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Norwich Terrier Standard FCI Nº 72
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Origine
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Grande-Bretagne |
Traduction
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Valérie Degeeter / Version originale : (EN) |
Groupe
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Groupe 3 Terriers |
Section
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Section 2 Terriers de petite taille |
Epreuve
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Sans épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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samedi 16 octobre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mercredi 13 octobre 2010 |
Dernière mise à jour
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vendredi 15 juin 2012 |
In English, this breed is said
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Norwich Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Norwich Terrier |
En español, esta raza se dice
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Norwich Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Norwich Terrier |
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Bref aperçu historique
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Comme leurs noms l’indiquent, les Terriers de Norwich et Norfolk portent le nom du comté et de la ville éponymes, bien qu’au début et au milieu des années 1800, il n’existait pas de distinction, ces races étant tout simplement des chiens de ferme. Les Glen of Imaal terriers, Cairn Terriers rouges et Dandie Dinmont terriers sont à la base de ces terriers de la région d’Est-Anglie et la progéniture rouge qui en est résultée a donné naissance aux actuels Norwich et Norfolk Terriers. Un terrier bas sur pattes typique caractérisé par un corps compact et équilibré. Il était non seulement utilisé pour chasser des renards et blaireaux, mais également en tant que ratier. Il a une nature agréable, il est intrépide mais ne cherche pas à se quereller. Au travail, il fait face aux ennemis féroces souterrains. Le fait que le standard prescrit que ‘les cicatrices glorieuses, inévitables dues au travail’ ne peuvent être pénalisées, donne une bonne idée du type de chien. Le Norwich Terrier fut repris dans le Registre du Kennel Club en 1932. Les races étaient connues sous les noms ‘drop-eared’ Norwich Terrier (Terrier de Norwich aux oreilles tombantes) – maintenant connu en tant que Terrier de Norfolk – et ‘prick-eared’ Norwich Terrier (Terrier de Norwich aux oreilles droites). Les races furent séparées en 1964, la variété aux oreilles tombantes étant désormais désignée en tant que Terrier de Norfolk. |
Aspect général
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L’un des plus petits terriers. Bas sur pattes, chien ardent, ramassé et solide ; il a de la substance et de l’os. Les cicatrices glorieuses, inévitables dues au travail ne doivent pas être injustement pénalisées. |
Comportement / caractère
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De nature aimable et non querelleur, il est extrêmement actif et rustique de construction. Gai et intrépide. |
Tête
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Région crânienne
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Crâne
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Légèrement arrondi, large, de bonne largeur entre les oreilles. |
Stop
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Bien marqué. |
Région faciale
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Museau
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Cunéiforme et fort ; la longueur du museau est inférieure d’environ un tiers à la longueur de l’occiput à la partie inférieure du stop. |
Lèvres
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Bien serrées. |
Mâchoires et dents
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Les mâchoires sont nettes et fortes. Les dents sont fortes et assez grandes. Elles présentent un articulé en ciseaux parfait, c’est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées bien d’équerre par rapport aux mâchoires. |
Yeux
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Assez petits, de forme ovale, foncés, très expressifs, brillants et vifs. |
Oreilles
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Droites, bien écartées à l’attache au sommet du crâne. De taille moyenne et pointues à l’extrémité. Elles se tiennent parfaitement droites quand le chien est attentif. Elles peuvent être couchées en arrière dans le cas contraire. |
Cou
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Fort, de bonne longueur, en rapport avec un bon équilibre général du corps ; il s’insère harmonieusement dans les épaules bien obliques. |
Corps
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Généralité
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Compact. |
Ligne du dessus
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Horizontale. |
Dos
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Court. |
Rein
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Courts. |
Poitrine
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La cage thoracique est longue et bien cintrée. Bien descendue. |
Queue
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Auparavant la caudectomie était facultative. Queue coupée: Moyennement écourtée, attachée haut, terminant la ligne du dessus parfaitement droite ; elle est portée dressée. Queue non coupée: Queue de longueur modérée pour l’équilibre général du chien ; épaisse à la naissance et s’amenuisant vers l’extrémité ; aussi droite que possible, d’un port enjoué sans être extrêmement gai, terminant la ligne du dessus parfaitement droite. |
Membres antérieurs
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Coudes
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Contre le corps. |
Avant-bras
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Membres courts, puissants et droits. |
Métacarpe
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Ferme et d’aplomb. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Larges, forts et musclés. |
Grassets
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Bien angulé. |
Jarret
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Jarrets bien descendus; grande puissance de propulsion. |
Pieds
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Ronds, pourvus de bons coussinets ; pieds de chat. En station debout comme en action, les pieds sont bien dirigés vers l’avant. |
Allures
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Les membres antérieurs doivent se porter droit devant ; les postérieurs suivent la piste des antérieurs ; les jarrets sont parallèles ; leur flexion permet de découvrir les coussinets plantaires. |
Robe
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Qualité du poil
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Le poil est dur, « fil de fer » et droit, couché contre le corps ; le sous-poil est épais. Le poil est plus long et plus ébouriffé sur le cou, formant une collerette qui encadre la face. Le poil sur la tête et les oreilles est court et lisse, mis à part les sourcils et les légères moustaches. |
Couleur du poil
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Tout ton de rouge, froment, noir et feu ou grisonné. Les marques ou plages blanches (panachures) ne sont pas souhaitables. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Hauteur idéale au garrot est de 25 cm. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts entrainant l’exclusion
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Chien agressif ou peureux. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Un Terrier basset, c'est un Terrier écossais, dira-t-on à première vue. Or, les Terriers de Norfolk et de Norwich, eux, sont typiquement anglais. Mais, au fait, pourquoi distinguer ces deux chiens, qui ne diffèrent vraiment que par leur « coiffure »? Les oreilles du Norfolk sont tombantes alors que celles du Norwich sont dressées, mais cela justifie-t-il la reconnaissance de deux races? Sans doute en trouvera-t-on l'explication dans leur histoire.
A la fin du siècle dernier, dans les districts de Cambridge et de Norwich, dans le comté du Norfolk, existaient de petits Terriers de couleur feu, encore plus petits que la plupart des Terriers, lesquels, d'ordinaire, ne sont pas particulièrement des géants. Ils étaient utilisés pour chasser le renard et le blaireau. Ceux que possédait Fred Law, notamment, avaient acquis quelque réputation dans le pays, à tel point qu'il en céda quelques-uns à des équipages de chiens courant le cerf, notamment aux équipages de Jack Cooke et de Jodrel Hopkins. Cependant, malgré toute l'audace dont ces chiens pouvaient être dotés, il est peu probable qu'on leur demandait d'aider les Staghounds à poursuivre le renard ; ils devaient plutôt avoir pour mission de débarrasser les bâtiments de toute vermine et les environs des « puants ».
Un de ces maîtres d'équipage employait un certain Franck Jones, un sacré lascar, si l'on en juge par son surnom de Roughrider. Un jour, Roughrider Jones quitta son emploi de piqueux, mais il ne manqua pas d'emporter quelques-uns de ces petits Terriers feu auxquels il s'était attaché, entre autres un mâle nommé Rags, qui est considéré comme l’ancêtre des Norwich et Norfolk Terriers.
Pour obtenir Rags et ses semblables, on dit que Jones utilisa les chiens les plus divers : le Bedlington Terrier (qui n'avait pas encore son allure d'agneau mondain) et le Staffordshire Bull Terrier, mais encore un Terrier rouge, une sorte de petit Irish Terrier bas sur pattes, choisi parmi ceux qu'un Mr. « Doggy Lawrence vendait aux étudiants de Cambridge pour améliorer son ordinaire. Ce « cocktail » déjà très varié fut complété par plusieurs sujets provenant de l'élevage du colonel Vaughan of Ballybrick, établi dans le sud de l'Irlande. Le colonel avait peu à peu constitué sa lignée en croisant des Terriers typiquement irlandais, à savoir l'Irish Terrier et le Olen of Imaal Terrier, avec le Cairn (écossais, celui-là). Effectivement, ce qui allait devenir le Norwich-Terrier a une certaine ressemblance avec ce chien.
Jones cherchait les chiens de travail présentant à la fois le maximum d'efficacité et un volume le plus réduit possible, mais, en dehors de cela, l'homogénéité de ces chiens ne le préoccupait pas outre mesure. On peut cependant noter que, parmi tous les chiens qu'il a utilisés ou qu'il est censé avoir mis à contribution, nombreux sont ceux qui présentaient une robe fauve ou rouge, un pelage hirsute, une silhouette quelque peu à ras de terre.
Tels quels, les chiens de Jones devaient être déjà typés, car, dès le début du XXe siècle, on se mit à leur chercher un nom. Pour rendre hommage à l'ancien piqueux, on les appela « Jones Terrier ». Puis, après s'être souvenu que certains de leurs ancêtres fréquentaient l'université de Cambridge, on trouva que « Cantab Terrier » faisait plus original (Cantab est une abréviation de Cambrige, dans le langage universitaire), et, du fait qu'ils étaient alors très répandus dans le quartier de Trumpington, on proposa aussi « Trumpington Terrier ». Beaucoup de Terriers ont un nom qui a une résonance géographique, pourquoi pas celui-là?
La petite taille de ces braves et rustiques chiens était à l'origine de leur renommée de travailleurs, mais elle les rendait également fort intéressants comme chiens de compagnie. Pouvant jouer sur plusieurs registres, ils en profitèrent pour prospérer. Après la Grande Guerre, plusieurs éleveurs entreprirent d'en développer l'élevage, parmi lesquels Mrs. Phyllis Fagan, qui fut la première de la période « moderne » du Norwich (et du Norfolk, bien sûr), et dont tous les chiens descendaient de ceux produits par « Roughrider » Jones.
Ainsi rendus plus « présentables » sans pour autant avoir perdu leur naturel et leur rusticité, ces petits derniers de la famille Terrier se mirent à fréquenter les expositions, et c'est ainsi qu'ils parvinrent à se faire remarquer par le Kennel Club, qui, en 1932, décida de reconnaître la race sous le nom de Norwich-Terrier. À cette époque, le port des oreilles différait selon les sujets: certains les portaient pointues et dressées alors que d'autres les avaient bien tombantes contre les joues, mais les deux étaient admis ; une situation qui n'est pas courante pour une race et qui explique la suite des événements. Bientôt, en effet, une préférence se fit jour parmi les amateurs soit pour les oreilles tombantes, soit pour les oreilles érigées. Et, bien qu'on pût alors croiser des chiens à oreilles droites et à oreilles tombantes, beaucoup d'éleveurs optèrent pour l'un ou l'autre type. Ces chiens furent donc élevés comme deux races distinctes, même si tous se retrouvaient sur les mêmes rings d'exposition. Cette incohérence dura quelques décennies, au bout desquelles un accord intervint pour demander au Kennel Club de scinder la race en deux. Qu'à cela ne tienne, deux races, donc deux fois plus de récompenses, voilà qui ne pouvait faire que des heureux. A la grande exposition de Cruft, en février 1965, on créa des Challenge Certificates pour le tout « nouveau» Norfolk. A vrai dire, seule l'appellation Norfolk était nouvelle, et même pas tout à fait puisqu'elle restait assez voisine de la dénomination Norwich que conservaient les chiens à oreilles dressées. Quoi qu'il en soit, le Norfolk obtint un beau succès.
Le néophyte aura tendance à penser qu'il n'y a là rien d'extraordinaire. Voire. Stanley Dangerfield, un des plus éminents experts en Terriers, dit à propos de cette race, « qui n'existe officiellement que depuis trente ans et qui réussit à se scinder en deux variétés reconnues », qu'il « n'existe pas dans le monde canin d'autre exemple de la sorte » et que « les amateurs de cette race prétendent que le Norwich est sans égal à d'autres égards ».
Il est certain que ce Terrier, venu se joindre tardivement à ses « cousins », avait eu quelque difficulté à se faire une place enviable parmi eux. Cette scission représentait une sorte de coup publicitaire destiné à attirer sur lui l'attention des cynophiles et des spécialistes, et par contrecoup à lui procurer un surplus de popularité, et force est de reconnaître qu'elle a produit son effet : si, avant 1965, le Kennel Club enregistrait 400 naissances annuelles pour la race, dans les années suivantes, le Norfolk et le Norwich sont parvenus ensemble à presque 500 inscriptions, et, aujourd'hui, ce chiffre est de 650.
Si on les compare aux autres Terriers, le Norfolk et le Norwich sont loin des vedettes du groupe (Staffie, Westie, et, dans une moindre mesure, Bull-Terrier et Cairn), mais ils font mieux qu'un grand nombre d'autres bien connus (Bedlington, Irish, Kerry-Blue, Lakeland, Welsh ou Sealyham). Et, quand on remarque que le modeste et rustique Border Terrier enregistre maintenant 1 500 naissances par an, on peut, sans grand risque de se tromper, prédire aux Norfolk et Norwich une belle carrière. Le Norfolk a sans doute plus d'avenir que le Norwich, qui évoque peut-être un peu trop le Cairn (pour le grand public s'entend). Le Norfolk a une apparence plus originale que son frère, grâce à ses oreilles tombantes (et à un poil un tout petit peu moins long). Au surplus, on le dit plus docile.
Quand dame Nature, à la suite d'un moment d'inattention, oublie de donner à un individu une stature avantageuse, elle ne se fait pas faute de compenser ce léger inconvénient en dotant le malchanceux d'un surplus d'énergie. C'est bien ce qui s'est passé pour nos deux inséparables Norfolk et Norwich.
En effet, avec leurs 23 à 25 cm au garrot, les deux compères ne mesurent évidemment guère moins qu’un Cairn, mais, en poids, ils « rendent » au petit Ecossais 4 livres anglaises, soit 1 ,8 kg, différence qui, lorsqu'on prend un chien dans les bras, n'est pas négligeable. Mais attention! ce ne sont en aucun cas des miniatures : il faut savoir, par exemple, qu'ils pèsent le double du Yorkshire Terrier.
Pétulant, pétillant, vif-argent, ainsi peut-on qualifier le tempérament du Norwich et du Norfolk. Le standard de l'un d'entre eux emploie même le terme de « petit démon ». Il est vrai qu'ils se montrent en permanence joyeux et décidés à jouer. Cette personnalité extravertie les prépare à devenir pour les enfants d'excellents partenaires de jeux, qui se prêtent à toutes les facéties et escapades, mais qui ont un caractère suffisamment affirmé pour qu'on ne les prenne pas pour des jouets.
Un point important (surtout quand il s'agit de Terriers), justement souligné par les deux standards, est que leur vivacité ne tend jamais à se confondre en agressivité: ces chiens font preuve de tolérance envers leurs congénères et ne leur cherchent pas querelle. On remarquera aussi que si, assez généralement, leur comportement exubérant et sportif ne prédispose pas les Terriers à devenir citadins, le Norfolk et le Norwich sont de ceux qui peuvent s'adapter à la vie en appartement. Bien sûr, ils ne renonceront pas à leurs exigences d'exercices et de promenades, et, si on leur laissait le choix, ils préféreraient même certainement bénéficier d'un petit bout de jardin. Ils ont par ailleurs d'indéniables aptitudes à la garde de la maison et de la propriété, ne manquant jamais de signaler la venue de visiteurs ou un événement anormal. Quelles que soient leur taille et la nature de leur poil, on peut classer tous les Terriers en deux grandes catégories: les « sophistiqués » et les « naturels »
Le Norwich et le Norfolk appartiennent évidemment, comme le Border et le Cairn, par exemple, à la seconde. Leur silhouette ne doit rien à un quelconque toilettage. Leur robe, imperméable aux intempéries, ne nécessite qu'un bon coup de brosse de temps à autre, ce qui réduit d'autant le budget qu'il faut consacrer à leur entretien. Même en exposition, ils doivent rester « nature ». En Grande-Bretagne, on dit qu'ils doivent être no topping and tailing, c'est-à-dire qu'ils doivent avoir leurs ports de tête et de queue naturels, leur « handler » ne pouvant en aucun cas les assister pour les présenter sous leur meilleur jour. Bien que leur description officielle précise que d'éventuelles « glorieuses cicatrices » ne doivent pas les discréditer auprès des juges, il faut avouer qu'ils n'ont plus guère l'occasion d'exhiber leurs talents à la chasse sur et sous terre. Cependant, ils ont été sélectionnés pour le travail et sont « toujours capables de l'accomplir ». A l'occasion, s'ils peuvent gambader dans un coin de prairie, ils se feront un plaisir de détruire les rongeurs et se passionneront pour la chasse aux taupes et aux mulots.
Peu encombrants, très robustes, ne nécessitant pas d'entretien, accommodants, tolérants, on ne peut pas dire que le Norfolk et le Norwich réclament beaucoup d'attentions et de soins. Ils ne se font pourtant jamais oublier, grâce à leur caractère joyeux et déluré, affectueux et attentif. Vous êtes exigeant au point de rechercher un chien dont la grande présence à vos côtés ne vous cause pas le plus petit souci? Pourquoi ne pensez-vous pas à l'un ou l'autre de ces deux frères Terriers? Il vous faudra vraisemblablement patienter pour acquérir un Norwich (le Norfolk est presque introuvable en France), mais vous n'aurez pas à le regretter. |
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Norwich Terrier FCI Standard No. 72
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Origin
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Great Britain |
Group
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Group 3 Terriers |
Section
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Section 2 Small-sized Terriers |
Working
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Without working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Saturday 16 October 1954 |
Publication of the official valid standard
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Wednesday 13 October 2010 |
Last update
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Monday 10 January 2011 |
En français, cette race se dit
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Norwich Terrier |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Norwich Terrier |
En español, esta raza se dice
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Norwich Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Norwich Terrier |
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Brief historical summary
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The Norwich and Norfolk Terrier take their names, obviously, from the county and the city, though turning the clock back to the early and mid-1800s there was no such distinction, this being just a general farm dog. Glen of Imaals, red Cairn Terriers and Dandie Dinmonts are among the breeds behind these East Anglian terriers and from the resultant red progeny emerged the present Norwich and Norfolk Terrier. A typical short-legged terrier with a sound, compact body which has been used not only on fox and badger, but on rats as well. He has a delightful disposition, is totally fearless but is not one to start a fight. As a worker he does not give up in the face of a fierce adversary underground, and his standard’s reference to the acceptability of ‘honourable scars from fair wear and tear’ is a good indication of the type of dog. The Norwich Terrier was accepted on the Kennel Club Breed Register in 1932, and were known as the drop-eared Norwich Terrier (now known as the Norfolk Terrier) and prick-eared Norwich Terrier. The breeds were separated in 1964 and the drop-eared variety gained the name Norfolk Terrier. |
General appearance
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One of the smallest of the terriers. Low, keen dog, compact and strong with good substance and bone. Honourable scars from fair wear and tear not to be unduly penalised. |
Behaviour / temperament
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Lovable disposition, not quarrelsome, tremendously active with hardy constitution. Gay and fearless. |
Head
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Cranial region
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Skull
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Slightly rounded, wide, good width between ears. |
Stop
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Well defined. |
Facial region
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Muzzle
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Wedge-shaped and strong. Length about one third less than measurement from occiput to bottom of stop. |
Lips
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Tight-lipped. |
Jaws and teeth
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Jaws clean and strong. Rather large, strong teeth with perfect, regular scissor bite, i. e. upper teeth closely overlapping the lower teeth and set square to the jaws. |
Eyes
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Relatively small, oval-shaped, dark, full of expression, bright and keen. |
Ears
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Erect, set well apart on top of skull. Medium size with pointed tips. Perfectly erect when aroused, can be laid back when not at attention. |
Neck
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Strong of good length, commensurate with correct overall balance, flowing into well laid shoulders. |
Body
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Body
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Compact. |
Topline
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Level. |
Back
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Short. |
Loin
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Short. |
Chest
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Ribcage long and well sprung. With good depth. |
Tail
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Docking previously optional. Docked: Medium docked. Set on high, completing perfectly level topline. Carried erect. Undocked: Tail of moderate length to give a general balance to dog, thick at root and tapering towards tip, as straight as possible. Carried jauntily, not excessively gay, completing perfectly level topline. |
Forequarters
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Elbows
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Close to body. |
Forearm
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Legs short, powerful and straight. |
Pastern
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Firm and upright. |
Hindquarters
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Generality
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Broad, strong and muscular. |
Stifle
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Well turned. |
Hock
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Hocks low-set, with great propulsion. |
Feet
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Rounded, well padded and cat-like. Pointing straight forward standing and moving. |
Gait and movement
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Forelegs should move straight forward when travelling; hind legs follow in their track; hocks parallel and flexing to show pads. |
Coat
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Hair
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Hard, wiry, straight, lying close to body, thick undercoat. Longer and rougher on neck forming a ruff to frame face. Hair on head and ears short and smooth, except for slight whiskers and eyebrows. |
Colour
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All shades of red, wheaten, black and tan or grizzle. White marks or patches are undesirable. |
Size and weight
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Height at withers
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Ideal height at the withers: 25 cms. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy dogs. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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A Basset Terrier is a Scottish Terrier, they say at first sight. The Norfolk and Norwich Terriers are typically English. But, by the way, why distinguish these two dogs, which really differ only in their "hairstyle"? The ears of Norfolk are falling while those of Norwich are erect, but does this justify the recognition of two races? No doubt we will find the explanation in their history.
At the end of the last century, in the districts of Cambridge and Norwich, in Norfolk County, there were small fire-colored Terriers, still smaller than most Terriers, which usually are not particularly small. giants. They were used to hunt fox and badger. Those possessed by Fred Law, among others, had gained some reputation in the country, so much so that he ceded some of them to the crews of dogs running the deer, including the crews of Jack Cooke and Jodrel Hopkins. However, despite all the daring that these dogs could endure, it is unlikely that they would be asked to help the Staghounds to pursue the fox; rather, they were to rid the buildings of all vermin and the surroundings of the "stink".
One of these boatswain's men was employing a man named Franck Jones, a man of great reputation, if we judge him by his nickname Roughrider. One day, Roughrider Jones quit his stingy job, but he did not fail to carry some of these little fire-terriers to which he had attached himself, among others a male named Rags, who is considered the ancestor of Norwich and Norfolk Terriers.
To get Rags and his ilk, it is said that Jones used the most diverse dogs: the Bedlington Terrier (who did not yet look like a worldly lamb) and the Staffordshire Bull Terrier, but still a red Terrier, a kind of a small Irish Terrier on legs, chosen from among those a Mr. "Doggy Lawrence sold to Cambridge students to improve his ordinary. This already varied "cocktail" was completed by several subjects from the breeding of Colonel Vaughan of Ballybrick, established in the south of Ireland. The Colonel had gradually formed his lineage by crossing Irish Terriers, namely the Irish Terrier and the Olen of Imaal Terrier, with the Cairn (Scottish, that one). Indeed, what would become the Norwich-Terrier has some resemblance to this dog.
Jones was looking for working dogs with both the maximum efficiency and the smallest possible volume, but apart from that, the homogeneity of these dogs did not worry him too much. It may be noted, however, that of all the dogs he has used or is supposed to have used, many have a tawny or red coat, a shaggy coat, a somewhat low profile.
As it was, Jones's dogs had to be already typed, because from the beginning of the twentieth century, they began to look for a name. To pay homage to the former quintile, they were called "Jones Terriers". Then, after remembering that some of their ancestors attended Cambridge University, it was found that "Cantab Terrier" was more original (Cantab is an abbreviation of Cambrige, in the academic language), and, because they were then widespread in the Trumpington area, and "Trumpington Terrier" was also proposed. Many Terriers have a name that has a geographical resonance, why not that one?
The small size of these brave and hardy dogs was at the origin of their fame of workers, but it also made them very interesting as companion dogs. Being able to play on several registers, they took advantage of it to prosper. After the Great War, several pastoralists undertook to develop the breeding, among which Mrs. Phyllis Fagan, which was the first of the "modern" Norwich (and Norfolk, of course), and all of whose dogs came from those produced by "Roughrider" Jones.
Thus made more "presentable" without having lost their naturalness and their rusticity, these little ones of the Terrier family began to frequent the exhibitions, and that is how they managed to get noticed by the Kennel Club, which In 1932 he decided to recognize the race as the Norwich Terrier. At that time, the wearing of ears differed according to the subjects: some wore pointed and erect while others had fallen well against the cheeks, but both were admitted; a situation that is not common for a breed and explains the sequence of events. Soon, indeed, a preference was made among amateurs either for the falling ears or for the ears erected. And although dogs with straight ears and drooping ears could be seen, many breeders chose one or the other type. These dogs were bred as two separate breeds, although all were on the same show rings. This inconsistency lasted a few decades, after which an agreement was reached to ask the Kennel Club to split the breed in two. Never mind, two races, so twice as many rewards, that could only be happy. At the great Cruft exhibition in February 1965, Challenge Certificates were created for the "new" Norfolk. To tell the truth, only the Norfolk appellation was new, and not even quite so, since it was quite close to the Norwich name kept by dogs with erect ears. Be that as it may, Norfolk was a great success.
The neophyte will tend to think that there is nothing extraordinary. Voire. Stanley Dangerfield, one of the most prominent Terrier experts, says about this breed, "which has only officially existed for thirty years and is splitting into two recognized varieties," that it "does not exist in the canine world of another such example "and that" lovers of this breed claim that Norwich is unrivaled in other respects. "
It is certain that this Terrier, who came late to join his "cousins", had had some difficulty in finding an enviable place among them. This split was a sort of publicity stunt intended to attract the attention of dog and specialist dogs and, by extension, to give it a surplus of popularity, and it must be acknowledged that it produced its effect: if, before 1965 the Kennel Club registered 400 births per year for the breed, and in the following years Norfolk and Norwich together managed nearly 500 registrations, and today that number is 650.
Compared to other Terriers, Norfolk and Norwich are far from the band's stars (Staffie, Westie, and, to a lesser extent, Bull-Terrier and Cairn), but they do better than many others. well known (Bedlington, Irish, Kerry-Blue, Lakeland, Welsh or Sealyham). And when you notice that the modest and rustic Border Terrier now records 1,500 births a year, it's safe to predict Norfolk and Norwich a good career. Norfolk probably has more future than Norwich, which may be a bit too much of Cairn (for the general public). Norfolk has a more original appearance than his brother, thanks to his drooping ears (and a little hair a little shorter). Moreover, it is said to be more docile.
When Mother Nature, following a moment of inattention, forgets to give an individual an advantageous stature, she does not fail to compensate for this slight inconvenience by endowing the unlucky person with a surplus of energy. That's what happened to our two inseparable Norfolk and Norwich.
Indeed, with their 23 to 25 cm at the withers, the two friends do not measure much less than a Cairn, but, by weight, they "return" to the small Scots 4 pounds, or 1, 8 kg, difference that, when you take a dog in your arms, is not negligible. But beware! they are by no means miniatures: you have to know, for example, that they weigh twice the size of the Yorkshire Terrier.
Petulant, sparkling, quicksilver, so we can call the temperament of Norwich and Norfolk. The standard of one of them even uses the term "little demon". It is true that they are constantly happy and determined to play. This extroverted personality prepares them to become excellent games partners for the children, who lend themselves to all jokes and escapades, but who have a sufficiently strong character not to be mistaken for toys.
An important point (especially when it comes to Terriers), rightly emphasized by both standards, is that their liveliness never tends to be confused in aggressiveness: these dogs show tolerance towards their fellows and do not quarrel with them. It will also be noted that while, quite generally, their exuberant and sporty behavior does not predispose the Terriers to become city dwellers, Norfolk and Norwich are among those who can adapt to living in an apartment. Of course, they will not give up their demands for exercises and walks, and if given the choice, they would probably even prefer a little bit of garden. They also have undeniable ability to guard the house and property, never failing to report the arrival of visitors or an abnormal event. Whatever their size and the nature of their hair, we can classify all Terriers into two broad categories: "sophisticated" and "natural"
Norwich and Norfolk belong, of course, like the Border and the Cairn, for example, to the second. Their figure does not owe anything to any grooming. Their dress, weatherproof, requires only a good brush stroke from time to time, which also reduces the budget that must be spent on their maintenance. Even in exhibition, they must remain "nature". In Britain, they say they must be no topping and tailing, that is to say they must have their ports of head and tail natural, their "handler" can not under any circumstances assist them to present them in their best light. Although their official description states that any "glorious scars" should not discredit them with the judges, it must be admitted that they do not have much opportunity to show off their talents in the hunt on and underground. However, they have been selected for work and are "always able to do it". On occasion, if they can frolic in a corner of meadow, they will be happy to destroy rodents and will be passionate about hunting moles and field mice.
Small in size, very robust, maintenance-free, accommodating, tolerant, it can not be said that Norfolk and Norwich require much attention and care. However, they are never forgotten, thanks to their happy and relaxed nature, affectionate and attentive. You are so demanding that you look for a dog whose great presence at your side does not cause you the least concern? Why do not you think of one of these two Terrier brothers? You will probably have to wait to buy a Norwich (Norfolk is almost impossible to find in France), but you will not regret it. |
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Norwich Terrier FCI-Standard Nr. 72
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Ursprung
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Grossbritannien |
Übersetzung
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Herr Uwe Fischer, ergänzt und überarbeitet, Christina Bailey / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
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Gruppe 3 Terrier |
Sektion
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Sektion 2 Niederläufige Terrier |
Arbeitsprüfung
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Ohne Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Samstag 16 Oktober 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Mittwoch 13 Oktober 2010 |
Letzten Aktualisierung
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Freitag 16 März 2012 |
En français, cette race se dit
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Norwich Terrier |
In English, this breed is said
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Norwich Terrier |
En español, esta raza se dice
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Norwich Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Norwich Terrier |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Der Norwich und der Norfolk Terrier bekamen offensichtlich ihre Namen von dem Land und der Stadt, obwohl, wenn man die Uhr zu dem frühen und mittleren 18. Jahrhundert zurückdreht, da gab es keine solche Unterschiede, sondern sie waren einfach normale Farm Hunde. Glen of Imaals, Rote Cairn Terriers und Dandie Dinmonts sind unter den Rassen hinter diesen Ost Anglian Terriern und aus dem sich ergebenden roten Nachwuchs haben sich die heutigen Norwich und Norfolk Terriers entwickelt. Ein typischer kurz-beiniger Terrier mit einem gesunden, kompakten Körper, welcher nicht nur für Fuchs und Dachs aber auch für Ratten benutzt wurde. Er hat eine liebenswürdige Veranlagung, ist absolut furchtlos aber nicht streitsüchtig. Als Arbeitshund gibt er nicht auf im Angesicht eines bissigen Widersachers im Untergrund und der Verweis in seinem Standard auf die Akzeptierung von "Ehrenhaften, durch faire Arbeit erworbene, Narben" gibt einen guten Hinweis auf den Typ von Hund. Der Norwich Terrier wurde 1932 in das Kennel Club Rasse Register aufgenommen und war als Hängeohr Norwich Terrier (heute als Norforlk Terrier) und Stehohr Norwich Terrier bekannt. Die Rassen wurden 1964 getrennt und die Hängeohr Varietät bekam den Namen Norforlk Terrier. |
Allgemeines erscheinungsbild
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Einer der kleinsten Terrier. Tiefgestellter, schneidiger Hund, kompakt und kräftig, mit guter Substanz und starken Knochen. Narben, bei ehrlicher Arbeit erworben, sind ehrenhaft und sollten nicht übermässig bestraft werden. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Liebenswürdige Veranlagung, nicht streitsüchtig, unglaublich aktiv, von robuster körperlicher Konstitution. Fröhlich und furchtlos. |
Kopf
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Oberkopf
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Schädel
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Leicht gewölbt, breit, gute Weite zwischen den Ohren. |
Stop
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Ausgeprägt. |
Facial region
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Fang
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Kräftig, keilförmig. Der Fang ist ca. ein Drittel kürzer als der Schädel, dieser gemessen vom Hinterhauptbein zum unteren Ansatz des Stops. |
Lefzen
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Gut geschlossen. |
Kiefer / Zähne
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Kräftige Kiefer; Zähne stark und ziemlich gross; perfektes, regelmässiges Scherengebiss, wobei die obere Schneidezahnreihe ohne Zwischenraum über die untere greift und die Zähne senkrecht im Kiefer stehen. |
Augen
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Ziemlich klein, oval, dunkel. Audrucksvoll, leuchtend und forsch. |
Ohren
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Aufgerichtet, weit voneinander auf dem Oberkopf angesetzt. Mittelgross und spitz. Perfekt aufrecht, wenn sein Interesse geweckt ist, dürfen sie beim unaufmerksamen Hund zurückliegen. |
Hals
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Kräftig und mit guter Länge, im Einklang mit korrekter, ausgeglichener Gesamterscheinung, dabei harmonisch in gut gelagerte Schultern übergehend. |
Körper
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Allgemeinheit
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Kompakt. |
Obere Profil
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Gerade. |
Rücken
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Kurz. |
Lenden
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Kurz. |
Brust
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Rippenkorb lang, gut gewölbt mit guter Brusttiefe. |
Rute
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Kupieren der Rute früher freigestellt. Mittellang kupiert, hoch angezetzt, vervollständigt so perfekt die gerade Rückenlinie. Aufrecht getragen. Unkupiert: Rute von mässiger Länge, um dem Hund ein harmonisches Erscheinungsbild zu geben. Am Ansatz dick, sich zur Spitze verjügend, so gerade wie möglich, munter, aber doch nicht allzu « lustig » getragen, so die gerade Rückenlinie perfekt vervollständigend. |
Vorderhand
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Ellenbogen
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Gut am Körper anliegend. |
Unterarm
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Vorderläufe kurz, kraftvoll und gerade. |
Vordermittelfuss
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Fest und aufrecht. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Breit, kräftig und muskulös. |
Knie
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Gut gewinkelt. |
Sprunggelenk
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Hacken tiefstehend, mit grosser Schubkraft. |
Pfoten
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Rund, gut gepolstert und katzenähnlich. Im Stand und in der Bewegung absolut gerade nach vorne gerichtet. |
Gangwerk
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Vorderläufe sollten sich gerade nach vorne bewegen, Hinterläufe folgen deren Spur; Sprunggelenke parallel und sehr geschmeidig, damit die Ballen in der Bewegung sichtbar werden. |
Coat
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Haar
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Hart, drahtig und gerade, dicht am Körper anliegend, dickes Unterhaar. Am Hals ist das Haar rauher und länger und formt eine Mähne, welche das Gesicht einrahmt. Kurz und weich an Kopf und Ohren, mit Ausnahme von sehr wenig Barthaar und wenig ausgeprägten Augenbrauen. |
Farbe
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Alle Schattierungen von rot, weizenfarben, schwarz mit Loh oder grizzle. Weisse Abzeichen oder Flecken sind unerwünscht. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Ideal : 25 cm |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Disqualifizierende fehler
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Aggressive oder übermässig ängstliche Hunde. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Ein Basset Terrier ist ein schottischer Terrier, heißt es auf den ersten Blick. Die Norfolk und Norwich Terrier sind typisch englisch. Aber warum unterscheiden sich diese beiden Hunde, die sich wirklich nur in ihrer "Frisur" unterscheiden? Die Ohren von Norfolk fallen, während die von Norwich aufrecht sind, aber rechtfertigt dies die Anerkennung von zwei Rassen? Zweifellos werden wir die Erklärung in ihrer Geschichte finden.
Am Ende des letzten Jahrhunderts gab es in den Bezirken Cambridge und Norwich im Norfolk County kleine feuerfarbene Terrier, die immer noch kleiner waren als die meisten Terrier, die normalerweise nicht besonders klein sind. Riesen. Sie wurden benutzt, um Fuchs und Dachs zu jagen. Die Leute, die unter anderem von Fred Law besessen waren, hatten sich in dem Land einen guten Ruf erworben, so sehr, dass er einige von ihnen an die Besatzungen von Hunden abgab, die die Rehe führten, einschließlich der Crews von Jack Cooke und Jodrel Hopkins. Trotz all der Wagnisse, die diese Hunde ertragen können, ist es unwahrscheinlich, dass sie gebeten werden, den Staghounds zu helfen, den Fuchs zu verfolgen; vielmehr sollten sie die Gebäude von allem Ungeziefer und der Umgebung des "Gestanks" befreien.
Einer dieser Bootsmannsleute beschäftigte einen Mann namens Franck Jones, einen Mann von großem Ruf, wenn wir ihn nach seinem Spitznamen Roughrider beurteilen. Eines Tages gab Roughrider Jones seinen geizigen Job auf, aber er versäumte es nicht, einige dieser kleinen Terrier zu tragen, an die er sich selbst angeschlossen hatte, unter anderem ein Rüde namens Rags, der als der Vorfahre von Norwich gilt und Norfolk Terrier.
Um Rags und seinesgleichen zu bekommen, soll Jones die unterschiedlichsten Hunde benutzt haben: den Bedlington Terrier (der noch nicht wie ein weltliches Lamm aussah) und den Staffordshire Bull Terrier, aber immer noch einen roten Terrier, eine Art von ein kleiner irischer Terrier auf Beinen, ausgewählt aus denen, die Mr. Doggy Lawrence an Studenten in Cambridge verkaufte, um sein Gewöhnliches zu verbessern. Dieser bereits abwechslungsreiche "Cocktail" wurde von mehreren Sujets aus der Zucht von Colonel Vaughan aus Ballybrick, der im Süden Irlands angesiedelt ist, vervollständigt. Der Colonel hatte nach und nach seine Linie gebildet, indem er irische Terrier, nämlich den irischen Terrier und den Olen von Imaal Terrier, mit dem Cairn (schottisch, dieser) gekreuzt hatte. In der Tat, was der Norwich-Terrier werden würde, hat eine gewisse Ähnlichkeit mit diesem Hund.
Jones war auf der Suche nach Arbeitshunden mit maximaler Effizienz und kleinstmöglichem Volumen, aber die Homogenität dieser Hunde beunruhigte ihn nicht allzu sehr. Es ist jedoch anzumerken, dass von allen Hunden, die er benutzt hat oder haben soll, viele einen gelbbraunen oder roten Mantel haben, einen zottigen Mantel, ein etwas niedriges Profil.
So mussten Jones 'Hunde schon getippt werden, denn seit Anfang des 20. Jahrhunderts suchten sie nach einem Namen. Um das ehemalige Quintil zu ehren, wurden sie "Jones Terrier" genannt. Dann, nachdem sie sich daran erinnert hatten, dass einige ihrer Vorfahren die Universität von Cambridge besuchten, stellte sich heraus, dass "Cantab Terrier" origineller war (Cantab ist eine Abkürzung von Cambrige in der akademischen Sprache), und weil sie waren dann weit verbreitet in der Gegend von Trumpington und "Trumpington Terrier" wurde ebenfalls vorgeschlagen. Viele Terrier haben einen Namen, der eine geografische Resonanz hat, warum nicht dieser?
Die geringe Größe dieser tapferen und robusten Hunde war der Ursprung ihres Ruhms der Arbeiter, aber sie machte sie auch sehr interessant als Begleithunde. In der Lage zu sein, auf mehreren Registern zu spielen, nutzten sie, um zu gedeihen. Nach dem Ersten Weltkrieg unternahmen mehrere Hirten die Entwicklung der Zucht, unter Phyllis Fagan, das war das erste der "modernen" Norwich (und natürlich Norfolk), und alle ihre Hunde stammten von denen, die von "Roughrider" Jones produziert wurden.
So machten sie, ohne ihre Natürlichkeit und Rustikalität verloren zu haben, "vorzeigbar", und die Kleinen der Familie Terrier begannen, die Ausstellungen zu besuchen, und so gelang es ihnen, vom Kennel Club bemerkt zu werden, der Im Jahr 1932 entschied er sich, das Rennen als Norwich Terrier zu erkennen. Zu dieser Zeit unterschied sich das Tragen von Ohren nach den Themen: einige trugen spitz und aufrecht, während andere gut gegen die Wangen gefallen waren, aber beide wurden zugelassen; eine Situation, die für eine Rasse nicht üblich ist und den Ablauf der Ereignisse erklärt. Schon bald wurde unter Amateuren entweder auf die fallenden Ohren oder auf die aufgerichteten Ohren geachtet. Und obwohl Hunde mit geraden Ohren und hängenden Ohren zu sehen waren, wählten viele Züchter den einen oder anderen Typ. Diese Hunde wurden als zwei getrennte Rassen gezüchtet, obwohl alle auf den gleichen Ausstellungsringen waren. Diese Inkonsistenz dauerte einige Jahrzehnte, danach wurde eine Vereinbarung getroffen, den Kennel Club zu bitten, die Rasse in zwei Teile aufzuteilen. Macht nichts, zwei Rassen, also doppelt so viele Belohnungen, die nur glücklich sein könnten. Auf der großen Cruft-Ausstellung im Februar 1965 wurden Challenge-Zertifikate für das "neue" Norfolk erstellt. Um die Wahrheit zu sagen, war nur die Norfolk Appellation neu und nicht einmal ganz so, da es ziemlich nah an dem Norwich Namen war, der von den Hunden mit den aufgerichteten Ohren gehalten wurde. Wie dem auch sei, Norfolk war ein großer Erfolg.
Der Neophyt wird denken, dass es nichts Außergewöhnliches gibt. Voire. Stanley Dangerfield, einer der prominentesten Terrier - Experten, sagt über diese Rasse, "die nur seit dreißig Jahren offiziell existiert und sich in zwei anerkannte Sorten aufspalten kann," dass es "in der Hundewelt eines anderen solchen Beispiels "und dass" Liebhaber dieser Rasse behaupten, dass Norwich in anderer Hinsicht konkurrenzlos ist. "
Es ist sicher, dass dieser Terrier, der spät kam, um sich seinen "Cousins" anzuschließen, einige Schwierigkeiten hatte, einen beneidenswerten Platz unter ihnen zu finden. Diese Trennung war eine Art Werbegag, der die Aufmerksamkeit von Hunde- und Spezialhunden auf sich ziehen sollte und darüber hinaus einen Überschuß an Popularität hervorbrachte, und es muß anerkannt werden, daß sie ihre Wirkung entfaltete: wenn vor 1965 der Kennel Club registrierte 400 Geburten pro Jahr für die Rasse, und in den folgenden Jahren verwalteten Norfolk und Norwich zusammen fast 500 Registrierungen, und heute sind es 650.
Im Vergleich zu anderen Terriern sind Norfolk und Norwich weit entfernt von den Sternen der Band (Staffie, Westie und in geringerem Maße Bull-Terrier und Cairn), aber sie sind besser als viele andere. gut bekannt (Bedlington, Irisch, Kerry-Blue, Lakeland, Welsh oder Sealyham). Und wenn Sie bemerken, dass der bescheidene und rustikale Border Terrier jetzt 1.500 Geburten pro Jahr verzeichnet, ist es sicher, Norfolk und Norwich eine gute Karriere vorherzusagen. Norfolk hat wahrscheinlich mehr Zukunft als Norwich, was ein bisschen zu viel von Cairn sein kann (für die breite Öffentlichkeit). Norfolk hat eine originellere Erscheinung als sein Bruder, dank seiner hängenden Ohren (und ein wenig kürzeres Haar). Außerdem soll es fügsamer sein.
Wenn Mutter Natur nach einem Moment der Unaufmerksamkeit vergißt, einem Individuum eine vorteilhafte Statur zu geben, versäumt sie es nicht, diese kleine Unannehmlichkeit auszugleichen, indem sie dem unglücklichen Menschen einen Überschuß an Energie verleiht. Das ist mit unseren beiden untrennbaren Norfolk und Norwich passiert.
In der Tat, mit ihren 23 bis 25 cm im Widerrist, messen die beiden Freunde nicht viel weniger als ein Cairn, aber, nach Gewicht, "kehren" sie zu den kleinen Schotten 4 Pfund oder 1, 8 kg, Unterschied zurück, wenn du einen Hund in deinen Armen nimmst, ist das nicht zu vernachlässigen. Aber Vorsicht! Sie sind keineswegs Miniaturen: Man muss zum Beispiel wissen, dass sie doppelt so groß sind wie der Yorkshire Terrier.
Gereizt, funkelnd, quecksilbrig, so können wir das Temperament von Norwich und Norfolk nennen. Der Standard eines von ihnen verwendet sogar den Begriff "kleiner Dämon". Es ist wahr, dass sie ständig glücklich und entschlossen sind zu spielen. Diese extrovertierte Persönlichkeit bereitet sie darauf vor, ausgezeichnete Spielpartner für Kinder zu werden, die sich allen Witzen und Eskapaden hingeben, aber einen ausreichend starken Charakter haben, der nicht mit Spielzeug verwechselt werden darf.
Ein wichtiger Punkt (besonders in Bezug auf Terrier), der von beiden Standards zu Recht betont wird, ist, dass ihre Lebhaftigkeit bei Aggression niemals verwirrt wird: diese Hunde zeigen Toleranz gegenüber ihren Mitmenschen und streiten sich nicht mit ihnen. Es ist auch anzumerken, dass Norfolk und Norwich, obwohl ihr überschwängliches und sportliches Verhalten die Terrier generell nicht dafür anfällig macht, Stadtbewohner zu werden, zu denen gehören, die sich an das Leben in einer Wohnung anpassen können. Natürlich werden sie ihre Anforderungen an Übungen und Spaziergänge nicht aufgeben, und wenn sie die Wahl hätten, würden sie wahrscheinlich sogar ein bisschen Garten bevorzugen. Sie haben auch die unbestreitbare Fähigkeit, das Haus und das Eigentum zu bewachen, ohne jemals die Ankunft von Besuchern oder ein ungewöhnliches Ereignis zu melden. Unabhängig von ihrer Größe und der Art ihrer Haare können wir alle Terrier in zwei große Kategorien einteilen: "anspruchsvoll" und "natürlich".
Norwich und Norfolk gehören natürlich wie die Grenze und der Cairn zum zweiten. Ihre Figur schuldet keinerlei Pflege. Ihr Kleid, wetterfest, erfordert nur einen guten Pinselstrich von Zeit zu Zeit, der um den gleichen Geldbetrag reduziert, der für ihre Wartung ausgegeben wird. Sie müssen auch in der Ausstellung "Natur" bleiben. In Britannien sagen sie, dass sie kein Topping und Tailing haben dürfen, das heißt, sie müssen ihre Ports von Kopf und Schwanz natürlich haben, ihr "Handler" kann ihnen unter keinen Umständen helfen präsentiere sie in ihrem besten Licht. Obwohl ihre offizielle Beschreibung besagt, dass irgendwelche "glorreichen Narben" sie nicht bei den Richtern diskreditieren sollten, muss man zugeben, dass sie nicht viel Gelegenheit haben, ihre Talente bei der Jagd auf und unter Tage zu zeigen. Sie wurden jedoch für die Arbeit ausgewählt und sind "immer in der Lage, es zu tun". Gelegentlich, wenn sie in einer Ecke der Wiese herumtollen können, werden sie glücklich sein, Nagetiere zu zerstören, und werden leidenschaftlich über Maulwürfe und Feldmäuse jagen.
Klein, sehr robust, wartungsfrei, entgegenkommend, tolerant, kann nicht gesagt werden, dass Norfolk und Norwich viel Aufmerksamkeit und Sorgfalt erfordern. Sie werden jedoch nie vergessen, dank ihrer fröhlichen und entspannten Natur, liebevoll und aufmerksam. Du bist so anspruchsvoll, dass du nach einem Hund suchst, dessen große Präsenz an deiner Seite dir nicht die geringste Sorge bereitet? Warum denkst du nicht an einen dieser beiden Terrier-Brüder? Sie müssen wahrscheinlich warten, um ein Norwich zu kaufen (Norfolk ist fast unmöglich, in Frankreich zu finden), aber Sie werden es nicht bereuen. |
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Norwich Terrier FCI Standard No. 72
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Origen
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Gran Bretaña |
Traducción
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Brígida Nestler / Versión original : (EN) Supervisión Técnica : Miguel Ángel Martínez |
Grupo
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Grupo 3 Terriers |
Sección
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Sección 2 Terriers de talla pequeña |
Prueba de trabajo
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Sin prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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sábado 16 octubre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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miércoles 13 octubre 2010 |
Última actualización
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lunes 10 enero 2011 |
En français, cette race se dit
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Norwich Terrier |
In English, this breed is said
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Norwich Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Norwich Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Norwich Terrier |
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Breve resumen historico
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El Norwich y el Norfolk Terrier tomaron sus nombres, obviamente, del condado y ciudad. Retrocediendo el reloj hasta principios y mediados del 1800 no existían diferencias, era un perro común de granja. Glen of Imaal, Cairn Terrier rojos y Dandie Dinmonts están entre las razas detrás de este Terrier inglés del este y del resultante de la progenie roja emergió el presente Norwich y Norfolk Terrier. Un perro típico de extremidades cortas, con un cuerpo correcto y compacto que no sólo fue utilizado con zorros y tejones sino también con roedores. Tiene excelente disposición, es totalmente intrépido pero no es aquel que comienza una pelea. Como trabajador no claudica ante la fiereza de un adversario y su estándar hace referencia a que se aceptan "cicatrices honorables de deterioro y rasgaduras naturales" lo cual indica el tipo de perro. El Norwich Terrier fue aceptado por el Registro del Kennel Club en 1932 y fue conocido como el Norwich Terrier de orejas caídas (ahora conocido como Norfolk Terrier) y el Norwich Terrier de orejas erectas. Las razas fueron separadas en 1964 y la variedad de orejas caídas obtuvo el nombre de Norfolk Terrier. |
Aspecto general
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Uno de los terriers más pequeños. Es un perro astuto, de extremidades cortas, compacto y fuerte, con buena estructura y osamenta. Las cicatrices honorables resultantes del deterioro y rasgaduras naturales no deben ser injustamente penalizadas. |
Temperamento / comportamiento
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Uno de los perros terreros más pequeños. Cariñoso pero no pendenciero, tremendamente activo y de constitución robusta. Alegre y valiente. |
Cabeza
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Region craneal
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Cráneo
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Ancho y ligeramente redondeado, con buena amplitud entre las orejas. |
Depresión naso-frontal (stop)
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Bien definida. |
Facial region
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Hocico
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Fuerte y en forma de cuña (su longitud es inferior a un tercio de la distancia medida desde el occipital hasta la base de la depresión naso-frontal). |
Belfos
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Pegados. |
Mandíbulas / Dientes
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Maxilares fuertes y nítidos. Los dientes bastante grandes, fuertes, con dentadura sana, completa y mordida en tijera, es decir, que la cara interna de los incisivos superiores esté en contacto estrecho con la cara externa de los incisivos inferiores; los dientes deben estar colocados en ángulo recto en las mandíbulas. |
Ojos
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Relativamente pequeños, de forma ovalada, oscuros, llenos de expresión, brillantes y vivaces. |
Orejas
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Erectas, colocadas bien distantes entre sí sobre el cráneo. De tamaño mediano y terminadas en punta. Cuando el perro está excitado las lleva perfectamente erectas y las puede echar hacia atrás cuando no está atento. |
Cuello
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Fuerte y de buena longitud, en proporción con el equilibrio general del perro, y desciende armoniosamente hacia los hombros bien inclinados. |
Cuerpo
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Generalidad
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Compacto. |
Perfil superior
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Nivelada. |
Espalda
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Corto. |
Lomo
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Corto. |
Pecho
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Tórax largo y bien redondeado. Con buena profundidad. |
Cola
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La amputación de la cola anteriormente optativa. Amputación mediana : De implantación alta, completando una línea dorsal perfectamente nivelada. Llevada erecta. Sin amputación : Cola de largo moderado para darle al perro un equilibrio general, gruesa en la base y se afina hacia la punta, tan recta como sea posible, de porte vivo, pero no demasiado alegre, completando una línea dorsal perfectamente nivelada. |
Miembros anteriores
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Codo
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Pegados al cuerpo. |
Antebrazo
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Extremidades cortas, poderosas y rectas. |
Metacarpo
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Firmes y derechos. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Anchos, fuertes y musculosos. |
Rodilla
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Buena angulación. |
Corvejón
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Corvejones descendidos con gran capacidad de empuje. |
Pies
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Redondos, con almohadillas plantares gruesas y parecidos a los del gato. Dirigidos rectos hacia adelante cuando el perro se mueve o está parado. |
Movimiento
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Los miembros anteriores deben desplazarse hacia adelante en línea recta cuando el perro está en movimiento; las extremidades posteriores siguen la pisada de las anteriores; los corvejones son paralelos y se flexionan para mostrar las almohadillas. |
Manto
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Pelo
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Duro, de textura áspera, recto y bien pegado al cuerpo, con una capa de subpelo densa. Más largo y áspero en el cuello formando un collarín que enmarca la cara. El pelo en la cabeza y en las orejas es corto y liso, con excepción de unas leves cejas y bigote. |
Color
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Todas las tonalidades de rojo, trigo, negro y fuego o grisáceo. Las manchas o marcas blancas son indeseables. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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La altura ideal a la cruz es entre 25 cm. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas descalificantes:
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Perro agresivo o temeroso. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Un Basset Terrier es un Scottish Terrier, dicen a primera vista. Norfolk y Norwich Terriers son típicamente ingleses. Pero, por cierto, ¿por qué distinguir estos dos perros, que realmente difieren solo en su "peinado"? Las orejas de Norfolk están cayendo mientras que las de Norwich están erectas, pero ¿justifica esto el reconocimiento de dos razas? Sin duda encontraremos la explicación en su historia.
A finales del siglo pasado, en los distritos de Cambridge y Norwich, en el condado de Norfolk, había pequeños Terriers de color fuego, aún más pequeños que la mayoría de los Terriers, que generalmente no son particularmente pequeños. gigantes. Fueron utilizados para cazar zorros y tejones. Los poseídos por Fred Law, entre otros, habían ganado cierta reputación en el país, tanto que cedió algunos de ellos a las cuadrillas de perros que manejaban el venado, incluidas las tripulaciones de Jack Cooke y Jodrel Hopkins. Sin embargo, a pesar de toda la osadía que estos perros podrían soportar, es poco probable que se les pida que ayuden a los Staghounds a perseguir al zorro; más bien, debían eliminar los edificios de todas las alimañas y los alrededores del "hedor".
Uno de los contramaestres empleaba a un hombre llamado Franck Jones, un hombre de gran reputación, si lo juzgamos por su apodo Roughrider. Un día, Roughrider Jones renunció a su tacaño trabajo, pero no dejó de llevar algunos de estos pequeños terriers de fuego a los que se había atado, entre otros, un macho llamado Rags, que es considerado el antepasado de Norwich. y Norfolk Terriers.
Para conseguir a Rags y sus semejantes, se dice que Jones usó los perros más diversos: el Bedlington Terrier (que aún no parecía un cordero mundano) y el Staffordshire Bull Terrier, pero todavía era un Terrier rojo, una especie de un pequeño Terrier irlandés en las piernas, elegido entre los que un señor "Doggy Lawrence vendió a los estudiantes de Cambridge para mejorar su normalidad". Este ya variado "cóctel" fue completado por varios sujetos de la cría del Coronel Vaughan de Ballybrick, establecido en el sur de Irlanda. El Coronel había formado poco a poco su linaje cruzando Terriers irlandeses, a saber, el Terrier irlandés y el Olen de Imaal Terrier, con el Cairn (escocés, ese). De hecho, lo que se convertiría en el Norwich-Terrier tiene cierta semejanza con este perro.
Jones estaba buscando perros de trabajo con la máxima eficacia y el menor volumen posible, pero aparte de eso, la homogeneidad de estos perros no le preocupaba demasiado. Cabe señalar, sin embargo, que de todos los perros que usó o se supone que debe haber usado, muchos tenían un pelaje rojizo o rojo, un pelaje lanudo, un perfil algo bajo.
Tal como estaban las cosas, los perros de Jones tenían que estar escritos a máquina, porque desde el comienzo del siglo XX comenzaron a buscar un nombre. Para rendir homenaje al quintil anterior, se les llamó "Jones Terriers". Luego, después de recordar que algunos de sus antepasados asistieron a la Universidad de Cambridge, se descubrió que "Terrier Cantab" era más original (Cantab es una abreviación de Cambrige, en el lenguaje académico), y, debido a que luego se generalizaron en el área de Trumpington, y también se propuso "Trumpington Terrier". Muchos Terriers tienen un nombre que tiene resonancia geográfica, ¿por qué no ese?
El pequeño tamaño de estos perros valientes y resistentes fue el origen de su fama de trabajadores, pero también los hizo muy interesantes como perros de compañía. Al poder jugar en varios registros, lo aprovecharon para prosperar. Después de la Gran Guerra, varios pastores se comprometieron a desarrollar la cría, entre los cuales la Sra. Phyllis Fagan, que fue la primera del "moderno" Norwich (y Norfolk, por supuesto), y todos cuyos perros provienen de los producidos por "Roughrider" Jones.
Así, se hicieron más "presentables" sin perder su naturalidad y rusticidad, estos pequeños de la familia Terrier comenzaron a frecuentar las exposiciones, y así es como lograron hacerse notar por el Kennel Club, que En 1932 decidió reconocer la raza como el Norwich Terrier. En ese momento, el uso de orejas difería según los sujetos: algunos llevaban puntiagudos y erectos, mientras que otros habían caído bien contra las mejillas, pero ambos fueron admitidos; una situación que no es común para una raza y explica la secuencia de eventos. Pronto, de hecho, se hizo una preferencia entre los aficionados ya sea por las orejas caídas o por las orejas erigidas. Y aunque se podían ver perros con orejas rectas y orejas caídas, muchos criadores eligieron uno u otro tipo. Estos perros fueron criados como dos razas separadas, aunque todos estaban en los mismos anillos del espectáculo. Esta inconsistencia duró unas pocas décadas, luego de lo cual se llegó a un acuerdo para pedirle al Kennel Club que dividiera la raza en dos. No importa, dos carreras, el doble de recompensas, que solo podría ser feliz. En la gran exposición de Cruft en febrero de 1965, se crearon los certificados Challenge para el "nuevo" Norfolk. A decir verdad, solo la denominación de Norfolk era nueva, y ni siquiera así, ya que era bastante similar al nombre de Norwich que conservaban los perros con orejas erectas. Sea como fuere, Norfolk fue un gran éxito.
El neófito tenderá a pensar que no hay nada extraordinario. Voire. Stanley Dangerfield, uno de los expertos más prominentes de Terrier, dice acerca de esta raza, "que solo ha existido oficialmente durante treinta años y se está dividiendo en dos variedades reconocidas", que "no existe en el mundo canino de otro ejemplo "y que" los amantes de esta raza afirman que Norwich no tiene rival en otros aspectos ".
Es cierto que este Terrier, que llegó tarde para unirse a sus "primos", había tenido algunas dificultades para encontrar un lugar envidiable entre ellos. Esta división fue una especie de truco publicitario destinado a atraer la atención de perros y perros especialistas y, por extensión, para darle un excedente de popularidad, y debe reconocerse que produjo su efecto: si, antes de 1965 el Kennel Club registró 400 nacimientos por año para la raza, y en los años siguientes Norfolk y Norwich juntos administraron casi 500 registros, y hoy ese número es 650.
Comparado con otros Terriers, Norfolk y Norwich están lejos de las estrellas de la banda (Staffie, Westie, y en menor medida Bull-Terrier y Cairn), pero lo hacen mejor que muchos otros. bien conocido (Bedlington, irlandés, Kerry-Blue, Lakeland, Gales o Sealyham). Y cuando nota que el modesto y rústico Border Terrier ahora registra 1.500 nacimientos por año, es seguro predecir una buena carrera en Norfolk y Norwich. Norfolk probablemente tiene más futuro que Norwich, que puede ser un poco demasiado de Cairn (para el público en general). Norfolk tiene un aspecto más original que su hermano, gracias a sus orejas caídas (y un poco de pelo un poco más corto). Además, se dice que es más dócil.
Cuando la Madre Naturaleza, después de un momento de falta de atención, se olvida de darle al individuo una estatura ventajosa, no deja de compensar este pequeño inconveniente al otorgarle a la persona desafortunada un exceso de energía. Eso es lo que le sucedió a nuestros dos inseparables Norfolk y Norwich.
De hecho, con sus 23 a 25 cm a la cruz, los dos amigos no miden mucho menos que un mojón, pero, en peso, "vuelven" a los pequeños escoceses 4 libras, o 1, 8 kg, diferencia que, cuando tomas un perro en tus brazos, no es despreciable. ¡Pero cuidado! de ninguna manera son miniaturas: debe saber, por ejemplo, que pesan el doble del tamaño del Yorkshire Terrier.
Petulante, espumoso, mercurio, por lo que podemos llamar al temperamento de Norwich y Norfolk. El estándar de uno de ellos incluso usa el término "pequeño demonio". Es cierto que están constantemente felices y decididos a jugar. Esta personalidad extrovertida los prepara para convertirse en excelentes compañeros de juegos para niños, que se prestan a todos los chistes y escapadas, pero que tienen un carácter suficientemente fuerte como para no confundirse con los juguetes.
Un punto importante (especialmente cuando se trata de Terriers), enfatizado correctamente por ambos estándares, es que su vivacidad nunca tiende a confundirse con la agresividad: estos perros muestran tolerancia hacia sus semejantes y no riñen con ellos. También se observará que, si bien, en general, su comportamiento exuberante y deportivo no predispone a los Terriers a convertirse en habitantes de la ciudad, Norfolk y Norwich se encuentran entre los que pueden adaptarse a vivir en un apartamento. Por supuesto, no abandonarán sus demandas de ejercicios y caminatas, y si se les diera la opción, probablemente preferirían un poco de jardín. También tienen la capacidad innegable de proteger la casa y la propiedad, sin fallar en informar la llegada de visitantes o un evento anormal. Cualquiera que sea su tamaño y la naturaleza de su cabello, podemos clasificar a todos los Terriers en dos amplias categorías: "sofisticado" y "natural"
Norwich y Norfolk pertenecen, por supuesto, como la frontera y el mojón, por ejemplo, a la segunda. Su figura no le debe nada a ninguna preparación. Su vestimenta, resistente a la intemperie, solo requiere una buena pincelada de vez en cuando, lo que reduce la misma cantidad de dinero que se gastará en su mantenimiento. Incluso en exhibición, deben seguir siendo "naturaleza". En Gran Bretaña, dicen que no deben ser topping y tailing, es decir que deben tener sus puertos de cabeza y cola naturales, su "manejador" no puede bajo ninguna circunstancia ayudarlos a presentarlos en su mejor luz. Aunque su descripción oficial establece que las "cicatrices gloriosas" no deberían desacreditarlas con los jueces, debe admitirse que no tienen mucha oportunidad de mostrar sus talentos en la caza subterránea y subterránea. Sin embargo, han sido seleccionados para el trabajo y "siempre pueden hacerlo". En ocasiones, si pueden retozar en un rincón de la pradera, estarán felices de destruir roedores y les apasionará cazar topos y ratones de campo.
De tamaño pequeño, muy robusto, libre de mantenimiento, tolerante, tolerante, no se puede decir que Norfolk y Norwich requieran mucha atención y cuidado. Sin embargo, nunca son olvidados, gracias a su naturaleza feliz y relajada, afectuosa y atenta. ¿Estás tan exigente que buscas un perro cuya gran presencia a tu lado no te preocupe en lo más mínimo? ¿Por qué no piensas en uno de estos dos hermanos Terrier? Probablemente tengas que esperar para comprar un Norwich (Norfolk es casi imposible de encontrar en Francia), pero no te arrepentirás. |
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Norwich Terrier FCI standaard nr. 72
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Land van oorsprong
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Groot-Brittannië |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 3 Terriërs |
Sectie
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Sectie 2 Kleine en middelgrote Terriers |
Werkproef
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Zonder werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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zaterdag 16 oktober 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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woensdag 13 oktober 2010 |
Laatste update
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maandag 10 januari 2011 |
En français, cette race se dit
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Norwich Terrier |
In English, this breed is said
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Norwich Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Norwich Terrier |
En español, esta raza se dice
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Norwich Terrier |
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Kort historisch overzicht
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Zoals de namen al aangeven, zijn de Norfolk en Norwich Terriers genoemd naar de provincie en de gelijknamige stad, hoewel de vroege en midden van 1800, was er geen onderscheid, deze rassen zijn gewoon boerderij honden. De nauwe vallei van Imaal Terriers, Cairn Terriers Rood en Dandie Dinmont Terriers zijn de basis van deze holen van de Anglia-Oosten en de rode nakomelingen die resulteerde gaf aanleiding tot de huidige Norwich en Norfolk Terriers. Laag op typische terriër benen gekenmerkt door een compact en evenwichtig lichaam. Het werd niet alleen gebruikt voor de jacht op vossen en dassen, maar ook als een rattenvanger. Het heeft een aangenaam karakter, hij is onverschrokken, maar niet proberen om ruzie te maken. Op het werk, zag hij felle vijanden ondergronds. Het feit dat de norm vereist dat 'de glorieuze littekens zijn onvermijdelijk als gevolg van het werk' kan niet worden bestraft, geeft een goed idee van de aard van de hond. De Norwich Terrier werd opgenomen in het register Kennel Club in 1932. De races werden bekend onder de naam 'drop-eared "Norwich Terrier (Terrier Norwich hangende oren) - nu bekend als Norfolk Terrier - en" prik eared "Norwich Terrier (Terrier Norwich rechtopstaande oren). De rassen werden gescheiden in 1964, wordt de hangende oren ras nu aangewezen als een Norfolk Terrier. |
Algemeen totaalbeeld
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Een van de kleinste terriërs. Laag op de benen, hot dog, en pakte stevig, het heeft substantie en bot. De glorieuze littekens zijn onvermijdelijk als gevolg van de werkzaamheden mag niet onterecht worden gestraft. |
Gedrag en karakter (aard)
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Beminnelijke en niet twistziek natuur, is het uiterst actief en rustieke bouw. Homo en onverschrokken. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Schedel
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Licht afgeronde, brede, goede breedte tussen de oren. |
Stop
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Goed gemarkeerd. |
Facial region
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Voorsnuit
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Wigvormige en sterk, de lengte van de snuit is gelijk aan ongeveer een derde van de lengte van de achterhoofdsknobbel tot de onderste aanslag. |
Lippen
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Strak. |
Kiezen / tanden
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De kaken zijn scherp en sterk. De tanden zijn sterk en vrij groot. Ze hebben een perfect schaargebit, dat wil zeggen, de bovenste snijtanden overlappen de lagere in nauw contact en zijn recht in de kaak te stellen. |
Ogen
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Vrij klein, ovaal, donker, expressief, helder en sprankelend. |
Oren
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Rechte, behalve aan de top van de schedel. Middelgrote en wees op de tip. Ze staan perfect recht wanneer de hond attent. Ze kunnen anders worden terug gelegd. |
Hals
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Sterk, van goede lengte, met betrekking tot een goede algemene evenwicht van het lichaam, het past naadloos in de goed aangelegde schouders. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Compact. |
Bovenprofiel
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Horizontal. |
Rug
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Kort. |
Lendenpartij
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Kort. |
Borst
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De borst is lang en goed gewelfd. Goed laag. |
Staart
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Voordat docking was optioneel. Gedokt: Medium gedokt, hoog aangezet, eindigt de bovenste lijn perfect recht en wordt rechtop gedragen. Onbesneden pik: Staart van gemiddelde lengte aan het algemene evenwicht van de hond, dik bij de wortel en toelopend naar het einde, zo recht mogelijk, een speelse haven zonder extreem homo, het beëindigen van de toplijn perfect rechts. |
Voorhand
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Ellebogen
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Tegen het lichaam. |
Voormiddenvoet
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Sterk en schietlood. |
Achterhand
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Algemeen
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Breed, sterk en gespierd. |
Knie
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Goed gehoekt. |
Spronggewricht
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Hakken goed laag; grote voortstuwing. |
Voeten
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Ronde, goed gevuld, cat voeten. Statische als in actie, zijn de voeten naar voren wijzen. |
Gangwerk
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De voorbenen moeten recht vooruit, achter volg het spoor eerder, de benen zijn parallel, hun buiging aan de voetzolen te ontdekken. |
Coat
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Haarkwaliteit
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De vacht is hard, "draad" en rechts, liegen tegen het lichaam, de ondervacht is dik. Het haar is langer en ruches op de hals, de vorming van een kraag die frames het gezicht. Het haar op het hoofd en oren is kort en glad, met uitzondering van een lichte snorharen en wenkbrauwen. |
Haarkleur
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Elke schakering van rood, wheaten, black and tan of grizzle. Handelsmerken of witte stranden (bonte) zijn niet gewenst. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Ideale schofthoogte is 25 cm. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of schuw. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Een Basset Terrier is een Schotse terriër, zeggen ze op het eerste gezicht. De Norfolk en Norwich Terriers zijn typisch Engels. Maar trouwens, waarom deze twee honden te onderscheiden, die echt alleen verschillen in hun "kapsel"? De oren van Norfolk vallen terwijl die van Norwich rechtop staan, maar rechtvaardigt dit de herkenning van twee rassen? Ongetwijfeld zullen we de verklaring in hun geschiedenis vinden.
Aan het einde van de vorige eeuw waren er in de districten Cambridge en Norwich in Norfolk County kleine vuurrode Terriers, nog steeds kleiner dan de meeste terriërs, die meestal niet bijzonder klein zijn. reuzen. Ze waren gewend om op vos en das te jagen. Degenen die onder andere in het bezit waren van Fred Law hadden een reputatie opgebouwd in het land, tot het punt dat hij een aantal gaf aan hondenbemanningen die het hert runden, inclusief de bemanningen van Jack Cooke en Jodrel Hopkins. Ondanks alle durf die deze honden zouden kunnen verdragen, is het echter onwaarschijnlijk dat hen zou worden gevraagd om de Staghounds te helpen de vos te achtervolgen; in plaats daarvan moesten ze de gebouwen van alle ongedierte en de omgeving van de "stank" ontdoen.
Een van de mannen van deze bootsman had een man genaamd Franck Jones in dienst, een man van grote reputatie, als we hem beoordelen aan zijn bijnaam Roughrider. Op een dag hield Roughrider Jones op met zijn gierige baan, maar hij faalde om een paar van deze kleine vuurvliegers waaraan hij zich had gehecht, te dragen, onder andere een man genaamd Rags, die wordt beschouwd als de voorouder van Norwich. en Norfolk Terriers.
Om Rags en zijn soortgenoten te krijgen, wordt er gezegd dat Jones de meest uiteenlopende honden gebruikte: de Bedlington Terrier (die er nog niet uitzag als een werelds lamsvlees) en de Staffordshire Bull Terrier, maar nog steeds een rode terriër, een soort van een kleine Ierse Terriër op poten, gekozen uit die van een meneer. "Doggy Lawrence verkocht aan Cambridge-studenten om zijn alledaagse te verbeteren. Deze reeds gevarieerde "cocktail" werd aangevuld door verschillende onderwerpen uit de fokkerij van kolonel Vaughan uit Ballybrick, gevestigd in het zuiden van Ierland. De kolonel had geleidelijk zijn afstamming gevormd door het kruisen van de Ierse Terriërs, namelijk de Ierse Terriër en de Olen van Imaal Terrier, met de Cairn (Schots, die). Inderdaad, wat de Norwich-terriër zou worden, heeft enige gelijkenis met deze hond.
Jones was op zoek naar werkhonden met zowel de maximale efficiëntie en het kleinst mogelijke volume, maar afgezien daarvan maakte de homogeniteit van deze honden hem niet al te veel zorgen. Opgemerkt kan echter worden dat van alle honden die hij gebruikte of zou hebben gebruikt, velen een tawny of rode vacht hadden, een ruwharige vacht, een enigszins laag profiel.
Zoals het was, moesten de honden van Jones al getypt zijn, omdat ze vanaf het begin van de twintigste eeuw op zoek gingen naar een naam. Om eer te bewijzen aan het voormalige kwintiel, werden ze "Jones Terriers" genoemd. Toen, na te hebben herinnerd dat sommige van hun voorouders de universiteit van Cambridge bezochten, bleek dat "Cantab Terrier" origineler was (Cantab is een afkorting van Cambrige, in de academische taal), en omdat ze waren toen wijdverspreid in het gebied Trumpington, en "Trumpington Terrier" werd ook voorgesteld. Veel Terriers hebben een naam die een geografische resonantie heeft, waarom niet die?
De kleine omvang van deze dappere en sterke honden was de oorzaak van hun faam van arbeiders, maar het maakte hen ook zeer interessant als gezelschapshonden. Omdat ze in verschillende registers konden spelen, profiteerden ze ervan om te gedijen. Na de Grote Oorlog hebben verschillende veehouders zich ertoe verbonden om de fokkerij te ontwikkelen, waaronder Mevr. Phyllis Fagan, die de eerste was van de "moderne" Norwich (en natuurlijk Norfolk), en alle honden waarvan de honden afkomstig waren, werden geproduceerd door "Roughrider" Jones.
Aldus meer "presentabel" gemaakt zonder hun natuurlijkheid en hun rusticiteit verloren te hebben, begonnen deze kleintjes van de Terrier-familie de tentoonstellingen te bezoeken, en dit is hoe ze erin slaagden opgemerkt te worden door de Kennel Club, die In 1932 besloot hij de race te erkennen als de Norwich Terrier. In die tijd was het dragen van de oren verschillend naargelang de onderwerpen: sommige droegen spits en recht, terwijl anderen goed tegen de wangen waren gevallen, maar beiden werden toegelaten; een situatie die niet gebruikelijk is voor een ras en de volgorde van de gebeurtenissen verklaart. Al gauw werd er een voorkeur onder amateurs gesteld, hetzij voor de vallende oren, hetzij voor de oren die waren opgericht. En hoewel honden met rechte oren en hangende oren te zien waren, kozen veel fokkers voor het ene of het andere type. Deze honden werden gefokt als twee afzonderlijke rassen, hoewel ze allemaal op dezelfde show waren. Deze inconsistentie duurde enkele decennia, waarna overeenstemming werd bereikt om de Kennel Club te vragen het ras in tweeën te splitsen. Laat maar, twee races, dus twee keer zoveel beloningen, die alleen maar gelukkig kunnen zijn. Op de grote Cruft-tentoonstelling in februari 1965 werden uitdagingscertificaten gemaakt voor het 'nieuwe' Norfolk. Om de waarheid te zeggen, alleen de Norfolk-benaming was nieuw, en zelfs niet helemaal, omdat het tamelijk dicht bij de naam Norwich lag die werd gehouden door honden met rechtopstaande oren. Hoe dan ook, Norfolk was een groot succes.
De neofiet zal geneigd zijn te denken dat er niets buitengewoons is. Voire. Stanley Dangerfield, een van de meest vooraanstaande Terrier-experts, zegt over dit ras, "dat pas officieel dertig jaar bestaat en zich opsplitst in twee erkende variëteiten," dat het "niet bestaat in de hondenwereld van een ander voorbeeld van dergelijke "en dat" liefhebbers van dit ras beweren dat Norwich in andere opzichten ongeëvenaard is. "
Het staat vast dat deze Terrier, die te laat was om zich bij zijn 'neven en nichten' aan te sluiten, moeite had om een benijdenswaardige plaats onder hen te vinden. Deze splitsing was een soort van publiciteitsstunt die bedoeld was om de aandacht van honden en gespecialiseerde honden te trekken en bij uitbreiding het een surplus aan populariteit te geven, en er moet worden erkend dat het zijn effect teweegbracht: als vóór 1965 de Kennel Club registreerde 400 geboorten per jaar voor het ras, en in de daaropvolgende jaren hadden Norfolk en Norwich samen bijna 500 registraties en vandaag is dat aantal 650.
Vergeleken met andere Terriers, zijn Norfolk en Norwich ver verwijderd van de sterren van de band (Staffie, Westie en, in mindere mate, Bull-Terrier en Cairn), maar ze doen het beter dan vele anderen. bekend (Bedlington, Iers, Kerry-Blue, Lakeland, Welsh of Sealyham). En als je merkt dat de bescheiden en rustieke Border Terrier nu 1500 geboorten per jaar registreert, is het veilig om Norfolk en Norwich een goede carrière te voorspellen. Norfolk heeft waarschijnlijk meer toekomst dan Norwich, wat misschien een beetje te veel van Cairn is (voor het grote publiek). Norfolk heeft een originelere uitstraling dan zijn broer, dankzij zijn hangende oren (en een beetje kort haar). Bovendien wordt gezegd dat het meer volgzaam is.
Wanneer Moeder Natuur, na een moment van onoplettendheid, vergeet om een individu een voordelige status te geven, faalt ze om dit geringe ongemak te compenseren door de ongelukkige persoon een overschot aan energie te schenken. Dat is wat er gebeurde met onze twee onafscheidelijke Norfolk en Norwich.
Inderdaad, met hun 23 tot 25 cm bij de schoft meten de twee vrienden niet veel minder dan een Cairn, maar in gewicht "keren ze terug" naar de kleine Schotten 4 pond, of 1, 8 kg, verschil dat, wanneer je een hond in je armen neemt, is niet te verwaarlozen. Maar let op! het zijn in geen geval miniaturen: je moet bijvoorbeeld weten dat ze twee keer zo groot zijn als de Yorkshire Terrier.
Petulant, sprankelend, kwikzilver, dus we kunnen het temperament van Norwich en Norfolk noemen. De standaard van een van hen gebruikt zelfs de term "kleine demon". Het is waar dat ze constant blij en vastberaden zijn om te spelen. Deze extraverte persoonlijkheid bereidt hen voor om uitstekende spelpartners te worden voor de kinderen, die zich lenen voor alle grappen en escapades, maar die een voldoende sterk karakter hebben om niet voor speelgoed te worden aangezien.
Een belangrijk punt (vooral als het om Terriers gaat), terecht benadrukt door beide normen, is dat hun levendigheid nooit agressief verward wordt: deze honden tolereren hun medemensen en maken geen ruzie met hen. Het moet ook worden opgemerkt dat, hoewel over het algemeen, hun uitbundige en sportieve gedrag de Terriers niet predisponeert om stadsbewoners te worden, Norfolk en Norwich behoren tot degenen die zich kunnen aanpassen aan het leven in een appartement. Natuurlijk zullen ze hun eisen voor oefeningen en wandelingen niet opgeven, en als ze de keuze krijgen, zullen ze waarschijnlijk zelfs een beetje tuin verkiezen. Ze hebben ook onmiskenbare capaciteiten om het huis en de eigendommen te bewaken, nooit nalaten om de aankomst van bezoekers of een abnormale gebeurtenis te melden. Ongeacht de grootte en de aard van hun haar, we kunnen alle Terriers in twee grote categorieën indelen: "verfijnd" en "natuurlijk"
Norwich en Norfolk behoren natuurlijk, zoals de grens en de Cairn, bijvoorbeeld tot de tweede. Hun figuur is niets te danken aan enige verzorging. Hun kleding, weerbestendig, vereist van tijd tot tijd slechts een goede penseelstreek, waardoor het geld dat aan onderhoud moet worden uitgegeven met minder wordt verminderd. Zelfs in de tentoonstelling moeten ze "de natuur" blijven. In Groot-Brittannië zeggen ze dat ze geen topping en tailing moeten zijn, dat wil zeggen dat ze hun natuurlijke hoofd- en staarthavens moeten hebben, hun "handler" kan hen in geen geval helpen om presenteer ze in hun beste licht. Hoewel hun officiële beschrijving stelt dat eventuele "glorieuze littekens" hen niet in diskrediet mogen brengen bij de rechters, moet worden toegegeven dat ze niet veel gelegenheid hebben om hun talenten te laten zien in de jacht op en onder de grond. Ze zijn echter geselecteerd voor werk en zijn "altijd in staat om het te doen". Bij gelegenheid, als ze in een hoekje van de weide kunnen dartelen, zullen ze blij zijn knaagdieren te vernietigen en zullen ze gepassioneerd zijn over het jagen op mollen en veldmuizen.
Klein van formaat, zeer robuust, onderhoudsvrij, meegaand, tolerant, het kan niet gezegd worden dat Norfolk en Norwich veel aandacht en zorg vereisen. Ze worden echter nooit vergeten, dankzij hun blije en ontspannen aard, aanhankelijk en attent. U bent zo veeleisend dat u op zoek bent naar een hond wiens geweldige aanwezigheid aan uw zijde u niet het minste zorgen baart? Waarom denk je niet aan een van deze twee gebroeders Terrier? Je zult waarschijnlijk moeten wachten om een Norwich te kopen (Norfolk is bijna niet te vinden in Frankrijk), maar je zult er geen spijt van krijgen. |