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Grand Epagneul de Münster Standard FCI Nº 118
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Origine
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Allemagne |
Traduction
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Dr. J-M. Paschoud et Prof. R. Triquet |
Groupe
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Groupe 7 Chiens d'arrêt |
Section
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Section 1.2 Chiens d’arrêt continentaux, type épagneul |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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lundi 20 décembre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mardi 29 octobre 2013 |
Dernière mise à jour
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mardi 16 octobre 2018 |
In English, this breed is said
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Large Munsterlander |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Grosser Münsterländer Vorstehhund |
En español, esta raza se dice
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Gran Munsterlander |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Grote Munsterlander |
Utilisation
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Conformément à ses exigences en matière de chasse comme un chien de chasse polyvalent du Grand Epagneul de Münster a à relever tous les défis nécessaires et doit être en mesure de travailler sur le terrain, dans la forêt et dans l'eau avant et après le tir. |
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Bref aperçu historique
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Historiquement, le Grand Epagneul de Münster remonte aux chiens d'Oysel panachés du Moyen-Age, dressés pour la chasse au faucon, pour atteindre, en passant par les chiens d'oiseaux, les broussailleurs et les épagneuls, le chien d'arrêt du 19ème siècle. Avec le Petit Münsterländer et le chien d'arrêt allemand à poil long (Deutsch-Langhaar), le Grand Epagneul de Münster appartient à la famille des chiens d'arrêt à poil long allemands, dont l'élevage méthodique a débuté vers la fin du 19ème siècle. Le club allemand du chien d'arrêt à poil long ayant en 1909 définitivement éliminé de l'élevage les sujets de couleur noire, c'est le Club pour l'élevage pure race de l'Epagneul de Münster noir et blanc à poil long qui se charge de la promotion de cette race de chien d'arrêt dès sa fondation en 1919. Après avoir catalogué sous forme d'un relevé provisoire tous les survivants de cette race à poil long autochtone dans la région occidentale de la province de Münster et en Basse-Saxe, le Club entreprit dès 1922 l'élevage méthodique du Grand Epagneul de Münster. Le relevé comportait au départ 83 chiens. Les descendants des appariements entre ces chiens du fichier primaire furent inscrits dans le livre des origines du Grand Epagneul de Münster. L'association responsable du livre des origines est le Club du Grand Epagneul de Münster, qui est actuellement formé de huit sections provinciales indépendantes. Le Club du Grand Epagneul de Münster est membre du VDH (Verband Für das Deutsche Hundewesen) et de l'association centrale des clubs de chiens de chasse (JGHV). |
Aspect général
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Puissant, bien musclé mais de lignes pures, il jouit d'un aspect général racé qui extériorise ses capacités supérieures et sa noblesse. |
Proportions importantes
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La longueur du corps et la hauteur au garrot doivent autant que possible être égales, mais la longueur du corps peut dépasser la hauteur au garrot d'environ 2 cm. |
Comportement / caractère
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Ses qualités proéminentes sont la docilité, la faculté d'assimilation et son utilité éprouvée pour la chasse, tout spécialement après le coup de feu. Il est vif de tempérament, sans être nerveux. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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D'aspect distingué, elle est allongée et d'une expression perspicace. Musculature de la région maxillaire inférieure fortement développée. |
Stop
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Peu marqué. |
Région faciale
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Truffe
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D'un noir bien prononcé. |
Museau
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Puissant, long, parfaitement adapté à son utilisation. |
Lèvres
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Non pendantes. |
Mâchoires et dents
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Denture puissante et complète (42 dents) avec des crocs bien développés et un articulé en ciseaux impeccable. |
Yeux
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Aussi foncés que possible. Paupières bien jointives. |
Oreilles
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Larges, attachées assez haut, avec partie inférieure en arrondi, bien accolées au crâne. |
Cou
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Puissant, bien musclé, gracieusement galbé. |
Corps
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Garrot
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Moyennement ressorti, long, bien musclé. |
Dos
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Court, ferme, droit. |
Rein
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La région lombaire est bien marquée et protégée par une musculature bien ferme. |
Croupe
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Longue et large, modérément avalée, bien musclée. |
Poitrine
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Vue de devant large, de profil bien descendue avec proéminence sternale bien prononcée. |
Flanc
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Courts et placés haut. |
Ligne du dessous
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Le ventre est légèrement remonté, tendu, mince. |
Queue
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Portée horizontalement ou légèrement plus haut. Vue de profil, elle prolonge sans heurt la ligne du dessus. |
Membres antérieurs
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Généralités
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Les antérieurs sont d'aplomb, puissants et bien musclés. Angulations convenables. |
Epaules
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Omoplates bien attachées contre les côtes. |
Bras
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Doit être fort et bien musclé. |
Avant-bras
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Membres droits, puissants et bien musclés. |
Métacarpe
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Elastique. |
Pieds antérieurs
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De longueur et de cambrure moyenne ; doigts serrés. Pas de présence d’ergots. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Musculature puissante et d'une bonne tonicité. Position verticale. |
Grassets
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Angulations convenables. |
Jarret
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Angulations convenables |
Pieds postérieurs
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De longueur et de cambrure moyenne ; doigts serrés. Pas de présence d’ergots. |
Allures
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Pas et trot élastiques, de grande amplitude, couvrant beaucoup de terrain. Galop élastique, actif dans l'impulsion, avec poussée importante de l'arrière et de longues foulées. |
Peau
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Adhérant bien au corps. |
Robe
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Qualité du poil
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Long et dense, ni bouclé ni écarté, ce qui gênerait le chien à la chasse. Poil long typique. Aussi bien chez les mâles que chez les femelles, le poil doit être spécialement long et dense (bien garni de franges) sur la face postérieure des membres antérieurs et postérieurs. A la queue, le poil doit être également particulièrement long ; les franges les plus longues se trouvent dans la partie moyenne de la queue. Aux oreilles, le poil doit aussi être long (bien garni de franges) de sortes qu'il dépasse le bord de l'oreille d'une manière symétrique des deux côtés (pas d'oreille dégarnie). A part cela, sur la tête, le poil est court et bien couché. |
Couleur du poil
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Blanc avec des plages et mouchetures noires ou poil grisonné. Tête noire, éventuellement avec une petite tache ou une liste blanche. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Pour les mâles de 60 à 65 cm et pour les femelles de 58 à 63 cm. |
Poids
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Environ 30 kg. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts généraux
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Crâne trop large, trop marqué.
Nez busqué, museau de brochet, truffe totalement sans pigment ou tachée de ladre.
Lèvres non jointives ou pendantes.
Défauts légers de denture.
Articulé en pince, doubles PM1; absence d'une ou deux PM1 ou des M3.
Oeil trop clair, conjonctive rouge visible.
Oreilles attachées bas, décollées.
Cou trop court, trop long, trop épais, trop mince.
Présence de fanon.
Garrot pas assez ressorti, trop court.
Dos trop long, ensellé ou dos de carpe.
Région lombaire trop faiblement musclée, transition vers la croupe sans harmonie, croupe trop haute.
Croupe courte, étroite, fortement avalée.
Poitrine en tonneau, étroite, pas assez descendue, proéminence sternale absente.
Abdomen trop remonté, avalé.
Queue portée latéralement ou enroulée sur le dos, queue cassée ou en cor de chasse.
Membres antérieurs angulations trop ouvertes.
Coudes décollés ou en rotation vers l'intérieur.
Articulations du carpe trop lâches.
Serré du devant, ouvert du devant (écarté).
Angulations trop ouvertes, jarrets de vache ou en tonneau.
Serré du derrière, ouvert du derrière (écarté).
Pied de chat rond, pied de lièvre long, pied affaissé, doigts trop serrés ou écartés.
Pas et trot court, raide ou trottinant.
Galop court, trop raide, poussée insuffisante de l'arrière. |
Défauts entrainant l’exclusion
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Chien agressif ou chien peureux.
Truffe totalement dépigmentée.
Entropion, ectropion.
Prognathisme supérieur ou inférieur, arcade des incisives déviée.
Absence d'incisives ou de canines, de molaires et de prémolaires (sauf 1 à 2 MP1 et les M3).
Couleurs qui ne correspondent pas à celle qu'exige le standard.
Peur du coup de feu, sensibilité de différents degrés au coup de feu, peur du gibier, mordeur par peur, craintif envers des personnes étrangères. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Quand on dit chiens d'arrêt germaniques, on pense d'abord aux Braques, Allemand, de Weimar, à poil dur (Drahthaar). Il ne faudrait pas oublier qu'il existe outre-Rhin de beaux et bons Epagneuls.
Entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, il est vrai, la plupart des chasseurs d'outre-Rhin se sont orientés vers les Braques et ont quelque peu délaissé leurs Epagneuls ancestraux.
Les Epagneuls de Mûnster, Grands ou Petits, évoquent indéniablement l'Epagneul Français ou l'Epagneul Breton, mais il ne faudrait pas en déduire qu'ils en sont issus. En effet, les chasseurs allemands n'ont jamais pratiqué la chasse à courre. Aussi, depuis des siècles, se sont-ils consacrés exclusivement à la chasse à tir, aux filets ou aux panneaux; leurs Epagneuls, d'abord connus comme « chiens d'Oysel » et « chiens couchants », sont donc incontestablement très anciens. Comme en France, il en existait une grande variété, des petits et des plus grands, dont les robes étaient de teintes diverses. Plusieurs croisements, en particulier avec des Setters Anglais ou des Braques Allemands, avaient rendu ces chiens assez hétérogènes.
En Westphalie, région très giboyeuse et aussi très cynophile, deux types locaux furent sélectionnés.
Vers 1870, cependant, les cynophiles germaniques se préoccupèrent de fixer les caractéristiques des différents chiens d'arrêt allemands, et c'est ainsi que, en 1878, il fut recommandé d'éviter les robes panachées de noir pour la reproduction du Langhaar ; elles furent même interdites en 1908. Cette exclusion est à l'origine de la naissance du Grand Mûnsterlânder.
En effet, quelques éleveurs de Münster et de ses environs décidèrent alors d'élever ce type d'Epagneul comme race distincte. En 1919, pour le promouvoir et le sélectionner, ils créèrent une association du nom de « Verein für die Reinzucht des langhaarigen grossen Schwarzweissen Mùnsterlânder », et, en 1922, les Grands Mûnsterlânder commencèrent à être enregistrés officiellement en Allemagne.
Quant au Petit Mûnsterlânder, c'était un chien typique de la région de Münster, mais, au début de ce siècle, on constata qu'il était en passe de disparaître : quelques exemplaires tout au plus purent être recensés. Plusieurs éleveurs s'attachèrent à le faire renaître, parmi lesquels il faut citer principalement Edmond Lons. Entre 1925 et 1935, ce cynophile obstiné réussit à stabiliser les caractéristiques du Petit Münsterlânder, non sans quelques apports d'autres races. On dit souvent que ce chien fut créé à partir d'Epagneuls Bretons installés dans la région dès 1910. Cette affirmation souffre pourtant d'un grave défaut, car, à cette époque, l'Epagneul Breton commençait tout juste à sortir de sa Bretagne natale et ne pouvait donc avoir déjà franchi le Rhin.
Petit et Grand Mûnsterlânder ont indéniablement du sang Langhaar dans les veines, et cela est tout à fait explicable : tous les deux sont issus de sélections locales de l'Epagneul Allemand, qui, lui, jouissait d'une diffusion nationale, et il est compréhensible que les éleveurs l'aient utilisé pour régénérer et perfectionner leurs chiens favoris. En tout cas, il ne faudrait pas croire que le Grand Münsterlânder est un avatar de la sélection du Petit, apparu lors d'accouplements entre Epagneul Breton et Langhaar, et n'a pu, du fait de sa grande taille, être enregistré comme Petit Münsterlânder. Son existence est attestée avant la période 1925 - 1935.
Les deux races furent finalement reconnues par la Fédération cynologique internationale en 1936. Depuis, elles se sont répandues dans bien des régions d'Allemagne, mais aussi en Suisse, aux Pays-Bas, en Belgique ainsi qu'en Alsace. Le Petit, surtout, commence à être connu dans toute la France, où des amateurs découvrent ses qualités.
Les chasseurs français disposent d'excellentes races d'Epagneuls : le choix d'un Mùnsterlândcr ne serait-il qu'affaire de snobisme, ou tout au moins une manifestation d'originalité?
Certes, ces deux races profitent de la réputation de qualité de tout ce qui est made in Germany, et il faut dire que, en ce qui les concerne, cette réputation est parfaitement justifiée. Les chasseurs allemands, qui sont relativement peu nombreux, sont très motivés, très passionnés et aussi fort exigeants. Leurs chiens d'arrêt ne peuvent être médiocres.
D'abord, ils doivent savoir tout faire: l'arrêt sur la plume ou le poil, évidemment, mais aussi le rapport en plaine, le pistage du lièvre. Ce sont des broussailleurs très réputés, mais leurs utilisateurs s'attachent encore tout spécialement à leurs prestations en milieu aquatique, en particulier la recherche et le rapport, y compris en eau profonde. Nager est pour ces chiens une seconde nature.
Le Petit peut mener à voix le lièvre, le Grand est utilisé pour la quête du gros gibier. Certes, ces deux dernières spécialités n'ont que peu d'intérêt pour les chasseurs français; elles permettent cependant d'affirmer que les Mûnsterlânder sont réellement des chiens de chasse parfaitement polyvalents. Dotés d'un odorat subtil, menant une quête très active et méthodique sans s'éloigner beaucoup du chasseur ni imposer un train d'enfer, spécialistes de la recherche du gibier blessé, ces chiens sont potentiellement d'excellents retrievers.
En bref, ce sont des chiens « sérieux », modelés par un milieu très varié (la Westphalie offre des paysages très divers où alternent cultures, prés, bois, marais) et une rigoureuse sélection, qui ne peuvent qu'être appréciés en France. Le Petit Mûnsterlânder, notamment, qui chasse sous le fusil, est devenu en quelques années, dans le midi de la France, un spécialiste de la chasse du lapin, où il montre les qualités d'un Spaniel, en arrêtant de surcroît.
Les Mûnsterlânder ont du tempérament; c'est-à-dire qu'il leur faut un maître sans faiblesse. Non qu'ils soient durs ; la « dureté » des races allemandes est une légende, et, de toute façon, un Épagneul ne saurait être un chien difficile ; mais leur intelligence aiguisée leur fait rapidement déceler la moindre faille dans l'éducation qui leur est dispensée.
D'une extrême résistance aux intempéries et à la fatigue, ils n'en ont pas moins de la classe et de l'élégance : on admirera, par exemple, leur tête au chanfrein allongé, sans lourdeur, finement ciselée.
Le Grand est réputé être un chien très dévoué, gentil, brave, même, de joyeuse humeur. Le Petit est aussi doté d'un bon naturel, mais son tempérament est souvent plus incisif. Certains font des gardiens très sûrs. Tous deux sont d'excellents chiens de maison, affectueux et attachés à leur famille. Si, à tort, on a prétendu qu'ils manquaient de passion, c'est parce que ce sont avant tout deux chiens sages et naturellement soumis.
En France, actuellement, le Petit Mûnsterlânder, qui est présent dans les expositions et qui participe à certains concours de travail, est déjà favorablement accueilli par les amateurs. Le Grand, quant à lui, bien qu'encore discret, devrait également trouver sa place. Ce succès grandissant n'est pas dû à une mode passagère, mais à de solides qualités pratiques. même si le style de ces chiens est bien différent de celui des races françaises. |
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Large Munsterlander FCI Standard No. 118
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Origin
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Germany |
Translation
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Mrs Peggy Davis, additions by Christina Bailey. Revised by VDH and Renée Sporre-Willes / Official language (DE) |
Group
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Group 7 Pointing Dogs |
Section
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Section 1.2 Continental Pointing Dogs, “Spaniel type” |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Monday 20 December 1954 |
Publication of the official valid standard
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Tuesday 29 October 2013 |
Last update
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Wednesday 05 March 2014 |
En français, cette race se dit
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Grand Epagneul de Münster |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Grosser Münsterländer Vorstehhund |
En español, esta raza se dice
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Gran Munsterlander |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Grote Munsterlander |
Usage
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In accordance with his hunting requirements as a versatile gundog the Large Munsterlander has to meet all the necessary challenges and has to be able to work in the field, in the forest and in the water before and after the shot. |
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Brief historical summary
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The historical development of the Large Munsterlander goes back to the white/particolour bird and hawking dog of the Middle Ages via the Stöberhund and Wachtelhund to the Pointer of the 19th century. The Large Munsterlander as well as the Small Munsterlander and the Deutsch-Langhaar (German Longhair) belong to the family of the longhaired German Pointing Dogs, whose planned breeding began towards the end of the 19th Century. After the « German Longhair Club » finally excluded the black colour from breeding in 1909, the « Club for the pure breeding of the black and white Münsterland Pointers » (founded in 1919) took over the breeding of the black and white Longhair. After incorporating the remainder of these native Longhairs, in particular from West-Münsterland and lower Saxony, onto a foundation list, the Club began the planned breeding of the Large Munsterlander in 1922. The foundation list comprised 83 dogs. Descendants of the dogs on the original list were entered into the stud book for Large Munsterlander. The Club keeping the stud records is the « Verband Grosse Münsterländer e.V. », to date organised in eight in dependent regional groups. The « Verband Grosse Münsterländer » is a member of the V.D.H. (Verband für das Deutsche Hundewesen) and of the Federation of Working Gundogs (JGHV). |
General appearance
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Strong muscular body, yet racy general impression. Expression of intelligence and nobility. Clean outline. |
Important proportions
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Length of body and height at withers should, as near as possible, be equal. Length of body can exceed height at withers by 2 cm. |
Behaviour / temperament
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The most important qualities are: to be tractable and easily taught, dependable for use as a gundog, in particular after the shot. Lively temperament without being nervous. |
Head
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Cranial region
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Head
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Noble and elongated, with intelligent outlook. Definite well muscled chin. |
Stop
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Modest. |
Facial region
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Nose
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Pronounced black nose leather. |
Muzzle
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Strong, long and well developed for its use. Bridge of nose straight. |
Lips
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Not pendulous. |
Jaws and teeth
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Strong bite and complete dentition (42 teeth) with well formed canines and perfect scissor bite. |
Eyes
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The darker the better; eyelids tightly fitting. |
Ears
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Broad, set on fairly high, rounded at tips, close fitting. |
Neck
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Strong and well muscled with noble curve. |
Body
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Withers
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Medium height, long, well muscled. |
Back
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Short, firm, straight. |
Loin
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Pronounced, protected by taut muscles. |
Croup
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Long, broad, sloping only slightly, well muscled. |
Chest
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Broad when seen from front, deep seen from side with definite forechest. |
Underline and belly
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Lightly tucked up, taut, slim. Flanks short and set high. |
Tail
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Carried horizontally or slightly higher. Seen from side in continuation of the upper line, without break. |
Forequarters
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Generality
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Correct angulations. |
Shoulders
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Shoulder blade close fitting to the ribs. |
Upper arm
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Should be strong and well muscled. |
Forearm
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Legs straight, strong and well muscled. |
Pastern
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Springy. |
Forefeet
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Of moderate length and roundness, tight toes; no dewclaws. |
Hindquarters
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Generality
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Strong, taut muscles. Vertical stance. |
Stifle
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Correct angulation. |
Hock
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Correct angulation. |
Hind feet
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Of moderate length and roundness, tight toes; no dewclaws. |
Gait and movement
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Springy walk and trot, covering ground, with long stride. Gallop: elastic, animated with necessary drive and long bound. |
Coat
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Hair
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Long and dense, yet sleek and not curly or stand off as this hinders hunting ability. Typical long-hair. The coat must be specially long and dense on backs of front and hind legs (well feathered) in both dogs and bitches. Also on the tail the hair must be particularly long. The strongest tail feathering should be in the medium part of its length. Hair on ears should be long (good fringes) and reach clearly and evenly over the tip of the ears (leather ends of ears not desirable). Hair on head is short and smooth. |
Colour
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The three colour varieties are: White with black patches and spots, blue roan or pure black. The head is always black, possibly with a white snip or blaze. |
Size and weight
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Height at withers
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Aaverage: Males 60–65 cms, Females 58–63 cms. 2 cms over specified size tolerated. |
Weight
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Approx. 30 kgs. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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General faults
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Skull too broad, too much stop, too short muzzle.
Roman nose, dish face; lacking pigment completely or only spots.
Lips loose or pendulous.
Slight faults of teeth and bite; Pincer bite; double PM1 absence of 1-2 premolars (PM1) or of the 3rd molars (M3) (Maximum 2 teeth).
Eye too light.
Visible red haw.
Loose eyelids.
Ears low set, standing away from head.
Ears too short or folded backwards showing cartilage.
Neck too short, too long, too thick, too thin; dewlap.
Withers too low, too short.
Back too long, hollow or roach back.
Loins with slack muscles.
Transition to rump not harmonious; overbuilt.
Croup short, narrow, falling away sharply.
Chest barrel-shaped, narrow, not deep enough, lack of forechest.
Belly too tucked up, set too low.
Tail carried sideways, rolled upwards, kinky or ring tail.
Front legs: Angulations too steep, protruding or twisted elbows.
Weak pastern.
Too narrow or too wide in front.
Hind legs: Angulations too steep; cow-hocked or bow-legged as well as too wide or too close behind.
Feet round cat-feet, long harefeet, splayed feet.
Pidgeon-toed or fiddle front.
Walking and trotting short, stiff or mincing.
Gallop: Short, stiff leap; too little drive. |
Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy dogs.
Pale nose leather.
Entropion, ectropion.
Overshot or undershot mouth, wry mouth; missing incisors or canines, missing molars and premolars (except 2 PM1 or 1 M3).
Colours which do not conform to the breed standard.
Dogs over- or under-sized.
Gun shy or gun-sensitive in any degree.
Shyness of living game, fear biter, fears of strangers. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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When German peddlers are spoken, we think first of Braques, German, of Weimar, with a hard coat (Drahthaar). It should not be forgotten that there are beautiful and good Spaniels in Germany.
Between the end of the nineteenth and the beginning of the twentieth century, it is true, most of the hunters from across the Rhine turned to the Braques and somewhat abandoned their ancestral Spaniels.
The Great or Small Spaniels of Mûnster undeniably evoke the French Spaniel or the Breton Spaniel, but it should not be inferred that they came from it. Indeed, German hunters have never hunt. Also, for centuries, they have devoted themselves exclusively to hunting shooting, nets or panels; their Spaniels, first known as "Oysel dogs" and "wearing dogs", are therefore undeniably very old. As in France, there was a great variety, small and tall, whose dresses were of various colors. Several crosses, especially with English Setters or German Pointers, had made these dogs quite heterogeneous.
In Westphalia, a very game-rich and very dog-friendly region, two local types were selected.
By 1870, however, Germanic cynophiles were concerned with specifying the characteristics of the various German pointers, and so in 1878 it was recommended to avoid dresses variegated with black for the reproduction of Langhaar; they were even banned in 1908. This exclusion is at the origin of the birth of the Grand Mûnsterländer.
Indeed, some breeders of Münster and its surroundings decided to breed this type of Spaniel as a separate breed. In 1919, to promote and select it, they created an association called "Verein für die Reinzucht des langhaarigen grossen Schwarzweissen Münsterländer", and in 1922 the Grand Mûnsterländer began to be officially registered in Germany.
As for the Petit Mûnsterlânder, it was a typical dog from the region of Münster, but at the beginning of this century, it was found that it was about to disappear: a few examples at most could be enumerated. Several breeders endeavored to revive it, among which we must mention mainly Edmond Lons. Between 1925 and 1935, this stubborn cynophile managed to stabilize the characteristics of the Petit Münsterlânder, not without some contributions from other races. It is often said that this dog was created from Breton Spaniels settled in the region as early as 1910. However, this assertion suffers from a serious defect, because, at that time, the Breton Spaniel had just begun to leave his native Brittany and therefore could not have already crossed the Rhine.
Small and Great Mûnsterländer undeniably have Langhaar blood in their veins, and this is quite explicable: both are from local selections of the German Spaniel, which, it, enjoyed a national diffusion, and it is understandable that breeders have used it to regenerate and perfect their favorite dogs. In any case, it should not be believed that the Greater Münsterländer is an avatar of the selection of the Small, appeared during mating between Breton Spaniel and Langhaar, and could, because of its large size, be registered as Small Münsterländer. Its existence is attested before the period 1925 - 1935.
The two breeds were finally recognized by the International Cynological Federation in 1936. Since then, they have spread to many parts of Germany, but also to Switzerland, the Netherlands, Belgium and Alsace. The Petit, especially, begins to be known throughout France, where amateurs discover its qualities.
The French hunters have excellent races of Spaniels: would the choice of a Miillerlandcr be only snobbery, or at least a manifestation of originality?
Admittedly, these two races benefit from the quality reputation of everything that is made in Germany, and it must be said that, as far as they are concerned, this reputation is perfectly justified. German hunters, who are relatively few in number, are highly motivated, passionate and demanding. Their dogs can not be mediocre.
First, they must know how to do everything: the stop on the feather or the hair, obviously, but also the report in plain, the tracking of the hare. They are highly regarded bushmen, but their users are still particularly interested in their services in the aquatic environment, particularly research and reporting, including in deep water. Swimming is for these dogs a second nature.
The Little can lead the hare, the Big is used for the quest of big game. Admittedly, these last two specialties are of little interest to French hunters; they allow, however, to affirm that the Mûnsterländer are really perfectly versatile hunting dogs. With a subtle sense of smell, conducting a very active and methodical search without getting too far from the hunter or imposing a train of hell, specialists in the search for wounded game, these dogs are potentially excellent retrievers.
In short, they are "serious" dogs, shaped by a very varied environment (Westphalia offers very diverse landscapes where crops alternate, meadows, woods, marshes) and a rigorous selection, which can only be appreciated in France. The Petit Mûnsterländer, in particular, who hunts under the gun, has become in a few years, in the south of France, a specialist in the hunting of rabbits, where he shows the qualities of a Spaniel, stopping moreover.
Miinsterlanders have temperament; that is, they need a master without weakness. Not that they are hard; the "hardness" of the German races is a legend, and in any case a Spaniel can not be a difficult dog; but their sharp intelligence makes them quickly discover the slightest fault in the education which is dispensed to them.
Extremely resistant to the weather and to fatigue, they have no less class and elegance: we will admire, for example, their elongated bevel head, without heaviness, finely chiseled.
Le Grand is reputed to be a very devoted, kind, brave, even cheerful dog. The Petit is also endowed with a good naturalness, but its temperament is often more incisive. Some make very safe guardians. Both are excellent house dogs, affectionate and attached to their family. If, wrongly, it has been claimed that they lacked passion, it is because they are above all two wise and naturally submissive dogs.
In France, currently, the Petit Mûnsterlânder, who is present in the exhibitions and who participates in some competitions of work, is already favorably welcomed by the amateurs. The Grand, meanwhile, although still discreet, should also find its place. This growing success is not due to a passing fad, but to strong practical qualities. even if the style of these dogs is very different from that of the French breeds. |
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Grosser Münsterländer Vorstehhund FCI-Standard Nr. 118
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Ursprung
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Deutschland |
Gruppe
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Gruppe 7 Vorstehhunde |
Sektion
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Sektion 1.2 Kontinentale Vorstehhunde, Typ « Spaniel » |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Montag 20 Dezember 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Dienstag 29 Oktober 2013 |
Letzten Aktualisierung
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Mittwoch 05 März 2014 |
En français, cette race se dit
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Grand Epagneul de Münster |
In English, this breed is said
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Large Munsterlander |
En español, esta raza se dice
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Gran Munsterlander |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Grote Munsterlander |
Verwendung
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Entsprechend seiner jagdlichen Zweckbestimmung als vielseitig einsetzbarer Jagdhund muss der „Große Münsterländer“ alle von ihm geforderten Anlagen besitzen und für alle Arbeiten im Feld, im Wald und im Wasser leistungsbezogen „vor“ und „nach“ dem Schuss brauchbar sein. |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Die geschichtliche Entwicklung des Großen Münsterländers geht zurück auf den weißbunten Vogel- und Beizhund des Mittelalters über den Stöber-und Wachtelhund auf den Vorstehhund des 19. Jahrhunderts. Der Große Münsterländer zählt ebenso wie der Kleine Münsterländer und der Deutsch-Langhaar zur Familie der langhaarigen deutschen Vorstehhunde, deren planmäßige Zucht gegen Ende des 19. Jahrhunderts begann. Nachdem der « Deutsch-Langhaar-Verein » 1909 die schwarze Farbe endgültig von der Zucht ausschloß, nahmsich der 1919 gegründete « Verein für die Reinzucht des langhaarigen schwarz-weißen Münsterländer Vorstehhundes » der Zucht der schwarz-weißen Langhaar an. Nach Erfassung der vor allem im westlichen Münsterland und in Niedersachsen noch vorhandenen Reste dieses bodenständigen Langhaarstammes in einer Urliste begann der Verein 1922 mit der planmäßigen Zucht des Großen Münsterländers. Die Urliste umfasst 83 Hunde. Nachkommen aus Paarungen zwischen den in der Urliste erfassten Großen Münsterländer wurden in das Zuchtbuch Große Münsterländer eingetragen. Zuchtbuchführender Verein ist der Verband Große Münsterländer e.V.(VGM), organisiert in derzeit acht selbständige Landesgruppen. Der Verband Große Münsterländer ist Mitglied im Verband für das Deutsche Hundewesen (VDH) und im Jagdgebrauchshundverband (JGHV). |
Allgemeines erscheinungsbild
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Kräftiger, muskulöser Körperbau, dabei schnittiges Gesamtbild. Ausdruck von Intelligenz und Adel. Trockene Außenlinie. |
Wichtige proportionen
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Körperlänge und Widerristhöhe sollen möglichst gleich sein. Die Körperlänge kann die Widerristhöhe um 2 cm überschreiten. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Die wichtigsten Eigenschaften sind Führigkeit, Gelehrigkeit und zuverlässige Verwendbarkeit für die Jagd, insbesondere nach dem Schuss. Wesen lebhaft, ohne Nervosität. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Edel und langgestreckt, mit klugem Aussehen; ausgeprägte Kinnmuskulatur. |
Stop
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Gering. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Ausgeprägt schwarz. |
Fang
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Kräftig, lang und für den Gebrauch gut ausgebildet. Nasenrücken gerade. |
Lefzen
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Nicht überhängend. |
Kiefer / Zähne
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Gebiss kräftig und vollständig (42 Zähne) mit ausgeprägten Fangzähnen; einwandfreies Scherengebiss. |
Augen
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Je dunkler umso besser. Lider dem Augapfel gut anliegend, fester Lidschluss. |
Ohren
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Breit, ziemlich hoch angesetzt, mit abgerundeter Spitze, gut anliegend. |
Hals
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Kräftig, gut bemuskelt, edel geschwungen. |
Körper
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Widerrist
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Mittelhoch, lang, gut bemuskelt. |
Rücken
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Kurz, fest, gerade. |
Lenden
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Ausgeprägt, durch straffe Muskulatur geschützt. |
Kruppe
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Lang, breit, nur leicht abfallend, gut bemuskelt. |
Brust
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Von vorne gesehen breit, von der Seite gesehen tief mit deutlicher Vorbrust. |
Untere Profillinie und Bauch
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Leicht aufgezogen, straff, schlank. Flanken kurz und hoch angesetzt. |
Rute
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Waagerecht oder leicht aufwärts getragen. Von der Seite gesehen ohne Knick aus der Rückenlinie hervorgehend . |
Vorderhand
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Allgemeines
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Korrekte Winkelungen. |
Schultern
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Schulterblatt fest an den Rippen anliegend. |
Unterarm
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Gerade, stark und gut bemuskelt. |
Vorderfusswurzelgelenk
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Elastisch. |
Vorderpfoten
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Von mäßiger Länge und Rundung, mit enganeinanderliegenden Zehen; keine Wolfskrallen. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Kräftige und straffe Bemuskelung; Läufe senkrecht gestellt. |
Knie
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Korrekte Winkelung. |
Sprunggelenk
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Korrekte Winkelung. |
Hinterpfoten
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Von mäßiger Länge und Rundung, mit enganeinanderliegenden Zehen; keine Wolfskrallen. |
Gangwerk
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Schritt und Trab federnd, raumgreifend, mit weitem Vorgriff; Galopp elastisch, schwungvoll, mit dem nötigen Schub aus der Hinterhand; weiter Sprung. |
Coat
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Haar
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Lang und dicht, jedoch schlicht, nicht lockig oder abstehend, da dies der jagdlichen Verwendung hinderlich ist. Typisches Langhaar. Das Haar muss sowohl beim Rüden als auch bei der Hündin an der Rückseite der Vorder- und Hinterläufe besonders lang und dicht sein (gut befedert). Auch an der Rute soll das Haar besonders lang sein. Die stärkste Befahnung der Rute soll etwa in der Mitte ihrer Länge sein. Das Haar an den Ohren soll lang sein (gute Fransenbildung) und den Unterrand des Ohres seitengleich deutlich überragen (keine Lederbehänge). Im Übrigen ist das Haar des Kopfes kurz und anliegend. |
Farbe
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Die drei Farbvarietäten sind: Weiß mit schwarzen Platten und Tupfen, schwarz geschimmelt oder rein schwarz . Kopf schwarz, evtl. mit weißer Schnippe oder Blesse. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Rüden : 60 - 65 cm. Hündinnen: 58 - 63 cm. (Toleranzgrenze um 2 cm nach oben) |
Gewicht
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Um 30 kg. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Allgemeine Fehler
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Zu breiter Oberkopf, zu starker Stirnabsatz zu kurzer Fang.
Ramsnase, Hechtnase, fehlendes Pigment, vollständig oder nur in Tupfen.
Lose oder überhängende Lefzen.
Leichte Gebiß- und Zahnfehler: Zangengebiß, doppelte P1, Fehlen von eins bis zwei P1, bzw M3 (max 2 Zähne).
Zu helles Auge, sichtbare rote Nickhaut, nicht enganliegendes Lid.
Ohr tief angesetzt, abstehend, zu kurze Ohren, offen getragene Ohren.
Hals zu kurz, zu lang, zu dick, zu dünn.
Kehlwamme.
Widerrist zu niedrig, zu kurz.
Rücken zu lang, Senkrücken, Karpfenrücken.
Lenden schwach bemuskelt, Übergang zur Kruppe unharmonisch, überbaut.
Kruppe kurz, schmal, stark abfallend.
Brust tonnenförmig, engbrüstig, nicht tief genug; fehlende Vorbrust.
Bauch zu stark aufgezogen, zu tief angesetzt.
Rute seitwärts getragen, nach oben aufgerollt; Knickrute; Ringelrute.
Vorderläufe: Zu steile Winkelung; abstehende oder abgedrehte Ellenbogen; zu weiche Fusswurzelgelenke; bodenenge oder bodenweite Stellung.
Hinterläufe: Zu steile Winkelung; kuhhessige oder fassbeinige sowie bodenenge oder bodenweite Stellung.
Runde Katzenpfoten, lange Hasenpfoten, Spreizpfoten, zehenenge oder zehenweite Stellung.
Schritt und Trab kurz, steif oder trippelnd.
Galopp : Sprung kurz, steif, zu wenig Schub. |
Disqualifizierende fehler
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Aggressiv oder übermässig ängstliche Hunde.
Weißer Nasenschwamm.
Entropium, Ektropium.
Vorbiss, Rückbiss, Kreuzbiss; Fehlen von Schneidezähnen oder Fangzähnen, fehlende Molaren und Prämolaren (außer bis 2 P1 oder 1 M3).
Farben, die dem Rassestandard nicht entsprechen.
Hunde mit Über-oder Untermaß.
Schussscheue, Schussempfindlichkeit jeden Grades, Scheue an lebendem Wild, Angstbeißer, Ängstlichkeit vor fremd en Personen. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Wenn deutsche Hausierer gesprochen werden, denkt man zuerst an Braques, Deutsch, an Weimar, mit einem harten Mantel (Drahthaar). Es sollte nicht vergessen werden, dass es in Deutschland schöne und gute Spaniels gibt.
Zwischen dem Ende des 19. und dem Anfang des 20. Jahrhunderts wanderten die meisten Jäger jenseits des Rheins zu den Braques und gaben ihre angestammten Spaniels etwas auf.
Die Großen oder Kleinen Spaniels von Münster beschwören unbestreitbar den Französischen Spaniel oder den Bretonischen Spaniel, aber es sollte nicht daraus geschlossen werden, dass sie daraus entstanden sind. In der Tat haben deutsche Jäger nie gejagt. Auch seit Jahrhunderten widmen sie sich ausschließlich dem Jagdschießen, Netzen oder Täfelungen; ihre Spaniels, zuerst bekannt als "Oysel-Hunde" und "tragende Hunde", sind deshalb unbestreitbar sehr alt. Wie in Frankreich gab es eine große Vielfalt, klein und groß, deren Kleider verschiedene Farben hatten. Mehrere Kreuze, besonders mit englischen Setter oder deutschen Zeigern, hatten diese Hunde ziemlich heterogen gemacht.
In Westfalen, einer sehr spielreichen und sehr hundefreundlichen Region, wurden zwei lokale Arten ausgewählt.
Um 1870 waren germanische Kynophile jedoch mit der Spezifizierung der Eigenschaften der verschiedenen deutschen Zeiger beschäftigt, und so wurde es 1878 empfohlen, für die Reproduktion von Langhaar mit Schwarz gefärbte Kleider zu vermeiden; sie wurden sogar im Jahr 1908 verboten. Dieser Ausschluss ist der Ursprung der Geburt der Grand Münsterländer.
In der Tat haben einige Züchter aus Münster und Umgebung beschlossen, diese Art von Spaniel als eigenständige Rasse zu züchten. Um sie zu fördern und auszuwählen, gründeten sie 1919 den Verein "Verein für die Reinzucht des langhaarigen grossen Schwarzweissen Münsterländer", und 1922 begannen die Großen Münsterländer offiziell in Deutschland registriert zu werden.
Was den Petit Münsterländer betrifft, so war es ein typischer Hund aus der Region Münster, aber zu Beginn dieses Jahrhunderts wurde festgestellt, dass er bald verschwinden würde: höchstens einige Exemplare konnten gezählt werden. Mehrere Züchter waren bestrebt, es wiederzubeleben, unter denen wir vor allem Edmond Lons erwähnen müssen. Zwischen 1925 und 1935 gelang es diesem hartnäckigen Zynophilen, die Eigenschaften des Petit Münsterlânders zu stabilisieren, nicht ohne einige Beiträge anderer Rassen. Es wird oft gesagt, dass dieser Hund von Breton Spaniels geschaffen wurde, die bereits 1910 in der Region angesiedelt waren. Diese Behauptung leidet jedoch unter einem ernsten Defekt, weil der bretonische Spaniel zu dieser Zeit gerade begonnen hatte, seine gebürtige Bretagne zu verlassen und hätte daher nicht schon den Rhein überqueren können.
Kleine und große Münsterländer haben unbestreitbar Langhaarblut in den Adern, und das ist durchaus erklärbar: Beide stammen aus lokalen Auslese des deutschen Spaniels, der eine nationale Verbreitung genossen hat, und es ist verständlich Züchter haben damit ihre Lieblingshunde regeneriert und perfektioniert. Auf jeden Fall sollte man nicht glauben, dass der Große Münsterländer ein Avatar der Selektion des Kleinen ist, bei der Paarung zwischen Breton Spaniel und Langhaar auftrat, und aufgrund seiner Größe als Klein eingetragen werden konnte Münsterländer. Seine Existenz ist vor der Zeit von 1925 bis 1935 bezeugt.
Die beiden Rassen wurden schließlich 1936 von der Internationalen Kynologischen Föderation anerkannt. Seither haben sie sich in vielen Teilen Deutschlands, aber auch in der Schweiz, den Niederlanden, Belgien und im Elsass verbreitet. Besonders der Petit beginnt in ganz Frankreich bekannt zu werden, wo Amateure seine Qualitäten entdecken.
Die französischen Jäger haben ausgezeichnete Rassen von Spaniels: wäre die Wahl eines Müllerlandcr nur Snobismus oder zumindest eine Manifestation von Originalität?
Zugegeben, diese beiden Rassen profitieren von der guten Reputation von allem, was in Deutschland gemacht wird, und man muss sagen, dass diese Reputation für sie durchaus gerechtfertigt ist. Deutsche Jäger, die relativ wenige sind, sind hochmotiviert, leidenschaftlich und fordernd. Ihre Hunde können nicht mittelmäßig sein.
Zuerst müssen sie wissen, wie man alles macht: der Halt an der Feder oder den Haaren, natürlich, aber auch der Bericht, die Verfolgung des Hasen. Sie sind hoch angesehene Buschmänner, aber ihre Benutzer sind immer noch besonders interessiert an ihren Dienstleistungen in der aquatischen Umwelt, insbesondere Forschung und Berichterstattung, auch im tiefen Wasser. Schwimmen ist für diese Hunde eine zweite Natur.
Der Kleine kann den Hasen führen, der Große wird für die Jagd nach Großwild eingesetzt. Zugegeben, diese letzten beiden Spezialitäten sind für französische Jäger wenig interessant; Sie erlauben jedoch zu bestätigen, dass die Münsterländer wirklich sehr vielseitige Jagdhunde sind. Mit einem subtilen Geruchssinn, einer sehr aktiven und methodischen Suche, ohne dem Jäger zu weit zu entfliehen oder einen Höllenzug auszuüben, Spezialisten auf der Suche nach verwundetem Wild, sind diese Hunde potentiell ausgezeichnete Retriever.
Kurz gesagt, sie sind "ernste" Hunde, geprägt von einer sehr abwechslungsreichen Umwelt (Westfalen bietet sehr abwechslungsreiche Landschaften mit wechselnden Kulturen, Wiesen, Wäldern, Sümpfen) und einer strengen Auswahl, die nur in Frankreich geschätzt werden kann. Vor allem der Petit Münsterländer, der unter der Flinte jagt, ist in einigen Jahren in Südfrankreich ein Spezialist für die Jagd auf Kaninchen geworden, wo er die Qualitäten eines Spaniels zeigt, der aber halt macht.
Münsterländer haben Temperament; Das heißt, sie brauchen einen Meister ohne Schwäche. Nicht dass sie hart sind; die "Härte" der deutschen Rassen ist eine Legende, und auf jeden Fall kann ein Spaniel kein schwieriger Hund sein; aber ihre scharfe Intelligenz macht sie schnell den geringsten Fehler in der Ausbildung entdecken, die an sie abgegeben wird.
Extrem widerstandsfähig gegen Wetter und Ermüdung, haben sie nicht weniger Klasse und Eleganz: wir werden, zum Beispiel, ihren länglichen Fasenkopf, ohne Schwere, fein gemeißelt bewundern.
Le Grand ist angeblich ein sehr hingebungsvoller, freundlicher, tapferer, sogar fröhlicher Hund. Der Petit ist auch mit einer guten Natürlichkeit ausgestattet, aber sein Temperament ist oft prägnanter. Manche machen sehr sichere Wächter. Beide sind ausgezeichnete Haushunde, liebevoll und an ihre Familie gebunden. Wenn fälschlicherweise behauptet wird, dass ihnen die Leidenschaft fehlte, dann deshalb, weil sie vor allem zwei weise und natürlich unterwürfige Hunde sind.
In Frankreich wird der Petit Münsterländer, der an den Ausstellungen teilnimmt und an einigen Wettbewerben teilnimmt, von den Amateuren bereits positiv aufgenommen. Das Grand, obwohl immer noch diskret, sollte auch seinen Platz finden. Dieser wachsende Erfolg ist nicht auf eine vorübergehende Modeerscheinung zurückzuführen, sondern auf starke praktische Qualitäten. auch wenn der Stil dieser Hunde sich sehr von dem der französischen Rassen unterscheidet. |
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Gran Munsterlander FCI Standard No. 118
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Origen
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Alemania |
Traducción
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Brígida Nestler. Versión original (DE) Supervisión Técnica : Sr. Miguel Ángel Martínez |
Grupo
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Grupo 7 Perros de muestra |
Sección
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Sección 1.2 Perros de muestra continentales « Tipo Spaniel » |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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lunes 20 diciembre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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martes 29 octubre 2013 |
Última actualización
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miércoles 05 marzo 2014 |
En français, cette race se dit
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Grand Epagneul de Münster |
In English, this breed is said
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Large Munsterlander |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Grosser Münsterländer Vorstehhund |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Grote Munsterlander |
Utilizacion
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De acuerdo con sus necesidades de caza como un perro polivalente el Gran Munsterlander debe cu mplir con todos los retos necesarios y debe ser capaz de trab ajar en el campo, bosque y agua antes y después del disparo. |
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Breve resumen historico
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El desarrollo histórico de la Gran Munsterlander se remonta al perro blanco / par ticolor para caza de aves y cetrería de la Edad Media a través del St öberhund y Wachtelhund al Pointer del siglo 19. El Gran Munst erlander como así también el Pequeño Munsterlander y el Perro de Muestra Alemán de Pelo largo pertenecen a la familia de los Perros de Muestra alemanes de pelo largo cuya crianza planificada com enzó hacia fines del siglo 19. Luego que el “Club Alemán del Pelo La rgo” finalmente excluyo el color negro de la crianza en 1909 el “Cl ub para la crianza pura de Munsterland Pointers blancos y negros (fund ado en 1919) se hizo cargo de la crianza de los Pelo Largo blancos y negros. Después de incorporar al resto de estos pelo largo nativos, en particular del este de Munsterland y la baja Sajoni a, sobre una lista fundacional el Club comenzó a planear la crianza de l Gran Munsterlander en 1922. La lista fundacional comprendía 83 perros. Descend ientes de los perros de la lista original eran incorporados en el libro de registros para el Gran Munsterlander. El club que mantenía e l libro de registros era el “ Verband Grosse Münsterländer e.V . », hasta la fecha organizó ocho grupos regionales independientes. El Club del Gran Munsterlander es miembro de la VDH y de la Federaci ón de Perros de caza (JGHV). |
Aspecto general
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Cuerpo fuerte y musculoso, impresión general atrevida. Expresión de inteligencia y nobleza. Líneas exteriores limpias. |
Proporciones importantes
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La altura a la cruz y el largo del cuerpo deben ser lo más iguales posibles. El largo del cuerpo puede exceder la altura a la cruz en 2 cm. |
Temperamento / comportamiento
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Las cualidades más importantes son: ser manejable y fácil de ense ñar, confiable para el uso como perro de caza en particular luego del disparo. Temperamento cariñoso sin ser nervioso. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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Noble y alargada con expresión inteligente. Mentón definido con buena musculatura |
Depresión naso-frontal (stop)
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Moderado. |
Facial region
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Trufa
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Trufa pronunciada de color negro. |
Hocico
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Fuerte, largo y bien desarrollado para su uso. Puente nasal derecho. |
Belfos
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No colgantes. |
Mandíbulas / Dientes
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Mordida fuerte y dentición completa (42 dientes) con caninos bien formados y una mordida pe rfecta en tijera. |
Ojos
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Cuánto más oscuros mejor, párpados bien ajustados. |
Orejas
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Anchas, inserción medianamente alta, puntas redondeadas, ajustadas. |
Cuello
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Fuerte y bien musculoso con una curva noble. |
Cuerpo
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Cruz
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Medianamente alta, larga, buena musculatura. |
Espalda
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Corto, firme, derecho. |
Lomo
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Pronunciado, protegido por músculos tirantes. |
Grupa
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Larga, ancha, solo levemente inclinada, buena musculatura. |
Pecho
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Ancho visto de frente, profundo visto de lado con un marcado antepecho. |
Línea inferior
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Levemente ascendente, tirante, esbelto. Flancos cortos y colocados altos. |
Cola
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Porte horizontal o levemente más alto. Vista de lado en continuación con la línea superior sin quebradura. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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Extremidades derechas, fuertes y bien musculosas. Angulaciones correctas. |
Hombro
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Escápulas bien ajustadas a las costillas. |
Brazo
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Debe ser fuerte y con buena musculatura. |
Antebrazo
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Extremidades derechas, fuertes y con bue na musculatura. |
Metacarpo
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Elásticos. |
Pies delanteros
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Moderadamente largos y redondeados , dedos apretados, sin espolones. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Fuerte, músculos tirantes, posi ción vertical. |
Rodilla
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Angulación correctal. |
Corvejón
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Angulación correcta. |
Pies traseros
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Moderadamente largos y redondeados, dedos apretados, sin espolones. |
Movimiento
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Elástico en el paso y el trote, cubriendo la superficie con pasos largos. Galope: elástico, animado con el necesario empuje y largo alcance |
Manto
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Pelo
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Largo y tupido, lacio y no ondulado o parado ya que obstaculiza la habilidad de la caza. Pelo largo típico. El pelo debe ser especialmente largo y tupido en la parte posterior de los miembros anteriores y posteriores. (Bien cubier tos de plumas) tanto en machos como en hembras. En la cola el pelo debe ser particularmente largo. La zona más fuertemente cubi erta de plumas debe estar a la mitad de su largo. El pelo en las o rejas debe ser largo (buenos flecos) y llegar claramente y parejo sobre la punta de las orejas (no es deseable el cuero en el final de las orejas). El pelo sobre la cabeza es corto y suave. |
Color
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Las tres variedades de color son: Blanco con parches y manchas negras, azul ruano o negro puro. La cabeza es siempre negra, es posible un recorte o estrella blanca. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Altura a la cruz (promedio): Machos 60 – 65 cm, Hembras 58 – 63 cm, se tolera 2 cm por sobre el tamaño especificado. |
Peso
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Aproximadamente 30 kg. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas generales
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Cráneo demasiado ancho.
Demasiado stop, hocico demasiado corto.
Nariz romana o cara de plato, ausencia completa de pigmentación o solo manchas.
Labios sueltos o pendulares.
Leves faltas en dientes y mordida; mordida en pinza, doble PM 1, ausencia de 1-2 premolares (PM1) o del 3 molar (M3) (Máximo 2 dientes).
Ojos demasiado claros.
Membrana roja visible.
Párpados sueltos.
Orejas de inserción baja, separadas de la cabeza.
Orejas demasiado cortas o plegadas hacia atrás mostrando el cartílago.
Cuello demasiado corto, demasiado largo, muy grueso, muy delgado, papada.
Cruz demasiado baja, muy corta.
Dorso demasiado largo, hundido o encarpado.
Lomo con músculos flojos.
Transición no armoniosa de la grupa; sobre construido.
Grupa corta, estrecha, con caída abrupta.
Pecho con forma de barril, estrecho, no lo suficiente profundo, falta de antepecho.
Abdomen demasiado ascendente o demasiado bajo.
Porte de la cola hacia un lado, enrollada hacia arriba, cola quebrada o en forma de anillo.
Extremidades anteriores: angulaciones demasiado empinadas, codos protuberantes o torcidos.
Carpos débiles.
Frente demasiado estrecho o demasiado ancho.
Extremidades posteriores: angulaciones demasiado empinadas, corvejón de vaca o piernas arqueadas com o asítambién un posterior demasiado abierto o cerrado.
Pie redondo de gato, largo de liebre, pie plano.
Dedos de paloma o frente de violín.
Paso y trote corto, rígido o remilgado.
Galope: saltos rígidos, poco empuje. |
Faltas descalificantes:
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Agresividad o extrema timidez.
Trufa pálida.
Entropion, ectropion.
Boca prognática o enognática, boca cruzada, ausencia de incisivos o caninos, ausencia de molares o premolares (excepto 2 PM1 o 1 M3).
Colores no acorde al estándar de raza.
Perros por sobre o debajo de la altura indicada.
Temeroso o sensible al disparo en cualquier grado.
Temorante la presa, mordedor por temor, temeroso ante los extraños. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Cuando se habla de vendedores ambulantes alemanes, uno piensa primero en Braques, alemán, de Weimar, con un abrigo duro (Drahthaar). No debe olvidarse que hay bellos y buenos perros de aguas en Alemania.
Entre finales del siglo XIX y principios del siglo XX, es cierto, la mayoría de los cazadores de todo el Rin se volvieron hacia los Braques y abandonaron un poco sus ancestrales Spaniels.
Los Grandes o Pequeños Spaniels de Mûnster evocan innegablemente el Spaniel francés o el Breton Spaniel, pero no debe inferirse que provengan de él. De hecho, los cazadores alemanes nunca han cazado. Además, durante siglos, se han dedicado exclusivamente a la caza de tiro, redes o paneles; sus Spaniels, primero conocidos como "perros Oysel" y "perros que usan", son innegablemente muy viejos. Como en Francia, había una gran variedad, pequeña y alta, cuyos vestidos eran de varios colores. Varias cruces, especialmente con English Setters o German Pointers, han hecho que estos perros sean bastante heterogéneos.
En Westfalia, una región rica en juegos y muy amigable para perros, se seleccionaron dos tipos locales.
En 1870, sin embargo, los cinófilos germánicos se preocuparon por especificar las características de los diversos indicadores alemanes, por lo que en 1878 se recomendó evitar los vestidos abigarrados con negro para la reproducción de Langhaar; incluso fueron prohibidos en 1908. Esta exclusión está en el origen del nacimiento del Grand Mûnsterländer.
De hecho, algunos criadores de Münster y sus alrededores decidieron criar este tipo de Spaniel como una raza separada. En 1919, para promoverlo y seleccionarlo, crearon una asociación llamada "Verein für die Reinzucht des langhaarigen grossen Schwarzweissen Münsterländer", y en 1922 el Grand Mûnsterländer comenzó a estar oficialmente registrado en Alemania.
En cuanto al Petit Mûnsterlânder, era un perro típico de la región de Münster, pero a principios de este siglo se descubrió que estaba a punto de desaparecer: se podían enumerar unos pocos especímenes. Varios criadores se esforzaron por revivirlo, entre los que debemos mencionar principalmente a Edmond Lons. Entre 1925 y 1935, este obstinado cinófilo logró estabilizar las características del Petit Münsterlânder, no sin algunas contribuciones de otras razas. A menudo se dice que este perro fue creado a partir de perros de sangre bretones establecidos en la región ya en 1910. Sin embargo, esta afirmación adolece de un defecto grave, porque, en ese momento, el Breton Spaniel acababa de comenzar a abandonar su Bretaña natal. y por lo tanto, no podría haber cruzado el Rin.
Los pequeños y grandes Mûnsterländer tienen innegablemente sangre de Langhaar en sus venas, y esto es bastante explicable: ambos son de selecciones locales del Spaniel alemán, que, disfrutó de una difusión nacional, y es comprensible. que los criadores lo han utilizado para regenerar y perfeccionar sus perros favoritos. En cualquier caso, no se debe creer que el Gran Münsterländer es un avatar de la selección del Pequeño, apareció durante el apareamiento entre Breton Spaniel y Langhaar, y podría, debido a su gran tamaño, registrarse como Pequeño münsterländer. Su existencia está atestiguada antes del período 1925 - 1935.
Las dos razas fueron finalmente reconocidas por la Federación Cinológica Internacional en 1936. Desde entonces, se han extendido a muchas partes de Alemania, pero también a Suiza, los Países Bajos, Bélgica y Alsacia. El Petit, especialmente, comienza a ser conocido en toda Francia, donde los aficionados descubren sus cualidades.
Los cazadores franceses tienen excelentes razas de Spaniels: ¿la elección de un Miillerlandcr sería sólo esnobismo, o al menos una manifestación de originalidad?
Es cierto que estas dos razas se benefician de la reputación de calidad de todo lo que se fabrica en Alemania, y debe decirse que, en lo que a ellos respecta, esta reputación está perfectamente justificada. Los cazadores alemanes, que son relativamente pocos, están muy motivados, apasionados y exigentes. Sus perros no pueden ser mediocres.
En primer lugar, deben saber cómo hacer todo: la parada en la pluma o el pelo, obviamente, pero también en el informe, el rastreo de la liebre. Son bosquimanos muy respetados, pero sus usuarios todavía están particularmente interesados en sus servicios en el medio acuático, particularmente en investigación y presentación de informes, incluso en aguas profundas. Nadar es para estos perros una segunda naturaleza.
El pequeño puede liderar la liebre, el grande se usa para la búsqueda del gran juego. Es cierto que estas dos últimas especialidades son de poco interés para los cazadores franceses; permiten, sin embargo, afirmar que los Mûnsterländer son perros de caza realmente versátiles. Con un sutil sentido del olfato, realizando una búsqueda muy activa y metódica sin alejarse demasiado del cazador o imponiendo un infierno, especialistas en la búsqueda de juegos heridos, estos perros son potencialmente excelentes perros perdigueros.
En resumen, son perros "serios", formados por un entorno muy variado (Westfalia ofrece paisajes muy diversos donde se alternan cultivos, prados, bosques, marismas) y una selección rigurosa, que solo se puede apreciar en Francia. El Petit Mûnsterländer, en particular, que caza bajo el fuego, se ha convertido en unos pocos años, en el sur de Francia, en un especialista en la caza de conejos, donde muestra las cualidades de un Spaniel, deteniéndose además.
Miinsterlanders tiene temperamento; es decir, necesitan un maestro sin debilidad. No es que sean duros; la "dureza" de las razas alemanas es una leyenda, y en cualquier caso un Spaniel no puede ser un perro difícil; pero su aguda inteligencia les hace descubrir rápidamente la más mínima falla en la educación que se les imparte.
Extremadamente resistentes al clima y a la fatiga, no tienen menos clase y elegancia: admiraremos, por ejemplo, su cabeza de bisel alargada, sin pesadez, finamente cincelada.
Le Grand tiene fama de ser un perro muy devoto, amable, valiente e incluso alegre. El Petit también está dotado de una buena naturalidad, pero su temperamento es a menudo más incisivo. Algunos hacen guardias muy seguros. Ambos son excelentes perros de la casa, cariñosos y apegados a su familia. Si, erróneamente, se ha afirmado que carecían de pasión, es porque son, sobre todo, dos perros sabios y naturalmente sumisos.
En Francia, en la actualidad, el Petit Mûnsterlânder, que está presente en las exposiciones y que participa en algunas competiciones de trabajo, ya es bien recibido por los aficionados. El Grand, mientras tanto, aunque sigue siendo discreto, también debería encontrar su lugar. Este éxito creciente no se debe a una moda pasajera, sino a fuertes cualidades prácticas. incluso si el estilo de estos perros es muy diferente al de las razas francesas. |
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Grote Munsterlander FCI standaard nr. 118
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Land van oorsprong
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Duitsland |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 7 Staande honden |
Sectie
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Sectie 1.2 Continentale staande honden, spaniel-type |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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maandag 20 december 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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dinsdag 29 oktober 2013 |
Laatste update
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woensdag 05 maart 2014 |
En français, cette race se dit
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Grand Epagneul de Münster |
In English, this breed is said
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Large Munsterlander |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Grosser Münsterländer Vorstehhund |
En español, esta raza se dice
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Gran Munsterlander |
Gebruik
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In overeenstemming met haar eisen als een jachthond veelzijdige Grote Munsterlander heeft om alle uitdagingen die nodig worden geconfronteerd en moet in staat zijn om te werken op de grond in het bos en het water voor en na het bakken |
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Kort historisch overzicht
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Historisch gezien is de Grote Munsterlander terug naar Oysel koelers hond van de Middeleeuwen, opgeleid voor kuchen, te bereiken, om honden vogels, broussailleurs en spaniels, hond shutdown de 19de eeuw. Met de Kleine Münsterländer en de Duitse langharige retriever (Deutsch-Langhaar), Grote Munsterlander behoort tot de familie van het stoppen van langharige honden Duitsers, wier methodische fokkerij begon in de late de 19de eeuw. Duitse club retriever met lang haar in 1909 permanent verwijderd uit het fokken van zwarte onderwerpen, de Club voor raszuivere Munsterlander zwart en wit lang haar dat is verantwoordelijk voor de promotie van dit ras van de retriever sinds de oprichting in 1919. Na het catalogiseren van de vorm van een voorlopige verklaring alle overlevenden van deze langharige ras afkomstig uit het westelijke deel van de provincie Munster en Nedersaksen, de club begon in 1922 het systematisch fokken van Grote Munsterlander. De enquête omvatte 83 honden in eerste instantie. De afstammelingen van deze honden wedstrijden tussen de primaire bestand in het boek van de oorsprong van de Grote Munsterlander werden geschreven. De vereniging die verantwoordelijk is voor het stamboek is de Club van Greater Munsterlander, die momenteel bestaat uit acht onafhankelijke provinciale hoofdstukken. Club Grand Munsterlander is lid van de VDH (Verband für das Deutsche Hundewesen) en de Centrale Vereniging clubs jagen (JGHV). |
Algemeen totaalbeeld
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Krachtig, goed gespierd maar strak, het heeft een strakke totaalbeeld, waardoor de superieure mogelijkheden en adel externaliseert. |
Belangrijke verhoudingen
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Lichaamslengte en schouderhoogte moet gelijk mogelijk zijn, maar de lengte van het lichaam op de schoft van ongeveer 2 cm hoogte overschrijden. |
Gedrag en karakter (aard)
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Zijn prominente kwaliteiten zijn volgzaamheid, en zijn vermogen om te assimileren bewezen voor de jacht, vooral na het hulpprogramma schot. Het is levendig temperament, zonder nerveus. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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Op voorname uiterlijk, is ze liegen en inzichtelijke expressie. Spieren van de onderkaak sterk ontwikkelde regio. |
Stop
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Iets gemarkeerd. |
Facial region
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Neus
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Van een zeer uitgesproken zwart. |
Voorsnuit
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Krachtig, lang, perfect aangepast aan het gebruik ervan. |
Lippen
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Geen hangende. |
Kiezen / tanden
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Krachtig en compleet gebit (42 tanden) met goed ontwikkelde tanden en een scharnierende onberispelijke schaar. |
Ogen
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Zo donker mogelijk. Oogleden nauw aansluitend. |
Oren
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Breed, vrij hoog, met afgeronde bodem, liggen dicht bij de schedel. |
Hals
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Krachtig, goed gespierd, sierlijk gebogen. |
Lichaam
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Schoft
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Medium ontstaan, lang, goed gespierd. |
Rug
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Kort, stevig, recht. |
Lendenpartij
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De lumbale regio is goed aangegeven en goed beschermd door een stevige spiermassa. |
Croupe
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Lang en breed, matig ingeslikt, goed gespierd. |
Borst
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Brede vooraanzicht, ondersteboven goed met borstbeen bekendheid goed uitgesproken. |
Flank
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Kort en hoog geplaatst. |
Onderlijn en buik
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De buik is licht opgetrokken, uitgerekt dun. |
Staart
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Uitgevoerd horizontaal of iets hoger. Profiel te bekijken, het strekt zich uit van de goede bovenlijn. |
Voorhand
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Algemeen
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De voorpoten zijn recht, sterk en goed gespierd. Proper gehoekt. |
Schouders
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Blades stevig bevestigd tegen de ribben. |
Opperarm
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Moet sterk en goed gespierd. |
Onderarm
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Leden recht, krachtig en goed gespierd. |
Voorvoetwortelgewricht
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Elastisch. |
Voorvoeten
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Gemiddelde lengte en camber; vinger strak. Geen aanwezigheid van pinnen. |
Achterhand
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Algemeen
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Sterke spieren en een goede toon. Verticale positie. |
Knie
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Proper gehoekt. |
Spronggewricht
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Proper gehoekt. |
Achtervoeten
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Gemiddelde lengte en camber; vinger strak. Geen aanwezigheid van pinnen. |
Gangwerk
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Veerkrachtige stap en draf, die de grond, met een lange pas. Gallop: elastisch, geanimeerd met de nodige drive en lange gebonden. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Lang en dicht, maar toch strak en niet krullend of staan af als dit belemmert jacht vermogen. Typische lange haren. De vacht moet speciaal lange en dichte op de rug van de voor- en achterpoten (goed bevederd) in zowel reuen en teven zijn. Ook op de staart het haar bijzonder lang zijn. De sterkste staart feathering moet in het midden van zijn lengte. Haren op de oren moet lang (goede franjes) en bereiken duidelijk en gelijkmatig over het puntje van de oren (leder uiteinden van de oren niet wenselijk). Haren op het hoofd is kort en glad. |
Haarkleur
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De drie kleurvariëteiten zijn: Wit met zwarte vlekken en vlekken, blauwschimmel of puur zwart. Het hoofd is altijd zwart, eventueel met een witte snip of bles. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Reuen 60-65 cm, teven 58-63 cm. 2 cm meer dan opgegeven grootte getolereerd. |
Gewicht
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Ong. 30 kg. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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General defecten
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Schedel te breed, te veel stop, te korte snuit.
Romeinse neus, schaaltje gezicht; ontbreekt pigment geheel of slechts vlekken.
Lips los of hangend.
Lichte fouten van tanden en bijten; Tanggebit; dubbele PM1 afwezigheid van 1-2 premolaren (PM1) of van de 3e molaren (M3) (Maximaal 2 tanden).
Oog te licht.
Zichtbare rode haw.
Losse oogleden.
Oren laag aangezet, staande uit de buurt van het hoofd.
Oren te kort of gevouwen achteruit zien kraakbeen.
Nek te kort, te lang, te dik, te dun; keelhuid.
Verdort te laag, te kort.
Rug te lang, hol of voorn rug.
Lendenen met slappe spieren.
Overgang naar niet harmonieus staart; overbouwd.
Kroep korte, smalle, weg daalt scherp.
Borst tonvormige, smal, niet diep genoeg, het ontbreken van voorborst.
Belly ook opgetrokken, te laag ingesteld.
Gedragen staart zijwaarts, rolde omhoog, kinky of ring staart.
Voorpoten: hoekingen te steil, uitpuilende of gedraaide ellebogen.
Zwakke pols.
Te smal of te breed is.
Achterpoten: hoekingen te steil; cow-hocked of bow-legged evenals te breed of te dicht achter.
Voeten ronde cat-voeten, lange harefeet, gespreide voeten.
Cat-toed of viool voorzijde.
Wandelen en draven korte, stijf of hakken.
Gallop: Korte, stijve sprong; te weinig stuwing. |
Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of schuw honden.
Bleke neus leer.
Entropion, ectropion.
Overbeet of onderbeet mond, scheve mond; ontbrekende snijtanden of hoektanden, ontbrekende molaren en premolaren (behalve 2 PM1 of 1 M3).
Kleuren die niet voldoen aan de rasstandaard.
Honden over- of onder-en kleinbedrijf.
Gun verlegen of pistool-gevoelig in enige mate.
Verlegenheid van levende spel, vrezen bijter, angst voor vreemden. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Wanneer Duitse venters worden gesproken, denken we eerst aan Braques, Duits, uit Weimar, met een harde jas (Drahthaar). Men moet niet vergeten dat er mooie en goede Spaniels in Duitsland zijn.
Tussen het einde van de negentiende en het begin van de twintigste eeuw is het waar dat de meeste jagers uit de hele Rijn naar de Braques keken en hun voorouderlijke spaniels enigszins achterlieten.
De grote of kleine spaniels van Mûnster roepen onmiskenbaar de Franse Spaniel of de Bretonse Spaniel op, maar daaruit mag niet worden afgeleid dat zij er uit voortkwamen. Duitse jagers hebben inderdaad nooit gejaagd. Ook hebben ze zich eeuwenlang uitsluitend toegelegd op jachtschiet-, netten- of panelen; hun Spaniels, eerst bekend als "Oysel-honden" en "dragende honden", zijn daarom onmiskenbaar heel oud. Net als in Frankrijk was er een grote variëteit, klein en groot, waarvan de jurken verschillende kleuren hadden. Verschillende kruisen, vooral met Engelse Setters of Duitse Pointers, hadden deze honden nogal heterogeen gemaakt.
In Westfalen, een zeer game-rijke en zeer hondvriendelijke regio, werden twee lokale types geselecteerd.
In 1870 echter, waren Germaanse cynofielen bezig met het specificeren van de kenmerken van de verschillende Duitse verwijzingen, en dus werd in 1878 geadviseerd om jurken te vermijden die zwartachtig waren voor de reproductie van Langhaar; ze werden zelfs in 1908 verboden. Deze uitsluiting ligt aan de oorsprong van de geboorte van de Grote Mûnsterländer.
Sommige fokkers uit Münster en omgeving hebben zelfs besloten om dit type Spaniel als een apart ras te fokken. In 1919, om het te promoten en te selecteren, creëerden ze een vereniging genaamd "Verein für die Reinzucht des Langhaarigen Grossen Schwarzweissen Münsterländer", en in 1922 begon de Grand Mûnsterländer officieel te worden geregistreerd in Duitsland.
Wat de Petit Mûnsterlânder betreft, het was een typische hond uit de regio Münster, maar aan het begin van deze eeuw bleek dat het op het punt stond te verdwijnen: hoogstens een paar voorbeelden konden worden opgesomd. Verschillende fokkers hebben geprobeerd het te laten herleven, waaronder we vooral Edmond Lons moeten noemen. Tussen 1925 en 1935 slaagde deze koppige cynofiel erin de kenmerken van de Petit Münsterlânder te stabiliseren, niet zonder enige bijdragen van andere rassen. Er wordt vaak gezegd dat deze hond werd gemaakt van Bretonse Spaniels die zich al in 1910 in de regio vestigden. Deze bewering lijdt echter aan een ernstig gebrek, omdat de Bretonse Spaniel op dat moment net zijn geboorteplaats Bretagne begon te verlaten. en daarom zou ik de Rijn nog niet hebben kunnen oversteken.
De kleine en grote Mûnsterländer hebben onmiskenbaar bloed van Langhaar in hun aderen, en dit is vrij verklaarbaar: beide zijn afkomstig van lokale selecties van de Duitse Spaniel, die een nationale verspreiding genoten, en het is begrijpelijk dat fokkers het hebben gebruikt om hun favoriete honden te regenereren en perfectioneren. In ieder geval moet men niet geloven dat de Grotere Münsterländer een avatar is van de selectie van de Kleine, verscheen tijdens de paring tussen Bretonse Spaniel en Langhaar, en kon, vanwege zijn grote omvang, worden geregistreerd als Klein Münsterländer. Het bestaan ervan wordt bevestigd vóór de periode 1925 - 1935.
De twee rassen werden uiteindelijk erkend door de Internationale Cynologische Federatie in 1936. Sindsdien hebben ze zich verspreid naar vele delen van Duitsland, maar ook naar Zwitserland, Nederland, België en de Elzas. De Petit, vooral, begint bekend te worden in heel Frankrijk, waar amateurs hun kwaliteiten ontdekken.
De Franse jagers hebben uitstekende rassen van Spaniels: zou de keuze voor een Miillerlandcr alleen snobisme zijn, of op zijn minst een manifestatie van originaliteit?
Toegegeven, deze twee rassen profiteren van de kwaliteitsreputatie van alles wat in Duitsland wordt gemaakt, en het moet gezegd worden dat, wat hen betreft, deze reputatie perfect gerechtvaardigd is. Duitse jagers, die relatief weinig in aantal zijn, zijn zeer gemotiveerd, gepassioneerd en veeleisend. Hun honden kunnen niet middelmatig zijn.
Ten eerste moeten ze weten hoe ze alles moeten doen: de stop op de veer of het haar, uiteraard, maar ook het rapport in gewone, het volgen van de haas. Het zijn hooggewaardeerde bosjesmannen, maar hun gebruikers zijn nog steeds bijzonder geïnteresseerd in hun diensten in het aquatisch milieu, met name onderzoek en rapportage, ook in diep water. Zwemmen is voor deze honden een tweede natuur.
De kleine kan de haas leiden, de grote wordt gebruikt voor de zoektocht naar groot wild. Toegegeven, deze laatste twee specialiteiten zijn weinig interessant voor Franse jagers; ze laten echter toe om te bevestigen dat de Mûnsterländer echt perfect veelzijdige jachthonden zijn. Met een subtiel reukvermogen, met een zeer actieve en methodische zoektocht zonder te ver weg van de jager te komen of een trein van de hel op te leggen, specialisten in het zoeken naar gewonde spelletjes, deze honden zijn in potentie uitstekende retrievers.
Kortom, het zijn 'serieuze' honden, gevormd door een zeer gevarieerde omgeving (Westfalen biedt zeer uiteenlopende landschappen waar gewassen wisselen, weiden, bossen, moerassen) en een strenge selectie, die alleen in Frankrijk kan worden gewaardeerd. Vooral de Petit Mûnsterländer, die onder het geweer jaagt, is in een paar jaar tijd in het zuiden van Frankrijk een specialist geworden in het jagen op konijnen, waar hij de kwaliteiten van een Spaniel laat zien en bovendien stopt.
Miinsterlanders hebben temperament; dat wil zeggen, ze hebben een meester nodig zonder zwakheid. Niet dat ze moeilijk zijn; de "hardheid" van de Duitse races is een legende, en in elk geval kan een Spaniel geen moeilijke hond zijn; maar door hun scherpe intelligentie ontdekken ze snel de geringste fout in de opleiding die hen wordt geboden.
Extreem bestand tegen het weer en tegen vermoeidheid, ze hebben niet minder klasse en elegantie: we zullen bijvoorbeeld hun langwerpige afgeschuinde kop bewonderen, zonder zwaarte, fijn gebeiteld.
Le Grand staat bekend als een zeer toegewijde, vriendelijke, dappere, zelfs vrolijke hond. De Petit is ook begiftigd met een goede natuurlijkheid, maar het temperament is vaak meer doortastend. Sommigen maken zeer veilige bewakers. Beide zijn uitstekende huishonden, aanhankelijk en gehecht aan hun familie. Als ten onrechte beweerd wordt dat ze geen passie hebben, komt dat omdat ze bovenal twee verstandige en natuurlijk onderdanige honden zijn.
In Frankrijk wordt momenteel de Petit Mûnsterlânder, die aanwezig is in de tentoonstellingen en die deelneemt aan enkele wedstrijden van het werk, al positief ontvangen door de amateurs. De Grand, ondertussen, hoewel nog steeds discreet, zou ook zijn plaats moeten vinden. Dit groeiende succes is niet te wijten aan een voorbijgaande rage, maar aan sterke praktische kwaliteiten. zelfs als de stijl van deze honden heel anders is dan die van de Franse rassen. |