Chien d'Artois

Standard FCI Nº 28

Origine
France
Groupe
Groupe 6 Chiens courants, chiens de recherche au sang et races apparentées
Section
Section 1.2 Chiens courants de taille moyenne
Epreuve
Avec épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
vendredi 18 octobre 1963
Publication du standard officiel en vigueur
mercredi 24 juillet 1996
Dernière mise à jour
mercredi 24 juillet 1996
In English, this breed is said
Artois Hound
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
Chien d'Artois
En español, esta raza se dice
Sabueso Artesiano
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
Chien d'Artois

Utilisation

Le chien d’Artois est un briquet surtout utilisé de nos jours à la chasse à tir. C’est un rapprocheur, travaillant avec application dans les défauts, et sa vitesse est moyenne mais soutenue.
• En plaine : Vu la finesse de son nez, il est capable de déjouer les ruses d’un lièvre.
• Au bois : Avec ses incontestables qualités de chasseur, dans les futaies claires et bien percées, il conduit à merveille un chevreuil.
• Au fourré : Son intrépidité et sa bravoure font qu’il peut débusquer un sanglier même récalcitrant.
• De plus : C’est un animal rustique, doté d’une merveilleuse gorge entraînante, d’une voix haute qui se fait entendre de loin.
Six à huit chiens d’Artois tricolores, bien uniformes, constituent un petit équipage susceptible de faire plaisir à un maître d’équipage des plus exigeants.

Bref aperçu historique

Cette race, appelée autrefois chien picard, était fort appréciée dans l'ancienne vénerie au temps d'Henri IV et Louis XIII et très recherchée. Sélincourt en faisait déjà grand cas, s'étonnant et s'émerveillant de voir ces chiens rapprochant un lièvre passé d'une heure par temps sec. Le Couteulx de Canteleu, dans Manuel de Vénerie Française (1890), parle également avec éloge du chien d'Artois. Il rapporte que la race artésienne de son temps était métissée et difficile à trouver pure mais, malgré cela, elle restait encore une des meilleures races pour la chasse du lièvre. Il a pris soin, d'ailleurs, de placer des représentants de la race dans le grand chenil du Jardin d'Acclimatation pour qu'elle soit connue du grand public. A la fin du XIXème et tout au début du notre siècle, M. Levoir en Picardie a tenté le rétablissement de l'ancien type d'Artois sans vraiment y parvenir. Pendant cette période, et jusqu'au début de la première guerre, c'est un autre éleveur picard, M. Mallard, qui dominait l'élevage de la race. Mais s'il produisait de très jolis chiens, comme en témoignent ses nombreuses récompenses en exposition canine, ils n'étaient pas toujours dans un type conforme à la description donnée par les anciens auteurs. Après la deuxième guerre, on a cru que le chien d'Artois faisait partie des races perdues à jamais. Mais M. Audréchy, de Buigny les Gamaches dans la Somme, s'est fixé comme tâche au début des années 1970 de reconstituer le cheptel. C'est grâce à ses efforts et à ceux de Mme Pilat que cette race retrouve sa place parmi les chiens courants.

Aspect général

Chien bien charpenté, musclé et pas trop long, donnant une impression de force et d'énergie.

Proportions importantes

Taille - longueur du corps : entre 10:10 et 10:11.
Hauteur de la poitrine - taille environ 1:2.
Largeur du crâne - longueur de la tête environ 5:9.
Longueur du chanfrein - longueur du crâne environ 8:10.

Comportement / caractère

Chien vigoureux et rustique, très fin de nez, ralliant bien la meute, équilibré et affectueux.

Tête

Région crânienne

Crâne
Fort, large, assez court, arrondi et aplati à sa partie supérieure mais avec la protubérance occipitale peu prononcée. 
Stop
Accentué.

Région faciale

Truffe
Noire, forte, aux narines bien ouvertes.
Lèvres
La lèvre supérieure recouvre largement la lèvre inférieure et doit être assez importante pour donner une forme carrée à l'extrémité du museau, vu de profil.
Chanfrein
Droit et, vu de profil, modérément allongé.
Mâchoires et dents
Denture en ciseaux, les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées bien d'équerre par rapport aux mâchoires.
Joues
Sèches.
Yeux
Par rapport à la largeur du front, les yeux ne sont pas très rapprochés; ils sont ronds, à fleur de tête, l'air mélancolique et doux; de couleur brun foncé. Les muqueuses des paupières inférieures ne doivent pas être apparentes.
Oreilles
Attachées à la hauteur de la ligne de l'oeil, un peu épaisses, larges, à l'extrémité ronde, presque plates et assez longues, atteignant la naissance de la truffe.

Cou

Moyennement long, puissant; très peu de fanon.

Corps

Dos
Large et bien soutenu.
Rein
Légèrement harpé.
Croupe
Les hanches donnent une légère inclinaison à la croupe, qui est bien musclée.
Poitrine
Large et longue, assez descendue pour que la ligne sternale arrive au niveau des coudes.
Côtes
Côtes bien cintrées.
Flanc
Flancs pleins.

Queue

Forte, assez longue, épiée (ou espièe) et portée en faucille, ne retombant jamais vers l’avant.

Membres

Membres antérieurs

Généralités
Les membres antérieurs sont forts, d'aplomb.
Epaules
Obliques et musclées.
Coudes
Bien dans l'axe du corps.
Métacarpe
Légèrement obliques.

Membres postérieurs

Généralités
Vue de derrière, la pointe de la fesse, le milieu de la jambe, le jarret, le métatarse et le pied se trouvent sur la même ligne verticale.
Cuisses
Descendues et bien musclées.
Jarret
Forts et modérément coudés.
Métatarse
Courts et forts.

Pieds

Légèrement allongés, forts mais suffisamment serrés ; les coussinets sont noirs, résistants et compacts.

Allures

Régulières et faciles.

Peau

Assez épaisse.

Robe

Qualité du poil
Court, épais et assez plat.
Couleur du poil
Tricolore fauve foncé, tirant sur le poil de lièvre ou de blaireau, avec manteau ou grandes taches, la tête habituellement fauve, quelquefois charbonnée.

Taille et poids

Hauteur au garrot
De 53 à 58 cm avec une tolérance de 1 cm.
Poids
En moyenne, 28 à 30 kg.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts généraux

 Crâne étroit, en forme de dôme.
 Museau trop pointu.
 Lèvre supérieure insuffisamment descendue et serrée.
 Oreilles attachées sous la ligne de l'oeil, courtes, pas assez plates.
 Oeil légèrement clair, conjonctive apparente.
 Encolure longue, légère.
 Région dorsale trop longue, ligne du dessus molle, creuse.
 Queue trop longue, déviée.
 Côtes plates.
 Flanc levretté.
 Epaule droite.
 Coudes en dehors.
 Métacarpes droits.
 Pieds affaissés.
 Doigts écartés, trop longs.
 Cuisses plates.
 Jarrets droits, clos ou trop ouverts.
 Mouchetures dans les couleurs.
 Sujet craintif.

Défauts entrainant l’exclusion

 Sujet peureux ou agressif.
 Manque de type (l'animal dans son ensemble ne ressemble pas suffisamment à ses congénères de la même race).
 Prognathisme supérieur ou inférieur.
 Oeil très clair.
 Membres frêles.
 Couleur autre que celle précisée par le standard.
 Mouchetures envahissantes.
 Hauteur au garrot autre que celle du standard.
 Anomalie anatomique.
 Tare héréditaire invalidante repérable.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

Le Chien d'Artois est un descendant direct, en taille réduite, du Saint-Hubert à robe noire, qui lui-même descendrait directement du Canis segurius, le Lévrier qu'utilisaient jadis les Gaulois pour forcer le gibier. Dans son célèbre Livre de la chasse du XIVe siècle, Gaston Phébus, comte de Foix, qui partageait sa vie entre la chasse et les expéditions guerrières, ne parle que d'un seul type de chien ardennais, dont sont sans doute issus tant les Artésiens que les races actuellement classées sous le standard Saint-Hubert. Mais, dès le xve siècle, notamment pendant la guerre de Cent Ans, il est fait mention de Chiens d'Artois: alors que le roi de France Charles VII était contraint de se retirer à Bourges, son rival, le roi d'Angleterre Henri VI, fit en 1431 une entrée remarquée dans Paris, accompagné de Chiens d'Artois avec lesquels il força un cerf (que le roi épargna finalement après que l'animal se fut réfugié entre les jambes de son .cheval).

Le traité de chasse du roi Charles IX (1550-1574) ne cite, quant à lui, que quatre races royales: le Saint-Hubert, les Grands Chiens Blancs du Roi, les Grands Fauves de Bretagne et les Chiens Gris de Saint-Louis.

Les Chiens d'Artois n'y figurent donc pas - sans doute parce qu'ils n'étaient plus alors utilisés que pour la petite vénerie, moins digne du sang royal que la chasse du cerf, du chevreuil ou du sanglier. Cela, toutefois, n'empêcha pas Henri IV de beaucoup les apprécier, notamment parce qu'ils se montraient d'admirables chasseurs. Le roi de France et de Navarre entretint même une meute de 24 Artésiens pour la chasse du lièvre, chasse pour laquelle il se passionnait, contrairement à certains autres monarques.

Puis, un an avant son assassinat, sa meute fut renforcée par celle de petits Chiens d'Artois que lui offrit le prince Charles Alexandre de Croy ; des chiens qui étaient fort prisés, puisque le prince en faisait un cadeau royal. Louis XIII, enfin, manifesta le même attachement que son père aux Chiens d'Artois (on sait quelle passion pour la chasse l'habitait, passion qui a donné Versailles à la France, puisque le roi y construisit un pavillon de chasse qui fut l'embryon du futur château).

Au XVIIe siècle, cependant, le sort de la race artésienne se ternit quelque peu. Certes, Espée de Sélincourt, grand veneur du dauphin, parle encore d'une race de grands chiens français, fort bien avalés, de poils gris et fauve, que tenaient les seigneurs en Picardie et qui chassaient aussi bien le loup que le lièvre ; même s'ils refusaient de se lancer dans la voie ; mais, dès cette époque pourtant, beaucoup d'entre eux étaient déjà abâtardis, notamment avec des Beagles provenant d'Angleterre (on écrivait alors Bigles). Ces croisements allaient d'ailleurs donner naissance aux Briquets, chiens courants de petite taille spécialisés dans la chasse du lièvre (alors que les Bassets Artésiens sont le résultat probable d'unions entre races à pattes torses déjà décrites au XVIe siècle par Jacques du Fouilloux, dans son traité de chasse à courre).

Il fut dans l'ordre des choses que la Révolution perturbât le destin de bon nombre d'équipages français ; certains ne s'en relevèrent d'ailleurs pas. Le sang des Chiens d'Artois sembla alors presque perdu, et l'appellation fut bien vite galvaudée, à telle enseigne que, sous l'Empire, quiconque élevait des chiens dans le nord de la France prétendait qu'ils étaient de race artésienne. Il y eut même des Griffons affublés de ce titre, alors que la race avait toujours été à poil ras.

Pourtant, si l'on en croit Pierre Bocquillon, l'actuel directeur de la Société de vénerie, des habitants des contrées de Fruges, Fauquembergues, Hucqueliers, Hesdin, Heuchin, Houdain, Lillers réussirent à sauver l'authentique tradition et continuèrent à élever des Chiens d'Artois de vrai sang. Parmi ceux qui leur achetaient alors leurs produits figuraient notamment les princes de Condé. Mais, en 1825, le dernier prince démonta et céda sa tenue ventre-de-biche (ou jaune Condé) à parements amarante au baron de Champchevrier, qui découplait dans la voie du cerf avec des chiens de plus grande taille. Cependant, au cours du XIXe siècle, quelques éleveurs maintinrent la race, si bien que la tradition cynologique a, aujourd'hui, conservé leur nom.

Ainsi, à Deville-lès-Rouen, Gaston Chamont éleva pendant des décennies entre 15 et 20 chiens par an, avec lesquels il prenait une vingtaine de lièvres dans la saison; Gabriel de Saint- Vulfran, à Montfort-sur-Risle, dans l'Eure, chassait le même animal avec 12 Artois, qualifiés de « très jolis » par les chroniques de l'époque; Gabriel Hopsore, à Triqueville, toujours dans l'Eure, possédait également une meute de 16 de ces chiens (mais, en 1893, il n'en avait plus que 6); en 1889, M. Menans de Corre remonta l'équipage de Traves, en Haute-Saône, avec 12 Briquets d'Artois pour chasser le lièvre à pied; on doit signaler encore une meute de 10 Chiens d'Artois chez F. de Thérouanne, dans la Somme. La race était même descendue dans le Gers, chez le comte de La Roque-Ordan, mais celui-ci préféra la remplacer par des Gascons-Saintongeois.

Au début du xxe siècle, Ernest Levoir joua un rôle déterminant dans la maintenance du Chien d'Artois. Maître d'équipage du rallye Scardon, qui chassait le lièvre dans la Somme, il prenait, en compagnie de Fernand Canu (avec qui il avait créé le rallye Scardon), 20 à 25 lièvres par saison. Il s'était donné pour devise: « Chasse droit, Briquet d'Artois. » Briquet est d'ailleurs un terme qui peut paraître quelque peu péjoratif pour cette race qui a tenu une place si importante dans la vénerie française. Certes, il s'agit de chiens de taille moyenne: selon M. de Quandalle, le standard imposait, au début de ce siècle, une taille de 18 pouces pour les lices et de 19 pour les mâles (soit 46 et 48 cm, alors que, de nos jours, un Chien d'Artois doit mesurer, d'après le standard, de 52 à 58 cm).

En 1914, le rallye Scardon resta seul à maintenir la race. En 1930, Jean Levoir, fils d'Ernest Levoir et neveu de Thérouanne, reconstitua une meute avec les chiens de son père, dont les pedigrees remontaient à 1850. Leurs descendants, aujourd'hui, chassent toujours dans la Somme, et les chiens continuent à remporter prix spéciaux et championnats. L'équipage fut ensuite remis dans la voie du chevreuil par les comtes G. et Ph. de Hautecloque, qui troquèrent la meute contre des Anglo-Saintongeois et des Anglo-Poitevins.

Dans les années cinquante, M. de Kermadec, lieutenant de louveterie en Bretagne, regroupa certains de leurs descendants et en constitua une meute avec laquelle il chassait le lièvre à courre, mais aussi le sanglier à tir. Son exemple fut suivi puisque, à cette époque, l'Artésien put renaître de ses cendres grâce à quelques éleveurs passionnés. Leur travail fut consacré à partir de 1977 par la fixation d'un nouveau standard.

Certes, bien des auteurs s'accordaient naguère pour dire que le Briquet Artésien n'existait plus, si ce n'est sous la forme de croisement avec les chiens normands, ce qui lui avait fait perdre une grande partie de sa finesse à la chasse. Mais, grâce aux efforts d'Henri Lestienne, actuel président du Club, de Mme Pilat, fondatrice de la meute de Saint-Louis (dans l'Oise), et de quelques autres éleveurs, il est devenu possible de retrouver un chien qui possède à la fois les qualités et le type des anciens Artésiens. Grâce à eux, « Chasse droit, Briquet d'Artois » est une devise qui recouvre toute son actualité.

Le Chien d'Artois est très accrocheur, mais tous les sujets n'ont pas la même façon de poursuivre le gibier. Certains veneurs apprécient le « chien de côté », celui qui suit la meute à droite ou à gauche, attendant que l'animal chassé fasse un crochet pour voler la voie.

D'autres aiment les chiens qui, se trouvant à l'arrière, remontent le paquet pour prendre la tête. Parfois, ces manœuvres permettent de prendre plus vite, mais, bien souvent aussi, elles entraînent les autres chiens dans la voie d'un change: les Artésiens, tels que les Levoir les avaient sélectionnés, étaient réformés dès qu'ils présentaient ces défauts.

Bien adapté à la plaine, le Chien d'Artois a une vitesse moyenne mais soutenue; c'est un chien idéal pour chasser le lièvre car ce dernier, après l'avoir d'abord distancé, s'essouffle plus vite que lui et ne tarde pas, épuisé, à être repéré et rejoint; le Chien d'Artois a la réputation, justifiée, d'être un des plus fins nez parmi les chiens courants. Mais c'est aussi un chien très mordant, intrépide, qui peut conduire un gibier plus prestigieux ; chevreuil ou sanglier ; et le traquer avec grand courage.

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