Staffordshire Bull Terrier

Standard FCI Nº 76

Origine
Grande-Bretagne
Traduction
Prof. R. Triquet
Groupe
Groupe 3 Terriers
Section
Section 3 Terriers de type bull
Epreuve
Sans épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
jeudi 21 octobre 1954
Publication du standard officiel en vigueur
mercredi 24 juin 1987
Dernière mise à jour
mardi 20 janvier 1998
In English, this breed is said
Staffordshire Bull Terrier
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Staffordshire Bull Terrier
En español, esta raza se dice
Staffordshire Bull Terrier
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Staffordshire Bull Terrier

Utilisation

Terrier.

Aspect général

Le Staffordshire est un chien à poil lisse, bien proportionné, d'une grande force pour sa taille. Musclé, actif et agile : traditionnellement d'un courage et d'une ténacité indomptables. Extrêmement intelligent et affectueux, en particulier avec les enfants; hardi, intrépide et parfaitement digne de confiance.

Comportement / caractère

Traditionnellement d’un courage et d’une ténacité indomptables. Extrêmement intelligent et affectueux, en particulier avec les enfants. Hardi, intrépide et parfaitement digne de confiance.

Tête

Région crânienne

Tête
Courte.
Crâne
Haut de toute part et large. 
Stop
Marqué.

Région faciale

Truffe
Noire.
Lèvres
Serrées et nettes.
Chanfrein
Court.
Mâchoires et dents
Mâchoires fortes; dents bien développées, présentant un articulé en ciseaux parfait, régulier et complet, c'est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées bien d'équerre par rapport aux mâchoires.
Joues
Les muscles jugaux sont très prononcés.
Yeux
Foncés de préférence, mais ils peuvent s'harmoniser dans une certaine mesure avec la couleur de la robe; ils sont ronds, de dimensions moyennes et disposés de façon à regarder droit devant; bord des paupières foncé.
Oreilles
En rosé ou semi-dressées, ni grandes ni lourdes; les oreilles complètement tombantes ou dressées sont à proscrire.

Cou

Musclé, plutôt court, pur dans ses lignes; il s'élargit graduellement vers les épaules.

Corps

Généralité
Ramassé.
Ligne du dessus
Horizontale.
Poitrine
Le devant est large ; la poitrine est bien descendue dans la région sternale.
Côtes
Les côtes sont bien cintrées.

Queue

De longueur moyenne, attachée bas. Elle va en s'amenuisant vers l'extrémité, et elle est portée assez bas. Elle ne doit pas trop s'enrouler, et on peut la comparer à un manche de pompe du temps jadis.

Membres

Membres antérieurs

Généralités
Les membres antérieurs sont droits avec une bonne ossature; ils sont assez écartés; ils n'accusent aucune faiblesse au niveau des métacarpes, à partir desquels les pieds tournent légèrement en dehors.
Epaules
Bien obliques.
Coudes
Il n’y a aucune laxité.

Membres postérieurs

Généralités
Bien musclés. Les membres postérieurs sont parallèles lorsqu'ils sont vus de derrière.
Grassets
Bien angulés.
Jarret
Bien descendus.

Pieds

Pourvus de bons coussinets ; ils sont forts et de dimensions moyennes. Ongles noirs chez les sujets unicolores.

Allures

Mouvement dégagé, puissant, souple et facile. Les membres se déplacent dans des plans parallèles, qu'ils soient vus de face ou de derrière.

Robe

Qualité du poil
Lisse, court et serré.
Couleur du poil
Rouge, fauve, blanc, noir ou bleu, ou l'une quelconque de ces robes panachée de blanc. N'importe quel ton de bringé, avec ou sans blanc. Le noir et feu ou le marron (foie) sont à proscrire.

Taille et poids

Hauteur au garrot
Taille recherchée au garrot : 14 à 16 pouces ( 35,5 cm à 40,5 cm). La taille est en rapport avec le poids.
Poids
Mâle de 28-38 livres anglaises (12,7 - 17 kg), femelles, de 24-34 livres anglaises (11 - 15,4 kg).

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts entrainant l’exclusion

 Chien agressif ou peureux.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

C'est parmi les anciens chiens de combat qu'on trouve les plus grands amis du genre humain : on aurait tort de voir là un paradoxe d'un goût plutôt douteux, car pourquoi ce qui est accordé sans hésitation au Boxer (dont les formes et le passé sont ceux d'un chien de combat) ne le serait-il pas aussi aux héritiers des Pit Bulls, et notamment au Staffordshire Bull Terrier?

Que ce chien soit reconnu en Grande-Bretagne, où il est très répandu, comme un chaleureux compagnon de l'homme et tout particulièrement des petits d'homme, lui vient de sa double ascendance de Bulldog et de Terrier. En effet, répétons-le une fois encore, les Terriers, tout indépendants et têtus qu'ils paraissent, savent se donner corps et âme à leur maître.

Sans montrer de complaisance à l'égard de ces jeux cruels et sadiques qui consistaient à faire s'affronter deux chiens dans une fosse (pit), il faut s'y attarder un instant, puisque notre « Staffie " (surnom familier du Staffordshire Bull Terrier) en est directement issu. Depuis le Moyen Age jusqu'en 1835, une coutume consistait à opposer un taureau à des Bulldogs (mot à mot : chiens de taureau). On précisera en passant que, à la date de l'interdiction de ces pratiques (bull baiting) par le Parlement britannique, ces chiens ressemblaient plus au Boxer qu'à la race actuelle appelée Bulldog. Il paraît que l'origine de ces combats aurait été la nécessité de faire courir et d'épuiser le taureau pour que sa viande devienne tendre. En fait, ce fut rapidement un divertissement très apprécié dans les campagnes britanniques, et la noblesse elle-même (jusqu'aux souverains) fournit les plus fervents supporters de cette rustique distraction. Une « variante » consistait à opposer un ours, dûment enchaîné, à quatre, cinq ou six de ces chiens de combat. Au XVIIe siècle, comme les ours avaient été complètement exterminés dans les îles Britanniques, on les importait, et en grand nombre, de la lointaine Russie.

Peu à peu, cependant, la gentry se détourna de ces sports de plus en plus considérés comme barbares et qui, finalement (en 1835, donc), sous la pression des premières sociétés de protection animale, furent déclarés illégaux. Ils disparurent alors assez rapidement car il n'était guère possible de les organiser « sous le manteau ».

Un de leurs principaux attraits consistait dans la possibilité de parier. Ce goût des jeux se retrouvait chez les ouvriers des mines et des filatures, dans les grandes villes et les régions industrielles anglaises. Pour le satisfaire, on organisa aussi des rat killing matches) dans lesquels les chiens utilisés étaient spécialement des Terriers. Le but de ces concours était de faire occire un maximum de rats par un chien dans un temps donné, à moins qu'il ne s'agît de faire tuer un nombre donné de ces rongeurs dans un temps minimal. Ce sport connut un grand succès dans les années 1820 - 1830 et au-delà. Il put se dérouler en toute légalité jusqu'en 1912. Parmi les chiens qui s'y distinguèrent figurent un certain Billy, qui est un ancêtre du Manchester Terrier, et Jacky, dont on dit qu'il ressemblait davantage au type du Staffordshire Bull Terrier. Les chiens concouraient dans des fosses aux parois de planches; parfois, on aménageait une galerie à l'étage pour pou- voir accueillir un plus grand nombre de spectateurs et de parieurs.

A partir de 1835, les Bulldogs « au chômage » furent croisés avec des Terriers (et principalement, sans doute, avec ceux qui concouraient comme ratiers) pour participer à un « nouveau » sport : les combats entre chiens, jugés plus excitants et plus spectaculaires, et aussi plus faciles à organiser. Les chiens qui exerçaient ainsi leurs talents étaient nommés Bull and Terriers, Half and Half (littéralement, « moitié-moitié »), Pit Dogs, Pit Bull Terriers, ce qui traduit bien leur double ascendance. Ils alliaient la puissance des Bulldogs aux qualités des Terriers : audace, ténacité, rapidité. Il ne s'agissait pas d'une race, car il existait diverses lignées et différents types, chaque éleveur ayant sa « recette » secrète pour produire des chiens invincibles.

Si le Staffie actuel présente un air de parenté indiscutable avec le « vieux type » du Bulldog, il ne faut pas négliger son héritage Terrier, qui pourrait d'ailleurs être prédominant. On n'oubliera pas que la sélection des Terriers fut tout aussi impitoyable que celle des Bulls, car ils devaient pouvoir affronter des animaux sauvages ; en particulier le blaireau ; qui défendaient chèrement leur peau quand ils étaient acculés. Par ailleurs, ces Terriers, très répandus, de taille réduite, étaient les chiens favoris des gens modestes. Ce recours au sang Terrier fut donc dicté par des considérations pratiques, mais il eut encore une autre raison : le dynamisme et la vivacité de ces chiens fournissaient un spectacle plus varié. Ces combats de chiens pouvaient facilement se dérouler à l'insu des autorités dans n'importe quel lieu, clos de préférence pour plus de discrétion : maison abandonnée, entrepôt, cave, arrière-salle de pub. Bien qu'illégaux, tout laisse à penser que, pendant une bonne partie du XlX" siècle, ils furent tolérés : en témoignent le nombre des gravures qui furent exécutées, la publicité et les affiches qui accompagnaient les principales manifestations, la minutie de l'organisation (par exemple, des « goûteurs » étaient chargés de s'assurer que les chiens n'étaient pas enduits d'une substance toxique). Certains aristocrates ne se cachaient guère pour aller y assister; la chronique mentionne même qu'un pasteur protesta énergiquement, vers la fin du XIXe siècle, parce que la police intervenait pour interrompre les matches. La répression active dont ils firent ensuite l'objet n'empêcha pas leur survivance au XXe siècle, et, actuellement, il n'est pas tout à fait certain qu'on n'en organise pas encore çà et là.

Néanmoins, le Pit Bull, en l'occurrence le Staffordshire Bull Terrier, a toujours été (plus ou moins) un clandestin jusqu'en 1935, date de sa reconnaissance officielle par le Kennel Club. Pour en arriver là, des cynophiles s'étaient préoccupés depuis quelques années de donner un statut de race à un chien très typé mais un peu varié de formes, de taille et de couleurs. S'il fut nommé Bull Terrier « du Staffordshire », c'est bien entendu parce que ce comté était un des principaux fiefs de l'élevage de ce chien, avec le Lancashire et le Yorkshire, encore que les combats de chiens aient fait fureur en bien d'autres lieux, comme la région de Londres, certains coins du pays de Galles, des Cornouailles ou de l'Ulster. Par ailleurs, le nom de Bull Terrier désignait déjà une race connue depuis longtemps, puisqu'elle avait été créée par un certain James Hinks, entre 1850 et 1870, à partir de chiens entièrement blancs. Certains « amateurs » considéraient les spécimens blancs comme insurpassables au combat.

Peu à peu, cependant, ce Bull Terrier blanc fut admis dans les expositions et sélectionné sur ses formes : sa tête devint ovoïde, et quand, en 1901, la coupe des oreilles fut interdite (jusque-là on les leur taillait en pointe), on réussit même à produire des chiens aux oreilles naturellement droites. Ainsi, après plusieurs décennies de sélection, le Bull Terrier et le Staffordshire devinrent des chiens tout à fait distincts.

Pour ce qui est du Stafford, un Club de race se créa à Cradley Heath dans les années trente, et la race bénéficia d'un registre propre au Livre d'origines britannique en 1938 : cette année-là, 343 sujets furent inscrits, ce qui donne à penser que le Staffordshire Bull Terrier était d'ores et déjà parfaitement établi. En 1948, le standard fut modifié dans le sens d'une légère réduction de la taille (de 3 à 5 centimètres environ). Dès lors, le Staffie pouvait commencer une carrière des plus brillantes comme chien d'expositions et de compagnie, non sans se signaler par quelques exploits prouvant que sa vigueur combative demeurait inaltérée. En 1957, relate le docteur Ronald Delaney, un chien nommé Gentleman Jim of Inver vint à bout d'un blaireau en moins de vingt-cinq minutes, près de Belfast.

Depuis la veille de la Seconde Guerre mondiale (340 naissances en 1939), la progression de cette « nouvelle » race a été spectaculaire. Au début des années septante, le chiffre de 2000 par an était dépassé, et, en 1982, on atteignait 4000; trois ans plus tard, on comptait plus de 6 000 naissances annuelles, et le Staffordshire était solidement installé comme la race de Terrier la plus populaire en Grande-Bretagne, en même temps que l'une des races y étant le plus appréciées (5940 chiens ont été inscrits en 1988).

Et, pourtant, bien que la mode canine soit, d'une manière générale, de plus en plus internationale (ainsi, un chien qui devient franchement populaire aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni a de fortes chances de le devenir quelques années après dans d'autres pays, y compris en France), la vogue du Stafford en Grande-Bretagne ne s'est encore jamais exportée. Elle aurait peut-être pu le faire aux Etats-Unis, mais, là-bas, un « cousin » était déjà établi : l'année même de la reconnaissance du Staffie par le Kennel Club, l'American Kennel Club avait admis le Staffordshire Terrier. La similitude de nom indique assez qu'il s'agit-là de parents proches, mais ils sont issus de lignées entièrement différentes; c'est pourquoi le « Staff » américain est à la fois plus grand et plus lourd.

L'American Staffordshire a lui-même été desservi par une confusion avec le « Pit Bull» (nous avons perçu jusqu'en Europe les échos de la très virulente campagne de presse menée contre ce chien, dressé pour tuer par de petits voyous et des dealers). On ne s'étonnera donc pas que la place faite Outre-Atlantique au Stafford britannique soit des plus discrètes. La race n'y a été reconnue qu'en 1974, en même temps qu'était inscrit le premier sujet, Tinkinswood Imperial. En 1988, 222 chiens ont été enregistrés.

Le Staffordshire Bull Terrier reste donc exclusivement britannique, ou presque : avant qu'il ne puisse devenir populaire en France, il faudrait que d'autres Terriers moins particuliers dans leurs formes et au passé moins marqué le précèdent. Or, en dépit de tous les efforts des passionnés, qui n'en peuvent mais, les Terriers sont encore largement méconnus dans l'Hexagone. Ce n'est donc pas avant un nombre respectable d'années que les Français pourront voir des classes de 150, 200, voire plus, engagements de Staffords dans les expositions canines; et encore moins seize clubs assurer sa promotion.

Si le Staffie n'est pas mieux connu hors de son pays, ce n'est pas qu'il démérite en quelque domaine (sauf un, on y reviendra). De son histoire, du reste, doit-on déduire qu'il est à la fois Bull (c'est-à-dire Dogue) et Terrier? Il est avant tout un Terrier : en Grande-Bretagne, où l'on s'y connaît en matière de Terriers, on a pu dire que c'est « dans ce chien que l'esprit du terrier brille le plus intensément ». Comme une majorité de Terriers, il n'est pas grand. Mais, relativement à sa taille, il est formidablement puissant. Pour une hauteur oscillant entre 35 et 40 centimètres au garrot, il pèse entre 11 et 17 kilos. Comme on dit dans le jargon cynophile, il a « de la substance. » En outre, son impressionnante musculature, qui se devine fort bien sous sa robe courte, ne l'empêche pas de se montrer très actif et même d'une agilité surprenante.

C'est d'abord sa tête qui frappe l'observateur, en particulier son large crâne et surtout la masse de ses muscles masséters. Tout aussi impressionnant, sinon plus, est son « cœur gros comme ça ». Il est en effet immensément dévoué à sa famille. Son amour des enfants est devenu légendaire (tout au moins en Grande-Bretagne). Très petit, il montre déjà un extraordinaire appétit de vie, et tout au long de son existence il restera un joyeux extraverti, un fonceur. Cela dit, si on lui fait prendre suffisamment d'exercice, il est capable de rester calme à la maison. On peut même le laisser seul sans craindre qu'il s'affole, car rien ne l'effraie. S'il est assez têtu, parfois un peu exclusif dans ses amitiés, le Staffordshire est néanmoins facile à tenir pour qui sait faire preuve de fermeté. Mais, attention ; lui donner des coups serait une erreur, tout d'abord parce qu'il est tout à fait stoïque face à la douleur, mais aussi et surtout parce que cela risquerait de réveiller son fond agressif. Une fois qu'il est bien excité, il est très difficile à calmer. Le Staffie est d'une pugnacité et d'une hardiesse peu commune. Plutôt que de le battre s'il transgresse un interdit, il vaut mieux le secouer par la peau du cou, et entreprendre au plus vite son éducation.

Son physique assez rébarbatif, qui compense en grande partie sa petite taille, suffit à en faire un excellent chien de garde. Un dressage destiné à renforcer son instinct de protection serait tout à fait superflu. Pour décourager toute intention malveillante, sa façon de prendre un air sinistre et résolu est bien assez efficace. D'ailleurs, lui apprendre à mordre pourrait être source d'ennuis.

Cela nous amène au principal défaut du Stafford : il n'est guère aimable avec ses congénères. Ce n'est pas qu'il cherche d'emblée à en découdre, mais il répond promptement à toute menace, ne fuyant jamais et ne s'avouant jamais vaincu. De même, un simple jeu entre chiens pourra dégénérer ou l'exciter. Toute expérience de ce genre réveillera son instinct combatif, avec les problèmes qui s'ensuivront chaque fois que l'occasion se présentera. Le maître d'un Stafford doit donc faire preuve de sagesse et de prudence pour éviter ce genre de situations.

Sachant cela, on ne peut ; ou on ne devrait ; rien reprocher d'autre au Staffie. Tous ceux qui l'ont approché et fréquenté un tant soit peu diront qu'il a « un caractère délicieux », que c'est un « véritable et irrésistible clown », « un cœur d'or » avec les gens en général et les enfants en particulier. Certes, même dans « le pays le plus cynophile du monde », il ne paraît pas facile de faire rimer popularité et qualité. Ceux qui, récemment, ont pu visiter une grande exposition anglaise, n'ont pas manqué de remarquer que les rings réservés aux Staffordshire Bull Terriers manquent parfois de tenue. On peut y voir, et y entendre, des chiens très rageurs et aboyeurs. Espérons que la diffusion très importante de cette race dans son pays n'entamera pas son capital de gentillesse.

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