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Setter irlandais rouge Standard FCI Nº 120
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Origine
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Irlande |
Traduction
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Prof. R. Triquet |
Groupe
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Groupe 7 Chiens d'arrêt |
Section
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Section 2.2 Chiens d’arrêt britanniques et irlandais, setter |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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mercredi 22 décembre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mardi 13 mars 2001 |
Dernière mise à jour
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mercredi 18 juillet 2001 |
In English, this breed is said
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Irish Red Setter |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Irischer Roter Setter |
En español, esta raza se dice
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Setter irlandés rojo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Ierse Setter |
Utilisation
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Chien de chasse à tir et chien de famille. |
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Bref aperçu historique
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Le Setter irlandais rouge s’est développé en Irlande en tant que chien de chasse. La race vient du Setter irlandais rouge et blanc et d’un chien inconnu à robe rouge unicolore. Le type était nettement identifiable au XVIIIème siècle. Le club du Setter irlandais rouge fut fondé en 1882 pour la promotion de la race. Le club publia le standard de la race en 1886 et, depuis ce temps, il organise des field-trials et des expositions pour fixer le standard de la race. En 1998, le club a publié le standard de travail de la race. Le standard et le standard de travail concourent à décrire la morphologie et les capacités de la race au travail. L’évolution du Setter irlandais rouge a donné un chien robuste, sain et intelligent, très doué pour le travail et possédant une grande résistance. |
Aspect général
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Racé et athlétique, distingué, à l’expression empreinte de douceur. Harmonieux et bien proportionné. |
Comportement / caractère
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Vif, intelligent, énergique, affectueux et fidèle. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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Longue et sèche, sans lourdeur au niveau des oreilles. Le museau et le crâne sont parallèles et de longueur égale. |
Crâne
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Ovale (d’une oreille à l’autre). Il offre une grande capacité céphalique. La protubérance occipitale est bien marquée. Les arcades sourcilières sont relevées. |
Stop
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Bien marqué. |
Région faciale
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Truffe
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De couleur acajou foncé ou noyer foncé ou noire. Les narines sont bien ouvertes. |
Museau
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De hauteur modérée et assez carré à l’extrémité, de bonne longueur entre le stop et l’extrémité de la truffe. Les lèvres ne sont pas pendantes. |
Mâchoires et dents
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De longueur sensiblement égale. Articulé en ciseaux. |
Yeux
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De couleur noisette foncée ou marron foncé ; ils ne devraient pas être trop grands. |
Oreilles
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De taille moyenne, de texture fine, attachées bas et bien en arrière. Elles pendent en formant un pli net tout contre la tête. |
Cou
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De longueur moyenne, très musclé, pas trop épais, légèrement galbé, sans trace de fanon. |
Corps
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Généralité
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Proportionné à la taille du chien. |
Rein
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Musclé et légèrement voussé. |
Poitrine
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Bien descendue, assez étroite dans sa partie antérieure. |
Côtes
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Les côtes sont bien cintrées ce qui donne une grande capacité thoracique. |
Queue
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De longueur moyenne, proportionnée au corps, attachée plutôt bas, forte à la base, elle va en s’effilant en une pointe fine. Elle est portée au niveau de la ligne du dos ou en dessous. |
Membres antérieurs
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Epaules
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Fines au sommet, longues et bien obliques. |
Coudes
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Libres dans leur mouvement et placés bas, ils ne tournent ni en dedans ni en dehors. |
Avant-bras
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Droits, nerveux et pourvus d’une bonne ossature. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Arrière-main large et puissant. |
Grassets
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Bien angulés. |
Jambes
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Membres longs et musclés de la hanche au jarret, courts et solides du jarret au sol. |
Jarret
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Ne sont déviés ni en dedans ni en dehors. |
Pieds
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Petits et très fermes. Les doigts sont forts, cambrés et serrés. |
Allures
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Le mouvement est dégagé, coulé, avec une bonne impulsion de l’arrière. La tête est portée haut. Les antérieurs se portent bien en avant mais l’allure reste légère. L’impulsion produite par les postérieurs est régulière et très puissante. On ne peut admettre les chiens qui croisent ou qui tricotent. |
Robe
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Qualité du poil
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Court et fin sur la tête, la partie antérieure des membres et l’extrémité des oreilles. Sur les autres parties du corps et des membres, le poil est de longueur moyenne, plat et, autant qu’il est possible, exempt de boucles ou d’ondulations. Les franges sur la partie supérieure des oreilles sont longues et soyeuses ; à l’arrière des membres antérieurs et postérieurs, elles sont longues et fines. Le poil est assez abondant sur le ventre et il forme une frange qui peut se prolonger jusqu’au poitrail et à la gorge. Les pieds sont bien pourvus de poils entre les doigts. La queue porte une frange de longueur moyenne qui se raccourcit à mesure qu’elle approche de la pointe. Toutes les franges sont droites et plates. |
Couleur du poil
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Couleur vive de la châtaigne sans trace de charbonnure. Une marque blanche au poitrail, à la gorge et aux doigts ou une petite étoile au front ou une liste étroite sur le chanfrein ou la face n’est pas éliminatoire. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Hauteur recherchée au garrot : Mâles de 58 à 67 cm et femelles de 55 à 62 cm. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts entrainant l’exclusion
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Agressif ou peureux. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Certaines races ont l'incontestable avantage de présenter à leurs amateurs des origines et une histoire claires, presque limpides. Tout cynophile qui se respecte attribue le Berger Allemand à von Stephanitz, le Malinois à Huyghebaert, le Leonberg à Heissig et le Dobermann à l'employé municipal allemand du même nom. En revanche, lorsque l'on en vient à parler des Setters, les chiens d'arrêt britanniques à poil long, les plus sages préfèrent se taire. En effet, du passé de ces chiens aujourd'hui si cotés, on ne sait rien, ou pas grand-chose. En fait, les avis divergent à çe sujet.
Les Setters, les Epagneuls et les Spaniels (Epagneuls non continentaux), cela est communément admis, auraient tous pour aïeul le Braque aux cailles, ou Chien d'Oysel, qui était un chien couchant, c'est-à-dire un chien d'arrêt, lui-même descendant du très ancien Canis familiaris intermedius. Une école, parmi les cynologues, avance que le chien en question serait originaire d'Espagne, ce qui expliquerait joliment l'appellation encore usitée d'Epagneul (ou Spaniel). Un des rares témoignages en faveur de cette thèse est celui qu'aurait apporté Gaston de Foix, dit Phébus, dans son Traité de la chasse, où il aurait parlé des chiens d'oiseaux comme étant espagnols.
Selon une autre école, le nom des Epagneuls et des Spaniels aurait une tout autre étymologie (du vieux français « s'espanir », se coucher). D'ailleurs, ces chiens ne proviendraient pas originellement d'Espagne. C'est l'opinion de Strebel, par exemple: ce spécialiste cite un bijou ayant appartenu à Philippe II de Macédoine, le père d'Alexandre le Grand, sur lequel serait représenté un ancêtre du fameux Braque aux cailles, qui aurait donc vécu au IVe siècle avant J.-C.
Quoi qu'il en soit, depuis le Moyen Age et jusqu'à une époque relativement peu éloignée par rapport à la durée de l'histoire, ces chiens se seraient disséminés aux Pays-Bas, en France, en Allemagne, en Angleterre. Dans chacun de ces pays, des croisements avec des chiens locaux auraient eu lieu, y créant par la suite les différents Epagneuls nationaux.
Le comte de Foix, pour en revenir à lui, cite également la technique de chasse utilisée avec ce type de chiens. On leur apprenait à se coucher devant le gibier, ce qui permettait alors de recouvrir le chien et les oiseaux d'un filet, d'où leur nom de Chiens d'Oysels. Cette forme d'arrêt très particulière valut d'ailleurs à leurs descendants, de l'autre côté de la Manche, d'être bientôt appelés « Setters », du verbe anglais to set, qui peut signifier se mettre en place, en l'occurrence se coucher.
On ignore quand et par quel chemin les Setters furent importés dans les îles Britanniques. En tout cas, c'est probablement en Irlande que l'emploi des chiens couchants commença à se répandre, ce qui fait de notre Setter Irlandais l'ancien de sa famille. On sait que les Setters rencontrèrent un vif succès auprès des premiers chasseurs à tir, auxquels leur arrêt très long permettait d'épauler leur arquebuse.
Pour retrouver des traces précises du Setter Irlandais, il faut ensuite se placer aux alentours de 1810, époque à laquelle les amateurs de cette belle race n'imaginèrent rien de mieux que de se quereller pour des histoires de robe. En effet, il existait alors non pas un, mais deux Setters Irlandais, l'unicolore (rouge) et le bicolore (blanc et rouge). Cette seconde variété était la plus courante, et on la disait meilleure que la première. Les éleveurs se mirent à disserter sur la visibilité des différentes robes, puis sur les qualités de chasse inhérentes à chaque « modèle ». D'aucuns prétendaient le dressage du « tout rouge » plus facile. Les premières expositions canines arrivèrent (1859), et le public trancha: le Setter Irlandais serait rouge, disons roux, à l'image de ses compatriotes.
Cette controverse à propos des couleurs peut paraître futile, mais elle détermina bel et bien l'avenir de ce chien. Qui sait ce que serait aujourd'hui le Setter si on l'avait sélectionné avec des géniteurs bicolores? Meilleur, moins bon? Personne ne saurait le dire. Une seule chose est sûre, c'est que le blanc est partie intégrante des caractères de cette race, comme le prouvent les marques blanches apparaissant parfois au poitrail, aux pattes ou à la tête des « diables rouges » actuels et que les amateurs appellent « l’étoile irlandaise ». Tandis que les férus d'expositions canines cherchent à les éliminer, les chasseurs sont fiers de posséder des chiens qui en sont dotés.
Qu'il porte ou non l'étoile d'Erin, le Setter Irlandais est l'un des plus beaux chiens qui soient. Ecoutons un extrait de la louange qu'en fait Cajelli : « Guidé par son flair puissant, il galope rapidement, la tête tendue en avant. Dans les sous-bois, il ralentit son allure et ne perd jamais de vue celui qu'il accompagne. Il travaille aussi bien en montagne que dans l'eau, déployant partout la même ardeur. Il ne souffre ni du froid ni de la chaleur, il ignore la fatigue. Il n'est d'autre chien dont l'odorat soit aussi fin, et nous sommes parfois étonnés par les résultats qu'il obtient grâce à son flair extraordinaire. Lorsqu'il se trouve en présence du gibier, il ralentit son allure, redouble de précautions pour ne pas perdre la trace odorante laissée derrière lui par le fugitif. Instinctivement, son corps s'abaisse vers le sol; en même temps, il dresse la tête et son chanfrein demeure parfaitement horizontal tandis que tout son arrière-train fléchit et que sa queue tendue s'immobilise un peu au-dessous de la ligne des reins. Comme pétrifié, il reste ainsi en arrêt devant la cachette du gibier qu'il vient de repérer. » Et l'auteur d'ajouter : « Malheureusement, dans le passé comme de nos jours, beaucoup d'éleveurs ont été et sont toujours attirés par les qualités esthétiques de ce chien. La grande beauté du Setter Irlandais fait oublier ce qu'il est capable de faire sur le terrain. »
En effet, ce chien est si beau que cela a fini par lui nuire. Pour s'en convaincre, il suffit d'évoquer ces grands chiens levrettés qui parcouraient il n'y a pas si longtemps encore les expositions canines en raflant tous les prix, et qui n'auraient su que faire d'un lièvre ou d'une bécasse. Ces « claquettes », comme les appelaient les amateurs du vrai Setter Irlandais, échassiers étriqués, n'étaient plus que les fantômes de ce qu'ils auraient dû être. Et cela à cause de la mode qui s'entêta à promouvoir ce Setter comme chien de compagnie alors qu'il ne demandait qu'à rester le fidèle auxiliaire du chasseur.
Heureusement, le Red Club, fondé en 1905 par le marquis de Gantes et repris depuis par des successeurs consciencieux, a compris que l'abîme qui s'était creusé entre les géants, très beaux au demeurant, des expositions canines et les chiens plus petits, mais infiniment meilleurs, du bon chasseur ne pouvait que porter préjudice à la race. La tendance s'est donc renversée, et les champions de travail actuels gagnent les premiers prix dans les expositions.
Le Setter Irlandais, chien magnifique, mais aussi génie de la chasse, cumule donc aujourd'hui les deux emplois pour lesquels il a le plus de passion : ceux d'auxiliaire de son maître chasseur et de compagnon de toute la famille. C'est bien dans ces deux rôles qu'il s'épanouit le plus. Le priver de l'un ou de l'autre, c'est lui enlever une partie de lui-même. Race très ancienne qui n'a rien perdu de sa noblesse, le Setter Irlandais est bien un chien roi. Et l'avoir à ses côtés est un plaisir de prince.
Certains l'ont dit fou, d'autres, hypernerveux. On l'a taxé de sensibilité à fleur de peau. Le Setter Irlandais est-il vraiment ce grand angoissé que les rumeurs se plaisent à nous peindre? Faisons la part des choses. D'abord, rien n'est plus ambigu que d'énoncer des généralités, surtout en matière de comportement canin. Non, tous les Labradors ne sont pas boulimiques, ni les Malinois féroces, ni les Lévriers débiles, ni les Setters Irlandais intenables. Chaque cas est particulier : pourquoi certains de ces « diables rouges » ne passeraient-ils pas le plus clair de leur temps à somnoler sur un coussin? Sans tomber dans l'excès, on peut tenter de trouver une moyenne intelligente et de donner quelques indications concernant le tempérament de ce chien.
Au premier abord, on découvre un animal grand, élancé, bien fait, à la tête longue, fine et très sèche : rien dans la morphologie du Setter Irlandais ne porte à la placidité. On peut donc en déduire qu'il s'agit d'un chien généralement assez éveillé. De plus, c'est un chien de chasse, ce que beaucoup ont tendance à oublier: s'il s'endormait en pleine battue, ce serait pour le moins gênant, toutes choses que ses détracteurs n'ont pas pris en compte avant de le traiter un peu vite d'hystérique. Il faut néanmoins être objectif: le Setter Irlandais a une tendance naturelle à la nervosité, appréciation que l'on nuancera cependant en précisant nervosité « équilibrée », si c'est possible, qualité paradoxale mais non moins indispensable chez le bon chien de chasse. D'ailleurs, sur le terrain, personne ne songerait à critiquer le Setter Irlandais. Il court trop bien, de son galop magnifique et léger, il quête trop bien, ne perdant pas un centimètre carré de terrain, il arrête trop bien, tout le corps tendu vers l'animal immobile. Enfin, il coule trop bien, faisant sortir le gibier sous le fusil du maître. Non, décidément, il n'y a que ceux qui le connaissent mal pour critiquer le Setter Irlandais.
Et le rapport, y est-il porté naturellement? À vrai dire, quelles races le sont? On répondra franchement que l'apprentissage du rapport est long chez l'Irlandais. Il a la tête trop chaude pour prêter bien longtemps attention au dresseur, et il faut à celui-ci des trésors de patience, de douceur et de fermeté pour que le diable rouge finisse par accepter le jeu. Plus délicate que les autres, cette phase du dressage est peut-être plus longue avec ce passionné d'Irlandais. Car il faut savoir que ce Setter ne manque pas d'opiniâtreté. C'est d'ailleurs ce qui fait sa valeur sur le terrain, car, s'il fait tourner son maître en bourrique à cause de son obstination, il met la même persévérance à traquer impitoyablement son gibier. Les défauts du Setter Irlandais font ses qualités.
Que dire du Setter Irlandais chien de compagnie? La même chose que du Setter Irlandais chien de chasse. Il est parfois indépendant, sourd aux ordres, mais en revanche plein de loyauté et d'affection. Cet Irlandais est un contraste permanent. Vivre avec lui n'est pas forcément reposant, mais on est sûr de ne jamais s'ennuyer. Si l'on veut avoir un compagnon, et non un boulet au pied, une seule solution à son égard : la ténacité. Etant donné que ce chien se referme devant la coercition comme un escargot rentrant dans sa coquille, son maître fera bien de laisser la cravache au vestiaire et de faire appel à son intelligence (il est très finaud) et à son amour pour lui (car, au fond, il a un cœur d'or). Donc, il devra jouer sur la complicité, les longues balades à deux, les petits câlins, les jeux et les caresses, pour demander en retour à son chien un minimum de savoir-vivre. Attention, se faire aimer ne veut pas dire se vendre, et quelques démonstrations de fermeté et de volonté ne feront que faire remonter le maître dans l'estime du Setter Irlandais.
Faites-le participer à vos activités le plus souvent possible, et alors il se donnera la peine de vous faire plaisir. A ce propos, il vit mal en appartement et, dans ce cas, exige de son maître d'incessantes et très longues promenades en échange de son respect pour le mobilier. Avec un tel chien, habiter à la campagne ou en banlieue est certainement plus facile, pourvu que l'endroit foisonne de grands espaces verts où il pourra s'ébattre tout son saoul. Pour cela, il importe de l'avoir préalablement dressé au rappel, faute de quoi il a tôt fait de prendre la poudre d'escampette. On peut commencer lorsqu'il est tout chiot, en l'appelant fréquemment, friandise à l'appui. S'il ne revient pas, l'usage de la longe légère est conseillé. De petites secousses feront revenir le jeune rebelle, qui s'apercevra vite qu'il ne peut pas se soustraire aux ordres (une caresse l'accueillera bien sûr à chaque retour, même obtenu après force saccades sur la longe). Une fois dressé à revenir à vous en toutes circonstances, le Setter Irlandais fera le meilleur des compagnons de promenade, car il n'est jamais fatigué et se montre toujours très amical durant les sorties (normal, elles lui font tellement plaisir). A moins d'être particulièrement dominant, il se comportera bien avec les chiens et les gens que vous pourrez rencontrer en chemin, car il est assez sociable, ce qui est heureux pour un chien de chasse, souvent amené à côtoyer de nombreux congénères.
Avec les enfants, aucun problème, à condition qu'ils soient à la hauteur et sachent ne pas l'embêter, auquel cas Sa Majesté l'Irlandais risque de manifester sa désapprobation par un grognement significatif. A la limite, il fuira toujours plutôt que de mordre des enfants, dont il est l'ami par nature. Il participe volontiers à tous leurs jeux, ne ratant pas une aussi bonne occasion de se dépenser. Les autres animaux ; du type chat, lapin, poule ou hamster ; devront, pour cohabiter harmonieusement avec le Setter Irlandais, se souvenir qu'il est avant tout un chien de chasse avec les instincts correspondants. Donc, attention aux imprudences, et place à une éducation précoce de toutes les parties. Ainsi, le chiot doit apprendre très jeune à respecter les animaux familiers, et ces derniers doivent savoir se faire discrets par moments. Dans ces conditions, le Setter peut très bien devenir l'ami du chat de la maison et savoir placidement regarder les tortues. En revanche, les animaux assimilables à du gibier, tels que lapins et oiseaux, devraient plutôt éviter le Setter Irlandais en général, et s'il est chasseur assidu en particulier.
Voilà donc un chien bien souvent récrié à tort. Il est vrai que certains individus sélectionnés uniquement sur des critères physiques ont parfois manqué d'équilibre. Cette situation appartient néanmoins au passé, et, avec le retour du caractère comme facteur de sélection, le Setter Irlandais est redevenu le chien équilibré qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être. Certes, il n'est pas de ceux qui se dressent en un tour de main, mais l'habileté de l'éducateur ne se mesure-t-elle pas aussi à la volonté de l'animal entraîné? Celui qui obtient de bons résultats avec un Setter Irlandais peut se vanter d'avoir la main à la fois douce et ferme, idéale pour tout dressage. Le tempérament du Setter Irlandais ne dément pas ses origines. Fier et rebelle, mais aussi bon et loyal, tel est ce Setter, et tel il doit rester.
Chien de chasse incomparable, nez de génie, allures de félin, arrêt de statue, mais aussi ami inséparable de son maître, veillant sur ses enfants, l'accompagnant partout, le Setter Irlandais n'a pas fini de faire parler de lui. Aïeul probable du Setter Anglais, certain du Setter Gordon, l'Irlandais est l'âme même de ces chiens. Ces Setters si admirables par les lignes de leur corps et les bontés de leur tempérament sont devenus auxiliaires des chasseurs dans le monde entier. Et, plus qu'aucun autre d'entre eux, le Setter Irlandais représente le Chien. Dur et fort, mais pur et fidèle. Comme un véritable Irlandais. Et un véritable ami de l'homme. |
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Irish Red Setter FCI Standard No. 120
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Origin
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Ireland |
Group
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Group 7 Pointing Dogs |
Section
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Section 2 British and Irish Pointers and Setters |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Wednesday 22 December 1954 |
Publication of the official valid standard
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Tuesday 13 March 2001 |
Last update
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Monday 02 April 2001 |
En français, cette race se dit
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Setter irlandais rouge |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Irischer Roter Setter |
En español, esta raza se dice
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Setter irlandés rojo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Ierse Setter |
Usage
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Gun dog and family dog. |
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Brief historical summary
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The Irish Red Setter was developed in Ireland as a working dog for hunting game. The breed is derived from the Irish Red and White Setter and an unknown solid red coloured dog. It was a clearly identifiable type in the 18 th century. The Irish Red Setter Club was established in 1882 to promote the Breed. The club issued the Breed Standard in 1886, and has organised field trials and shows to set the Standard for the Breed since that time. In 1998 the club published the working style for the breed. The standard and working style together describes the physical form and working ability of the breed. The Irish Red Setter has evolved down the years into a hardy, healthy, intelligent dog, possessed of excellent working ability and great stamina. |
General appearance
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Racy and athletic full of quality, kindly in expression. Balanced and in proportion. |
Behaviour / temperament
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Keen, intelligent, energetic, affectionate and loyal. |
Head
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Cranial region
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Head
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Long and lean, and not coarse at the ears. Muzzle and skull of equal length and on parallel lines. |
Skull
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Oval (from ear to ear), having plenty of brain room, and with well defined occipital protuberance. Brows raised. |
Stop
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Well defined. |
Facial region
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Nose
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The colour of the nose is dark mahogany, or dark walnut or black, the nostrils wide. |
Muzzle
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Moderately deep and fairly square at the end. From the stop to point of nose, long, flews not pendulous. |
Jaws and teeth
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Jaws of nearly equal length. Scissors bite. |
Eyes
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Dark hazel or dark brown ought not to be too large. |
Ears
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Of moderate size, fine in texture, set low and well back, hanging in a neat fold close to head. |
Neck
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Moderately long, very muscular, not too thick, slightly arched, no tendency to throatiness. |
Body
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Body
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Proportionate to size of dog. |
Loin
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Muscular and slightly arched. |
Chest
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Deep chest, rather narrow in front, ribs well sprung, leaving plenty of lung room. |
Tail
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Moderate length, proportionate to size of body, set on rather low, strong at root, tapering to fine point. Carried level with or below back. |
Forequarters
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Shoulders
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Fine at the point, deep and sloping well back. |
Elbows
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Free and well let down, not turned in or out. |
Forearm
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Straight and sinewy, well boned. |
Hindquarters
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Generality
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Wide and powerful. |
Lower thigh
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Long and muscular from hip to hock; from hock to heel short and strong. |
Stifle
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Well bent |
Hock
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Turned neither in or out. |
Feet
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Small, very firm, toes strong, arched and close together. |
Gait and movement
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Free flowing, driving movement; head held high. Forelegs reaching well ahead but carried low. Hindquarters drive smoothly with great power. Crossing or weaving of legs unacceptable. |
Coat
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Hair
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On head, front of legs, and tips of ears, short and fine; on other parts of body and legs moderate length, flat and as free as possible from curl or wave. Feather on upper portion of ears long and silky; on back of fore and hind legs long and fine; fair amount of hair on belly, forming fringe which may extend onto chest and throat. Feet well feathered between toes. Tail having fringe of moderately long hair, decreasing in length as it approaches the point. All feathering straight and flat. |
Colour
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Rich chestnut with no trace of black; white on chest, throat, and toes; or small star on forehead or narrow streak or blaze on nose or face not to disqualify. |
Size and weight
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Height at withers
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Males 23 ins (58 cm) to 26.5 ins (67 cm). Female 21.5 ins (55 cm) to 24.5 ins (62 cm). |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy dogs. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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Certain races have the undeniable advantage of presenting to their amateurs clear and almost clear origins and history. Any self-respecting cynophile attributes the German Shepherd to von Stephanitz, the Malinois to Huyghebaert, the Leonberg to Heissig and the Dobermann to the German municipal employee of the same name. On the other hand, when one comes to talk about the Setters, the long-haired British sting dogs, the wisest ones prefer to keep quiet. Indeed, the past of these dogs today so listed, we know nothing, or not much. In fact, opinions diverge on this subject.
The Setters, the Spaniels and the Spaniels (non-continental Spaniels), this is commonly admitted, would all have for grandfather the Quail Braque, or Dog of Oysel, who was a dog lying, that is to say a dog of stop, itself descended from the ancient Canis familiaris intermedius. One school, among the cynologists, argues that the dog in question is from Spain, which would explain nicely the still used name of Spaniel (or Spaniel). One of the few testimonies in favor of this thesis is that which Gaston de Foix would have brought, says Phoebus, in his Treatise on the hunt, where he would have spoken of the dogs of birds as being Spanish.
According to another school, the name of the Spaniels and Spaniels would have a very different etymology (from the old French "to be spared", to lie down). Moreover, these dogs do not come originally from Spain. This is the opinion of Strebel, for example: this specialist quotes a jewel that belonged to Philip II of Macedonia, the father of Alexander the Great, on which would be represented an ancestor of the famous Braque aux Quails, who would have lived at 4th century BC.
Be that as it may, since the Middle Ages and up to a relatively little time in relation to the duration of history, these dogs would have spread in the Netherlands, France, Germany, England. In each of these countries, crosses with local dogs would have taken place, eventually creating different national Spaniels.
The Comte de Foix, to come back to him, also quotes the hunting technique used with this type of dog. They were taught to lie down in front of the game, which made it possible to cover the dog and the birds with a net, hence their name of Oyster Dogs. This very particular form of arrest was also worth to their descendants, on the other side of the Channel, to be called soon "Setters", of the English verb to set, which can mean to be put in place, in the occurrence to lie down.
It is not known when and by what route the Setters were imported into the British Isles. In any case, it is probably in Ireland that the use of sodding dogs began to spread, making our Irish Setter the elder of his family. We know that the Setters met with great success with the first fighter jets, whose very long stop allowed to support their arquebus.
To find precise traces of the Irish Setter, one must then place around 1810, at which time fans of this beautiful race imagined nothing better than to quarrel for stories of dress. Indeed, there was not one, but two Irish Setters, the one-colored (red) and the two-colored (white and red). This second variety was the most common, and was said to be better than the first. Breeders began to discuss the visibility of the different dresses, then the hunting qualities inherent to each "model". Some claimed the training of "all red" easier. The first dog shows arrived (1859), and the public decided: the Irish Setter would be red, say red, like his compatriots.
This controversy about colors may seem trivial, but it did determine the future of this dog. Who knows what the Setter would be today if we had selected it with two-color breeders? Better, less good? Nobody can tell. One thing is certain, white is an integral part of the characters of this race, as evidenced by the white marks sometimes appearing on the chest, legs or heads of the current "red devils" and that amateurs call " the Irish star ". While dog show enthusiasts seek to eliminate them, hunters are proud to own dogs that have them.
Whether or not he wears Erin's star, the Irish Setter is one of the most beautiful dogs ever. Let's listen to an excerpt from Cajelli's praise: "Guided by his powerful flair, he gallops quickly, head outstretched. In the undergrowth, he slows down his pace and never loses sight of the one he accompanies. He works both in the mountains and in the water, deploying everywhere the same ardor. He does not suffer from cold or heat, he ignores fatigue. There is no other dog whose sense of smell is so fine, and we are sometimes astonished by the results he gets thanks to his extraordinary flair. When he is in the presence of the game, he slows down his pace, redoubles precautions to not lose the odor trail left behind him by the fugitive. Instinctively, his body falls to the ground; at the same time, he raises his head and his chamfer remains perfectly horizontal while his hind end flexes and his stretched tail comes to rest a little below the line of the kidneys. As if petrified, he remains stuck in front of the hiding place of the game he has just spotted. And the author adds: "Unfortunately, in the past as nowadays, many breeders have been and still are attracted by the aesthetic qualities of this dog. The great beauty of the Irish Setter makes one forget what he is able to do on the ground. "
Indeed, this dog is so beautiful that it ended up harming him. To convince oneself of this, it is enough to mention those big doggy dogs that scoured the dog shows not too long ago, scooping up all the prizes, and who would not have known how to make a hare or a woodcock. These "clappers", as the fans of the real Irish Setter called them, narrow waders, were nothing more than the ghosts of what they should have been. And that because of the fashion that stubbornly promoted this Setter as a companion dog while he asked only to remain the faithful auxiliary of the hunter.
Fortunately, the Red Club, founded in 1905 by the Marquis de Gantes and since taken over by conscientious successors, has understood that the abyss that had widened between the giants, very beautiful indeed, dog shows and smaller dogs but infinitely better, the good hunter could only harm the race. The trend has therefore reversed, and current job champions are gaining top prizes in the exhibitions.
The Irish Setter, a magnificent dog, but also a genius of the hunt, now accumulates the two jobs for which he has the most passion: those of his master hunter and companion of the whole family. It is in these two roles that he blossoms the most. To deprive him of one or the other is to take away a part of himself. A very old breed that has lost none of its nobility, the Irish Setter is a king dog. And having him by his side is a prince's pleasure.
Some said crazy, others hypernervous. It has been accused of sensitivity to the skin. Is the Irish Setter really that much distressed that rumors are pleased to paint us? Let's share things. First, nothing is more ambiguous than stating generalities, especially in terms of dog behavior. No, not all the Labradors are bulimic, nor the ferocious Malinois, nor the stupid Greyhounds, nor the irresistible Irish Setters. Each case is unique: why would not some of these "red devils" spend most of their time sleeping on a cushion? Without falling into excess, we can try to find an intelligent average and give some indications concerning the temperament of this dog.
At first sight, we discover a tall, slender, well-made animal with a long, thin, very dry head: nothing in the morphology of the Irish Setter leads to placidity. We can therefore deduce that this is a dog that is usually quite awake. In addition, it is a hunting dog, which many tend to forget: if he fell asleep in full swing, it would be to say the least embarrassing, all things that his detractors did not take into account before treat him a little fast hysterical. However, we must be objective: the Irish Setter has a natural tendency to nervousness, appreciation that will nuance however by specifying "balanced" nervousness, if it is possible, paradoxical quality but no less essential in the good hunting dog. Moreover, in the field, no one would think of criticizing the Irish Setter. He runs too well, his gallop beautiful and light, he looks too well, not losing a square centimeter of land, it stops too well, the whole body strained towards the motionless animal. Finally, it flows too well, bringing out the game under the rifle of the master. No, definitely, there are only those who know him badly to criticize the Irish Setter.
And is the report naturally carried? In truth, what races are it? Frankly, it will be said that learning the report is long for the Irishman. His head is too hot to pay much attention to the trainer, and he needs a lot of patience, gentleness and firmness for the red devil to end up accepting the game. More delicate than the others, this phase Dressage may be longer with this passionate Irishman. For it must be known that this Setter is not lacking in stubbornness. This is also what makes his value on the ground, because, if he turns his master into jail because of his obstinacy, he puts the same perseverance to hunt down his game mercilessly. The defects of the Irish Setter are his qualities.
What about the Irish Setter pet dog? The same as the Irish Setter hunting dog. He is sometimes independent, deaf to orders, but on the other hand full of loyalty and affection. This Irishman is a permanent contrast. Living with him is not necessarily relaxing, but one is sure to never be bored. If you want to have a companion, not a cannonball, one solution to it: tenacity. Since this dog closes in front of coercion like a snail returning to its shell, his master will do well to leave the whip in the locker room and appeal to his intelligence (he is very cunning) and his love for him (because, deep down, he has a heart of gold). So he will have to play on the complicity, the long walks with two, the small hugs, the games and the caresses, to ask in return for his dog a minimum of savoir-vivre. Attention, to be loved does not mean to sell, and some demonstrations of firmness and will will only bring up the master in the esteem of the Irish Setter.
Make him participate in your activities as often as possible, and then he will take the trouble to please you. In this respect, he lives badly in an apartment and, in this case, demands from his master incessant and very long walks in exchange for his respect for the furniture. With such a dog, living in the countryside or in the suburbs is certainly easier, provided that the place abounds with large green spaces where he will be able to frolic all his drunk. For this, it is important to have previously prepared for the recall, otherwise he was quick to take the wheel. One can start when he is any puppy, by calling him frequently, fondling him for support. If it does not come back, the use of the light loin is recommended. Small shakes will return the young rebel, who will quickly realize that he can not avoid orders (a caress will welcome course on each return, even after forcefully jerks on the loin). Once trained to return to you in all circumstances, the Irish Setter will make the best of the companions of walk, because he is never tired and is always very friendly during the outings (normal, they make him so much pleasure). Unless you are particularly dominant, it will behave well with dogs and people you can meet on the way, because it is quite sociable, which is good for a hunting dog, often brought to rub shoulders with many congeners.
With the children, no problem, provided that they are up to the task and know not to bother him, in which case His Majesty the Irishman is likely to show his disapproval with a significant groan. At the limit, he will always flee rather than bite children, of which he is the friend by nature. He willingly participates in all their games, not missing such a good opportunity to spend. Other animals; of the cat, rabbit, hen or hamster type; In order to live harmoniously with the Irish Setter, he must remember that he is above all a hunting dog with the corresponding instincts. So beware of imprudences, and place an early education of all parties. Thus, the puppy must learn at a very young age to respect pets, and they must know how to be discreet at times. In these conditions, the Setter can very well become the cat's friend of the house and know placidly look at the turtles. On the other hand, game-like animals, such as rabbits and birds, should rather avoid the Irish Setter in general, and if he is a keen hunter in particular.
So that's a dog that is often wrongly faked. It is true that some individuals selected solely on physical criteria sometimes lacked balance. This situation, however, belongs to the past, and with the return of character as a factor of selection, the Irish Setter is once again the balanced dog he should never have ceased to be. It is true that he is not one of those who stand up in a jiffy, but does not the skill of the educator also measure up to the will of the trained animal? Whoever gets good results with an Irish Setter can boast of having a soft, firm hand that is ideal for any training. The temper of the Irish Setter does not belie his origins. Proud and rebellious, but also good and loyal, such is this Setter, and such he must remain.
An incomparable hunting dog, a genius nose, a feline appearance, a statue stop, but also an inseparable friend of his master, watching over his children, accompanying him everywhere, the Irish Setter has not finished talking about him. A probable ancestor of the English Setter, certain of Setter Gordon, the Irishman is the very soul of these dogs. These Setters, so admirable by the lines of their body and the kindness of their temperament, have become auxiliaries to hunters all over the world. And, more than any other of them, the Irish Setter represents the Dog. Hard and strong, but pure and faithful. Like a real Irishman. And a real friend of the man. |
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Irischer Roter Setter FCI-Standard Nr. 120
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Ursprung
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Irland |
Übersetzung
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Jürgen Wegner/Bettina Smith-Horn / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
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Gruppe 7 Vorstehhunde |
Sektion
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Sektion 2 Britische und Irische Vorstehhunde |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Mittwoch 22 Dezember 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Dienstag 13 März 2001 |
Letzten Aktualisierung
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Freitag 31 August 2001 |
En français, cette race se dit
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Setter irlandais rouge |
In English, this breed is said
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Irish Red Setter |
En español, esta raza se dice
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Setter irlandés rojo |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Ierse Setter |
Verwendung
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Jagd- und Familienhund. |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Der Irische Rote Setter wurde in Irland als Jagd-Gebrauchshund gezüchtet. Er stammt von Irischen Rot-Weißen Settern und unbekannten, einfarbig roten Hunden ab und war bereits im 18. Jahrhundert im Typ klarerkennbar. Der Irish Red Setter Club wurde im Jahr 1882 gegründet, um die Rasse zu fördern. Dieser Club gab 1886 den Rassestandard heraus und organisierte seit dieser Zeit sowohl Feldjagd-prüfungen als auch Ausstellungen, um diesen Standard umzusetzen. 1998 veröffentlichte der Club Gebrauchsrichtlinien, die in Kombination mit dem Standard die Rasse in ihrem physischen Erscheinungsbild und in ihren Gebrauchseigenschaften umfassend beschreiben. Der Irische Rote Setter hat sich im Laufe der Jahre zu einem robusten, gesunden und intelligenten Hund entwickelt, der eine ausgezeichnete Arbeitsfähigkeit und große Ausdauer besitzt. |
Allgemeines erscheinungsbild
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Rassig und athletisch, voller Qualität. Freundlich im Ausdruck. Ausgewogen und proportioniert. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Eifrig interessiert, intelligent, voller Tatendrang; liebevoll und ergeben. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Lang und schlank, nicht grob in Höhe der Behänge. Fang und Oberkopf sind gleich lang, ihre Oberlinien verlaufen parallel. |
Schädel
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Oval (von Behang zu Behang) mit viel Raum für das Gehirn, mit ausgeprägtem Hinterhauptstachel. Brauen bögen betont. |
Stop
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Deutlich ausgeprägt. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Die Farbe des Nasenschwamms ist Dunkelmahagoni, Dunkelwalnußfarbe oder Schwarz. Nasenlöcher weit geöffnet. |
Fang
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Mäßig tief und zum Ende hin fast rechteckig. Vom Stop bis zur Nasenspitze lang, Lefzen nicht lose herabhängend. |
Kiefer / Zähne
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Von nahezu gleicher Länge. Scherengebiß. |
Augen
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Dunkel-haselnußbraun oder dunkelbraun. Sollten nicht zu groß sein. |
Ohren
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Von mittlerer Größe und feiner Struktur. Tief und weit hinten angesetzt, in einer wohlgeformten Falte engam Kopf herabhängend. |
Hals
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Von angemessener Länge, sehr muskulös, aber nicht zu dick, leicht gebogen. Ohne Tendenz zu loser Kehlhaut. |
Körper
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Allgemeinheit
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Passend zur Größe des Hundes. |
Lenden
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Muskulös, leicht gewölbt. |
Brust
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Brustkorb tief, vorn eher schmal, mit gut gewölbten Rippen, der Lunge viel Platz bietend. |
Rute
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Von mäßiger Länge, im richtigen Verhältnis zur Körpergröße, ziemlich tief angesetzt; kräftig am Ansatz, sich zur Spitze hin verjüngend. Auf Rückenhöhe oder darunter getragen. |
Vorderhand
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Schultern
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Wohlgeformt an der Spitze, tief und schräg nach hinten gelagert. |
Ellenbogen
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Frei beweglich, tief gelagert, weder einwärts noch nach außen gedreht. |
Unterarm
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Gerade und sehnig, mit guter Knochens tärke. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Breit und kraftvoll. |
Unterschenkel
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Lang und muskulös von der Hüfte bis zuden Sprunggelenken; kurz und kräftig vom Sprunggelenk bis zur Ferse. |
Knie
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Gut gewinkelt. |
Sprunggelenk
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Weder einwärts noch nach außen gedreht. |
Pfoten
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Klein und sehr fest. Zehen kräftig, gebogen und engzusammengefügt. |
Gangwerk
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Frei fließende Bewegung mit viel Schub. Hohe Kopfhaltung. Die Vorderläufe greifen weit aus, bleiben dabei jedoch dicht über dem Boden. Die Hinterhand bewegt sich mit geschmeidigem, äußerst kraftvollem Schub. Eine kreuzende oder webende Aktion ist nicht akzeptabel. |
Coat
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Haar
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Am Kopf, den Vorderseiten der Läufe und den Behangspitzen kurz und fein. Am übrigen Körper und an den Läufen von mäßiger Länge, flach anliegend und möglichst ohne Locken und Wellen. Amoberen Teil der Behänge ist die Befederung lang und seidig, auf der Rückseite der Vorder- und Hinterläufe lang und fein. Am Bauch ausreichend behaart, um eine Befransung zu bilden, die sich über die Brust bis hin zur Kehle fortsetzen kann. Die Pfoten sind zwischen den Zehen gut befedert. Die Befransung der Rute besteht aus mäßig langem Haar, das zur Rutenspitze hin allmählich kürzer wird. Die gesamte Befederung ist glatt und flach anliegend. |
Farbe
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Sattes Kastanienbraun ohne jede Spur von Schwarz; Weiß an der Brust, am Hals und an den Zehen oder als kleiner Stern auf der Stirn oder als schmaler Streifen oder Blesse auf Nase oder Gesicht ist nicht disqualifizierend. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Widerristhöhe für Rüden 58 bis 67 cm; für Hündinnen 55 bis 62 cm. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Disqualifizierende fehler
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Aggressive oder űbermässig ängstliche Hunde. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Bestimmte Rassen haben den unbestreitbaren Vorteil, ihren Amateuren klare und fast klare Ursprünge und Geschichte zu präsentieren. Jeder selbstkritische Kynophile schreibt den Deutschen Schäferhund an Stephanitz, den Malinois an Huyghebaert, den Leonberg an Heissig und den Dobermann an den gleichnamigen deutschen städtischen Angestellten. Auf der anderen Seite, wenn man über die Setter, die langhaarigen britischen Stop Dogs, spricht, halten es die Klügeren lieber still. In der Tat, die Vergangenheit dieser Hunde heute so aufgeführt, wissen wir nichts oder nicht viel. Tatsächlich divergieren die Meinungen zu diesem Thema.
Die Setter, die Spaniel und die Spaniel (nicht-kontinentale Spaniels), so wird allgemein angenommen, hätten alle für den Großvater die Wachtel Braque oder Hund von Oysel, der ein liegender Hund war, das heißt einen Hund von stoppen, selbst stammt aus dem alten Canis familiaris intermedius ab. Eine Schule, unter den Kynologen, argumentiert, dass der fragliche Hund aus Spanien stammt, was den noch gebräuchlichen Namen Spaniel (oder Spaniel) gut erklären würde. Eines der wenigen Zeugnisse, die für diese These sprechen, ist jene, die Gaston de Foix mitgebracht hätte, sagt Phoebus in seiner Abhandlung über die Jagd, wo er von den Hunden der Vögel als Spanisch gesprochen hätte.
Laut einer anderen Schule hätte der Name der Spaniels und Spaniels eine andere Etymologie (altfranzösisch "erwarten", sich hinlegen). Außerdem stammen diese Hunde nicht aus Spanien. Dies ist zum Beispiel die Meinung von Strebel: Dieser Spezialist zitiert ein Juwel, das Philipp II. Von Makedonien, dem Vater Alexanders des Großen, gehörte, auf dem ein Vorfahre des berühmten Braque aux Quails abgebildet wäre, der hier gelebt hätte 4. Jahrhundert vor Christus.
Wie dem auch sei, seit dem Mittelalter und bis zu einer relativ geringen Zeit im Verhältnis zur Dauer der Geschichte hätten sich diese Hunde in den Niederlanden, Frankreich, Deutschland und England verbreitet. In jedem dieser Länder hätten Kreuzungen mit lokalen Hunden stattgefunden, die schließlich verschiedene nationale Spaniels geschaffen hätten.
Der Comte de Foix, um zu ihm zurückzukehren, zitiert auch die Jagdtechnik, die bei dieser Art von Hunden angewandt wird. Ihnen wurde beigebracht, sich vor das Spiel zu legen, wodurch es möglich wurde, den Hund und die Vögel mit einem Netz zu bedecken, daher der Name Oyster Dogs. Diese ganz besondere Form der Verhaftung war es auch ihren Nachkommen, auf der anderen Seite des Ärmelkanals, bald als "Setter" bezeichnet zu werden, das englische Verb zu setzen, was bedeuten kann, dass es in der Vorkommen zum hinlegen.
Wann und auf welchem Weg die Setter auf die Britischen Inseln importiert wurden, ist nicht bekannt. Auf jeden Fall ist es wahrscheinlich in Irland, dass sich der Gebrauch von sich neigenden Hunden ausbreitete, was unseren Irish Setter zum Ältesten seiner Familie machte. Wir wissen, dass die Setters mit den ersten Kampfjets, deren sehr langer Stopp es erlaubte, ihre Arkebus zu unterstützen, großen Erfolg hatten.
Um genaue Spuren des Irish Setter zu finden, muss man ihn dann um 1810 platzieren. Zu dieser Zeit stellten sich die Anhänger dieser schönen Rasse nichts Besseres vor, als sich für Kleidergeschichten zu streiten. Tatsächlich gab es nicht einen, sondern zwei Irish Setter, die einfarbige (rot) und die zweifarbige (weiß und rot). Diese zweite Sorte war die häufigste und wurde als besser bezeichnet als die erste. Die Züchter begannen über die Sichtbarkeit der verschiedenen Kleider zu sprechen, dann über die Jagdeigenschaften, die jedem "Modell" innewohnen. Einige behaupteten das Training von "ganz rot" einfacher. Die ersten Hundeausstellungen kamen (1859) an, und das Publikum entschied: Der Irish Setter wäre rot, sprich rot wie seine Landsleute.
Diese Kontroverse über Farben mag trivial erscheinen, aber sie hat die Zukunft dieses Hundes bestimmt. Wer weiß, was der Setter heute wäre, wenn wir ihn mit zweifarbigen Züchtern ausgewählt hätten? Besser, weniger gut? Niemand kann es sagen. Eines ist sicher, weiß ist ein integraler Bestandteil der Charaktere dieser Rasse, wie die weißen Markierungen zeigen, die manchmal auf der Brust, den Beinen oder den Köpfen der "roten Teufel" heute erscheinen und die Amateure rufen " der irische Star ". Während Hundeschau-Enthusiasten versuchen, sie zu beseitigen, sind Jäger stolz, Hunde zu besitzen, die sie haben.
Ob er Erins Stern trägt oder nicht, der Irish Setter ist einer der schönsten Hunde aller Zeiten. Lasst uns einen Auszug aus Cajellis Lobpreis anhören: "Geführt von seinem kraftvollen Gespür, galoppiert er schnell, den Kopf ausgestreckt. Im Unterholz verlangsamt er sein Tempo und verliert nie den Blick, den er begleitet. Er arbeitet sowohl in den Bergen als auch im Wasser und entfaltet überall die gleiche Glut. Er leidet nicht an Kälte oder Hitze, er ignoriert Müdigkeit. Es gibt keinen anderen Hund, dessen Geruchssinn so gut ist, und wir sind manchmal erstaunt über die Ergebnisse, die er dank seines außergewöhnlichen Flairs erhält. Wenn er in der Gegenwart des Spiels ist, verlangsamt er sein Tempo, verdoppelt Vorkehrungen, um die Geruchsspur, die der Flüchtling hinter sich gelassen hat, nicht zu verlieren. Instinktiv fällt sein Körper auf den Boden; gleichzeitig hebt er den Kopf und seine Fase bleibt perfekt horizontal, während sein Hinterende sich biegt und sein gestreckter Schwanz etwas unterhalb der Nierenlinie zur Ruhe kommt. Wie versteinert bleibt er vor dem Versteck des Spiels stehen, das er gerade entdeckt hat. Und der Autor fügt hinzu: "Leider wurden und werden in der Vergangenheit viele Züchter von den ästhetischen Qualitäten dieses Hundes angezogen. Die große Schönheit des Irish Setter lässt vergessen, was er auf dem Boden machen kann. "
In der Tat, dieser Hund ist so schön, dass es ihm schadet. Um sich davon zu überzeugen, ist es genug, jene großen Hunde zu erwähnen, die die Hundeshows vor nicht allzu langer Zeit durchforsteten, alle Preise aufhoben und wer nicht gewusst hätte, wie man einen Hasen oder eine Waldschnepfe. Diese "Clappers", wie die Fans des echten Irish Setter sie nannten, schmale Wathosen, waren nichts weiter als die Geister dessen, was sie hätten sein sollen. Und das wegen der Mode, die diesen Setter hartnäckig als Begleithund förderte, während er nur darum bat, der treue Helfer des Jägers zu bleiben.
Glücklicherweise hat der Rote Club, der 1905 vom Marquis de Gantes gegründet und von gewissenhaften Nachfolgern übernommen wurde, verstanden, dass der Abgrund, der sich zwischen den Giganten ausgebreitet hatte, in der Tat sehr schön war, Hundeschauen und kleinere Hunde aber unendlich viel besser, der gute Jäger konnte der Rasse nur schaden. Der Trend hat sich umgekehrt und aktuelle Job-Champions gewinnen in den Ausstellungen Spitzenpreise.
Der Irish Setter, ein großartiger Hund, aber auch ein Genie der Jagd, sammelt nun die beiden Berufe an, für die er die größte Leidenschaft hat: die seines Meisterjägers und Gefährten der ganzen Familie. In diesen beiden Rollen blüht er am meisten. Ihm den einen oder anderen zu berauben heißt, einen Teil von sich selbst wegzunehmen. Eine sehr alte Rasse, die nichts von ihrem Adel verloren hat, ist der Irish Setter ein Königshund. Und ihn an seiner Seite zu haben ist ein Vergnügen des Prinzen.
Manche sagten verrückt, andere waren nervös. Es wurde der Empfindlichkeit gegenüber der Haut vorgeworfen. Ist der Irish Setter wirklich so verzweifelt, dass Gerüchte uns gerne malen? Lass uns Dinge teilen. Erstens ist nichts doppeldeutiger als allgemeingültige Aussagen, insbesondere in Bezug auf das Verhalten der Hunde. Nein, nicht alle Labradors sind bulimisch, auch nicht die wilden Malinois, die dummen Greyhounds oder die unwiderstehlichen Irish Setter. Jeder Fall ist einzigartig: Warum sollten einige dieser "roten Teufel" nicht die meiste Zeit auf einem Kissen schlafen? Ohne im Übermaß zu fallen, können wir versuchen, einen intelligenten Durchschnitt zu finden und einige Hinweise auf das Temperament dieses Hundes zu geben.
Auf den ersten Blick entdecken wir ein großes, schlankes, gut gemachtes Tier mit einem langen, dünnen, sehr trockenen Kopf: Nichts in der Morphologie des Irish Setter führt zu Gelassenheit. Wir können daher folgern, dass es sich um einen Hund handelt, der allgemein wach genug ist. Außerdem ist es ein Jagdhund, den viele vergessen zu vergessen: Wenn er auf Hochtouren eingeschlafen wäre, wäre es am wenigsten peinlich, alles Dinge, die seine Gegner nicht vorher in Betracht gezogen haben Behandle ihn ein wenig schnell hysterisch. Aber wir müssen objektiv sein: Der Irish Setter hat eine natürliche Tendenz zur Nervosität, Wertschätzung, die jedoch durch die Angabe "ausgewogener" Nervosität, wenn es möglich ist, paradoxe Qualität, aber nicht weniger wichtig in der guten Jagdhund Nuance. Außerdem würde niemand auf dem Gebiet daran denken, den Irish Setter zu kritisieren. Er rennt zu gut, sein Galopp ist schön und leicht, er sieht zu gut aus, verliert keinen Quadratzentimeter Land, er hört zu gut auf, der ganze Körper erstreckt sich auf das bewegungslose Tier. Schließlich fließt es zu gut und bringt das Spiel unter dem Gewehr des Meisters zum Vorschein. Nein, definitiv, es gibt nur diejenigen, die ihn schlecht kennen, um den Irish Setter zu kritisieren.
Und wird der Bericht natürlich durchgeführt? In Wahrheit, was für Rennen sind das? Ehrlich gesagt, wird das Erlernen des Berichts für den Ire sehr lang sein. Sein Kopf ist zu heiß, um dem Trainer viel Aufmerksamkeit zu schenken, und er braucht viel Geduld, Sanftmut und Entschlossenheit, damit der Rote Teufel das Spiel akzeptieren kann, delikater als die anderen, diese Phase Dressur kann mit diesem leidenschaftlichen Ire länger sein. Denn es muss bekannt sein, dass es diesem Setzer nicht an Hartnäckigkeit mangelt. Das ist es auch, was seinen Wert auf dem Boden ausmacht, denn wenn er seinen Herrn wegen seiner Hartnäckigkeit ins Gefängnis stellt, setzt er die gleiche Ausdauer ein, um sein Spiel gnadenlos zu verfolgen. Die Fehler des Irish Setter sind seine Qualitäten.
Was ist mit dem Irish Setter Hund? Das gleiche wie der Irish Setter Jagdhund. Er ist manchmal unabhängig, taub für Befehle, aber auf der anderen Seite voller Loyalität und Zuneigung. Dieser Ire ist ein permanenter Kontrast. Mit ihm zu leben ist nicht unbedingt entspannend, aber man wird sich nie langweilen. Wenn du einen Begleiter haben willst, keine Kanonenkugel, eine Lösung: Hartnäckigkeit. Da dieser Hund vor Zwang schließt wie eine Schnecke, die zu seiner Schale zurückkehrt, wird sein Meister gut daran tun, die Peitsche in der Umkleidekabine zu lassen und an seine Intelligenz (er ist sehr gerissen) und seine Liebe zu ihm zu appellieren (denn Tief unten hat er ein Herz aus Gold. Er wird also auf die Komplizenschaft, die langen Spaziergänge mit zwei, die kleinen Umarmungen, die Spiele und die Liebkosungen spielen müssen, um für seinen Hund ein Minimum an Savoir-vivre zu verlangen. Sei vorsichtig, geliebt zu werden bedeutet nicht zu verkaufen, und einige Demonstrationen von Festigkeit und bringen den Meister nur in die Wertschätzung des Irish Setter zurück.
Lass ihn so oft wie möglich an deinen Aktivitäten teilnehmen und dann wird er sich die Mühe machen, dir zu gefallen. In dieser Hinsicht lebt er schlecht in einer Wohnung und fordert in diesem Fall von seinem Meister unaufhörliche und sehr lange Spaziergänge im Austausch für seinen Respekt für die Möbel. Mit einem solchen Hund ist das Leben auf dem Land oder in den Vororten sicherlich einfacher, vorausgesetzt, dass der Ort mit großen Grünflächen überfüllt ist, wo er in der Lage sein wird, alle seine Betrunkenen zu toben. Dafür ist es wichtig, sich vorher auf den Rückruf vorbereitet zu haben, sonst war er schnell am Steuer. Man kann anfangen, wenn er ein Welpe ist, indem man ihn häufig anruft und ihn um Unterstützung bittet. Wenn es nicht zurückkommt, wird die Verwendung der leichten Lende empfohlen. Kleine Erschütterungen werden den jungen Rebellen zurückgeben, der schnell erkennen wird, dass er sich Befehlen nicht entziehen kann (eine Liebkosung wird natürlich bei jeder Rückkehr willkommen heißen, selbst nachdem sie sich kräftig auf die Lende gezerrt hat). Einmal trainiert, um unter allen Umständen zu Ihnen zurückzukehren, wird der Irish Setter das Beste aus den Begleitern machen, denn er ist nie müde und ist immer sehr freundlich während der Ausflüge (normal, sie machen ihm so viel Vergnügen). Wenn Sie nicht besonders dominant sind, wird es sich gut mit Hunden und Menschen, die Sie auf dem Weg treffen können, verhalten, weil es ziemlich gesellig ist, was gut für einen Jagdhund ist, der oft mit vielen Verwandten zusammengezogen wird.
Bei den Kindern kein Problem, vorausgesetzt, sie sind der Aufgabe gewachsen und wissen, dass sie ihn nicht belästigen sollen. In diesem Fall wird Seine Majestät der Ire seine Missbilligung mit einem beträchtlichen Stöhnen zeigen. Am Limit wird er immer fliehen, statt Kinder zu beißen, von denen er von Natur aus der Freund ist. Er nimmt freiwillig an all ihren Spielen teil, ohne eine so gute Gelegenheit zu verpassen. Andere Tiere; vom Typ Katze, Kaninchen, Huhn oder Hamster; Um harmonisch mit dem Irish Setter zu leben, muss er sich daran erinnern, dass er vor allem ein Jagdhund mit den entsprechenden Instinkten ist. Also hüte dich vor Unvorsichtigkeit und stelle eine frühe Erziehung aller Parteien auf. Daher muss der Welpe in sehr jungen Jahren lernen, Haustiere zu respektieren, und sie müssen wissen, wie man manchmal diskret ist. Unter diesen Bedingungen kann der Setter sehr gut zum Freund der Katze des Hauses werden und gelassen die Schildkröten betrachten. Auf der anderen Seite sollten spielähnliche Tiere, wie Hasen und Vögel, den Irish Setter im Allgemeinen meiden und wenn er insbesondere ein leidenschaftlicher Jäger ist.
Also hier ist ein Hund oft falsch vorgetäuscht. Es ist wahr, dass einige Individuen, die nur nach physikalischen Kriterien ausgewählt wurden, manchmal nicht ausgeglichen waren. Diese Situation gehört jedoch der Vergangenheit an, und mit der Rückkehr des Charakters als Faktor der Auswahl ist der Irish Setter wieder der ausgeglichene Hund, den er niemals hätte sein sollen. Es ist wahr, dass er nicht einer von denen ist, die im Handumdrehen aufstehen, aber entspricht die Fertigkeit des Erziehers nicht auch dem Willen des trainierten Tieres? Wer mit einem Irish Setter gute Ergebnisse erzielt, kann mit einer weichen, festen Hand aufwarten, die für jedes Training ideal ist. Das Temperament des Irish Setter widerlegt seine Herkunft nicht. Stolz und rebellisch, aber auch gut und treu, so ist dieser Setter, und so muss er bleiben.
Ein unvergleichlicher Jagdhund, eine geniale Nase, ein katzenartiges Aussehen, ein Statuenstopp, aber auch ein unzertrennlicher Freund seines Meisters, der über seine Kinder wacht und ihn überall begleitet, der Irish Setter hat ihn noch nicht erwähnt. Ein wahrscheinlicher Vorfahre des englischen Setter, sicher von Setter Gordon, dem Ire, ist die Seele dieser Hunde. Diese Setter, die durch die Linien ihres Körpers und die Güte ihres Temperaments bewundernswert sind, sind zu Jägern auf der ganzen Welt Hilfsmittel geworden. Und mehr als jeder andere repräsentiert der Irish Setter den Hund. Hart und stark, aber rein und treu. Wie ein echter Ire. Und ein echter Freund des Mannes. |
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Setter irlandés rojo FCI Standard No. 120
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Origen
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Irlanda |
Traducción
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Jorge Nallem (Uruguay) |
Grupo
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Grupo 7 Perros de muestra |
Sección
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Sección 2 Perros de muestra británicos e irlandeses |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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miércoles 22 diciembre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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martes 13 marzo 2001 |
Última actualización
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viernes 22 febrero 2002 |
En français, cette race se dit
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Setter irlandais rouge |
In English, this breed is said
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Irish Red Setter |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Irischer Roter Setter |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Ierse Setter |
Utilizacion
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Perro de caza y perro de familia. |
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Breve resumen historico
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El Setter Irlandés Rojo fue desarrollado en Irlanda como perro de trabajo para la caza. La raza derivó del Setter Irlandés Rojo y Blanco y un perro rojo sólido desconocido. En el siglo XVIII tenía un tipo claramente identificable. El Club del Setter Irlandés Rojo fue establecido en 1882 para promover la raza. El Club publicó el est ándar de la raza en 1886, y ha organizado pruebas de trabajo y exposiciones para establecer el estándar desde esa época. En 1998 el Club publicó el estilo de trabajo para la raza. El estándar y el estilo de trabajo juntos describen la forma física y la habilidad de trabajo de la raza. El Setter Irlandés Rojo ha evolucionado a través de los años transformándose en un perro duro, saludable e inteligente, poseedor de gran habilidad para el trabajo y gran vigor. |
Aspecto general
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Castizo y atlético, lleno de calidad, de expresión gentil. Balanceado y proporcionado. |
Temperamento / comportamiento
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Astuto, inteligente, enérgico, afectuoso y leal. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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Es larga y delgada; sin tosquedad a nivel de las orejas. Hocico y cráneo de igual longitud y en planos paralelos. |
Cráneo
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Tiene forma ovalada (de una oreja a la otra). Teniendo bastante espacio para el cerebro y la protuberancia occipital bien definida. |
Depresión naso-frontal (stop)
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Bien definida. |
Facial region
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Trufa
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Color caoba o nogal oscuro, o negro. Las narinas son anchas. |
Hocico
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Moderadamente profundo, y casi cuadrado al final. Largo, desde la depresión naso-frontal hasta la punta de la trufa. |
Belfos
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Belfos no colgantes. |
Mandíbulas / Dientes
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Mandíbulas aproximadamente de la misma longitud. Mordida en tijera. |
Ojos
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Color avellana oscuro o marrón oscuro. No deben ser demasiado grandes. |
Orejas
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De tamaño moderado y textura fina, de implantación baja y hacia atrás. Caen formando un nítido doblez cerca de la cabeza. |
Cuello
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Moderadamente largo, muy musculado, no muy grueso, algo arqueado. Sin tendencia a tener papada. |
Cuerpo
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Generalidad
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Proporcionado al tamaño del perro. |
Lomo
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Musculado y levemente arqueado. |
Pecho
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Profundo, bastante estrecho en el frente, costillas bien arqueadas dejando bastante espacio para los pulmones. |
Cola
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Moderadamente larga; proporcionada con el tamaño del cuerpo. Inserción más bien baja, fuerte en la base y va disminuyendo hasta la punta. Porte al mismo nivel de la línea superior o más baja. |
Miembros anteriores
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Hombro
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Finas en la punta, profundas y bien inclinadas hacia atrás. |
Codo
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Libres y bien bajos, ni hacia adentro ni hacia fuera. |
Antebrazo
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Rectos y nervudos, con buen hueso. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Anchos y poderosos. |
Pierna
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Largas y musculadas de la cadera al corvejón, del corvejón al suelo cortas y fuertes. |
Rodilla
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Bien anguladas. |
Corvejón
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Ni hacia adentro ni hacia fuera. |
Pies
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Pequeños muy firmes, dedos fuertes, arqueados y bien juntos. |
Movimiento
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Libre, fluido y enérgico; la cabeza mantenida en alto, las piernas anteriores alcanzando bien hacia delante pero llevadas bajas. El movimiento posterior es suave pero con gran poder. Cruzar o tejer es inaceptable. |
Manto
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Pelo
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Es corto y fino sobre la cabeza, la parte del antera de las extremidades y la punta de las orejas. En otras partes del cuerpo y en las extremidades es de longitud moderada, liso y carece en lo posible de ondas o rizos. Presenta fleco largo y sedoso en la parte superior de las orejas, en la parte posterior de las extremidades delanteras y traseras el pelo es largo y fino ; pelo abundante en el vientre, formando fleco que puede extenderse hasta el pecho y la garganta. Los pies presentan flecos entre los dedos . El fleco en la cola es moderadamente largo y decrece su longitud al aproximarse a la punta. El pelo que forma los flecos es siempre liso y chato. |
Color
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Castaño subido, sin rastro de negro. Blanco en el pecho, la garganta, o los dedos. Puede presentar una pequeña estrella en la frente, o una raya estrecha o lista blanca en la caña nasal o la cara. Esto no será motivo de descalificación. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Machos: 58 a 67 cms. (pulgadas 23 a 26,5). Hembras: 55 a 62 cms. (pulgadas 21,5 a 24,5). |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas descalificantes:
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Agresividad o extrema timidez. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Ciertas razas tienen la ventaja innegable de presentar a sus aficionados orígenes y una historia clara y casi clara. Cualquier cinófilo que se precie atribuye el Pastor Alemán a von Stephanitz, el Malinois a Huyghebaert, el Leonberg a Heissig y el Dobermann al empleado municipal alemán del mismo nombre. Por otro lado, cuando uno viene a hablar sobre los Setter, los perros británicos de pelo largo, los más sabios prefieren callarse. De hecho, el pasado de estos perros hoy tan enumerados, no sabemos nada, o no mucho. De hecho, las opiniones divergen sobre este tema.
Los Setters, los Spaniels y los Spaniels (Spaniels no continentales), esto es comúnmente admitido, todos tendrían para el abuelo el Quail Braque, o el Perro de Oysel, que era un perro acostado, es decir un perro de stop, sí mismo desciende de la antigua Canis familiaris intermedius. Una escuela, entre los cinólogos, argumenta que el perro en cuestión es de España, lo que explicaría muy bien el nombre todavía usado de Spaniel (o Spaniel). Uno de los pocos testimonios a favor de esta tesis es el que Gaston de Foix habría llevado, dice Phoebus, en su Tratado sobre la caza, donde habría dicho que los perros de las aves son españoles.
Según otra escuela, el nombre de los Spaniels y Spaniels tendría una etimología diferente (francés antiguo "esperar", acostarse). Además, estos perros no vienen originalmente de España. Esta es la opinión de Strebel, por ejemplo: este especialista cita una joya que perteneció a Felipe II de Macedonia, el padre de Alejandro Magno, en la que estaría representado un antepasado del famoso Braque aux Quails, que habría vivido en Siglo IV aC.
Sea como fuere, desde la Edad Media y hasta un período relativamente remoto de la duración de la historia, estos perros se habrían extendido en los Países Bajos, Francia, Alemania e Inglaterra. En cada uno de estos países, se habrían realizado cruces con perros locales, creando finalmente diferentes Spaniels nacionales.
El Comte de Foix, para volver a él, también cita la técnica de caza utilizada con este tipo de perro. Se les enseñó a acostarse frente al juego, lo que permitió cubrir al perro y las aves con una red, de ahí su nombre de perros Oyster. Esta forma muy particular de arresto también valió para sus descendientes, en el otro lado del Canal, ser llamados pronto "Setters", del verbo inglés para establecer, que puede significar ponerlo en su lugar, en el ocurrencia para acostarse.
No se sabe cuándo y por qué ruta los Setters se importaron a las Islas Británicas. En cualquier caso, es probable que en Irlanda se haya extendido el uso de perros enlodados, lo que convierte a nuestro Irish Setter en el mayor de su familia. Sabemos que los Setters tuvieron un gran éxito con los primeros aviones de combate, cuya larga parada les permitió sostener su arcabuz.
Para encontrar rastros precisos de Setter irlandés, uno debe colocar alrededor de 1810, en ese momento los fanáticos de esta hermosa raza imaginaban nada mejor que pelear por historias de vestimenta. De hecho, no había uno, sino dos Setters irlandeses, el de un color (rojo) y el de dos colores (blanco y rojo). Esta segunda variedad fue la más común, y se dijo que era mejor que la primera. Los criadores comenzaron a discutir la visibilidad de los diferentes vestidos, y luego las cualidades de caza inherentes a cada "modelo". Algunos afirmaron que el entrenamiento de "todo rojo" es más fácil. Llegaron las primeras exposiciones caninas (1859), y el público decidió: el Irish Setter sería rojo, digamos rojo, como sus compatriotas.
Esta controversia sobre los colores puede parecer trivial, pero sí determinó el futuro de este perro. ¿Quién sabe qué sería Setter hoy si lo hubiésemos seleccionado con criadores de dos colores? Mejor, menos bueno? Nadie puede decirlo. Una cosa es cierta, el blanco es una parte integral de los personajes de esta raza, como lo demuestran las marcas blancas que a veces aparecen en el cofre, las piernas o la cabeza de los actuales "diablos rojos" y que los aficionados llaman " la estrella irlandesa ". Mientras que los entusiastas de la exposición de perros buscan eliminarlos, los cazadores están orgullosos de tener perros que los tengan.
Ya sea que use la estrella de Erin o no, el setter irlandés es uno de los perros más bellos de la historia. Escuchemos un extracto del elogio de Cajelli: "Guiado por su poderoso estilo, galopa rápidamente, con la cabeza extendida. En la maleza, ralentiza su paso y nunca pierde de vista el que acompaña. Él trabaja tanto en las montañas como en el agua, desplegando en todas partes el mismo ardor. Él no sufre de frío o calor, ignora la fatiga. No hay otro perro cuyo sentido del olfato sea tan fino, y a veces nos sorprenden los resultados que obtiene gracias a su extraordinario estilo. Cuando se encuentra en presencia del juego, reduce la velocidad, redobla las precauciones para no perder el rastro de olores dejado por el fugitivo. Instintivamente, su cuerpo cae al suelo; al mismo tiempo, levanta la cabeza y su chaflán permanece perfectamente horizontal, mientras que su extremo posterior se flexiona y su cola estirada descansa un poco por debajo de la línea de los riñones. Como petrificado, permanece atrapado frente al escondite del juego que acaba de ver. Y el autor agrega: "Desafortunadamente, en el pasado como hoy en día, muchos criadores han sido y siguen siendo atraídos por las cualidades estéticas de este perro. La gran belleza del Irish Setter hace que uno olvide lo que puede hacer en el suelo. "
De hecho, este perro es tan hermoso que terminó lastimándolo. Para convencerse a sí mismo de esto, es suficiente mencionar a esos grandes perritos que recorrieron las exposiciones caninas no hace mucho tiempo, recogiendo todos los premios, y que no habrían sabido cómo hacer una liebre o una becada Estos "aplaudidores", como los llamaban los fanáticos de la verdadera Irish Setter, "waders" estrechos, no eran más que los fantasmas de lo que deberían haber sido. Y eso debido a la moda que promovió obstinadamente a este Setter como un perro de compañía, mientras que él solo pidió que se mantuviera como el fiel auxiliar del cazador.
Afortunadamente, el Red Club, fundado en 1905 por el Marqués de Gantes y desde entonces asumido por concienzudos sucesores, ha comprendido que el abismo que se había ensanchado entre los gigantes, muy bello de hecho, las exposiciones caninas y los perros más pequeños pero infinitamente mejor, el buen cazador solo podría dañar la raza. Por lo tanto, la tendencia se ha revertido, y los actuales campeones de trabajo están ganando los principales premios en las exhibiciones.
El Irish Setter, un magnífico perro, pero también un genio de la caza, ahora acumula los dos trabajos que le apasionan: los de su maestro cazador y compañero de toda la familia. Es en estos dos roles que florece más. Privarlo de uno u otro es quitarle una parte de sí mismo. Una raza muy antigua que no ha perdido nada de su nobleza, el Irish Setter es un perro rey. Y tenerlo a su lado es un placer para el príncipe.
Algunos dicen locos, otros hipernerviosos. Ha sido acusado de sensibilidad a la piel. ¿Está el Irish Setter realmente tan afligido que los rumores nos complacen pintarnos? Vamos a compartir cosas En primer lugar, nada es más ambiguo que establecer generalidades, especialmente en términos de comportamiento del perro. No, no todos los Labrador son bulímicos, ni los feroces Malinois, ni los estúpidos Greyhounds, ni los irresistibles Irish Setters. Cada caso es único: ¿por qué algunos de estos "diablos rojos" no pasarían la mayor parte del tiempo durmiendo en un cojín? Sin caer en exceso, podemos tratar de encontrar un promedio inteligente y dar algunas indicaciones sobre el temperamento de este perro.
A primera vista, descubrimos un animal alto, esbelto, bien hecho, con una cabeza larga, delgada y muy seca: nada en la morfología del Setter irlandés lleva a la placidez. Por lo tanto, podemos deducir que se trata de un perro generalmente despierto lo suficiente. Además, es un perro de caza, que muchos tienden a olvidar: si se durmiera en pleno apogeo, sería menos embarazoso, todas las cosas que sus detractores no tomaron en cuenta antes trátalo un poco rápido histérico. Sin embargo, debemos ser objetivos: el Irish Setter tiene una tendencia natural al nerviosismo, apreciación que matizará sin embargo al especificar un nerviosismo "equilibrado", si es posible, de calidad paradójica pero no menos esencial en el buen perro de caza. Además, en el campo, nadie pensaría en criticar al Setter irlandés. Corre demasiado bien, su galope es hermoso y ligero, se ve demasiado bien, no pierde un centímetro cuadrado de tierra, se detiene demasiado bien, todo el cuerpo se esfuerza hacia el animal inmóvil. Finalmente, fluye demasiado bien, sacando el juego debajo del rifle del maestro. No, definitivamente, solo hay quienes lo conocen mal para criticar al Irish Setter.
Y es el informe llevado naturalmente? En verdad, ¿qué carreras son? Francamente, se dirá que aprender el informe es largo para el irlandés. Su cabeza está demasiado caliente como para prestarle mucha atención al entrenador, y necesita mucha paciencia, dulzura y firmeza para que el diablo rojo termine aceptando el juego. Más delicada que las otras, esta fase La doma puede ser más larga con este apasionado irlandés. Porque debe saberse que este Setter no carece de terquedad. Esto también es lo que hace que su valor en el terreno, porque, si él convierte a su maestro en la cárcel debido a su obstinación, él pone la misma perseverancia para perseguir a su juego sin piedad. Los defectos del Irish Setter son sus cualidades.
¿Qué hay del perro mascota Irish Setter? Lo mismo que el perro de caza Irish Setter. Él es a veces independiente, sordo a las órdenes, pero por otro lado lleno de lealtad y afecto. Este irlandés es un contraste permanente. Vivir con él no es necesariamente relajante, pero seguro que nunca te aburrirás. Si quieres tener un acompañante, no una bala de cañón, una solución: tenacidad. Como este perro se cierra ante la coacción como un caracol que regresa a su caparazón, su amo hará bien en dejar el látigo en el vestuario y apelar a su inteligencia (él es muy astuto) y su amor por él (porque, en el fondo, tiene un corazón de oro). Así que tendrá que jugar con la complicidad, las caminatas largas con los dos, los abrazos pequeños, los juegos y las caricias, para pedir a cambio de su perro un mínimo de buenos modales. Tenga cuidado, ser amado no significa vender, y algunas demostraciones de firmeza y solo devolverán al maestro a la estima del Setter Irlandés.
Haga que participe en sus actividades con la mayor frecuencia posible, y luego se tomará la molestia de complacerlo. En este sentido, vive mal en un departamento y, en este caso, exige a su amo caminatas incesantes y muy largas a cambio de su respeto por los muebles. Con un perro así, vivir en el campo o en los suburbios es ciertamente más fácil, siempre que el lugar esté lleno de grandes espacios verdes donde podrá divertir a todo su borracho. Para esto, es importante haberse preparado previamente para la retirada, de lo contrario, fue rápido para tomar el volante. Uno puede comenzar cuando es un cachorro, llamándolo con frecuencia y acariciándolo para que lo apoye. Si no vuelve, se recomienda el uso del lomo ligero. Pequeños temblores devolverán al joven rebelde, que rápidamente se dará cuenta de que no puede evitar las órdenes (una caricia le dará la bienvenida al curso en cada vuelta, incluso después de tironear con fuerza del lomo). Una vez entrenado para regresar a usted en cualquier circunstancia, Irish Setter hará lo mejor de los compañeros de caminata, ya que nunca está cansado y siempre es muy amigable durante las salidas (lo normal es que le hagan tanto placer). A menos que sea particularmente dominante, se comportará bien con los perros y las personas que pueda encontrar en el camino, porque es bastante sociable, lo cual es bueno para un perro de caza, a menudo llevado a codearse con muchos congéneres.
Con los niños, no hay problema, siempre que estén a la altura de la tarea y sepan que no deben molestarlo, en cuyo caso Su Majestad el irlandés probablemente muestre su desaprobación con un gemido significativo. En el límite, siempre huirá en lugar de morder a los niños, de los cuales es amigo por naturaleza. Él voluntariamente participa en todos sus juegos, sin perder una oportunidad tan buena para gastar. Otros animales; del tipo gato, conejo, gallina o hámster; Para vivir en armonía con el Setter irlandés, debe recordar que es sobre todo un perro de caza con los instintos correspondientes. Así que ten cuidado con las imprudencias y coloca una educación temprana de todas las partes. Por lo tanto, el cachorro debe aprender a una edad muy temprana a respetar las mascotas, y debe saber cómo ser discreto a veces. En estas condiciones, el Setter puede muy bien convertirse en el amigo del gato de la casa y conocer plácidamente a las tortugas. Por otro lado, los animales parecidos a los juegos, como los conejos y las aves, deberían evitar al setter irlandés en general, y si es un cazador entusiasta en particular.
Así que aquí hay un perro falso a menudo falso. Es cierto que algunas personas seleccionadas únicamente con criterios físicos a veces carecían de equilibrio. Esta situación, sin embargo, pertenece al pasado, y con el regreso del personaje como factor de selección, Irish Setter es una vez más el perro equilibrado que nunca debería haber dejado de ser. Es cierto que él no es uno de los que se ponen de pie en un santiamén, pero ¿la habilidad del educador no depende de la voluntad del animal entrenado? El que obtiene buenos resultados con Irish Setter puede jactarse de tener una mano suave y firme ideal para cualquier entrenamiento. El temperamento del Irish Setter no desmiente sus orígenes. Orgulloso y rebelde, pero también bueno y leal, tal es este Setter, y tal debe permanecer.
Un perro de caza incomparable, una nariz de genio, una apariencia felina, una parada de estatua, pero también un amigo inseparable de su maestro, cuidando de sus hijos, acompañándolo en todas partes, el Setter irlandés no ha terminado de mencionarlo. Un probable antepasado del Setter inglés, seguro de Setter Gordon, el irlandés es el alma de estos perros. Estos Setter, tan admirables por las líneas de sus cuerpos y la amabilidad de su temperamento, se han convertido en auxiliares para los cazadores de todo el mundo. Y, más que cualquier otro de ellos, el setter irlandés representa el perro. Duro y fuerte, pero puro y fiel. Como un verdadero irlandés. Y un verdadero amigo del hombre. |
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Ierse Setter FCI standaard nr. 120
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Land van oorsprong
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Ierland |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 7 Staande honden |
Sectie
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Sectie 2 Britse en Ierse Pointers en Setters |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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woensdag 22 december 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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dinsdag 13 maart 2001 |
Laatste update
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maandag 02 april 2001 |
En français, cette race se dit
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Setter irlandais rouge |
In English, this breed is said
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Irish Red Setter |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Irischer Roter Setter |
En español, esta raza se dice
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Setter irlandés rojo |
Gebruik
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Jachthond en gezinshond. |
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Kort historisch overzicht
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De Irish Red Setter werd ontwikkeld in Ierland als een werkhond voor de jacht spel. Het ras is afgeleid van de Ierse Rode en Witte Zetter en jaar onbekend solide rood gekleurde hond. Het was een duidelijk herkenbare vorm in de 18 e eeuw. De Irish Red Setter Club werd opgericht in 1882 om het ras te bevorderen. De club uitgegeven de rasstandaard in 1886 en heeft Georganiseerd veldproeven en shows om de standaard set voor het Ras sinds die tijd. In 1998 publiceerde de club de werkstijl voor het ras. De standaard stijl en werken samen Beschrijft de fysieke vorm en het werkvermogen van het ras. De Irish Red Setter is de jaren geëvolueerd naar beneden in een winterharde, gezonde, intelligente hond, in het bezit van een groot uithoudingsvermogen en grote werkvermogen. |
Algemeen totaalbeeld
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Racy en atletische vol kwaliteit, vriendelijk in expressie. Evenwichtige en in verhouding. |
Gedrag en karakter (aard)
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Keen, intelligent, energiek, aanhankelijk en trouw. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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Lang en mager, en niet grof bij de oren. Snuit en schedel van gelijke lengte en zijn parallelle lijnen. |
Schedel
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Ovaal (van oor tot oor), Gezien volop ruimte voor de hersenen, en met goed gedefinieerde achterhoofdsknobbel. Brows verhoogd. |
Stop
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Goed gedefinieerd. |
Facial region
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Neus
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De kleur van de neus is donker mahonie of donker walnoot of zwart, de neusgaten wijd. |
Voorsnuit
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Tamelijk matig diepe en vierkant aan het einde. Van de stop tot de punt van de neus, lang, lippen niet overhangend. |
Kiezen / tanden
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Bijna kaken van gelijke lengte. Schaargebit. |
Ogen
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Donker hazelnoot of donkerbruin moeten niet te groot zijn. |
Oren
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Van matige grootte, fijn van structuur, laag en ver naar achteren, opknoping in een nette vouw dicht bij het hoofd. |
Hals
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Matig lang, zeer gespierd, niet te dik en licht gebogen, geen neiging tot keelhuid. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Evenredig aan de grootte van de hond. |
Lendenpartij
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Licht gebogen en gespierd. |
Borst
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Diepe borst, injustement smalle voorkant, ribben goed gewelfd, zodat er nog voldoende long kamer. |
Staart
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Matig lang, evenredig aan de grootte van het lichaam, zet deze injustement laag, sterk aan de aanzet, toelopend naar fijne punten. Gedragen op dezelfde hoogte of onder-rug. |
Voorhand
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Schouders
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Fijn op het punt diep en goed schuin terug. |
Ellebogen
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Vrij en goed in de steek gelaten, niet gedraaid in of uit. |
Onderarm
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Recht en pezig, goede botten. |
Achterhand
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Algemeen
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Breed en krachtig. |
Onderbeen
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Lang en gespierd van heup tot sprong; van hak tot hiel kort en sterk. |
Knie
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Goed gehoekt. |
Spronggewricht
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Noch bleek in of uit. |
Voeten
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Kleine, zeer stevig, tenen sterk, gebogen en dicht bij elkaar. |
Gangwerk
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Free flowing, drijvende beweging; opgeheven hoofd. De voorbenen grijpen goed vooruit doel de laag gedragen. Achterhand beweegt moeiteloos met grote kracht. Crossing of weven van benen onaanvaardbaar. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Op het hoofd, voorzijde van de benen, en de tips van de oren, kort en fijn; we --ander delen van het lichaam en de benen matig lang, plat en zo vrij mogelijk, van krullen of golven. Veer op bovenste gedeelte van de oren lang en zijdeachtig; op de achterkant van voor- en achterbenen lang en fijn; Behoorlijke hoeveelheid van het haar op de buik, de vorming van extralegale Mogen alle die zich op de borst en keel. Voeten goed bevederd entre tenen. MET staart rand van matig lang haar, Afnemende in lengte bij het naderen van het punt. Alle bevedering recht en vlak. |
Haarkleur
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Rich kastanje met geen spoor van zwart; wit op de borst, keel en tenen; kleine gouden ster op voorhoofd of smalle streep of bles op de neus of het gezicht niet te diskwalificeren. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Reuen 23 ins (58 cm) tot 26,5 ins (67 cm). Teven 21.5 ins (55 cm) tot 24,5 cm (62 cm). |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of schuw honden. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Bepaalde races hebben het onmiskenbare voordeel dat ze hun amateurs een duidelijke en bijna heldere oorsprong en geschiedenis geven. Elke zichzelf respecterende cynofiel schrijft de Duitse herder toe aan von Stephanitz, de Mechelaar aan Huyghebaert, de Leonberg aan Heissig en de Dobermann aan de Duitse gemeentelijke werknemer met dezelfde naam. Aan de andere kant, als iemand komt praten over de Setters, de langharige Britse steekhonden, geven de wijsten de voorkeur aan zwijgen. Inderdaad, het verleden van deze honden vandaag zo vermeld, we weten niets, of niet veel. In feite verschillen meningen over dit onderwerp.
De Setters, de Spaniels en de Spaniels (niet-continentale Spaniels), dit wordt algemeen toegegeven, zou alles zijn voor grootvader de Quail Braque, of de Hond van Oysel, die een hond liegt, dat wil zeggen een hond van stop, zelf stamt af van de oude Canis familiaris intermedius. Eén school, onder de cynologen, beweert dat de betreffende hond uit Spanje komt, wat de nog steeds gebruikte naam van Spaniel (of Spaniel) mooi zou verklaren. Een van de weinige getuigenissen voor dit proefschrift is datgene wat Gaston de Foix zou hebben gebracht, zegt Phoebus, in zijn verhandeling op de jacht, waar hij zou hebben gesproken over de honden van vogels als zijnde Spaans.
Volgens een andere school zou de naam van de Spaniels en Spaniels een andere etymologie hebben (oud Frans "verwachten", gaan liggen). Bovendien komen deze honden niet oorspronkelijk uit Spanje. Dit is bijvoorbeeld de mening van Strebel: deze specialist citeert een juweel dat toebehoorde aan Filips II van Macedonië, de vader van Alexander de Grote, waarop een voorouder van de beroemde Braque aux Quails zou worden afgebeeld, die zou hebben gewoond 4e eeuw v.Chr.
Hoe het ook zij, sinds de Middeleeuwen en tot een relatief korte tijd in verhouding tot de duur van de geschiedenis, zouden deze honden zich hebben verspreid in Nederland, Frankrijk, Duitsland, Engeland. In elk van deze landen zouden er kruisingen met lokale honden hebben plaatsgevonden, waardoor uiteindelijk verschillende nationale spaniels zouden ontstaan.
De graaf van Foix, om bij hem terug te komen, citeert ook de jachttechniek die bij dit type hond wordt gebruikt. Ze leerden om voor het spel te gaan liggen, waardoor het mogelijk werd de hond en de vogels met een net te bedekken, vandaar hun naam oesterhonden. Deze zeer specifieke vorm van arrestatie was ook de moeite waard voor hun nazaten, aan de andere kant van het Kanaal, om binnenkort "Setters" genoemd te worden, van het Engelse werkwoord stellen, wat kan betekenen dat het geplaatst moet worden, in de voorkomen om te gaan liggen.
Het is niet bekend wanneer en langs welke route de setters in de Britse eilanden werden geïmporteerd. In ieder geval is het waarschijnlijk in Ierland dat het gebruik van wilde honden begon te verspreiden, waardoor onze Ierse Setter de oudste van zijn familie was. We weten dat de Setters veel succes hebben gehad met de eerste straaljagers, wiens zeer lange stop toeliet hun haakbus te ondersteunen.
Om precieze sporen van de Ierse Setter te vinden, moet men dan rond 1810 plaatsen, toen fans van dit prachtige ras zich niets beters voorstelden dan ruzie te maken over kledingverhalen. Inderdaad, er was niet één, maar twee Ierse Setters, de eenkleurige (rood) en de tweekleurige (wit en rood). Deze tweede variëteit was de meest voorkomende en werd gezegd beter te zijn dan de eerste. Fokkers begonnen de zichtbaarheid van de verschillende jurken te bespreken, en vervolgens de jachteigenschappen die inherent zijn aan elk 'model'. Sommigen claimden de training van "helemaal rood" gemakkelijker. De eerste hondenshows kwamen aan (1859) en het publiek besloot: de Ierse Setter zou rood zijn, zeg rood, net als zijn landgenoten.
Deze controverse over kleuren lijkt misschien triviaal, maar het heeft wel de toekomst van deze hond bepaald. Wie weet wat de Setter vandaag zou zijn als we hem met tweekleurige fokkers hadden geselecteerd? Beter, minder goed? Niemand kan het vertellen. Eén ding is zeker, wit is een integraal onderdeel van de personages van deze race, zoals blijkt uit de witte markeringen die soms op de borst, benen of hoofden van de "rode duivels" verschijnen en die amateurs noemen " de Ierse ster ". Terwijl liefhebbers van hondenshows ze proberen te elimineren, zijn jagers er trots op honden te bezitten die ze hebben.
Of hij Erin's ster draagt of niet, de Ierse setter is een van de mooiste honden ooit. Laten we luisteren naar een fragment uit Cajelli's lof: "Geleid door zijn krachtige flair galoppeert hij snel, hoofd uitgestrekt. In het kreupelhout vertraagt hij zijn tempo en verliest nooit het zicht op degene die hij begeleidt. Hij werkt zowel in de bergen als in het water en gebruikt overal dezelfde passie. Hij heeft geen last van kou of hitte, hij negeert vermoeidheid. Er is geen andere hond wiens reukvermogen zo fijn is, en we zijn soms verbaasd over de resultaten die hij krijgt dankzij zijn buitengewone flair. Wanneer hij zich in de aanwezigheid van het spel bevindt, vertraagt hij zijn tempo, verdubbelt voorzorgsmaatregelen om het geurpad dat de voortvluchtige achtergelaten heeft niet te verliezen. Instinctief valt zijn lichaam op de grond; tegelijkertijd heft hij zijn hoofd op en zijn afschuining blijft perfect horizontaal terwijl zijn achterste uiteinde buigt en zijn uitgerekte staart iets lager komt te liggen dan de nieren. Alsof hij versteend blijft, blijft hij voor de schuilplaats van het spel dat hij zojuist heeft gezien zitten. En de auteur voegt eraan toe: "Helaas zijn en worden veel fokkers in het verleden, zoals tegenwoordig, aangetrokken door de esthetische kwaliteiten van deze hond. De grote schoonheid van de Ierse Setter doet iemand vergeten wat hij op de grond kan doen. "
Inderdaad, deze hond is zo mooi dat hij hem uiteindelijk schade toebracht. Om jezelf hiervan te overtuigen, volstaat het om die grote hondenhonden te noemen die niet lang geleden de hondenshows hebben afgezocht, alle prijzen hebben gewonnen en die niet wisten hoe ze een haas moesten maken of een houtsnip. Deze "klepels", zoals de fans van de echte Ierse Setter ze noemden, smalle steltlopers, waren niets meer dan de geesten van wat ze hadden moeten zijn. En dat vanwege de mode die deze Setter koppig promoveerde als een metgezel terwijl hij alleen vroeg om de trouwe tulp van de jager te blijven.
Gelukkig heeft de Red Club, opgericht in 1905 door de markies de Gantes en sindsdien overgenomen door gewetensvolle opvolgers, begrepen dat de kloof tussen de reuzen, heel mooi inderdaad, hondenshows en kleinere honden was maar oneindig veel beter, de goede jager kon de race alleen maar schaden. De trend is daarom omgedraaid en huidige jobkampioenen winnen topprijzen in de tentoonstellingen.
De Ierse Setter, een geweldige hond, maar ook een genie van de jacht, verzamelt nu de twee banen waarvoor hij de meeste passie heeft: die van zijn meesterjager en metgezel van het hele gezin. Het is in deze twee rollen dat hij het meest bloeit. Hem de een ontnemen, is een deel van zichzelf wegnemen. Een zeer oud ras dat niets van zijn adeldom heeft verloren, de Ierse Setter is een koningshond. En het hebben van hem aan zijn zijde is een genoegen van de prins.
Sommigen zeiden gek, anderen hypernervous. Het is beschuldigd van gevoeligheid voor de huid. Is de Ierse setter echt zo van streek dat geruchten graag ons schilderen? Laten we dingen delen. Ten eerste is niets meer ambigu dan algemeenheden, vooral als het gaat om het gedrag van honden. Nee, niet alle Labradors zijn bulimisch, noch de woeste Mechelaar, noch de domme Greyhounds, noch de onweerstaanbare Ierse Setters. Elke zaak is uniek: waarom zouden sommige van deze "rode duivels" niet het grootste deel van hun tijd op een kussen slapen? Zonder teveel te worden, kunnen we proberen een intelligent gemiddelde te vinden en enkele indicaties te geven over het temperament van deze hond.
Op het eerste gezicht ontdekken we een lang, slank, goed gemaakt dier met een lange, dunne, zeer droge kop: niets in de morfologie van de Ierse Setter leidt tot kalmte. We kunnen daarom afleiden dat het om een hond gaat die over het algemeen voldoende wakker is. Bovendien is het een jachthond, die velen vaak vergeten: als hij in volledige slaap in slaap zou vallen, zou het op zijn zachtst gezegd beschamend zijn, alle dingen waar zijn tegenstanders geen rekening mee hielden vóór behandel hem een beetje snel hysterisch. We moeten echter objectief zijn: de Ierse Setter heeft een natuurlijke neiging tot nervositeit, waardering die echter zal worden genuanceerd door "evenwichtige" nervositeit te specificeren, als het mogelijk is, paradoxale kwaliteit maar niet minder essentieel in de goede jachthond. Bovendien zou niemand in het veld denken aan het bekritiseren van de Ierse Setter. Hij loopt te goed, zijn galop mooi en licht, hij ziet er te goed uit, hij verliest geen vierkante centimeter land, hij stopt te goed, het hele lichaam strekt zich uit tot het roerloze dier. Uiteindelijk stroomt het te goed, waardoor het spel onder het geweer van de meester komt. Zeker, er zijn alleen mensen die hem slecht kennen om de Ierse Setter te bekritiseren.
En wordt het rapport natuurlijk gedragen? Inderdaad, welke rassen zijn het? Eerlijk gezegd wordt gezegd dat het leren van het rapport lang is voor de Ier. Zijn hoofd is te heet om veel aandacht te schenken aan de trainer, en hij heeft veel geduld, zachtheid en vastberadenheid nodig voor de rode duivel om uiteindelijk het spel te accepteren. Meer delicaat dan de anderen, deze fase De dressuur kan langer duren met deze gepassioneerde Ier. Want het moet bekend zijn dat deze Setter niet koppig is. Dit is ook wat zijn waarde op de grond maakt, want als hij zijn meester vanwege zijn koppigheid in de gevangenis laat zetten, zet hij hetzelfde doorzettingsvermogen om genadeloos zijn spel te verslaan. De gebreken van de Ierse Setter zijn zijn kwaliteiten.
Hoe zit het met de Ierse Setter-hond? Hetzelfde als de Ierse Setter-jachthond. Hij is soms onafhankelijk, doof voor bevelen, maar aan de andere kant vol loyaliteit en genegenheid. Deze Ier is een permanent contrast. Leven met hem is niet per se ontspannend, maar je zult je nooit vervelen. Als je een metgezel wilt hebben, geen kanonskogel, is er een oplossing voor: vasthoudendheid. Aangezien deze hond voor de dwang sluit zoals een slak terugkeert naar zijn schaal, zal zijn meester er goed aan doen de zweep in de kleedkamer achter te laten en een beroep te doen op zijn intelligentie (hij is erg sluw) en zijn liefde voor hem (omdat, diep van binnen, heeft hij een hart van goud). Hij zal dus moeten spelen op de medeplichtigheid, de lange wandelingen met twee, de kleine knuffels, de spelletjes en de strelingen, om in ruil voor zijn hond een minimum aan savoir-vivre te vragen. Wees voorzichtig, bemind worden betekent niet verkopen, en sommige demonstraties van standvastigheid en zullen de meester alleen maar terug in de smaak van de Ierse Setter brengen.
Laat hem zo vaak mogelijk deelnemen aan uw activiteiten, en dan zal hij de moeite nemen om u te plezieren. In dit opzicht leeft hij slecht in een appartement en, in dit geval, eist van zijn meester onophoudelijke en zeer lange wandelingen in ruil voor zijn respect voor het meubilair. Met zo'n hond is leven op het platteland of in de buitenwijken zeker gemakkelijker, op voorwaarde dat de plaats overloopt van grote groene ruimten waar hij al zijn dronkels kan uitlachen. Hiervoor is het belangrijk om eerder voorbereid te zijn geweest op het terugroepen, anders was hij snel aan het stuur. Men kan beginnen als hij een puppy is, door hem vaak te bellen, hem te strelen voor steun. Als het niet terugkomt, wordt het gebruik van de lichte lendenen aanbevolen. Kleine shakes zullen de jonge rebel teruggeven, die snel zal beseffen dat hij orders niet kan vermijden (een liefkozing zal de koers verwelkomen bij elke terugkeer, zelfs na een krachtige ruk aan de lendenen). Eenmaal getraind om onder alle omstandigheden naar je terug te keren, zal de Ierse Setter het beste van de metgezellen van wandelen maken, omdat hij nooit moe is en altijd erg vriendelijk is tijdens de uitstapjes (normaal maken ze hem zoveel plezier). Tenzij u bijzonder dominant bent, zal het zich goed gedragen bij honden en mensen die u onderweg kunt ontmoeten, omdat het vrij sociaal is, wat goed is voor een jachthond, vaak met veel congeneren op de schouder geworpen.
Met de kinderen, geen probleem, op voorwaarde dat ze de taak op zich nemen en weten dat ze hem niet lastig vallen, in welk geval zijne Majesteit de Ier zijn afkeuring waarschijnlijk met een aanzienlijke kreun zal tonen. Aan de grens zal hij altijd vluchten in plaats van kinderen bijten, waarvan hij van nature de vriend is. Hij neemt graag deel aan al zijn spellen en mist zo'n goede kans niet om te besteden. Andere dieren; van het type kat, konijn, kip of hamster; Om harmonieus samen te leven met de Ierse Setter, moet hij niet vergeten dat hij vooral een jachthond is met de bijbehorende instincten. Dus pas op voor onvoorzichtigheid en plaats een vroege opleiding van alle partijen. Daarom moet de puppy al op zeer jonge leeftijd leren huisdieren te respecteren en moeten ze soms discreet zijn. In deze omstandigheden kan de Setter heel goed de vriend van de kat van het huis worden en weet ze de schildpadden kalm te bekijken. Aan de andere kant moeten wildachtige dieren, zoals konijnen en vogels, liever de Ierse Setter in het algemeen vermijden, en als hij met name een scherp jager is.
Dus hier is een hond die vaak ten onrechte is nagebootst. Het klopt dat sommige individuen die alleen op fysieke criteria waren geselecteerd, soms een gebrek aan evenwicht hadden. Deze situatie behoort echter tot het verleden en met de terugkeer van het karakter als selectiefactor is de Ierse setter opnieuw de uitgebalanceerde hond die hij nooit had moeten zijn. Het is waar dat hij niet een van degenen is die in een oogwenk opstaan, maar voldoet de vaardigheid van de opvoeder ook niet aan de wil van het getrainde dier? Wie goede resultaten behaalt met een Ierse setter, kan bogen op een zachte, stevige hand die ideaal is voor elke training. Het humeur van de Ierse Setter gelooft zijn afkomst niet. Trots en opstandig, maar ook goed en loyaal, zo is deze Setter, en dat moet hij blijven.
Een onvergelijkbare jachthond, een geniale neus, een katachtige verschijning, een standbeeldstop, maar ook een onafscheidelijke vriend van zijn meester, waakzaam over zijn kinderen, overal vergezellend, heeft de Ierse Setter nog niet over hem gesproken. Een waarschijnlijke voorouder van de Engelse Setter, zeker van Setter Gordon, de Ier is de ziel van deze honden. Deze Setters, zo bewonderenswaardig door de lijnen van hun lichaam en de vriendelijkheid van hun temperament, zijn hulpwerktuigen geworden voor jagers over de hele wereld. En, meer dan enige andere, vertegenwoordigt de Ierse Setter de hond. Hard en sterk, maar puur en trouw. Als een echte Ier. En een echte vriend van de man. |