Français

Griffon d'arrêt à poil dur Korthals
Standard FCI Nº 107

Origine
France
Groupe
Groupe 7 Chiens d'arrêt
Section
Section 1.3 Chiens d'arrêt continentaux, type Griffon
Epreuve
Avec épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
mardi 07 décembre 1954
Publication du standard officiel en vigueur
mardi 01 août 2023
Dernière mise à jour
mardi 05 septembre 2023
In English, this breed is said
Wire-Haired pointing griffon Korthals
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Franzõsischer rauhhaariger vorstehund Korthals
En español, esta raza se dice
Grifón de muestra de pelo duro
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Korthals Griffon

Utilisation

Essentiellement chien d’arrêt polyvalent. Est également employé pour la recherche au sang du grand gibier blessé.

Bref aperçu historique

Le Korthals a été créé en Allemagne, dans la province de Hesse, il y a un peu plus de cent ans. Il est l’œuvre du Hollandais Edward Korthals, maître de chenil du compte de Solms Braunfeld. Korthals, ayant remarqué les nombreuses qualités du griffon, docilité, intelligence, robustesse, courage, le choisit pour créer un chien de chasse purement continental, capable de rivaliser avec les chiens britanniques très en vogue à l’époque. Il acheta en Europe sept Griffons appelés les patriarches puis les croisa entre eux : la consanguinité n’avait jamais encore été utilisée de façon aussi systématique pour créer une race de chiens, mais elle permit de fixer les caractères génétiques. Korthals procéda alors à une sélection à la naissance très sévère, ne conservant que dix pour cent environ des sujets, choisis pour leurs qualités morales d’abord, puis pour leurs qualités physiques. Il donna une éducation d’élite à ces sujets, pour perfectionner et améliorer leurs qualités physiques. En 1870, il put ainsi obtenir un type très homogène de Griffon à poil dur auquel on donna son nom. Ce chien, dont le standard fut établi en 1887, était une brillante réussite de la cynotechnie, aussi connut-il très vite le succès auprès des chasseurs non seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe occidentale, et le Griffon Club, créé en 1888, regroupa bientôt des éleveurs de tous les pays. En France, il vient au troisième rang des chiens d’arrêt continentaux, après l’Épagneul Breton et le Braque Allemand.
Serge Dumont, président de l’AQGPDK

Aspect général

Chien vigoureux, rustique, de taille moyenne. Plus long que haut. Le crâne n’est pas trop large. Le museau est long et carré. Les yeux, jaune foncé ou bruns sont surmontés, mais pas recouverts par des sourcils broussailleux et les moustaches et barbe bien développées lui confèrent une expression caractéristique et expriment fermeté et assurance.

Comportement / caractère

Doux et fier, excellent chasseur, très attaché à son maître et à son territoire qu’il garde avec vigilance. Très doux avec les enfants.

Tête

Région crânienne

Tête
Grande, longue ; à poil rude, touffu, mais pas trop long ; moustaches et sourcils bien accusés.
Crâne
Pas trop large. Les lignes du crâne et du chanfrein sont parallèles. 
Stop
Cassure pas trop prononcée.

Région faciale

Truffe
Toujours brune.
Museau
Long et carré, chanfrein légèrement busqué, de même longueur que le crâne.
Yeux
Jaunes et bruns, grands, recouverts mais pas cachés par les sourcils, d’expression très intelligente.
Oreilles
De grandeur moyenne, non papillotées, appliquées à plat, placées pas trop bas ; le poil court qui les recouvre est plus ou moins mélangé à des poils plus longs.

Cou

Passablement long, dépourvu de fanon.

Corps

Généralité
De longueur nettement supérieure à la hauteur au garrot (de 1/20ème à 1/10ème ).
Dos
Vigoureux.
Rein
Bien développé.
Poitrine
Profonde, pas trop large.
Côtes
Côtes légèrement bombées.

Queue

Portée horizontalement ou la pointe légèrement relevée, couverte de poil touffu mais sans panache, elle doit être généralement écourtée du tiers ou du quart. Si elle n’était pas écourtée elle serait portée horizontalement avec l’extrémité légèrement relevée.

Membres

Membres antérieurs

Généralités
Droits, vigoureux, bien d’aplomb de l’épaule, à poil touffu.
Epaules
Bien attachées, plutôt longues, très obliques.

Membres postérieurs

Généralités
A poil touffu.
Cuisses
Longue et bien musclée.
Jarret
Bien coudés.

Pieds

Ronds, solides, les doigts bien serrés et cambrés.

Allures

L’allure de chasse est le galop, entrecoupé par des périodes de trot. Le trot est allongé. Le coulé est « félin ».

Robe

Qualité du poil
Dur et grossier, rappelant au toucher la soie du sanglier ; jamais bouclé ou laineux. Sous le poil de couverture long et dur règne du duvet fin et serré.
Couleur du poil
De préférence gris-acier avec taches marron ou uniformément marron, fréquemment marron-rubican ou rouan. Sont admises également les robes blanc et marron, blanc et orange.

Taille et poids

Hauteur au garrot
Environ 55 à 60 cm pour les mâles, 50 à 55 cm pour les femelles.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts entrainant l’exclusion

 Chien agressif ou peureux.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

Le Griffon d'Arrêt à poil dur Korthals, dénommé le Korthals, pour plus de simplicité, résulte de l'amélioration d'un type de chien fort ancien, particulier à l'Europe continentale, où il était très courant.

L'objectif qui aboutit à la création de cette race, en effet, avait été d'allier les qualités des chiens d'arrêt continentaux ; endurants, tout terrain, polyvalents, maniables, chassant sous le fusil et dont le nez était parfois un peu court ; à celles des chiens d'arrêt anglais, d'une grande finesse de nez, actifs, rapides, idéaux pour la chasse en plaine.

Réunir des « bons à tout faire », pas vraiment de grands sportifs, d'une part, et des pur-sang spécialisés et brillants, pas forcément adaptés aux exigences de la chasse sur le continent, d'autre part, était-ce là une tâche impossible? On peut affirmer le contraire, puisque le projet de Korthals et des « griffonniers » qui l'entouraient réussit au-delà même de ce qu'ils avaient escompté.

Qu'une race porte le nom d'un éleveur n'est pas fréquent. Eduar Karel Korthals (1851 - 1896) n'était pas non plus n'importe qui. Son père était un riche armateur d'Amsterdam qui, semble-t-il, avait un intérêt certain pour l'élevage, au point qu'il favorisa la passion naissante de son fils pour la chasse et les chiens. Aussi, le moment venu, E. K. Korthals ne songea nullement à reprendre les affaires, très florissantes, de son père.

A l'égal de sir Edward Laverack, le fameux créateur du Setter Anglais, il allait devenir un des plus grands éleveurs canins, autant par ses vues, très en avance sur celles ayant cours en son temps, que par l'expérience qu'il acquit sur les terrains de chasse et au chenil. Au surplus, c'était un esprit ouvert, honnête, modeste, dont la correspondance montre qu'il n'était nullement dogmatique mais qu'il recherchait la discussion constructive. Sa maxime, « Fais ce que tu dis, et dis ce que tu fais », le définit bien, de même que sa démarche, assez différente de celle couramment suivie par tout éleveur canin, « qui n'est pas tenu de publier ce qu'il fait dans son arrière-cuisine », selon l'expression fameuse d'A. Hublot du Rivault.

Le jeune E. K. Korthals chassa donc très tôt avec des Griffons, un type de chiens répandu aux Pays-Bas mais aussi en bien d'autres pays, de l'Italie à la Pologne en passant par la France, où l'on connaissait particulièrement les Griffons d'Etampes et ceux de Boulogne. Il s'agit bien d'un « type » plutôt que d'une race, car, dans cette seconde moitié du XIXe siècle, ces chiens étaient plutôt délaissés, et formaient une population assez hétérogène. Ainsi, certains présentaient un poil long, au point que la confusion avec le Barbet était fréquente. Korthals les appréciait néanmoins pour leur aptitude à chasser dans les circonstances les plus défavorables (au marais). Qui peut le plus, peut le moins, aussi il entreprit d'améliorer leur nez, leur vitesse, leur endurance, tout en préservant leur spécificité. Cela se passait en 1873, dans le domaine familial.

Quatre ans plus tard, décidant (à l'âge de vingt-six ans, donc) que, vraiment, les affaires ne l'intéressaient pas, Korthals se rendit auprès d'amis allemands, dans la région fort giboyeuse de la Hesse. Là, le baron Albert de Solms Braunfels lui confia la gestion de son chenil de Bibesheim ; le plus réputé d'Allemagne ; composé surtout de chiens anglais, en lui permettant de continuer parallèlement son propre élevage de Griffons. On peut avoir l'impression, au vu de ses résultats futurs, que Korthals avait une idée préconçue, très précise, sur les méthodes à mettre en œuvre pour faire parvenir les Griffons à poil dur au plus haut niveau. Or, il n'en est rien, et, d'ailleurs, Korthals ne cacha rien de son travail de sélection.

Sur l'aspect que devait avoir sa race, par exemple, il n'avait pas d'a priori: parmi les premiers spécimens auxquels il fit appel, il y eut un chien de type Barbet, un autre à poil laineux (de type Boulet) et une femelle à poil court. Pour ce qui est du métissage avec des chiens anglais (Pointers), Korthals ne le récusa qu'après l'avoir expérimenté. En effet, de tels croisements pouvaient d'abord faire gagner du temps, mais il s'avéra qu'ils faisaient perdre au Griffon ses caractères « continentaux ». On sait aussi que sept sujets furent retenus par Korthals pour fonder ses lignées. Là non plus, ce ne fut pas un choix intentionnel au départ, mais il se trouve que ces chiens furent les seuls qui, par leurs aptitudes à la chasse et par leurs qualités de raceur ; dont Korthals ne put juger qu'à la longue, sur leur descendance ;, lui donnèrent satisfaction. Ces « patriarches » ont pour nom: Banco, Hector, Janus, Satan, Donna, Junon et Mouche.

Pour parvenir, en moins de vingt ans, à produire des chiens capables de contester la supériorité britannique tout en restant continentaux, et ce, sans avoir jamais recours au sang anglais, Korthals procéda à des accouplements en consanguinité très étroite (on trouve parfois vingt fois le même chien dans certains pedigrees), mais il n'y voyait pas de danger pour la race, car il considérait ses lignées comme faisant partie d'une race réellement internationale, comme un exemple, en quelque sorte. Par ailleurs, il se livra à une impitoyable sélection: sur les six cents chiens qui passèrent par ses chenils, il ne garda en tout que soixante-deux sujets, selon les termes d'une lettre adressée à M. Emmanuel Boulet, qui, lui, sélectionnait un Griffon à poil laineux.

En outre, Korthals soumit ses chiens à un entraînement sévère, que Jean Castaing, dans son livre essentiel consacré à la race (Ed. de l'Orée), a appelé « gymnastique fonctionnelle » : il les fit travailler au bois, au marais et en plaine, par tous les temps, les créançant sur toutes sortes de gibiers, n'hésitant pas à leur faire poursuivre le lièvre (ce qui ne manqua pas de faire jaser, mais ce n'était, après tout, qu'une discipline exigée en Allemagne).

Les sujets obtenus par cette méthode (consanguinité, sélection, entraînement) extrêmement pragmatique furent d'une qualité telle qu'ils stupéfièrent les spécialistes, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en France, autant par l'ampleur et la vitesse de leur quête et par la finesse de leur flair que par leur polyvalence. Les commentaires élogieux des comptes rendus de field-trials en font foi.

En Allemagne, cependant, la hauteur de vue de Korthals allait valoir certains déboires à ses successeurs. En fait, ce passionné n'avait pas eu pour dessein de « créer » une nouvelle race, régionale ou nationale, mais de régénérer l'ancien et international Griffon. Ainsi, dans son esprit, la « famille » de Griffons qu'il avait portée à un tel degré de perfection n'était qu'un modèle, susceptible d'améliorer d'autres familles de la même race. Korthals mit toute son énergie à défendre ce point de vue: tout d'abord, en accord avec d'autres éleveurs, il rédigea un standard, daté de novembre 1887 (le texte d'aujourd'hui est toujours le même). Puis, il mit au point un livre des origines, le Griffon Hund Stammbuch (GSB), dont le premier volume parut en 1889. Cette publication annuelle n'était d'ailleurs pas seulement un studbook, puisque, en plus des origines des chiens, elle mentionnait leurs performances, les appréciations en concours et expositions, avec des documents photographiques à l'appui.

Et, en 1888, pour gérer toutes ces informations, Korthals créa le Griffon Club, un organisme international qui fut bientôt complété par d'autres associations, étant donné le nombre croissant de griffonniers : en 1895 naquirent le Griffon-Club pour l'Allemagne du Sud et le Royal Griffon Club belge; quant au Club français, il vit le jour en 1901, à l'instigation de Ch. Prudhommeaux. Ensemble, ils formèrent le « Cartel des clubs ».

E. K. Korthals mourut prématurément en 1896, à l'âge de quarante-cinq ans, mais ses idées avaient fait suffisamment d'adeptes pour lui survivre. Ainsi, la fameuse « tendance du club » reprit exactement sa pensée: « Le club part du principe que le chien d'arrêt à poil dur se trouvait depuis des siècles répandu à la surface du continent, mais y était représenté sous des formes très diverses à pelage variable et ne répondant pas ; par suite de son état d'abandon ; aux exigences d'une race pure et homogène. Plusieurs éleveurs se sont donné pour tâche, à l'aide d'une sélection appropriée, de reconstituer au moyen de ces chiens la race du "griffon d’arrêt à poil dur". Le club se place au point de vue que les chiens qui, sous le nom de "Griffons Korthals", se sont acquis une certaine notoriété, les "griffons à poil dur" d'autres origines élevés en d'autres pays et les "chiens d'arrêt allemands à poil dur" présentent tous, dans leurs grandes lignes, les mêmes caractéristiques typiques et peuvent en conséquence être considérés comme appartenant à la même race, en sorte que leur accouplement ; au cas où les éleveurs croiraient y avoir recours ; ne doit pas être considéré comme une mésalliance, mais, bien au contraire, les produits qui en résulteraient devraient être considérés comme les "griffons à poil dur".»

Ce principe, certes, ne souleva pas d'objections en Belgique ou en France. En Allemagne, en revanche, même s'ils étaient en nombre, les supporters du Korthals se heurtèrent à une opposition manifeste. Il y avait en premier lieu les partisans d'un Griffon purement germanique, telle Sichelhaar, qu'un éleveur de Francfort, M. Bontant, avait obtenu en améliorant le vieux Barbe-Sale de la Hesse et que certains intransigeants s'ingénièrent à distinguer des chiens de Korthals (en préférant un poil piquant, plus dur mais bien moins touffu). Il y avait aussi les défenseurs d'un métissage de races ; car le poil dur peut résulter de l'union d'un sujet à poil court et d'un autre à poil laineux ; qui soutenaient le Pudel Pointer (créé à partir du Caniche et du Pointer) et le Drahthaar (version à poil dur du déjà fameux Braque Allemand).

Bref, bien des Allemands ne voulaient pas laisser les « héritiers » de Korthals annexer ce précieux Griffon, dont la polyvalence leur convenait parfaitement. En 1907, le baron de Gingins, alors à la tête du Griffon Club, réussit bien, pourtant, à signer une convention avec les seuls éleveurs de Stichelhaar, excluant le Pudel Pointer et le Drahthaar, mais, quatre ans plus tard, l'accord vola en éclat, et les deux chiens se séparèrent pour former deux races distinctes. Puis survint la guerre de 1914 – 1918. Par la force des choses, le Griffon à poil dur devint donc français. L'année 1919 vit la création du Livre des origines du Griffon (LOG), et, alors que, une dizaine d'années auparavant, ce chien semblait promis à une très vaste diffusion, l'élevage du Griffon se restreignit à la France et à la Belgique. La Seconde Guerre mondiale frappa encore très durement la race, car le risque d'une consanguinité excessive se trouva porté à son maximum.

Cependant, ce chien si performant n'allait pas manquer de prendre un nouveau départ. En 1951, pour rendre hommage à l'œuvre de son créateur, on adjoignit officiellement le nom de Korthals à celui de Griffon d'Arrêt à poil dur. Actuellement, le Griffon Korthals connaît en France une période des plus fastes. Par exemple, ce chien s'est illustré au championnat du monde de gibier tiré en Yougoslavie (en 1980), et il est devenu une des vedettes parmi les races continentales, tant dans les fields d'automne que dans ceux de printemps. L'élite des trialers sert de « locomotive" à l'ensemble de la race, dont les effectifs se confortent avec régularité au fil des ans.

Parmi les initiatives de l'actif Club de race pour valoriser l'image sportive et utilitaire du Griffon, on peut relever la mise au point de fields d'initiation permettant la découverte de nouveaux talents, et un brevet de rapport à l'eau qui fait de la race la spécialiste du marais. Assurément, le Griffon Korthals, ce chien nouveau qui plonge ses racines dans notre vieille Europe, se prépare un avenir illustre.

Le Griffon Korthals est brave, dans tous les sens du terme. A la maison, il est affectueux, gentil, sociable, le grand ami des enfants. Et il montre un grand courage quand il s'agit d'affronter les intempéries à la chasse ou de défendre la propriété.

Parmi les chasseurs et les non-chasseurs, ce chien dispose d'un extraordinaire capital de sympathie, qu'il mérite amplement. On est attiré par sa bonne bouille de barbu et de moustachu, ses allures de campagnard solide et fidèle. Ses épais sourcils laissent filtrer un regard intelligent et doux, bon, où une étincelle s'allume dès qu'il est question de chasse ou de balades. Cette apparence traduit parfaitement son caractère : franc, s'attachant profondément à sa famille, sachant vite distinguer les amis et les saluer comme il convient, mais aussi capable de se faire impressionnant et menaçant face aux indésirables; c'est un chien très séduisant, en somme. Le seul défaut qu'on pourrait lui trouver, c'est que, si on néglige son pelage, si on le laisse sous les averses et dans la boue, la maîtresse de maison finira par exiger qu'on lui fasse une niche à l'extérieur ou qu'on le mette au chenil. Pour être présentable, un Korthals a besoin d'être étrillé et soigné régulièrement.

Pour ses seules qualités de compagnon, le Griffon ne saurait disparaître, mais ce sont ses dons de chasseur qui lui valent essentiellement sa bonne réputation. L'acquéreur n'aura pas de difficulté à trouver un sujet issu d'honorables lignées de travail ; sans parler des spécimens d'élite, bien entendu ; qui lui donne satisfaction.

« Nul autre ne peut supplanter le Griffon au marais », a écrit J. Castaing. En effet, le Korthals est en premier lieu un spécialiste du marais, l'auxiliaire privilégié du sauvaginier et du bécassier, qui apprécient son incroyable résistance au froïd, à l'eau glacée, au vent du nord, même en plein hiver, à la fatigue. C'est un très bon nageur, un « chercheur » qui repère très bien le point de chute de l'oiseau. Le gibier sauvage devient de plus en plus rare, et que le Griffon soit justement réputé dans la chasse des canards, des bécassines et des bécasses, nos derniers oiseaux sauvages, est une preuve de ses grandes capacités. Pour s'en convaincre, il n'est d'ailleurs que de voir le nombre de Korthals qui sont d'authentiques bécassiers.

Sa passion de la chasse et sa rusticité font du Korthals un broussailleur remarquable, capable de pénétrer dans les halliers les plus touffus. Mais cela n'empêche pas que les avis soient unanimes pour dire qu'il se défend très bien en plaine. En outre, c'est un retriever hors pair, facile à mettre au rapport. Le « maître de Bibesheim » voulait un chien « pour tous les chasseurs, pour tout faire, sous tous les climats », aussi, bien que les meilleurs spécialistes de field-trials sachent en tirer la quintessence pour l'amener au sommet, le Korthals n'en convient pas moins parfaitement à l'utilisateur moyen, à la chasse pratique.

Tout d'abord, ce chasseur-né se dresse très bien, se déclare tôt. On rencontre parfois, il ne faut pas le cacher, des sujets sensibles et d'autres un brin têtus, mais on n'a jamais vu de Korthals dont on ne puisse tirer parti. Un peu de fermeté pour discipliner le côté folâtre propre à la jeunesse, une bonne progressivité dans le dressage (par exemple, ne pas travailler le rapport, sous prétexte que le chien s'y prête, avant d'avoir obtenu en toutes circonstances la fermeté de l'arrêt) permettront d'en venir à bout. Le sérieux, il l'acquerra plus tard (en même temps que la barbe). L'essentiel, pour qui veut un tel compagnon, est de savoir choisir, sur les conseils d'un éleveur qui soit lui-même un chasseur averti, un chiot de bonnes origines, convenant à sa propre personnalité et à ses talents de chasseur.

Le Griffon est un galopeur, qui peut passer de l'allure soutenue, indispensable aujourd'hui en fields, au petit galop régulier en chasse pratique, voire au trot, quand le terrain l'exige. (On rappellera à ce propos qu'il est toujours possible de restreindre « une nature généreuse » mais que l'inverse est beaucoup plus difficile.) Sa quête ample, bien croisée, ne laisse passer aucune pièce, son nez est d'une grande finesse. Il est réputé pour la fermeté de ses arrêts, pris de longueur. Il a un sens inné de la chasse, il se passionne pour tous les gibiers. Avec lui, la polyvalence ne signifie pas être moyen dans toutes les disciplines.

English

Wire-Haired pointing griffon Korthals
FCI Standard No. 107

Origin
France
Translation
Mrs. Renée Sporre Willes and Mr. Raymond Triquet
Group
Group 7 Pointing Dogs
Section
Section 1.3 Continental Pointing Dogs, « Griffon » type
Working
With working trial
Acceptance on a definitive basis by the FCI
Tuesday 07 December 1954
Publication of the official valid standard
Tuesday 01 August 2023
Last update
Tuesday 05 September 2023
En français, cette race se dit
Griffon d'arrêt à poil dur Korthals
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
Franzõsischer rauhhaariger vorstehund Korthals
En español, esta raza se dice
Grifón de muestra de pelo duro
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Korthals Griffon

Usage

Essentially a versatile pointing dog. Also used for tracking wounded large game.

Brief historical summary

Already mentioned by Xenophon, used as « oysel dog » widespread in the w hole of Europe under different names. The breed was renewed and i mproved by inbreeding, selection and training without any addi tion of foreign blood by E.K. Korthals during the second half of th e 19th century. Since, the different national clubs have remained f aithful to its precepts.

General appearance

Vigorous dog, rustic of medium size. Longer than tall. The skull is not too broad. The muzzle is long and square. The eyes, dark yellow or brown are surmoun ted but not covered by bushy eyebrows and well developed mousta ches and beard give him a characteristic expression and expr ess firmness and assurance.

Behaviour / temperament

Gentle and proud, excellent hunter, very attached to his master and his territo ry which he guards with vigilance. Very gentle with children.

Head

Cranial region

Head
Big and long, with harsh hair, thick but not too long; moustache, beard and eyebrows well developed.
Skull
Not too broad. The upper lines of the skul l and the muzzle are parallel.  
Stop
Not too pronounced.

Facial region

Nose
Always brown.
Muzzle
Long and square, of the same length as the skull, bridge of the nose slightly convex.
Eyes
Dark yellow or brown, large, rounded surmoun ted but not covered by the eyebrows, very intelligent expression.
Ears
Of medium size, not curled inwards, flat, se t on level line with the eyes, the short hair which covers them is more or less mixed with longer hairs.

Neck

Moderately long, without dewlap.

Body

Body
Its length is markedly greater than the height a t the withers (from 1/20th to 1/10th).
Back
Strong.
Loin
Well developed.
Chest
Deep, not too wide, ribs slightly sprung.

Tail

Carried horizontally or with the tip slightly raised, covered with thick hair but without fringing, generally should be docked by a third or a quarter. If it were not shortened, it would be carried horizontally with its tip slightly raised.

Limbs

Forequarters

Generality
Straight, vigorous, with thick hair. In action, the forelegs are perfectly parallel.
Shoulders
Well set on, rather long, very oblique.

Hindquarters

Generality
Covered with thick hair.
Upper thigh
Long and well muscled.
Hock
Well angulated.

Feet

Round, strong, toes tight and arched.

Gait and movement

he hunting gait is the gallop, punctuated by periods of trot. The trot is extended. Catlike movement when walking up game.

Coat

Hair
Harsh and coarse, reminding of the touch of a wild boar’s bristles. Never curly or woolly. Under the harsh t op coat is a fine dense undercoat.
Colour
Preferably steel grey shade with brown (li ver) patches or self-coloured brown (liver) coat. Frequently liver -roan or a close mixture of brown (liver) and white hairs. Equally permissible white and brown and white and orange coats.

Size and weight

Height at withers
About 55 to 60 cm for males and 50 to 55 cm for females.

Faults

• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness.

Disqualifying faults

 Aggressive or overly shy dogs.

NB :

• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding.

Bibliography

http://www.fci.be/

 

Detailed history

The Korthals Hard-topped Griffon, called the Korthals, for simplicity, results from the improvement of a very old type of dog, particularly in continental Europe, where it was very common.

The objective which led to the creation of this breed, indeed, had been to combine the qualities of the continental dogs; enduring, all terrain, versatile, maneuverable, hunting under the rifle and whose nose was sometimes a bit short; to those of the English stop dogs, of a great delicacy of nose, active, fast, ideal for hunting in plain.

To bring together "handymen", not really great sportsmen, on the one hand, and specialized and brilliant thoroughbreds, not necessarily adapted to the requirements of hunting on the continent, on the other hand, was it there an impossible task? We can say the opposite, since the project of Korthals and the "scribblers" who surrounded it succeeds even beyond what they had expected.

That a breed bears the name of a breeder is not common. Eduar Karel Korthals (1851 - 1896) was not anybody either. His father was a wealthy shipowner from Amsterdam who, it seems, had a definite interest in breeding, to the point that he favored his son's growing passion for hunting and dogs. So, when the time came, EK Korthals had no intention of taking over his father's business, which was very flourishing.

Like Sir Edward Laverack, the famous creator of the English Setter, he was to become one of the greatest canine breeders, as much by his views, very much ahead of those in his time, as by the experience he acquired on hunting grounds and kennels. Moreover, it was an open mind, honest, modest, whose correspondence shows that it was by no means dogmatic but that it sought constructive discussion. His maxim, "Do what you say, and say what you do", defines it well, as well as his approach, quite different from that commonly followed by any dog breeder, "who is not required to publish what 'he does in his back kitchen', according to the famous expression of A. Hublot du Rivault.

The young EK Korthals therefore hunted very early with Griffons, a type of dog spread in the Netherlands but also in many other countries, from Italy to Poland via France, where we knew particularly the Griffons d'Etampes and those of Boulogne. It is indeed a "type" rather than a race, because in the second half of the nineteenth century, these dogs were rather neglected, and formed a fairly heterogeneous population. Thus, some had a long hair, to the point that the confusion with the Barbet was frequent. Korthals nevertheless appreciated them for their ability to hunt in the most unfavorable circumstances (in the marsh). Who can do the most, can the least, also he undertook to improve their nose, their speed, their endurance, while preserving their specificity. It happened in 1873, in the family domain.

Four years later, deciding (at the age of twenty-six, therefore) that, really, business did not interest him, Korthals went to German friends in the horticultural region of Hesse. There, Baron Albert de Solms Braunfels entrusted him with the management of his kennel at Bibesheim; the most famous of Germany; composed mostly of English dogs, allowing him to continue parallel his own breeding Griffins. One may have the impression, given its future results, that Korthals had a preconceived idea, very precise, on the methods to be implemented to get the Griffins at the highest level. However, it is not so, and, moreover, Korthals did not hide anything of his work of selection.

On the appearance of his race, for example, he had no a priori: among the first specimens he called, there was a Barbet type dog, another woolly hair (type Boulet ) and a short-haired female. As for the miscegenation with English dogs (Pointers), Korthals did not recuse it until he had experienced it. Indeed, such crosses could first save time, but it turned out that they caused the Griffon to lose its "continental" characters. It is also known that seven subjects were retained by Korthals to found his lines. There too, it was not an intentional choice at first, but it turns out that these dogs were the only ones who, by their hunting skills and by their qualities of racer; which Korthals could not judge in the long run, on their descendants, gave him satisfaction. These "patriarchs" are called Banco, Hector, Janus, Satan, Donna, Juno and Mouche.

To achieve, in less than twenty years, to produce dogs able to challenge the British superiority while remaining continental, and this without ever having recourse to the English blood, Korthals proceeded to very close inbreeding couplings (one finds sometimes twenty times the same dog in certain pedigrees), but he saw no danger to the breed, because he considered his lineages as part of a truly international race, as an example, in a way. Moreover, he indulged in a ruthless selection: out of the six hundred dogs who passed through his kennels, he kept only sixty-two subjects, according to the terms of a letter addressed to Emmanuel Boulet, who, selecting a woolly-haired Griffin.

In addition, Korthals subjected his dogs to severe training, which Jean Castaing, in his essential book on the race (Ed de l'Orée), called "functional gymnastics": he made them work with wood, with the marsh and in the lowlands, in all weathers, luring them on all sorts of game, not hesitating to make them pursue the hare (which did not fail to make you talk, but it was, after all, only a required discipline in Germany).

The subjects obtained by this method (inbreeding, selection, training) extremely pragmatic were of such a quality that they amazed the specialists, in Germany, Belgium, the Netherlands, in France, as much by the amplitude and the speed their quest and the delicacy of their flair only by their versatility. The praiseworthy comments of the field-trials reports are proof of this.

In Germany, however, the sight of Korthals was worth some trouble for his successors. In fact, this enthusiast had not intended to "create" a new breed, regional or national, but to regenerate the old and international Griffon. Thus, in his mind, the "family" of Griffons he had brought to such a degree of perfection was only a model, likely to improve other families of the same race. Korthals put all his energy to defend this point of view: first, in agreement with other breeders, he wrote a standard, dated November 1887 (the text of today is always the same). Then, he developed a book of origins, the Griffon Hund Stammbuch (GSB), whose first volume appeared in 1889. This annual publication was not only a studbook, since, in addition to the origins of dogs, she mentioned their performances, judging in competitions and exhibitions, with photographic documents in support.

And in 1888, to manage all this information, Korthals created the Griffon Club, an international organization that was soon supplemented by other associations, given the growing number of scribblers: in 1895 the Griffon-Club for Germany was born. South and the Belgian Royal Griffon Club; as for the French Club, it was born in 1901, at the instigation of Ch. Prudhommeaux. Together they formed the "Club Cartel".

EK Korthals died prematurely in 1896, at the age of forty-five, but his ideas had made enough followers to survive him. Thus, the famous "tendency of the club" resumed exactly his thought: "The club is based on the principle that the hard-haired sting dog had been scattered for centuries on the surface of the continent, but was represented in very different forms. with variable and non-responding coat; as a result of his state of abandonment; the requirements of a pure and homogeneous breed. Several breeders have chosen, with the help of an appropriate selection, to reconstitute with these dogs the "hard hawk griffin" breed. The club is located from the point of view that the dogs which, under the name of "Korthal Griffins", have acquired a certain notoriety, the "griffons naked" of other origins raised in other countries and the "dogs German haired stitches "all present, in broad outline, the same typical characteristics and can therefore be considered to belong to the same breed, so that their mating; if breeders think they have recourse to it; should not be considered a misalliance, but quite the contrary, the resulting products should be considered as "hard-haired griffins". "

This principle certainly did not raise any objections in Belgium or France. In Germany, on the other hand, even if they were in number, the supporters of the Korthals met with a clear opposition. There were in the first place the partisans of a purely Germanic Griffin, such as Sichelhaar, which a Frankfort breeder, M. Bontant, had obtained by improving the old Beard-Sale of Hesse, and that some intransigents contrived to distinguish Korthals dogs (preferring a pungent hair, harder but much less bushy). There were also the advocates of racial interbreeding; for the hard hair may result from the union of a subject with short hair and another with woolly hair; who supported the Pudel Pointer (created from the Poodle and Pointer) and the Drahthaar (hard-haired version of the already famous German Pointer).

In short, many Germans did not want to let the "heirs" of Korthals annex this precious Griffon, whose versatility suited them perfectly. In 1907, Baron de Gingins, then at the head of the Griffon Club, managed well, however, to sign an agreement with the only breeders of Stichelhaar, excluding Pudel Pointer and Drahthaar, but, four years later, the agreement The two dogs parted to form two distinct races. Then came the war of 1914 - 1918. By force of things, the Griffon thus became French hair. The year 1919 saw the creation of the Book of origins of the Griffon (LOG), and, whereas, ten years before, this dog seemed to be promised to a very wide diffusion, the breeding of the Griffon was restricted to France and to Belgium. The Second World War struck the race very hard, because the risk of excessive consanguinity was at its maximum.

However, this powerful dog was not going to miss a new start. In 1951, to pay homage to the work of its creator, the name of Korthals was officially added to that of Griffon d'arrêt à poil dur. Currently, the Griffon Korthals knows in France a period of the most splendid. For example, this dog has distinguished himself at the world championship game shot in Yugoslavia (in 1980), and he became one of the stars among the continental breeds, both in the autumn fields and in the spring. The elite trialer serves as a "locomotive" for the entire race, whose strengths are regularly reinforced over the years.

Among the initiatives of the Active Breed Club to enhance the sporty and utilitarian image of the Griffon, we can highlight the development of introductory fields for the discovery of new talents, and a patent for the relationship with water that makes the breed the swamp specialist. Certainly, the Griffon Korthals, this new dog that has its roots in our old Europe, is preparing an illustrious future.

The Korthals Griffon is brave, in every sense of the word. At home, he is affectionate, kind, sociable, the great friend of the children. And he shows great courage when it comes to weathering the weather or defending the property.

Among the hunters and non-hunters, this dog has an extraordinary capital of sympathy, which he deserves amply. One is attracted by his good bearded and mustachioed, solid and faithful countryman. Its thick eyebrows let an intelligent and gentle look, where a spark sparkles when it comes to hunting or walks. This appearance perfectly reflects his character: frank, deeply attached to his family, knowing quickly distinguish friends and greet them as appropriate, but also able to be impressive and threatening to unwanted; it is a very attractive dog, in short. The only fault we could find is that if we neglect his coat, if we leave it under showers and mud, the hostess will eventually demand that we make him a niche at the outside or kennel. To be presentable, a Korthals needs to be crammed and treated regularly.

For his only qualities of companion, the Griffon can not disappear, but it is his gifts of hunter that are worth to him his good reputation. The buyer will have no difficulty in finding a subject from honorable lines of work; not to mention the elite specimens, of course; which gives him satisfaction.

"No one else can supplant the Griffon in the marsh," wrote J. Castaing. Indeed, the Korthals is primarily a marsh specialist, the privileged auxiliary of the waterfowl and the snipe, who appreciate its incredible resistance to the cold, the icy water, the north wind, even in winter, at the tired. He is a very good swimmer, a "researcher" who finds the bird's point of fall very well. Wild game is becoming more and more rare, and the Griffon is well known for hunting ducks, snipe and woodcock, our last wild birds, is a proof of its great abilities. To convince oneself of it, it is moreover only to see the number of Korthals who are authentic becassiers.

His passion for hunting and his rusticity make the Korthals a remarkable bushman, able to penetrate the bushiest bushes. But that does not prevent that the opinions are unanimous to say that it defends itself very well in plain. In addition, it is an outstanding retriever, easy to put in the report. The "master of Bibesheim" wanted a dog "for all hunters, to do it all, in all climates", too, although the best specialists of field-trials know how to draw the quintessence to bring it to the top, the Korthals It is perfectly suited to the average user, the practical hunt.

First, this born hunter stands up very well, declares himself early. We sometimes meet, we must not hide, sensitive subjects and others a stubborn strand, but we have never seen Korthals which we can not take advantage. A little firmness to discipline the frolicsome side of the youth, a good progressivity in training (for example, do not work the report, under the pretext that the dog lends itself, before having obtained in all circumstances the firmness of the judgment) will make it possible to overcome it. Seriously, he will acquire it later (at the same time as the beard). The main point, for those who want such a companion, is knowing how to choose, on the advice of a breeder who is himself a skilled hunter, a puppy of good origins, suitable to his own personality and his hunting skills.

The Griffon is a gallop, which can move from the steady pace, essential today in fields, the small gallop in practice hunting, or trotting, when the terrain requires it. (Remember that it is always possible to restrict "a generous nature" but the opposite is much more difficult.) His ample pursuit, well crossed, does not let any room, his nose is of great finesse. He is known for the firmness of his stops, taken length. He has an innate sense of hunting, he is passionate about all game. With him, versatility does not mean being average in all disciplines.

Deutsch

Franzõsischer rauhhaariger vorstehund Korthals
FCI-Standard Nr. 107

Ursprung
Frankreich
Übersetzung
Durch Dr.Paschoud an den neuen Standardtext angepasst / Offizielle Originalsprache (FR).
Gruppe
Gruppe 7 Vorstehhunde
Sektion
Sektion 1.3 Kontinentale Vorstehhunde, Typ « Griffon »
Arbeitsprüfung
Mit Arbeitsprüfung
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
Dienstag 07 Dezember 1954
Publikation des gültigen offiziellen Standards
Dienstag 01 August 2023
Letzten Aktualisierung
Dienstag 05 September 2023
En français, cette race se dit
Griffon d'arrêt à poil dur Korthals
In English, this breed is said
Wire-Haired pointing griffon Korthals
En español, esta raza se dice
Grifón de muestra de pelo duro
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Korthals Griffon

Verwendung

Vorwiegend vielseitiger Vorstehhund. Kann auch als Schweisshund zur Nachsuche auf verletztes Wild eingesetzt werden.

Kurzer geschichtlicher abriss

Bereits durch Xenophon erwähnt, als "Vogelhund" verwendet, ist er unter ve rschiedenen Namen überall in Europa vorhanden. Die Rasse wurde durch Inzucht, Auslese und Ausbildung ohne jede Zufuhr vo n Fremdblut im Laufe der zweiten Hälfte des 19.Jahrhunderts dur ch E.K.Korthals erneuert und verbessert. Seither sind die verschied enen nationalen Rasseklubs seinen Vorschriften treu geblieben.

Allgemeines erscheinungsbild

Mittelgrosser, kräftiger, widerstandsfähiger Hund. Er ist länger a ls hoch. Der Schädel ist nicht zu breit, der Fang ist lang und q uadratisch. Buschige Augenbrauen überlagern die dunkelgelben od er braunen Augen ohne sie zu decken; Bart und Schnurrbart sind gut entwickelt, verleihen ihm einen charakteristischen Ausdruck un d drücken Kraft und Entschlossenheit aus.

Verhalten / charakter (wesen)

Sanftmutig und stolz, ausgezeichneter Jäger, sehr stark an seinen Meister gebunden sowie an sein Territorium, welches er umsichtig bewacht; sehr sanft Kindern gegenüber.

Kopf

Oberkopf

Kopf
Gross und lang, mit rauhem, buschigem, aber nich t zu langem Haar; Schnurrbart, Bart und Augenbrauen aus geprägt.
Schädel
Nicht zu breit. Die oberen Begrenzungslin ien von Schädel und Fang sind parallel.  
Stop
Nicht zu stark betont.

Facial region

Nasenschwamm
Immer braun.
Fang
Lang und quadratisch; Nasenrücken leicht gew ölbt, gleich lang wie der Schädel.
Augen
Dunkelgelb oder braun, gross, rund, von den Augenbrauen überlagert aber nicht verdeckt. Ausdruck sehr intel ligent.
Ohren
Von mittlerer Grösse, nicht eingerollt, fl ach anliegend, auf Höhe der Augenlinie angesetzt; von kurzem Haar bede ckt, das mehr oder weniger mit längeren Haaren vermischt ist.

Hals

Von mittlerer Länge; ohne Wamme.

Körper

Allgemeinheit
Eindeutig länger als die Widerristhöhe (1 Zwanzi gstel bis 1 Zehntel).
Rücken
Kräftig.
Lenden
Gut entwickelt.
Brust
Tief; nicht zu breit; Rippen leicht gewölbt .

Rute

Horizontal oder mit leicht erhobener Spitze getr agen; buschig behaart, aber ohne Fransen. Generell um ein Drittel oder ein Viertel kupiert. Wenn nicht kupiert, soll die Rute horizontal mit leicht erhobener Spitze getragen werden.

Gliedmassen

Vorderhand

Allgemeines
Vorderläufe gerade, kräftig, buschig b ehaart, in der Bewegung schön parallel.
Schultern
Gut anliegend, eher lang, sehr schräg.

Hinterhand

Allgemeines
Buschig behaart.
Oberschenkel
Lang und gut bemuskelt.
Sprunggelenk
Gut gewinkelt.

Pfoten

Rund, kräftig, mit gut gewölbten un d eng aneinanderliegenden Zehen.

Gangwerk

Auf der Jagd herrscht der Galopp vor, unterbroch en durch Trab. Der Trab ist weitgreifend. Das Anpirsch en ist katzenartig.

Coat

Haar
Hart und derb, erinnert beim Anfassen an Wild schweinborsten; nie gelockt oder wollig. Unter dem harten Deckhaar befindet sich eine feine und dichte Unterwolle.
Farbe
Vorzugsweise Stahlgrau mit kastanienbraunen Flecken oder einfarbig kastanienbraun, oft kastanienbraun mit Be imischung von weissen Haaren oder gestichelt; gleichermassen zul ässige Fellfarben sind weiss und kastanienbraun, und weiss und orange .

Grösse und gewicht

Widerristhöhe
Rüden ca. 55 bis 60 cm. Hündinnen ca. 50 bis 55 cm.

Fehler

• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden.

Disqualifizierende fehler

 Aggressive oder ubermässig ängstliche Hunde.

NB :

• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden.

Bibliografie

http://www.fci.be/

 

Detaillierter Verlauf

Der Korthals Hard-toped Griffon, der Korthals genannt wird, resultiert aus der Verbesserung einer sehr alten Art von Hund, besonders in Kontinentaleuropa, wo es sehr üblich war.

Das Ziel, das zur Schaffung dieser Rasse führte, war tatsächlich, die Qualitäten der kontinentalen Hunde zu kombinieren; ausdauernd, geländegängig, vielseitig, wendig, Jagd unter dem Gewehr und dessen Nase manchmal etwas kurz war; zu denen der englischen Stopp Hunde, von einer großen Zartheit der Nase, aktiv, schnell, ideal für die Jagd in der Ebene.

"Heimwerker" zusammenzubringen, nicht wirklich große Sportler einerseits und spezialisierte und brillante Vollblüter, die nicht unbedingt den Bedürfnissen der Jagd auf dem Kontinent angepasst waren, andererseits, war es dort eine unmögliche Aufgabe? Wir können das Gegenteil behaupten, da das Projekt von Korthals und den "Scribblers", die es umgaben, sogar über das hinausging, was sie erwartet hatten.

Dass eine Rasse den Namen eines Züchters trägt, ist nicht üblich. Eduar Karel Korthals (1851 - 1896) war auch keiner. Sein Vater war ein wohlhabender Reeder aus Amsterdam, der anscheinend ein Interesse an der Zucht hatte, so dass er die wachsende Leidenschaft seines Sohnes für Jagd und Hunde bevorzugte. Als die Zeit gekommen war, hatte EK Korthals nicht die Absicht, das Geschäft seines Vaters zu übernehmen, das sehr blühte.

Wie Sir Edward Laverack, der berühmte Schöpfer des englischen Setter, sollte er einer der größten Hundezüchter werden, sowohl nach seinen Ansichten, als auch nach seiner Erfahrung erworben in Jagdgebieten und Zwingern. Außerdem war es offen, ehrlich und bescheiden, und seine Korrespondenz zeigt, dass es keineswegs dogmatisch war, sondern eine konstruktive Diskussion suchte. Seine Maxime "Tu, was du sagst und sagst, was du tust", definiert es gut, ebenso wie seine Herangehensweise, ganz anders als die, die üblicherweise von jedem Hundezüchter verfolgt wird, "der nicht verpflichtet ist, was zu veröffentlichen "Er tut in seiner hinteren Küche", nach dem berühmten Ausdruck von A. Hublot du Rivault.

Der junge EK Korthals jagte daher sehr früh mit Griffons, einer Art Hund, der in den Niederlanden, aber auch in vielen anderen Ländern, von Italien bis Polen über Frankreich verbreitet wurde, wo wir besonders die Griffons d'Etampes und jene von Boulogne. Es ist in der Tat eher ein "Typ" als eine Rasse, denn in der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts waren diese Hunde eher vernachlässigt und bildeten eine ziemlich heterogene Population. So hatten einige ein langes Haar, zu dem Punkt, dass die Verwirrung mit dem Barbet häufig war. Korthals schätzte sie dennoch für ihre Fähigkeit, unter ungünstigsten Umständen (im Sumpf) zu jagen. Wer am meisten kann, kann sich wenigstens dazu verpflichten, ihre Nase, ihre Schnelligkeit, ihre Ausdauer zu verbessern und dabei ihre Spezifität zu bewahren. Es geschah 1873 im Familienbereich.

Vier Jahre später entschied Korthals (im Alter von sechsundzwanzig Jahren also), dass ihn das Geschäft eigentlich nicht interessierte, Korthals ging zu deutschen Freunden im Gartenbaugebiet Hessen. Dort beauftragte ihn Baron Albert de Solms Braunfels mit der Leitung seines Zwingers in Bibesheim; der berühmteste von Deutschland; besteht hauptsächlich aus englischen Hunden, die ihm erlauben, seine eigene Zucht Griffins parallel fortzusetzen. Man könnte den Eindruck haben, dass Korthals angesichts seiner zukünftigen Ergebnisse eine vorgefasste, sehr präzise Vorstellung von den Methoden hatte, um die Griffins auf die höchste Stufe zu bringen. Es ist jedoch nicht so, und außerdem hat Korthals nichts von seiner Auswahlarbeit versteckt.

Beim Auftreten seiner Rasse hatte er zum Beispiel kein a priori: unter den ersten Exemplaren, die er nannte, gab es einen Hund vom Barbet-Typ, ein anderes wolliges Haar (Boulet-Typ). ) und eine kurzhaarige Frau. Was die Vermischung mit englischen Hunden (Pointers) anbelangt, so hat Korthals es nicht zurückgenommen, bis er es erfahren hat. Tatsächlich konnten solche Kreuze zuerst Zeit sparen, aber es stellte sich heraus, dass sie den Griffon dazu brachten, seine "kontinentalen" Charaktere zu verlieren. Es ist auch bekannt, dass sieben Personen von Korthals behalten wurden, um seine Linien zu gründen. Auch hier war es zunächst keine absichtliche Entscheidung, aber es stellte sich heraus, dass diese Hunde die einzigen waren, die durch ihre Jagdfähigkeiten und ihre Rennfahrer-Qualitäten überzeugt waren. was Korthals auf lange Sicht nicht beurteilen konnte, gab ihm Befriedigung. Diese "Patriarchen" heißen Banco, Hector, Janus, Satan, Donna, Juno und Mouche.

Um in weniger als zwanzig Jahren Hunde zu produzieren, die die britische Überlegenheit in Frage stellen können, während sie kontinental bleiben, und ohne jemals auf das englische Blut zurückzugreifen, ging Korthals sehr nahe an Inzuchtkopplungen heran (man findet manchmal zwanzig Mal derselbe Hund in bestimmten Stammbäumen), aber er sah keine Gefahr für die Rasse, weil er seine Linien als Teil eines wirklich internationalen Rennens betrachtete, als ein Beispiel in gewisser Weise. Überdies gab er sich einer rücksichtslosen Auswahl hin: Von den sechshundert Hunden, die seinen Zwinger durchliefen, behielt er nur zweiundsechzig Subjekte, gemäß den Bedingungen eines Briefes an Emmanuel Boulet, der , einen wollhaarigen Griffin auswählend.

Außerdem unterzog Korthals seine Hunde einer strengen Ausbildung, die Jean Castaing in seinem wesentlichen, der Rasse gewidmeten Buch (Ed de l'Orée) "funktionelle Gymnastik" nannte: Er ließ sie mit Holz, mit dem Sumpf und im Tiefland, bei jedem Wetter, lockte sie in alle möglichen Arten von Wild, zögerte nicht, sie dazu zu bringen, den Hasen zu verfolgen (was dich nicht zum Reden brachte, aber es war schließlich nur eine erforderliche Disziplin in Deutschland).

Die mit dieser Methode (Inzucht, Selektion, Ausbildung) gewonnenen Fächer waren äußerst pragmatisch und von solcher Qualität, dass sie die Spezialisten in Deutschland, Belgien, den Niederlanden, in Frankreich sowohl durch die Amplitude als auch durch die Geschwindigkeit erstaunten ihre Suche und die Zartheit ihres Flairs nur durch ihre Vielseitigkeit. Die lobenswerten Kommentare aus den Feldversuchen belegen dies.

In Deutschland jedoch war der Anblick von Korthals für seine Nachfolger etwas Mühe wert. Tatsächlich hatte dieser Enthusiast nicht vorgehabt, eine neue Rasse, regional oder national, zu schaffen, sondern den alten und internationalen Griffon zu regenerieren. So war die "Familie" von Griffons, die er zu solch einem Grad an Perfektion gebracht hatte, nur ein Modell, wahrscheinlich, um andere Familien derselben Rasse zu verbessern. Korthals setzte alles daran, diesen Standpunkt zu verteidigen: zuerst schrieb er im Einvernehmen mit anderen Züchtern einen Standard vom November 1887 (der Text von heute ist immer derselbe). Dann entwickelte er ein Ursprungsbuch, den Griffon Hund Stammbuch (GSB), dessen erster Band 1889 erschien. Diese jährliche Publikation war nicht nur ein Zuchtbuch, da neben den Ursprüngen der Hunde auch sie erwähnte ihre Aufführungen, urteilte in Wettbewerben und Ausstellungen, mit fotografischen Dokumenten zur Unterstützung.

Und um diese Informationen zu verwalten, gründete Korthals 1888 den Griffon Club, eine internationale Organisation, die aufgrund der wachsenden Zahl von Schreibern bald durch andere Verbände ergänzt wurde: 1895 wurde der Griffon-Club für Deutschland gegründet. Süd und der belgische Royal Griffon Club; Der französische Club wurde 1901 auf Veranlassung von Ch. Prudhommeaux gegründet. Zusammen bildeten sie das "Club Cartel".

EK Korthals starb 1896 im Alter von fünfundvierzig Jahren, aber seine Ideen hatten genug Anhänger gefunden, um ihn zu überleben. So nahm die berühmte "Tendenz des Klubs" genau seinen Gedanken wieder auf: "Der Verein beruht auf dem Prinzip, dass der stachelige Stachelhund jahrhundertelang auf der Oberfläche des Kontinents verstreut gewesen sei, aber in sehr unterschiedlichen Formen dargestellt wurde. mit variablem und nicht reagierendem Fell; als Folge seines Zustands der Verlassenheit; die Anforderungen einer reinen und homogenen Rasse. Mehrere Züchter haben mit Hilfe einer entsprechenden Auswahl beschlossen, mit diesen Hunden die Rasse "Hard Hawk Griffin" zu rekonstituieren. Der Club ist aus der Sicht, dass die Hunde, die unter dem Namen "Korthal Griffins", eine gewisse Bekanntheit erlangt haben, die "grippons nackt" anderer Herkunft in anderen Ländern und die "Hunde Deutschhaarstiche "haben alle in groben Umrissen die gleichen typischen Merkmale und können daher als zu derselben Rasse gehörend angesehen werden, so dass ihre Paarung; wenn Züchter denken, dass sie darauf zurückgreifen; sollte nicht als Fehlallianz betrachtet werden, aber im Gegenteil, die resultierenden Produkte sollten als "harthaarige Greife" betrachtet werden. "

Dieser Grundsatz hat in Belgien und Frankreich sicherlich keine Einwände erhoben. In Deutschland dagegen stießen die Anhänger der Korthals, selbst wenn sie an der Zahl waren, auf eine deutliche Opposition. Da waren in erster Linie die Partisanen eines rein germanischen Griffins, wie Sichelhaar, den ein Frankfurter Züchter, M. Bontant, durch Verbesserung des alten Hessischen Hasenbetriebes erhalten hatte, und das einige Unversöhnliche begriffen hatten Korthals Hunde (bevorzugen ein stechendes Haar, härter, aber viel weniger buschig). Es gab auch Befürworter der Rassenkreuzung; denn das harte Haar kann aus der Vereinigung eines Subjekts mit kurzem Haar und eines anderen mit wolligem Haar resultieren; die den Pudel Pointer (aus dem Pudel und Pointer) und den Drahthaar (die harthaarige Version des bereits bekannten deutschen Pointers) unterstützt haben.

Kurz gesagt, viele Deutsche wollten die "Erben" von Korthals den wertvollen Griffon, dessen Vielseitigkeit ihnen vollkommen entsprach, nicht anhängen. Im Jahr 1907 gelang es Baron de Gingins, damals an der Spitze des Griffon Clubs, eine Vereinbarung mit den einzigen Züchtern von Stichelhaar zu unterzeichnen, mit Ausnahme von Pudel Pointer und Drahthaar, aber vier Jahre später die Vereinbarung Die zwei Hunde trennten sich, um zwei verschiedene Rassen zu bilden. Dann kam der Krieg von 1914 - 1918. Durch Gewalt der Dinge wurde der Griffon so zu französischem Haar. Im Jahr 1919 wurde das Ursprungsbuch des Griffons (LOG) geschaffen, und obwohl diesem Hund vor zehn Jahren eine sehr weite Verbreitung versprochen wurde, beschränkte sich die Zucht des Griffons auf Frankreich und nach Belgien. Der Zweite Weltkrieg hat das Rennen sehr hart getroffen, weil das Risiko übermäßiger Blutsverwandtschaft am größten war.

Dieser kraftvolle Hund würde jedoch keinen Neuanfang verpassen. Um dem Werk seines Schöpfers zu huldigen, wurde der Name Korthals 1951 offiziell zu Griffon d'arrêt à poil dur hinzugefügt. Zurzeit kennt der Griffon Korthals in Frankreich eine Zeit des Prächtigsten. Zum Beispiel hat sich dieser Hund beim Weltmeisterschaftsspiel in Jugoslawien (1980) ausgezeichnet, und er wurde einer der Stars unter den kontinentalen Rassen, sowohl auf den Herbstfeldern als auch im Frühling. Der Elite-Trial dient als "Lokomotive" für das gesamte Rennen, dessen Stärken im Laufe der Jahre regelmäßig verstärkt werden.

Unter den Initiativen des Active Breed Club, um das sportliche und utilitaristische Image des Griffon zu fördern, können wir die Entwicklung von Einführungsfeldern für die Entdeckung neuer Talente und ein Patent für die Beziehung mit Wasser hervorheben macht die Rasse zum Sumpfspezialisten. Sicher, der Griffon Korthals, dieser neue Hund, der seine Wurzeln in unserem alten Europa hat, bereitet eine illustre Zukunft vor.

Der Korthals Griffon ist im wahrsten Sinne des Wortes mutig. Zu Hause ist er liebevoll, freundlich, gesellig, der große Freund der Kinder. Und er zeigt großen Mut, wenn es darum geht, das Wetter zu überstehen oder das Anwesen zu verteidigen.

Unter den Jägern und Nichtjägern hat dieser Hund eine außerordentliche Hauptstadt der Sympathie, die er reichlich verdient. Man ist angezogen von seinem guten bärtigen und schnauzbärtigen, soliden und treuen Landsmann. Seine dicken Augenbrauen lassen ein intelligentes und sanftes Aussehen, wo ein Funken funkelt, wenn es um Jagd oder Spaziergänge geht. Diese Erscheinung spiegelt perfekt seinen Charakter wider: Offenherzig, tief verbunden mit seiner Familie, wissend, schnell Freunde zu unterscheiden und sie als passend zu begrüßen, aber auch in der Lage zu sein, eindrucksvoll zu sein und zu unerwünscht zu drohen; es ist ein sehr attraktiver Hund, kurz gesagt. Der einzige Fehler, den wir finden könnten, ist, dass, wenn wir seinen Mantel vernachlässigen, wenn wir ihn unter Duschen und Schlamm verlassen, die Gastgeberin schließlich verlangen wird, dass wir ihm eine Nische am machen draußen oder Zwinger. Um präsentabel zu sein, muss ein Korthals regelmäßig gestopft und behandelt werden.

Für seine einzigen Qualitäten als Gefährte kann der Griffon nicht verschwinden, aber es sind seine Jägergeschenke, die ihm seinen guten Ruf wert sind. Der Käufer wird keine Schwierigkeiten haben, ein Thema von ehrenhaften Linien der Arbeit zu finden; ganz zu schweigen von den Elite-Exemplaren natürlich; was ihm Befriedigung gibt.

"Niemand kann den Griffon im Sumpf ersetzen", schrieb J. Castaing. In der Tat ist der Korthals in erster Linie ein Sumpfspezialist, der privilegierte Helfer der Wasservögel und der Schnepfen, die seine unglaublichen Widerstand gegen die Kälte, das eisige Wasser, den Nordwind, auch im Winter, an der Müdigkeit. Er ist ein sehr guter Schwimmer, ein "Forscher", der den Fall des Vogels sehr gut findet. Wild wird immer seltener, und der Griffon ist bekannt für die Jagd auf Enten, Schnepfen und Waldschnepfen, unsere letzten Wildvögel, ist ein Beweis für seine großen Fähigkeiten. Um sich davon zu überzeugen, ist es auch nur die Anzahl der Korthals, die authentische Barkassen sind.

Seine Leidenschaft für die Jagd und seine Rustikalität machen den Korthals zu einem bemerkenswerten Buschmann, der in der Lage ist, in die buschigsten Büsche einzudringen. Aber das hindert nicht, dass die Meinungen einstimmig sagen, dass es sich sehr gut klar verteidigt. Darüber hinaus ist es ein hervorragender Apportierhund, leicht in den Bericht einzufügen. Der "Meister von Bibesheim" wollte einen Hund "für alle Jäger, um alles zu machen, in allen Klimazonen", auch wenn die besten Spezialisten von Feldversuchen die Quintessenz zeichnen, um sie an die Spitze zu bringen, die Korthals Es ist perfekt für den durchschnittlichen Benutzer, die praktische Jagd geeignet.

Erstens steht dieser geborene Jäger sehr gut auf, erklärt sich früh. Wir treffen uns manchmal, wir dürfen uns nicht verstecken, sensible Themen und andere sind ein hartnäckiger Strang, aber wir haben Korthals nie gesehen, die wir nicht ausnutzen können. Ein wenig Entschlossenheit, die scherzhafte Seite der Jugend zu disziplinieren, eine gute Progressivität in der Ausbildung (zum Beispiel, arbeiten Sie nicht den Bericht, unter dem Vorwand, dass der Hund sich dazu eignet, bevor er in allen Umständen Festigkeit gewonnen hat des Urteils) wird es möglich machen, es zu überwinden. Im Ernst, er wird es später erwerben (gleichzeitig mit dem Bart). Der wichtigste Punkt für diejenigen, die einen solchen Begleiter wünschen, ist das Wissen, wie man auf Anraten eines Züchters, der selbst ein geschickter Jäger ist, einen Welpen mit gutem Ursprung auswählt, der für seine eigene Persönlichkeit und seine Jagdfähigkeiten geeignet ist.

Der Griffon ist ein Galopp, der sich aus dem stetigen Tempo bewegen kann, das heute auf den Feldern unentbehrlich ist, dem kleinen Galopp in der Praxis beim Jagen oder Trabfahren, wenn das Gelände es erfordert. (Denken Sie daran, dass es immer möglich ist, "eine großzügige Natur" einzuschränken, aber das Gegenteil ist viel schwieriger.) Seine große Verfolgung, gut gekreuzt, lässt keinen Raum, seine Nase ist groß Finesse. Er ist bekannt für die Festigkeit seiner Haltestellen, Länge genommen. Er hat einen angeborenen Sinn für die Jagd, er ist leidenschaftlich für alles Spiel. Vielseitigkeit heißt bei ihm nicht, in allen Disziplinen durchschnittlich zu sein.

Español

Grifón de muestra de pelo duro
FCI Standard No. 107

Origen
Francia
Traducción
Iris Carrillo (Federación Canófila de Puerto Rico)
Grupo
Grupo 7 Perros de muestra
Sección
Sección 1.3 Perros de muestra continentales, tipo «Grifón»
Prueba de trabajo
Con prueba de trabajo
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
martes 07 diciembre 1954
Publicación del estándar oficial válido
martes 01 agosto 2023
Última actualización
martes 05 septiembre 2023
En français, cette race se dit
Griffon d'arrêt à poil dur Korthals
In English, this breed is said
Wire-Haired pointing griffon Korthals
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Franzõsischer rauhhaariger vorstehund Korthals
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Korthals Griffon

Utilizacion

Este es esencialmente un perro de muestra polivalente. Se le utiliza también para buscar el rastro de la caza mayor herida.

Breve resumen historico

Ya Xénophon lo había dado a conocer y se le utilizaba en la cacería de aves de caza. Estaba diseminado por toda Europa con diferentes nombres. Durante la segunda mitad del siglo 19, E. K. Korthals mejoró y renovó la raza por consanguinidad, selección y adiestramiento sin ninguna aportación de sangre extranjera. Desde entonces, los distintos clubes nacionales han sido fieles a sus preceptos.

Aspecto general

Es un perro vigoroso, rústico, de tamaño mediano. Es más largo que alto. El cráneo no es muy amplio, el hocico es largo y cuadrado. Sobre los ojos color amarillo oscuro o color pardo, se observan unas cejas enmarañadas que no llegan a cubrirlos completamente. Los bigotes y la barba est án bien desarrollados y le imparten al animal una expresión característica que denota firmeza y seguridad.

Temperamento / comportamiento

Manso, altivo, excelente cazador. Es muy apegado a su amo y a su territorio, que cuida con diligencia. Es muy afable con los niños.

Cabeza

Region craneal

Cabeza
Es grande y larga. Está cubierta de pelo áspero y abundante, aunque no muy largo. Los bigotes, la barba y las cejas son bien pronunciados.
Cráneo
No muy ancho. Las líneas del cráneo y de la caña nasal son paralelas.  
Depresión naso-frontal (stop)
No muy pronunciada.

Facial region

Trufa
Es siempre de color pardo.
Hocico
Largo y cuadrado. La caña nasal es ligerame nte arqueada y tiene la misma longitud que el cráneo.
Ojos
De color amarillo oscuro o pardos. Son grande s y redondos, las cejas son abundantes, pero no los cubren. Su expres ión es inteligente.
Orejas
De tamaño mediano, no son dobladas. Son planas y contiguas a la cara; su inserción se encuentra a la altura de la línea del ojo; el pelo corto que las cubre está mezclado con pelos más largos.

Cuello

Medianamente largo. No hay presencia de papada.

Cuerpo

Generalidad
Su longitud es visiblemente superior a la de la altura de la cruz. (De 1/20 a 1/10).
Espalda
Fuerte.
Lomo
Bien desarrollo.
Pecho
Amplio, no muy ancho. Las costillas son lige ramente arqueadas.

Cola

Se presenta horizontalmente o con la extremidad ligeramente levantada. El pelo es abundante, pero sin penacho. La cola debe recortarse por lo general en un tercio oun cuarto. Si no es recortada, debe presentarse de forma horizontal, con la extremidad ligeramente levantada.

Extremidades

Miembros anteriores

Generalidad
Rectos, poderosos y de pelo abundante. Cuando el perro está en acción se presentan paralelos.
Hombro
Bien aplicados al cuerpo. Son más bien lar gos y muy oblicuos.

Miembros posteriores

Generalidad
Cubiertos de pelo abundante.
Muslo
Largos y bien musculosos.
Corvejón
Bien acodados.

Pies

Redondos, firmes. Los dedos están bien juntos y arqueados.

Movimiento

El paso durante la caza es el galope, que es interrumpido por períodos de trote. El trote es alargado. El perro se desliza "a lo felino".

Manto

Pelo
Es duro y áspero. Al tacto, parece pelo de jabalí. Nunca rizado, ni lanudo. Bajo el pelo duro de la capa externa se observa un vello fino y apretado.
Color
Preferentemente gris acero con manchas castañas o color castaño uniforme. Con frecuencia es color castaño rubicán o roano. También se aceptan los pelajes blanco y castaño y blanco y naranja.

Tamaño y peso

Altura a la cruz
En los machos: 55 a 60 cm; en las hembras: 50 a 55 cm.

Faltas

• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad.

Faltas descalificantes:

 Agresividad o extrema timidez.

NB :

• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza.

Bibliografía

http://www.fci.be/

 

Historia detallada

El Korthals Hard-topped Griffon, llamado Korthals, por simplicidad, resulta de la mejora de un tipo de perro muy antiguo, particularmente en Europa continental, donde era muy común.

El objetivo que condujo a la creación de esta raza, de hecho, había sido combinar las cualidades de los perros continentales; perdurable, todo terreno, versátil, maniobrable, cazando bajo el rifle y cuya nariz a veces era un poco corta; a los de los perros de parada ingleses, de una gran delicadeza de nariz, activo, rápido, ideal para cazar en llano.

Para reunir "handymen", no realmente grandes deportistas, por un lado, y purasangres especializados y brillantes, no necesariamente adaptados a los requisitos de la caza en el continente, por otro lado, estaba allí una tarea imposible? Podemos decir lo contrario, ya que el proyecto de Korthals y los "escritores" que lo rodearon tuvo éxito incluso más de lo que esperaban.

Que una raza lleva el nombre de un criador no es común. Eduar Karel Korthals (1851 - 1896) tampoco era nadie. Su padre era un armador rico de Amsterdam que, al parecer, tenía un interés definido en la crianza, hasta el punto de favorecer la creciente pasión de su hijo por la caza y los perros. Entonces, cuando llegó el momento, EK Korthals no tenía intención de hacerse cargo del negocio de su padre, que era muy floreciente.

Al igual que Sir Edward Laverack, el famoso creador del Setter inglés, se convertiría en uno de los mejores criadores de perros, tanto por su punto de vista, muy por delante de los de su época, como por la experiencia que tuvo. adquirido en terrenos de caza y perreras. Además, era una mente abierta, honesta, modesta, cuya correspondencia muestra que no era de ninguna manera dogmática sino que buscaba una discusión constructiva. Su máxima, "Haz lo que dices, y di lo que haces", lo define bien, así como su enfoque, bastante diferente del seguido comúnmente por cualquier criador de perros, "que no está obligado a publicar lo que 'lo hace en la cocina de atrás', según la famosa expresión de A. Hublot du Rivault.

Los jóvenes EK Korthals cazaron muy pronto con Griffons, un tipo de perro diseminado en los Países Bajos pero también en muchos otros países, desde Italia hasta Polonia pasando por Francia, donde conocimos particularmente el Griffons d'Etampes y los de Boulogne. De hecho, es un "tipo" en lugar de una raza, porque en la segunda mitad del siglo XIX, estos perros fueron bastante descuidados, y formaron una población bastante heterogénea. Por lo tanto, algunos tenían un cabello largo, hasta el punto de que la confusión con el Barbet era frecuente. Sin embargo, los korthals los apreciaron por su habilidad para cazar en las circunstancias más desfavorables (en el pantano). Quién puede hacer más, menos puede, también se comprometió a mejorar su nariz, su velocidad, su resistencia, preservando su especificidad. Sucedió en 1873, en el dominio de la familia.

Cuatro años más tarde, al decidir (a la edad de veintiséis años, por tanto) que, realmente, los negocios no le interesaban, Korthals fue con amigos alemanes en la región hortícola de Hesse. Allí, el barón Albert de Solms Braunfels le encomendó la administración de su criadero en Bibesheim; el más famoso de Alemania; compuesto principalmente de perros ingleses, lo que le permite continuar paralelo a su propia cría Griffins. Uno puede tener la impresión, dado sus resultados futuros, de que Korthals tenía una idea preconcebida, muy precisa, sobre los métodos que se implementarían para llevar a los Griffins al más alto nivel. Sin embargo, no es así, y, además, Korthals no ocultó nada de su trabajo de selección.

En el aspecto de su raza, por ejemplo, no tenía a priori: entre los primeros especímenes que llamó, había un perro tipo Barbet, otro pelo lanoso (tipo Boulet). ) y una mujer de pelo corto. En cuanto al mestizaje con perros ingleses (punteros), Korthals no lo recusó hasta que lo haya experimentado. De hecho, tales cruces podrían primero ahorrar tiempo, pero resultó que causaron que el Griffon perdiera sus caracteres "continentales". También se sabe que siete sujetos fueron retenidos por Korthals para fundar sus líneas. También allí, no fue una elección intencional al principio, pero resulta que estos perros fueron los únicos que, por sus habilidades de caza y por sus cualidades de piloto; lo que Korthals no pudo juzgar en el largo plazo, en sus descendientes, le dio satisfacción. Estos "patriarcas" se llaman Banco, Héctor, Janus, Satanás, Donna, Juno y Mouche.

Para lograr, en menos de veinte años, producir perros capaces de desafiar la superioridad británica sin dejar de ser continentales, y esto sin haber recurrido a la sangre inglesa, Korthals procedió a acoplamientos endogámicos muy cercanos (uno encuentra a veces veinte veces) el mismo perro en ciertos pedigríes), pero no vio ningún peligro para la raza, porque consideró sus linajes como parte de una raza verdaderamente internacional, como un ejemplo, en cierto modo. Además, se entregó a una despiadada selección: de los seiscientos perros que pasaron por sus perreras, mantuvo solo sesenta y dos sujetos, según los términos de una carta dirigida a Emmanuel Boulet, quien , seleccionando un Griffin de pelo lanudo.

Además, Korthals sometió a sus perros a un entrenamiento severo, que Jean Castaing, en su libro esencial sobre la raza (Ed de l'Orée), llamó "gimnasia funcional": los hizo trabajar con madera, con el pantano y en las tierras bajas, en todos los climas, atrayéndolos en todo tipo de juegos, sin vacilar en hacerlos perseguir a la liebre (lo cual no dejó de hacer que hablases, pero era, después de todo, solo una disciplina requerida en Alemania).

Los sujetos obtenidos por este método (endogamia, selección, entrenamiento) extremadamente pragmático fueron de tal calidad que asombraron a los especialistas, en Alemania, Bélgica, Países Bajos, en Francia, tanto por la amplitud y la velocidad su búsqueda y la delicadeza de su estilo solo por su versatilidad. Los comentarios encomiables de los informes de ensayos de campo son prueba de esto.

En Alemania, sin embargo, la visión de Korthals valió la pena para sus sucesores. De hecho, este entusiasta no tenía la intención de "crear" una nueva raza, regional o nacional, sino de regenerar el Griffon antiguo e internacional. Por lo tanto, en su mente, la "familia" de Grifones que él había llevado a tal grado de perfección era solo un modelo, que probablemente mejoraría a otras familias de la misma raza. Korthals puso toda su energía para defender este punto de vista: primero, de acuerdo con otros criadores, escribió un estándar con fecha de noviembre de 1887 (el texto de hoy es siempre el mismo). Luego, desarrolló un libro de orígenes, el Griffon Hund Stammbuch (GSB), cuyo primer volumen apareció en 1889. Esta publicación anual no era solo un studbook, ya que, además de los orígenes de los perros, mencionó sus actuaciones, juzgando en concursos y exposiciones, con documentos fotográficos de apoyo.

Y en 1888, para administrar toda esta información, Korthals creó el Griffon Club, una organización internacional que pronto fue complementada por otras asociaciones, dado el creciente número de escribas: en 1895 nació el Griffon-Club for Germany. South y el belga Royal Griffon Club; en cuanto al Club Francés, nació en 1901, por instigación del Ch. Prudhommeaux. Juntos formaron el "Club Cartel".

EK Korthals murió prematuramente en 1896, a la edad de cuarenta y cinco años, pero sus ideas habían hecho suficientes seguidores para sobrevivir. Por lo tanto, la famosa "tendencia del club" resumió exactamente su pensamiento: "El club se basa en el principio de que el perro de pelo duro se había dispersado durante siglos en la superficie del continente, pero se representó en formas muy diferentes. con pelaje variable y sin respuesta; como resultado de su estado de abandono; los requisitos de una raza pura y homogénea. Varios criadores han elegido, con la ayuda de una selección adecuada, para reconstituir con estos perros la raza "halcón duro". El club se ubica desde el punto de vista de que los perros que, bajo el nombre de "Korthal Griffins", han adquirido cierta notoriedad, los "grifones desnudos" de otros orígenes criados en otros países y los "perros" Las puntadas de pelo alemanas "todas tienen, a grandes rasgos, las mismas características típicas y, por lo tanto, pueden considerarse pertenecientes a la misma raza, de modo que su apareamiento; si los criadores creen que pueden recurrir a ella; no debe considerarse una mala alianza, sino todo lo contrario, los productos resultantes deben considerarse como "grifos de pelo duro".

Este principio ciertamente no planteó ninguna objeción en Bélgica o Francia. En Alemania, por otro lado, incluso si fueron en número, los partidarios de los Korthals se encontraron con una clara oposición. Hubo en primer lugar los partidarios de un Griffin puramente germánico, como Sichelhaar, que un criador de Frankfort, M. Bontant, había obtenido mejorando la antigua Barba-Venta de Hesse, y que algunos intransigentes lograron distinguir Perros de Korthals (prefiriendo un pelo acre, más duro pero mucho menos tupido). También hubo defensores del mestizaje racial; porque el cabello duro puede resultar de la unión de un sujeto con pelo corto y otro con cabello lanoso; quién apoyó el Pudel Pointer (creado a partir del Poodle and Pointer) y el Drahthaar (versión dura del ya famoso German Pointer).

En resumen, muchos alemanes no querían dejar que los "herederos" de Korthals anexen a este precioso Griffon, cuya versatilidad les convenía perfectamente. En 1907, el Barón de Gingins, a la cabeza del Griffon Club, logró, sin embargo, firmar un acuerdo con los únicos criadores de Stichelhaar, excepto Pudel Pointer y Drahthaar, pero, cuatro años después, el acuerdo Los dos perros se separaron para formar dos razas distintas. Luego vino la guerra de 1914 - 1918. Por la fuerza de las cosas, el Grifo se convirtió en pelo francés. El año 1919 vio la creación del Libro de los orígenes del Grifo (REGISTRO), y, mientras que, diez años antes, este perro parecía ser prometido a una difusión muy amplia, la cría del Grifo se restringió a Francia y a Bélgica. La Segunda Guerra Mundial golpeó la carrera muy duro, porque el riesgo de una excesiva consanguinidad estaba en su punto máximo.

Sin embargo, este poderoso perro no iba a perderse un nuevo comienzo. En 1951, para rendir homenaje al trabajo de su creador, el nombre de Korthals se agregó oficialmente al de Griffon d'arrêt à poil dur. Actualmente, Griffon Korthals conoce en Francia un período de lo más espléndido. Por ejemplo, este perro se ha distinguido en el juego de campeonato mundial en Yugoslavia (en 1980), y se convirtió en una de las estrellas entre las razas continentales, tanto en los campos de otoño como en la primavera. El trialer de élite sirve como una "locomotora" para toda la carrera, cuyas fortalezas se refuerzan regularmente a lo largo de los años.

Entre las iniciativas del Active Breed Club para mejorar la imagen deportiva y utilitaria del Griffon, podemos destacar el desarrollo de campos introductorios para el descubrimiento de nuevos talentos, y una patente para la relación con el agua que hace que la raza sea el especialista en pantano. Ciertamente, el Griffon Korthals, este nuevo perro que tiene sus raíces en nuestra vieja Europa, está preparando un futuro ilustre.

El Korthals Griffon es valiente, en todos los sentidos de la palabra. En casa, es cariñoso, amable, sociable, el gran amigo de los niños. Y muestra gran coraje cuando se trata de resistir el clima o defender la propiedad.

Entre los cazadores y no cazadores, este perro tiene un extraordinario capital de simpatía, que merece ampliamente. Uno se siente atraído por su buen paisano barbudo y bigotudo, sólido y fiel. Sus gruesas cejas dejan ver inteligente y gentilmente, donde brilla una chispa cuando se trata de cazar o caminar. Esta apariencia refleja perfectamente su carácter: franco, profundamente apegado a su familia, sabiendo distinguir rápidamente a sus amigos y saludarlos según corresponda, pero también puede ser impresionante y amenazante con lo no deseado; es un perro muy atractivo, en resumen. La única falla que podríamos encontrar es que si descuidamos su abrigo, si lo dejamos bajo duchas y barro, la anfitriona eventualmente exigirá que lo hagamos un lugar en el fuera o perrera. Para estar presentable, un Korthals necesita ser abarrotado y tratado regularmente.

Para sus únicas cualidades de compañero, el Grifo no puede desaparecer, pero son sus dones de cazador los que le valieron su buena reputación. El comprador no tendrá dificultad en encontrar un tema de líneas de trabajo honorables; por no mencionar los ejemplares de élite, por supuesto; que le da satisfacción.

"Nadie más puede suplantar al Grifo en el pantano", escribió J. Castaing. De hecho, los Korthals son principalmente especialistas en pantanos, los auxiliares privilegiados de las aves acuáticas y los snipe, que aprecian su increíble resistencia al frío, el agua helada, el viento del norte, incluso en invierno, en el cansado. Es un muy buen nadador, un "investigador" que encuentra muy bien el punto de caída del ave. El juego salvaje se está volviendo cada vez más raro, y el Griffon es muy conocido por cazar patos, agachones y becadas, nuestros últimos pájaros salvajes, es una prueba de sus grandes habilidades. Para convencerse de ello, es solo para ver el número de Korthals que son auténticos becas.

Su pasión por la caza y su rusticidad hacen de los Korthals un notable bosquimano, capaz de penetrar en los matorrales más arbustivos. Pero eso no impide que las opiniones sean unánimes al decir que se defiende muy bien a la ligera. Además, es un retriever excepcional, fácil de poner en el informe. El "maestro de Bibesheim" quería un perro "para todos los cazadores, para hacerlo todo, en todos los climas", también, aunque los mejores especialistas en pruebas de campo saben cómo sacar la quintaesencia para llevarlo a la cima, los Korthals Es perfectamente adecuado para el usuario promedio, la búsqueda práctica.

Primero, este cazador nacido se levanta muy bien, se declara temprano. A veces nos encontramos, no debemos esconder, los temas sensibles y otros son obstinados, pero nunca hemos visto Korthals que no podamos aprovechar. Un poco de firmeza para disciplinar el lado juguetón de la juventud, una buena progresividad en la formación (por ejemplo, no trabajar el informe, con el pretexto de que el perro se presta a ello, antes de haber obtenido en todas las circunstancias la firmeza del juicio) lo hará posible para superarlo. En serio, lo adquirirá más tarde (al mismo tiempo que la barba). El punto principal, para aquellos que quieren ese acompañante, es saber cómo elegir, siguiendo el consejo de un criador que es un hábil cazador, un cachorro de buenos orígenes, adecuado a su propia personalidad y sus habilidades de caza.

El Grifo es un galope, que puede moverse desde el ritmo constante, esencial hoy en los campos, el pequeño galope en la práctica de la caza, o el trote, cuando el terreno lo requiera. (Recuerde que siempre es posible restringir "una naturaleza generosa", pero lo contrario es mucho más difícil.) Su amplia búsqueda, bien cruzada, no deja espacio, su nariz es de gran finura. Él es conocido por la firmeza de sus paradas, tomadas de largo. Tiene un sentido innato de la caza, es un apasionado de todo juego. Con él, la versatilidad no significa ser promedio en todas las disciplinas.

Nederlands

Korthals Griffon
FCI standaard nr. 107

Land van oorsprong
Frankrijk
Vertaling
Francis Vandersteen
Groep
Groep 7 Staande honden
Sectie
Sectie 1.3 Continentale Staande honden, Griffon
Werkproef
Met werkproef
Definitieve erkenning door de FCI
dinsdag 07 december 1954
Publicatie van de geldende officiële norm
dinsdag 01 augustus 2023
Laatste update
dinsdag 05 september 2023
En français, cette race se dit
Griffon d'arrêt à poil dur Korthals
In English, this breed is said
Wire-Haired pointing griffon Korthals
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Franzõsischer rauhhaariger vorstehund Korthals
En español, esta raza se dice
Grifón de muestra de pelo duro

Gebruik

Wezen veelzijdige retriever. Wordt ook gebruikt om het bloed van gewond groot wild te zoeken.

Kort historisch overzicht

De Korthals werd opgericht in Duitsland in de provincie Hessen, is er iets meer dan honderd jaar. Het is het werk van de Nederlandse Edward Korthals kennel hoofdaccount Solms Braunfeld. Korthals, die de vele kwaliteiten van de griffioen, volgzaamheid, intelligentie, kracht, moed zag, koos ervoor om een puur continentale jachthond, in staat om te concurreren met de Britse honden in de mode op het moment te creëren. Hij kocht zeven Griffons in Europa genoemd patriarchen vervolgens gekruist hen: inteelt was nog nooit zo systematisch gebruikt om een ras van honden te maken, maar ze mogen trekken repareren. Korthals heeft vervolgens een selectie van zeer ernstige aangeboren, waardoor er slechts tien procent van de voor hun morele kwaliteiten en vervolgens gekozen om hun fysieke kwaliteiten onderwerpen. Hij gaf een elite-onderwijs in deze vakken, te verfijnen en verbeteren van hun fysieke kwaliteiten. In 1870 was hij in staat om een zeer homogene soort Griffon Korthals, die haar naam werd gegeven te verkrijgen. De hond, waarvan de standaard werd opgericht in 1887, was een briljante succes Cynotechnie, als hij wist zeer snel populair bij jagers niet alleen in Duitsland, maar in heel West-Europa, en de Griffon Club, opgericht in 1888 Fokkers snel gehergroepeerd alle landen. In Frankrijk, het is de derde van de continentale pointers na Brittany Spaniel en Duitse Braque.
Serge Dumont, voorzitter van de AQGPDK

Algemeen totaalbeeld

Sterke hond, rustiek, gemiddelde grootte. Langer dan hoog. De schedel is niet te breed. De snuit is lang en vierkant. Ogen, donker geel of bruin worden overwonnen, maar niet onder borstelige wenkbrauwen en een snor en baard geven hem een goed ontwikkelde karakteristieke expressie en uiten stevigheid en zekerheid.

Gedrag en karakter (aard)

Zacht en trots, uitstekende jager, erg gehecht aan zijn meester en hij houdt zijn territorium met waakzaamheid. Zeer zacht met kinderen.

Hoofd

Bovenschedel

Hoofd
Groot, lang; met ruige, dik, maar niet te lang; snor en wenkbrauwen goed aangegeven.
Schedel
Niet te breed. De lijnen van de schedel en de snuit zijn parallel. 
Stop
Breek niet te uitgesproken.

Facial region

Neus
Altijd bruin.
Voorsnuit
Lange plein, afschuining licht convex, dezelfde lengte als de schedel.
Ogen
Geel en bruin, grote, overdekte, maar niet verborgen door de wenkbrauwen, zeer intelligente uitdrukking.
Oren
Medium formaat, niet naar binnen gekruld, vlak, geplaatst niet te laag; kort haar, dat min of meer gemengd met langere haren dekt.

Hals

Tamelijk lang, zonder keelhuid.

Lichaam

Algemeenheid
Lengte aanzienlijk groter dan de schofthoogte (van 1 / 20e tot 1 / 10e).
Rug
Krachtig.
Lendenpartij
Goed ontwikkeld.
Borst
Diep, niet te breed.
Ribben
Licht gebogen ribben.

Staart

Horizontaal gedragen of licht opstaande rand, bedekt met dik haar, maar zonder zwier, moet in het algemeen worden ingekort of derde kwartaal. Als ze niet was ze horizontaal verkort zou worden uitgevoerd met een iets verhoogd einde.

Ledematen

Voorhand

Algemeen
Recht, krachtige, rechte schouder, naar harige.
Schouders
Hij is aangesloten, vrij lange, zeer schuin.

Achterhand

Algemeen
Een harige.
Dijbeen
Lang en goed gespierd.
Spronggewricht
Goed gehoekt.

Voeten

Ronde, stevige, strakke en goed gebogen.

Gangwerk

De allure van de jacht is de galop, onderbroken door periodes van draf. De draf is liegen. De cast is "kat."

Coat

Haarkwaliteit
Hard en ruw aanvoelt doet denken aan zijde zwijnen; nooit krullend of wollig. Onder de kap lange haren en regeren hard neer en tight end.
Haarkleur
Bij voorkeur staal grijs met bruine vlekken of bruine gelijkmatig, vaak bruin-roan of roan. Zijn toegelaten ook witte en bruine gewaden, wit en oranje.

Maat en gewicht

Schouderhoogte
Ongeveer 55 tot 60 cm voor reuen, 50-55 cm voor teven.

Defecten

• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan ​​tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn.

Defecten die leiden tot uitsluiting

 Agressief of schuw.

NB :

• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij.

Bibliografie

http://www.fci.be/

 

Gedetailleerde geschiedenis

De Korthals Hard-topped Griffon, genaamd de Korthals, is vanwege de eenvoud het resultaat van de verbetering van een heel oud type hond, vooral in continentaal Europa, waar het heel gewoon was.

Het doel dat leidde tot de oprichting van dit ras, was inderdaad om de kwaliteiten van de continentale honden te combineren; blijvend, alle terrein, veelzijdig, manoeuvreerbaar, jagend onder het geweer en wiens neus soms een beetje kort was; voor die van de Engelse stop honden, van een grote delicatesse van neus, actief, snel, ideaal voor jagen in de vlakte.

Om "klusjesmannen" samen te brengen, niet echt grote sporters, enerzijds, en gespecialiseerde en briljante volbloeds, niet noodzakelijkerwijs aangepast aan de eisen van de jacht op het continent, anderzijds, was het daar een onmogelijke taak? We kunnen het tegenovergestelde zeggen, omdat het project van Korthals en de 'scribblers' die het omringden, zelfs verder gaat dan wat ze hadden verwacht.

Dat een ras de naam draagt ​​van een fokker is niet gebruikelijk. Eduar Karel Korthals (1851 - 1896) was ook niemand. Zijn vader was een rijke scheepseigenaar uit Amsterdam die blijkbaar een duidelijke belangstelling voor fokken had, tot het punt dat hij de groeiende passie van zijn zoon voor jacht en honden begunstigde. Dus toen het zover was, was EK Korthals niet van plan om de zaken van zijn vader, die erg florissant was, over te nemen.

Net als Sir Edward Laverack, de beroemde maker van de Engelse Setter, moest hij een van de grootste hondenfokkers worden, zowel door zijn opvattingen, veel vooruitlopend op degenen in zijn tijd, als door de ervaring die hij had. verworven op jachtgronden en kennels. Bovendien was het een open geest, eerlijk, bescheiden, wiens correspondentie aantoont dat het geenszins dogmatisch was, maar dat het constructieve discussie zocht. Zijn stelregel, "Doe wat je zegt, en zeg wat je doet", definieert het goed, evenals zijn aanpak, heel anders dan die gewoonlijk gevolgd door een hondenkweker, "die niet verplicht is om te publiceren wat 'hij doet in zijn achterste keuken', volgens de beroemde uitdrukking van A. Hublot du Rivault.

De jonge EK Korthals jaagde daarom al heel vroeg met Griffons, een soort hond die in Nederland maar ook in veel andere landen, van Italië tot Polen via Frankrijk, verspreid was, waar we met name de Griffons d'Etampes en die van Boulogne. Het is inderdaad een "type" in plaats van een ras, omdat in de tweede helft van de negentiende eeuw deze honden nogal verwaarloosd werden en een vrij heterogene populatie vormden. Sommigen hadden dus een lang haar, tot het punt dat de verwarring met de Barbet frequent was. Korthals waardeerde ze echter voor hun vermogen om te jagen in de meest ongunstige omstandigheden (in het moeras). Wie het meeste kan, kan het minste, ook ondernam hij om hun neus, hun snelheid, hun uithoudingsvermogen te verbeteren, met behoud van hun specificiteit. Het gebeurde in 1873, in het familiedomein.

Vier jaar later, toen hij op zijn zesentwintigste besloot dat het bedrijf hem eigenlijk niet interesseerde, ging Korthals naar Duitse vrienden in het tuinbouwgebied van Hessen. Daar vertrouwde Baron Albert de Solms Braunfels hem het beheer van zijn kennel toe in Bibesheim; de beroemdste van Duitsland; voornamelijk samengesteld uit Engelse honden, waardoor hij parallel kan blijven aan zijn eigen fokkende Griffins. Men kan, gezien de toekomstige resultaten ervan, de indruk hebben dat Korthals een vooropgezet idee had, zeer precies, over de methoden die moeten worden geïmplementeerd om de Griffioenen op het hoogste niveau te krijgen. Het is echter niet zo, en bovendien heeft Korthals niets van zijn selectiewerk verborgen.

Bij het verschijnen van zijn ras, bijvoorbeeld, had hij geen a priori: bij de eerste exemplaren die hij noemde, was er een Barbet-type hond, een ander wollig haar (type Boulet ) en een kortharig wijfje. Wat betreft de rassenvermenging met Engelse honden (Pointers), heeft Korthals het niet opnieuw gebruikt totdat hij het had meegemaakt. Inderdaad, dergelijke kruisen kunnen eerst tijd besparen, maar het bleek dat ze ervoor zorgden dat de Griffon zijn "continentale" karakters kwijtraakte. Het is ook bekend dat zeven onderwerpen door Korthals werden vastgehouden om zijn lijnen te vinden. Ook daar was het aanvankelijk geen opzettelijke keuze, maar het bleek dat deze honden de enigen waren die, door hun jachtvaardigheden en door hun kwaliteiten als racer; die Korthals op de lange duur niet kon beoordelen, op hun nakomelingen, gaf hem voldoening. Deze "patriarchen" worden Banco, Hector, Janus, Satan, Donna, Juno en Mouche genoemd.

Om in minder dan twintig jaar honden te produceren die in staat waren om de Britse superioriteit aan te vechten terwijl ze continentaal bleven, en zonder ooit een beroep te doen op het Engelse bloed, ging Korthals over tot zeer nauwe inteelt koppelingen (men vindt soms twintig keer dezelfde hond in bepaalde stambomen), maar hij zag geen gevaar voor het ras, omdat hij zijn afkomst beschouwde als onderdeel van een waarlijk internationaal ras, als een voorbeeld, op een manier. Bovendien gaf hij toe aan een meedogenloze selectie: van de zeshonderd honden die zijn kennels passeerden, bewaarde hij slechts tweeënzestig onderwerpen, volgens de voorwaarden van een brief aan Emmanuel Boulet, die , een wolharige Griffin selecteren.

Bovendien onderwierp Korthals zijn honden aan zware training, die Jean Castaing in zijn essentiële boek over de race (Ed de l'Orée) 'functionele gymnastiek' noemde: hij liet ze werken met hout, met het moeras en in het laagland, in alle weersomstandigheden, hen lokt op allerlei soorten wild, niet aarzelend om hen de haas te laten achtervolgen (wat je niet heeft laten praten, maar het was tenslotte slechts een vereiste discipline in Duitsland).

De met deze methode verkregen onderwerpen (inteelt, selectie, training) waren buitengewoon pragmatisch van een dusdanige kwaliteit dat ze de specialisten in Duitsland, België, Nederland, Frankrijk, zowel door de amplitude als de snelheid verbaasden. hun zoektocht en de delicatesse van hun flair alleen door hun veelzijdigheid. De lovenswaardige opmerkingen van de rapporten over veldonderzoeken zijn hier het bewijs van.

In Duitsland was de aanblik van Korthals echter een probleem voor zijn opvolgers. In feite was deze liefhebber niet van plan om een ​​nieuw ras te 'creëren', regionaal of nationaal, maar om de oude en internationale Griffon te regenereren. Dus, in zijn geest, was de 'familie' van Griffons die hij tot zo'n graad van perfectie had gebracht slechts een model, dat waarschijnlijk andere families van hetzelfde ras zou verbeteren. Korthals zette al zijn energie in om dit standpunt te verdedigen: eerst, in overeenstemming met andere fokkers, schreef hij een standaard, gedateerd november 1887 (de tekst van vandaag is altijd hetzelfde). Vervolgens ontwikkelde hij een oorsprongsboek, de Griffon Hund Stammbuch (GSB), waarvan het eerste deel verscheen in 1889. Deze jaarlijkse publicatie was niet alleen een stamboek, aangezien, naast de oorsprong van honden, ze noemde hun uitvoeringen, te oordelen naar wedstrijden en tentoonstellingen, met fotografische documenten als ondersteuning.

En in 1888, om al deze informatie te beheren, creëerde Korthals de Griffon Club, een internationale organisatie die snel werd aangevuld door andere verenigingen, gezien het groeiend aantal krabbels: in 1895 werd de Griffon-Club voor Duitsland geboren. Zuid en de Belgische Royal Griffon Club; wat betreft de Franse club, het werd geboren in 1901, op instigatie van Ch. Prudhommeaux. Samen vormden zij het "Club-kartel".

EK Korthals stierf voortijdig in 1896, op de leeftijd van vijfenveertig, maar zijn ideeën hadden genoeg aanhangers gemaakt om hem te overleven. Zo hernam de beroemde "tendens van de club" precies zijn gedachte: "De club is gebaseerd op het principe dat de hardharige steekhond eeuwenlang op het oppervlak van het continent was verspreid, maar in zeer verschillende vormen was vertegenwoordigd. met variabele en niet-reagerende laag; als resultaat van zijn staat van verlaten; de vereisten van een zuiver en homogeen ras. Verschillende fokkers hebben, met de hulp van een geschikte selectie, gekozen om met deze honden het ras "hard hawk griffin" te reconstrueren. De club is vanuit het standpunt geplaatst dat de honden die, onder de naam "Korthal Griffins", een zekere bekendheid hebben verworven, de "griffons naakt" van andere afkomst die in andere landen zijn opgevoed en de "honden Duitse behaarde steken "die alle, in grote lijnen, dezelfde typische kenmerken hebben en daarom kunnen worden beschouwd als behorende tot hetzelfde ras, zodat hun paring; als fokkers denken dat ze er een beroep op doen; mag niet als een fout worden beschouwd, maar integendeel, de resulterende producten moeten worden beschouwd als "harde griffioenen". "

Dit principe leverde zeker geen bezwaren op in België of Frankrijk. In Duitsland, aan de andere kant, zelfs als ze in aantal waren, hadden de aanhangers van de Korthals een duidelijk verzet. Er waren in de eerste plaats de partizanen van een zuiver Germaanse Griffioen, zoals Sichelhaar, die een Frankfort-fokker, M. Bontant, had verkregen door de oude Baardverkoop van Hessen te verbeteren, en die sommige onverzettelijke krachten hadden gemaakt om te onderscheiden Korthals-honden (voorkeur voor een scherp haar, harder maar veel minder bossig). Er waren ook de voorstanders van raciale kruising; want het harde haar kan het gevolg zijn van de vereniging van een subject met kort haar en een ander met wollig haar; die de Pudel Pointer (gemaakt op basis van de Poedel en de Aanwijzer) en de Drahthaar (hardharige versie van de al beroemde Duitse aanwijzer) ondersteunde.

Kortom, veel Duitsers wilden de "erfgenamen" van Korthals deze kostbare Griffon niet bijvoegen, wiens veelzijdigheid perfect bij hen paste. In 1907 slaagde Baron de Gingins, toen aan het hoofd van de Griffon Club, er echter goed in een overeenkomst te ondertekenen met de enige fokkers van Stichelhaar, met uitzondering van Pudel Pointer en Drahthaar, maar vier jaar later was de overeenkomst De twee honden gingen uiteen om twee verschillende races te vormen. Toen kwam de oorlog van 1914 - 1918. Met kracht van zaken werd de Griffon aldus Frans haar. Het jaar 1919 zag de oprichting van het boek van oorsprong van de Griffon (LOG), en terwijl, tien jaar eerder, deze hond leek te worden beloofd een zeer brede verspreiding, het fokken van de Griffon was beperkt tot Frankrijk en naar België. De Tweede Wereldoorlog trof de race heel hard, omdat het risico op overmatige bloedverwantschap maximaal was.

Deze krachtige hond zou echter geen nieuwe start missen. In 1951, om hulde te brengen aan het werk van de maker, werd de naam Korthals officieel toegevoegd aan die van Griffon d'arrêt à poil dur. Momenteel kent de Griffon Korthals in Frankrijk een periode van de mooiste. Deze hond heeft zich bijvoorbeeld onderscheiden bij het WK-spel geschoten in Joegoslavië (in 1980) en hij werd een van de sterren onder de continentale rassen, zowel in de herfstvelden als in de lente. De elite-trialer dient als een "locomotief" voor de hele race, waarvan de sterke punten in de loop der jaren regelmatig worden versterkt.

Onder de initiatieven van de Active Breed Club om het sportieve en utilitaire imago van de Griffon te verbeteren, kunnen we de ontwikkeling van inleidende velden voor de ontdekking van nieuwe talenten en een patent op de relatie met water belichten. maakt het ras tot de moerasspecialist. Zeker, de Griffon Korthals, deze nieuwe hond die zijn wortels heeft in ons oude Europa, bereidt een illustere toekomst voor.

De Korthals Griffon is dapper, in elke betekenis van het woord. Thuis is hij aanhankelijk, aardig, sociaal, de grote vriend van de kinderen. En hij toont veel moed als het gaat om weersomstandigheden of het verdedigen van het onroerend goed.

Onder de jagers en niet-jagers heeft deze hond een buitengewone hoofdstad van sympathie, die hij ruimschoots verdient. De een wordt aangetrokken door zijn goede, baardige en besnorde, solide en trouwe landgenoot. Zijn dikke wenkbrauwen laten een intelligente en zachte uitstraling, waar een vonk glinstert als het gaat om jagen of wandelen. Deze verschijning weerspiegelt perfect zijn karakter: openhartig, diep gehecht aan zijn familie, wetend dat hij snel vrienden kan onderscheiden en begroeten zoals gepast, maar ook in staat om indrukwekkend en bedreigend te zijn voor ongewenst; het is een zeer aantrekkelijke hond, kortom. De enige fout die we konden vinden, is dat als we zijn jas verwaarlozen, als we hem onder douches en modder achterlaten, de hostess uiteindelijk zal eisen dat we hem een ​​niche maken bij de buiten of kennel. Om presentabel te zijn, moet een Korthals worden opgepakt en regelmatig worden behandeld.

Voor zijn enige kwaliteiten van metgezel, kan de Griffon niet verdwijnen, maar het zijn zijn gaven van jagers die hem zijn goede reputatie waard zijn. De koper zal er geen moeite mee hebben om een ​​onderwerp uit eervolle lijnen te vinden; om nog maar te zwijgen van de elite-exemplaren; wat hem voldoening geeft.

"Niemand anders kan de Griffon in het moeras verdringen", schreef J. Castaing. Inderdaad, de Korthals is in de eerste plaats een moerasspecialist, de bevoorrechte hulp van de watervogels en de watersnip, die zijn ongelooflijke weerstand tegen de kou, het ijskoude water, de noordenwind waarderen, zelfs in de winter, aan de vermoeidheid. Hij is een zeer goede zwemmer, een "onderzoeker" die het valpunt van de vogel heel goed vindt. Wild wild wordt steeds zeldzamer, en de Griffon staat bekend om jagen op eenden, snip en houtsnip, onze laatste wilde vogels, is een bewijs van zijn grote mogelijkheden. Om zichzelf ervan te overtuigen, is het bovendien alleen om het aantal Korthals te zien dat authentieke becassiers zijn.

Zijn passie voor jagen en zijn rustieke karakter maken van de Korthals een opmerkelijke Bosjesman, die in de meest struikachtige struiken kan doordringen. Maar dat neemt niet weg dat de meningen unaniem zijn om te zeggen dat het zichzelf in duidelijke bewoordingen uitstekend verdedigt. Bovendien is het een uitstekende retriever, gemakkelijk in te brengen in het rapport. De "meester van Bibesheim" wilde een hond "voor alle jagers, om alles te doen, in alle klimaten", hoewel de beste specialisten van veldproeven de kwintessens weten te trekken om het naar de top te brengen, de Korthals Het is perfect geschikt voor de gemiddelde gebruiker, de praktische jacht.

Ten eerste staat deze geboren jager erg goed op, verklaart zichzelf vroeg. Soms ontmoeten we elkaar, we moeten gevoelige onderwerpen en anderen niet verbergen, maar we hebben nog nooit Korthals gezien waarvan we geen gebruik kunnen maken. Een beetje vastberadenheid om de hoffelijke kant van de jeugd te disciplineren, een goede progressiviteit in training (bijvoorbeeld, werk niet aan het rapport, onder het voorwendsel dat de hond zichzelf leent, voordat in alle omstandigheden de vastheid is verkregen) van het oordeel) zal het mogelijk maken om het te overwinnen. Serieus, hij zal het later verwerven (tegelijkertijd met de baard). Het belangrijkste punt voor degenen die zo'n partner willen is weten hoe te kiezen, op advies van een fokker die zelf een bekwame jager is, een puppy van goede afkomst, geschikt voor zijn eigen persoonlijkheid en zijn jachtvaardigheden.

De Griffon is een galop, die kan bewegen van het gestaag tempo, essentieel vandaag in velden, de kleine galop in de praktijk jagen, of draven, wanneer het terrein het vereist. (In dit verband wordt eraan herinnerd dat het altijd mogelijk is om "een genereuze aard" in te perken, maar dat het tegenovergestelde veel moeilijker is.) Zijn ruime zoektocht, goed gekruist, laat geen ruimte, zijn neus is geweldig finesse. Hij staat bekend om de stevigheid van zijn stops, lengte genomen. Hij heeft een aangeboren gevoel voor jacht, hij is gepassioneerd door alle wild. Bij hem betekent veelzijdigheid niet dat je in alle disciplines gemiddeld bent.

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