% van de hoogte van de hond op de schoft. De kist heeft een goede breedte met een bijzonder goed ontwikkelde voorborst.
Onderlijn en buik
Van de bodem van het borstbeen tot het bekken de onderstreping duidelijk opgetrokken.

Staart

Het is hoog aangezet en kort gecoupeerd, waarbij ongeveer twee staartwervels zichtbaar blijven. In landen waar de docking is wettelijk niet toegestaan de staart kan natuurlijk blijven.

Ledematen

Voorhand

Algemeen
De voorpoten gezien vanaf alle kanten bijna recht, verticaal op de grond en sterk ontwikkeld.
Schouders
Het schouderblad ligt dicht tegen de borst, en beide zijden van het schouderblad rand zijn goed gespierd en bereiken over de bovenkant van de borstwervel, schuin zoveel mogelijk en goed terug te zetten. De hoek met de horizontaal is ongeveer 50%.
Opperarm
Goede lengte, goed gespierd, de hoek met de schouder- blad ongeveer 105 ° tot 110 °.
Ellebogen
Sluiten, niet bleek.
Onderarm
Sterk en recht. Goed gespierd. Lengte in harmonie met het hele lichaam.
Voorvoetwortelgewricht
Sterk.
Voormiddenvoet
Botten sterk. Recht van voren gezien. Van de zijkant gezien, slechts licht hellend, maximaal 10 °.
Voorvoeten
De voeten zijn kort en strak. De tenen zijn gebogen naar de top (cat dergelijke). Nagels kort en zwart.

Achterhand

Algemeen
Gezien vanaf de achterkant van de Dobermann, vanwege zijn goed ontwikkelde bekkenbodemspieren in de heupen en het kruis, breed en afgerond. De spieren die loopt van het bekken naar het dijbeen en onderbeen resultaat goed breedteontwikkeling, en in het dijbeen gebied, in het kniegewricht stippellijn aan de onderbeen. De sterke achterpoten zijn recht en staan parallel.
Dijbeen
Goede lengte en breedte, goed gespierd. Goede hoeking aan het heupgewricht. Hoeking de horizontale ongeveer tussen 80 ° en 85 °.
Onderbeen
Gemiddelde lengte en in harmonie met de totale lengte van de achterhand.
Knie
Het kniegewricht is sterk en wordt gevormd door de bovenste en onderste dijbeen en de knieschijf. De knie angulatie ongeveer 130 °.
Achtermiddenvoet
Het is kort en staat loodrecht op de bodem.
Spronggewricht
Gemiddelde sterkte en parallel. De lagere dijbeen is verbonden met het middenvoetsbeentje op het spronggewricht (hoek ongeveer 140 °).
Achtervoeten
Zoals de voorpoten, de tenen van de achterpoten zijn kort, gewelfd en gesloten. Nagels zijn kort en zwart.

Gangwerk

Het gangwerk is van bijzonder belang voor zowel het functioneren mogelijkheid, evenals het exterieur. De gang is elastisch, elegant, soepel, vrij en uitgrijpend. De voorpoten reiken zover mogelijk. De achterhand geeft verreikende en noodzakelijke elastische rijden. De voorpoot van een kant en achterste been van de andere zijde vooruit tegelijk. Er moet een goede stabiliteit van de rug, de banden en de gewrichten.

Huid

De huid past nauw over en is van goede pigment.

Coat

Haarkwaliteit
Het haar is kort, hard en dik. Het ligt strak en glad en is gelijkmatig verdeeld over het gehele oppervlak. Ondervacht is niet toegestaan.
Haarkleur
De kleur is zwart of bruin, met roest rode duidelijk afgetekende zuivere brand. Markeringen op de snuit, als een spot op de wangen en de bovenkant van de wenkbrauwen, de keel, twee vlekken op de voorborst, de polsen, middenvoet en voeten, aan de binnenkant van de rug dij, de armen en onder de staart.

Maat en gewicht

Schouderhoogte
Reuen: 68-72 cm. Teven: 63-68 cm. Medium formaat wenselijk.
Gewicht
Reuen: ongeveer 40-45 kg. Teven: ongeveer 32-35 kg.

Defecten

• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan ​​tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn.

General defecten

 Algemeen voorkomen: Omkering van seksuele indruk; weinig stof; te licht; te zwaar; Ook langbenige; zwakke botten.
 Hoofd: Te zwaar, te smal, te kort, te lang, te veel of te weinig stop; Romeinse neus, slechte helling van de bovenste lijn van de schedel; zwakke onderkaak; ronde of spleet ogen; licht oog; wangen te zwaar; losse toelopend; ogen te open of te deepset; oor te hoog of te laag; open mond hoek.
 Nek: Licht kort; te kort; losse huid rond de keel; keelhuid; te lang (niet in harmonie); ooi nek.
 Body: Black niet strak; hellende kroep; doorgezakte rug; voorn terug; onvoldoende of te veel ribwelving; onvoldoende diepte of de breedte van de borst; terug te lang algemeen; te weinig voorborst; staart te hoog of te laag; te weinig of te veel opgetrokken.
 Ledematen: Te veel of te weinig hoeking voor- of achtervoeten; losse elleboog; afwijkingen van de standaard positie en lengte van de botten en gewrichten; voeten te samen of te ver uit elkaar te sluiten; koehakkigheid, spread spronggewricht, nauwe hakken; geopend of zachte poten, kromme tenen; bleke nagels.
 Beharing: te licht of niet scherp gedefinieerd; onzuivere brand; te donker masker; grote zwarte vlek op de benen; borst markeringen nauwelijks zichtbaar of te groot; haar lang, zacht, krullend of saai.
 Dunne laag; kale plekken; grote plukjes haar in het bijzonder op het lichaam; zichtbare ondervacht.
 Karakter: Onvoldoende zelfvertrouwen; temperament te hoog; scherpte te hoog; te hoge of te lage prikkeldrempel.
 Grootte: Afwijking van grootte tot twee centimeter van de standaard zou moeten leiden tot een verlaging van de kwaliteitsklasse.
 Gangwerk: Wobbly; beperkt of stijve gang; pacing.

Defecten die leiden tot uitsluiting

 Agressief of schuw honden.
 Algemeen: Uitgesproken omkering van seksuele indrukken.
 Ogen: Gele ogen (roofvogel oog); muur oog.
 Gebit: Bovenslag; niveau beet; onderbeet; ontbrekende tanden.
 Jas: Witte vlekken; uitgesproken lang en golvend haar; uitgesproken dunne jas of grote kale plekken.
 Grootte: Honden die afwijken meer dan twee centimeter boven of onder de norm.

NB :

• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij.

Bibliografie

http://www.fci.be/

 

Gedetailleerde geschiedenis

De Dobermann is een ras dat al een eeuw bestaat: de eerste exemplaren verschenen rond 1885; ongeveer tien jaar eerder dan die van twee andere beroemde rassen, de Duitse herder en de bokser. Er is ook een belangrijk verschil tussen hen: de Duitse herder en de bokser kunnen in feite opscheppen over de moderne uitkomst van een voorouderlijk type, lupoid herdershond in één geval, vechthond in de terwijl de Dobermann een echt nieuw type vertegenwoordigt (men zou het moeilijk vinden om in geschriften of oude schilderijen een soortgelijke hond te vinden).

De naam van het ras weerspiegelt zijn originaliteit in de hondenwereld, omdat het de naam draagt ​​van zijn maker, een zekere Friedrich Ludwig Dobermann (1834 - 1894). Deze man wordt vaak gepresenteerd als een pond-bewaarder of een deurwaarder van de stad Apolda in Thüringen. In feite had deze gemeenschappelijke medewerker meerdere functies: hij controleerde slachthuizen, behandelde de verwerking, raapte zwerfhonden op en verzamelde ook boetes, huur en verschillende royalty's. Kortom, de burgemeester van Apolda beschuldigde hem van allerlei ondankbare taken en moeilijke stappen.

Vanwege zijn rol was het waarschijnlijk dat het personage niet veel vrienden hoefde te vinden in de laatbetalende burgers of een boete moest betalen. Bovendien, wanneer hij alleen te paard reed, in deze heuvelachtige en bosrijke hoek van Thüringen, die soms grote sommen geld droeg, was hij misschien bang om wat onheil te plegen. Het is dus natuurlijk dat hij erover dacht om honden mee te nemen met een temperament, in staat om hem te helpen in geval van moeilijkheden. Zulke honden, hij moet hebben opgemerkt onder degenen die hij in het pond moest rijden of die hij op de boerderijen moest wrijven, toen hij werd begroet zonder voorzieningen. De selectie was rudimentair, zeker, maar effectief. En aangezien hij door zijn functies toegang had tot de slachthuizen, het probleem van voedsel, om een ​​groot pak zware honden te onderhouden, ontstond niet.

We weten niet precies welke honden hij heeft gebruikt om het ras te maken dat zijn naam zou dragen, omdat hij geen geschreven verslag achterliet van zijn selectiewerk. In het begin was hij bovendien niet van plan om precies één ras te "maken", en hij stelde zich tevreden met het verenigen van honden wier karakter overeenkwam met wat hij zocht. Maar de reputatie die zijn honden snel verwierven in de regio besliste anders, omdat velen hondenliefhebbers waren die geïnteresseerd waren in het type dat hij zeer empirisch had verkregen.

Gezien het gebrek aan documenten over de experimenten van Friedrich Ludwig Dobermann, worden specialisten gereduceerd tot speculaties om hun reis te reconstrueren door de raciale wortels te vinden van de hond die we tegenwoordig kennen.

Zo dachten Franse cynologen, gezien de karakteristieke zwarte en vlammende kleding, aan onze nationale Beauceron. Er kan bezwaar worden gemaakt dat de morfologische typen van de twee rassen behoorlijk ver uit elkaar liggen; maar hebben de Franse fokkers van de jaren 1920 niet een duidelijk "dobermannistisch" laag-rood geselecteerd, dat wil zeggen, verfijnd en kortharig, bijna slap? En om de aanwezigheid van de Franse hond in Thüringen uit te leggen, is gesuggereerd dat de Napoleontische legers specimens in hun campagnes hadden achtergelaten.

Toegegeven moet worden dat deze hypothese, als deze voldoet aan een bepaalde cocardiergeest, vooral lijkt te zijn ontstaan ​​als een manifestatie van de germanofobie van een bepaalde periode, die er bijvoorbeeld toe leidde om ondanks het bewijs een Duitse afkomst te ontkennen voor de Duitse herder, gekwalificeerd "Elzasser". Laten we hieraan toevoegen dat Frankrijk niet de exclusiviteit had van oude en solide Mastiffs met zwarte en vuurgewaad. Aan de andere kant waren ze ook wijdverspreid en baarden ze bijvoorbeeld Rottweiler of Hovawart. Ze zijn ook de voorouders van de eerste Duitse herders. Het is redelijk om te concluderen dat ze gedeeltelijk verantwoordelijk zijn voor de kenmerkende kleur en grootte van de Doberman.

Maar de Dobermann doet denken aan een ander type hond: de Pinscher. In het midden van de negentiende-eeuwse Duitsland was deze hond een van de meest voorkomende honden: terwijl het paard nog steeds alomtegenwoordig was, zowel als een paard als een hapering, was de aanwezigheid van een knaagdierenvernietiger essentieel in alle stallen en boerderijen De Pinscher, de naam komt van het Engels om te knijpen, aan te spannen, te knijpen, kan worden beschouwd als de Duitse versie van Franse hondenrassen en Terriers (geen bassets) die de Engelsen bezaten. Heel oud, het morfologische type kan vergeleken worden met dat van de Neolithische Canis palustris, bekend dankzij archeologie, het kan een kort of krabbend haar hebben, tawny, zwarte of grijze wolf. dat wil zeggen de Schnauzer, heeft snel een groot succes ontmoet. De Pinscher met kort haar, het bijna niet bestendigd door de Dobermann.In feite, de laatste, die oorspronkelijk had aanzienlijk de naam van Pinscher, werd gekarakteriseerd voor de middelste Pinscher. Het is daarom legitiem om de Dobermann te beschouwen als een soort reusachtige Pinscher, hij bezat de kwaliteiten van strijdlust en levendigheid; en op weg naar bijten; Duitse ratier, met het voordeel van een grotere omvang, waardoor hij een waakhond en verdediging kan worden. Het idee om een ​​gigantische terriër te creëren was in de lucht van de tijd: het resulteerde in Groot-Brittannië in de ontwikkeling van de Airedale, terwijl de inwoners van München de eerste reuzenschnauzers creëerden.

De oudste documenten die de eerste Dobermanns tonen bevestigen het deel van de Pinscher in hun voorouders, FL Dobermann heeft waarschijnlijk in dit type hond de moed en het bijtwoord herkend dat hij zocht. Dit was ook de mening van het Duitse tijdschrift Unsere Hunde (geciteerd door J. Mézières en A. Whilhelm, auteurs van naslagwerken over ras), die in zijn uitgave van december 1898 het volgende schreef: : "Omstreeks 1870 bezat Dietsch, eigenaar ten tijde van zandbakken in Apolda, een blauwgrijze teef, een soort Pinscher die hij maakte van een zwarte slager. Deze hengst had al de karakteristieke vuurvlekken en kwam van een kruising tussen een herdershond en een slagerhond. De destructiemachine van Dobermann, die helaas te vroeg stierf, kruiste de afstammelingen van deze twee honden, die goede waakhonden waren geworden met Duitse Pinschers. Hier is de oorsprong van de huidige Dobermann. Aangezien is vastgesteld dat deze man deze honden eerst heeft uitgekozen, hebben we geen bezwaar tegen het feit dat ze zijn naam bestendigen. "

Deze voorouders van Pinscher worden erkend, maar een zestal andere rassen worden genoemd voor de dienst; of serveren; voor de ontwikkeling van dit uitzonderlijk tonische mengsel dat de naam Doberman draagt. Om te zien dat een Dobermann afhangende oren draagt ​​(hun natuurlijke poort wanneer ze niet worden afgesneden), kunnen we aannemen dat de bijdrage van Braques Duitsers, zelfs Braques Weimar, de rol van deze honden is, het is waar, niet alleen om te zoeken, te stoppen, het spel terug te brengen, maar ook om schadelijke dieren en de bewaker van het spel te vernietigen. Maar aangezien de Dobermann vaak wordt genoemd als verantwoordelijk voor dit bijtende karakter, moeten we ons afvragen wie het meeste bij de ander heeft gebracht.

Om de elegantie van de lijnen van Dobermann uit te leggen, hebben sommigen gedacht aan de windhond. In het bijzonder vermelden we vaak het gebruik van een windhondluizen, met een zwarte vacht en een zeer agressief temperament. De Grote Deen komt ook regelmatig terug als waarschijnlijke ascendant, vanwege zijn grootte en de blauwe kleur die hij zou hebben uitgezonden. Een dergelijke afstamming is toelaatbaar, als we bedenken dat deze hond aan het einde van de negentiende eeuw minder gigantisch was dan nu, omdat de man hoogstens 75 tot 80 centimeter was. Uiteindelijk, in de aderen van Dobermann, zou het bloed van Terrier Black en Tan (Black and Fire) zijn verfijnd, wat de morfologie zou hebben verfijnd en meer aanhoudende branden zou hebben gegeven.

In feite zou de toekomst van de race anders zijn geweest als meneer Dobermann geen vrienden en opvolgers had gehad om zijn werk voort te zetten. In het bijzonder was de interventie van Otto Goller van groot belang om van de primitieve, compacte, zeer middelgrote Doberman Dobermann (50 tot 60 cm) en de vrij korte en dikke kop naar de buitengewone atleet te gaan zonder betwist een van de mooiste hondentypes.

Een andere grondlegger, Goswin Tischler, bekeek het lot van de Dobermann door na een straat in Apolda een beroemde kennel genaamd "von Groenland" op te richten. Aan de eerste onderwerpen goedgekeurd door FL Dobermann; Lux, Landgraf, Rambo, Schnupp (deze met de nummer 1 in het stamboek van het ras); De proefpersonen van Tischler werden toegevoegd: zijn honden Bosco en Caesi, bijvoorbeeld, produceerden de eerste kampioen van het ras, Prinz Matzi von Groenland, geboren op 15 augustus 1895.

Otto Goller, die de affix "von Thüringen" had, behaalde zijn onderwerpen vanaf 1901. Onder de hengsten die hij produceerde en die als patriarchen van het ras worden beschouwd, is er Hellegraf von Thüringen, geboren op 12 juni 1904. Eerder had hij van Tischler een onderwerp verworven dat in zijn handen een opmerkelijke racer, Graf Belling, onthulde. In 1910, met de geboorte van twee andere geweldige racers, beëindigt Bodo en Bob von Egenfeld, wiens hoofden al bijna het snijwerk en de elegantie van de huidige honden hadden, de periode van uitwerking van de race. Het is ongetwijfeld na deze datum dat verschillende infusies van andere rassen werden geprobeerd, met, min gezegd, meer geluk: de Manchester Terrier, bijvoorbeeld, kan finesse en meer duurzame kleuren brengen. en regelmatig, maar ook een sjabloon die te licht is.

Wat de Engelse windhond betreft, het lijkt te hebben gegeven hogere maten, maar ook een platte ribbenkast en een lichaam te lang. Deze kruisingen hadden dus ongewenste eigenschappen opgeleverd, die de boeren moesten nastreven tijdens het interbellum. Met de keuze tussen twee opties: om de inheemse kwaliteiten van de race te behouden, al legendarisch, vasthoudendheid en moed of evolueren naar een meer flexibel type karakter, met een fijnere morfologie. Dit is in hoofdzaak de eerste oplossing die is aangenomen.

De Dobermann veroverden snel veel amateurs, Duits en Europees. Dit fenomeen, zelden benadrukt, laat zien wat de potentiële kwaliteiten van het ras waren, in de kinderschoenen. De eerste club werd opgericht door Otto Goller in Apolda in 1899. Al snel werden een dozijn andere verenigingen geboren, vooral in het zuiden van Duitsland, om in 1912 te verenigen als onderdeel van een grote club die alle Duitsland. Vanwege zijn verleidelijke kracht werd de Dobermann al heel vroeg in tentoonstellingen gepresenteerd. In Keulen, in 1910, waren er 105 vastleggingen.

Buiten Duitsland waren het de Zwitsers die de snelste reflexen hadden: al in 1902, toen ze een club op Arau stichtten, toonden ze aan hoeveel ze deze hond leuk vonden met een schoon, gemakkelijk te verzorgen silhouet. De Nederlanders volgden in 1909, en zij waren de eersten die de aanpassing aan tropische klimaten opmerkten, toen zij het naar hun verre koloniën brachten, vooral in de Filippijnen. Tegelijkertijd ontdekten de Elzassers het op hun beurt, en een eerste plaatselijke club werd opgericht in 1913. Een nationale club, in principe bedoeld om de zeshoek te bestrijken, werd in 1920 in Straatsburg opgericht, maar het was nodig om te wachten tot bijna de sixties voor de Doberman om echt in de meeste Franse regio's te verspreiden.

De Amerikanen ervaarden op hun kosten de kwaliteiten van deze oorlogshond, gebruikt door het Duitse leger tijdens het eerste wereldconflict; Ze reageerden zeer pragmatisch en aarzelden na de oorlog niet om goede fokkers te werven, om thuis een race te wennen die zich had bewezen. Zo ontstond in 1922 een Amerikaanse club. Oostenrijk en Italië hebben ook de Dobermann geadopteerd en vervolgens hebben landen met warme klimaten zoals Uruguay en Brazilië snel hun favoriete waakhond gemaakt. Uiteindelijk was het Groot-Brittannië, dat voor één keer de wagen gebruikte. Omdat, ongetwijfeld, van de verplichte quarantaine van zes maanden in dit land en vooral van het verbod om de oren te snoeien (wat het silhouet van de hond aanzienlijk verandert), de race daar pas echt wortel schoot tot 1947 Dus, snel gewaardeerd - in de meeste gevallen; zodra het werd ontdekt, werd de Dobermann een van de meest effectieve waakhonden, dus de meest voorkomende in de wereld.

Ontworpen om een ​​diensthond te zijn, was de Dobermann in essentie beperkt in het eerste kwart van de twintigste eeuw, in deze functie, of het nu gaat om het dienen van individuen of de administraties. Omdat het de "must" vertegenwoordigde in termen van moed, vasthoudendheid, snelheid van ingrijpen, zijn gebruikers geneigd om de kwaliteiten ervan te verheffen, toe te voegen, waardoor het een reputatie heeft als een ongemakkelijk hond, zeer moeilijk, moeilijk te controleren. In de jaren twintig bracht een gerenommeerde Zwitserse fokker, Gottfried Liechti, deze mentaliteit heel goed tot uitdrukking: "Ze waren zeker robuust en waren nergens bang voor; zelfs de duivel zelf niet; en er was veel moed voor nodig om er een te bezitten. "

Hetzelfde geldt voor Philipp Gruenig, historicus van het ras, die bericht over Alarich von Thüringen, geboren in 1897: "Hij stond bekend om zijn ongelooflijke intelligentie en werd toch gevreesd. Natuurlijk karakteriseert de intelligentie in combinatie met een zekere ruwheid deze honden, maar het is niet essentieel om hun durf als absoluut en hun intelligentie als ongelooflijk te kwalificeren, alsof ze zichzelf proberen te laten schrikken. een dier bijna diabolisch beschrijven (de kleur van de jurk die helpt). Het is ook noodzakelijk om deze ietwat overdreven opmerkingen in hun context te plaatsen: de competitie was geweldig in de tijd tussen Germaanse races die op hetzelfde moment werden geselecteerd, voor vergelijkbare banen, maar van "families" radicaal verschillende hoektanden; Duitse herder, bokser, Rottweiler en Dobermann hebben allemaal de titel van beste waakhond gezocht.

Vandaag de dag komt dit beeld slechts gedeeltelijk overeen met de realiteit: als de Dobermann, hond van de ronde en tussenkomst in het "burgerlijke", ook nog steeds een uitstekend werkdier is, geschikt voor de wedstrijden van honden van defensie, van dergelijke utilitaire honden zijn slechts een klein deel van de bevolking van Dobermanns, die voor hun grootste geluk en het plezier van hun meester het grootste deel van hun tijd comfortabel zitten in een leunstoel of kussen, met de auto worden gereden, die de lucht in de tuin neemt, die als laatste de rechte loopt.

Natuurlijk moet niet worden afgeleid dat de Doberman geschikt is voor alle leraren en elke situatie. Deze hond, die niet al te nerveus is, is nooit gemeen; of gewoon agressief; zonder reden. Het is een uitgebalanceerd dier maar van karakter. De meester van een Dobermann is niet, kan en mag niet hetzelfde zijn als die van een poedel. Om de volle omvang van zijn vele kwaliteiten te kunnen leveren, vereist deze hond in ruil dat zijn meester er enkele heeft. Het is daarom verstandig voor iedereen die niet bekend is met het ras of die nog geen mannelijke hond heeft behandeld, om een ​​vrouw te kiezen, als hij wil starten in de "Dobermannia". Meer soepel van temperament, meer demonstratief in haar genegenheid, en zachter, ze heeft toch waakzaamheid gelijk aan die van het mannetje. Aan de andere kant, voor degenen die een stevige hand hebben (maar niet brutaal) en het "gevoel" met de honden, bij afwezigheid van een uitgebreide ervaring in dressuur, kan het hele karakter van een mannelijke Dobermann alleen bron zijn van vreugde en trots. Eén voorwaarde echter: voor deze gloved fluwelen stevigheid zal de meester van een Dobermann rust en geduld moeten toevoegen. Dus laten we deze hond niet botweg adviseren aan de vellitariërs, de debonair, aan degenen die terughoudend zijn om gezag te tonen.

Een goede leraar moet daarom goed worden geïnformeerd over de diepe aard van de Dobermann. Allereerst is het een dominante hond; als de neofiet dit kenmerk niet detecteert in zijn drie maanden oude puppy, zal ze naar hem springen als de pup een achteloze acht maanden oud wordt. In feite probeert de hond gewoon roedelleider te worden, om te zien of "het werkt". En soms bereikt hij inderdaad zijn doel: het zal genoeg zijn geweest om hem uit te schelden, zijn tanden te tonen, zijn wil op te leggen. Het is echter absoluut niet te worden geïntimideerd door deze intimiderende manoeuvres. De meester moet zich als zodanig gedragen, met een eerlijke maar stevige greep.

Deze mix van gerechtigheid en autoriteit is des te meer nodig omdat trots en onafhankelijkheid twee andere fundamentele componenten zijn van het gedrag van Doberman. Hoewel hij erg gehecht is aan zijn meesters, is het een hond die vaak de neiging heeft om het als zijn hoofd te doen, omdat de educatieve druk van de meester onvoldoende blijkt te zijn. Het is daarom noodzakelijk om rigoureus te leren aan de lijn, vervolgens zonder riem en uiteindelijk voor het terugroepen. Veel eigenaren van Dobermanns lopen hun honden meer dan ze eruit halen.

Wat de trots van de Dobermann betreft, die een van de meest fascinerende kenmerken is, drukt deze zich uit door esthetiek: zijn majestueuze hoofdtooi, zijn zelfverzekerde manier van lopen zijn niet alleen zichtbaar en weerspiegelen perfect zijn type personage, voor de minst gereserveerde; in feite, niet zijnde degenen die de neiging hebben om te feesten aan vreemden, deze hond is ongevoelig voor tekenen van hartelijkheid; mogelijk een beetje geforceerde gasten.

Het is duidelijk dat deze verre houding de aanwezigheid van de meester veronderstelt. Zo niet, dan zal de hond veel actiever zijn; onhandelbaar, zelfs fel; in de bewaking van het huis of de auto. Zijn instinct voor bescherming van het territorium dat aangeboren en hyperontwikkeld is, wordt zijn waakzaamheid nooit in de wacht gesleept. In dit gebied is er geen behoefte aan specifieke training: de hond reageert spontaan. Het breidt zijn bescherming uiteraard uit naar al diegenen die in het familiegebied wonen, vooral kinderen, die moeten leren deze partner te respecteren. Bij andere honden zoekt de Dobermann niet noodzakelijkerwijs naar een gevecht, maar hij mag niet domineren. Voorzichtigheid vereist ook het vermijden van kansen voor confrontaties.

De Dobermann, uitsluitend geboren en geselecteerd voor de bescherming van eigendom en mensen, is een zeer opmerkzaam dier, begiftigd met een grote herinnering, aanpasbaar, alles snel begrijpend, aannemend, zelfs gissend wat zijn meester hem niet vertelt. Hij heeft daarom geweldige trainingsvaardigheden, hoewel zijn psychologie aanzienlijk verschilt van die van herdershonden, die meestal worden gebruikt als referentie voor trainers; hij hiërarchiseert veel minder gemakkelijk dan een herder, hij behoudt altijd een overheersende achtergrond, evenals een zekere neiging tot onafhankelijkheid, die in toom gehouden moet worden. Om zijn energie effectief te kanaliseren, zal de training zijn gevoeligheid moeten ontzien, rekening moeten houden met zijn eigen trots en hem vooral moeten motiveren. Omdat de Doberrnann een liefhebber is, die alleen goed werkt vanuit liefde voor zijn meester. Zijn gehechtheid aan deze is erg diep, bijna exclusief; vandaar soms een zekere neiging tot jaloezie; en gaat altijd met extreem wantrouwen naar vreemden.

Anders dan de reputatie die hem vaak wordt toebedeeld, is de Dobermann geen moeilijke hond, maar een veeleisende hond, die men serieus moet nemen. Het kan daarom betreurenswaardig zijn dat hij niet vaker wordt gepresenteerd in de werkwedstrijden (de trainers die hem proberen te laten werken zijn er feitelijk maar weinig). In zijn thuisland, maar ook in de Verenigde Staten en vele andere landen, is de favoriete sport van Dobermann de "Schutzhund" (verplicht in Duitsland voor de fokkerij). De Duitsers, die hun defensieve honden hebben geëxporteerd, zijn er tegelijkertijd in geslaagd bijna overal ter wereld hun werkprogramma op te leggen. Dit bestaat uit tests van gehoorzaamheid, ontspanning, bijten en verdediging van de meester; het vertrouwt minder op atletische prestaties of de finesse van dressuur dan op perfecte prestaties.

Tracking is ook een wedstrijd waarbij de Dobermann kan worden geïllustreerd; verschillende onderwerpen hebben in de afgelopen jaren het hoogste niveau bereikt. Hij vindt de gelegenheid om zijn gevoel voor initiatief te tonen en op zijn best te profiteren van zijn natuurlijke passie en flair; training in deze discipline (toegankelijk voor de neofiet) heeft een groot psychologisch belang omdat het de mede- werking met de meester versterkt. Het is waarschijnlijk in de ring dat de Dobermann het minst comfortabel is. Zijn atletische vaardigheden zijn duidelijk niet in het geding, maar zijn beet is niet aangepast aan de vereisten van deze discipline: de hond moet inderdaad een stevige greep, bodemmonding maken, gedurende vijftien seconden, terwijl de Dobermann neigt, hem, bijten in opeenvolgende opnames, met de voortanden.

Werkwedstrijden zijn, uiteraard, maar een klein aantal honden, de meeste Dobermanns hebben niet zo'n mogelijkheid om vrijgelaten te worden. Maar hun balans vereist, heerszuchtig, intense lichamelijke activiteiten; ze moeten daarom lange wandelingen en frequente (maar korte) oefeningen aangeboden krijgen. Het zou hetzelfde zijn. eerlijk gezegd aberrant om dergelijke honden thuis te laten, in een kennel, of magazijniers te maken. Omdat de Dobermann menselijke contacten nodig heeft: indien mogelijk gevarieerd en vroeg, zijn deze contacten essentieel om de jonge hond te 'civiliseren' en zijn waakzaamheid niet te verminderen. Aan de andere kant, als hij wordt veroordeeld tot eenzame opsluiting, kan het dier dan moeilijk te controleren worden.

In termen van gezondheid is de Dobermann een robuuste hond, elegant, vol met "substantie". Het levert geen specifieke zwakke punten op; hooguit kan men bij sommige patiënten een gevoeligheid voor huidziekten en uitwendige parasieten waarnemen (vooral bij de zeldzame en zeer mooie onderwerpen blauw en vuur). Er moet echter worden gewezen op de relatieve frequentie van hartongevallen; een probleem dat veel sportrassen, beide vol passie en kracht, hebben. Bij het tellen van honden die een hartaanval hebben gehad, kan de gemiddelde levensduur van Dobermann, een tiental jaren (proefpersonen die veertien jaar worden bereikt zeldzaam zijn), kunnen dalen tot tien jaar. Een rigoureuze levensstijl gedurende iemands leven, meer aandacht en monitoring wanneer het zes of acht jaar wordt aanbevolen.

De Dobermann is geboren en leeft nog steeds. onder het teken van passie. Zijn temperament kan niet bevredigd worden met compromissen of halve maatregelen en het wekt bij de mens extreme reacties op: aan de ene kant een slachtoffer van vooroordelen, aan de andere kant wordt het door zijn amateurs met energie verdedigd. Je zult waarschijnlijk bij hen zijn, als je even veeleisend bent als jezelf als je hond.

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