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West Highland White Terrier
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Standard FCI Nº 85
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Origine
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Grande-Bretagne |
Traduction
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Prof. Raymond Triquet. Mise à jour : J. Mulholland / Version originale : (EN) |
Groupe
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Groupe 3 Terriers |
Section
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Section 2 Terriers de petite taille |
Epreuve
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Sans épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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vendredi 29 octobre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mercredi 13 octobre 2010 |
Dernière mise à jour
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jeudi 08 décembre 2011 |
In English, this breed is said
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West Highland White Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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West Highland White Terrier |
En español, esta raza se dice
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West Highland White Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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West Highland White Terrier |
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Aspect général
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Solidement construit. La poitrine est bien descendue, ainsi que les dernières côtes. Le dos est droit. L’arrière-main est puissant sur des membres postérieurs musclés, faisant preuve, manifestement, de force et d’activité magnifiquement combinées. |
Comportement / caractère
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Petit, actif, plein d’allant, rustique, pourvu d’une bonne dose d’amour-propre, avec un air fripon. Vif, gai, courageux, indépendant, mais affectueux. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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La distance de l’occiput aux yeux est légèrement supérieure à la longueur du chanfrein. La tête est couverte d’un poil dense ; elle est portée de façon à former un angle droit ou aigu par rapport à l’axe du cou. La tête ne doit pas être portée en extension. |
Crâne
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Légèrement bombé. Pris par le travers du front, il doit présenter un contour sans heurt. Le crâne, du niveau des oreilles jusqu’aux yeux, ne présente qu’un très léger amincissement. |
Stop
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Marqué ; il est formé par les lourdes arcades sourcilières qui sont immédiatement au-dessus des yeux et légèrement en surplomb et une légère dépression entre les yeux. |
Région faciale
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Truffe
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Noire, assez grande, et offre un profil sans heurt avec le reste du museau. La truffe ne doit pas former saillie en avant. |
Chanfrein
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Il va en s’amenuisant graduellement de l’œil jusqu’au nez ; il n’est pas concave ; il ne tombe pas brusquement sous les yeux où il a de la substance. |
Mâchoires et dents
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Les mâchoires sont fortes et d’égale longueur. Aussi larges entre les canines que cela est compatible avec l’expression friponne recherchée. Les dents sont grandes pour la taille du chien et présentent un articulé régulier en ciseaux, c’est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées à l’aplomb des mâchoires. |
Yeux
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Bien écartés, de grandeur moyenne, pas ronds, aussi foncés que possible et placés en-dessous des sourcils bien fournis ce qui donne un regard vif, intelligent et perçant. L’œil clair est un très grave défaut. |
Oreilles
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Petites, droites et portées fermement. Elles se terminent en une pointe aiguë. Elles ne sont ni trop écartées, ni trop rapprochées à l’attache. Le poil des oreilles est court et lisse (velouté) et ne doit pas être coupé. Les oreilles ne doivent avoir aucune frange au sommet. Les oreilles rondes à l’extrémité, larges, grandes ou épaisses ainsi que celles couvertes d’un poil trop abondant constituent de graves défauts. |
Cou
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Suffisamment long pour permettre le port correct de la tête tel qu’il est demandé ; il est musclé et s’épaissit graduellement vers sa base de façon à se fondre dans des épaules bien obliques. |
Corps
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Généralité
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Compact. |
Dos
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Droit. |
Rein
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Large et fort. |
Poitrine
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Bien descendue, les côtes bien cintrées dans leur moitié supérieure, présentant un aspect un tantinet plat. Les côtes postérieures ont une hauteur considérable et la distance de la dernière côte à la hanche est aussi courte que le permet le libre mouvement du corps. |
Queue
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Longue de 13 à 15 cm, couverte d’un poil dur, sans frange, aussi droite que possible, portée fièrement, mais ni gaie ni recourbée sur le dos. La queue longue est un défaut et elle ne doit, en aucun cas, être écourtée. |
Membres antérieurs
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Epaules
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Inclinées vers l’arrière. Les omoplates sont larges et bien serrées contre la paroi thoracique. L’articulation formée par l’omoplate et l’humérus doit être placée en avant. |
Coudes
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Bien rentrés pour permettre le mouvement bien dégagé des membres antérieurs, parallèlement à l’axe du corps. |
Avant-bras
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Courts et musclés, droits et bien couverts par un poil fourni, court et dur. |
Pieds antérieurs
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Plus grands que les pieds postérieurs, ronds, de taille proportionnée, forts, avec coussinets épais et couverts d’un poil court et dur. La surface inférieure des coussinets et tous les ongles sont de préférence noirs. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Forts, musclés et larges vu de dessus. Les membres sont courts, musclés et nerveux. |
Cuisses
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Très musclées et pas trop écartées. |
Grassets
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Bien angulés. |
Jarret
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Coudés et bien disposés sous le corps de façon à être assez près l’un de l’autre, que le chien soit en station ou en action. Les jarrets droits ou affaissés sont de graves défauts. |
Pieds postérieurs
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Les pieds postérieurs sont plus petits que les antérieurs ; ils sont ronds, proportionnés dans leur taille, forts, pourvus de coussinets épais et couverts d’un poil court et dur. La surface inférieure des coussinets et tous les ongles sont noirs de préférence. |
Allures
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Le mouvement est dégagé, droit devant et facile de toute part. Les antérieurs se portent en avant sans contrainte à partir de l’épaule. A l’arrière, le mouvement est franc, puissant et ramassé. Grassets et jarrets sont bien fléchis et les jarrets s’engagent sous le corps pour donner l’impulsion. Une démarche raide ou guindée à l’arrière, de même que les jarrets de vache sont de graves défauts. |
Peau
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Exempte de tout problème de peau apparente. |
Robe
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Qualité du poil
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Poil double. Le poil de couverture consiste en un poil dur d’environ 5 cm de longueur, sans aucune boucle. Le sous-poil, qui ressemble à de la fourrure, est court, doux et serré. Le poil ouvert est un défaut grave. |
Couleur du poil
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Blanche. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Environ 28 cm. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts entrainant l’exclusion
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Chien agressif ou peureux. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Comme celle de tous les Terriers écossais, l'histoire ancienne du West Highland White Terrier est assez obscure. Aujourd'hui adulé par la publicité et objet d'une mode passionnée, hier race confidentielle couronnée dans les expositions, ce charmant Terrier à la robe blanche a néanmoins un passé plus lointain, que beaucoup semblent même oublier : celui d'un rude chasseur de vermine écossais.
Il convient d'abord de préciser que, des Terriers, il y en a toujours eu en Ecosse. Avant même le Moyen Age, ils étaient utilisés à déloger et tuer les bêtes nuisibles et autres « puants », tels que rats et souris, bien sûr, ainsi que blaireaux, loutres et putois. Le renard était aussi au nombre de leurs victimes, ce qui laisse songeur quant à la détermination et l'agressivité dont devaient faire preuve ces petits chiens. Les premières traces écrites de l'existence des Terriers écossais se trouvent sans doute chez différents auteurs du XVIe siècle (Johannes Caius, Turbeville, par exemple), qui mentionnent des Terriers du Nord et décrivent un type de chiens courts sur pattes et au poil dur, chassant le renard et le blaireau sous terre. En 1774, Oliver Goldsmith parle, quant à lui, d'un Terrier de petite taille, d'un courage à toute épreuve et à la voix claire.
Dans les régions sauvages des Highlands ainsi que sur la côte et dans les Hébrides, les Terriers étaient élevés par les nobles et par les paysans. Quelques différences apparaissaient dans les types et les couleurs, selon les préférences de chaque éleveur, dans chaque coin le plus reculé, mais ce n'est qu'à partir du début du XIXe siècle que les descriptions commencèrent à noter ces variations et que les types se dessinèrent plus nettement ; sans qu'il soit possible aujourd'hui de situer précisément les origines de chaque race actuelle, si ce ne sont pas les mêmes, d'ailleurs. Plutôt vers l'est (dans la région d'Aberdeen, notamment) se seraient développés des chiens au corps solide, aux pattes courtes, à la tête grosse, au nez long et à la dent dure. Leurs oreilles étaient petites et dressées, leur poil dur allait du sable au noir. Ils seraient les ancêtres du Scottish Terrier. Dans les comtés de l'Ouest, les chiens, également bas sur pattes, avaient le corps plus ramassé, nerveux, le poil plus long; c'étaient apparemment les aïeux du Cairn et du West Highland. Dans les îles du Nord-Ouest, il existait un troisième type au dos plus long, de structure plus forte, au poil long, d'où descendrait le Skye Terrier.
Souvent, les chiots blancs qui naissaient dans une portée étaient noyés, car on les croyait moins durs à la tâche que les sujets colorés. Sinon, jusqu'à cette époque, on s'occupait bien peu du physique d'un chien du moment qu'il était assez solide et malin pour effectuer le travail demandé. Les paysans et les gardes-chasse n'étaient pas tendres avec leurs chiens, et on raconte, par exemple, que les jeunes Terriers devaient affronter une loutre à mort dans une crique comme preuve de leur courage. Qui a déjà vu la mâchoire, l'agilité et la force d'une loutre comprendra toute la difficulté de cette épreuve. A la chasse, les chiens avaient affaire à du gibier féroce et bien décidé à vendre chèrement sa peau. C'est donc celle des braves chiens qui en pâtissait souvent. Et la médecine du moment était plutôt expéditive: quand un chien était déchiré, son maître le recousait au gros fil et à vif. Quant à la chasse pratiquée dans les cairns, ces monticules rocheux où se cache la vermine (qui ont donné leur nom à l'un de ces Terriers), elle était également périlleuse. Les chiens s'y coinçaient souvent, dans leur ardeur à poursuivre la bête honnie, et seul un jeûne de plusieurs jours leur permettait d'en sortir, amaigris mais vivants.
Mais la réputation des courageux Terriers des Highlands avait depuis longtemps débordé leurs landes natales. En témoignent les précautions, que prit Jacques 1er d'Angleterre (Jacques VI d'Ecosse) quand il voulut envoyer en royal cadeau six Terriers blancs d'Argyll. Les chiens furent embarqués sur plusieurs bateaux (au cas où l'un coulerait). L'heureux destinataire n'était autre qu'Henri IV. En 1839, ce sera non plus un roi mais un artiste (sir Edwin Landseer) qui rendra hommage au West Highland White Terrier en le faisant figurer sur deux de ses toiles, Highlands Dogs et Dignity and Impudence : toute confusion quant à la race de ces animaux est impossible, tant ils sont proches du type Westie, même actuel.
L'histoire du West Highland se resserre alors autour d'une région, le comté d'Argyll, et d'un homme, le colonel E. D. Malcolm de Poltalloch. Argyll, situé au sud-ouest des monts Grampians, avait la curieuse particularité d'abriter plusieurs espèces sauvages entièrement blanches. Renards, lièvres et coqs de bruyère immaculés devaient donc cohabiter avec les petits Terriers blancs, eux aussi parfaitement pigmentés et totalement exempts d'albinisme. Malcolm de Poltalloch, qui devenait un éminent spécialiste de la race, fut le premier, non à tolérer, mais bien à rechercher la couleur blanche dans ses portées. En effet, ce grand chasseur tua malencontreusement un de ses Terriers favoris qu'il n'avait pu distinguer dans les broussailles rousses; voilà donc le colonel bien décidé à ne plus posséder que des chiens blancs. Blanc n'est d'ailleurs pas exactement le qualificatif approprié puisque, comme le fait remarquer T. Bell en 1837, une teinte fréquente des Terriers écossais était le linty white, tirant sur le crème et même le jaune clair. Tels étaient les Terriers du colonel vers 1870, après qu'il eut réussi à créer sa variété distincte de Terriers des Highlands. Là encore, ces chiens devaient avant tout travailler, et leur teinte, comme leur morphologie, pouvait se permettre d'être approximative. Le caractère, lui, était roi, ce qui explique nos Westies durs, turbulents, têtus et bien trempés. A noter les oreilles semi-dressées qui apparaissaient parfois à l'époque.
Mais le colonel de Poltalloch n'était pas seulement chasseur, il cachait aussi un cynophile initié, et il partit bientôt présenter ses Terriers en expositions. Cela se passait en 1890, et les diverses races écossaises n'étaient pas encore très bien définies. Tous ces petits diables de chiens de travail cohabitaient dans les mêmes catégories, ce qui explique la confusion et les controverses au niveau des noms qui furent longtemps donnés à la race, tels que « Highland Terrier », « Poltalloch Terrier », « Pittenweem Terrier », « Roseneath Terrier» et même « White Scottish Terrier» ou « Skye White Terrier ». Il faut avouer qu'il y avait de quoi s'y perdre. On présenta ces fameux « Roseneath Terriers » au Crystal Palace en 1899, les mêmes chiens étant appelés West Highland White Terriers à Edimbourg en 1904. La race était lancée.
Deux ans plus tard, le premier Club de race anglais était fondé et le standard élaboré. Cette année-là, le Kennel Club reconnaissait officiellement le Westie, qui cependant, était encore loin des chiens actuels. Il fallut attendre le 18 novembre 1924 pour que les accouplements entre Cairn et Westie fussent interdits, et 1928 pour que le standard du second fût modifié, notamment en ce qui concerne la taille. L'entre deux guerres allait voir les premiers pas du toilettage en matière de Terriers, sauf pour le Cairn, qui garda son aspect de petit diable hirsute. Le succès ne tarda pas, et le Westie fut bientôt apprécié jusque dans le sud de l'Angleterre, puis exporté dès les années septante.
Une histoire de chiens courageux et travailleurs, qui séduisent aujourd'hui par leurs qualités de cœur et leur petit air fripon. Une belle histoire, en somme. Ce chien-là, c'est un grand monsieur dans un mini format. Tel est, rapidement résumé, le portrait du West Highland White Terrier. Petit, il l'est, mais sans concessions. Et, si son gabarit ne lui permet pas de s'imposer physiquement (et encore), il comble ce manque par un caractère de feu et effraie les plus costauds par sa détermination et son courage. Bien sûr, c'est son physique qui plaît, mais il a tellement plus à offrir. L'acheter sans le connaître pourrait se révéler un désastre, car ce diable-là doit avoir un maître à la hauteur.
D'abord, c'est un actif. Rien d'étonnant pour un Terrier, certes, mais le Westie semble avoir un certain génie pour créer l'événement là où il n'y a rien à voir. Un peu cabotin, avouons-le, il ne fait rien comme les autres, et le simple fait de le regarder vivre est déjà un spectacle. Dans la maison, il connaît chaque recoin, chaque petit détail ménager qui peut faire un jeu passionnant, il parcourt son domaine avec fierté et assurance. Pas question de passer l'après-midi à se faire câliner. Le Westie est un chien, pas un jouet, et il a vite fait de le rappeler. Il cultive d'ailleurs une certaine indépendance et reste sur son quant-à-soi. Même si sa curiosité le pousse vers son maître dès que celui-ci travaille à sa hauteur (ras du sol) sa présence dans la maison lui suffit, et il saura l'attendre patiemment s'il s'absente. Il n'est pas non plus le chien de travail éternellement fixé sur sa mission, et le faire obéir est déjà un bel exploit. Car le Westie semble prendre plaisir à ne rentrer dans aucune catégorie. Ou alors, il faudrait la créer pour lui : grand chien volontaire déguisé en petit toutou innocent. Chacun fait ce qui lui plaît; il est d'accord, surtout si c'est lui qui décide.
Le côté fonceur et un peu têtu du West Highland ne doit pas faire oublier ses grandes capacités d'affection et d'attachement à l'égard de son maître, à condition que ce dernier se fasse respecter. Car, en ayant l'air de ne pas s'occuper de lui, le Westie ne le quitte en réalité pas d'une semelle. D'ailleurs, même s'il essaie d'être le plus discret possible à ces moments-là, personne n'est dupe quand il se rapproche sur la pointe des pattes et s'installe pour quémander une caresse, un petit geste amical. On a beau être Terrier, on n'en a pas moins besoin d'amour. Sous ses allures de bolide, le Westie cache en fait un grand cœur. Cette affectivité, il la déploie à l'endroit des enfants, qu'il aimera à la folie s'ils sont bien élevés et ne lui tirent pas les poils (sinon, il leur fera comprendre rapidement qu'il n'est pas chien à se laisser martyriser). Il sera toujours partant pour de vrais jeux (pas pour rapporter la « baballe ») et pour les balades. Les excursions en forêt sont ce qu'il préfère, et il ne sera pas le premier fatigué. Rien ne l'arrête, ni les troncs d'arbres couchés en travers du chemin, ni les trous, ni les ronces. En vrai Terrier, il est resté sensible à toute odeur de gibier, et il est capable de filer à travers les fourrés à la poursuite d'un animal pour ne réapparaître qu'une heure plus tard, crotté, épuisé, mais ravi.
Son opiniâtreté risque de se manifester également à l'endroit des chats et des autres animaux domestiques. Il faut donc lui interdire toute agressivité envers eux dès sa petite enfance. Ce qui ne l'empêche pas d'être parfaitement capable de fraterniser avec le félin de la maison, s'il y a été habitué jeune; ainsi, le charmant spectacle de Toutou et Minet partageant, endormis, un seul panier ne sera pas rare. Ses congénères trouvent-ils grâce aux yeux de ce prince? D'une façon générale, oui, le West Highland possède une bonne sociabilité, mais il ne peut cacher sa forte personnalité, et certaines frictions peuvent se produire s'il tombe sur un gros chien velléitaire. Lui qui se prend pour un grand, il n'hésite pas à attaquer son adversaire avec une assurance étonnante. Assez dominant de nature, il soumet volontiers des chiens plus gros que lui par sa seule autorité. Il peut arriver qu'un « costaud » le remette à sa place, ce qui, loin de calmer sir Westie, l'exciterait plutôt. En résumé, il est charmant tant qu'on ne cherche pas à le contrarier.
Cette attitude volontaire et intrépide, le West l'a aussi un peu dans sa réaction à toute tentative de dressage. C'est pourquoi il faut absolument s'occuper de son éducation alors qu'il n'est encore qu'un chiot pas trop sûr de lui. Ne pas lui apprendre les bonnes manières aurait tôt fait de le transformer en petit despote, mignon, soit, mais parfois dur à supporter. Ce chien est un fort, et toute faiblesse à son égard serait une grave erreur, comme le serait d'ailleurs toute tentative de prise en force, qu'il rejetterait en bloc. En revanche, la personne qui saura glisser la main de fer dans le gant de velours et insister sans chercher à le dominer ouvertement aura de grandes chances d'en faire un petit compagnon charmant, espiègle certes, mais aussi un partenaire actif.
Car le Westie est un malin qui, s'il n'aime pas se soumettre en public, comprend vite où est son intérêt avec un maître décidé. Une vexation ouverte le ferait bouder pendant des jours, c'est pourquoi les affaires seront réglées en famille, avec une constance absolue dans les interdits et les ordres. Tel acte autorisé aujourd'hui ne sera pas défendu demain (et inversement), sinon le Westie perdra toute foi en la solidité de son maître et ne le reconnaîtra plus comme son protecteur et ami. Il faut donc lui demander peu, mais exiger d'être écouté. Le West n'est pas un chien qui se complaît dans un rapport ordre - exécution permanent, mais il est primordial d'obtenir son obéissance les rares fois où on la lui demande : pas question de rester sur une requête sans réponse. Ensuite, on le félicitera chaudement; il préférera vite les caresses à la grosse voix. Très intelligent, le Westie peut, s'il l'a décidé, surprendre en se montrant très coopératif et même apprécier des sports tels que l'agility. Dans cette discipline, où chien et maître suivent de concert un parcours d'obstacles, en harmonie et sans ordres péremptoires, le West est susceptible de trouver son équilibre en devenant la moitié d'une équipe et non un simple subordonné. Quelle que soit l'activité que ses maîtres choisiront de partager avec lui, l'important est d'instaurer une collaboration volontaire qui lui fera autant plaisir qu'à eux.
Autrefois chien de campagne exclusivement, le West devient aujourd'hui une des races favorites des citadins du fait de son faible encombrement et de son caractère rustique autant qu'enjoué. Il est alors essentiel que son rythme de vie soit en harmonie avec son tempérament et préserve son équilibre. Bien entendu, il n'est pas question de le confiner dans des pièces exiguës en lui donnant pour tout exercice ses trois promenades hygiéniques quotidiennes. En revanche, avec des sorties régulières dans un espace vert, assez longues pour qu'il puisse vraiment se dépenser physiquement, il sera très heureux, le moment venu, de réintégrer l'appartement. Après l'effort, le réconfort, et la moquette lui plaît sûrement autant que la paille, s'il est bien adapté à la ville. Il n'empêche, des séances de vraie campagne lui feront le plus grand bien, et il serait contraire à sa nature de vouloir préserver sa blancheur immaculée en lui interdisant de courir dans la boue et de jouer dans les flaques.
Un mot sur la valeur du West Highland White Terrier comme sonnette d'alarme. Qu'un étranger se présente à la grille ou à la porte, et nul doute que la voix claire et haut perchée du Westie se fera entendre. Bien sûr, il ne constitue pas un véritable chien de garde, car (heureusement) il est relativement sociable avec les étrangers, mais il ne manquera pas d'aboyer pour signaler une présence inattendue. Ce West Highland, c'est un vrai personnage.
Irrésistible avec son allure mutine, attachant par son caractère indépendant mais affectueux, pratique grâce à son format de poche, c'est vraiment le chien des années quatre-vingt. Souhaitons-lui de garder cette immense faveur du public et d'être un des favoris de la décennie deux mille vingt. Il le mérite. |
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West Highland White Terrier
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FCI standard Nº 85
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Origin
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Great Britain |
Group
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Group 3 Terriers |
Section
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Section 2 Small-sized Terriers |
Working
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Without working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Friday 29 October 1954 |
Publication of the official valid standard
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Wednesday 13 October 2010 |
Last update
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Wednesday 12 January 2011 |
En français, cette race se dit
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West Highland White Terrier |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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West Highland White Terrier |
En español, esta raza se dice
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West Highland White Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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West Highland White Terrier |
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General appearance
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Strongly built; deep in chest and back ribs; level back and powerful quarters on muscular legs and exhibiting in a marked degree a great combination of strength and activity. |
Behaviour / temperament
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Small, active, game, hardly, possessed of no small amount of self-esteem with a varminty appearance. Alert, gay, courageous, self-reliant but friendly. |
Head
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Cranial region
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Head
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Distance from occiput to eyes slightly greater than length of foreface. Head thickly coated with hair and carried at right angle or less, to axis of neck. Head not to be carried in extended position. |
Skull
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Slightly domed; when handled across forehead presents a smooth contour. Tapering very slightly from skull at level of ears to eyes. |
Stop
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Distinct stop, formed by heavy, bony ridges immediately above and slightly overhanging eye, and slight indentation between eyes. |
Facial region
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Nose
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Black and fairly large, forming smooth contour with rest of muzzle. Nose not projecting forward. |
Muzzle
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Foreface gradually tapering from eye to muzzle; not dished nor falling away quickly below eyes, where it is well made up. |
Jaws and teeth
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Jaws strong and level. As broad between canine teeth as is consistent with varminty expression required. Teeth large for size of dog, with regular scissor bite, i.e. upper teeth closely overlapping the lower teeth and set square to the jaws. |
Eyes
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Set wide apart, medium in size, not full, as dark as possible and set well under heavy eyebrows which gives the dog a sharp and intelligent piercing expression. Light coloured eyes highly undesirable. |
Ears
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Small, erect and carried firmly, terminating in sharp point, set neither too wide nor too close. Hair short and smooth (velvety), should not be cut. Free from any fringe at top. Round-pointed, broad, large or thick ears or too heavily coated with hair most undesirable. |
Neck
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Sufficiently long to allow proper set on of head required, muscular and gradually thickening towards base allowing neck to merge into nicely sloping shoulders. |
Body
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Body
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Compact. |
Back
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Level. |
Loin
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Broad and strong. |
Chest
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Deep and ribs well arched in upper half presenting a flattish side appearance. Back ribs of considerable depth and distance from last rib of quarters as short as compatible with free movement of body. |
Tail
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13 -15 cms long, covered with harsh hair, no feathering, as straight as possible, carried jauntily, not gay or carried over back. A long tail undesirable, and on no account should tails be docked. |
Forequarters
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Shoulders
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Sloping backwards. Shoulder-blades broad and lying close to chest wall. Shoulder joint placed forward. |
Elbows
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Well in, allowing foreleg to move freely, parallel to axis of body. |
Forearm
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Forelegs short and muscular, straight and thickly covered with short, hard hair. |
Forefeet
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Larger than hind feet, round, proportionate in size, strong, thickly padded and covered with short harsh hair. Under surface of pads and all nails preferably black. |
Hindquarters
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Generality
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Strong, muscular and wide across top. Legs short, muscular and sinewy. |
Upper thigh
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Very muscular and not too wide apart. |
Stifle
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Well bent. |
Hock
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Bent and well set in under body so as to be fairly close to each other when standing or moving. Straight or weak hocks most undesirable. |
Hind feet
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Smaller than forefeet and thickly padded, round, proportionate in size, strong, thickly padded and covered with short harsh hair. Under surface of pads and all nails preferably black. |
Gait and movement
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Free, straight and easy all round. In front, legs freely extended forward from shoulder. Hind movement free, strong and close. Stifle and hocks well flexed and hocks drawn under body giving drive. Stiff, stilted movement behind and cowhocks highly undesirable. |
Skin
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Free from obvious skin problems. |
Coat
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Hair
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Double coated. Outer coat consists of harsh hair, about 5 cms long, free from any curl. Undercoat, which resembles fur, short, soft and close. Open coats most undesirable. |
Colour
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White. |
Size and weight
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Height at withers
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Approximately 28 cms. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy dogs. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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Like all Scottish terriers, the ancient history of the West Highland White Terrier is rather obscure. Today adored by the publicity and object of a passionate fashion, yesterday secret race crowned in the exhibitions, this charming Terrier with the white dress nevertheless has a past more distant, that many seem to even forget: that of a rough hunter of Scottish vermin.
It should first be pointed out that Terriers have always been found in Scotland. Even before the Middle Ages, they were used to dislodge and kill harmful animals and other "stink", such as rats and mice, of course, as well as badgers, otters and polecats. The fox was also among their victims, which leaves one wondering about the determination and aggressiveness that these little dogs had to show. The first written records of the existence of Scottish Terriers are undoubtedly found in various 16th century authors (Johannes Caius, Turbeville, for example), who mention Northern Terriers and describe a type of short-legged, hard-haired dogs. chasing the fox and the badger underground. In 1774, Oliver Goldsmith spoke of a small burrow, of unswerving courage and a clear voice.
In the wilderness of the Highlands, as well as on the coast and in the Hebrides, Terriers were reared by nobles and peasants. Some differences appeared in the types and colors, according to the preferences of each breeder, in every most remote corner, but it was not until the beginning of the nineteenth century that the descriptions began to note these variations and that the types were more clearly drawn; without it being possible today to precisely locate the origins of each current race, if they are not the same, moreover. Rather, to the east (in the Aberdeen area, in particular), dogs with strong bodies, short legs, large heads, long noses and hard teeth developed. Their ears were small and erect, their hair was hard from sand to black. They would be the ancestors of the Scottish Terrier. In the western counties, the dogs, also leggy, had the body more collected, nervous, the hair longer; they were apparently the ancestors of Cairn and West Highland. In the Northwest Islands, there was a third type with a longer back, stronger structure, long hair, from which would descend the Skye Terrier.
Often white puppies that were born in a litter were drowned because they were thought to be less hard-working than colored subjects. Otherwise, until that time, there was little physical care of a dog as long as he was strong enough and clever enough to do the job. The peasants and gamekeepers were not tender with their dogs, and it is said, for example, that young Terriers had to face an otter to death in a creek as proof of their courage. Who has already seen the jaw, agility and strength of an otter will understand the difficulty of this test. In the hunt, dogs were dealing with ferocious game and determined to sell his skin dearly. It is therefore that of the brave dogs who often suffered from it. And the medicine of the moment was rather expeditious: when a dog was torn, his master sewed it with the big wire and alive. As for hunting in the cairns, the rocky mounds where the vermin hides (which gave their name to one of these Terriers), it was also perilous. The dogs often got stuck in it, in their ardor to pursue the beast, and only a fast of several days allowed them to leave, emaciated but alive.
But the reputation of the brave Highland Terriers had long since overflowed their native moors. As evidenced by the precautions taken by James I of England (James VI of Scotland) when he wanted to send in royal gift six White Terriers of Argyll. The dogs were embarked on several boats (in case one would sink). The lucky recipient was none other than Henry IV. In 1839, it will no longer be a king but an artist (Sir Edwin Landseer) who will pay tribute to the West Highland White Terrier by making it appear on two of his paintings, Highlands Dogs and Dignity and Impudence: any confusion as to the race of these animals is impossible, so close are they to the Westie type, even today.
The history of the West Highland then narrows around a region, Argyll County, and a man, Colonel ED Malcolm of Poltalloch. Argyll, located to the southwest of the Grampian Mountains, had the curious peculiarity of sheltering several entirely white wild species. Foxes, hares and immaculate heather cocks had to cohabit with the little white Terriers, also perfectly pigmented and totally free of albinism. Malcolm de Poltalloch, who became a prominent breed specialist, was the first, not to tolerate, but to look for the white color in his litters. In fact, this great hunter accidentally killed one of his favorite Terriers, whom he could not distinguish in the red bushes; here is the Colonel, who is determined to have only white dogs. White is not exactly the appropriate qualifier, since, as T. Bell notes in 1837, a common tint of Scottish terriers was linty white, with cream and even light yellow. Such were the Colonel's Terriers around 1870, after he had succeeded in creating his distinct variety of Highland Terriers. Again, these dogs had to work first, and their color, like their morphology, could afford to be approximate. The character, he was king, which explains our hard, turbulent, stubborn and well-tempered Westies. Note the semi-erect ears that sometimes appeared at the time.
But Colonel Poltalloch was not only a hunter, he also hid an initiated dog-dog, and he went off to present his Terriers in exhibitions. This was in 1890, and the various Scottish races were not yet very well defined. All these little devils of working dogs coexisted in the same categories, which explains the confusion and controversy over the names that were long given to the breed, such as "Highland Terrier", "Poltalloch Terrier", "Pittenweem Terrier" , "Roseneath Terrier" and even "White Scottish Terrier" or "Skye White Terrier". It must be admitted that there was something to lose. These famous "Roseneath Terriers" were presented at the Crystal Palace in 1899, the same dogs being called West Highland White Terriers in Edinburgh in 1904. The breed was launched.
Two years later, the first English Race Club was founded and the standard developed. That year, the Kennel Club officially recognized Westie, which, however, was still far from current dogs. It was not until November 18, 1924, that couplings between Cairn and Westie were forbidden, and in 1928 the standard of the second was changed, especially with regard to size. Between the wars would see the first steps of grooming Terriers, except for the Cairn, which kept its aspect of shaggy little devil. The success was soon, and the Westie was soon appreciated in the south of England, then exported in the seventies.
A story of brave and hardworking dogs, who today seduce by their qualities of heart and their little rascal look. A beautiful story, in short. This dog is a big man in a mini format. This is, quickly summarized, the portrait of the West Highland White Terrier. Small, he is, but without concessions. And, if his size does not allow him to impose himself physically (and again), he fills this lack by a character of fire and frightens the strongest by his determination and his courage. Of course, it's his looks, but he has so much more to offer. To buy it without knowing it could be a disaster, because this devil must have a master at the height.
First, it's an asset. No wonder for a Terrier, certainly, but the Westie seems to have some genius to create the event where there is nothing to see. A little cabotin, let's face it, it does nothing like the others, and the mere fact of watching it live is already a spectacle. In the house, he knows every nook, every little household detail that can make an exciting game, he walks his field with pride and confidence. No way to spend the afternoon to be cuddled. The Westie is a dog, not a toy, and he was quick to call him back. He also cultivates a certain independence and stays on his own. Even if his curiosity pushes him towards his master as soon as he works at his height (close to the ground) his presence in the house is enough for him, and he will know how to wait for him patiently if he is absent. Nor is he the working dog eternally fixed on his mission, and to make him obey is already a great feat. Because the Westie seems to enjoy not falling into any category. Or else, it should be created for him: large volunteer dog disguised as innocent little doggie. Everyone does what he likes; he agrees, especially if he decides.
The stubborn and somewhat stubborn side of the West Highland should not overshadow his great abilities of affection and attachment to his master, provided that he is respected. Because, by seeming not to take care of him, the Westie does not really leave him from a sole. Moreover, even if he tries to be as discreet as possible at these times, no one is fooled when he gets closer on the tip of the legs and settles to beg for a caress, a small friendly gesture. We may be Terrier, we still need love. In his racing style, the Westie hides a big heart. This affectivity, he unfolds it to the place of the children, that he will love to the madness if they are well brought up and do not pull him the hair (otherwise, it will make them understand quickly that he is not dog with let yourself be martyred). He will always be up for real games (not to report the "baballe") and for walks. The forest excursions are what he prefers, and he will not be the first tired. Nothing stops him, neither the trunks of trees lying across the road, nor the holes, nor the brambles. As a true Terrier, he remained sensitive to any game-like smell, and is able to run through the thickets in pursuit of an animal to reappear an hour later, muddy, exhausted, but delighted.
His obstinacy may also be felt by cats and other domestic animals. It must therefore forbid any aggression towards them from infancy. This does not prevent him from being perfectly able to fraternize with the feline of the house, if he has been used to it young; thus, the charming sight of Toutou et Minet sharing, asleep, a single basket will not be rare. Do his fellow creatures find favor in the eyes of this prince? Generally speaking, yes, the West Highland has a good sociability, but it can not hide its strong personality, and some friction can occur if it falls on a big dog velléitaire. He who thinks he is big, he does not hesitate to attack his opponent with an astonishing assurance. Dominant enough by nature, he willingly submits dogs larger than himself by his sole authority. It can happen that a "beefy" puts it in its place, which, far from calming Sir Westie, rather excite. In short, he is charming as long as one does not try to annoy him.
This voluntary and intrepid attitude, the West also has a little in its reaction to any training attempt. This is why it is essential to take care of his education while he is still a puppy not too sure of him. Not to teach him good manners would soon turn him into a little despot, cute, but sometimes hard to bear. This dog is a strong, and any weakness in his regard would be a serious mistake, as would any attempt to take in force, which he would reject en bloc. However, the person who will slip the iron hand in the velvet glove and insist without seeking to dominate openly will have a great chance to make a small companion charming, mischievous indeed, but also an active partner.
For the Westie is a clever man who, if he does not like to submit in public, quickly understands where his interest is with a decided master. An open vexation would make him sulk for days, that's why the cases will be settled in family, with an absolute constancy in prohibitions and orders. Such an act authorized today will not be defended tomorrow (and vice versa), otherwise the Westie will lose all faith in the solidity of his master and will no longer recognize him as his protector and friend. It must be asked little, but demand to be listened to. The West is not a dog who delights in a permanent order - execution relationship, but it is essential to obtain his obedience the few times he is asked: no question of remaining on a request without answer. Then, we congratulate him warmly; he will soon prefer caresses to the big voice. Very intelligent, the Westie can, if he has decided, surprise by being very cooperative and even enjoy sports such as agility. In this discipline, where dog and master follow together a course of obstacles, in harmony and without peremptory orders, the West is likely to find its balance by becoming half of a team and not a mere subordinate. Whatever the activity that his teachers will choose to share with him, the important thing is to establish a voluntary collaboration that will make him as happy as they are.
Formerly a country dog exclusively, the West now becomes one of the favorite breeds of city dwellers because of its small size and its rustic character as much as it plays. It is therefore essential that his rhythm of life be in harmony with his temperament and preserve his balance. Of course, there is no question of confining him to cramped rooms by giving him for every exercise his three daily hygienic walks. However, with regular outings in a green space, long enough for him to really be physically busy, he will be very happy, when the time comes, to return to the apartment. After the effort, the comfort, and the carpet it likes surely as much as the straw, if it is well adapted to the city. Nevertheless, sessions of real campaign will do him the greatest good, and it would be contrary to his nature to want to preserve his immaculate whiteness by forbidding him to run in the mud and play in puddles.
A word about the value of the West Highland White Terrier as an alarm bell. Let a stranger appear at the gate or at the door, and there is no doubt that the clear, high-pitched voice of the Westie will be heard. Of course, he is not a real watchdog, because (fortunately) he is relatively sociable with strangers, but he will not fail to bark to signal an unexpected presence. This West Highland is a real character.
Irresistible with its mischievous look, endearing by its independent but affectionate character, practical thanks to its pocket size, it's really the dog of the eighties. Wish him to keep this huge public favor and be one of the favorites of the twenty-twenties decade. He deserves it. |
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West Highland White Terrier
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FCI-Standard Nº 85
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Ursprung
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Grossbritannien |
Übersetzung
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Frau Elke Peper, ergänzt und überarbeitet Christina Bailey / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
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Gruppe 3 Terriers |
Sektion
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Sektion 2 Niederläufige Terrier |
Arbeitsprüfung
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Ohne Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Freitag 29 Oktober 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Mittwoch 13 Oktober 2010 |
Letzten Aktualisierung
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Dienstag 27 September 2011 |
En français, cette race se dit
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West Highland White Terrier |
In English, this breed is said
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West Highland White Terrier |
En español, esta raza se dice
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West Highland White Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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West Highland White Terrier |
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Allgemeines erscheinungsbild
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Kräftig gebaut; tiefe Brust und hintere Rippen; ebener Rücken, kraftvolle Hinterhand mit muskulösen Läufen, die in hohem Masse eine grossartige Verbindung von Kraft und Aktivität zum Ausdruck bringt. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Klein, aktiv, unerschrocken, robust, mit beträchtlichem Selbstvertrauen ausgestattet und einem Auftreten, das Raubzeugschärfe erkennen lässt. Wachsam, fröhlich, mutig, selbstbewusst aber freundlich. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Abstand zwischen Hinterhauptbein und Augen geringfügig grösser als die Länge des Vorgesichts. Kopf reichlich mit Haar bewachsen und im rechten Winkel oder weniger zur Halsachse getragen. Kopf sollte nicht vorgestreckt getragen werden. |
Schädel
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Leicht gewölbt; Stirnpartie mit glatten Konturen. Oberkopf vom Ohrenansatz zu den Augen hin geringfügig schmaler werdend. |
Stop
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Deutlich; aus starken Wülsten der Stirnknochen gebildet, die unmittelbar oberhalb der Augen etwas vorstehen und zwischen den Augen eine leichte Vertiefung aufweisen. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Schwarz und ziemlich gross; mit dem übrigen Fang eine fliessende Linie bildend; Nase nicht spitz vorstehend. |
Fang
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Von den Augen bis zur Nasenspitze hin allmählich schmaler werdend. Vorgesicht unter den Augen nicht eingefallen oder stark abfallend, sondern gut ausgefüllt. |
Kiefer / Zähne
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Kiefer kräftig und gerade. Zwischen den Fangzähnen so breit, wie es mit dem verlangten Ausdruck von Raubzeugschärfe vereinbar ist. Die Zähne sind im Verhältnis zur Grösse des Hundes gross, mit regelmässigem Scherengebiss, wobei die obere Schneidezahnreihe ohne Zwischenraum über die untere greift und die Zähne senkrecht im Kiefer stehen. |
Augen
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Weit voneinander angeordnet, mittelgross, nicht hervorstehend, so dunkel wie möglich, unter buschigen Augenbrauen hervorguckend; dies bewirkt einen wachsamen und intelligenten durchdringenden Blick. Helle Augen höchst unerwünscht. |
Ohren
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Klein, aufrecht und sicher getragen, in einer deutlichen Spitze endend. Weder zu weit auseinander noch zu dicht zusammen stehend. Haar kurz und glatt (samtartig), sollte nicht geschnitten werden. Ohrenspitzen ohne jegliche Befransung. Runde, breite, grosse oder dicke Ohren sowie solche mit übermässig üppiger Behaarung sind äusserst unerwünscht. |
Hals
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Ausreichend lang, um die geforderte Kopfhaltung zu ermöglichen; muskulös; zum Ansatz hin allmählich breiter werdend, wodurch der Hals übergangslos in die gut zurückliegenden Schultern einmündet. |
Körper
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Allgemeinheit
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Kompakt. |
Rücken
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Gerade. |
Lenden
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Breit und kräftig. |
Brust
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Tief; Rippen in der oberen Hälfte gut gerundet, an den Körperseiten abgeflacht wirkend. Hintere Rippen weit zurückreichend; Abstand zwischen der letzten Rippe und der Hinterhand so kurz, wie es mit einer freien Bewegung vereinbar ist. |
Rute
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13 bis 15 cm lang; mit hartem Haar bedeckt, ohne Befederung; so gerade wie möglich und forsch, jedoch nicht lustig oder über den Rücken gezogen getragen. Eine lange Rute ist unerwünscht und Ruten dürfen in keinen Fall kupiert werden. |
Vorderhand
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Schultern
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Schräg zurückliegend. Schulterblätter breit und eng am Brustkorb anliegend. Schultergelenk nach vorne gelagert. |
Ellenbogen
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Eng anliegend, wodurch eine freie Bewegung der Vorderläufe parallel zur Körperachse ermöglicht wird. |
Unterarm
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Vorderläufe kurz, muskulös und gerade, dicht mit kurzem, hartem Haar bewachsen. |
Vorderpfoten
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Grösser als Hinterpfoten, rund, proportional in Grösse, kräftig, dick gepolstert und mit hartem Haar bedeckt. Unterseite der Ballen und alle Krallen vorzugsweise schwarz. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Kräftig, muskulös und im oberen Teil breit. Läufe kurz, muskulös und mit starken Sehnen. |
Oberschenkel
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Stark bemuskelt und nicht zu weit auseinanderstehend. |
Knie
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Gut gebeugt. |
Sprunggelenk
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Gut gewinkelt und gut unter den Körper gestellt; in Stand und Bewegung ziemlich dicht nebeneinander. Steile oder schwache Sprunggelenke äusserst unerwünscht. |
Hinterpfoten
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Kleiner als die Vorderpfoten und dick gepolstert, rund, proportional in Grösse, kräftig, dicke Ballen und mit kurzem, hartem Haar bedeckt. Unterseite der Ballen und alle Krallen vorzugsweise schwarz. |
Gangwerk
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Frei, gerade und rundherum flüssig. Die Vorderläufe werden aus der Schulter heraus raumgreifend nach vorne bewegt. Bewegung der Hinterhand frei, kraftvoll und nahe nebeneinander. Sehr biegsame Knie- und Sprunggelenke und gut unter den Körper greifende Sprunggelenke bewirken den Schub. Steife, stelzige Bewegung der Hinterhand und Kuhhessigkeit höchst unerwünscht. |
Haut
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Frei von allen offensichtlichen Hautproblemen. |
Coat
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Haar
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Doppeltes Haarkleid. Das Deckhaar besteht aus ca. 5 cm langem, harschem Haar ohne jegliche Anzeichen von Locken. Unterwolle pelzartig, kurz, weich und dicht. Offenes Haar äusserst unerwünscht. |
Farbe
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Weiss. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Ungefähr 28 cm. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Disqualifizierende fehler
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Aggressive oder übermässig ängstliche Hunde. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Wie alle schottischen Terrier ist die alte Geschichte des West Highland White Terriers eher dunkel. Heute von der Werbung und dem Objekt einer leidenschaftlichen Mode verehrt, das geheime Rennen, das gestern in den Ausstellungen gekrönt wurde, hat dieser charmante Terrier mit dem weißen Kleid doch eine Vergangenheit, die viele sogar zu vergessen scheinen: die eines groben Jägers von Schottisches Ungeziefer.
Es sollte zunächst darauf hingewiesen werden, dass Terrier schon immer in Schottland gefunden wurden. Noch vor dem Mittelalter wurden sie dazu benutzt, schädliche Tiere und andere "Stinke", wie Ratten und Mäuse, sowie Dachse, Otter und Iltisse zu vertreiben und zu töten. Der Fuchs war auch unter ihren Opfern, was einen über die Entschlossenheit und Aggressivität der kleinen Hunde nachdenken lässt. Die ersten schriftlichen Aufzeichnungen über die Existenz von Schottischen Terriern finden sich zweifellos in verschiedenen Autoren des 16. Jahrhunderts (Johannes Caius, Turbeville, zum Beispiel), die Northern Terrier erwähnen und eine Art kurzbeiniger, harthaariger Hunde beschreiben. Jagd auf den Fuchs und den Dachs-Untergrund. Im Jahr 1774 sprach Oliver Goldsmith von einem kleinen Bau, einem unerschütterlichen Mut und einer klaren Stimme.
In der Wildnis des Hochlandes sowie an der Küste und auf den Hebriden wurden Terrier von Adligen und Bauern aufgezogen. Einige Unterschiede zeigten sich in den Arten und Farben, nach den Vorlieben jedes Züchters, in jeder abgelegenen Ecke, aber erst Anfang des neunzehnten Jahrhunderts begannen die Beschreibungen, diese Variationen und die Typen zu notieren wurden deutlicher gezeichnet; ohne dass es heute möglich wäre, die Ursprünge jeder aktuellen Rasse genau zu lokalisieren, wenn sie nicht gleich sind. Eher im Osten (besonders im Gebiet von Aberdeen) entwickelten sich Hunde mit starken Körpern, kurzen Beinen, großen Köpfen, langen Nasen und harten Zähnen. Ihre Ohren waren klein und aufrecht, ihre Haare waren hart von Sand zu Schwarz. Sie wären die Vorfahren des Scottish Terrier. In den westlichen Grafschaften hatten die Hunde, auch langbeinige, den Körper mehr gesammelt, nervös, die Haare länger; Sie waren anscheinend die Vorfahren von Cairn und West Highland. Auf den Nordwest-Inseln gab es einen dritten Typ mit längerem Rücken, stärkerer Struktur, langen Haaren, aus denen der Skye Terrier abstieg.
Oft wurden weiße Welpen, die in einer Sänfte geboren wurden, ertränkt, weil man dachte, dass sie weniger arbeitsam seien als farbige Subjekte. Ansonsten gab es bis zu diesem Zeitpunkt wenig körperliche Pflege für einen Hund, solange er stark genug und klug genug war, um den Job zu erledigen. Die Bauern und Wildhüter waren nicht zärtlich mit ihren Hunden, und es heißt zum Beispiel, junge Terrier hätten sich in einem Bach einem Otter als Beweis für ihren Mut stellen müssen. Wer den Kiefer, die Beweglichkeit und die Stärke eines Otters bereits gesehen hat, wird die Schwierigkeit dieses Tests verstehen. Bei der Jagd hatten Hunde mit wildem Wild zu kämpfen und waren entschlossen, seine Haut teuer zu verkaufen. Es ist daher das der mutigen Hunde, die oft darunter litten. Und die Medizin des Augenblicks war ziemlich schnell: wenn ein Hund gerissen wurde, nähte sein Meister ihn mit dem großen Draht und lebte. Wie bei der Jagd in den Steinhaufen, den felsigen Hügeln, wo sich das Ungeziefer versteckt (was einem dieser Terrier seinen Namen gab), war es auch gefährlich. Die Hunde blieben oft in ihrem Eifer stecken, um das Biest zu verfolgen, und nur ein Fasten von mehreren Tagen erlaubte ihnen, dünn aber lebendig zu gehen.
Aber der Ruf der tapferen Highland Terrier war längst über ihre heimischen Moore geplatzt. Wie durch die Vorkehrungen von James I von England (James VI von Schottland) bewiesen, als er sechs weiße Terrier von Argyll in königliche Gabe schicken wollte. Die Hunde wurden auf mehreren Booten verschifft (falls einer sinken würde). Der glückliche Empfänger war kein anderer als Henry IV. Im Jahr 1839 wird es kein König mehr sein, sondern ein Künstler (Sir Edwin Landseer), der dem West Highland White Terrier Tribut zollen wird, indem er ihn auf zwei seiner Bilder, Highlands Dogs und Dignity and Impudence, erscheinen lässt: jegliche Konfusion bezüglich der Rasse Tiere sind unmöglich, so nahe sind sie dem Westie-Typ, auch heute noch.
Die Geschichte des West Highlands verengt sich dann um eine Region, Argyll County, und einen Mann, Colonel ED Malcolm von Poltalloch. Argyll, im Südwesten der Grampian Mountains gelegen, hatte die kuriose Besonderheit, mehrere ganz weiße Wildarten zu beherbergen. Füchse, Hasen und makellose Heather Hähne mussten mit den kleinen weißen Terriern koexistieren, die ebenfalls perfekt pigmentiert und völlig frei von Albinismus waren. Malcolm de Poltalloch, der zu einem führenden Zuchtspezialisten wurde, war der erste, der nicht tolerierte, sondern in seinen Würfen nach der weißen Farbe suchte. Tatsächlich tötete dieser große Jäger zufällig einen seiner Lieblingsterrier, die er in den roten Büschen nicht unterscheiden konnte; Hier ist der Oberst, der entschlossen ist, nur weiße Hunde zu haben. Weiß ist nicht gerade der geeignete Kennzeichner, denn, wie T. Bell im Jahr 1837 feststellt, war eine typische schottische Terrierfarbe lockenweiß, cremefarben und sogar hellgelb. So waren die Colonel's Terrier um 1870, nachdem es ihm gelungen war, seine eigene Varietät von Highland Terriern zu erschaffen. Auch diese Hunde mussten zuerst arbeiten, und ihre Farbe, wie ihre Morphologie, konnte sich annähern. Der Charakter, er war König, was unsere harten, turbulenten, sturen und wohltemperierten Westies erklärt. Beachten Sie die halb aufrechten Ohren, die manchmal zu der Zeit erschienen.
Aber Oberst Poltalloch war nicht nur ein Jäger, er versteckte auch einen eingeweihten Hund, und er ging, um seine Terrier in Ausstellungen zu präsentieren. Das war 1890, und die verschiedenen schottischen Rassen waren noch nicht sehr gut definiert. All diese kleinen Teufel von Arbeitshunden koexistierten in den gleichen Kategorien, was die Verwirrung und Kontroverse über die Namen erklärt, die der Rasse lange gegeben wurden, wie "Highland Terrier", "Poltalloch Terrier", "Pittenweem Terrier" "Roseneath Terrier" und sogar "White Scottish Terrier" oder "Skye White Terrier". Es muss zugegeben werden, dass es etwas zu verlieren gab. Diese berühmten "Roseneath Terrier" wurden 1899 im Crystal Palace präsentiert, die gleichen Hunde, die 1904 in Edinburgh Edinburgh High Highland White Terrier genannt wurden. Die Rasse wurde eingeführt.
Zwei Jahre später wurde der erste English Race Club gegründet und der Standard entwickelt. In diesem Jahr erkannte der Kennel Club offiziell Westie an, die jedoch noch weit von den aktuellen Hunden entfernt war. Erst am 18. November 1924 wurden Verbindungen zwischen Cairn und Westie verboten, und 1928 wurde der Standard der zweiten geändert, vor allem in Bezug auf die Größe. Zwischen den Kriegen würden die ersten Schritte zur Pflege von Terriern stattfinden, mit Ausnahme der Cairn, die ihren Aspekt des zottigen kleinen Teufels behielt. Der Erfolg war bald, und der Westie wurde bald im Süden von England geschätzt, dann in den siebziger Jahren exportiert.
Eine Geschichte von mutigen und fleißigen Hunden, die heute durch ihre Herzensgüte und ihren kleinen schurkischen Blick verführen. Eine schöne Geschichte, kurz. Dieser Hund ist ein großer Mann in einem Mini-Format. Dies ist, kurz zusammengefasst, das Porträt des West Highland White Terrier. Klein, ist er, aber ohne Zugeständnisse. Und wenn seine Größe es ihm nicht erlaubt, sich physisch (und wieder) aufzudrängen, füllt er diesen Mangel durch einen Charakter des Feuers und erschreckt den Stärksten durch seine Entschlossenheit und seinen Mut. Natürlich ist es sein Aussehen, aber er hat so viel mehr zu bieten. Es zu kaufen, ohne es zu wissen, könnte eine Katastrophe sein, weil dieser Teufel einen Meister auf der Höhe haben muss.
Erstens ist es ein Vorteil. Kein Wunder für einen Terrier, sicher, aber der Westie scheint ein Genie zu haben, um das Ereignis zu schaffen, wo es nichts zu sehen gibt. Ein kleines Cabotin, seien wir ehrlich, es macht nichts wie die anderen, und die bloße Tatsache, es live zu sehen, ist schon ein Spektakel. Im Haus kennt er jede Ecke, jedes kleine Haushaltsdetail, das ein spannendes Spiel machen kann, er geht mit Stolz und Zuversicht sein Feld. Keine Möglichkeit den Nachmittag zum Kuscheln zu verbringen. Der Westie ist ein Hund, kein Spielzeug, und er hat ihn schnell zurückgerufen. Er pflegt auch eine gewisse Unabhängigkeit und bleibt allein. Selbst wenn seine Neugier ihn zu seinem Herrn drängt, sobald er in seiner Höhe (in Bodennähe) arbeitet, reicht ihm seine Anwesenheit im Haus aus, und er wird geduldig warten können, wenn er abwesend ist. Noch ist er der Arbeitshund, der ewig auf seiner Mission fixiert ist, und ihn gehorchen zu lassen, ist schon eine große Leistung. Denn der Westie scheint es zu gefallen, keiner Kategorie zuzuordnen. Oder es sollte für ihn geschaffen werden: großer freiwilliger Hund, der als unschuldiger kleiner Hund verkleidet wird. Jeder macht was er mag; er stimmt zu, besonders wenn er entscheidet.
Die sture und etwas sture Seite des West Highlands sollte seine großen Fähigkeiten der Zuneigung und Zuneigung zu seinem Meister nicht überschatten, vorausgesetzt, dass er respektiert wird. Weil der Westie scheinbar nicht auf ihn aufpasst, verlässt er ihn nicht wirklich von einer Seezunge. Selbst wenn er versucht, zu diesen Zeiten so diskret wie möglich zu sein, wird niemand getäuscht, wenn er sich auf der Spitze der Beine nähert und sich niederlässt, um um eine Liebkosung zu bitten, eine kleine freundliche Geste. Wir sind vielleicht Terrier, wir brauchen immer noch Liebe. In seinem Rennstil verbirgt der Westie ein großes Herz. Diese Affektivität entfaltet er zum Ort der Kinder, dass er den Wahnsinn lieben wird, wenn sie gut erzogen sind und ihm nicht die Haare ziehen (sonst wird es ihnen schnell verständlich machen, dass er kein Hund ist mit lass dich zum Märtyrer werden). Er wird immer bereit sein für echte Spiele (um nicht das "baballe" zu melden) und für Spaziergänge. Die Waldausflüge sind, was er bevorzugt, und er wird nicht der erste müde sein. Nichts hält ihn auf, weder die Baumstämme, die auf der Straße liegen, noch die Löcher, noch die Brombeersträucher. Als echter Terrier blieb er empfindlich gegenüber jeglichem spielartigen Geruch und kann durch das Dickicht laufen, um ein Tier zu sehen, das eine Stunde später wieder erscheint, schlammig, erschöpft, aber erfreut.
Seine Hartnäckigkeit wird sich wahrscheinlich auch bei Katzen und anderen Haustieren manifestieren. Es muss daher jede Aggression gegenüber ihnen von Kindheit an verbieten. Das hindert ihn nicht daran, sich mit der Hauskatze vollkommen zu verbrüdern, wenn er daran schon jung gewöhnt ist; daher wird der bezaubernde Anblick von Toutou et Minet, der einen einzigen Korb schläft, nicht selten sein. Finden seine Mitgeschöpfe in den Augen dieses Prinzen Gefallen? Allgemein gesprochen, ja, das West Highland hat eine gute Geselligkeit, aber es kann seine starke Persönlichkeit nicht verbergen, und einige Reibungen können auftreten, wenn es auf einen großen Hund velléitaire fällt. Wer denkt, dass er groß ist, zögert nicht, seinen Gegner mit erstaunlicher Sicherheit anzugreifen. Von Natur aus dominant genug, gibt er bereitwillig Hunde, die größer sind als er selbst, mit seiner alleinigen Autorität. Es kann vorkommen, dass ein "bulliger" es an seinen Platz stellt, was, weit entfernt von beruhigendem Sir Westie, eher aufregt. Kurz, er ist charmant, solange man nicht versucht, ihn zu ärgern.
Mit dieser freiwilligen und unerschrockenen Haltung reagiert der Westen auch auf jeden Trainingsversuch ein wenig. Deshalb ist es wichtig, sich um seine Ausbildung zu kümmern, solange er noch ein Welpe ist, der sich seiner nicht sicher ist. Nicht, um ihm gute Manieren beizubringen, würde ihn bald zu einem kleinen Despoten machen, süß, aber manchmal schwer zu ertragen. Dieser Hund ist ein starker, und jede Schwäche in seiner Beziehung wäre ein schwerer Fehler, wie jeder Versuch, in Kraft zu treten, den er im Ganzen ablehnen würde. Wer jedoch die eiserne Hand in den Samthandschuh steckt und darauf beharrt, ohne offen zu dominieren, wird eine große Chance haben, einen kleinen Gefährten charmant, boshaft, aber auch einen aktiven Partner zu machen.
Denn der Westie ist ein schlauer Mann, der, wenn er sich nicht öffentlich äußern will, schnell versteht, wo sein Interesse bei einem entschiedenen Meister liegt. Ein offener Ärger würde ihn tagelang schmollen lassen, deshalb werden die Fälle in der Familie geregelt, mit einer absoluten Konstanz und Verbotsordnung. Solch eine heute autorisierte Handlung wird morgen nicht verteidigt (und umgekehrt), sonst wird der Westie jeden Glauben an die Festigkeit seines Herrn verlieren und ihn nicht länger als seinen Beschützer und Freund anerkennen. Es muss wenig gefragt werden, aber man muss darauf hören. Der Westen ist kein Hund, der sich an einer permanenten Order-Erfüllungs-Beziehung erfreut, aber es ist wichtig, seinen Gehorsam zu erhalten, wenn er nur wenige Male gefragt wird: keine Frage, auf einer Anfrage ohne Antwort zu bleiben. Dann gratulieren wir ihm herzlich; bald wird er der großen Stimme Streicheleinheiten vorziehen. Sehr intelligent, kann der Westie, wenn er sich entschieden hat, überraschen, indem er sehr kooperativ ist und sogar Sportarten wie Beweglichkeit genießt. In dieser Disziplin, in der Hund und Meister einen Weg der Hindernisse in Harmonie und ohne zwingende Anweisungen verfolgen, wird der Westen wahrscheinlich sein Gleichgewicht finden, indem er ein halbes Team und nicht nur ein Untergebener wird. Was auch immer die Aktivität ist, die seine Lehrer mit ihm teilen wollen, es ist wichtig, eine freiwillige Zusammenarbeit zu etablieren, die ihn glücklich macht.
Früher ausschließlich ein Landhund, wird der Westen heute wegen seiner geringen Größe und seines rustikalen Charakters zu einer der beliebtesten Rassen der Stadtbewohner. Es ist daher wichtig, dass sein Lebensrhythmus mit seinem Temperament übereinstimmt und sein Gleichgewicht erhält. Natürlich kann man ihn nicht auf enge Räume beschränken, indem man ihm bei jeder Übung seine drei täglichen hygienischen Spaziergänge gibt. Aber mit regelmäßigen Ausflügen in einer Grünfläche, die lang genug sind, um wirklich körperlich beschäftigt zu sein, wird er sehr glücklich sein, wenn es an der Zeit ist, in die Wohnung zurückzukehren. Nach der Anstrengung, dem Komfort und dem Teppichboden mag es sicher genauso viel wie das Stroh, wenn es gut an die Stadt angepasst ist. Nichtsdestoweniger werden die Sitzungen der wirklichen Kampagne ihm das größte Wohl tun, und es würde gegen seine Natur sein, seine tadellose Weiße zu bewahren, indem er ihm verbietet, im Schlamm zu laufen und in Pfützen zu spielen.
Ein Wort über den Wert des West Highland White Terrier als Alarmglocke. Lassen Sie einen Fremden am Tor oder an der Tür erscheinen, und es besteht kein Zweifel, dass die klare, hohe Stimme der Westie gehört werden wird. Natürlich ist er kein richtiger Wachhund, denn glücklicherweise ist er relativ gesellig mit Fremden, aber er wird es nicht versäumen zu bellen, um eine unerwartete Präsenz zu signalisieren. Dieses West Highland ist ein echter Charakter.
Unwiderstehlich mit seinem schelmischen Aussehen, liebenswert durch seinen unabhängigen aber zärtlichen Charakter, praktisch dank seiner Taschengröße, ist es wirklich der Hund der achtziger Jahre. Ich wünsche ihm, dass er diesen großen öffentlichen Gefallen behält und einer der Favoriten des Jahrtausends zweitausendundzwanzig ist. Er hat es verdient. |
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West Highland White Terrier
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FCI Standard Nº 85
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Origen
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Gran Bretaña |
Traducción
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Brígida Nestler / Versión original : (EN) Supervisión Técnica : Miguel Ángel Martínez |
Grupo
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Grupo 3 Terriers |
Sección
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Sección 2 Terriers de talla pequeña |
Prueba de trabajo
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Sin prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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viernes 29 octubre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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miércoles 13 octubre 2010 |
Última actualización
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miércoles 12 enero 2011 |
En français, cette race se dit
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West Highland White Terrier |
In English, this breed is said
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West Highland White Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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West Highland White Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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West Highland White Terrier |
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Aspecto general
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De estructura fuerte; pecho profundo y costillas bien desarrolladas hacia atrás. Espalda nivelada. Extremidades posteriores poderosas, con buena musculatura, exhibiendo en alto grado la combinación de fortaleza y actividad. |
Temperamento / comportamiento
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Pequeño, activo, valiente, sin miedo, poseyendo mucha autoestima, de expresion pícara, alerta, alegre, intrépido, seguro de sí mismo y amistoso. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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La distancia del occipucio a los ojos es ligeramente mayor que la longitud de la región facial. La cabeza está cubierta con abundante pelaje, formando un ángulo recto, o agudo, en relación al eje del cuello. La cabeza no se debe llevar en posición extendida. |
Cráneo
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Ligeramente abultado. Vista de lado, la frente presenta una curvatura lisa. El cráneo disminuye ligeramente desde el nivel de la oreja hasta los ojos. |
Depresión naso-frontal (stop)
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Muy notoria, formada por una visible formación ósea ligeramente saliente inmediatamente arriba de los ojos, y una ligera hondonada entre los mismos. |
Facial region
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Trufa
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Negra y algo alargada, formando un leve contorno con el resto del hocico. La trufa no se proyecta hacia adelante. |
Hocico
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Se adelgaza gradualmente desde los ojos hasta la nariz. El hocico debe ser bien lleno debajo de los ojos, sin ser cóncavo ni caer bruscamente. |
Mandíbulas / Dientes
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Maxilares fuertes y uniformes. Lo más amplia posible entre los colmillos, guardando la expresión pícara. Los dientes son grandes proporcionalmente al tamaño del perro, con una mordida uniforme de tijera, es decir, que los incisivos superiores caen exactamente por delante de los inferiores, los dientes siendo colocados perpendicularmente en los maxilares. |
Ojos
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Bien separados, tamaño mediano, ni redondeados ni grandes, lo más oscuros posible y colocados bien debajo de cejas tupidas que dan al perro una expresión aguda e inteligente. Los ojos de color claro son muy indeseables. |
Orejas
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Pequeñas, erectas y llevadas con firmeza, terminando en punta, implantadas ni muy cerca ni muy separadas. Su pelo corto y suave (aterciopelo) no debe ser cortado. Libre de pluma en la punta. Las orejas con punta redondeada, anchas, largas, gruesas o con demasiado pelo son indeseables. |
Cuello
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Suficientemente largo, de manera que permita la buena posición requerida a la cabeza; cuello musculoso, engrosándose gradualmente hacia la base de manera que pueda emerger suavemente de los hombros inclinados. |
Cuerpo
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Generalidad
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Compacto. |
Espalda
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Nivelada. |
Lomo
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Amplio y fuerte. |
Pecho
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Profundo; las costillas en la mitad superior son tan arqueadas que dan una apariencia plana a los lados. Las últimas costillas tienen una profundidad considerable, siendo la distancia de la última costilla a la cadera sólo lo suficientemente larga para permitir un libre movimiento al cuerpo. |
Cola
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13 - 15 cm, cubierta con pelo áspero, sin pluma, lo más recta posible, llevada altivamente, mas ni alegre ni encorvada sobre la espalda. Una cola larga no es deseable, pero por ningún motivo se debe amputar. |
Miembros anteriores
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Hombro
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Inclinados hacia atrás con omóplatos amplios bien pegados a la pared del pecho. La articulación del hombro posicionada hacia adelante. |
Codo
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Bien posicionados de manera que permitan a la extremidad un movimiento libre, paralelo al eje del cuerpo. |
Antebrazo
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Extremidades anteriores cortas y musculosas, rectas y densamente cubiertas con pelo corto y duro. |
Pies delanteros
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Los anteriores son más largos que los posteriores, redondos, proporcionados en tamaño, fuertes, con almohadillas gruesas y cubiertos con pelo corto, áspero. Los pies posteriores son más pequeños, con almohadillas muy gruesas. La superficie inferior de las almohadillas y todas las uñas se prefieren de color negro. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Fuertes, musculosos y amplios en la parte superior; miembros traseros cortos, musculosos y tendinosos. |
Muslo
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Muy musculosos y no demasiado separados. |
Rodilla
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Bien inclinadas. |
Corvejón
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Bien angulada y posiciona bajo el cuerpo de manera que estén considerablemente juntos al andar o permanecer en pie. Los corvejones rectos o débiles son indeseables. |
Pies traseros
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Más pequeños que los anteriores, redondos, proporcionados en tamaño, fuertes, con almohadillas gruesas y cubiertos con pelo corto, áspero. Los pies posteriores son más pequeños, con almohadillas muy gruesas. La superficie inferior de las almohadillas y todas las uñas se prefieren de color negro. |
Movimiento
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Libre, recto y con facilidad en todos los tipos de andadura. En los miembros anteriores, se extiende libremente adelante de los hombros. El movimiento de las extremidades posteriores es libre, fuerte y unido. Las rodillas y corvejones deben ser bien angulados; los corvejones posicionados bajo el cuerpo dan un buen empuje. El movimiento rígido o afectado de las extremidades posteriores y los corvejones de vaca son muy indeseables. |
Piel
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Libre de obvias enfermedades cutáneas. |
Manto
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Pelo
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Tiene doble capa. La capa externa consiste de pelo áspero, de aproximadamente 5 cm de largo, sin ondulaciones. La capa interna, que parece de piel, es corta, suave y densa. No es deseable el pelaje no apretado. |
Color
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Blanco. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Aproximadamente 28 cm. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas descalificantes:
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Perro agresivo o temeroso. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Al igual que todos los terriers escoceses, la historia antigua de West Highland White Terrier es bastante oscura. Hoy adorado por la publicidad y objeto de una moda apasionada, ayer carrera secreta coronada en las exposiciones, este encantador Terrier con el vestido blanco sin embargo tiene un pasado más lejano, que muchos parecen incluso olvidar: el de un áspero cazador de Alimañas escocesas
Primero se debe señalar que los terrier siempre se han encontrado en Escocia. Incluso antes de la Edad Media, fueron utilizados para desalojar y matar animales dañinos y otros "hedores", como ratas y ratones, por supuesto, así como tejones, nutrias y gatos monteses. El zorro también estaba entre sus víctimas, lo que deja a uno preguntándose sobre la determinación y la agresividad que estos pequeños perros tenían para mostrar. Los primeros registros escritos de la existencia de Scottish Terriers se encuentran indudablemente en varios autores del siglo XVI (Johannes Caius, Turbeville, por ejemplo), que mencionan Northern Terrier y describen un tipo de perros de pelo corto y pelo duro. persiguiendo al zorro y al tejón bajo tierra. En 1774, Oliver Goldsmith habló de una pequeña madriguera, un coraje inquebrantable y una voz clara.
En el desierto de las Tierras Altas, así como en la costa y las Hébridas, Terriers fueron criados por nobles y campesinos. Aparecieron algunas diferencias en los tipos y colores, de acuerdo con las preferencias de cada obtentor, en cada esquina más remota, pero no fue hasta principios del siglo XIX que las descripciones comenzaron a notar estas variaciones y que los tipos fueron dibujados más claramente; sin que sea posible hoy localizar con precisión los orígenes de cada raza actual, si no son los mismos, por cierto. Más bien hacia el este (en el área de Aberdeen, en particular), se han desarrollado perros con cuerpos fuertes, patas cortas, cabezas grandes, narices largas y dientes duros. Sus orejas eran pequeñas y erectas, su cabello era duro desde la arena hasta el negro. Serían los antepasados de Scottish Terrier. En los condados occidentales, los perros, también de piernas largas, tenían el cuerpo más recogido, nervioso, el cabello más largo; aparentemente eran los antepasados de Cairn y West Highland. En las Islas del Noroeste, había un tercer tipo con una espalda más larga, una estructura más fuerte, cabello largo, del cual descendería el Skye Terrier.
A menudo, los cachorros blancos que nacieron en una camada se ahogaron porque se pensaba que eran menos trabajadores que los sujetos de color. De lo contrario, hasta ese momento, había poco cuidado físico de un perro, siempre y cuando fuera lo suficientemente fuerte e inteligente como para hacer el trabajo. Los campesinos y los guardabosques no eran tiernos con sus perros, y se dice, por ejemplo, que los jóvenes Terriers tuvieron que enfrentar a una nutria hasta la muerte en un arroyo como prueba de su coraje. Quien ya ha visto la mandíbula, la agilidad y la fuerza de una nutria comprenderá la dificultad de esta prueba. En la caza, los perros estaban lidiando con un juego feroz y decidieron vender su piel cariñosamente. Por lo tanto, es el de los perros valientes que a menudo sufren de ella. Y la medicina del momento fue bastante rápida: cuando un perro se rasgó, su maestro lo cosió con el alambre grande y con vida. En cuanto a la caza en los mojones, los montículos rocosos donde se esconden las alimañas (que dieron su nombre a uno de estos Terriers), también era peligroso. Los perros a menudo se quedaban atrapados en él, en su ardor por perseguir a la bestia, y solo un ayuno de varios días les permitía partir, demacrado pero vivo.
Pero la reputación de los valientes Highland Terriers había desbordado desde hacía tiempo sus páramos nativos. Como lo demuestran las precauciones tomadas por James I de Inglaterra (James VI de Escocia) cuando quiso enviar un regalo real a seis White Terriers de Argyll. Los perros fueron embarcados en varios barcos (en caso de que uno se hundiera). El afortunado receptor no era otro que Enrique IV. En 1839, ya no será un rey sino un artista (Sir Edwin Landseer) quien rendirá homenaje al West Highland White Terrier haciéndolo aparecer en dos de sus cuadros, Highlands Dogs y Dignity and Impudence: cualquier confusión en cuanto a la raza de estos los animales son imposibles, tan cerca están del tipo Westie, incluso hoy en día.
La historia de West Highland luego se estrecha alrededor de una región, el condado de Argyll, y un hombre, el coronel ED Malcolm de Poltalloch. Argyll, ubicado al suroeste de las Montañas Grampian, tenía la curiosa peculiaridad de albergar varias especies totalmente salvajes. Zorros, liebres y gallos de brezo inmaculados tenían que cohabitar con los pequeños Terriers blancos, también perfectamente pigmentados y totalmente libres de albinismo. Malcolm de Poltalloch, que se convirtió en un prominente especialista en razas, fue el primero, no toleró, sino que buscó el color blanco en sus camadas. De hecho, este gran cazador mató accidentalmente a uno de sus favoritos Terriers, a quien no pudo distinguir en los arbustos rojos; aquí está el Coronel, bien resuelto a tener solo perros blancos. El blanco no es exactamente el calificador apropiado, ya que, como señala T. Bell en 1837, un tinte común de terriers escoceses era blanco, con crema e incluso amarillo claro. Tales eran los Terriers del Coronel alrededor de 1870, después de haber logrado crear su variedad distintiva de Highland Terriers. Nuevamente, estos perros tuvieron que trabajar primero, y su color, como su morfología, podía permitirse ser aproximado. El personaje, él era el rey, lo que explica a nuestros duros, turbulentos, obstinados y bien temperados Westies. Tenga en cuenta las orejas semi erectas que a veces aparecieron en el momento.
Pero el coronel Poltalloch no era solo un cazador, sino que también ocultó a un perro-perro iniciado, y se fue a presentar sus terrieres en exhibiciones. Esto fue en 1890, y las diversas razas escocesas aún no estaban muy bien definidas. Todos estos pequeños diablos de perros de trabajo coexistieron en las mismas categorías, lo que explica la confusión y controversia sobre los nombres que se le dieron a la raza, como "Highland Terrier", "Poltalloch Terrier", "Pittenweem Terrier". , "Roseneath Terrier" e incluso "White Scottish Terrier" o "Skye White Terrier". Debe admitirse que había algo que perder. Estos famosos "Roseneath Terriers" se presentaron en el Crystal Palace en 1899, los mismos perros fueron llamados West Highland White Terriers en Edimburgo en 1904. La raza fue lanzada.
Dos años más tarde, se fundó el primer English Race Club y se desarrolló el estándar. Ese año, el Kennel Club reconoció oficialmente a Westie, que, sin embargo, todavía estaba lejos de los perros actuales. No fue hasta el 18 de noviembre de 1924 cuando se prohibieron los acoplamientos entre Cairn y Westie, y en 1928 se modificó el estándar del segundo, especialmente en lo que respecta al tamaño. Entre las guerras se verían los primeros pasos de la preparación de los Terriers, a excepción del Cairn, que mantuvo su aspecto de pequeño diablo peludo. El éxito fue pronto, y el Westie pronto fue apreciado en el sur de Inglaterra, y luego exportado en los años setenta.
Una historia de perros valientes y trabajadores, que hoy seducen por sus cualidades de corazón y su pequeña apariencia de pícaro. Una bella historia, en resumen. Este perro es un gran hombre en un mini formato. Esto es, resumió rápidamente, el retrato de West Highland White Terrier. Pequeño, lo es, pero sin concesiones. Y, si su tamaño no le permite imponerse físicamente (y nuevamente), él llena esta falta por un personaje de fuego y asusta al más fuerte con su determinación y su coraje. Por supuesto, es su aspecto, pero tiene mucho más para ofrecer. Comprarlo sin saberlo podría ser un desastre, porque este demonio debe tener un maestro en la cima.
Primero, es un activo. No es de extrañar para un Terrier, sin duda, pero el Westie parece tener un genio para crear el evento donde no hay nada que ver. Un poco de cabotin, seamos sinceros, no hace nada como los demás, y el simple hecho de verlo en vivo ya es un espectáculo. En la casa, conoce cada rincón, cada pequeño detalle de la casa que puede convertirse en un juego emocionante, recorre su campo con orgullo y confianza. No hay manera de pasar la tarde para acurrucarse. The Westie es un perro, no un juguete, y fue rápido en devolverle la llamada. Él también cultiva cierta independencia y se queda solo. Incluso si su curiosidad lo empuja hacia su maestro tan pronto como trabaja en su altura (cerca del suelo) su presencia en la casa es suficiente para él, y él sabrá cómo esperarlo pacientemente si está ausente. Ni él es el perro trabajador eternamente fijo en su misión, y obligarlo a obedecer ya es una gran hazaña. Porque el Westie parece disfrutar no caer en ninguna categoría. O bien, debería ser creado para él: perro voluntario grande disfrazado de perrito inocente. Todos hacen lo que les gusta; él está de acuerdo, especialmente si decide.
El lado obstinado y un tanto obstinado de West Highland no debe eclipsar sus grandes habilidades de afecto y apego a su maestro, siempre que sea respetado. Porque, al parecer no cuidar de él, el Westie no lo abandona realmente. Además, incluso si trata de ser lo más discreto posible en estos momentos, nadie se deja engañar cuando se acerca a la punta de las piernas y se conforma con pedir una caricia, un pequeño gesto amistoso. Podemos ser Terrier, todavía necesitamos amor. En su estilo de carrera, el Westie esconde un gran corazón. Esta afectividad, la despliega en el lugar de los niños, que amará la locura si son bien criados y no le tira el cabello (de lo contrario, les hará comprender rápidamente que él no es un perro con déjate martirizar). Siempre estará listo para juegos reales (no para informar el "baballe") y para paseos. Las excursiones al bosque son lo que él prefiere, y él no será el primero en cansarse. Nada lo detiene, ni los troncos de los árboles que se encuentran al otro lado de la carretera, ni los agujeros, ni las zarzas. Como un verdadero Terrier, se mantuvo sensible a cualquier olor similar a un juego, y es capaz de correr por los matorrales en busca de un animal para reaparecer una hora más tarde, embarrado, agotado, pero deleitado.
Su obstinación también puede ser sentida por los gatos y otros animales domésticos. Por lo tanto, debe prohibir cualquier agresión hacia ellos desde la infancia. Esto no le impide estar perfectamente en condiciones de fraternizar con el felino de la casa, si ya se ha acostumbrado a él; por lo tanto, la vista encantadora de Toutou et Minet compartiendo, dormida, una sola canasta no será rara. ¿Sus compañeros criaturas encuentran favor en los ojos de este príncipe? En términos generales, sí, West Highland tiene una buena sociabilidad, pero no puede ocultar su fuerte personalidad, y puede haber cierta fricción si cae en un gran perro velléitaire. El que piensa que es grande, no duda en atacar a su oponente con sorprendente seguridad. Lo suficientemente dominante por naturaleza, voluntariamente somete perros más grandes que él por su única autoridad. Puede suceder que un "fornido" lo ponga en su lugar, lo que, lejos de calmar a Sir Westie, más bien excita. En resumen, es encantador mientras uno no intente molestarlo.
Esta actitud voluntaria e intrépida, Occidente también tiene un poco en su reacción a cualquier intento de entrenamiento. Es por esto que es esencial cuidar su educación mientras él todavía es un cachorrito no muy seguro de él. No enseñarle buenos modales pronto lo convertiría en un pequeño déspota, lindo, pero a veces difícil de soportar. Este perro es fuerte, y cualquier debilidad en su consideración sería un grave error, como cualquier intento de tomar en fuerza, que rechazaría en bloque. Sin embargo, la persona que deslizará la mano de hierro en el guante de terciopelo e insistirá sin pretender dominar abiertamente tendrá una gran oportunidad de hacer una pequeña compañía encantadora, traviesa, pero también una compañera activa.
Westie es un hombre inteligente que, si no le gusta presentarse en público, comprende rápidamente dónde está su interés con un maestro decidido. Una vejación abierta lo haría enojarse durante días, por eso los casos se resolverán en familia, con una absoluta constancia en prohibiciones y órdenes. Tal acto autorizado hoy no será defendido mañana (y viceversa), de lo contrario, Westie perderá toda la fe en la solidez de su maestro y ya no lo reconocerá como su protector y amigo. Debe pedirse poco, pero exige ser escuchado. Occidente no es un perro que se deleita en una relación de orden y ejecución permanente, pero es esencial obtener su obediencia las pocas veces que se le pide: no se trata de permanecer en una solicitud sin respuesta. Entonces, lo felicitamos cálidamente; pronto preferirá las caricias a la gran voz. Muy inteligente, Westie puede, si lo ha decidido, sorprenderse por ser muy cooperativo e incluso disfrutar de deportes como la agilidad. En esta disciplina, donde el perro y el maestro siguen juntos un curso de obstáculos, en armonía y sin órdenes perentorias, Occidente es probable que encuentre su equilibrio convirtiéndose en la mitad de un equipo y no un mero subordinado. Cualquiera que sea la actividad que sus maestros elijan compartir con él, lo importante es establecer una colaboración voluntaria que lo haga tan feliz como ellos.
Anteriormente un perro de campo exclusivamente, Occidente ahora se convierte en una de las razas favoritas de los habitantes de la ciudad debido a su pequeño tamaño y su carácter rústico tanto como juega. Por lo tanto, es esencial que su ritmo de vida esté en armonía con su temperamento y preserve su equilibrio. Por supuesto, no se trata de confinarlo a habitaciones estrechas dándole a cada ejercicio sus tres caminatas higiénicas diarias. Sin embargo, con salidas regulares en un espacio verde, el tiempo suficiente para que realmente esté físicamente ocupado, él estará muy feliz, cuando llegue el momento, de regresar al apartamento. Después del esfuerzo, la comodidad y la alfombra le gusta tanto como la paja, si está bien adaptada a la ciudad. Sin embargo, las sesiones de campaña real le harán el mayor bien, y sería contrario a su naturaleza querer preservar su inmaculada blancura al prohibirle correr en el barro y jugar en charcos.
Una palabra sobre el valor de West Highland White Terrier como alarma. Deje que un extraño aparezca en la entrada o en la puerta, y no hay duda de que se escuchará la voz clara y aguda del Westie. Por supuesto, él no es un perro guardián real, porque (afortunadamente) es relativamente sociable con extraños, pero no dejará de ladrar para señalar una presencia inesperada. Este West Highland es un personaje real.
Irresistible con su mirada traviesa, entrañable por su carácter independiente pero afectuoso, práctico gracias a su tamaño de bolsillo, es realmente el perro de los años ochenta. Desearle que mantenga este gran favor público y ser uno de los favoritos de la década dos mil veinte. Se merece. |
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West Highland White Terrier
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FCI standaard Nº 85
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Land van oorsprong
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Groot-Brittannië |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 3 Terriërs |
Sectie
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Sectie 2 Kleine Terriërs |
Werkproef
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Zonder werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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vrijdag 29 oktober 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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woensdag 13 oktober 2010 |
Laatste update
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donderdag 08 december 2011 |
En français, cette race se dit
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West Highland White Terrier |
In English, this breed is said
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West Highland White Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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West Highland White Terrier |
En español, esta raza se dice
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West Highland White Terrier |
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Algemeen totaalbeeld
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Krachtig gebouwd; met diepe borstkas en achterste ribben; rechte rug en krachtige voor- en achterhand met gespierde benen. Toont in grote mate een combinatie van kracht en behendigheid. |
Gedrag en karakter (aard)
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Klein, actief, kranig en gehard. In het bezit van een niet geringe mate van gevoel voor eigenwaarde. Met het uiterlijk van een bestrijder van roofwild. Oplettend, vrolijk, moedig, zelfbewust maar vriendelijk. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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De afstand van de achterhoofdknobbel tot de ogen is iets groter dan de lengte van de voorsnuit. Het hoofd is bedekt met dicht haar en wordt onder een rechte hoek of minder gedragen tot de as van de hals. Het hoofd wordt in geen geval in het verlengde van de hals gedragen. |
Schedel
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Licht gewelfd, vertoont bij betasting van het voorhoofd een gladde omtrek. De schedel versmalt zeer weinig van oren naar ogen. |
Stop
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Duidelijke stop, gevormd door zware, benige richels direct boven de ogen en hier iets overheen hangend, met een lichte groef tussen de ogen. |
Facial region
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Neus
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Zwart en tamelijk groot, een gladde omtrek vormend met de rest van de voorsnuit. De neus mag niet naar voren steken. |
Voorsnuit
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Voorsnuit loopt toe van de ogen naar voren. Niet schotelvormig. Niet wegvallend onder de ogen, waar de voorsnuit goed opgevuld moet zijn. |
Kiezen / tanden
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Kaken sterk en gelijk. De afstand tussen de hoektanden is zo breed als verenigbaar is met de gewenste expressie van een bestrijder van roofwild. De tanden zijn groot voor het formaat van de hond, met een regelmatig schaargebit, d.w.z. dat de boventanden nauw sluiten over de ondertanden en de tanden staan recht in de kaken. |
Ogen
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De ogen staan ver uiteen, middelmatig van grootte, niet vol, zo donker mogelijk en goed geplaatst onder zware wenkbrauwbogen, hetgeen de hond een scherpe en intelligente, doordringende uitdrukking geeft. Lichte ogen zijn hoogst ongewenst. |
Oren
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De oren zijn klein, rechtop en stevig gedragen, eindigend in een scherpe punt, noch te ver uiteen, noch te dicht bijeen gedragen. Het haar op de oren is kort en glad (fluwelig), niet geknipt. Geen franje aan de punten. Geronde, brede, grote, dikke oren of te zwaar behaarde oren zijn hoogst ongewenst. |
Hals
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Voldoende lang om de gewenste plaatsing van het hoofd mogelijk te maken. Gespierd, geleidelijk naar de aanzet dikker wordend zodat de hals overgaat in fraai schuin geplaatste schouders. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Compact. |
Rug
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Recht. |
Lendenpartij
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Breed en sterk. |
Borst
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Diep en de ribben aan de bovenzijde goed gewelfd, van de zijkant gezien enigszins vlak. De achterste ribben van aanzienlijke diepte en de afstand van laatste rib tot de achterhand, zo kort als vrije beweging van het lichaam toelaat. |
Staart
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13-15 cm lang, bedekt met hard haar, zonder bevedering, zo recht mogelijk, monter, maar niet vrolijk of over de rug gedragen. Een lange staart is ongewenst, in geen geval gecoupeerd. |
Voorhand
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Schouders
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Naar achteren aflopend. De schouderbladen zijn breed en liggen dicht tegen de borstkas. Het boeggewricht naar voren geplaatst. |
Ellebogen
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Goed naar binnen geplaatst, waardoor het voorbeen vrij beweegt, evenwijdig aan de lichaamsas. |
Onderarm
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Het voorbeen is kort en gespierd, recht en dicht bedekt met kort, hard haar. |
Voorvoeten
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Groter dan de achtervoet, rond, evenredig van maat, sterk, met dikke voetzolen en bedekt met kort, hard haar. De onderzijde van de voetzolen en alle nagels bij voorkeur zwart. |
Achterhand
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Algemeen
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Sterk, gespierd en breed aan de bovenkant. Benen kort, gespierd en pezig. |
Dijbeen
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Zeer gespierd en niet te wijd uiteen. |
Knie
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Goed gebogen. |
Spronggewricht
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Gebogen en goed onder het lichaam geplaatst, zodat ze vrij dicht bij elkaar staan wanneer de hond staat of loopt. Rechte of zwakke sprongen hoogst ongewenst. |
Achtervoeten
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Kleiner dan de voorvoet, met dikke voetzolen, rond, evenredig van maat, sterk en bedekt met kort, hard haar. De onderzijde van de voetzolen en alle nagels bij voorkeur zwart. |
Gangwerk
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Vrij, recht en over het geheel gemakkelijk. Voor bewegen de benen vrij vanuit de schouder naar voren. Het achtergangwerk is vrij, krachtig en met de benen dicht bij het lichaam. Knieën en sprongen goed gebogen en de sprongen onder het lichaam getrokken voor goede stuwkracht. Stijve, steltachtige beweging achter en koehakkigheid zijn hoogst ongewenst. |
Huid
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Vrij van duidelijke huidproblemen. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Dubbele vacht. De bovenvacht bestaat uit hard haar, van ongeveer 5 cm lang, zonder enige krul. De ondervacht, die op bont lijkt, is kort, zacht en dicht. Open vachten zijn hoogst verwerpelijk. |
Haarkleur
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Wit. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Ongeveer 28 cm. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressieve of overdreven schuwe honden. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Zoals alle Schotse terriers, is de oude geschiedenis van de West Highland White Terrier nogal duister. Vandaag aanbeden door de publiciteit en het doel van een gepassioneerde mode, gisteren geheime race bekroond in de tentoonstellingen, deze charmante Terrier met de witte jurk heeft toch een verleden meer ver weg, dat velen lijken te vergeten: dat van een ruwe jager van Schots ongedierte.
In de eerste plaats moet worden opgemerkt dat Terriers altijd in Schotland zijn aangetroffen. Zelfs vóór de Middeleeuwen werden ze gebruikt om schadelijke dieren en andere "stank", zoals ratten en muizen, te doden en te doden, evenals dassen, otters en bunzingen. De vos was ook een van hun slachtoffers, waardoor je je afvroeg over de vastberadenheid en agressiviteit die deze kleine honden moesten laten zien. De eerste schriftelijke gegevens over het bestaan van Schotse Terriërs zijn ongetwijfeld te vinden bij verschillende auteurs uit de 16e eeuw (Johannes Caius, Turbeville, bijvoorbeeld), die Northern Terriers vermelden en een soort kortbenige, hardharige honden beschrijven. de vos en de das ondergronds achterna. In 1774 sprak Oliver Goldsmith over een klein hol, met onwankelbare moed en een heldere stem.
In de wildernis van de Hooglanden, evenals aan de kust en in de Hebriden, werden de Terriers grootgebracht door edelen en boeren. Sommige verschillen verschenen in de soorten en kleuren, afhankelijk van de voorkeuren van elke fokker, in elke meest afgelegen hoek, maar het was pas in het begin van de negentiende eeuw dat de beschrijvingen deze variaties begonnen te noteren en dat de typen waren duidelijker getekend; zonder dat het vandaag mogelijk is om precies de oorsprong van elke huidige race te lokaliseren, als ze bovendien niet hetzelfde zijn. Liever naar het oosten (in het bijzonder Aberdeen), hebben zich honden met sterke lichamen, korte benen, grote hoofden, lange neuzen en harde tanden ontwikkeld. Hun oren waren klein en recht, hun haar was hard van zand naar zwart. Zij zouden de voorouders van de Schotse Terriër zijn. In de westelijke provincies hadden de honden, ook langbenig, het lichaam meer verzameld, nerveus, het haar langer; ze waren blijkbaar de voorouders van Cairn en West Highland. Op de Northwest-eilanden was er een derde type met een langere rug, sterkere structuur, lang haar, waaruit de Skye Terrier zou afdalen.
Vaak werden witte pups die in een nest geboren waren verdronken omdat ze dachten minder hard te werken dan gekleurde onderwerpen. Anders was er tot die tijd weinig fysieke verzorging van een hond zolang hij sterk genoeg en slim genoeg was om de klus te klaren. De boeren en jachtopzieners waren niet teder met hun honden, en er wordt bijvoorbeeld gezegd dat jonge Terriers in een kreek met een otter te maken hadden als bewijs van hun moed. Wie de kaak, behendigheid en kracht van een otter al heeft gezien, begrijpt de moeilijkheid van deze test. Tijdens de jacht hadden de honden te maken met felle spelletjes en vastberaden om zijn huid duur te verkopen. Het is daarom dat van de dappere honden die er vaak last van hadden. En het medicijn van het moment was nogal snel: toen een hond werd gescheurd, naaide zijn meester het met de grote draad en leefde. Wat betreft het jagen in de steenhopen, de rotsachtige heuvels waar het ongedierte zich verbergt (wat hun naam aan een van deze Terriërs gaf), was het ook gevaarlijk. De honden zaten er vaak in vast, in hun enthousiasme om het beest na te jagen, en slechts een vasten van meerdere dagen liet hen weggaan, uitgemergeld maar levend.
Maar de reputatie van de dappere Highland Terriers had al lang hun inheemse heide overstroomd. Zoals blijkt uit de voorzorgsmaatregelen die James I van Engeland (James VI van Schotland) heeft genomen toen hij koninklijke gift zes Witte Terriers van Argyll wilde sturen. De honden waren op verschillende boten begonnen (in het geval dat iemand zou zinken). De gelukkige ontvanger was niemand minder dan Henry IV. In 1839 zal het niet langer een koning zijn maar een kunstenaar (Sir Edwin Landseer) die een eerbetoon zal brengen aan de West Highland White Terrier door het te laten verschijnen op twee van zijn schilderijen, Highlands Dogs en Dignity and Impudence: elke verwarring over het ras van deze dieren zijn onmogelijk, zo dicht bij het Westie-type, zelfs vandaag nog.
De geschiedenis van het West Highland versmalt vervolgens rond een regio, Argyll County en een man, kolonel ED Malcolm van Poltalloch. Argyll, ten zuidwesten van het Grampian-gebergte, had de merkwaardige eigenaardigheid van het beschermen van een aantal geheel wilde soorten. Vossen, hazen en onberispelijke heideknollen moesten samengaan met de kleine witte terriërs, ook perfect gepigmenteerd en totaal vrij van albinisme. Malcolm de Poltalloch, die een vooraanstaande rasspecialist werd, was de eerste, niet te tolereren, maar op zoek naar de witte kleur in zijn nesten. In feite heeft deze grote jager per ongeluk een van zijn favoriete terriërs gedood, die hij niet kon onderscheiden in de rode struiken; hier is de kolonel, die vastbesloten is om alleen witte honden te hebben. Wit is niet precies de juiste kwalificatie, want, zoals T. Bell opmerkt in 1837, een gewone tint van Schotse terriers was wit, met room en zelfs lichtgeel. Dat waren de Terriers van de kolonel rond 1870, nadat hij erin geslaagd was zijn verschillende soorten Highland Terriers te creëren. Nogmaals, deze honden moesten eerst werken, en hun kleur, net als hun morfologie, kon het zich veroorloven om bij benadering te zijn. Het karakter, hij was koning, wat onze harde, turbulente, koppige en goed getemperde Westies verklaart. Let op de half rechtopstaande oren die soms op het moment verschenen.
Maar kolonel Poltalloch was niet alleen een jager, hij verstopte ook een geïnitieerde hondenhond en ging op pad om zijn terriërs te presenteren in tentoonstellingen. Dit was in 1890 en de verschillende Schotse races waren nog niet erg goed gedefinieerd. Al deze kleine duivels van werkhonden leefden naast elkaar in dezelfde categorieën, wat de verwarring en controverse verklaart over de namen die lang aan het ras zijn gegeven, zoals "Highland Terrier", "Poltalloch Terrier", "Pittenweem Terrier" , "Roseneath Terrier" en zelfs "White Scottish Terrier" of "Skye White Terrier". Er moet worden toegegeven dat er iets te verliezen viel. Deze beroemde "Roseneath Terriers" werden gepresenteerd in het Crystal Palace in 1899, dezelfde honden die West Highland White Terriers werden genoemd in Edinburgh in 1904. Het ras werd gelanceerd.
Twee jaar later werd de eerste Engelse Race Club opgericht en de standaard ontwikkeld. Dat jaar erkende de Kennel Club officieel Westie, maar deze was nog steeds ver verwijderd van de huidige honden. Pas op 18 november 1924 waren koppelingen tussen Cairn en Westie verboden en in 1928 werd de standaard van de tweede veranderd, vooral wat betreft de grootte. Tussen de oorlogen zouden de eerste stappen van het verzorgen van Terriers zijn, met uitzondering van de Cairn, die zijn aspect van ruige kleine duivel behield. Het succes was snel en de Westie werd snel gewaardeerd in het zuiden van Engeland en vervolgens geëxporteerd in de jaren zeventig.
Een verhaal van dappere en hardwerkende honden, die vandaag verleiden door hun kwaliteiten van hart en hun kleine, schurkachtige uiterlijk. Een mooi verhaal, kortom. Deze hond is een grote man in een miniformaat. Dit is, kort samengevat, het portret van de West Highland White Terrier. Klein, hij is, maar zonder concessies. En als zijn omvang hem niet toestaat zichzelf fysiek (en opnieuw) op te dringen, vult hij dit gebrek aan een karakter van vuur en beangstigt hij de sterkste door zijn vastberadenheid en moed. Natuurlijk is het zijn uiterlijk, maar hij heeft zoveel meer te bieden. Om het te kopen zonder het te weten, zou een ramp kunnen zijn, omdat deze duivel op zijn hoogtepunt een meester moet hebben.
Ten eerste is het een troef. Geen wonder voor een terriër, zeker, maar de Westie lijkt een genie te hebben om het evenement te creëren waar niets te zien is. Een beetje cabotine, laten we eerlijk zijn, het doet niets met de anderen, en het feit alleen al om het live te kijken is al een spektakel. In het huis, hij kent elke hoek, elk klein huisdetail dat een opwindend spel kan zijn, hij wandelt met trots en vertrouwen door zijn veld. Geen manier om de middag door te brengen om geknuffeld te worden. De Westie is een hond, geen speelgoed, en hij was snel om hem terug te bellen. Hij cultiveert ook een zekere onafhankelijkheid en blijft er alleen voor staan. Zelfs als zijn nieuwsgierigheid hem naar zijn meester duwt zodra hij op zijn hoogte (dicht bij de grond) werkt, is zijn aanwezigheid in het huis genoeg voor hem, en hij zal geduldig op hem kunnen wachten als hij afwezig is. Ook is hij de werkhond niet eeuwig gefixeerd op zijn missie, en hem laten gehoorzamen is al een grote prestatie. Omdat de Westie het leuk lijkt te vinden om niet in een categorie te vallen. Of anders moet het voor hem worden gecreëerd: grote vrijwillige hond vermomd als onschuldig klein hondje. Iedereen doet wat hij wil; hij is het daarmee eens, vooral als hij beslist.
De eigenwijze en enigszins eigenzinnige kant van de West Highland mag zijn grote bekwaamheden van genegenheid en gehechtheid aan zijn meester niet overschaduwen, op voorwaarde dat hij gerespecteerd wordt. Omdat, door schijnbaar niet voor hem te zorgen, laat de Westie hem niet echt van een zool. Bovendien, zelfs als hij probeert op deze momenten zo discreet mogelijk te zijn, wordt niemand voor de gek gehouden wanneer hij dichterbij komt op het puntje van de benen en neerstrijkt om te smeken om een streling, een klein vriendelijk gebaar. We kunnen Terrier zijn, we hebben nog steeds liefde nodig. In zijn racestijl verbergt de Westie een groot hart. Deze affectiviteit, hij zet het in de plaats van de kinderen, dat hij dol zal zijn op de gekte als ze goed opgevoed zijn en hem niet het haar aantrekken (anders zal het hen snel doen begrijpen dat hij geen hond is met laat jezelf gemarteld worden). Hij is altijd in voor echte games (niet om de "baballe" te melden) en voor wandelingen. De bosexcursies zijn wat hij verkiest, en hij zal niet de eerste moe zijn. Niets houdt hem tegen, noch de stammen van bomen die over de weg liggen, noch de gaten, noch de braamstruiken. Als een echte terriër bleef hij gevoelig voor elke game-achtige geur, en kan door het struikgewas rennen om een dier te achtervolgen dat een uur later weer verschijnt, modderig, uitgeput, maar opgetogen.
Zijn koppigheid kan ook worden gevoeld door katten en andere huisdieren. Daarom moet het elke agressie tegenover hen vanaf de kindertijd verbieden. Dit weerhoudt hem er niet van om perfect in staat te zijn zich te verbroederen met de kat van het huis, als hij er jong aan is gewend; dus, de charmante aanblik van Toutou et Minet delen, in slaap, een enkele mand zal niet zeldzaam zijn. Vinden zijn medeschepselen gunst in de ogen van deze prins? Over het algemeen, ja, het West Highland heeft een goede gezelligheid, maar het kan zijn sterke persoonlijkheid niet verbergen, en wat wrijving kan optreden als het op een grote hond velléitaire valt. Hij die denkt dat hij groot is, aarzelt niet om zijn tegenstander met verbazingwekkende zekerheid aan te vallen. Krachtig genoeg van nature, onderwerpt hij bereidwillig honden groter dan hij door zijn enige autoriteit. Het kan gebeuren dat een "beestachtig" het op zijn plaats zet, wat, verre van kalmerende Sir Westie, nogal opwindend. Kortom, hij is charmant zolang je hem niet probeert te irriteren.
Deze vrijwillige en onverschrokken houding, het Westen heeft ook een beetje in zijn reactie op een trainingspoging. Dit is waarom het essentieel is om voor zijn opleiding te zorgen terwijl hij nog steeds een puppy is die niet al te zeker van hem is. Niet om hem goede manieren te leren, zou hem snel veranderen in een klein despootje, schattig, maar soms moeilijk te verdragen. Deze hond is een sterke, en elke zwakte in zijn achting zou een ernstige vergissing zijn, evenals elke poging om van kracht te worden, die hij in zijn geheel zou verwerpen. Echter, de persoon die de ijzeren hand in de fluwelen handschoen glijdt en erop staat zonder openlijk te willen domineren, heeft een grote kans om een kleine metgezel te maken, charmant, ondeugend inderdaad, maar ook een actieve partner.
Omdat de Westie een slimme man is die, als hij het niet leuk vindt om zich in het openbaar te onderwerpen, snel begrijpt waar zijn interesse ligt bij een bepaalde meester. Een open ergernis zou hem dagenlang laten mokken, daarom zullen de zaken in een gezin worden geregeld, met een absolute bestendigheid tegen verboden en bevelen. Een dergelijke handeling die vandaag wordt goedgekeurd, zal morgen niet worden verdedigd (en omgekeerd), anders verliest de Westie alle vertrouwen in de degelijkheid van zijn meester en zal hij hem niet langer herkennen als zijn beschermer en vriend. Er moet daarom weinig gevraagd worden, maar er moet naar worden geluisterd. Het Westen is geen hond die blij is met een permanente orderuitvoering, maar het is van essentieel belang om zijn gehoorzaamheid te verkrijgen als hij maar een paar keer wordt gevraagd: geen kwestie van op een verzoek zonder antwoord te blijven. Dan feliciteren we hem hartelijk; hij zal binnenkort liefkozingen aan de grote stem prefereren. Zeer intelligent, de Westie kan, als hij heeft besloten, verrast worden door zeer coöperatief te zijn en zelfs te genieten van sporten zoals behendigheid. In deze discipline, waar hond en meester een reeks hindernissen volgen, in harmonie en zonder dwingende bevelen, zal het Westen waarschijnlijk zijn evenwicht vinden door de helft van een team te worden en niet slechts een ondergeschikte. Wat de activiteit ook is die zijn leraren zullen kiezen om met hem te delen, het belangrijkste is om een vrijwillige samenwerking tot stand te brengen die hem zo gelukkig zal maken als ze zijn.
Het Westen was vroeger exclusief een landhond en wordt nu een van de favoriete stadsbewonersrassen vanwege de kleine omvang en het rustieke karakter ervan. Het is daarom essentieel dat zijn ritme van het leven in overeenstemming is met zijn temperament en zijn evenwicht bewaart. Natuurlijk is er geen sprake van hem te beperken tot krappe kamers door hem voor elke oefening zijn drie dagelijkse hygiënische wandelingen te geven. Echter, met regelmatige uitstapjes in een groene ruimte, lang genoeg om hem echt fysiek bezig te houden, zal hij heel blij zijn als de tijd daar is om terug te keren naar het appartement. Na de inspanning, het comfort en het tapijt houdt het zeker evenveel van het stro, als het goed is aangepast aan de stad. Niettemin zullen sessies van echte campagne hem het grootste goed doen, en het zou in strijd zijn met zijn aard om zijn onberispelijke witheid te willen behouden door hem te verbieden in de modder te rennen en in plassen te spelen.
Een woord over de waarde van de West Highland White Terrier als alarmbel. Laat een vreemdeling aan de poort of aan de deur verschijnen, en het lijdt geen twijfel dat de heldere, hoge stem van de Westie zal worden gehoord. Natuurlijk is hij geen echte waakhond, want (gelukkig) is hij betrekkelijk sociaal met vreemden, maar hij zal niet nalaten te blaffen om een onverwachte aanwezigheid aan te geven. Deze West Highland is een echt karakter.
Onweerstaanbaar met zijn ondeugende uiterlijk, vertederend door zijn onafhankelijke maar aanhankelijke karakter, praktisch dankzij de zakmaat, het is echt de hond van de jaren tachtig. Wens hem deze grote publieke gunst te behouden en een van de favorieten te zijn van het twintig-en-twintig-decennium. Hij verdient het. |