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Braque français type Pyrénées Standard FCI Nº 134
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Origine
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France |
Groupe
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Groupe 7 Chiens d'arrêt |
Section
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Section 1.1 Chiens d’arrêt continentaux, type « braque » |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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mardi 18 janvier 1955 |
Publication du standard officiel en vigueur
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jeudi 16 juin 2022 |
Dernière mise à jour
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jeudi 11 août 2022 |
In English, this breed is said
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French Pointing Dog Pyrenean type |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Französischer Vorstehhunde typ Pyrenäen |
En español, esta raza se dice
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Braco Francés tipo Pirineos |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Franse braque type Pyrénées |
Utilisation
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Chien d’arrêt. |
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Bref aperçu historique
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Le Braque français de petite taille, type « Pyrénées » présente, toutes proportions gardées, avec des dimensions plus réduites et sous des formes plus légères, les mêmes caractères généraux que ceux du type « Gascogne ». Il n’en diffère que sur les points suivants : |
Aspect général
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Chien rustique, sans lourdeur mais suffisamment musclé. Peau plus tendue que celle du Gascogne. |
Région faciale
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Truffe
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De couleur marron, les narines bien ouvertes. |
Lèvres
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Les babines sont moins descendues que chez le Gascogne, ou convexes. |
Oreilles
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Insérées au-dessus de la ligne de l’œil, à peine plissées. Les pointes des oreilles doivent s’arrêter à 2 cm de la truffe. |
Corps
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Ligne du dessous
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Ventre moins descendu que chez le Gascogne. |
Queue
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Fine ; peut être écourtée ou courte de naissance. |
Membres antérieurs
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Généralités
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Ils sont plus légers que chez le Gascogne. |
Epaules
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Musclées et moyennement obliques. |
Membres postérieurs
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Pieds postérieurs
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Serrés. |
Robe
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Qualité du poil
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Plus fin et plus court que celui du Gascogne. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Mâle 51 à 58 cm, femelle 49 à 56 cm. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts généraux
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Chien trop lourd ou hyperléger.
Babines trop descendues ou effacées.
Yeux ronds à cause de l'exagération des arcades zygomatiques et sus-orbitaires.
Oreilles attachées au niveau de l'oeil, trop longues (touchant la truffe).
Ventre levretté.
Pieds écrasés. |
Défauts entrainant l’exclusion
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Chien agressif ou chien peureux.
Nez double, truffe fortement ladrée.
Entropion, ectropion, ladre à la naissance des paupières.
Anourie.
Syndactylie, polydactylie, adactylie. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Compléments apportés par les visiteurs
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Directly descended from its taller cousin, the Grand Taille, the lively French Pyrenean Pointer has also been influenced by the Sabueso Espanol and an extinct variety of continental gundogs known as the Southern Hounds. This is a dedicated scenthound, bred to a consistent type since the 1600's. Smaller and more driven than the French Gascony Pointer, the Petite Taille is a resilient and tireless worker. Quite rare outside its native borders, the Braque Francais Type Pyrenees is still a popular tracking dog among French hunters. Trainable and even-tempered, it makes an agreable family companion. The coat is short, flat and smooth to the touch, either white with chestnut patches or white with brown mottling. Average height is around 20 inches. |
Historique détaillé
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Type de Braque le plus répandu aujourd'hui dans l'Hexagone, le Braque Français est également le représentant direct des plus anciennes souches de chiens d'arrêt. Dès le haut Moyen Age, en effet, la chasse est le passe-temps favori des seigneurs ; et leur apanage, pourrait-on dire, puisqu'un droit de chasse, qui n'existait ni dans les lois gallo-romaines ni dans le droit germanique des Francs, est établi au VIIIe siècle. Le type de chasse le plus pratiqué à cette époque est le courre du gros gibier en forêt, à l'aide de meutes de chiens courants auxquels on adjoint vautres et Lévriers. La chasse à courre est également considérée comme une véritable école de courage préparant les jeunes « bacheliers » au métier des armes.
Le plaisir de la table n'est pas pour autant exempt des préoccupations de la noblesse féodale, et, à ce titre, le gibier à plume est particulièrement prisé. Mais il est aussi le plus difficile à prendre. Pour attraper les oiseaux, les seigneurs disposent donc des filets dans les endroits les plus giboyeux, une pratique connue depuis l'Antiquité mais que les chasseurs du Moyen Age perfectionnent en recourant à des chiens « couchants » ; ils se servent aussi de faucons et de chiens « d'appel » chargés de faire lever le gibier, de le faire envoler, et, éventuellement, d'aider les faucons à maîtriser les oiseaux au gabarit imposant (comme le héron). Comme chiens d'appel ou chiens couchants, les seigneurs utilisent des « Brachets », qui sont assez proches des chiens courants.
Certains animaux sont également dressés à chasser « à la muette », c'est-à-dire qu'ils procurent du gibier à leur maître sans que leurs aboiements les trahissent. De la chasse silencieuse au braconnage, il n'y a donc qu'un pas que d'aucuns franchissent aisément, et si le droit de chasse est strictement respecté dans bien des régions, « il reste de nombreux endroits, comme le précise Robert Delort, médiéviste réputé et spécialiste de l'histoire des animaux, où la chasse est libre, notamment de la péninsule Ibérique à l'Italie du Nord, où le braconnage est peu poursuivi ». C'est donc tout naturellement dans l'Europe méridionale que le Brachet va se développer, là où le seigneur n'est pas assez fortuné pour entretenir de vastes meutes et où le paysan aisé peut posséder en toute impunité, ou presque, un chien de chasse.
Le Brachet devient ainsi rapidement le Braque, un chien polyvalent qui, par ses origines, est aussi bien chien courant pour courser le lièvre, chien d'appel, chien couchant pour la chasse aux oiseaux qu'auxiliaire du tireur à l'arc puis de l'arquebusier, enfin chien de braconnier (le braconnier étant celui qui soigne les Braques, braconner voulant dire chasser avec les Braques).
A partir du XIVe siècle, les chasseurs s'adjoignent un autre type de chien, l'Epagneul, plus spécialisé que les anciens Braques. C'est à cette époque que les grandes traditions de la chasse commencent à être codifiées et que les grands seigneurs prennent pour auxiliaires des chiens de plus en plus divers. A l'instar de Gaston Phébus, comte de Foix et seigneur de Béarn, les rois de France et tous les grands personnages du royaume vont dès lors entretenir plusieurs centaines de chiens de chasse, et notamment des Braques Français si l'on en juge d'après certaines toiles du XVIIIe siècle. François Alexandre Desportes puis Jean-Baptiste Oudry, qui assurent les fonctions de peintre officiel des chiens de Louis XIV et de Louis XV successivement, reproduisent en effet différentes scènes de vénerie où se trouvent des portraits de chiens de type Braque, tandis que Sélincourt, dès 1683, décrit le Braque comme « un chien généralement d'assez grande taille et de format robuste : tête grosse, oreilles longues, museau carré, nez gros, lèvres pendantes, cou épais, pelage blanc avec des taches brunes ». En un mot: un Braque Français typique.
Les Braques sont également de précieux auxiliaires pour les petits chasseurs, qui sont nombreux dans le sud de l'Europe non seulement parce que le braconnage y est peu réprimé mais encore parce que la chasse à courre, du fait du manque de forêts, y est peu pratiquée. Ce qui explique d'ailleurs que l'Espagne, l'Italie et le sud de la France conserveront les trois races de Braques les plus anciennes, qui toutes ont gardé dans leur morphologie certaines caractéristiques des Brachets d'autrefois.
La Révolution française, qui permet à beaucoup de citadins d'accéder à la chasse, puis la généralisation des armes à feu vont favoriser l'éparpillement des Braques dans tout le pays. Dans la première moitié du XIXe siècle, ces chiens vont avoir tendance à se régionaliser ; chacun adapté à son terroir ; même si leurs caractéristiques ne sont encore que superficiellement fixées, notamment pour ce qui concerne celles du Braques d'Anjou ou celles de races créées par suite de croisements, telle Braque Dupuy. Prenant exemple sur les premiers zootechniciens, les cynophiles s'attachent à étudier les différentes races canines, cherchant à attribuer à chaque type de chien une région bien précise. Mais si cette démarche est tout à fait justifiée pour ce qui concerne le Braque du Bourbonnais, elle paraît plus discutable pour ce qui est du Braque d'Auvergne ou du Braque de l'Ariège ; appelé aussi Braque de Toulouse ; qui sont tous deux des types du Braque Français, mais l'un à poil blanc et noir-bleu, l'autre à la robe blanche, tachetée d'orange.
Dans la seconde moitié du siècle dernier, le Braque Français pâtira de l'engouement des cynophiles français pour les races anglaises, et au tout début du XXe siècle les meilleurs sujets ne se trouvent plus que dans les régions où la chasse reste une tradition fortement implantée. Par ailleurs, en ces tout débuts de la cynophilie, la distinction entre Braque Français et Braque « de pays » n'est pas toujours aisée à faire. Dans son ouvrage publié à la fin du XIXe siècle, Les Races de chiens, A. Reul va même jusqu'à décrire sous l'appellation « Braque de pays » le vieux Braque Français : « La caractéristique essentielle est sa grande taille avec comme conséquence une ossature très forte et un poids très élevé. Ses membres sont gros, ses pieds larges et ouverts, son museau large, sa tête volumineuse et lourde, ses oreilles très fortes et bien pendantes, sa queue écourtée. » Ce chien fait d'ailleurs l'objet de vives critiques. Dans un article paru dans L'Acclimatation en 1898, J. de Conynck, tout en reconnaissant qu'il naît quasiment dressé, trouve le Braque Français beaucoup trop lent, tandis qu'Oberthur, quelques décennies plus tard, n'hésitera pas à parler de ce chien au passé : « Il avait un excellent nez qui gardait sa puissance par la sécheresse et la chaleur, de bonnes allures, mais il craignait le piquant et n'aimait pas l'eau. Il avait parfois la dent .dure et se montrait plus difficile à dresser que nos Epagneuls dont il n'avait ni la douceur ni la souplesse. »
Il faut attendre l'entre-deux-guerres, période au cours de laquelle des cynophiles pyrénéens et gascons se décident à prendre en charge leurs races régionales en voie de disparition, pour que le Braque Français soit à nouveau au cœur des préoccupations cynophiles. Le docteur Castets, président-fondateur du Club, oriente ainsi l'élevage du vieux Braque Français ; élevage que son père a débuté en 1875 ; vers un type légèrement allégé mais de bonne taille, plutôt proche du type ancestral ; il est bientôt suivi de Sénac-Lagrange, autre grand connaisseur des chiens du Sud-Ouest, qui recherche un type plus petit, nettement plus léger, apte à mieux soutenir la comparaison avec les chiens anglais, dont la vogue est alors à son apogée. Ainsi, et quels qu'aient été les efforts des cynophiles pour adapter le Braque Français au XXe siècle et par là même aboutir à une synthèse véritablement satisfaisante, deux types perdureront: le Gascogne, plus classique, et le Pyrénées, plus moderne.
La race n'en sera pas plus populaire pour autant, et, dans les années soixante, ce chien est moins bien représenté que son cousin, le Braque d'Auvergne, lui-même largement dépassé par le Braque Allemand. Peu à peu, toutefois, et grâce au docteur Servier qui définit un « standard de travail » visant à préciser le style « inhérent » à ce chien dans les field-trials, le Braque Français intéresse davantage. Dans les expositions tout d'abord, les deux types (aujourd'hui l'objet de deux standards) se font mieux connaître ; Soudeur du Rallie (de type Gascogne) et Sirex d'Arrieussecq (de type Pyrénées) se révéleront deux champions remarquables ; et dans les field-trials ensuite, plus particulièrement dans les fields d'automne sur gibier tiré, de nombreux sujets se font remarquer.
Le Braque Français est un chien au caractère très doux, sensible, au point que certains sujets peuvent même paraître timides. Ce qui est certain, c'est que cet animal ne supporte pas les personnes brutales et qu'il ressent très mal une punition non méritée ou des sautes d'humeur trop fréquentes chez son maître. Le Braque Français n'a rien d'un chien d'arrêt que l'on mécanise, que l'on « dresse au bouton » sans qu'il ait préalablement compris ce qu'on attend de lui.
C'est d'ailleurs lorsqu'il est chiot qu'il est important de développer sa sociabilité, de l'habituer aux bruits, à la foule, d'autant que, pour qu'il devienne un véritable auxiliaire, il faut d'abord en faire un complice. Son maître lui fera exécuter les exercices nécessaires avant de l'emmener à la chasse, comme la marche au pied sans laisse et le rappel, mais, surtout, il n'hésitera pas à le féliciter en cas de réussite. Le Braque Français se déclare vite et tout seul, pour peu qu'il ait l'occasion de se servir de son flair. Il met une telle bonne volonté à satisfaire son maître qu'on a pu dire qu'il naissait « dressé ». Il a un instinct de soumission très ancré s'ajoute un sens de la chasse tout aussi développé. On peut toutefois trouver qu'il manque de style par rapport à certaines races anglaises, et parfois de célérité dans l'exécution des ordres ou dans le rapport. C'est mal comprendre sa façon de travailler. Il n'a jamais été sélectionné dans les field-trials pour se distinguer par un brio éblouissant pendant le quart d'heure que dure l'épreuve, mais on lui demande de soutenir une bonne allure une journée entière. Ainsi, si les Setters et les Pointers sont des athlètes dotés d'une très bonne résistance, capables de prolonger leurs sprints en courses de demi-fond, les Braques Français, eux, sont des « fondeurs », c'est-à-dire qu'ils se révèlent très endurants. En effet, si la sélection a rendu le Braque moderne plus rapide que les Braques d'antan, elle lui a gardé l'essentiel de sa rusticité.
Comme l'a souligné Jean Servier, il « donne l'impression d'économiser au maximum ses forces et de courir à l'indice de performance », autrement dit, il travaille avec régularité et sans fatigue. Faut-il s'en étonner, s'agissant d'une race qui a dû pendant des siècles chasser sur des terrains très morcelés qu'il fallait explorer à fond, sur des sols caillouteux, par temps chaud et sec, dans la montagne où le dénivelé est plus éprouvant que le nombre de kilomètres?
Ses arrêts sont réputés pour leur fermeté. Cependant, il sait « couler » vers le gibier, notamment après que son maître lui en a donné l'ordre. Le Braque Français, en outre, est un « trotteur galopeur », son galop, souple et économique, étant fréquemment entrecoupé de trot ; l'animal peut passer plusieurs fois aux mêmes endroits (ou presque) quand il a l'intuition que le gibier n'est pas loin et qu'il risque de le faire s'envoler. Le Braque Français sait encore pister et récupérer les pièces blessées, et se montre un excellent retriever. La très grande majorité des sujets a un rapport naturel ; il est cependant conseillé d) obtenir des arrêts fermes avant de demander le rapport et de ne faire rapporter le poil qu'à un chien parfaitement « routiné », car, si le Braque Français est l'auxiliaire idéal pour le chasseur qui ne possède qu'un seul chien, il est avant tout un chien d'arrêt. Il s'adapte à des gibiers et à des territoires les plus divers.
Facile sur le terrain, rude à la tâche, agréable à la maison, vénérant son maître, ce compagnon sait également se montrer discret quand la situation l'impose, et surtout peu exigeant. Il peut être emmené en ville ou être laissé seul à la maison sans inquiétude aucune. Ses besoins en exercice sont modérés par rapport à ceux de certains autres chiens de chasse, impétueux et nerveux. Il est enfin très patient et joueur avec les enfants, et tolérant avec ses congénères. |
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French Pointing Dog Pyrenean type FCI Standard No. 134
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Origin
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France |
Translation
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Mrs. Peggy Davis |
Group
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Group 7 Pointing Dogs |
Section
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Section 1.1 Continental Pointing Dogs « Braque » Type |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Tuesday 18 January 1955 |
Publication of the official valid standard
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Thursday 16 June 2022 |
Last update
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Thursday 11 August 2022 |
En français, cette race se dit
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Braque français type Pyrénées |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Französischer Vorstehhunde typ Pyrenäen |
En español, esta raza se dice
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Braco Francés tipo Pirineos |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Franse braque type Pyrénées |
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Brief historical summary
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The small size French Pointing Dogs « Pyrenean type » show, while keeping all proportions, with more reduced dimensions and lighter shapes, the same general characteristics as those of the « Gascogne type ». They only differ on the following points : |
General appearance
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Rustic dog, not heavy but sufficiently muscled. Skin tighter than that of the Gascogne type. |
Facial region
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Nose
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Chestnut-brown in colour, nostrils well opened. |
Lips
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The lips are less pendent or less convex than in the Gascogne type. |
Ears
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Set on above eye line, barely folded. The tips of the leathers must end at 2 cm from the nose leather. |
Neck
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Slight or no dewlap. |
Body
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Underline and belly
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Belly less let down than in the Gascogne type. |
Tail
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Fine; can be docked or naturally short. |
Forequarters
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Generality
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They are lighter than in the Gascogne type. |
Shoulders
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Muscular and moderately sloping. |
Hindquarters
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Hind feet
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Tight. |
Coat
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Hair
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Finer and shorter than that of the Gascogne Type. |
Size and weight
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Height at withers
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Male 51 - 58 cm, female 49 - 56 cm. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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General faults
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Dog too heavy or hyperlight.
Lips too droopy or too light.
Round eyes caused by the exaggeration of the zygomatic and superciliary arches.
Leathers set at eye level, too long (touching the nose).
Belly too tucked up (whippety).
Splayed feet. |
Disqualifying faults
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Aggresive or overly shy.
Split nose, pronounced depigmentation of the nose leather.
Entropion, ectropion, pink spots at the base of the eyelids.
No tail (anury).
Syndactyly (toes grown together), surplus toes, absence of toes. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Additional information from visitors
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Directly descended from its taller cousin, the Grand Taille, the lively French Pyrenean Pointer has also been influenced by the Sabueso Espanol and an extinct variety of continental gundogs known as the Southern Hounds. This is a dedicated scenthound, bred to a consistent type since the 1600's. Smaller and more driven than the French Gascony Pointer, the Petite Taille is a resilient and tireless worker. Quite rare outside its native borders, the Braque Francais Type Pyrenees is still a popular tracking dog among French hunters. Trainable and even-tempered, it makes an agreable family companion. The coat is short, flat and smooth to the touch, either white with chestnut patches or white with brown mottling. Average height is around 20 inches. |
Detailed history
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Braque type most widespread today in France, the French Braque is also the direct representative of the oldest strains of dogs. From the early Middle Ages, indeed, hunting is the favorite pastime of lords; and their appanage, one might say, since a hunting right, which existed neither in the Gallo-Roman laws nor in the Germanic law of the Franks, was established in the eighth century. The most popular type of hunting at that time was the hunting of big game in the forest, with the help of packs of common dogs, to which others were added, and greyhounds. Hunting is also considered a veritable school of courage preparing young "bachelors" for the profession of arms.
The pleasure of the table is not, however, exempt from the concerns of the feudal nobility, and, as such, game birds are particularly popular. But it is also the most difficult to take. To catch the birds, the lords thus have the nets in the most game-filled places, a practice known since the Antiquity but that the hunters of the Middle Ages perfected by resorting to dogs "socks"; they also use hawks and "calling" dogs to hunt game, fly it, and eventually help the hawks to control large-sized birds (like the heron). As call dogs or dogs, the lords use "Brachets", which are quite close to the common dogs.
Some animals are also trained to hunt "dumb", that is to say, they provide game to their master without their barking betray them. From silent hunting to poaching, so there is only one step that some people easily cross, and if the right to hunt is strictly respected in many areas, "there are still many places, as clarified Robert Delort , renowned medievalist and specialist in the history of animals, where hunting is free, especially from the Iberian Peninsula to northern Italy, where poaching is not pursued ". It is therefore quite naturally in southern Europe that the Brachet will develop, where the lord is not fortunate enough to maintain large packs and where the wealthy peasant can possess with impunity, or almost, a dog of hunt.
The Brachet thus becomes quickly the Braque, a versatile dog which, by its origins, is as well dog running to run the hare, dog of call, dog lying for the hunting of the birds than the auxiliary of the shooter then of the arquebusier, finally poacher's dog (the poacher is the one who heals the Braques, poaching meaning to hunt with the Braques).
From the fourteenth century, hunters add another type of dog, the Spaniel, more specialized than the old Braques. It was at this time that the great traditions of hunting began to be codified and that the great lords take for auxiliaries dogs more and more diverse. Like Gaston Phoebus, count of Foix and lord of Béarn, the kings of France and all the great characters of the kingdom will therefore maintain several hundred hunting dogs, including French Braques if we judge after some paintings of the eighteenth century. François Alexandre Desportes and Jean-Baptiste Oudry, who are the official painter of the dogs of Louis XIV and Louis XV successively, reproduce various scenes of hunting where are portraits of Braque dogs, while Sélincourt, from 1683, describes the Braque as "a dog generally of rather large size and robust format: big head, long ears, square muzzle, big nose, hanging lips, thick neck, white coat with brown spots". In a word: a typical French Braque.
The Braques are also valuable auxiliaries for small hunters, who are numerous in southern Europe not only because poaching is little repressed but also because hunting, due to lack of forests, is there. little practiced. This explains why Spain, Italy and the south of France will retain the three oldest Braques breeds, all of which have retained in their morphology certain characteristics of the Brachets of the past.
The French Revolution, which allows many citizens to access hunting, then the generalization of firearms will encourage the spread of Braques throughout the country. In the first half of the nineteenth century, these dogs will tend to regionalize; each adapted to its terroir; even if their characteristics are still only superficially fixed, especially as regards those of Braques d'Anjou or those of breeds created by crosses, such as Braque Dupuy. Taking the example of the first zootechnicians, dog-lovers try to study the different dog breeds, seeking to attribute to each type of dog a specific region. But if this approach is entirely justified as regards the Braque du Bourbonnais, it seems more questionable with regard to Braque d'Auvergne or Braque de l'Ariège; also called Braque de Toulouse; who are both types of the French Pointer, but one with a white and black-blue coat, the other with a white dress, spotted with orange.
In the second half of the last century, the French Braque will suffer from the enthusiasm of French dog breeds for English breeds, and at the beginning of the 20th century the best subjects are only found in regions where hunting remains a strong tradition. . Moreover, in these very beginnings of the cynophilia, the distinction between French Braque and Braque "of country" is not always easy to make. In his book published at the end of the nineteenth century, The Races of Dogs, A. Reul even goes so far as to describe under the name "Braque de pays" the old French Braque: "The essential characteristic is its large size with the consequence a very strong frame and a very high weight. His limbs are large, his feet wide and open, his muzzle wide, his head bulky and heavy, his ears very strong and dangling, his tail shortened. This dog is also the subject of sharp criticism. In an article published in L'Acclimatation in 1898, J. de Conynck, while recognizing that he was born almost ready, found the French Braque much too slow, while Oberthur, a few decades later, will not hesitate to speak from this dog to the past: "He had an excellent nose that kept his power through drought and heat, good paces, but he feared spiciness and did not like water. He sometimes had a hard tooth and was more difficult to train than our Spaniels, whose softness and suppleness he had neither. "
It was not until the inter-war period, during which Pyrenean and Gascan dogs decided to take charge of their endangered regional breeds, so that the French Braque was once again at the heart of dog-eating concerns. Dr. Castets, president and founder of the Club, directs the breeding of the old French Braque; breeding that his father began in 1875; towards a slightly lightened but good-sized type, rather close to the ancestral type; he is soon followed by Senac-Lagrange, another great connoisseur of Southwestern dogs, who is looking for a smaller, much lighter type, better able to support the comparison with the English dogs, whose fashion is then at its peak. Thus, and whatever the efforts of cynophiles to adapt the French Braque to the twentieth century and thereby lead to a truly satisfactory synthesis, two types will continue: Gascony, more classic, and the Pyrenees, more modern.
The breed will not be more popular so far, and in the sixties, this dog is less well represented than his cousin, the Braque d'Auvergne, himself greatly exceeded by the German pointer. Little by little, however, and thanks to Dr. Servier who defines a "standard of work" aimed at clarifying the "inherent" style of this dog in the field-trials, the French Braque is more interested. In the exhibitions first of all, the two types (now subject to two standards) are better known; Welder Rallie (Gascony type) and Sirex Arrieussecq (type Pyrenees) will prove two outstanding champions; and in field trials later, especially in the autumn fields on game shooting, many subjects stand out.
The French Braque is a dog with a very sweet, sensitive character, to the point that some subjects may even seem shy. What is certain is that this animal does not support brutal people and that he feels very bad punishment undeserved or too frequent mood swings in his master. The French Braque is nothing like a dog that is mechanized, that one "raises to the button" without having first understood what is expected of him.
It is also when he is a puppy that it is important to develop his sociability, to accustom him to noises, to the crowd, especially as, for him to become a real auxiliary, it is necessary to first make it an accomplice. His master will have him perform the necessary exercises before taking him to the hunt, such as walking without leash and recall, but, above all, he will not hesitate to congratulate him if successful. The French Braque declares himself quickly and all alone, provided he has the opportunity to use his flair. He puts such good will into satisfying his master that it has been said that he was born "trained". He has an instinct of submissive submission and a sense of hunting just as developed. It can be found, however, that it lacks style with respect to certain English races, and sometimes of celerity in the execution of orders or in the report. It's misunderstanding the way he works. He has never been selected in the field-trials to distinguish himself by a dazzling brilliance during the quarter of an hour that lasts the test, but he is asked to support a good pace a whole day. Thus, if the Setters and Pointers are athletes with a very good resistance, able to extend their sprints in middle distance races, the French Braques, they are "founders", that is to say they prove to be very enduring. Indeed, if the selection has made the Braque modern faster than the Braques of yesteryear, it has kept most of its rusticity.
As Jean Servier pointed out, he "gives the impression of maximizing his strength and running for the performance index", in other words, he works with regularity and without fatigue. Should we be surprised, for a race that had for centuries hunted on very fragmented terrain that we had to explore thoroughly, on stony soils, in hot and dry weather, in the mountains where the altitude difference is more demanding than the number of kilometers?
His stops are known for their firmness. However, he knows how to "sink" to the game, especially after his master has given him the order. The French Braque, moreover, is a "galloping trotter", his gallop, supple and economical, being frequently interrupted by a trot; the animal can pass several times in the same places (or almost) when it has the intuition that the game is not far and that it is likely to make it fly away. The French Braque can still track and recover the injured parts, and is an excellent retriever. The vast majority of subjects have a natural relationship; However, it is advisable to obtain firm stops before asking for the report and to have the hair only brought back to a dog that is perfectly "routine", because, if the French Braque is the ideal auxiliary for the hunter who only has 'a single dog, it is above all a stop dog. It adapts to game and to the most diverse territories.
Easy on the field, rough to the task, pleasant at home, venerating his master, this companion also knows how to be discreet when the situation requires it, and especially not very demanding. He can be taken to town or left alone at home without worry. Her exercise needs are moderate compared to those of some other hunting dogs, impetuous and nervous. He is finally very patient and playful with children, and tolerant with his peers. |
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Französischer Vorstehhunde typ Pyrenäen FCI-Standard Nr. 134
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Ursprung
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Frankreich |
Übersetzung
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Frau Michèle Schneider |
Gruppe
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Gruppe 7 Vorstehhunde |
Sektion
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Sektion 1.1 Kontinentale Vorstehhunde, Typ « Braque » |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Dienstag 18 Januar 1955 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Donnerstag 16 Juni 2022 |
Letzten Aktualisierung
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Donnerstag 11 August 2022 |
En français, cette race se dit
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Braque français type Pyrénées |
In English, this breed is said
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French Pointing Dog Pyrenean type |
En español, esta raza se dice
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Braco Francés tipo Pirineos |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Franse braque type Pyrénées |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Die kleinen Französischen Vorstehhunde vom « Pyrenäentyp » teilen mit jenen vom « Typ der Gascogne » bei gleichen Proportionen dieselben Merkmale in kleinerer Dimension und leichterem Format. Sie unterscheiden sich von ihnen lediglich in folgenden Punkten : |
Allgemeines erscheinungsbild
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Rustikaler, ausreichend muskulöser, aber nicht schwerer Hund. Haut straffer als beim Typ Gascogne. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Kastanienbraun mit gut geöffneten Nasenlöchern. |
Lefzen
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Die Lefzen reichen weniger weit herab als beim Typ Gascogne oder sind weniger konvex. |
Ohren
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Oberhalb der Augenlinie angesetzt und kaum gefaltet; die Spitzen des Behangs enden 2 cm vor dem Nasenschwamm. |
Hals
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Wenig oder keine Wamme. |
Körper
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Untere Profillinie und Bauch
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Der Bauch reicht weniger weit herab als beim Typ Gascogne. |
Rute
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Dünn; kann kupiert oder von Natur aus kurz sein. |
Vorderhand
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Allgemeines
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Leichter als beim Typ Gascogne. |
Schultern
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Muskulös und mittelmässig schräg. |
Hinterhand
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Hinterpfoten
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Zehen eng aneinanderliegend. |
Coat
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Haar
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Feiner und kürzer als beim Typ Gascogne. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Rüde 51 bis 58 cm, Hündin 49 bis 56 cm. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Allgemeine Fehler
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Zu schwerer oder extrem leichter Hund.
Zu stark überhängende oder ungenügend ausgeprägte Lefzen.
Runde Augen infolge übertriebener Brauen-und Jochbögen.
Auf Augenniveau angesetzter Behang, zu langer Behang (bis zur Nasenspitze reichend).
Windhundmässig aufgezogener Bauch.
Durchgetretene Pfoten. |
Disqualifizierende fehler
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Aggressiv oder ängstlich.
Spaltnase, stark depigmentierter Nasenschwamm.
Entropium, Ektropium, fleckige Depigmentierung am Lidansatz.
Anurie.
Verwachsene, überzählige oder fehlende Zehen. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Ergänzungen durch die Besucher
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Directly descended from its taller cousin, the Grand Taille, the lively French Pyrenean Pointer has also been influenced by the Sabueso Espanol and an extinct variety of continental gundogs known as the Southern Hounds. This is a dedicated scenthound, bred to a consistent type since the 1600's. Smaller and more driven than the French Gascony Pointer, the Petite Taille is a resilient and tireless worker. Quite rare outside its native borders, the Braque Francais Type Pyrenees is still a popular tracking dog among French hunters. Trainable and even-tempered, it makes an agreable family companion. The coat is short, flat and smooth to the touch, either white with chestnut patches or white with brown mottling. Average height is around 20 inches. |
Detaillierter Verlauf
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Braque-Typ ist heute in Frankreich am weitesten verbreitet, der Franzose Braque ist auch der direkte Vertreter der ältesten Hunderassen. Seit dem frühen Mittelalter ist die Jagd der bevorzugte Zeitvertreib der Herren; und ihr appanage, könnte man sagen, seit einem Jagdrecht, das in den gallo-römischen Gesetzen oder im germanischen Gesetz der Franken nicht existierte, wurde im achten Jahrhundert gegründet. Die beliebteste Art der Jagd zu dieser Zeit war die Jagd auf Großwild im Wald, mit Hilfe von Rudeln von gemeinsamen Hunden, denen Vautres und Greyhounds hinzugefügt wurden. Die Jagd wird auch als eine wahre Schule des Mutes angesehen, die junge "Junggesellen" für den Waffenhandel vorbereitet.
Das Vergnügen des Tisches ist jedoch nicht von den Sorgen des Feudaladels ausgenommen, und als solches sind Wildvögel besonders beliebt. Aber es ist auch am schwierigsten zu nehmen. Um die Vögel zu fangen, haben die Herren so die Netze an den am meisten spielenden Plätzen, eine Praxis, die seit der Antike bekannt ist, aber dass die Jäger des Mittelalters perfektioniert haben, indem sie Hunde "tragen"; Sie benutzen auch Falken und rufen Hunde, um Wild zu jagen, zu fliegen und schließlich den Falken zu helfen, große Vögel (wie den Reiher) zu kontrollieren. Als Rufhunde oder Hunde benutzen die Lords "Brachets", die den gewöhnlichen Hunden sehr nahe kommen.
Manche Tiere sind auch darauf trainiert, "dumm" zu jagen, das heißt, dass sie ihrem Meister Spiel bieten, ohne dass ihr Gebell sie verraten hat. Von der stillen Jagd bis zur Wilderei, also gibt es nur einen Schritt, den manche Menschen leicht kreuzen, und wenn das Jagdrecht in vielen Bereichen strikt eingehalten wird, "gibt es immer noch viele Orte, wie Robert Delort geklärt hat , renommierter Mediävist und Spezialist in der Geschichte der Tiere, wo die Jagd frei ist, vor allem von der Iberischen Halbinsel bis nach Norditalien, wo Wilderei nicht weiter verfolgt wird ". Es ist daher ganz natürlich in Südeuropa, dass sich der Brachet entwickelt, wo der Herr nicht das Glück hat, große Rudel zu halten, und wo der wohlhabende Bauer ungestraft oder fast einen Hund von Jagd.
Der Brachet wird so schnell zum Braque, einem vielseitigen Hund, der seiner Herkunft nach auch Hund ist, der rennt, um den Hasen, Hund des Rufes, Hund, der für die Jagd der Vögel lügt, als der Helfer des Schützen dann von der Arkebusier, schließlich der Wildererhund (der Wilderer ist derjenige, der die Braques heilt, Wilderei bedeutet, mit den Braques zu jagen).
Ab dem vierzehnten Jahrhundert, fügen Jäger eine andere Art von Hund, der Spaniel, spezialisierter als die alten Braques. Es war zu dieser Zeit, dass die großen Traditionen der Jagd kodifiziert wurden, und dass die großen Lords für Hilfshunde mehr und mehr verschiedenartig nehmen. Wie Gaston Phoebus, Graf von Foix und Herr von Béarn, werden die Könige von Frankreich und alle großen Charaktere des Königreiches deshalb mehrere hundert Jagdhunde unterhalten, einschließlich französischer Braques, wenn wir urteilen nach einigen Gemälden des achtzehnten Jahrhunderts. François Alexandre Desportes und Jean-Baptiste Oudry, die der offizielle Maler der Hunde von Louis XIV und Louis XV nacheinander sind, reproduzieren verschiedene Jagdszenen, wo Porträts von Braque-Hunden sind, während Sélincourt, von 1683, beschreibt die Braque als "ein Hund in der Regel ziemlich groß und robust Format: großer Kopf, lange Ohren, quadratische Schnauze, große Nase, hängende Lippen, dicker Hals, weißes Fell mit braunen Flecken". Mit einem Wort: ein typischer französischer Braque.
Die Braques sind auch wertvolle Hilfsmittel für kleine Jäger, die in Südeuropa zahlreich sind, nicht nur weil die Wilderei wenig unterdrückt wird, sondern auch, weil die Jagd aufgrund von Waldmangel da ist. wenig geübt. Dies erklärt, warum Spanien, Italien und Südfrankreich die drei ältesten Braques-Rassen behalten, die in ihrer Morphologie bestimmte Merkmale der Brachets der Vergangenheit beibehalten haben.
Die Französische Revolution, die vielen Bürgern den Zugang zur Jagd ermöglicht, wird durch die Verallgemeinerung von Schusswaffen die Verbreitung von Braques im ganzen Land fördern. In der ersten Hälfte des neunzehnten Jahrhunderts neigen diese Hunde zur Regionalisierung; jeder angepasst an sein Terroir; auch wenn ihre Merkmale nur oberflächlich festgelegt sind, insbesondere in Bezug auf die von Braques d'Anjou oder die von Kreuzen geschaffenen Rassen wie Braque Dupuy. Am Beispiel der ersten Zootechniker versuchen Hundeliebhaber die verschiedenen Hunderassen zu studieren, um jeder Art von Hund eine bestimmte Region zuordnen zu können. Aber wenn dieser Ansatz in Bezug auf die Braque du Bourbonnais völlig gerechtfertigt ist, erscheint er im Hinblick auf Braque d'Auvergne oder Braque de l'Ariège fragwürdiger; auch Braque de Toulouse genannt; die beide Typen des französischen Zeigers sind, aber einer mit einem weißen und schwarz-blauen Mantel, der andere mit einem weißen, orangefarbenen Kleid.
In der zweiten Hälfte des letzten Jahrhunderts wird der französische Braque unter dem Enthusiasmus französischer Hundezüchter für englische Rassen leiden, und zu Beginn des 20. Jahrhunderts finden sich die besten Fächer nur in Regionen, in denen die Jagd eine starke Tradition bleibt. . Außerdem ist es in diesen Anfängen der Cynophilie nicht immer einfach, zwischen Braque und Braque "des Landes" zu unterscheiden. In seinem Ende des 19. Jahrhunderts erschienenen Buch Die Rassen der Hunde schreibt A. Reul sogar so weit, unter dem Namen "Braque de Pays" den alten französischen Braque zu beschreiben: "Das wesentliche Merkmal ist seine Größe mit der Folge ein sehr starker Rahmen und ein sehr hohes Gewicht. Seine Glieder sind groß, seine Füße weit und offen, seine Schnauze weit, sein Kopf sperrig und schwer, seine Ohren sehr stark und baumelnd, sein Schwanz verkürzt. Dieser Hund ist auch Gegenstand scharfer Kritik. In einem Artikel, der 1898 in L'Acclimatation veröffentlicht wurde, fand J. de Conynck, während er erkannte, dass er fast fertig geboren war, den französischen Braque viel zu langsam, während Oberthur, ein paar Jahrzehnte später, nicht zögern wird, zu sprechen von diesem Hund in die Vergangenheit: "Er hatte eine ausgezeichnete Nase, die seine Kraft durch Trockenheit und Hitze, gute Schritte hielt, aber er fürchtete Schärfe und mochte kein Wasser. Er hatte manchmal einen harten Zahn und war schwieriger zu trainieren als unsere Spaniels, deren Weichheit und Geschmeidigkeit er nicht hatte. "
Erst in der Zwischenkriegszeit, in der sich die Pyrenäen und die Gaskaner für ihre vom Aussterben bedrohten Rassen entschieden hatten, stand die französische Braque wieder im Zentrum der Hundeerziehung. Dr. Castets, Präsident und Gründer des Clubs, leitet die Zucht des alten französischen Braque; Zucht, die sein Vater 1875 begann; in Richtung eines leicht aufgehellten, aber gut dimensionierten Typs, eher nahe dem Ahnentyp; Ihm folgte bald Senac-Lagrange, ein weiterer großer Kenner von Hunden aus dem Südwesten, der nach einem kleineren, viel leichteren Typ suchte, der den Vergleich mit englischen Hunden, deren Popularität damals am höchsten war, besser unterstützen konnte. So, und wie auch immer die Versuche der Cynophilen, die französische Braque an das zwanzigste Jahrhundert anzupassen und damit zu einer wirklich befriedigenden Synthese zu führen, werden zwei Typen weitergehen: Gascogne, klassischer, und die Pyrenäen, moderner.
Die Rasse wird bis jetzt nicht populärer sein, und in den sechziger Jahren ist dieser Hund weniger gut vertreten als sein Cousin, der Braque d'Auvergne, selbst vom deutschen Zeiger sehr übertroffen. Nach und nach aber, und dank Dr. Servier, der einen "Standard der Arbeit" definiert, der darauf abzielt, den "inhärenten" Stil dieses Hundes in den Feldversuchen zu klären, interessiert sich der Franzose Braque mehr. In den Ausstellungen sind vor allem die zwei Typen (die nun zwei Standards unterliegen) besser bekannt; Welder Rallie (Gascogne-Typ) und Sirex Arrieussecq (Typ Pyrenees) werden zwei herausragende Champions beweisen; und in Feldversuchen später, besonders auf den Herbstfeldern beim Wildschießen, heben sich viele Themen ab.
Der französische Braque ist ein Hund mit einem sehr süßen, sensiblen Charakter, so dass einige Personen sogar schüchtern erscheinen. Sicher ist, dass dieses Tier keine brutalen Menschen unterstützt und dass er sich sehr schlecht zu einer unverdienten Strafe oder zu häufigen Stimmungsschwankungen bei seinem Meister fühlt. Der Franzose Braque hat nichts von einem Stop-Dog, der mechanisiert ist, dass man "auf den Knopf setzt", ohne vorher verstanden zu haben, was von ihm erwartet wird.
Es ist auch, wenn er ein Welpe ist, dass es wichtig ist, seine Geselligkeit zu entwickeln, ihn an Geräusche, an die Menge zu gewöhnen, besonders, weil es für ihn notwendig ist, um ein echter Helfer zu sein mach es zuerst zum Komplizen. Sein Meister wird ihn die notwendigen Übungen machen lassen, bevor er ihn zur Jagd bringt, wie zum Beispiel ohne Leine gehen und sich erinnern, aber vor allem wird er nicht zögern, ihm zu gratulieren, wenn er Erfolg hat. Der Franzose Braque erklärt sich schnell und ganz allein, vorausgesetzt er hat die Möglichkeit, sein Gespür zu nutzen. Er bringt so guten Willen in die Befriedigung seines Meisters, dass es gesagt wurde, dass er "ausgebildet" wurde. Er hat einen Instinkt für unterwürfige Unterwerfung und ein Gespür für die Jagd, so wie er entwickelt wurde. Es ist jedoch festzustellen, dass es in Bezug auf bestimmte englische Rassen Stil und manchmal von Schnelligkeit in der Ausführung von Aufträgen oder im Bericht fehlt. Es missversteht die Art, wie er arbeitet. Er wurde noch nie in den Feldversuchen ausgewählt, um sich während der einen Viertelstunde, die den Test dauert, durch brillante Brillanz auszeichnen zu können, aber er wird gebeten, einen ganzen Tag lang ein gutes Tempo zu unterstützen. Wenn also die Setzer und Zeiger Athleten mit sehr gutem Widerstand sind, die in der Lage sind, ihre Sprints in Mittelstreckenrennen, den französischen Braques, auszudehnen, sind sie "Gründer", das heißt sie erweisen sich als sehr ausdauernd. In der Tat, wenn die Auswahl den Braque moderner schneller gemacht hat als die Braques von gestern, hat es den größten Teil seiner Rustikalität behalten.
Wie Jean Servier sagte, "vermittelt er den Eindruck, seine Kraft zu maximieren und für den Leistungsindex zu laufen", mit anderen Worten, er arbeitet mit Regelmäßigkeit und ohne Ermüdung. Sollten wir überrascht sein, für eine Rasse, die seit Jahrhunderten auf sehr fragmentiertem Terrain gejagt hat, das wir auf steinigen Böden, bei heißem und trockenem Wetter, in den Bergen gründlich erforschen mussten Der Höhenunterschied ist anspruchsvoller als die Anzahl der Kilometer?
Seine Haltestellen sind für ihre Festigkeit bekannt. Er weiß jedoch, wie er sich ins Spiel "versenken" kann, besonders nachdem sein Meister ihm den Befehl gegeben hat. Der französische Braque ist übrigens ein "galoppierender Traber", sein Galopp, geschmeidig und ökonomisch, häufig durch einen Trab unterbrochen; das Tier kann mehrere Male an den gleichen Stellen (oder fast) passieren, wenn es die Intuition hat, dass das Spiel nicht weit ist und dass es es wahrscheinlich wegfliegen lässt. Der französische Braque kann immer noch die verletzten Teile verfolgen und wiederherstellen und ist ein ausgezeichneter Retriever. Die überwiegende Mehrheit der Themen hat eine natürliche Beziehung; Es ist jedoch ratsam, (d) feste Haltestellen zu erhalten, bevor man nach dem Bericht fragt und die Haare nur einem Hund zurückbringen zu lassen, der vollkommen "routiniert" ist, weil der französische Braque das ideale Hilfsmittel für den Jäger ist, der nur besitzt "Ein einzelner Hund, es ist vor allem ein Stopphund. Es passt sich dem Spiel und den verschiedensten Territorien an.
Leicht auf dem Feld, rauh zur Aufgabe, angenehm zu Hause, seinen Meister verehrend, kann dieser Begleiter auch diskret sein, wenn die Situation es erfordert, und vor allem nicht sehr anspruchsvoll. Er kann ohne Sorgen in die Stadt gebracht oder alleine zu Hause gelassen werden. Ihre Trainingsbedürfnisse sind moderat im Vergleich zu denen anderer Jagdhunde, ungestüm und nervös. Er ist schließlich sehr geduldig und spielerisch mit Kindern und tolerant gegenüber Gleichaltrigen. |
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Braco Francés tipo Pirineos FCI Standard No. 134
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Origen
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Francia |
Traducción
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Federación Canófila Mexicana, A.C. |
Grupo
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Grupo 7 Perros de muestra |
Sección
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Sección 1.1 Perros de muestra continentales, tipo Braco |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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martes 18 enero 1955 |
Publicación del estándar oficial válido
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jueves 16 junio 2022 |
Última actualización
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jueves 11 agosto 2022 |
En français, cette race se dit
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Braque français type Pyrénées |
In English, this breed is said
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French Pointing Dog Pyrenean type |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Französischer Vorstehhunde typ Pyrenäen |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Franse braque type Pyrénées |
Utilizacion
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Perro de muestra. |
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Breve resumen historico
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El Braco Francés de talla pequeña, tipo « Pirineos » presenta las mismas proporciones y características de género del tipo « Gascuña », sólo que sus dimensiones son más reducidas y su estructura corporal más ligera. Las diferencias son las siguientes : |
Aspecto general
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Es un perro rústico, no pesado, pero suficientemente musculoso. Su piel es más estirada que la del tipo « Gascuña ». |
Facial region
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Trufa
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Color marrón, las ventanas bien abiertas. |
Belfos
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Los labios son menos caídos que los del tipo « Gascuña » o menos convexos. |
Orejas
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Insertadas por encima de la línea de los ojos, muy poco dobladas. La punta de la orejas debe alcanzar hasta dos centímetros antes del nacimiento de la trufa. |
Cuello
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Poca papada o ausencia de la misma. |
Cuerpo
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Línea inferior
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Menos descendido que en el tipo Gascuña. |
Cola
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Delgada, puede ser cortada o corta de nacimiento. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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Son más ligeros que en los del tipo Gascuña. |
Hombro
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Musculosos y medianamente oblicuos. |
Miembros posteriores
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Pies traseros
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Dedos cerrados. |
Manto
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Pelo
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Más fino y corto que en el del tipo Gascuña. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Macho 51 a 58 cm, hembra 49 a 56 cm. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas generales
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Apariencia general demasiado pesada o muy ligera.
Labios demasiado colgantes o delgados.
Ojos muy redondos por la exageración de los arcos cigomáticos y supraorbitales.
Orejas insertadas al nivel de la línea de los ojos, demasiado largas (rebasan el nacimiento de la trufa).
Vientre agalgado.
Pies aplastados. |
Faltas descalificantes:
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Perro agresivo o temeroso.
Nariz doble, trufa muy despigmentada.
Entropión, ectropión, manchas blancas en la base de los párpados.
Anurismo.
Sindactilia, polidactilia, adactilia. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Adiciones realizadas por los visitantes
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Directly descended from its taller cousin, the Grand Taille, the lively French Pyrenean Pointer has also been influenced by the Sabueso Espanol and an extinct variety of continental gundogs known as the Southern Hounds. This is a dedicated scenthound, bred to a consistent type since the 1600's. Smaller and more driven than the French Gascony Pointer, the Petite Taille is a resilient and tireless worker. Quite rare outside its native borders, the Braque Francais Type Pyrenees is still a popular tracking dog among French hunters. Trainable and even-tempered, it makes an agreable family companion. The coat is short, flat and smooth to the touch, either white with chestnut patches or white with brown mottling. Average height is around 20 inches. |
Historia detallada
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El tipo Braque más extendido hoy en Francia, el Braque francés es también el representante directo de las variedades más antiguas de perros. Desde principios de la Edad Media, de hecho, la caza es el pasatiempo favorito de los señores; y su propiedad, se podría decir, ya que un derecho de caza, que no existía ni en las leyes galo-romanas ni en la ley germánica de los francos, se estableció en el siglo VIII. El tipo más popular de caza en ese momento era la caza del gran juego en el bosque, con la ayuda de paquetes de perros comunes, a los que se añadieron otros, y galgos. La caza también se considera una verdadera escuela de valentía que prepara jóvenes "solteros" para la profesión de las armas.
El placer de la mesa no está, sin embargo, libre de las preocupaciones de la nobleza feudal, y, como tal, las aves de caza son particularmente populares. Pero también es el más difícil de tomar. Para atrapar a los pájaros, los señores tienen las redes en los lugares más llenos de juegos, una práctica conocida desde la Antigüedad pero que los cazadores de la Edad Media perfeccionaron al recurrir a los perros "vistiendo"; también usan halcones y perros "que llaman" para cazar, volar y eventualmente ayudar a los halcones a controlar aves de gran tamaño (como la garza). Como llaman perros o perros, los señores usan "Brachets", que son bastante parecidos a los perros comunes.
Algunos animales también están entrenados para cazar "tontos", es decir, le dan un juego a sus amos sin que sus ladridos los traicionen. Desde la caza silenciosa hasta la caza furtiva, solo hay un paso que algunas personas cruzan fácilmente, y si el derecho a cazar es estrictamente respetado en muchas áreas, "hay muchos lugares, como lo aclara Robert Delort. , medievalista de renombre y especialista en la historia de los animales, donde la caza es gratuita, especialmente desde la Península Ibérica hasta el norte de Italia, donde no se persigue la caza furtiva ". Por lo tanto, es muy natural en el sur de Europa que se desarrolle el Brachet, donde el señor no tiene la suerte de mantener paquetes grandes y donde el campesino rico puede poseer con impunidad, o casi, un perro de caza.
El Brachet se convierte así rápidamente en el Braque, un perro versátil que, por sus orígenes, es también perro que corre para correr la liebre, perro de guardia, perro que miente para la caza de las aves que el auxiliar del tirador entonces el arcabuz, finalmente el perro del cazador furtivo (el cazador furtivo es el que cura a los Braques, caza furtivo que significa cazar con los Braques).
Desde el siglo XIV, los cazadores agregan otro tipo de perro, el Spaniel, más especializado que el viejo Braques. Fue en este momento que las grandes tradiciones de caza comenzaron a ser codificadas y que los grandes señores toman para perros auxiliares cada vez más diversos. Como Gaston Phoebus, conde de Foix y señor de Béarn, los reyes de Francia y todos los grandes personajes del reino mantendrán, por lo tanto, varios centenares de perros de caza, incluidos los Braques franceses si juzgamos después de algunas pinturas del siglo XVIII. François Alexandre Desportes y Jean-Baptiste Oudry, que son el pintor oficial de los perros de Luis XIV y Luis XV sucesivamente, reproducen varias escenas de caza en las que se muestran retratos de perros Braque, mientras que Sélincourt, de 1683, describe el Braque como "un perro generalmente de tamaño bastante grande y formato robusto: cabeza grande, orejas largas, hocico cuadrado, nariz grande, labios colgantes, cuello grueso, bata blanca con manchas marrones". En una palabra: un braque típico francés.
Los Braques también son valiosos auxiliares para los pequeños cazadores, que son numerosos en el sur de Europa no solo porque la caza furtiva está poco reprimida, sino también porque la caza, debido a la falta de bosques, está allí. poco practicado. Esto explica por qué España, Italia y el sur de Francia retendrán las tres razas más antiguas de Braques, todas las cuales han conservado en su morfología ciertas características de los Brachets del pasado.
La Revolución Francesa, que permite a muchos ciudadanos acceder a la caza, luego la generalización de armas de fuego alentará la expansión de Braques en todo el país. En la primera mitad del siglo XIX, estos perros tenderán a regionalizarse; cada uno adaptado a su terroir; incluso si sus características aún se fijan superficialmente, especialmente en relación con las de Braques d'Anjou o las de razas creadas por cruces, como Braque Dupuy. Tomando el ejemplo de los primeros zootecnistas, los amantes de los perros tratan de estudiar las diferentes razas de perros, buscando atribuir a cada tipo de perro una región específica. Pero si este enfoque está completamente justificado con respecto al Braque du Bourbonnais, parece más cuestionable con respecto a Braque d'Auvergne o Braque de l'Ariège; también llamado Braque de Toulouse; que son ambos tipos del puntero francés, pero uno con un abrigo blanco y negro-azul, el otro con un vestido blanco, manchado con naranja.
En la segunda mitad del siglo pasado, el Braque francés sufrirá del entusiasmo de los criadores de perros franceses por las razas inglesas, y a principios del siglo XX los mejores ejemplares solo se encuentran en regiones donde la caza sigue siendo una tradición. . Además, en estos comienzos de la cinofilia, la distinción entre Braque francés y Braque "de país" no siempre es fácil de hacer. En su libro publicado a finales del siglo XIX, The Races of Dogs, A. Reul incluso llega a describir bajo el nombre "Braque de pays" el antiguo Braque francés: "La característica esencial es su gran tamaño con la consecuencia un cuadro muy fuerte y un peso muy alto. Sus extremidades son grandes, sus pies abiertos y anchos, su hocico ancho, su cabeza voluminosa y pesada, sus orejas muy fuertes y colgantes, su cola acortada. Este perro también es objeto de duras críticas. En un artículo publicado en L'Acclimatation en 1898, J. de Conynck, aunque reconoce que nació casi listo, encontró que el Braque francés es demasiado lento, mientras que Oberthur, unas décadas más tarde, no dudará en hablar de este perro al pasado: "Tenía una excelente nariz que mantenía su poder a través de la sequía y el calor, buenos ritmos, pero temía la picante y no le gustaba el agua. A veces tenía un diente duro y era más difícil de entrenar que nuestros Spaniels, cuya suavidad y flexibilidad tampoco tenía. "
No fue sino hasta el período de entreguerras, durante el cual los perros de los Pirineos y Gascones decidieron hacerse cargo de sus razas regionales en peligro de extinción, por lo que el Braque francés fue una vez más en el corazón de las preocupaciones de comer perros. El Dr. Castets, presidente y fundador del Club, dirige la cría del antiguo Braque francés; crianza que su padre comenzó en 1875; hacia un tipo levemente iluminado pero de buen tamaño, bastante cercano al tipo ancestral; pronto es seguido por Senac-Lagrange, otro gran conocedor de perros del sudoeste, que está buscando un tipo más pequeño, mucho más ligero, más capaz de soportar la comparación con los perros ingleses, cuya popularidad está en su apogeo. Por lo tanto, y sean cuales sean los esfuerzos de los cinófilos para adaptar el Braque francés al siglo XX y conducir así a una síntesis verdaderamente satisfactoria, dos tipos continuarán: Gascuña, más clásica, y los Pirineos, más modernos.
La raza no será más popular hasta ahora, y en los años sesenta, este perro está menos representado que su primo, el Braque d'Auvergne, muy superado por el puntero alemán. Poco a poco, sin embargo, y gracias al Dr. Servier, que define un "estándar de trabajo" destinado a aclarar el estilo "inherente" de este perro en los ensayos de campo, el braco francés está más interesado. En las exhibiciones, en primer lugar, los dos tipos (ahora sujetos a dos estándares) son mejor conocidos; Welder Rallie (tipo Gascony) y Sirex Arrieussecq (tipo Pirineos) serán dos destacados campeones; y en pruebas de campo posteriores, especialmente en los campos otoñales de tiro de juegos, muchos temas se destacan.
El Braque francés es un perro con un carácter muy dulce y sensible, hasta el punto de que algunos sujetos incluso pueden parecer tímidos. Lo que es seguro es que este animal no admite personas brutales y que siente muy mal castigo inmerecido o cambios de humor demasiado frecuentes en su maestro. El Braque francés no se parece en nada a un perro que está mecanizado, que "sube al botón" sin haber entendido primero lo que se espera de él.
También es cuando es un cachorro que es importante desarrollar su sociabilidad, acostumbrarlo a los ruidos, a la multitud, especialmente cuando, para que se convierta en un verdadero auxiliar, es necesario primero hazlo cómplice. Su maestro hará que realice los ejercicios necesarios antes de llevarlo a la caza, como caminar sin correa y recordar, pero, sobre todo, no dudará en felicitarlo si tiene éxito. El Braque francés se declara rápido y solo, siempre que tenga la oportunidad de usar su estilo. Pone tan buena voluntad en satisfacer a su maestro que se ha dicho que nació "entrenado". Él tiene un instinto de sumisión sumisa y un sentido de la caza tal como se desarrolló. Se puede encontrar, sin embargo, que carece de estilo con respecto a ciertas razas inglesas, y a veces de celeridad en la ejecución de órdenes o en el informe. Es un malentendido de la forma en que trabaja. Nunca ha sido seleccionado en los ensayos de campo para distinguirse por un deslumbrante brillo durante el cuarto de hora que dura la prueba, pero se le pide que apoye un buen ritmo durante todo el día. Por lo tanto, si los Setters y Pointers son atletas con una muy buena resistencia, capaces de extender sus sprints en carreras de media distancia, los Braques franceses son "fundadores", es decir demuestran ser muy duraderos. De hecho, si la selección ha hecho que el Braque sea más moderno que los Braques de antaño, ha conservado la mayor parte de su rusticidad.
Como señaló Jean Servier, "da la impresión de maximizar su fuerza y competir por el índice de rendimiento", en otras palabras, trabaja con regularidad y sin fatiga. Deberíamos sorprendernos, por una raza que durante siglos había cazado en terrenos muy fragmentados que tuvimos que explorar a fondo, en suelos pedregosos, en clima cálido y seco, en las montañas donde la diferencia de altitud es más exigente que la cantidad de kilómetros?
Sus paradas son conocidas por su firmeza. Sin embargo, él sabe cómo "hundirse" en el juego, especialmente después de que su maestro le haya dado la orden. El Braque francés, además, es un "trotamundos galopante", su galope, ágil y económico, frecuentemente interrumpido por un trote; el animal puede pasar varias veces en los mismos lugares (o casi) cuando tiene la intuición de que el juego no está lejos y que es probable que lo haga volar. El Braque francés todavía puede rastrear y recuperar las partes dañadas, y es un excelente retriever. La gran mayoría de los sujetos tienen una relación natural; Sin embargo, es recomendable (d) obtener paradas firmes antes de solicitar el informe y que el pelo solo se devuelva a un perro perfectamente "rutinario", ya que, si el puntero francés es el ayudante ideal para el cazador que solo posee 'un solo perro, es sobre todo un perro de parada. Se adapta al juego y a los territorios más diversos.
Fácil en el campo, rudo para la tarea, agradable en casa, venerando a su maestro, este compañero también sabe cómo ser discreto cuando la situación lo requiere, y especialmente no es muy exigente. Él puede ser llevado a la ciudad o quedarse solo en casa sin preocupaciones. Sus necesidades de ejercicio son moderadas comparadas con las de otros perros de caza, impetuosos y nerviosos. Finalmente es muy paciente y juguetón con los niños, y tolerante con sus compañeros. |
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Franse braque type Pyrénées FCI standaard nr. 134
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Land van oorsprong
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Frankrijk |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 7 Staande Honden |
Sectie
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Sektie 1.1 Continentale Staande Hond, type Braque |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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dinsdag 18 januari 1955 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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donderdag 16 juni 2022 |
Laatste update
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donderdag 11 augustus 2022 |
En français, cette race se dit
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Braque français type Pyrénées |
In English, this breed is said
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French Pointing Dog Pyrenean type |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Französischer Vorstehhunde typ Pyrenäen |
En español, esta raza se dice
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Braco Francés tipo Pirineos |
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Kort historisch overzicht
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De kleine Franse Braque, type "Pyrenees" heeft verhoudingsgewijs kleinere afmetingen en lichtere vormen, dezelfde algemene kenmerken als het type "Gascogne". Het verschilt alleen in de volgende punten : |
Algemeen totaalbeeld
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Hardy hond, maar niet zwaar genoeg gespierd. Huid strakker dan die van Gascogne. |
Facial region
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Neus
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Brown, neusgaten goed open. |
Lippen
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De lippen zijn dan in de Gascogne verlaagd of convex. |
Oren
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Ingevoegd boven de lijn van het oog, net gevouwen. De toppen van de oren moet stoppen op 2 cm van de neus. |
Hals
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Weinig of geen keelhuid. |
Lichaam
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Onderlijn en buik
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Belly beneden minder dan in de Gascogne. |
Staart
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Fijn, kunnen worden verkort of korte geboorte. |
Voorhand
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Algemeen
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Ze zijn lichter dan in de Gascogne. |
Schouders
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Gespierd en matig hellend. |
Achterhand
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Achtervoeten
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Tight. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Dunner en korter dan die van Gascogne. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Reuen 51 tot 58 cm, teven 49 tot 56 cm. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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General defecten
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Hond te zwaar of Superlight.
Lips te verlaagd of verwijderd.
Ogen rond te wijten aan de overdreven jukbeenderen en postorbital.
Oren in het oog te lang (het aanraken van de neus).
Buik opgetrokken.
Spreid voeten. |
Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of schuw.
Neus dubbele, truffel sterk depigmented.
Entropion, ectropion, depigmentatie van de oogleden bij de geboorte.
Tailless.
Syndactylie, polydactylie, adactyly. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Toevoegingen door bezoekers
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Directly descended from its taller cousin, the Grand Taille, the lively French Pyrenean Pointer has also been influenced by the Sabueso Espanol and an extinct variety of continental gundogs known as the Southern Hounds. This is a dedicated scenthound, bred to a consistent type since the 1600's. Smaller and more driven than the French Gascony Pointer, the Petite Taille is a resilient and tireless worker. Quite rare outside its native borders, the Braque Francais Type Pyrenees is still a popular tracking dog among French hunters. Trainable and even-tempered, it makes an agreable family companion. The coat is short, flat and smooth to the touch, either white with chestnut patches or white with brown mottling. Average height is around 20 inches. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Braque type meest wijdverspreid vandaag in Frankrijk, de Franse Braque is ook de directe vertegenwoordiger van de oudste stammen van honden. Vanaf de vroege Middeleeuwen is jagen inderdaad het favoriete tijdverdrijf van heren; en hun appanage zou je kunnen zeggen, aangezien een jachtrecht, dat noch in de Gallo-Romeinse wetten noch in de Germaanse wet van de Franken bestond, in de achtste eeuw werd opgericht. Het meest populaire type jacht in die tijd was de jacht op groot wild in het bos, met de hulp van pakken gewone honden waaraan anderen waren toegevoegd en windhonden. Jagen wordt ook beschouwd als een echte moedige school die jonge "bachelors" voorbereidt op het beroep van wapen.
Het plezier van de tafel is echter niet vrijgesteld van de zorgen van de feodale adel en als zodanig zijn wildvogels bijzonder populair. Maar het is ook het moeilijkst om te nemen. Om de vogels te vangen, hebben de heren dus de netten in de meest spelrijke plaatsen, een praktijk die al sinds de oudheid bekend is maar die de jagers uit de middeleeuwen hebben geperfectioneerd door hun toevlucht te nemen tot honden die "dragen"; ze gebruiken ook haviken en "roepende" honden om op wild te jagen, te vliegen en uiteindelijk de haviken te helpen grote vogels te besturen (zoals de reiger). Als roependehonden of honden gebruiken de heren "Brachets", die vrij dicht bij de gewone honden zijn.
Sommige dieren zijn ook getraind om op 'domme' jacht te jagen, dat wil zeggen dat ze wild aan hun baas aanbieden zonder dat hun geblaf hen verraadt. Van stille jacht tot stroperij, dus er is maar één stap die sommige mensen makkelijk kunnen oversteken, en als het recht om te jagen strikt gerespecteerd wordt in veel gebieden, "zijn er nog steeds veel plaatsen, zoals verduidelijkt Robert Delort , gerenommeerd middeleeuws en specialist in de geschiedenis van dieren, waar de jacht gratis is, vooral van het Iberisch schiereiland naar Noord-Italië, waar stropen niet wordt nagestreefd ". Het is dan ook heel natuurlijk in Zuid-Europa dat de Brachet zich zal ontwikkelen, waar de heer niet gelukkig genoeg is om grote pakketten te onderhouden en waar de rijke boer straffeloos of bijna een hond van kan bezitten. jacht.
De Brachet wordt zo snel de Braque, een veelzijdige hond die, door zijn oorsprong, ook hond is die hardloopt om de haas, de roepende hond, de hond die liegt voor de jacht op de vogels uit te laten dan de hulp van de schutter dan van de arquebusier, eindelijk stroperhond (de stroper is degene die de Braques geneest, stroperij betekent jagen met de Braques).
Vanaf de veertiende eeuw voegen jagers een ander type hond toe, de Spaniel, meer gespecialiseerd dan de oude Braques. Het was in deze tijd dat de grote tradities van de jacht werden gecodificeerd en dat de grote heren honden van hulporganisaties steeds diverser werden. Net als Gaston Phoebus, graaf van Foix en heer van Béarn, zullen de koningen van Frankrijk en alle grote karakters van het koninkrijk daarom honderden jachthonden houden, inclusief Franse Braques als we oordelen na enkele schilderijen uit de achttiende eeuw. François Alexandre Desportes en Jean-Baptiste Oudry, de officiële schilder van de honden van Lodewijk XIV en Lodewijk XV, reproduceren achtereenvolgens verschillende scènes van de jacht waar Brakhondportretten zijn, terwijl Sélincourt, van 1683, beschrijft de Braque als "een hond in het algemeen van vrij groot formaat en robuust formaat: groot hoofd, lange oren, vierkante snuit, grote neus, hangende lippen, dikke nek, witte jas met bruine vlekken". In één woord: een typische Franse braque.
De Braques zijn ook waardevolle hulpstoffen voor kleine jagers, die talrijk zijn in Zuid-Europa, niet alleen omdat stropen weinig wordt onderdrukt maar ook omdat de jacht, door gebrek aan bossen, er is. weinig geoefend. Dit verklaart waarom Spanje, Italië en het zuiden van Frankrijk de drie oudste Braques-rassen behouden, die allemaal in hun morfologie bepaalde kenmerken van de Brachets uit het verleden hebben behouden.
De Franse Revolutie, waardoor veel burgers toegang hebben tot de jacht, zal de generalisatie van vuurwapens de verspreiding van Braques in het hele land bevorderen. In de eerste helft van de negentiende eeuw zullen deze honden de neiging hebben om te regionaliseren; elk aangepast aan zijn terroir; zelfs als hun kenmerken nog steeds slechts oppervlakkig worden vastgesteld, met name wat betreft die van Braques d'Anjou of die van rassen die zijn gemaakt met kruisen, zoals Braque Dupuy. Met het voorbeeld van de eerste zoötechnici proberen hondenliefhebbers de verschillende hondenrassen te bestuderen en proberen ze aan elk type hond een specifieke regio toe te wijzen. Maar als deze benadering volledig gerechtvaardigd is met betrekking tot de Braque du Bourbonnais, lijkt het meer twijfelachtig met betrekking tot Braque d'Auvergne of Braque de l'Ariège; ook Braque de Toulouse genoemd; die beide typen van de Franse wijzer zijn, maar één met een witte en zwart-blauwe mantel, de andere met een witte jurk, gespikkeld met oranje.
In de tweede helft van de vorige eeuw leed de Franse Braque onder het enthousiasme van Franse hondenfokkers voor Engelse rassen en aan het begin van de 20e eeuw worden de beste onderwerpen alleen gevonden in gebieden waar de jacht een sterke traditie blijft. . Bovendien, in dit allereerste begin van de cynofilie, is het onderscheid tussen Franse Braque en Braque "van land" niet altijd gemakkelijk te maken. In zijn boek uitgegeven aan het einde van de negentiende eeuw, The Races of Dogs, gaat A. Reul zelfs zo ver dat hij de oude Franse Braque onder de naam "Braque de pays" beschrijft: "Het essentiële kenmerk is de grote omvang met de consequentie een zeer sterk frame en een zeer hoog gewicht. Zijn ledematen zijn groot, zijn voeten wijd en open, zijn snuit breed, zijn hoofd groot en zwaar, zijn oren erg sterk en bungelend, zijn staart korter. Deze hond is ook het onderwerp van scherpe kritiek. In een artikel gepubliceerd in L'Acclimatation in 1898, vond J. de Conynck, hoewel hij zag dat hij bijna klaar was, de Franse Braque veel te traag, terwijl Oberthur enkele decennia later niet aarzelt om te spreken van deze hond naar het verleden: "Hij had een uitstekende neus die zijn kracht behield door droogte en hitte, goede gangen, maar hij was bang voor kruidigheid en hield niet van water. Hij had soms een harde tand en was moeilijker te trainen dan onze Spaniels, wiens zachtheid en souplesse hij ook niet had. "
Het was pas in de interbellumperiode, waarin Pyrenese en Gascan-honden besloten om hun bedreigde regionale rassen in handen te nemen, zodat de Franse Braque opnieuw de kern was van hondenetende zorgen. Dr. Castets, president en oprichter van de Club, leidt het fokken van de oude Franse Braque; fokken die zijn vader in 1875 begon; naar een iets lichter maar redelijk formaat type, tamelijk dicht bij het voorouderlijke type; hij wordt al snel gevolgd door Senac-Lagrange, een andere grote kenner van Zuidwesterse honden, die op zoek is naar een kleiner, veel lichter type, dat beter in staat is om de vergelijking met de Engelse honden te ondersteunen, wiens mode dan op zijn hoogtepunt is. Dus, en ongeacht de inspanningen van cynofielen om de Franse Braque aan te passen aan de twintigste eeuw en daardoor tot een werkelijk bevredigende synthese te leiden, zullen er twee soorten doorgaan: de Gascogne, meer klassiek en de Pyreneeën, moderner.
Het ras zal tot nu toe niet populairder zijn, en in de jaren zestig is deze hond minder goed vertegenwoordigd dan zijn neef, de Braque d'Auvergne, zelf sterk overschreden door de Duitse wijzer. Beetje bij beetje echter, en dankzij Dr. Servier, die een 'standaard van werk' definieert die bedoeld is om de 'inherente' stijl van deze hond in de veldproeven te verduidelijken, is de Franse Braque meer geïnteresseerd. In de tentoonstellingen zijn in de eerste plaats de twee soorten (nu onderhevig aan twee standaarden) beter bekend; Welder Rallie (Gascogne type) en Sirex Arrieussecq (type Pyreneeën) zullen twee uitstekende kampioenen blijken te zijn; en in veldproeven later, vooral in de herfstvelden bij gamen, vallen veel onderwerpen op.
De Franse Braque is een hond met een zeer lief, gevoelig karakter, zodanig dat sommige onderwerpen zelfs verlegen lijken. Wat zeker is, is dat dit dier geen wrede mensen ondersteunt en dat hij zich erg slecht voelt als een onverdiende straf of te frequente stemmingswisselingen bij zijn meester. De Franse Braque is niets als een hond die gemechaniseerd is, dat iemand "de knop opheft" zonder eerst te hebben begrepen wat er van hem wordt verwacht.
Het is ook wanneer hij een puppy is dat het belangrijk is om zijn gezelligheid te ontwikkelen, om hem aan geluiden vertrouwd te maken, aan de menigte, vooral omdat, voor hem om een echte hulp te worden, het noodzakelijk is om maak er eerst een medeplichtige van. Zijn meester zal hem de nodige oefeningen laten doen voordat hij hem op jacht neemt, zoals wandelen zonder riem en terughalen, maar bovenal zal hij niet aarzelen om hem te feliciteren als hij succes heeft. De Franse Braque verklaart zichzelf snel en helemaal alleen, op voorwaarde dat hij de mogelijkheid heeft om zijn flair te gebruiken. Hij stelt zo'n goede wil in het bevredigen van zijn meester dat er is gezegd dat hij "als getraind" werd geboren. Hij heeft een instinct van onderdanige onderwerping en een gevoel van jagen, net zo ontwikkeld. Het kan echter worden gevonden dat het stijl mist met betrekking tot bepaalde Engelse races, en soms van snelheid in de uitvoering van orders of in het rapport. Het is een misverstand over de manier waarop hij werkt. Hij is nooit geselecteerd in de veldwedstrijden om zich tijdens het kwartier dat de test doorstaat te onderscheiden door een duizelingwekkende schittering, maar hij wordt gevraagd om een goed tempo een hele dag te ondersteunen. Dus, als de Setters en Pointers atleten zijn met een zeer goede weerstand, in staat om hun sprints uit te breiden op halve fondvluchten, de Franse Braques, zijn ze "grondleggers", dat wil zeggen ze blijken heel duurzaam te zijn. Inderdaad, als de selectie de Braque moderner heeft gemaakt dan de Braques van weleer, heeft het de meeste van zijn rusticaliteit behouden.
Zoals Jean Servier opmerkte, "geeft hij de indruk van het maximaliseren van zijn kracht en het werken voor de prestatie-index", met andere woorden, hij werkt met regelmaat en zonder vermoeidheid. Moeten we verbaasd zijn, voor een race die eeuwenlang had gejaagd op een zeer gefragmenteerd terrein dat we grondig moesten verkennen, op steenachtige gronden, bij heet en droog weer, in de bergen waar het hoogteverschil is veeleisender dan het aantal kilometers?
Zijn haltes staan bekend om hun stevigheid. Hij weet echter hoe hij "naar de game" moet "zinken", vooral nadat zijn meester hem de opdracht heeft gegeven. De Franse Braque is bovendien een "galopperende draver", zijn galop, soepel en zuinig, vaak onderbroken door een draf; het dier kan verschillende keren passeren op dezelfde plaatsen (of bijna) wanneer het de intuïtie heeft dat het spel niet ver is en dat het waarschijnlijk wegvliegt. De Franse Braque kan nog steeds de gewonde delen volgen en herstellen en is een uitstekende retriever. De overgrote meerderheid van onderwerpen heeft een natuurlijke relatie; Het is echter raadzaam om stevige stops te krijgen voordat u om het rapport vraagt en om het haar alleen terug te brengen naar een hond die perfect "routine" is, want als de Franse Braque de ideale hulp is voor de jager die alleen 'een enkele hond, het is vooral een stophond. Het past zich aan het spel en de meest uiteenlopende gebieden aan.
Makkelijk in het veld, ruig om te doen, aangenaam thuis, zijn meester vererend, deze metgezel weet ook hoe discreet te zijn wanneer de situatie dit vereist, en vooral niet erg veeleisend. Hij kan zonder zorgen naar huis worden gebracht of thuis alleen worden gelaten. Haar trainingsbehoeften zijn matig in vergelijking met die van sommige andere jachthonden, onstuimig en nerveus. Hij is eindelijk erg geduldig en speels met kinderen en tolerant ten opzichte van zijn leeftijdsgenoten. |