 |
|
Terrier irlandais Standard FCI Nº 139
|
|
|
Origine
|
|
Irlande |
Traduction
|
|
Prof. R. Triquet |
Groupe
|
|
Groupe 3 Terriers |
Section
|
|
Section 1 Terriers de grande et de moyenne taille |
Epreuve
|
|
Sans épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
|
|
vendredi 28 janvier 1955 |
Publication du standard officiel en vigueur
|
|
mardi 13 mars 2001 |
Dernière mise à jour
|
|
vendredi 08 novembre 2002 |
In English, this breed is said
|
 |
Irish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
|
 |
Irischer terrier |
En español, esta raza se dice
|
 |
Terrier irlandés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
|
 |
Ierse Terrier |
Utilisation
|
Chien de ferme à tout faire, chien de compagnie, chien de garde montrant le plus grand mépris pour le danger et les blessures, chien de chasse à courre et à tir. |
|
Bref aperçu historique
|
L'Irlande a produit quatre races de terriers et tous sont nettement différents des terriers du continent et d'Angleterre. Il est possible que le chien qui porte actuellement, de manière officielle, le nom de Terrier irlandais, soit le terrier le plus ancien d'Irlande, mais il y a si peu de faits authentifiés qu'il serait difficile d'apporter une preuve définitive. Avant les années 1880, la couleur du Terrier irlandais n'était pas fixée. En plus de la robe rouge, il y avait parfois des noir et feu et parfois des bringés. A la fin du 19ème siècle, on s'est efforcé d'éliminer de l'élevage les noir et feu et les bringés, de sorte qu'au 20ème siècle, tous les Terriers irlandais portaient la robe rouge. Ces Terriers irlandais à robe rouge firent bientôt leur apparition dans les expositions d'Angleterre et des Etats-Unis, où ils furent accueillis avec enthousiasme. Leur réputation s'accrut encore pendant la première guerre mondiale, où ils furent utilisés à la transmission des messages dans le bruit terrifiant et la confusion de la guerre des tranchées. Ils donnèrent alors la preuve de leur intelligence et de leur intrépidité. Le premier club de la race fut créé à Dublin le 31 mars 1879 et le Terrier irlandais fut le premier du groupe des terriers d'Irlande à être reconnu par le Kennel Club anglais, à la fin du 19ème siècle, en tant que race d'origine irlandaise. |
Aspect général
|
Aspect d'un chien actif, vif, agile, tout en muscles et en nerfs, avec beaucoup de substance, mais en même temps sans lourdeur, la vitesse et l'endurance étant essentielles au même titre que la puissance. Il ne doit être ni grossier dans ses formes, ni cob. Les lignes de sa construction suggèrent la vitesse et offrent une silhouette élégante et racée. |
Comportement / caractère
|
Le Terrier irlandais, tout en étant plein d'allant et capable de se faire respecter des autres chiens, est d'une fidélité remarquable. Il a bon caractère et il est affectueux avec les hommes, mais, s'il est attaqué, il a le courage du lion et combattra jusqu'au bout. La réputation qu'a ce chien de se bagarrer avec d'autres y compris parfois dans le ring d'exposition est injustifiée. Bien que ce terrier puisse se montrer ardent quand les circonstances le demandent, le Terrier irlandais s'éduque facilement et c'est un doux compagnon méritant bien la description qu'on en a donnée au début : "sentinelle du pauvre, ami du paysan, favori de l'homme de qualité". |
Tête
|
Région crânienne
|
Tête
|
|
Longue, exempte de rides. |
Crâne
|
|
Plat et plutôt étroit entre les oreilles, devenant légèrement plus étroit vers les yeux. |
Stop
|
|
A peine visible, sauf de profil. |
Région faciale
|
Truffe
|
|
Doit être noire. |
Lèvres
|
|
Bien jointives et extérieurement de couleur presque noire. |
Mâchoires et dents
|
|
Mâchoires : Doivent être fortes, musclées et de longueur suffisante pour être redoutables. Dents : Doivent être fortes, régulières, saines. Les incisives supérieures recouvrent légèrement les inférieures. |
Joues
|
|
Pas trop chargées. La région située sous l'oeil doit être légèrement déclive pour éviter l'aspect greyhound. |
Yeux
|
|
De couleur foncée, petits, non proéminents et pleins de vie, de feu et d'intelligence. L'oeil jaune ou clair est un défaut grave. |
Oreilles
|
|
Petites, en forme de "V", d'épaisseur modérée, bien attachées sur la tête et tombant en avant tout contre les joues. La ligne supérieure de l'oreille pliée doit être bien au desssus du niveau du crâne. L'oreille qui pend sur le côté de la tête comme celle d'un chien courant est atypique chez le terrier irlandais, et l'oreille semi-dressée est un défaut encore plus grave. Le poil de l'oreille doit être court et plus foncé que sur le corps. |
Cou
|
Doit être de bonne longueur et s'élargir graduellement vers les épaules, bien porté, exempt de fanon. Il y a généralement une sorte de légère collerette de chaque côté du cou, montant presque jusqu’à l'oreille. |
Corps
|
Généralité
|
|
Doit être bien proportionné, ni trop long ni trop court. |
Dos
|
|
Doit être fort et droit, sans manquer le moins du monde de fermeté derrière les épaules. |
Rein
|
|
Musclé et très légèrement voussé. Le rein peut être légèrement plus long chez la femelle que chez le mâle. |
Poitrine
|
|
Haute et musclée, mais ni en plein cintre ni large. |
Côtes
|
|
Les côtes sont assez bien cintrées, plutôt bien descendues que rondes et bien développées vers l'arrière. |
Queue
|
Doit être attachée assez haut, portée gaiement, mais pas sur le dos ni enroulée. Elle doit être suffisamment forte et avoir de la substance ; elle est assez longue. La coutume est de couper la queue de façon à laisser deux tiers de sa longueur d’origine. Elle est bien couverte de poils rudes et ne porte ni frange ni poils longs. La queue naturelle (non coupée) n’est admise que dans les pays où la caudectomie est interdite par la loi. |
A l'avant comme à l'arrière, les membres doivent se porter droit devant. |
Membres antérieurs
|
Epaules
|
|
Doivent être fines, longues et inclinées. |
Coudes
|
|
Ils jouent librement sans être gênés par les côtes. |
Avant-bras
|
|
Modérément longs, parfaitement droits, avec une forte ossature et très musclés. |
Métacarpe
|
|
Courts et droits, à peine perceptibles. |
Pieds antérieurs
|
|
Doivent être forts, passablement ronds et modérément petits. Les doigts cambrés ne sont tournés ni en dehors ni en dedans. Les ongles noirs sont très recherchés. Les coussinets sont sains et ne présentent ni crevasses ni excroissances cornées. |
Membres postérieurs
|
Généralités
|
|
Doivent être forts et musclés. |
Cuisses
|
|
Puissantes. |
Grassets
|
|
Modérément angulés. |
Jarret
|
|
Près du sol. |
Pieds postérieurs
|
|
Doivent être forts, passablement ronds et modérément petits. Les doigts cambrés ne sont tournés ni en dehors ni en dedans. Les ongles noirs sont très recherchés. Les coussinets sont sains et ne présentent ni crevasses ni excroissances cornées. |
Allures
|
Les membres antérieurs et postérieurs se portent droit devant et sont parallèles. Les coudes se meuvent parallèlement à l'axe du corps et jouent librement sans être gênés par les côtes. Les grassets ne sont tournés ni en dedans ni en dehors. |
Robe
|
Qualité du poil
|
|
Doit être dense et "fil de fer" de texture, d'aspect brisé mais pourtant couché à plat. Les poils sont si fortement serrés que, lorsqu'on les sépare avec les doigts, on ne peut pas voir la peau. Le poil ne doit être ni mou ni soyeux et n'est pas long au point de cacher les contours du corps, en particulier aux postérieurs. Il ne forme ni mèches ni boucles. Le poil de la face est de même type, mais court (environ trois quarts de centimètre), presque lisse et droit. Une légère barbe est le seul poil long qui soit admis (et il n'est long que par comparaison avec le reste); c'est une caractéristique de la race. Une barbe semblable à celle d'une chèvre évoque généralement la présence de poils soyeux et de mauvaise qualité répartis dans le pelage. Membres exempts de franges et couverts, comme la tête, d'un poil d'une texture aussi dure que sur le corps, mais moins long. |
Couleur du poil
|
|
Doit être unicolore, rouge, froment rouge ou rouge jaune. Le blanc apparaît parfois sur le poitrail. Il arrive fréquemment qu'un peu de blanc apparaisse dans toutes les races unicolores. |
Taille et poids
|
Hauteur au garrot
|
|
Approximativement 18 pouces (45 cm). |
Poids
|
|
27 livres anglaises (12,25 kg) chez le mâle, 25 livres anglaises (11,4 kg) chez la femelle. |
Défauts
|
• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
|
Défauts entrainant l’exclusion
|
Chien agressif ou chien peureux.
Toute truffe autre que noire.
Prognathisme prononcé, inférieur ou supérieur.
Toute autre couleur que rouge, rouge-jaune ou froment-rouge, une petite tache blanche sur le poitrail est admise, comme chez d'autres races unicolores.
Pieds : présence d'excroissances cornées ou de crevasses sur les coussinets. |
NB :
|
• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
|
C'est sans doute pour mieux faire contraste avec les verts pâturages de son pays que le Terrier Irlandais a revêtu une rouge pelisse. Ce fier « rouquin », qui passe pour être le « casse-cou » de l'espèce canine, n'a certes jamais prétendu à la discrétion, et il peut donc paraître étonnant qu'il n'ait pas dévoilé davantage ses origines. En effet, si on le considère généralement comme un chien très ancien « ayant toujours vécu en Irlande », cette thèse n'est assortie d'aucun élément historique précis.
Il est vrai que nous n'en savons pas davantage sur la plupart des Terriers. L'aristocratie, dans les îles Britanniques comme en beaucoup d'autres endroits, s’étant arrogé la possession des chiens courants, des Epagneuls, des Lévriers et des mâtins de forte race, il ne restait au peuple, pour chasser, que les Terriers, chiens « bons à tout faire », peu encombrants, ne coûtant guère, braves et solides. Evidemment, les annales de l'Histoire ne se sont pas préoccupées, sauf exception, de transmettre à la postérité les exploits de ces chiens modestes.
Quant aux premiers cynophiles anglais, ils ignoraient à peu près tout de la richesse canine irlandaise. Ainsi, Thomas Pearce, qui écrivit en 1872 sous le pseudonyme d'Idstone le traité le plus complet de son époque sur les différentes races de chiens, ne mentionna pas l'Irish Terrier. A part le gigantesque et légendaire Irish Wolfhound, qu'on ne pouvait évidemment passer sous silence, on considérait que la verte Erin n'abritait qu'une foule de chiens bâtards. Il faudra d'ailleurs attendre 1922 pour que le Kerry-Blue Terrier apparaisse dans les expositions anglaises, 1943 pour que le Soft Coated Wheaten Terrier franchisse à son tour la mer d'Irlande. Quant au Glen of Imaal, bien que reconnu par le Kennel Club britannique depuis 1975, il n'est guère sorti de son pays d'origine.
Tous ces chiens typiquement irlandais chassaient pourtant depuis des siècles les renards et autres animaux dits « nuisibles », les lapins, voire les sangliers. Il est bien difficile, encore aujourd'hui, de préciser les liens de parenté entre ces races, et plus encore de décider quel est celui qui, le plus proche d'un type originel, serait l'ancêtre des autres. On peut cependant penser que l'Irish Terrier est plutôt originaire du sud-est de l'Irlande, notamment du comté de Cork, ainsi que des environs de Ballymena, dans le Nord.
C'est peu après 1870 que l'on s'avisa de sélectionner les premiers Terriers d'Irlande, une tâche tout à fait nécessaire à l'approche de l'exposition qui devait se tenir à Dublin en 1874. Pas moins d'une cinquantaine de sujets y furent présentés, mais ils étaient de types très variés, et plusieurs, même, avaient sans aucun doute usurpé la dénomination de Terriers. Il faut préciser que la cynophilie balbutiait alors, et pas seulement en Irlande, ce qui explique que tout ce qui concernait les noms de races, les pedigrees, les classes d'expositions paraît aujourd'hui assez fantaisiste. A Dublin, donc, le groupe des Irish Terriers avait été scindé en deux classes : d'un côté ceux pesant moins de 4 kilos (9 livres), de l'autre ceux pesant davantage. Le gagnant de la classe ouverte accusait, quant à lui, 14 kilos sur la balance. Dans le domaine des coloris, on constatait une semblable diversité, puisqu'on put par exemple noter la présence d'un spécimen entièrement blanc, mais il y avait aussi des roux, des froment, des noir et feu, des bringés.
Il fallut donc mettre de l'ordre parmi cette multitude, et dès l'année suivante, en particulier à l'exposition de Lisburn, ces efforts se révélèrent bénéfiques. Cette année-là, également, on remarqua la prestation des meilleurs sujets à Glasgow, et, en 1876, la race fut jugée digne d'une inscription séparée dans une exposition anglaise (à Bristol). A partir de 1879, ce chien se trouva définitivement lancé dans le monde cynophile avec la création de l'Irish Terrier Club. La sélection des sujets les plus typés, de la couleur désirée, avança alors rapidement, et, même s'il y eut encore quelques controverses, notamment à propos de leur taille, le premier standard fut bientôt défini.
Les premiers supporters de l'Irish Terrier avaient certainement apprécié la parution, en 1881, de l'ouvrage de Vero Shaw, The Illustrated Book 0f the Dog, qui contribuait à sa renommée en le dépeignant sous les traits les plus flatteurs. A lire ce portrait, tracé par Mr. W. Krehl, l'Irish Terrier était vraiment un chien quasiment universel, capable d'égaler de nombreuses races dans leur spécialité. Naturellement, comme terrier, c'était un ratier émérite, un valeureux chasseur de loutres, de blaireaux, de renards, mais il se révélait également fort utile à tout chasseur au fusil, broussaillant aussi énergiquement qu'un Spaniel, lapinier hors pair, mais encore retriever, également à l'aise sur terre et dans l'eau. Dans la cour de ferme ou dans le jardin, ce gardien vigilant était incorruptible et inaccessible à la peur. Enfin, dans la maison, il devenait un chien très doux, profondément attaché à ses maîtres. L'auteur ; anglais ; de tels éloges risquait de se voir contredire par ses compatriotes, qui, grands amateurs de Terriers, pouvaient ne pas manifester le même enthousiasme pour le chien irlandais, mais la popularité croissante de l'Irish Terrier allait suffire à justifier ces affirmations.
La race, en effet, a donné des exemples de la multiplicité de ses mérites. L'Irish a été employé avec succès comme broussailleur et retriever dans les monts du Kerry, on l'a fait chasser le gros gibier en Afrique, il a aidé les soldats britanniques pendant la Première Guerre mondiale en faisant fonction d'estafette. En outre, l'attachement de ce chien à l'homme est devenu proverbial, pour ainsi dire, après que plusieurs sujets, en différentes occasions, eurent retrouvé leur maître et leur maison en parcourant des distances considérables.
L'Irish Terrier n'est vraiment pas fait pour les seconds rôles ou la figuration. Il a donc fait partie des races de Terriers les plus appréciées depuis le début du siècle jusque dans les années vingt. Rappelons que c'est à cette époque que les toiletteurs britanniques, passés maîtres dans l'art du trimming, ont mis au point les silhouettes particulières à chaque Terrier ; ainsi, ils ont sculpté et épuré leurs lignes en fonction des points forts de leurs morphologies respectives, apportant à ces rustiques et bouillants chasseurs un chic et une distinction indéniables.
Comme on peut s'en douter, cette vogue ne manqua pas d'avoir son revers. Un nombre grandissant de Terriers se trouvèrent entre des mains inexpertes, dans des foyers qui ne leur permettaient pas de s'épanouir. Les Terriers, et l'Irish tout particulièrement, ont les défauts de leurs qualités. Ces chiens impétueux, mais francs, ne sont pas à l'aise si on leur demande d'être discrets, et la vie citadine, oisive ou exagérément sédentaire, n'est pas leur fort. S'ils jouent les fiers-à-bras, c'est que, peu démonstratifs, ils ne veulent pas étaler leur besoin de tendresse. Le public, qui ne se donnait pas la peine de comprendre la nature profonde des Terriers, finit donc par se tourner vers d'autres races plus passe-partout, et cela avant que ne survienne la Seconde Guerre mondiale, qui décima nombre d'élevages de Terriers. Depuis lors, heureusement, l'Irish Terrier a su user de toute son opiniâtreté pour retrouver un peu de son lustre passé.
Il est vrai que ce chien est le « casse-cou » des Terriers ; ce qui n'est pas peu dire. Daredevil, tel est son surnom dans son pays, et le terme anglais n'est pas trop fort : l'Irish serait capable d'affronter le diable en personne. Ce chien est donc d'un contact un peu rugueux, au propre comme au figuré, et pourtant il ne faut pas craindre de s'y frotter. Avec une grande fermeté empreinte d'une patience bienveillante, on peut venir à bout de son tempérament indépendant et têtu, mais la brutalité n'est pas indiquée, car elle renforcerait plutôt la dureté de son caractère. Un maître énergique, veillant à être juste dans ses récompenses et dans ses punitions, est l'idéal pour ce chien qui, en retour, sera le compagnon le plus sûr et le plus dévoué.
Naturellement, cet animal plein d'influx a besoin de beaucoup d'exercice, et, s'il a la possibilité de dépenser à loisir toute son énergie, il se révélera équilibré et calme dans l'intimité. Gentil avec les enfants, il s'entend aussi bien avec les personnes âgées, s'attachant à veiller à leur sécurité et à celle de leurs biens. Il ne faut pas se méprendre: ce « dur » éprouve une immense tendresse pour son entourage.
L'Irish Terrier est un chasseur-né, et il est dommage qu'on n'utilise pas plus souvent ces dispositions. S'il est un peu grand pour pénétrer dans tous les terriers, il n'en est pas moins capable d'assister le nemrod dans la chasse des gibiers les plus divers, grâce à spn endurance, son courage, sa vivacité et son flair. A l'égard des autres chiens, il ne faut pas demander à l'Irish beaucoup de mansuétude. Il ne supporte pas qu'on empiète sur son territoire et n'hésite pas à répondre à toute marque d'agressivité, quelle que soit la corpulence de son « adversaire ».
En ce qui concerne son toilettage, comme tous les Terriers à poil dur, dit « brisé », l'Irish doit être épilé régulièrement, et ce, par un spécialiste. Les Terriers ne sont pas des chiens encombrants, et l'Irlandais ne fait pas exception, mais ce chien tient beaucoup de place par son tempérament extraverti et assuré, et plus encore dans le cœur du maître qui a su le comprendre. |
 |
|
Irish Terrier FCI Standard No. 139
|
|
|
Origin
|
|
Ireland |
Group
|
|
Group 3 Terriers |
Section
|
|
Section 1 Large and medium-sized Terriers |
Working
|
|
Without working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
|
|
Friday 28 January 1955 |
Publication of the official valid standard
|
|
Tuesday 13 March 2001 |
Last update
|
|
Monday 02 April 2001 |
En français, cette race se dit
|
 |
Terrier irlandais |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
|
 |
Irischer terrier |
En español, esta raza se dice
|
 |
Terrier irlandés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
|
 |
Ierse Terrier |
Usage
|
Versatile farmyard dog, family pet, guard dog with utter contempt for danger or hurt, hunter and gundog. |
|
Brief historical summary
|
Ireland has produced four Terrier breeds, all of which are markedly different from terriers on the continent and in England. The dog now officially called Irish Terrier is possibly the oldest of the Irish terrier breeds but records are so scarce that it would be difficult to prove this conclusively. Before the 1880s the colour of the Irish Terrier had not been settled. Apart from red they were sometimes black and tan and sometimes brindle. At the end of the 19th century efforts were made to breed out the black and tan and the brindles so that by the 20th century all Irish Terriers showed the red coat. The red coated Irish Terrier soon made its appearance on show benches in England and in the United States where it was enthusiastically received. The Irish Terrier’s reputation was enhanced during the First World War when they were used as messenger dogs in the terrifying noise and confusion of trench warfare, thus proving both their intelligence and their fearlessness. The first breed club was set up in Dublin on March 31st 1879 and the Irish Terrier was the first member of the terrier group to be recognised by the English Kennel Club in the late 19th century as a native Irish Breed. |
General appearance
|
The dog must present an active, lively, lithe and wiry appearance; lots of substance, at the same time free of clumsiness, as speed and endurance as well as power is very essential. The Irish Terrier must be neither “cloddy nor cobby” but should be framed on the “lines of speed” showing a graceful racy outline. |
Behaviour / temperament
|
The Irish Terrier, while being game and capable of holding his own with other dogs, is remarkably loyal, good tempered and affectionate with mankind, but once he is attacked, he has the courage of a lion and will fight to the bitter end. The dog’s reputation for getting into scraps with others, sometimes even in the showring, is undeserved. Though the terrier may be fierce when the circumstances call for it, the Irish Terrier is easily trained and a gentle pet, living up to his early description as “the poor man’s sentinel, the farmer’s friend and the gentleman’s favourite”. |
Head
|
Cranial region
|
Head
|
|
Long, free from wrinkles. |
Skull
|
|
Flat and rather narrow between the ears, getting slightly narrower towards the eyes. |
Stop
|
|
Hardly visible except in profile. |
Facial region
|
Nose
|
|
Must be black. |
Lips
|
|
Should be well fitting and externally almost black in colour. |
Jaws and teeth
|
|
Jaw : Must be strong and muscular, of good punishing length. Teeth : Should be strong, level, free from canker and the top incisors slightly overlapping the lower. |
Cheeks
|
|
Not too full. There should be a slight falling away below the eye so as not to have a Greyhound appearance. |
Eyes
|
|
Should be dark in colour, small, not prominent and full of life, fire and intelligence. A yellow or light eye is most objectionable. |
Ears
|
|
Small and V-shaped, of moderate thickness, set well on the head and dropping forward closely to the cheek. The top line of the folded ear should be well above the level of the head. An ear hanging by the side of the head, like a hound’s, is not characteristic of the Terrier, while an ear which is semi-erect, is even more undesirable. The hair on the ear should be short and darker in colour than that on the body. |
Neck
|
Should be of a fair length and gradually widening towards the shoulders, well carried and free from throatiness. There is generally a slight sort of frill visible at each side of the neck, running nearly to the ear. |
Body
|
Body
|
|
Should be symmetrical, neither too long nor too short. |
Back
|
|
Should be strong and straight, with no appearance of slackness behind the shoulders. |
Loin
|
|
Muscular and very slightly arched. A bitch may be slightly longer in couplings than a dog. |
Chest
|
|
Deep and muscular but neither full nor wide. Ribs fairly sprung, rather deep than round and well-ribbed back. |
Tail
|
Should be set on rather high, carried gaily but not over the back or curled. It should be of good strength and substance and fairly long. Customarily the tail is docked so that two-thirds of its original length remains. The tail should be well covered with rough hair and free from fringe or feather. Only a natural tail (undocked) is allowed in countries where docking is banned by law. |
Both fore and hind legs should be moved straight forward. |
Forequarters
|
Shoulders
|
|
Must be fine, long and sloping. |
Elbows
|
|
Working freely clear of the sides. |
Forearm
|
|
Moderately long perfectly straight with plenty of bone and muscle. |
Pastern
|
|
Short and straight, hardly noticeable. |
Forefeet
|
|
Should be strong, tolerably round and moderately small, toes arched and neither turned out nor in, black toenails most desirable. Pads sound and free from cracks or corny excrescence. |
Hindquarters
|
Generality
|
|
Should be strong and muscular. |
Upper thigh
|
|
Powerful. |
Stifle
|
|
Moderately bent. |
Hock
|
|
Near ground |
Hind feet
|
|
Should be strong, tolerably round and moderately small, toes arched and neither turned out nor in, black toenails most desirable. Pads sound and free from cracks or corny excrescence. |
Gait and movement
|
Fore and hindlegs carried straight forward and parallel, elbows move parallel to the axis of the body, working free of sides, stifles neither turning in nor out. |
Coat
|
Hair
|
|
Should be dense and wiry in texture, having a broken appearance but still lying flat, the hairs growing so closely and strongly together that when parted with the fingers, the skin cannot be seen, free of softness and silkiness and not so long as to hide the outlines of the body, particularly in the hindquarters and free of lock or curl. Hair on face of same description as on body but short (about three-quarters of a centimetre long), almost smooth and straight, a slight beard is the only long hair (and it is only long in comparison with the rest) that is permissible and is characteristic. A “goats” beard is suggestive of there being silky and bad hair running through the coat generally. Legs : Free of feather and covered, like the head, with as hard a texture of coat as body but not so long. |
Colour
|
|
Should be “whole coloured” being red, red-wheaten or yellow-red. White sometimes on the chest. A small amount of white is frequently to be seen in all self coloured breeds. |
Size and weight
|
Height at withers
|
|
Approximately 18 inches (45.5cm). |
Weight
|
|
Dogs 27lbs (12.25kg). Bitches 25lbs (11.4kg). |
Faults
|
• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
|
Disqualifying faults
|
Aggresive or overly shy.
Nose : Any colour other than black.
Jaws : Decidedly undershot or overshot.
Colour : Any other than red, yellow red or red wheaten; A small patch of white on chest is permissible as in other whole-coloured breeds.
Feet : Corny excrescence or cracks on pads. |
NB :
|
• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
|
It is probably to better contrast with the green pastures of his country that the Irish Terrier has donned a red fur coat. This proud "redhead", who happens to be the "daredevil" of the canine species, has certainly never claimed discretion, and it may seem surprising that he did not reveal his origins. Indeed, if it is generally considered as a very old dog "having always lived in Ireland", this thesis is not accompanied by any precise historical element.
It is true that we do not know more about most Terriers. The aristocracy, in the British Isles as in many other places, having arrogated to themselves the possession of the common dogs, the Spaniels, the Greyhounds and the mastiffs of strong race, there remained to the people, to hunt, only the Burrows , dogs "good to do everything", little bulky, costing little, brave and solid. Of course, the annals of history have not, with some exceptions, been concerned with passing on the exploits of these modest dogs to posterity.
As for the first English cynophiles, they knew almost nothing about Irish canine wealth. Thus, Thomas Pearce, who wrote in 1872 under the pseudonym of Idstone the most complete treatise of his time on the different breeds of dogs, did not mention the Irish Terrier. Apart from the gigantic and legendary Irish Wolfhound, which obviously could not be ignored, it was considered that the green Erin sheltered only a crowd of bastard dogs. It will also be necessary to wait until 1922 for the Kerry-Blue Terrier to appear in the English exhibitions, 1943 for the Soft Coated Wheaten Terrier to cross the Irish Sea. As for the Glen of Imaal, although recognized by the British Kennel Club since 1975, it is hardly out of his country of origin.
All these typical Irish dogs hunted for centuries foxes and other animals called "harmful", rabbits or even wild boars. It is very difficult, even today, to specify the kinship ties between these races, and even more to decide which one, the closest to an original type, is the ancestor of the others. The Irish Terrier, however, is thought to have originated in the south-east of Ireland, particularly Cork County, as well as the area around Ballymena in the north.
It was not long after 1870 that it was decided to select the first Irish Terriers, a task quite necessary to the approach of the exhibition to be held in Dublin in 1874. No less than one Fifty subjects were presented, but they were of very different types, and many even had no doubt usurped the denomination of Terriers. It should be noted that cynophilia stammered then, and not only in Ireland, which explains that everything concerning the names of races, pedigrees, classes of exhibitions seems today rather fanciful. In Dublin, therefore, the group of Irish Terriers had been divided into two classes: on one side those weighing less than 4 kilos (9 pounds), on the other those weighing more. The winner of the open class accused, meanwhile, 14 pounds on the scale. In the field of colors, there was a similar diversity, since it was possible to note for example the presence of a specimen entirely white, but there were also roux, wheat, black and fire, brindle.
It was thus necessary to put order among this multitude, and the following year, in particular with the exposure of Lisburn, these efforts proved to be beneficial. That year, too, the performance of the best subjects was noticed in Glasgow, and in 1876 the race was considered worthy of a separate inscription in an English exhibition (in Bristol). From 1879, this dog was definitively launched into the dog world with the creation of the Irish Terrier Club. The selection of the most typical subjects, of the desired color, then progressed quickly, and, even if there were still some controversies, especially about their size, the first standard was soon defined.
The first supporters of the Irish Terrier certainly appreciated the publication, in 1881, of Vero Shaw's The Illustrated Book of the Dog, which contributed to his fame by portraying him in the most flattering manner. To read this portrait, drawn by Mr. W. Krehl, the Irish Terrier was really an almost universal dog, able to match many breeds in their specialty. Naturally, as a burrow, he was a daredevil, a valiant hunter of otters, badgers, foxes, but he also proved to be very useful to any rifle hunter, brushing as vigorously as Spaniel, an outstanding rabbit-tree, but still retriever, equally at home on land and in the water. In the farmyard or in the garden, this vigilant guardian was incorruptible and inaccessible to fear. Finally, in the house, he became a very gentle dog, deeply attached to his masters. The author; English; Such high praise could be contradicted by his compatriots, who, big Terriers lovers, might not show the same enthusiasm for the Irish dog, but the growing popularity of the Irish Terrier was enough to justify these claims.
The race, in fact, has given examples of the multiplicity of its merits. Irish was successfully employed as a shrubber and retriever in the Kerry Mountains, he was hunted big game in Africa, he helped British soldiers during the First World War by acting as a rifleman. Moreover, the attachment of this dog to man became proverbial, so to speak, after several subjects, on different occasions, had found their master and their house by traversing considerable distances.
The Irish Terrier is really not suited for supporting roles or figuration. It has been one of the most popular Terrier breeds since the beginning of the century until the 1920s. Remember that it was at this time that the groomers British, past masters in the art of trimming, have developed the silhouettes particular to each Terrier; thus, they carved and refined their lines according to the strengths of their respective morphologies, bringing to these rustic and boiling hunters an undeniable chic and distinction.
As you might expect, this vogue did not fail to have its downside. A growing number of Terriers found themselves in inexpert hands, in homes that did not allow them to flourish. Terriers, and Irish in particular, have the flaws of their qualities. These impetuous but frank dogs are not at ease if they are asked to be discreet, and urban life, idle or overly sedentary, is not their forte. If they play the proud-haired, it is that, not demonstrative, they do not want to display their need of tenderness. The public, who did not bother to understand the deep nature of the Terriers, ended up turning to other breeds more boilerplate, and this before the outbreak of the Second World War, which decimated number of farms of Terriers. Since then, thankfully, the Irish Terrier has used all its obstinacy to regain some of its past luster.
It is true that this dog is the "daredevil" of Terriers; which is not saying a lot. Daredevil, this is his nickname in his country, and the English word is not too strong: the Irish would be able to face the devil in person. This dog is therefore a touch a little rough, literally as well as figuratively, and yet we should not be afraid to rub it. With great firmness imbued with a benevolent patience, one can overcome his stubborn and independent temperament, but brutality is not indicated, because it would rather strengthen the toughness of his character. An energetic master, careful to be fair in his rewards and punishments, is the ideal for this dog who, in turn, will be the surest and most devoted companion.
Naturally, this influxed animal needs a lot of exercise, and, if it has the ability to spend all its energy at leisure, it will be balanced and calm in intimacy. Nice with children, he gets on well with seniors, focusing on their safety and that of their belongings. We must not be mistaken: this "tough" feels an immense tenderness for those around him.
The Irish Terrier is a born hunter, and it is unfortunate that we do not use these provisions more often. If he is a little tall to penetrate all the burrows, he is nonetheless able to assist the nimrod in the hunt for the most diverse game, thanks to his endurance, his courage, his vivacity and his flair. With regard to other dogs, you should not ask the Irish for much leniency. He can not bear to be encroached on his territory and does not hesitate to respond to any sign of aggression, whatever the size of his "adversary".
Regarding his grooming, like all the hard-furred Terriers, called "broken", the Irish must be epilated regularly, and this, by a specialist. Terriers are not bulky dogs, and the Irishman is no exception, but this dog takes a lot of space by his extroverted and assured temperament, and even more in the heart of the master who knew how to understand it. |
 |
|
Irischer terrier FCI-Standard Nr. 139
|
|
|
Ursprung
|
|
Irland |
Übersetzung
|
|
Frau Elke Peper / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
|
|
Gruppe 3 Terrier |
Sektion
|
|
Sektion 1 Hochläufige Terrier |
Arbeitsprüfung
|
|
Ohne Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
|
|
Freitag 28 Januar 1955 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
|
|
Dienstag 13 März 2001 |
Letzten Aktualisierung
|
|
Freitag 30 August 2002 |
En français, cette race se dit
|
 |
Terrier irlandais |
In English, this breed is said
|
 |
Irish Terrier |
En español, esta raza se dice
|
 |
Terrier irlandés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
|
 |
Ierse Terrier |
Verwendung
|
Vielseitig verwendbarer Hofhund, Familienhund, Wachhund, der Gefahren oder Verletzungen mit äusserster Verachtung begegnet; geeignet für die Jagd und die Arbeit nach dem Schuss. |
|
Kurzer geschichtlicher abriss
|
Irland hat vier Terrierrassen hervorgebracht, die sich alle deutlich von den Terrierrassen des Kontinents und Englands unterscheiden. Die in der heutigen Zeit offiziell als „Irish Terrier“ bezeichnete Rasse ist möglicherweise die älteste der irischen Terrierrassen, jedoch sind schriftliche Hinweise so selten, dass dies schwerlich schlüssig zu beweisen wäre. Vor dem Jahre 1880 war die Farbe der Irisch Terrier noch recht uneinheitlich. Ausser rot waren sie gelegentlich auch schwarz-loh gefärbt oder auch von gestromter Farbe. Ab dem Ende des 19. Jahrhunderts bemühte man sich, die Farben Schwarz-loh und Gestromt züchterisch zu eliminieren, und so zeigten alle Irish Terrier vom Beginn des 20.Jahrhunderts an eine rote Farbe. Rote Irish Terrier traten bald in England und in den USA auch im Ausstellungsring in Erscheinung, wo sie begeistert aufgenommen wurden. Ihr guter Ruf gewann noch hinzu, als sie im ersten Weltkrieg bei furchterregendem Lärm in den Wirrnissen des Grabenkrieges als Botenhunde eingesetzt wurden und dort sowohl ihre Intelligenz als auch ihre Furchtlosigkeit unter Beweis stellten. Der erste Rassespezielklub für Irish Terrier wurde am 31. März 1879 in Dublin gegründet; außerdem war der Irish Terrier die erste Terrierrasse, die vom englischen Kennel Club als solche mit Irland als Ursprungsland offiziell anerkannt wurde. |
Allgemeines erscheinungsbild
|
Der Irish Terrier muss aktiv, lebhaft, geschmeidig und drahtig erscheinen und viel Substanz haben, ohne dabei jegliche Unbeholfenheit erkennen zu lassen, denn sowohl Geschwindigkeit und Ausdauer als auch Kraft sind für die Rasse von essentieller Bedeutung. Der Irish Terrier darf weder unbeholfen noch unförmig wirken; die Umrisse seines Körpers und seine Gestalt sollten Schnelligkeit, Anmut und Flüchtigkeit demonstrieren. |
Verhalten / charakter (wesen)
|
Der Irish Terrier ist, obwohl entschlossen und fähig, sich anderen Hunden gegenüber zu behaupten, bemerkenswert treu, gutmütig und dem Menschen liebevoll zugetan; wenn er angegriffen wird, zeigt er jedoch Löwenmut und kämpft bis zum bitteren Ende. Fälschlicherweise wird dem Irish Terrier nachgesagt, er gerate leicht, manchmal sogar im Ausstellungsring, in Streit mit anderen Hunden. Obwohl er keiner Auseinandersetzung aus dem Wege geht, wenn die Umstände es erfordern, so ist der Irish Terrier doch leicht zu erziehen und ein umgänglicher Haushund; er verkörpert somit noch immer die Eigenschaften, die ihn, den früheren Beschreibungen entsprechend, zum „Wächter der armen Leute, zum Freund der Bauern und zum Liebling der vornehmen Herren“ hatten werden lassen. |
Kopf
|
Oberkopf
|
Kopf
|
|
Lang, ohne Falten. |
Schädel
|
|
Flach und ziemlich schmal zwischen den Ohren, zu den Augen hin noch etwas schmaler werdend. |
Stop
|
|
Kaum sichtbar, lediglich im Profil. |
Facial region
|
Nasenschwamm
|
|
Muss schwarz sein. |
Lefzen
|
|
Sollten gut anliegen und außen fast schwarz sein. |
Kiefer / Zähne
|
|
Die Kiefer müssen kräftig, gut bemuskelt und von einer Länge sein, die ein gutes Zupacken ermöglicht. Die Zähne sollten kräftig, ebenmäßig, sauber und gesund sein; die obere Schneidezahnreihe greift leicht über die untere. |
Wangen
|
|
Nicht zu voll. Sie sollte unter den Augen leicht abfallen, damit nichts an den Kopf eines Greyhounds erinnert. |
Augen
|
|
Sollten dunkel und klein sein, nicht vorstehen und voller Leben, Feuer und Intelligenz sein. Gelbe oder helle Augen sind äußerst fehlerhaft. |
Ohren
|
|
Klein, V-förmig, mäßig dick und gut auf dem Kopf angesetzt; sie fallen dicht an den Wangen nach vorn. Die obere Linie des gefalteten Ohres sollte sich gut oberhalb der Schädeldecke befinden. Ein Ohr, das, wie beim Laufhund, an der Seite des Kopfes herabhängt, ist nicht charakteristisch für diesen Terrier, wobei allerdings ein halb aufrechtes Ohr noch weniger erwünscht ist. Die Behaarung auf den Ohren sollte kurz sein und dunkler in der Farbe als das Körperhaar. |
Hals
|
Sollte von ansehnlicher Länge sein und sich zu den Schultern hin allmählich verbreitern; er sollte gut getragen werden und keine lose Kehlhaut aufweisen. An beiden Seiten bildet sich gewöhnlich eine leicht Halskrause, die fast bis zum Ohransatz verläuft. |
Körper
|
Allgemeinheit
|
|
Sollte ausgewogen sein, weder zu lang noch zu kurz. |
Rücken
|
|
Sollte kräftig und gerade sein, ohne jegliches Anzeigen von Schlaffheit hinter den Schultern. |
Lenden
|
|
Muskulös und sehr leicht gebogen. Eine Hündin darf in der Lendenpartie etwas länger sein als ein Rüde. |
Brust
|
|
Tief und muskulös, jedoch nicht mächtig oder breit, mit gut gebogenen Rippen; eher tief als rund, wobei die Rippen gut nach hinten reichen. |
Rute
|
Sollte ziemlich hoch angesetzt sein und fröhlich getragen werden, jedoch nicht über den Rücken gezogen oder geringelt sein. Sie sollte eine gute Stärke und Substanz haben und ziemlich lang sein; üblicherweise wird sie auf 2/3 der Gesamtlänge kupiert. Sie ist gut von rauhem Haar bedeckt und frei von je glicher Franse oder Befederung. In Ländern mit gesetzlichem Rutenkupierverbot ist nur die naturbelassene (unkupierte) Rute zulässig. |
Sowohl die Vorder- als auch die Hinterläufe sollten in der Bewegung gerade nach vorn geführt werden. |
Vorderhand
|
Schultern
|
|
Müssen klar umrissen, lang und schräg gelagert sein. |
Ellenbogen
|
|
Sie arbeiten frei an den Körperseiten. |
Unterarm
|
|
Mäßig lang, vollkommen gerade mit viel Knochenstärke und Muskulatur. |
Vordermittelfuss
|
|
Kurz und gerade, sein Ansatz kaum zu erkennen. |
Vorderpfoten
|
|
Sollten kräftig, ziemlich rund und mäßig klein sein; die Zehen sind gebogen und stehen weder nach aussen noch nach innen; schwarze Krallen sind äusserst erwünscht. Die Ballen sind gebrauchstüchtig und frei von Rissen oder brüchigen Wucherungen. |
Hinterhand
|
Allgemeines
|
|
Sollte stark und muskulös sein. |
Oberschenkel
|
|
Kraftvoll. |
Knie
|
|
Mäßig gewinkelt. |
Sprunggelenk
|
|
Sie stehen tief über dem Boden. |
Hinterpfoten
|
|
Sollten kräftig, ziemlich rund und Mäßig klein sein; die Zehen sind gebogen und stehen weder nach außen noch nach innen; schwarze Krallen sind äußerst erwünscht. DieBallen sind gebrauchstüchtig und frei von Rissen oder brüchigenWucherungen. |
Gangwerk
|
Vorder- und Hinterläufe werden gerade und parallel nach vorn geführt, die Ellenbogen bewegen sich parallel zum Körper und arbeiten frei an dessen Seite; die Kniegelenke drehen weder einwärts noch auswärts. |
Coat
|
Haar
|
|
Sollte dicht und drahtig in der Textur sein, gebrochen (“broken”, harsch und hart) erscheinen und dennoch flach anliegen, wobei die einzelnen Haare so dicht und stark nebeneinander wachsen, dass die Haut nicht zu sehen ist, selbst wenn man das Haar mit den Fingern teilt; das Haar ist weder weich noch seidig und, besonders an der Hinterhand, keinesfalls so lang, dass die Körperumrisse verdeckt würden, und es ist frei von Locken oder Kräuselung. Das Haar am Gesichtsbereich ist genauso zu beschreiben wie das des Körpers, es erscheint jedoch kurz (ca. 0,75 cm lang), fast glatt und gerade; ein angedeuteter Bart zeigt die einzigen langen Haare (und diese lang nur im Vergleich mit dem übrigen Haar), die erlaubt sind, ein Charakteristikum. Ein „Ziegenbart“ deutet auf seidiges, schlechtes Haar am gesamt Körper hin. Läufe: Nicht befedert und, ebenso wie der Kopf, mit Haar bedeckt, das genauso hart, jedoch nicht so lang ist wie das Körperhaar. |
Farbe
|
|
Der Hund sollte einheitlich rot, rot-weizenfarben oder gelblich-rot sein. Weiss findet sich gelegentlich an der Brust. Einen kleinen weissen Fleck findet man bei allen einfarbigen Rassen dort häufig. |
Grösse und gewicht
|
Widerristhöhe
|
|
Annähernd 18 inches (45,5 cm). |
Gewicht
|
|
Rüden : 27 lbs (12,25 kg) . Hündinnen: 25 lbs (11,4 kg). |
Fehler
|
• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
|
Disqualifizierende fehler
|
Aggressive oder űbermäßig ängstliche Hunde.
Nasenschwamm: Jede andere Farbe als Schwarz.
Gebiss : Deutlicher Vor- oder Rückbiss.
Farbe: Jede andere Farbe als Rot, gelbliches Rot oder Rot-weisen; Ein kleiner weisser Fleck an der Brust ist wie bei anderen einheitlich gefärbten Rassen erlaubt.
Pfoten : Brüchige Wucherungen oder Risse an den Ballen. |
NB :
|
• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
|
Es ist wahrscheinlich besser, mit den grünen Weiden seines Landes zu kontrastieren, dass der irische Terrier einen roten Pelzmantel angezogen hat. Dieser stolze "Rotschopf", der zufällig der "Draufgänger" der Hundeart ist, hat sicherlich nie Diskretion beansprucht, und es mag überraschen, dass er seine Herkunft nicht preisgegeben hat. In der Tat wird diese These, wenn sie allgemein als ein sehr alter Hund betrachtet wird, der "immer in Irland gelebt hat", von keinem genauen historischen Element begleitet.
Es ist wahr, dass wir nicht mehr über die meisten Terrier wissen. Die Aristokratie, auf den Britischen Inseln wie an vielen anderen Orten, hat sich den Besitz der gemeinen Hunde, der Spaniel, der Greyhounds und der Mastiffs der starken Rasse anmaßt, es blieb den Leuten, nur die Burrows zu jagen , Hunde "gut, alles zu tun", wenig sperrig, kostet wenig, mutig und solide. Natürlich waren die Annalen der Geschichte, mit einigen Ausnahmen, nicht daran interessiert, die Heldentaten dieser bescheidenen Hunde an die Nachwelt weiterzugeben.
Was die ersten englischen Kynophilen anbetrifft, wussten sie fast nichts über den irischen Hunde-Reichtum. So erwähnt Thomas Pearce, der 1872 unter dem Pseudonym Idstone die vollständigste Abhandlung seiner Zeit über die verschiedenen Hunderassen schrieb, den Irish Terrier nicht. Abgesehen von dem gigantischen und legendären irischen Wolfshund, der offensichtlich nicht ignoriert werden konnte, wurde angenommen, dass die grüne Erin ein Zuhause für einen Haufen Bastardhunde war. Es wird auch notwendig sein, bis 1922 zu warten, bis der Kerry-Blue Terrier in den englischen Ausstellungen erscheint, 1943 für den Soft Coated Wheaten Terrier, um die Irische See zu überqueren. Was das Glen of Imaal betrifft, obwohl es seit 1975 vom British Kennel Club anerkannt wird, ist es kaum außerhalb seines Herkunftslandes.
All diese typischen irischen Hunde jagten seit Jahrhunderten Füchse und andere als "schädlich" bezeichnete Tiere, Hasen oder sogar Wildschweine. Es ist sehr schwierig, auch heute noch die verwandtschaftlichen Beziehungen zwischen diesen Rassen zu bestimmen, und noch mehr zu entscheiden, welcher, der dem ursprünglichen Typ am nächsten kommt, der Vorfahre der anderen ist. Der irische Terrier stammt jedoch vermutlich aus dem Südosten Irlands, insbesondere aus dem County Cork und dem Ballymena-Gebiet im Norden.
Es war nicht lange nach 1870, dass es beschlossen wurde, die ersten irischen Terrier zu wählen, eine Aufgabe, die ziemlich notwendig für die Annäherung der Ausstellung war, die 1874 in Dublin stattfindet. Nicht weniger als eine Fünfzig Themen wurden präsentiert, aber sie waren von sehr verschiedenen Arten, und viele hatten sogar zweifellos die Bezeichnung von Terriern usurpiert. Es sollte bemerkt werden, dass cynophilia dann, und nicht nur in Irland stammelte, der erklärt, dass alles bezüglich der Namen von Rassen, Stammbäumen, Klassen von Ausstellungen heute ziemlich phantasievoll scheint. In Dublin war die Gruppe der irischen Terrier daher in zwei Klassen eingeteilt: auf der einen Seite solche, die weniger als 4 Kilo wiegen, auf der anderen auf denen, die mehr wiegen. Der Gewinner der Offenen Klasse warf derweil 14 Pfund auf die Waage. Im Bereich der Farben gab es eine ähnliche Vielfalt, da man zum Beispiel die Anwesenheit eines völlig weißen Exemplars feststellen konnte, aber auch Mehl, Weizen, Schwarz und Feuer, gestromt.
Es war daher notwendig, Ordnung in diese Vielzahl zu bringen, und im folgenden Jahr, insbesondere mit der Exposition von Lisburn, erwiesen sich diese Bemühungen als vorteilhaft. Auch in diesem Jahr wurde in Glasgow die Leistung der besten Fächer bemerkt, und 1876 wurde das Rennen einer eigenen Inschrift in einer englischen Ausstellung (in Bristol) würdig erachtet. Ab 1879 wurde dieser Hund mit der Gründung des Irish Terrier Clubs definitiv in die Welt der Hunde eingeführt. Die Auswahl der typischsten Motive, der gewünschten Farbe, ging dann schnell voran, und selbst wenn es noch einige Kontroversen gab, vor allem über ihre Größe, wurde der erste Standard bald definiert.
Die ersten Unterstützer des irischen Terriers schätzten sicherlich die Veröffentlichung von Vero Shaws Illustrated Book of the Dog im Jahre 1881, die zu seinem Ruhm beitrug, indem er ihn in der schmeichelhaftesten Weise darstellte. Um dieses von Herrn W. Krehl gezeichnete Porträt zu lesen, war der Irish Terrier wirklich ein fast universeller Hund, der in der Lage war, viele Rassen in seiner Spezialität zu vereinen. Natürlich war er als Baugrube ein Draufgänger, ein tapferer Jäger von Ottern, Dachse, Füchse, aber er erwies sich auch für jeden Gewehrjäger als sehr nützlich, der so kräftig bürstete wie Spaniel, ein hervorragender Kaninchenbaum, aber immer noch Retriever, zu Hause an Land und im Wasser. Auf dem Hof oder im Garten war dieser wachsame Wächter unbestechlich und für die Furcht unzugänglich. Endlich, im Haus, wurde er ein sehr sanfter Hund, tief verbunden mit seinen Meistern. Der Autor; Englisch; Solch hohes Lob konnte seinen Landsleuten widersprechen, die, große Terrier-Liebhaber, vielleicht nicht die gleiche Begeisterung für den irischen Hund zeigten, aber die wachsende Popularität des irischen Terriers genügte, um diese Behauptungen zu rechtfertigen.
Die Rasse hat in der Tat Beispiele für die Vielfalt ihrer Verdienste gegeben. Irish wurde erfolgreich als Sträucher und Retriever in den Kerry Mountains eingesetzt, er wurde in Afrika als Großwild gejagt, er half britischen Soldaten im Ersten Weltkrieg als Schütze. Darüber hinaus wurde die Bindung dieses Hundes an den Menschen sozusagen sprichwörtlich, nachdem mehrere Subjekte zu verschiedenen Gelegenheiten ihren Herrn und ihr Haus durch beträchtliche Entfernungen gefunden hatten.
Der Irish Terrier ist wirklich nicht für Nebenrollen oder Figurationen geeignet. Es ist seit Anfang des Jahrhunderts bis in die 1920er Jahre eine der beliebtesten Terrierrassen. Denken Sie daran, dass zu dieser Zeit die britischen Groomers, ehemalige Meister in der Kunst des Trimmens, die Silhouetten entwickelt haben, die jedem Terrier eigen sind; So schnitzten und verfeinerten sie ihre Linien entsprechend den Stärken ihrer jeweiligen Morphologien und brachten diesen rustikalen und kochenden Jägern einen unleugbaren Chic und eine Unterscheidung.
Wie Sie vielleicht erwarten, hat diese Mode nicht ihren Nachteil gehabt. Eine wachsende Zahl von Terriern befand sich in ungeeigneten Händen, in Häusern, in denen sie nicht gedeihen konnten. Terrier und insbesondere Iren haben die Schwächen ihrer Qualitäten. Diese ungestümen, aber freimütigen Hunde fühlen sich nicht wohl, wenn sie um Diskretion gebeten werden, und das städtische Leben, das entweder untätig oder übermäßig sesshaft ist, ist nicht ihre Stärke. Wenn sie den stolzhaarigen spielen, ist es, dass, nicht demonstrativ, sie ihr Bedürfnis der Zärtlichkeit nicht zeigen wollen. Die Öffentlichkeit, die sich nicht darum gekümmert hat, die tiefe Natur der Terrier zu verstehen, wandte sich vor dem Ausbruch des Zweiten Weltkriegs, die die Anzahl der Farmen dezimierte, anderen Rassen zu von Terriern. Seitdem hat der Irish Terrier all seine Hartnäckigkeit genutzt, um etwas von seinem früheren Glanz wiederzuerlangen.
Es ist wahr, dass dieser Hund der "Draufgänger" der Terrier ist; Das sagt nicht viel. Draufgänger, das ist sein Spitzname in seinem Land, und das englische Wort ist nicht zu stark: die Iren wären in der Lage, sich dem Teufel persönlich zu stellen. Dieser Hund ist daher ein Kontakt, der sowohl im wörtlichen als auch im übertragenen Sinn ein wenig rau ist, und doch sollten wir keine Angst haben, ihn zu reiben. Mit großer, von wohlwollender Geduld durchdrungener Festigkeit kann man sein unabhängiges und hartnäckiges Temperament überwinden, aber Brutalität ist nicht angezeigt, weil es eher die Härte seines Charakters stärken würde. Ein energischer Meister, der darauf achtet, fair in seinen Belohnungen und Bestrafungen zu sein, ist das Ideal für diesen Hund, der seinerseits der sicherste und treueste Begleiter sein wird.
Natürlich braucht dieses zuströmende Tier viel Bewegung, und wenn es die Fähigkeit hat, all seine Energie in Ruhe auszugeben, wird es in der Intimität ausgeglichen und ruhig sein. Mit Kindern gut, versteht er sich gut mit Senioren und konzentriert sich auf ihre Sicherheit und die ihrer Sachen. Wir dürfen uns nicht irren: Dieses "Tough" fühlt eine enorme Zärtlichkeit für seine Mitmenschen.
Der Irish Terrier ist ein geborener Jäger, und es ist bedauerlich, dass wir diese Bestimmungen nicht häufiger anwenden. Wenn er ein wenig zu groß ist, um alle Höhlen zu durchdringen, kann er dennoch dem Nimrod auf der Jagd nach dem abwechslungsreichsten Spiel helfen, dank seiner Ausdauer, seines Mutes, seiner Lebendigkeit und seines Flairs. In Bezug auf andere Hunde sollten Sie die Iren nicht um viel Nachsicht bitten. Er kann es nicht ertragen, in sein Territorium eingegriffen zu werden, und zögert nicht, auf irgendwelche Anzeichen von Aggression zu reagieren, ungeachtet der Größe seines "Gegners".
In Bezug auf seine Pflege, wie alle hart-pelzigen Terrier, die "gebrochen" genannt werden, müssen die Iren regelmäßig epiliert werden, und dies von einem Spezialisten. Terrier sind keine sperrigen Hunde, und der Ire ist keine Ausnahme, aber dieser Hund braucht viel Platz durch sein extrovertiertes und sicheres Temperament und noch mehr im Herzen des Meisters, der es zu verstehen verstand. |
 |
|
Terrier irlandés FCI Standard No. 139
|
|
|
Origen
|
|
Irlanda |
Traducción
|
|
Lic. Oscar Valverde (Costa Rica). Actualizada por J. Nallem (Kennel Club Uruguayo) |
Grupo
|
|
Grupo 3 Terriers |
Sección
|
|
Sección 1 Terriers de talla grande y media |
Prueba de trabajo
|
|
Sin prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
|
|
viernes 28 enero 1955 |
Publicación del estándar oficial válido
|
|
martes 13 marzo 2001 |
Última actualización
|
|
viernes 14 junio 2002 |
En français, cette race se dit
|
 |
Terrier irlandais |
In English, this breed is said
|
 |
Irish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
|
 |
Irischer terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
|
 |
Ierse Terrier |
Utilizacion
|
Es un perro de granja, mascota familiar, perro de guardia muy susceptible al peligro o heridas, cazador y perro para el trabajo después del disparo. |
|
Breve resumen historico
|
Irlanda ha producido cuatro razas de terriers, todas las cuales son notablemente diferentes a los terriers en el continente y en Inglaterra. El perro denominado oficialmente Terrier Irlandés es posiblemente el más antiguo de todas las razas de terriers irlandeses, pero los registros son tan escasos que resultaría difícil comprobarlo definitivamente. Antes de 1880 el color del Terrier Irlandés no había sido definido. Además del rojo, algunas veces se les encontraba de color negro y fuego o en otras atigrado. A finales del siglo XIX se hicieron esfuerzos por eliminar los colores negro y fuego y el atigrado, de tal forma que para el siglo XX todos los Terriers Irlandeses tenían manto color rojo. El Terrier Irlandés de manto rojo pronto hizo su aparición en las exposiciones en Inglaterra y en los Estados Unidos, donde fue recibido con entusiasmo. La reputación del Terrier Irlandés se acrecentó durante la Primera Guerra Mundial, cuando se les utilizó como perros mensajeros en medio del ruido aterrador y la confusión en las trincheras de guerra, probando así su inteligencia y valentía. El primer club de la raza se formó en Dublín el 31 de marzo de 1879, y el Terrier Irlandés fue el primer miembro del grupo de los terriers en ser reconocido por el Kennel Club Inglés a finales del siglo XIX como una raza nativa de Irlanda. |
Aspecto general
|
El perro debe presentar una apariencia activa, vivaz, ágil y nervuda, mucha sustancia, y al mismo tiempo libre de torpeza, ya que la velocidad y la resistencia así como la fortaleza son muy esenciales. No debe ser grueso ni robusto, sino estar bien construido dentro de líneas que denoten velocidad y presentar un elegante aspecto de corredor. |
Temperamento / comportamiento
|
El Terrier Irlandés, aunque es un perro de caza y capaz de enfrentarse a otros perros, es extraordinariamente leal, de buen temperamento y cariñoso con el hombre, pero cuando se le ataca tiene el coraje de un león y peleará hasta el final. Su reputación de buscar camorra con otros perros, algunas veces aun en la pista de exposiciones, no la merece. Si bien es cierto que puede ser fiero cuando las circunstancias lo merecen, el Terrier Irlandés se puede adiestrar fácilmente y es una mascota delicada, manteniéndose fiel a su antigua descripción de ser « el centinela del hombre menesteroso, el amigo del granjero y el favorito del caballero ». |
Cabeza
|
Region craneal
|
Cabeza
|
|
Larga, libre de arrugas. |
Cráneo
|
|
Aplanado y bastante estrecho entre las orejas; se estrecha levemente hacia los ojos. |
Depresión naso-frontal (stop)
|
|
Difícilmente visible excepto de perfil. |
Facial region
|
Trufa
|
|
Debe ser negra. |
Belfos
|
|
Deben ser muy adherentes, y en su parte externa deben ser de color casi negro. |
Mandíbulas / Dientes
|
|
Maxilares: Deben ser fuertes, musculosos, de buen largo y temibles. Dientes: Deben ser fuertes, nivelados, sin caries, los incisivos superiores sobreponiéndose levemente a los incisivos inferiores. |
Mejillas
|
|
No muy prominentes. Deben tener un leve declive debajo del ojo, de manera tal que no presenten una apariencia de Greyhound. |
Ojos
|
|
Deben ser de color oscuro, pequeños, no prominentes y llenos de vida, fuego e inteligencia. Los ojos de color claro o amarillo son muy objetables. |
Orejas
|
|
Pequeñas y en forma de V, de grosor moderado, bien implantadas en el cráneo y caen hacia adelante junto a las mejillas. La línea superior del doblez de la oreja debe estar muy por encima del nivel del cráneo. Orejas colgando al lado del cráneo, como las de un sabueso, no son una característica del terrier, en tanto que orejas semi-erecta son aún más indeseables. El pelo de las orejas debe ser corto y de color más oscuro que el pelo del cuerpo. |
Cuello
|
De largo moderado y se ensancha gradualmente hacia las escápulas, con buen porte y sin papada. Generalmente tiene un pequeño remolino de pelo, visible a cada lado del cuello, que va casi hasta el ángulo de la oreja. |
Cuerpo
|
Generalidad
|
|
Debe ser simétrico, ni muy largo ni muy corto. |
Espalda
|
|
Debe ser fuerte y recta, sin ninguna apariencia de flojedad detrás de los hombros. |
Lomo
|
|
Musculoso y ligeramente arqueado; el lomo de las hembras puede ser ligeramente más largo que el de los machos. |
Pecho
|
|
Profundo y musculoso, sin ser prominente o ancho. Las costillas deben ser bastante arqueadas, profundas y llevadas bien hacia atrás. |
Cola
|
De inserción bastante alta, llevada alegremente, pero no sobre el dorso o enroscada; buena firmeza y sustancia y de buen largo. Por costumbre se amputa una tercera parte de su largo original; debe estar bien cubierta de pelo áspero, duro, y no debe tener flecos o ser en forma de pluma. La cola natural (sin amputar) es sólo permitida en países donde las amputaciones están prohibidas por ley. |
Tanto las extremidades anteriores como las posteriores deben moverse derechas hacia adelante. |
Miembros anteriores
|
Hombro
|
|
Deben ser nítidos, largos y bien inclinados hacia atrás. |
Codo
|
|
Deben moverse libremente sin ningún obstáculo a los lados. |
Antebrazo
|
|
Moderadamente largos, perfectamente rectos con buen hueso y músculo. |
Metacarpo
|
|
Cortos y rectos, apenas perceptibles. |
Miembros posteriores
|
Generalidad
|
|
Deben ser fuertes y musculosos. |
Muslo
|
|
Potentes. |
Rodilla
|
|
Moderadamente anguladas. |
Corvejón
|
|
Bien descendidos. |
Pies
|
Los pies deben ser fuertes, medianamente redondos y moderadamente pequeños; los dedos arqueados, sin girar hacia adentro o hacia afuera; las uñas negras son muy deseables. Almohadillas sanas y sin presentar grietas o excrecencias corneas. |
Movimiento
|
Las extremidades anteriores y posteriores deben ser llevadas derechas hacia adelante y paralelamente; los codos se mueven paralelos al eje del cuerpo, sin ningún obstáculo a los lados; las articulaciones femoro-tibio-rotulianas (rodillas) no deben ser giradas hacia adentro o hacia afuera. |
Manto
|
Pelo
|
|
Pelo: El pelo debe ser denso y de textura como de alambre, y presentar una apariencia quebradiza, dura pero de todas formas manteniéndose chato. El pelo crece tan junto y denso que cuando se separa con los dedos no se puede ver la piel; no debe ser suave ni sedoso, ni tan largo que oculte la figura del cuerpo, particularmente en las extremidades posteriores, y no debe tener bucles o rizos. El pelo de la cara debe tener la misma textura que el del cuerpo, pero debe ser corto (0,75 cms de largo), casi liso y aplastado; una escasa barba es el único pelo largo (y es únicamente largo en comparación con el resto del pelo), lo cual es una característica. Una barba de « cabra » sugiere la existencia de mal pelo y sedoso de manera general en todo el manto. Miembros: No deben tener flecos y deben estar cubiertos, al igual que la cabeza, de pelo con una textura dura como el que cubre el cuerpo, pero no tan largo. |
Color
|
|
Debe ser de un color uniforme, se prefiere más el color rojo brillante, leonado rojizo, o amarillo rojizo. El color blanco aparece algunas veces en el pecho, una pequeña cantidad de blanco es frecuentemente vista en aquellas razas de un solo color. |
Tamaño y peso
|
Altura a la cruz
|
|
Aproximadamente 45,5 cm (18 pulgadas). |
Peso
|
|
Los machos 12,25 kg (27 libras inglesas, las hembras 11,4 kg (25 libras inglesas). |
Faltas
|
• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
|
Faltas descalificantes:
|
Agresividad o extrema timidez.
Trufa: Cualquier color distinto al negro.
Maxilar: Prognatismo o enognatismo evidentes.
Color: Cualquier color distinto del rojo, amarillo rojizo o leonado rojizo ; se permite una pequeñ a mancha blanca en el pecho, como en otras razas de color uniforme.
Pies: Excrecencias corneas o grietas en las almohadillas. |
NB :
|
• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
|
Es probable que para contrastar mejor con los pastos verdes de su país que el Terrier irlandés se haya puesto un abrigo de pieles rojo. Este orgulloso "pelirrojo", que resulta ser el "temerario" de la especie canina, ciertamente nunca ha reclamado discreción, y puede parecer sorprendente que no haya revelado sus orígenes. De hecho, si se considera generalmente que es un perro muy viejo "que siempre ha vivido en Irlanda", esta tesis no va acompañada de ningún elemento histórico preciso.
Es cierto que no sabemos más sobre la mayoría de los Terriers. La aristocracia, en las Islas Británicas como en muchos otros lugares, habiéndose arrogado la posesión de los perros comunes, los Spaniels, los Galgos y los mastines de raza fuerte, quedaba a la gente, para cazar, solo las Madrigueras. , perros "buenos para hacer todo", poco voluminosos, que cuestan poco, valientes y sólidos. Por supuesto, los anales de la historia no se han ocupado, con algunas excepciones, de pasar las hazañas de estos perros modestos a la posteridad.
En cuanto a los primeros cinófilos ingleses, no sabían casi nada sobre la riqueza canina de Irlanda. Así, Thomas Pearce, que escribió en 1872 bajo el seudónimo de Idstone, el tratado más completo de su época sobre las diferentes razas de perros, no mencionó al Terrier irlandés. Además del gigantesco y legendario Irish Wolfhound, que obviamente no podía ser ignorado, se consideró que la verde Erin era el hogar de un grupo de perros bastardos. También será necesario esperar hasta 1922 para que el Kerry-Blue Terrier aparezca en las exhibiciones inglesas, 1943, para que el Soft Coated Wheaten Terrier cruce el Mar de Irlanda. En cuanto a Glen of Imaal, aunque reconocido por el British Kennel Club desde 1975, apenas está fuera de su país de origen.
Todos estos perros típicos irlandeses cazaron durante siglos zorros y otros animales llamados "dañinos", conejos o incluso jabalíes. Es muy difícil, incluso hoy, especificar los lazos de parentesco entre estas razas, y aún más para decidir cuál, el más cercano a un tipo original, sería el antepasado de los otros. Sin embargo, se cree que el Terrier irlandés se origina en el sureste de Irlanda, particularmente en el condado de Cork, y en el área de Ballymena en el norte.
No fue mucho después de 1870 que se decidió seleccionar los primeros terrieres irlandeses, una tarea bastante necesaria para el enfoque de la exposición que se celebrará en Dublín en 1874. No menos de uno Cincuenta sujetos fueron presentados, pero eran de tipos muy diferentes, y muchos incluso tenían ninguna duda usurparon la denominación de Terriers. Cabe señalar que la cinofilia tartamudeaba entonces, y no solo en Irlanda, lo que explica que todo lo relacionado con los nombres de razas, genealogías, clases de exposiciones parece hoy bastante imaginativo. En Dublín, por lo tanto, el grupo de terriers irlandeses se había dividido en dos clases: por un lado, aquellos que pesaban menos de 4 kilos (9 libras), por el otro, aquellos que pesaban más. El ganador de la clase abierta acusó, mientras tanto, 14 libras en la balanza. En el campo de los colores, había una diversidad similar, ya que era posible observar, por ejemplo, la presencia de un espécimen completamente blanco, pero también había roux, trigo, negro y fuego, atigrado.
Por lo tanto, era necesario poner orden entre esta multitud, y al año siguiente, en particular con la exposición de Lisburn, estos esfuerzos demostraron ser beneficiosos. Ese año, también, la actuación de los mejores temas se notó en Glasgow, y en 1876 la carrera se consideró digna de una inscripción separada en una exposición inglesa (en Bristol). Desde 1879, este perro se lanzó definitivamente al mundo de los perros con la creación del Irish Terrier Club. La selección de los temas más típicos, del color deseado, progresó rápidamente y, aunque todavía había algunas controversias, especialmente sobre su tamaño, pronto se definió el primer estándar.
Los primeros seguidores del Terrier irlandés sin duda apreciaron la publicación, en 1881, del libro ilustrado del perro de Vero Shaw, que contribuyó a su fama al retratarlo de la manera más halagüeña. Para leer este retrato, dibujado por el Sr. W. Krehl, el Terrier irlandés era realmente un perro casi universal, capaz de hacer coincidir muchas razas en su especialidad. Naturalmente, como una madriguera, era un temerario, un valiente cazador de nutrias, tejones, zorros, pero también demostró ser muy útil para cualquier cazador de rifles, cepillando tan vigorosamente como Spaniel, un conejo excepcional, pero Still retriever, igualmente en casa en tierra y en el agua. En la granja o en el jardín, este guardián vigilante era incorruptible e inaccesible al miedo. Finalmente, en la casa, se convirtió en un perro muy gentil, profundamente apegado a sus amos. El autor Inglés; Tantos elogios podrían ser contradichos por sus compatriotas, quienes, grandes amantes de los Terriers, podrían no mostrar el mismo entusiasmo por el perro irlandés, pero la creciente popularidad del Terrier irlandés fue suficiente para justificar estas afirmaciones.
La raza, de hecho, ha dado ejemplos de la multiplicidad de sus méritos. Irlandés fue empleado con éxito como arbusto y perro perdiguero en las montañas de Kerry, fue cazado en África, ayudó a los soldados británicos durante la Primera Guerra Mundial al actuar como fusilero. Además, el apego de este perro al hombre se hizo proverbial, por así decirlo, después de que varios sujetos, en diferentes ocasiones, habían encontrado a su amo y su casa atravesando distancias considerables.
El Terrier irlandés realmente no es adecuado para papeles de apoyo o figuración. Ha sido una de las razas Terrier más populares desde el comienzo del siglo hasta la década de 1920. Recuerde que fue en este momento que los peluqueros británicos, maestros del pasado en el arte de recortar, han desarrollado las siluetas particulares de cada Terrier; por lo tanto, tallaron y refinaron sus líneas de acuerdo con las fortalezas de sus respectivas morfologías, trayendo a estos cazadores rústicos y hirvientes una elegancia y distinción innegables.
Como era de esperar, esta moda no dejó de tener su lado negativo. Un número creciente de Terriers se encontraron en manos inexpertas, en hogares que no les permitieron florecer. Los terriers, y los irlandeses en particular, tienen los defectos de sus cualidades. Estos perros impetuosos pero francos no se sienten a gusto si se les pide que sean discretos, y la vida urbana, ociosa o excesivamente sedentaria, no es su fuerte. Si interpretan a los orgullosos, es que, no demostrativos, no quieren mostrar su necesidad de ternura. El público, que no se molestó en comprender la naturaleza profunda de los Terriers, terminó recurriendo a otras razas más repetitivas, y esto antes del estallido de la Segunda Guerra Mundial, que diezmó el número de granjas de Terriers. Desde entonces, afortunadamente, el Terrier irlandés ha utilizado toda su obstinación para recuperar parte de su lustre pasado.
Es cierto que este perro es el "temerario" de Terriers; que no dice mucho Daredevil, este es su apodo en su país, y la palabra en inglés no es demasiado fuerte: los irlandeses podrían enfrentar al diablo en persona. Por lo tanto, este perro es un contacto un tanto áspero, literal y figurativamente, y sin embargo, no debemos temer frotarlo. Con gran firmeza imbuido de una paciencia benévola, uno puede superar su temperamento obstinado e independiente, pero la brutalidad no está indicada, porque más bien fortalecería la dureza de su carácter. Un maestro enérgico, cuidadoso de ser justo en sus recompensas y castigos, es el ideal para este perro que, a su vez, será el compañero más seguro y devoto.
Naturalmente, este animal influido necesita mucho ejercicio y, si tiene la capacidad de gastar toda su energía en el ocio, será equilibrado y tranquilo en la intimidad. Agradable con los niños, se lleva bien con las personas mayores, centrándose en su seguridad y la de sus pertenencias. No debemos estar equivocados: este "duro" siente una inmensa ternura por quienes lo rodean.
The Irish Terrier es un cazador nato, y es desafortunado que no usemos estas disposiciones con más frecuencia. Si es un poco alto para penetrar todas las madrigueras, no obstante es capaz de ayudar al nimrod en la búsqueda del juego más diverso, gracias a su resistencia, su coraje, su vivacidad y su talento. Con respecto a otros perros, no debes pedirle a los irlandeses mucha indulgencia. No puede soportar que lo invadan en su territorio y no duda en responder ante cualquier signo de agresión, independientemente del tamaño de su "oponente".
En cuanto a su aseo, como todos los Terriers de pelo duro, llamado "roto", los irlandeses deben ser depilados con regularidad, y esto, por un especialista. Los terriers no son perros voluminosos, y el irlandés no es la excepción, pero este perro ocupa mucho espacio gracias a su temperamento extrovertido y seguro, y aún más en el corazón del maestro que sabía cómo entenderlo. |
 |
|
Ierse Terrier FCI standaard nr. 139
|
|
|
Land van oorsprong
|
|
Ierland |
Vertaling
|
|
Francis Vandersteen |
Groep
|
|
Groep 3 Terriërs |
Sectie
|
|
Sectie 1 Grote en middelgrote Terriers |
Werkproef
|
|
Zonder werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
|
|
vrijdag 28 januari 1955 |
Publicatie van de geldende officiële norm
|
|
dinsdag 13 maart 2001 |
Laatste update
|
|
maandag 02 april 2001 |
En français, cette race se dit
|
 |
Terrier irlandais |
In English, this breed is said
|
 |
Irish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
|
 |
Irischer terrier |
En español, esta raza se dice
|
 |
Terrier irlandés |
Gebruik
|
Veelzijdige erf hond, familie huisdier, waakhond met volslagen minachting voor gevaar of pijn, jager en jachthond. |
|
Kort historisch overzicht
|
Ierland heeft geproduceerd vier Terrier rassen, die allemaal duidelijk verschillend van terriers op het continent en in Engeland. De hond nu officieel heet Ierse Terriër is misschien wel de oudste van de Ierse terriër rassen maar platen zijn zo schaars dat het moeilijk zou zijn om dit overtuigend te bewijzen. Vóór de jaren 1880 de kleur van de Ierse Terriër niet was beslecht. Behalve rood waren ze soms black and tan en soms gestroomd. Aan het eind van de 19e eeuw inspanningen werden gedaan om te fokken uit de black and tan en de gestroomd, zodat door de 20e eeuw alle Ierse Terriers toonde de rode jas. De rode gecoate Ierse Terriër binnenkort zijn intrede bij de show bankjes in Engeland en in de Verenigde Staten, waar hij enthousiast werd ontvangen. De reputatie van de Ierse Terriër werd versterkt tijdens de Eerste Wereldoorlog, toen ze werden gebruikt als boodschapper honden in de angstaanjagende lawaai en de verwarring van de loopgravenoorlog, waardoor zowel hun intelligentie en hun onverschrokkenheid bewijzen. De eerste rasvereniging werd opgericht in Dublin op 31 maart 1879 en de Ierse Terriër was het eerste lid van de terriër groep door het Engels Kennel Club erkend te worden in de late 19e eeuw als een native Ierse Ras. |
Algemeen totaalbeeld
|
De hond moet een actieve, levendige, lenige en pezige verschijning presenteren; veel stof, tegelijkertijd zonder onhandigheid, snelheid en uithoudingsvermogen en kracht is zeer essentieel. De Ierse Terriër moet Noch "plomp noch gedrongen" zijn, maar moet worden ingelijst aan de "regels van de snelheid" toont een sierlijke racy outline. |
Gedrag en karakter (aard)
|
De Ierse Terrier, terwijl het spel en de staat van het bedrijf zijn eigen met andere honden, is opvallend loyaal, goed gehumeurd en aanhankelijk met de mensheid, maar zodra hij wordt aangevallen, heeft hij de moed van een leeuw en zal vechten tot het bittere einde. Reputatie van de hond voor het krijgen in kladjes met anderen, soms zelfs in de showring, is onterecht. Hoewel de terriër hevig kan zijn wanneer de omstandigheden daartoe aanleiding geven, wordt de Ierse Terriër makkelijk te trainen en een zachtaardige hond, leven tot aan zijn vroege beschrijving als "de arme man schildwacht, vriend van de boer en de gentleman's favoriet". |
Hoofd
|
Bovenschedel
|
Hoofd
|
|
Lang, vrij van rimpels. |
Schedel
|
|
Plat en vrij smal tussen de oren, het krijgen van iets smaller richting de ogen. |
Stop
|
|
Nauwelijks zichtbaar behalve in profiel. |
Facial region
|
Neus
|
|
Moet zijn zwart. |
Lippen
|
|
Moet goed passen en extern bijna zwart van kleur. |
Kiezen / tanden
|
|
Kaak: Moet sterk en gespierd, van goede lengte straffen. Tanden: Moet sterk, niveau, vrij zijn van kanker en de bovenste snijtanden lichtjes over de onderste. |
Wangen
|
|
Niet te vol. Er moet een kleine afstand onder het oog vallende om niet een Greyhound uitzien. |
Ogen
|
|
Zou moeten zijn donker van kleur, klein, niet prominent en vol leven, vuur en intelligentie. Een geel of licht oog is het meest verwerpelijk. |
Oren
|
|
Klein en V-vormig, van middelmatige dikte goed ingesteld op het hoofd en het laten vallen van voren dicht tegen de wang. De bovenste regel van het gevouwen oor moet goed boven het niveau van het hoofd. Een oor opknoping aan de zijkant van het hoofd, zoals een hond is, is niet kenmerkend voor de terrier, terwijl een oor dat halfopgaand, is nog ongewenst. Het haar op het oor moet kort en donkerder van kleur dan die van het lichaam. |
Hals
|
Zou moeten zijn van een eerlijke lengte en geleidelijk verbredend naar de schouders, goed gedragen en vrij van keelhuid. Er is algemeen een lichte soort franje toegankelijk aan weerskanten van de hals, loopt bijna aan het oor. |
Lichaam
|
Algemeenheid
|
|
Zou moeten zijn symmetrische, niet te lang of te kort. |
Rug
|
|
Moet zijn sterk en recht, zonder het verschijnen van slapte achter de schouders. |
Lendenpartij
|
|
Gespierd en zeer licht gewelfd. Een teef mag iets langer zijn in koppelingen dan een hond. |
Borst
|
|
Diep en gespierd maar noch volledige noch breed. Ribben tamelijk gewelfd, vrij diep dan rond en goed geribbelde rug. |
Staart
|
Moet worden ingesteld op tamelijk hoog, vrolijk gedragen, maar niet over de rug of gekruld. Het moet van goede sterkte en stof en vrij lang. Gewoonlijk wordt de staart gecoupeerd, zodat tweederde van de oorspronkelijke lengte blijft. De staart moet goed worden bedekt met ruw haar en vrij van franje of veren. Alleen een natuurlijke staart (losgekoppeld) is toegestaan in landen waar de docking wordt verboden door de wet. |
Zowel voor- en achterbenen moeten recht naar voren worden verplaatst. |
Voorhand
|
Schouders
|
|
Moet wel goed, lang en schuin. |
Ellebogen
|
|
Werken vrij duidelijk van de zijkanten. |
Onderarm
|
|
Matig lange kaarsrechte met veel botten en spieren. |
Voormiddenvoet
|
|
Kort en recht, nauwelijks merkbaar. |
Achterhand
|
Algemeen
|
|
Moet zijn sterk en gespierd. |
Dijbeen
|
|
Krachtig. |
Knie
|
|
Matig gebogen. |
Spronggewricht
|
|
Dicht bij de grond. |
Voeten
|
Moet sterk, tamelijk rond en matig klein zijn, tenen gebogen en noch bleek ook niet in, zwarte teennagels meest wenselijke. Pads stabiel en vrij van scheuren of oubollig uitwas. |
Gangwerk
|
Voor- en achterbenen recht naar voren gedragen en parallel, ellebogen bewegen parallel aan de as van het lichaam, het werken vrij van zijden, verstikt noch naar binnen noch naar buiten. |
Coat
|
Haarkwaliteit
|
|
Moet zijn dicht en pezige in textuur, met een gebroken uiterlijk, maar nog steeds plat, de haren zo nauw en groeiende sterk samen dat toen afscheid met de vingers, de huid kan niet worden gezien, vrij van zachtheid en zachtheid en niet zo lang als te verbergen de contouren van het lichaam, met name in de achterhand en zonder slot of krullen. Haren op het gezicht van dezelfde omschrijving als op het lichaam maar kort (ongeveer driekwart van een centimeter lang), bijna glad en recht, een lichte baard is de enige lange haren (en alleen lang in vergelijking met de rest) dat is toegestaan en is kenmerkend. Een "geiten" baard is suggestief van daar die zijdeachtig en bad hair loopt door de vacht in het algemeen. Benen: Vrij van veren en bedekt, zoals het hoofd, met een zo hard textuur van de vacht als lichaam, maar niet zo lang. |
Haarkleur
|
|
Moet worden "geheel gekleurd" zijn rood, rood-tarwe of geel-rood. Witte soms op de borst. Een kleine hoeveelheid wit vaak worden gezien in alle eenkleurige rassen. |
Maat en gewicht
|
Schouderhoogte
|
|
Ongeveer 18 inch (45,5cm). |
Gewicht
|
|
Reuen 27lbs (12.25kg). Teven 25lbs (11.4kg). |
Defecten
|
• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
|
Defecten die leiden tot uitsluiting
|
Agressief of schuw.
Neus: Elke andere kleur dan zwart.
Jaws: Beslist ondervoorbijtend of overschreden.
Kleur: Een ander gebruik dan rood, geel rood of roodtarwe; Een kleine witte vlek op de borst is toegestaan in andere geheel gekleurde rassen.
Voeten: Corny uitwas of scheuren op pads. |
NB :
|
• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
|
Het is waarschijnlijk beter te contrasteren met de groene weiden van zijn land dat de Ierse Terriër een rode bontjas heeft aangetrokken. Deze trotse "roodharige", die toevallig de "waaghals" van de hondensoort is, heeft zeker nooit discretie opgeëist en het kan verrassend lijken dat hij zijn afkomst niet heeft onthuld. Inderdaad, als het over het algemeen als een zeer oude hond wordt beschouwd "die altijd in Ierland heeft gewoond", gaat dit proefschrift niet gepaard met een nauwkeurig historisch element.
Het is waar dat we niet meer weten over de meeste terriërs. De aristocratie, op de Britse eilanden en op vele andere plaatsen, hebben zich het bezit van de gewone honden, de Spaniels, de Greyhounds en de Mastiffs van een sterk ras toegeëigend, er bleven de mensen over om te jagen, alleen de Burrows , honden "goed om alles te doen", beetje log, klein, dapper en solide. Natuurlijk zijn de annalen van de geschiedenis, op enkele uitzonderingen na, niet bezig geweest met het doorgeven van de heldendaden van deze bescheiden honden aan het nageslacht.
Wat betreft de eerste Engelse cynophiles, wisten ze bijna niets van de Ierse hondenrijkdom. Zo noemde Thomas Pearce, die in 1872 onder het pseudoniem Idstone de meest complete verhandeling van zijn tijd over de verschillende rassen van honden schreef, de Ierse Terrier niet. Afgezien van de gigantische en legendarische Ierse Wolfshond, die uiteraard niet kon worden genegeerd, werd aangenomen dat de groene Erin alleen een menigte bastaardhonden beschutte. Het zal ook nodig zijn om tot 1922 te wachten totdat de Kerry-Blue Terrier op de Engelse tentoonstellingen 1943 verschijnt voor de Soft Coated Wheaten Terrier om de Ierse Zee over te steken. Wat betreft de Glen of Imaal, hoewel erkend door de British Kennel Club sinds 1975, is het nauwelijks uit zijn land van herkomst.
Al deze typisch Ierse honden jaagden eeuwenlang op vossen en andere dieren die "schadelijk", konijnen of zelfs wilde zwijnen werden genoemd. Het is heel moeilijk, zelfs vandaag, om de verwantschapsbanden tussen deze rassen te specificeren, en nog meer om te beslissen welke, het dichtst bij een origineel type, de voorouder van de anderen zou zijn. Van de Ierse Terrier wordt echter gedacht dat deze afkomstig is uit het zuidoosten van Ierland, met name Cork County, en het Ballymena-gebied in het noorden.
Niet lang na 1870 werd besloten om de eerste Irish Terriers te selecteren, een taak die heel noodzakelijk was voor de nadering van de tentoonstelling die in 1874 in Dublin werd gehouden. Niet minder dan één Vijftig onderwerpen werden gepresenteerd, maar ze waren van heel verschillende typen en velen hadden zelfs ongetwijfeld de benaming van Terriers overgenomen. Opgemerkt moet worden dat cynophilia stamelde toen, en niet alleen in Ierland, wat verklaart dat alles met betrekking tot de namen van rassen, stambomen, klassen van tentoonstellingen lijkt vandaag de dag nogal grillig. In Dublin was de groep Ierse Terriërs daarom verdeeld in twee klassen: aan de ene kant minder dan 4 kilo (9 ponden), aan de andere kant meer dan 4 kilo. De winnaar van de open klasse beschuldigde ondertussen 14 pond op de schaal. Op het gebied van kleuren was er een vergelijkbare diversiteit, omdat het bijvoorbeeld mogelijk was om de aanwezigheid van een volledig wit exemplaar te noteren, maar er waren ook roux, tarwe, zwart en vuur, gestroomd.
Het was dus noodzakelijk om orde te scheppen onder deze massa, en het volgende jaar, met name met de blootstelling van Lisburn, bleken deze inspanningen nuttig te zijn. Dat jaar werd ook de prestatie van de beste onderwerpen opgemerkt in Glasgow, en in 1876 werd de race waardig beschouwd als een aparte inscriptie in een Engelse tentoonstelling (in Bristol). Vanaf 1879 werd deze hond definitief geïntroduceerd in de hondenwereld met de oprichting van de Ierse Terrier Club. De selectie van de meest typische onderwerpen, van de gewenste kleur, vorderde vervolgens snel en zelfs als er nog steeds enige controverses waren, vooral over hun grootte, werd de eerste standaard al snel gedefinieerd.
De eerste aanhangers van de Ierse Terriër waardeerden zeker de publicatie in 1881 van Vero Shaw's geïllustreerde boek van de hond, die bijdroeg aan zijn roem door hem op de meest flatterende manier af te schilderen. Om dit portret te lezen, getekend door de heer W. Krehl, was de Ierse Terrier echt een bijna universele hond, in staat om vele rassen in hun specialiteit te matchen. Natuurlijk, als een hol, was hij een waaghals, een dappere jager van otters, dassen, vossen, maar hij bleek ook zeer nuttig voor een geweer jager, net zo krachtig als Spaniel, een uitstekende konijn-boom, maar nog steeds retriever, even thuis op het land en in het water. Op het erf of in de tuin was deze waakzame voogd onvergankelijk en ontoegankelijk voor angst. Eindelijk, in het huis, werd hij een heel zachtaardige hond, diep gehecht aan zijn meesters. De auteur; Engels; Een dergelijk hoog lof zou kunnen worden tegengesproken door zijn landgenoten, die, grote liefhebbers van Terriers, misschien niet hetzelfde enthousiasme toonden voor de Ierse hond, maar de groeiende populariteit van de Ierse Terrier was voldoende om deze beweringen te rechtvaardigen.
De race heeft in feite voorbeelden gegeven van de veelzijdigheid van zijn verdiensten. Iers was met succes in dienst als struikrubber en retriever in de Kerry Mountains, hij was op groot wild jaagde in Afrika, hij hielp Britse soldaten tijdens de Eerste Wereldoorlog door op te treden als een schutter. Bovendien werd de gehechtheid van deze hond aan de mens spreekwoordelijk, om zo te zeggen, nadat verschillende onderwerpen, bij verschillende gelegenheden, hun meester en hun huis hadden gevonden door grote afstanden af te leggen.
De Irish Terrier is echt niet geschikt voor ondersteunende rollen of figuraties. Het is een van de meest populaire Terrier-rassen sinds het begin van de eeuw tot de jaren 1920. Vergeet niet dat het de tijd was dat de Britse groomers, vroegere meesters in de kunst van het trimmen, de silhouetten hebben ontwikkeld die eigen zijn aan elke Terrier; aldus hebben zij hun lijnen gekerfd en verfijnd volgens de sterke punten van hun respectieve morfologieën, waardoor deze rustieke en kokende jagers een onmiskenbare chic en onderscheid worden.
Zoals je zou verwachten, heeft deze mode niet zijn nadeel gehad. Een groeiend aantal Terriers bevonden zich in ondeskundige handen, in huizen waar ze niet konden bloeien. Terriers, en in het bijzonder Ierse, hebben de tekortkomingen van hun kwaliteiten. Deze onstuimige maar openhartige honden voelen zich niet op hun gemak als ze gevraagd worden om discreet te zijn, en het stadsleven, inactief of overdreven sedentair, is niet hun sterkste punt. Als ze trotsharig zijn, is het dat ze niet demonstratief zijn en niet hun behoefte aan tederheid willen tonen. Het publiek, dat niet de moeite nam de diepe aard van de Terriers te begrijpen, wendde zich uiteindelijk tot andere rassen, meer gestructureerd, en dit vóór het uitbreken van de Tweede Wereldoorlog, waardoor het aantal boerenbedrijven werd gedecimeerd. van Terriers. Sindsdien heeft de Ierse Terrier gelukkig al zijn koppigheid gebruikt om een deel van zijn vroegere luister te herwinnen.
Het is waar dat deze hond de "waaghals" van Terriers is; wat niet veel zegt. Daredevil, dit is zijn bijnaam in zijn land, en het Engelse woord is niet te sterk: de Ieren zouden de duivel persoonlijk kunnen zien. Deze hond is daarom een contact een beetje ruw, letterlijk en figuurlijk, en toch moeten we niet bang zijn om het te wrijven. Met grote vastberadenheid doordrenkt met een welwillend geduld, kan men zijn koppige en onafhankelijke temperament overwinnen, maar brutaliteit is niet aangegeven, omdat het de taaiheid van zijn karakter eerder zou versterken. Een energieke meester, voorzichtig om eerlijk te zijn in zijn beloningen en straffen, is het ideaal voor deze hond die op zijn beurt de zekerste en meest toegewijde metgezel zal zijn.
Natuurlijk heeft dit influxed dier veel oefening nodig en als het de mogelijkheid heeft om al zijn energie vrij te besteden, zal het evenwichtig en kalm zijn in intimiteit. Leuk met kinderen, hij kan goed overweg met senioren, gericht op hun veiligheid en die van hun bezittingen. We moeten ons niet vergissen: deze "stoere" voelt een immense tederheid voor de mensen om hem heen.
De Ierse Terrier is een geboren jager en het is jammer dat we deze bepalingen niet vaker gebruiken. Als hij een beetje lang is om alle holen binnen te dringen, is hij niettemin in staat om de nimrod te helpen bij de jacht op het meest uiteenlopende spel, dankzij zijn uithoudingsvermogen, zijn moed, zijn levendigheid en zijn talent. Met betrekking tot andere honden, moet u de Ieren niet om veel clementie vragen. Hij kan het niet verdragen om op zijn grondgebied te worden betrapt en aarzelt niet om te reageren op enig teken van agressie, ongeacht de grootte van zijn "tegenstander".
Wat zijn verzorging betreft, zoals alle hardhuidige terriërs, die "gebroken" worden genoemd, moeten de Ieren regelmatig worden geëpileerd, en dit door een specialist. Terriers zijn geen grote honden, en de Ier is geen uitzondering, maar deze hond neemt veel ruimte in beslag door zijn extraverte en zelfverzekerde temperament en nog meer in het hart van de meester die wist hoe hij het moest begrijpen. |