Terrier irlandais

Standard FCI Nº 139

Origine
Irlande
Traduction
Prof. R. Triquet
Groupe
Groupe 3 Terriers
Section
Section 1 Terriers de grande et de moyenne taille
Epreuve
Sans épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
vendredi 28 janvier 1955
Publication du standard officiel en vigueur
mardi 13 mars 2001
Dernière mise à jour
vendredi 08 novembre 2002
In English, this breed is said
Irish Terrier
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Irischer terrier
En español, esta raza se dice
Terrier irlandés
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Ierse Terrier

Utilisation

Chien de ferme à tout faire, chien de compagnie, chien de garde montrant le plus grand mépris pour le danger et les blessures, chien de chasse à courre et à tir.

Bref aperçu historique

L'Irlande a produit quatre races de terriers et tous sont nettement différents des terriers du continent et d'Angleterre. Il est possible que le chien qui porte actuellement, de manière officielle, le nom de Terrier irlandais, soit le terrier le plus ancien d'Irlande, mais il y a si peu de faits authentifiés qu'il serait difficile d'apporter une preuve définitive. Avant les années 1880, la couleur du Terrier irlandais n'était pas fixée. En plus de la robe rouge, il y avait parfois des noir et feu et parfois des bringés. A la fin du 19ème siècle, on s'est efforcé d'éliminer de l'élevage les noir et feu et les bringés, de sorte qu'au 20ème siècle, tous les Terriers irlandais portaient la robe rouge. Ces Terriers irlandais à robe rouge firent bientôt leur apparition dans les expositions d'Angleterre et des Etats-Unis, où ils furent accueillis avec enthousiasme. Leur réputation s'accrut encore pendant la première guerre mondiale, où ils furent utilisés à la transmission des messages dans le bruit terrifiant et la confusion de la guerre des tranchées. Ils donnèrent alors la preuve de leur intelligence et de leur intrépidité. Le premier club de la race fut créé à Dublin le 31 mars 1879 et le Terrier irlandais fut le premier du groupe des terriers d'Irlande à être reconnu par le Kennel Club anglais, à la fin du 19ème siècle, en tant que race d'origine irlandaise.

Aspect général

Aspect d'un chien actif, vif, agile, tout en muscles et en nerfs, avec beaucoup de substance, mais en même temps sans lourdeur, la vitesse et l'endurance étant essentielles au même titre que la puissance. Il ne doit être ni grossier dans ses formes, ni cob. Les lignes de sa construction suggèrent la vitesse et offrent une silhouette élégante et racée.

Comportement / caractère

Le Terrier irlandais, tout en étant plein d'allant et capable de se faire respecter des autres chiens, est d'une fidélité remarquable. Il a bon caractère et il est affectueux avec les hommes, mais, s'il est attaqué, il a le courage du lion et combattra jusqu'au bout.
La réputation qu'a ce chien de se bagarrer avec d'autres y compris parfois dans le ring d'exposition est injustifiée. Bien que ce terrier puisse se montrer ardent quand les circonstances le demandent, le Terrier irlandais s'éduque facilement et c'est un doux compagnon méritant bien la description qu'on en a donnée au début : "sentinelle du pauvre, ami du paysan, favori de l'homme de qualité".

Tête

Région crânienne

Tête
Longue, exempte de rides.
Crâne
Plat et plutôt étroit entre les oreilles, devenant légèrement plus étroit vers les yeux. 
Stop
A peine visible, sauf de profil.

Région faciale

Truffe
Doit être noire.
Lèvres
Bien jointives et extérieurement de couleur presque noire.
Mâchoires et dents
Mâchoires : Doivent être fortes, musclées et de longueur suffisante pour être redoutables.
Dents : Doivent être fortes, régulières, saines. Les incisives supérieures recouvrent légèrement les inférieures.
Joues
Pas trop chargées. La région située sous l'oeil doit être légèrement déclive pour éviter l'aspect greyhound.
Yeux
De couleur foncée, petits, non proéminents et pleins de vie, de feu et d'intelligence. L'oeil jaune ou clair est un défaut grave.
Oreilles
Petites, en forme de "V", d'épaisseur modérée, bien attachées sur la tête et tombant en avant tout contre les joues. La ligne supérieure de l'oreille pliée doit être bien au desssus du niveau du crâne. L'oreille qui pend sur le côté de la tête comme celle d'un chien courant est atypique chez le terrier irlandais, et l'oreille semi-dressée est un défaut encore plus grave. Le poil de l'oreille doit être court et plus foncé que sur le corps.

Cou

Doit être de bonne longueur et s'élargir graduellement vers les épaules, bien porté, exempt de fanon. Il y a généralement une sorte de légère collerette de chaque côté du cou, montant presque jusqu’à l'oreille.

Corps

Généralité
Doit être bien proportionné, ni trop long ni trop court.
Dos
Doit être fort et droit, sans manquer le moins du monde de fermeté derrière les épaules.
Rein
Musclé et très légèrement voussé. Le rein peut être légèrement plus long chez la femelle que chez le mâle.
Poitrine
Haute et musclée, mais ni en plein cintre ni large.
Côtes
Les côtes sont assez bien cintrées, plutôt bien descendues que rondes et bien développées vers l'arrière.

Queue

Doit être attachée assez haut, portée gaiement, mais pas sur le dos ni enroulée. Elle doit être suffisamment forte et avoir de la substance ; elle est assez longue. La coutume est de couper la queue de façon à laisser deux tiers de sa longueur d’origine. Elle est bien couverte de poils rudes et ne porte ni frange ni poils longs. La queue naturelle (non coupée) n’est admise que dans les pays où la caudectomie est interdite par la loi.

Membres

A l'avant comme à l'arrière, les membres doivent se porter droit devant.

Membres antérieurs

Epaules
Doivent être fines, longues et inclinées.
Coudes
Ils jouent librement sans être gênés par les côtes.
Avant-bras
Modérément longs, parfaitement droits, avec une forte ossature et très musclés.
Métacarpe
Courts et droits, à peine perceptibles.
Pieds antérieurs
Doivent être forts, passablement ronds et modérément petits. Les doigts cambrés ne sont tournés ni en dehors ni en dedans. Les ongles noirs sont très recherchés. Les coussinets sont sains et ne présentent ni crevasses ni excroissances cornées.

Membres postérieurs

Généralités
Doivent être forts et musclés.
Cuisses
Puissantes.
Grassets
Modérément angulés.
Jarret
Près du sol.
Pieds postérieurs
Doivent être forts, passablement ronds et modérément petits. Les doigts cambrés ne sont tournés ni en dehors ni en dedans. Les ongles noirs sont très recherchés. Les coussinets sont sains et ne présentent ni crevasses ni excroissances cornées.

Allures

Les membres antérieurs et postérieurs se portent droit devant et sont parallèles. Les coudes se meuvent parallèlement à l'axe du corps et jouent librement sans être gênés par les côtes. Les grassets ne sont tournés ni en dedans ni en dehors.

Robe

Qualité du poil
Doit être dense et "fil de fer" de texture, d'aspect brisé mais pourtant couché à plat. Les poils sont si fortement serrés que, lorsqu'on les sépare avec les doigts, on ne peut pas voir la peau. Le poil ne doit être ni mou ni soyeux et n'est pas long au point de cacher les contours du corps, en particulier aux postérieurs. Il ne forme ni mèches ni boucles. Le poil de la face est de même type, mais court (environ trois quarts de centimètre), presque lisse et droit. Une légère barbe est le seul poil long qui soit admis (et il n'est long que par comparaison avec le reste); c'est une caractéristique de la race.
Une barbe semblable à celle d'une chèvre évoque généralement la présence de poils soyeux et de mauvaise qualité répartis dans le pelage. Membres exempts de franges et couverts, comme la tête, d'un poil d'une texture aussi dure que sur le corps, mais moins long.
Couleur du poil
Doit être unicolore, rouge, froment rouge ou rouge jaune. Le blanc apparaît parfois sur le poitrail. Il arrive fréquemment qu'un peu de blanc apparaisse dans toutes les races unicolores.

Taille et poids

Hauteur au garrot
Approximativement 18 pouces (45 cm).
Poids
27 livres anglaises (12,25 kg) chez le mâle, 25 livres anglaises (11,4 kg) chez la femelle.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts entrainant l’exclusion

 Chien agressif ou chien peureux.
 Toute truffe autre que noire.
 Prognathisme prononcé, inférieur ou supérieur.
 Toute autre couleur que rouge, rouge-jaune ou froment-rouge, une petite tache blanche sur le poitrail est admise, comme chez d'autres races unicolores.
 Pieds : présence d'excroissances cornées ou de crevasses sur les coussinets.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

C'est sans doute pour mieux faire contraste avec les verts pâturages de son pays que le Terrier Irlandais a revêtu une rouge pelisse. Ce fier « rouquin », qui passe pour être le « casse-cou » de l'espèce canine, n'a certes jamais prétendu à la discrétion, et il peut donc paraître étonnant qu'il n'ait pas dévoilé davantage ses origines. En effet, si on le considère généralement comme un chien très ancien « ayant toujours vécu en Irlande », cette thèse n'est assortie d'aucun élément historique précis.

Il est vrai que nous n'en savons pas davantage sur la plupart des Terriers. L'aristocratie, dans les îles Britanniques comme en beaucoup d'autres endroits, s’étant arrogé la possession des chiens courants, des Epagneuls, des Lévriers et des mâtins de forte race, il ne restait au peuple, pour chasser, que les Terriers, chiens « bons à tout faire », peu encombrants, ne coûtant guère, braves et solides. Evidemment, les annales de l'Histoire ne se sont pas préoccupées, sauf exception, de transmettre à la postérité les exploits de ces chiens modestes.

Quant aux premiers cynophiles anglais, ils ignoraient à peu près tout de la richesse canine irlandaise. Ainsi, Thomas Pearce, qui écrivit en 1872 sous le pseudonyme d'Idstone le traité le plus complet de son époque sur les différentes races de chiens, ne mentionna pas l'Irish Terrier. A part le gigantesque et légendaire Irish Wolfhound, qu'on ne pouvait évidemment passer sous silence, on considérait que la verte Erin n'abritait qu'une foule de chiens bâtards. Il faudra d'ailleurs attendre 1922 pour que le Kerry-Blue Terrier apparaisse dans les expositions anglaises, 1943 pour que le Soft Coated Wheaten Terrier franchisse à son tour la mer d'Irlande. Quant au Glen of Imaal, bien que reconnu par le Kennel Club britannique depuis 1975, il n'est guère sorti de son pays d'origine.

Tous ces chiens typiquement irlandais chassaient pourtant depuis des siècles les renards et autres animaux dits « nuisibles », les lapins, voire les sangliers. Il est bien difficile, encore aujourd'hui, de préciser les liens de parenté entre ces races, et plus encore de décider quel est celui qui, le plus proche d'un type originel, serait l'ancêtre des autres. On peut cependant penser que l'Irish Terrier est plutôt originaire du sud-est de l'Irlande, notamment du comté de Cork, ainsi que des environs de Ballymena, dans le Nord.

C'est peu après 1870 que l'on s'avisa de sélectionner les premiers Terriers d'Irlande, une tâche tout à fait nécessaire à l'approche de l'exposition qui devait se tenir à Dublin en 1874. Pas moins d'une cinquantaine de sujets y furent présentés, mais ils étaient de types très variés, et plusieurs, même, avaient sans aucun doute usurpé la dénomination de Terriers. Il faut préciser que la cynophilie balbutiait alors, et pas seulement en Irlande, ce qui explique que tout ce qui concernait les noms de races, les pedigrees, les classes d'expositions paraît aujourd'hui assez fantaisiste. A Dublin, donc, le groupe des Irish Terriers avait été scindé en deux classes : d'un côté ceux pesant moins de 4 kilos (9 livres), de l'autre ceux pesant davantage. Le gagnant de la classe ouverte accusait, quant à lui, 14 kilos sur la balance. Dans le domaine des coloris, on constatait une semblable diversité, puisqu'on put par exemple noter la présence d'un spécimen entièrement blanc, mais il y avait aussi des roux, des froment, des noir et feu, des bringés.

Il fallut donc mettre de l'ordre parmi cette multitude, et dès l'année suivante, en particulier à l'exposition de Lisburn, ces efforts se révélèrent bénéfiques. Cette année-là, également, on remarqua la prestation des meilleurs sujets à Glasgow, et, en 1876, la race fut jugée digne d'une inscription séparée dans une exposition anglaise (à Bristol). A partir de 1879, ce chien se trouva définitivement lancé dans le monde cynophile avec la création de l'Irish Terrier Club. La sélection des sujets les plus typés, de la couleur désirée, avança alors rapidement, et, même s'il y eut encore quelques controverses, notamment à propos de leur taille, le premier standard fut bientôt défini.

Les premiers supporters de l'Irish Terrier avaient certainement apprécié la parution, en 1881, de l'ouvrage de Vero Shaw, The Illustrated Book 0f the Dog, qui contribuait à sa renommée en le dépeignant sous les traits les plus flatteurs. A lire ce portrait, tracé par Mr. W. Krehl, l'Irish Terrier était vraiment un chien quasiment universel, capable d'égaler de nombreuses races dans leur spécialité. Naturellement, comme terrier, c'était un ratier émérite, un valeureux chasseur de loutres, de blaireaux, de renards, mais il se révélait également fort utile à tout chasseur au fusil, broussaillant aussi énergiquement qu'un Spaniel, lapinier hors pair, mais encore retriever, également à l'aise sur terre et dans l'eau. Dans la cour de ferme ou dans le jardin, ce gardien vigilant était incorruptible et inaccessible à la peur. Enfin, dans la maison, il devenait un chien très doux, profondément attaché à ses maîtres. L'auteur ; anglais ; de tels éloges risquait de se voir contredire par ses compatriotes, qui, grands amateurs de Terriers, pouvaient ne pas manifester le même enthousiasme pour le chien irlandais, mais la popularité croissante de l'Irish Terrier allait suffire à justifier ces affirmations.

La race, en effet, a donné des exemples de la multiplicité de ses mérites. L'Irish a été employé avec succès comme broussailleur et retriever dans les monts du Kerry, on l'a fait chasser le gros gibier en Afrique, il a aidé les soldats britanniques pendant la Première Guerre mondiale en faisant fonction d'estafette. En outre, l'attachement de ce chien à l'homme est devenu proverbial, pour ainsi dire, après que plusieurs sujets, en différentes occasions, eurent retrouvé leur maître et leur maison en parcourant des distances considérables.

L'Irish Terrier n'est vraiment pas fait pour les seconds rôles ou la figuration. Il a donc fait partie des races de Terriers les plus appréciées depuis le début du siècle jusque dans les années vingt. Rappelons que c'est à cette époque que les toiletteurs britanniques, passés maîtres dans l'art du trimming, ont mis au point les silhouettes particulières à chaque Terrier ; ainsi, ils ont sculpté et épuré leurs lignes en fonction des points forts de leurs morphologies respectives, apportant à ces rustiques et bouillants chasseurs un chic et une distinction indéniables.

Comme on peut s'en douter, cette vogue ne manqua pas d'avoir son revers. Un nombre grandissant de Terriers se trouvèrent entre des mains inexpertes, dans des foyers qui ne leur permettaient pas de s'épanouir. Les Terriers, et l'Irish tout particulièrement, ont les défauts de leurs qualités. Ces chiens impétueux, mais francs, ne sont pas à l'aise si on leur demande d'être discrets, et la vie citadine, oisive ou exagérément sédentaire, n'est pas leur fort. S'ils jouent les fiers-à-bras, c'est que, peu démonstratifs, ils ne veulent pas étaler leur besoin de tendresse. Le public, qui ne se donnait pas la peine de comprendre la nature profonde des Terriers, finit donc par se tourner vers d'autres races plus passe-partout, et cela avant que ne survienne la Seconde Guerre mondiale, qui décima nombre d'élevages de Terriers. Depuis lors, heureusement, l'Irish Terrier a su user de toute son opiniâtreté pour retrouver un peu de son lustre passé.

Il est vrai que ce chien est le « casse-cou » des Terriers ; ce qui n'est pas peu dire. Daredevil, tel est son surnom dans son pays, et le terme anglais n'est pas trop fort : l'Irish serait capable d'affronter le diable en personne. Ce chien est donc d'un contact un peu rugueux, au propre comme au figuré, et pourtant il ne faut pas craindre de s'y frotter. Avec une grande fermeté empreinte d'une patience bienveillante, on peut venir à bout de son tempérament indépendant et têtu, mais la brutalité n'est pas indiquée, car elle renforcerait plutôt la dureté de son caractère. Un maître énergique, veillant à être juste dans ses récompenses et dans ses punitions, est l'idéal pour ce chien qui, en retour, sera le compagnon le plus sûr et le plus dévoué.

Naturellement, cet animal plein d'influx a besoin de beaucoup d'exercice, et, s'il a la possibilité de dépenser à loisir toute son énergie, il se révélera équilibré et calme dans l'intimité. Gentil avec les enfants, il s'entend aussi bien avec les personnes âgées, s'attachant à veiller à leur sécurité et à celle de leurs biens. Il ne faut pas se méprendre: ce « dur » éprouve une immense tendresse pour son entourage.

L'Irish Terrier est un chasseur-né, et il est dommage qu'on n'utilise pas plus souvent ces dispositions. S'il est un peu grand pour pénétrer dans tous les terriers, il n'en est pas moins capable d'assister le nemrod dans la chasse des gibiers les plus divers, grâce à spn endurance, son courage, sa vivacité et son flair. A l'égard des autres chiens, il ne faut pas demander à l'Irish beaucoup de mansuétude. Il ne supporte pas qu'on empiète sur son territoire et n'hésite pas à répondre à toute marque d'agressivité, quelle que soit la corpulence de son « adversaire ».

En ce qui concerne son toilettage, comme tous les Terriers à poil dur, dit « brisé », l'Irish doit être épilé régulièrement, et ce, par un spécialiste. Les Terriers ne sont pas des chiens encombrants, et l'Irlandais ne fait pas exception, mais ce chien tient beaucoup de place par son tempérament extraverti et assuré, et plus encore dans le cœur du maître qui a su le comprendre.

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