Puli

Français

Puli
Standard FCI Nº 55


Origine			Hongrie
Traduction			Prof. R. Triquet et Dr. J-M. Paschoud
Groupe			Groupe 1 Chiens de berger et de bouvier (sauf chiens de bouvier suisse)
Section			Section 1 Chiens de berger
Epreuve			Sans épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI			mercredi 11 août 1954
Publication du standard officiel en vigueur			mardi 29 octobre 2013
Dernière mise à jour			vendredi 06 décembre 2013
In English, this breed is said			Puli
Auf Deutsch, heißt diese Rasse			Puli
En español, esta raza se dice			Puli
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd			Puli

Utilisation

Bouvier.

Bref aperçu historique

Il s’agit d’une race de chiens de troupeau hongroise d’origine asiatique. Très probablement, ses ancêtres primitifs ont accompagné les anciens Magyars, un peuple nomade qui vivait de l’élevage des bovins, dans la plaine entourée par les Carpates.

Aspect général

Chien de taille moyenne et de constitution robuste inscriptible dans le carré. L’ossature est fine sans être trop légère. Le corps, quelque peu sec, est néanmoins bien musclé dans toutes ses parties. La configuration exacte des diverses parties du corps est difficile a apprécier vu que le corps est entièrement recouvert d’une toison fortement développée qui a la tendance à former des flocons ou des cordes. C’est pourquoi, pour juger le chien, il est recommandé de le palper. En tête le poil est si luxuriant qu’il forme un écran devant les yeux et que la tête paraît être ronde. La queue, abondamment fournie, est enroulée vers l’avant sur la croupe, ce qui donne l’impression que la ligne du dessus est légèrement ascendante vers l’arrière.

Proportions importantes

La longueur du corps correspond à la hauteur au garrot.
La hauteur de la poitrine est un peu inférieure à la moitié de la hauteur au garrot.
Longueur du museau correspond environ à un tiers de la longueur totale de la tête.

Comportement / caractère

D’un tempérament vif, il est extraordinairement zélé. Il aime les enfants et est un excellent chien de garde. Sa conformation actuelle s’est adaptée à son utilisation pour le sport canin.

Tête
Région crânienne
Tête		Vue de face ronde; vue de profil elle semble être de forme elliptique.
Crâne		Petit et fin. Les arcades sourcilières sont fortement développées.
Stop		Faiblement marqué.

Région faciale
Truffe		Relativement petite et de couleur noire.
Museau		Pas pointu.
Lèvres		Tendues, d’une pigmentation foncée.
Chanfrein		Chanfrein droit.
Mâchoires et dents		Articulé en ciseaux, denture complète formée de 42 dents selon la formule dentaire du chien.
Yeux		De grandeur moyenne, de couleur brun-foncé, en position légèrement oblique et moyennement séparés l’un de l’autre. L’expression est vive et intelligente. Les bords des paupières sont fermement appliqués au globe oculaire et sont bien pigmentés.
Oreilles		Attachées à mi-hauteur, elles sont larges à leur base et tombantes. Le pavillon a la forme d’un « V » arrondi à son extrémité.

Cou

De longueur moyenne, tendu et bien musclé. L’encolure, qui forme avec l’horizontale un angle d’environ 45°, est couverte d’un poil touffu.

Corps
Ligne du dessus		Droite, à cause de la position de la queue elle donne l’impression d’être légèrement ascendante.
Garrot		Il ne ressort que très peu de la ligne du dessus.
Dos		De longueur moyenne, droit, ferme, musclé.
Rein		Abondamment musclé, court.
Croupe		Courte, légèrement inclinée.
Poitrine		Bien descendue, longue, les côtes bien cintrées.
Ligne du dessous		Ventre : Il remonte graduellement vers l’arrière.

Queue

Attachée à mi-hauteur, elle forme une boucle rabattue à plat sur la croupe et est couverte d’un poil touffu. Si on l’étire, sa longueur atteint le niveau du jarret.

Membres

Membres antérieurs
Epaules		L’omoplate est oblique et fermement appliquée à la cage thoracique. Une verticale imaginaire tirée du garrot frôle le devant de la poitrine à son point le plus bas. L’angle formé par l’omoplate et le bras est de 100 à 110°.
Bras		De longueur moyenne et bien musclé.
Coudes		Il est bien accolé à la cage thoracique. L’angle formé par le bras et l’avant-bras est de 120 à 130°.
Avant-bras		Long, droit, pourvu d’une musculature sèche.
Pieds antérieurs		Courts, arrondis, fermes, avec des doigts serrés. Les ongles sont noirs ou de couleur gris-ardoise foncé. Les coussinets sont de couleur foncée et élastiques. Les pieds sont parallèles, dirigés droit devant et moyennement écartés.

Membres postérieurs
Généralités		Les postérieurs sont parallèles et moyennement écartés; l’angle entre le bassin et la cuisse est d’environ de 100-110°; l’angle du grasset mesure 100-110°.
Cuisses		Les cuisses et les jambes sont longues et bien musclées..
Jarret		Sec, nettement dessiné.
Métatarse		Court.
Pieds postérieurs		Un peu plus plats que les antérieurs; à part ça identiques aux antérieurs.

Allures

Les allures sont très vives, pleines de tempérament, souvent trottinantes et sautillantes. Le pas est court. Le chien a tendance à tournoyer et tourbillonner sur place.

Peau

Sans plis, ferme, fortement pigmentée. Dans toutes les variétés de couleur, les surfaces glabres sont noires ou gris-ardoise.

Robe
Qualité du poil		Le poil des chiots est serré, ondulé ou crépu. Plus tard il se forme des touffes de poils qui se développent en flocons fermement structurés ou en mèches à poil cordé. La robe est formée d’un poil de couverture assez grossier et d’un sous-poil plus fin. La proportion respective entre ces deux sortes de poil détermine le caractère de la toison. Quand le poil de couverture est beaucoup plus développé que le sous-poil, la robe présente une structure atypique et les poils sont quelque peu écartés. Si le sous-poil prédomine, - ce qui est indésirable - il se forme une fourrure de structure trop molle et feutrée, qui est difficile à entretenir. La proportion correcte entre les deux sortes de poil, fixée génétiquement, détermine la structure de la fourrure esthétiquement avantageuse, qui est formée de flocons et de cordelettes et qui est facile à entretenir. Les cordelettes les plus longues se trouvent dans la région lombo-sacrée et à la face postérieure des cuisses (20 à 30 cm), les plus courtes à la tête et aux membres (10 à 12 cm). Sur la tête, la composition de la fourrure est idéale quand les poils présentent une structure vigoureusement cordée et forment écran devant la région faciale. Aussi bien le poil soigneusement peigné que le poil négligé et ébouriffé sont indésirables.
Couleur du poil		a) - Noir. - Noir avec nuance discrète de couleur rouge-rouille ou grise. - Fauve (fakó) avec un masque noir distinct. Une marque blanche d’un diamètre qui ne dépasse pas 3 cm est admise sur le poitrail. Du blanc entre les doigts n’est pas considéré comme un défaut. b) - Blanc perle, sans trace de nuance froment-doré (semmelblond). Toute les couleurs et marques qui s’écartent des couleurs précitées sont indésirables.

Taille et poids
Hauteur au garrot		Pour les mâles : 39 à 45 cm, taille idéale 41 à 43 cm et pour les femelles : 36 à 42 cm, taille idéale 38 à 40 cm.
Poids		Le poids est de 13 à 15 kg pour les mâles, et de 10 à 13 kg pour les femelles.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts entrainant l’exclusion

Chien agressif ou chien peureux.

Absence d’une ou de plusieurs dents (incisives, canines, prémolaires 2-4, et molaires 1 et 2).

Absence de plus de deux PM1 ; les M3 ne sont pas prises en considération.

Prognathisme supérieur ou inférieur, arcade incisive déviée.

Queue portée en faucille ou horizontalement.

Poil court, lisse qui ne forme pas de flocons ni des mêches cordées.

Couleurs défectueuses, marques et taches indésirables.

Taille qui s’écarte des normes indiquées dans le standard.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Compléments apportés par les visiteurs

This is a very old Hungarian breed, developed from Eastern herding dogs brought by the Magyars in the 9th century. Some sources suggest that it might have some Tibetan Terrier blood in its lineage as well. Alongside its larger relative, the Komondor, the Hungarian Puli is an ancestor of many European breeds, most notably the Poodle. This powerful sheepdog has traditionally been used as a herder and protector of livestock, as well as a hunter and farm watchdog. Existing in a variety of working types and sizes in the past, the Puli was standardized in the late 1800's and became a popular show dog and companion during the first half of the 20th century. Nearly wiped out by the WW2, the breed was successfuly revived by committed breeders and is now a common worker and family pet worldwide. The Hungarian Puli also makes a capable water retriever and police dog.
Energetic and playful, the Puli is generally friendly towards people, but can be confrontational around other dogs, needing proper socialization. The coat is long, dense and corded, requiring regular care and grooming. Only black dogs were favoured in the past, but the modern Hungarian Puli also comes in solid shades of white, gray and apricot. The average height is around 17 inches.

Historique détaillé

D'où vient le Puli? Si, grâce à son épaisse et originale toison, il ne laisse guère deviner ses formes, on peut dire aussi que le plus répandu des chiens de berger hongrois ne se montre pas très disposé à dévoiler ses origines exactes.

Selon une hypothèse, exposée dans une publication belge, le Puli pourrait être né au IIIe millénaire avant J. -C. En effet, des inscriptions cunéiformes sumériennes auraient fourni trois noms de chiens ressemblant étrangement aux appellations de trois races hongroises actuelles: ku-mun-dur (aujourd'hui, Komondor), ku-assa (Kuvasz) et pu-ly (Puli). Mais peut-être ne s'agit-il que d'une simple coïncidence linguistique, car, outre qu'on ne sait pas à quoi pouvaient ressembler ces chiens sumériens, aucun élément historique ne permet d'expliquer leur arrivée en Hongrie.

La grande plaine hongroise a été le lieu de passage ou d'installation de nombreux peuples nomades originaires d'Asie. Comme le Puli y est connu depuis des centaines d'années, on a donc cherché à situer son arrivée au moment des diverses invasions dont la région danubienne a été le théâtre. Il y a eu notamment les redoutables Huns, au IVe siècle, mais ils n'ont fait que passer, et on ne voit guère ces adeptes de la « politique de la terre brûlée » laisser un grand nombre de leurs chiens de berger. Plus tard, vers 1240 plus exactement, un peuple d'origine turque, les Coumans, ont poussé jusqu'en Hongrie et y ont effectivement laissé quelques souvenirs, mais, pour ce qui concerne les chiens, il s'agirait plutôt du Kuvasz, comme le corrobore le fait qu'il existe encore maintenant des chiens turcs (appelés Akbash dans les pays anglo-saxons) présentant de grandes analogies avec cette race hongroise.

Il faut donc se tourner finalement vers les Magyars du prince Arpàd, arrivés dans la puszta en 896, pour trouver vraisemblablement les premiers maîtres du Puli. Le mot Puli (au pluriel: Pulik) a d'ailleurs une racine magyare et signifie « chien de berger », tout simplement.

On suppose que le Puli d'il y a quelque mille ans devait posséder une taille supérieure à celle des sujets d'aujourd'hui : « Au début, il effectua un travail de bouvier, où il fallait un chien de grande taille (de 50 à 60 cm), afin de pouvoir se mesurer avec les imposants bœufs gris à longues cornes, ou avec les buffles noirs. Même les moutons racka aux cornes torsadées pouvaient présenter des dangers pour les chiens qui n'étaient pas assez vifs, agiles et robustes », précise Bela Szlamka, secrétaire du Club français de la race. Il était plus grand, certes, mais ne risquait pas vraiment d'être confondu avec son imposant parent, le Komondor : ce dernier était, et est toujours, essentiellement un chien de garde et de protection, qui allie en lui la force et la taille, alors que le Puli se voyait chargé de la conduite des troupeaux, activité réclamant beaucoup plus de vivacité.

Le Puli et le Komondor, qui, avec leur poil long et fourni, plus ou moins feutré ou cordé, ont un aspect caractéristique, sont certainement les deux plus anciens représentants du type chien de berger à poil long. De telles races sont nombreuses en Europe (en France, on connaît le Briard et le petit Berger des Pyrénées), et notamment en Europe de l'Est (où existent le Nizinny polonais, le Berger de Russie Méridionale). Plusieurs auteurs pensent que ce type canin vient d'Asie, et qu'il aurait été introduit en même temps que les grands chiens de montagne. Comme l'ancêtre présumé de ces derniers est le Dogue du Tibet, on a pensé que le chien de berger à poil long originel ne serait autre que le Terrier du Tibet (bien mal nommé, puisque sa fonction était de conduire les troupeaux). Cependant, l'hypothèse du Dogue du Tibet comme ancêtre des molosses européens est elle-même bien fragile, aussi il vaut mieux ne pas s'attarder sur celle ayant pour point de départ le Terrier du Tibet.

Quoi qu'il en soit, il n'y a pas de doute que la toison très protectrice du Puli était bien adaptée au climat fort continental de la puszta hongroise, où la température descend couramment à - 30°C en hiver et peut, en revanche, dépasser les 35 °C en été (c'est pourquoi, on avait l'habitude de la tondre en même temps que celle des moutons, afin que l'activité du chien ne soit pas réduite). L'occupation pastorale typique de la puszta (élevage en plein air toute l'année d'immenses troupeaux de bovins et d'ovins) s'est poursuivie jusqu'au XIXe siècle, et il est donc probable que le Puli n'a pas subi d'évolution notable, depuis son arrivée.

Au cours du XVIIIe siècle, cependant, un événement eut sans doute une répercussion sur le Puli. A cette époque, on commença d'importer d'Europe de l'Ouest des moutons mérinos, aux qualités lainières incomparables. Les chiens de berger qui amenèrent ces troupeaux jusqu'en Hongrie, et qui pouvaient être espagnols, français et allemands, ne manquèrent pas de se fixer dans la puszta et de se mélanger aux Pulik locaux. De ces croisements résulta une nouvelle race, le Pumi, à l'évidence apparentée au Puli pour nombre de ses caractéristiques, mais qui montre aussi une ascendance Spitz bien visible (ses oreilles érigées, par exemple); d'ailleurs, ce chien a eu, avant celle de Pumi, d'autres appellations comme celle de Puli aux oreilles dressées ou celle de Somogy Puli (Somogy étant le nom d'une région de Hongrie). Chez le Puli, cet apport de races étrangères se traduisit par un caractère nouveau: l'apparition de robes foncées, noires ou noir roussâtre. On peut penser également que, devenant spécialiste de la conduite des moutons mérinos, il vit sa taille diminuer quelque peu.

Un autre fait doit être noté: pendant un laps de temps assez long (entre le XVIe et le XVIIIe siècle), le Puli fut employé à une tâche radicalement différente de la conduite des troupeaux, à savoir la chasse au marais, notamment comme spécialiste du canard. Voilà qui peut étonner : sa robe, certes fort protectrice pour évoluer dans les eaux glacées, ne le gênait-elle pas pour nager? Il semble que non; au contraire, elle aurait fait office de flotteur, et on peut remarquer aujourd'hui que de nombreux Pulik ont un goût prononcé pour l'élément aquatique. Par ailleurs, cette fonction témoigne de la formidable adaptabilité de la race. C'est ainsi que le Puli fut appelé également le « chien d'eau hongrois ». En 1751, un auteur allemand du nom de Heppe utilisa cette appellation en lui joignant une description qui correspond parfaitement à celle du Puli.

Si la littérature concernant le Puli dans son activité traditionnelle de conducteur de troupeaux est quasiment inexistante (bien peu de lettrés s'intéressaient aux choses de la campagne), l'ancienneté de la race est amplement confirmée, par exemple grâce à l'abondance de proverbes hongrois ayant trait au Puli. M. Szlamka nous en livre quelques-uns, très révélateurs de l'originalité de la race: « Il y a le Puli et les autres chiens », ou : « Le Puli est un Puli et non un chien », et : « Observe ton Puli, tu sauras qui se trouve face à toi! »

Cependant, à mesure que le XIXe siècle avançait, les troupeaux transhumants durent de plus en plus laisser la place aux cultures, et le Puli finit par déserter la campagne hongroise, sauf en quelques régions. On l'employa encore comme chien de garde dans les villages et les fermes, puis, avec l'exode rural, il se retrouva dans les villes, toujours comme chien de garde. Cette tâche de cerbère lui alla si bien que, dans les années 1920 - 1930, la police l'employa avec succès, en choisissant bien sûr les spécimens les plus grands (50 cm au garrot et plus). Le standard actuel mentionne encore cette ancienne affectation.

Cette référence au standard permet d'en venir à la période cynophile de la race. Le premier standard du Puli fut rédigé en 1924 et rendu officiel l'année suivante (il a été revu en 1955, puis en 1966). A la même époque, un club de la race fut fondé, alors qu'auparavant il existait une seule association des éleveurs de chiens de berger hongrois. Rapidement, le Puli devint une des races préférées dans son pays : des statistiques de 1935 nous apprennent qu'il était alors le deuxième en nombre. Le Livre des origines hongrois comptait alors 992 inscriptions de Pulis pour 1 700 inscriptions de Kuvasz (la race de Berger hongrois la plus prisée à l'époque), 972 de Komondors et 293 de Pumis. Dès lors, la race fut rapidement connue en Occident, et en premier lieu aux Etats-Unis, du fait que de nombreux Hongrois s'étaient expatriés outre-Atlantique. Sa robe cordée ayant fait sensation en 1930, il suscita assez d'intérêt pour être officiellement reconnu par I'American Kennel Club dès 1936.

C'est de 1936, également, que date l'inscription du premier spécimen de la race au Livre des origines français. En France, le Puli est cependant resté fort discret jusqu'à une époque récente. En 1960, il n'existait encore pratiquement pas de possibilités d'importation. Ce n'est qu'en 1980, avec la création d'une section des chiens de berger hongrois au sein du Club du Shetland, que la race a pu s'accroître en nombre et commencer à sortir de l'anonymat. Reconnaissance bien nécessaire, car la plupart des ouvrages canins, quand ils n'omettaient pas de signaler l'existence du Puli, en donnaient des descriptions fantaisistes, aussi bien en ce qui concerne son poids, indiqué par exemple comme deux fois trop élevé, que son poil, que certains sujets auraient eu « même long et cordé ». Si, au physique, le Puli n'est certainement pas un chien ordinaire, son caractère n'est pas moins original, ce que laissent d'ailleurs pressentir les proverbes hongrois cités plus haut.

On s'attardera tout d'abord sur son aspect. Lorsque le Puli est couché à quelque distance, on ne peut voir qu'un amas indistinct de poils emmêlés; en s'approchant, peut-être verra-t-on une langue pendante, et en déduira-t-on qu'il s'agit d'un animal. Que ce dernier se lève, et on ne sera guère mieux renseigné : certes, on sait désormais par « quel bout le prendre », puisqu'une masse ronde émerge, qui est à l'évidence une tête, avec sa truffe et sa langue; des oreilles et des yeux, point. De cou, il ne semble pas y en avoir non plus, ni de queue. Et, si c'est un beau sujet âgé de trois ou quatre ans (dont la robe a atteint son complet développement), c'est tout juste s'il y a des membres pour soutenir cette masse poilue, le plus souvent noire ou brun-noir, voire entièrement rousse (dans ce dernier cas, il s'agit d'un noir qui a roussi, et non d'un vrai marron ou bronze, car la truffe reste noire et non brune). Mais voilà que cela s'anime, bondit, comme monté sur ressorts. Le doute n'est alors plus permis, il s'agit bien d'un chien, extrêmement vif, pétulant, témoignant bientôt de son amitié pour ses proches ou repoussant vigoureusement les intrus. On se dit alors qu'une race à l'aspect aussi curieux doit nécessiter des soins très contraignants, ou que sa silhouette doit bien moins à la nature qu'à un toilettage particulier. Erreur! Cette propension qu'a le poil du Puli à former des cordes, des nattes ou des rubans selon les cas est toute naturelle, et il faut seulement que le propriétaire donne, au moment opportun, un petit « coup de pouce ». En l'occurrence, pour les robes qui ont tendance à feutrer, il évitera que les tresses, qui commencent à se former à partir de l'âge de un an (ou un peu avant), ne s'emmêlent, ne se mélangent. Aucun artifice donc dans cette intervention, mais surtout un examen régulier de la robe. Les bains fréquents sont à proscrire, car ils modifieraient la texture du poil. Pour la partie inférieure de la fourrure, qui se salit plus vite, quelques lavages partiels dans l'année peuvent être nécessaires. Sinon, un ou deux bains complets par an doivent être suffisants. Finalement, on peut dire que l'entretien du Puli demande, le plus souvent, moins de temps que celui de la plupart des autres races à poil long.

A la naissance, le bébé Puli possède un poil court, brillant, frisé et bouclé. Deux mois plus tard, la robe est devenue plus longue (de 4 à 8 cm) et fournie, elle est toujours douce au toucher, mais elle ne boucle plus que légèrement. A la puberté, nouvelle « métamorphose » : le « poil de jeune» est remplacé par celui d'adulte, où le sous-poil, appelé « poil floconneux » dans le standard, va commencer à faire feutrer la robe. Dès ce moment, il faudra éviter les interventions fréquentes de la brosse (du genre d'une brosse en chiendent) jusqu'alors utilisée. Si la robe a tendance à corder, elle ne nécessitera presque plus aucun entretien. Si, au contraire, elle a tendance à feutrer par larges plaques, il faudra y mettre régulièrement les doigts, pour ôter le poil mort et surtout pour faciliter la formation de « rubans ». Entre ces deux extrêmes, il existe d'autres types de robes, avec des tresses ou des rubans plus ou moins larges. Ces différences sont liées à l'abondance du sous-poil par rapport à celle du poil de jarre. Elles sont aussi d'ordre génétique. On notera enfin que le complet développement de la robe n'est atteint qu'à partir de l'âge de deux ou trois ans.

Mais l'originalité de son système pileux ne doit pas occulter le caractère très typé du Puli. C'est tout d'abord un chien très vivant, nullement gêné dans ses mouvements par son épaisse toison, aimant se dépenser en pleine nature ou au jardin, et, en plus, c'est un excellent sauteur. Son galop, très saccadé, est tout à fait curieux, mais apparemment efficace. Ce chien rustique dans l'âme, qu'aucune intempérie ne saurait dissuader de sortir, peut s'accommoder d'une vie citadine, à condition de bénéficier de sorties fréquentes.

Le deuxième trait de caractère qui saute immédiatement aux yeux est son aptitude très développée à la garde. Sa méfiance est innée, et, le cas échéant, il peut faire preuve d'initiative et de courage. Rien ne lui échappe, et il n'hésite pas à le signaler. Si on le laisse livré toute la journée à lui-même, il est possible qu'il devienne un bavard impénitent, mais on pourra corriger ce défaut au moyen d'une éducation appropriée, et en lui proposant diverses activités : les chiens aboyeurs, à quelque race qu'ils appartiennent, sont le plus souvent des chiens qui trompent leur ennui. Au total, on peut considérer le Puli comme un très bon chien de garde. Il compense sa taille modérée par un aspect déroutant qui impressionne.

Ces dispositions pour la garde sont complétées par une bonne réceptivité au dressage: à ce sujet, ses dons d'observation et sa grande mémoire ont souvent et justement été soulignés. Néanmoins, il faut tenir compte de son tempérament fier, indépendant, exclusif: donc, pas de punitions injustes ou disproportionnées, pas d'exercices longs et répétitifs. On travaillera dans la joie et la complicité. Ces conseils sont évidemment valables pour toutes les races, mais il faut noter que le Puli est imperméable à une éducation « mécanique » et coercitive. Au contraire, en tablant sur sa tendance à s'attacher à son maître, sur son goût du jeu (dans ce domaine il fait assaut d'invention et de pétulance avec les enfants de la famille), on peut certainement obtenir d'excellents résultats: le Puli a été chien de police dans son pays, on ne l'oublie pas, et, aux Etats-Unis, de nombreux Pulik sont formés avec succès à l'obédience et même à la défense. Le Puli partage sa robe très curieuse avec l'immense Komondor. Sa diffusion est facilitée par son gabarit modéré: une quarantaine de centimètres au garrot pour un poids compris entre 10 et 15 kilos. En aucun cas) cependant, on ne peut le considérer comme un « petit chien », grâce à son tempérament affirmé. Pour peu que son maître et ses proches fassent l'effort de le comprendre, il peut s'adapter aux conditions de vie les plus diverses. L'intérêt qu'on lui a manifesté ces dix dernières années n'a rien d'un feu de paille, d'une mode éphémère: le Puli est original par quelque bout qu'on le prenne. Son aspect surprend, certes, au premier abord, mais c'est tout au long de sa vie que son intelligence, ses capacités d'initiative et sa facilité d'adaptation étonneront. Et, comme sa bonne santé s'accompagne de longévité, on peut prédire que les futurs acquéreurs de Puli ne regretteront pas leur choix.

English

		Puli FCI Standard No. 55

Origin		Hungary
Translation		Mrs C. Seidler and Mrs Elke Peper
Group		Group 1 Sheepdogs and Cattle Dogs (Except Swiss Cattle Dog)
Section		Section 1 Sheepdogs
Working		Without working trial
Acceptance on a definitive basis by the FCI		Wednesday 11 August 1954
Publication of the official valid standard		Tuesday 29 October 2013
Last update		Friday 06 December 2013
En français, cette race se dit		Puli
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar		Puli
En español, esta raza se dice		Puli
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Puli

Usage

Herding dog.

Brief historical summary

The Puli is a Hungarian herding breed of Asiatic origin. His original ancestors most probably came to the Carpathian Basin with the migrating ancient Magyars, who lived as nomads on stock-breeding.

General appearance

Dog of medium size with strong constitution, square build and fine, but not too light bones. The somewhat lean body is well muscled all over. The construction of the individual body parts is difficult to judge, as the whole body is covered by a strongly developed coat, tending to form curls and cords. It is therefore useful to touch the dog when judging. The coat on the head is so profuse that the head appears round and the eyes are covered. The profusely coated tail, curled forward over the back, gives the appearance of the topline rising slightly towards the rear.

Important proportions

The body length is equal to the height at the withers.
The depth of the brisket is slightly less than half of the height at the withers.
The length of the muzzle is one third of the total length of the head.

Behaviour / temperament

Of lively temperament, extremely able to learn. Loves children and is an excellent watchdog. His present shape has adapted him to sporting use.

Head
Cranial region
Head		Seen from the front, round, seen from the side appears to be elliptic.
Skull		Small and fine. Superciliary ridges strongly developed.
Stop		Barely developed.

Facial region
Nose		Rather small, black.
Muzzle		Not pointed; bridge of nose straight.
Lips		Taut, with dark pigmentation.
Jaws and teeth		Complete scissor bite according to the dentition formula. 42 teeth.
Eyes		Of medium size, dark brown, set in slightly oblique and medium wide apart. The expression is lively and intelligent. Rims of lids close-fitting to the eyeball and well pigmented.
Ears		Set on at medium height with broad base. The pendant leathers V-shaped with rounded tips.

Neck

Of medium length, taut, well muscled. Forms an angle of about 45 degrees to the horizontal and is covered by dense coat.

Body
Topline		Straight. Giving the impression of rising slightly towards the rear because of the tail carriage.
Withers		Only slightly projecting from the topline.
Back		Of medium length, straight, dry and muscular.
Loin		Very strongly muscled, short.
Croup		Short, slightly sloping.
Chest		Deep, long with well arched ribs.
Underline and belly		Gradually rising towards rear.

Tail

Set on at medium height and carried in a flat curl over the croup. Well covered by dense coat. When stretched out, it reaches to the hocks.

Limbs

Forequarters
Shoulders		Shoulder blade sloping, tightly fitting to the brisket. A vertical line from the withers touches the front part of the chest at its deepest point. The angle between shoulder blade and upper arm is 100 to 110 degrees.
Upper arm		Medium long, well muscled.
Elbows		Lying closely to the brisket. Angle between upperarm and forearm: 120 to 130 degrees.
Forearm		Long, straight, with dry muscles.
Forefeet		Short, rounded, tight with well knit toes. Nails black or dark slate grey. Pads dark in colour and springy. Feet parallel, pointing forward and medium wide apart.

Hindquarters
Generality		The legs are medium wide apart and parallel. The angle between pelvis and upper thigh is about 100 to 110 degrees. Angulation of stifle joint 100 to 110 degrees.
Upper thigh		Upper and lower thigh : Long and well muscled.
Metatarsus		Short.
Hock		Dry, clean-cut.
Hind feet		A little flatter than front feet, otherwise similar.

Gait and movement

Very lively and spirited. Steps short. The gait is often typically mincing and jumping. The dog has a tendency to spin round himself.

Skin

Without wrinkles, tight, with strong pigment. The bare skin is black or slate grey in all coat colours.

Coat
Hair		The puppy coat is dense, wavy or curly. Later, there are tufts of hair developing to tassels and cords. The coat consists of a coarser top coat and a finer undercoat. The relation between these two types of hair determines the character of the coat. If the topcoat highly predominates the undercoat, the coat structure is untypical and the coat sticks slightly out. If the undercoat is too highly predominant – which is undesirable – this results in a matted coat of too soft texture, difficult to groom. The correct proportion between the two types of hair, which is genetically fixed, produces the aesthetical tassels or cords, which are easy to groom. The cords on the loins and the croup and at the back of the upper thighs are longest (20-30 cm). They are shortest on the head and at the limbs (10-12 cm). Coat on head is ideal when the hair forms a strong structure of cords covering the facial region. Both a combed out and a neglected, tousled coat are undesirable.
Colour		a) - Black. - Black with few rusty coloured or grey shadings. - Fawn (fakó) with a distinct black mask. A white patch at the forechest, not exceeding 3 cm in diameter, is permitted. White between the toes is not regarded as a fault. b) - Pearl white without any russet gold (semmelblond). Any colour or marking deviating from the above, is undesirable.

Size and weight
Height at withers		Dogs 39 - 45 cm, ideal height: 41 - 43 cm. Bitches 36 - 42 cm, ideal height: 38 - 40 cm.
Weight		Dogs 13 - 15 kg, bitches 10 - 13 kg.

Faults

• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness.

Disqualifying faults

Aggressive or overly shy.

One or more missing teeth (incisors, canines, premolars 2-4, molars 1-2.

More than two missing PM1, the M3 are disregarded.

Over- or undershot, wry mouth.

Tail carried in sickle shape or horizontally.

Short, smooth, separately growing hairs.

Faults in colour.

Undesired markings and patches.

Size deviating from the limits mentioned in the standard.

NB :

• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding.

Bibliography

http://www.fci.be/

Additional information from visitors

Detailed history

Where does Puli come from? If, thanks to its thick and original fleece, it hardly lets guess its forms, one can also say that the most widespread of the Hungarian sheepdogs does not show itself very willing to reveal its exact origins.

According to one hypothesis, set out in a Belgian publication, the Puli could have been born in the third millennium BC. In fact, Sumerian cuneiform inscriptions would have given three names of dogs, strangely resembling the names of three current Hungarian races: ku-mun-dur (today, Komondor), ku-assa (Kuvasz) and pu-ly (Puli). But perhaps this is simply a linguistic coincidence, because, besides not knowing what these Sumerian dogs could look like, there is no historical evidence to explain their arrival in Hungary.

The Great Hungarian Plain was the place of passage or settlement of many nomadic peoples from Asia. As the Puli has been known for hundreds of years, we sought to locate its arrival at the time of the various invasions of which the Danubian region was the theater. There have been the formidable Huns, in the fourth century, but they have just passed, and we hardly see these followers of the "burnt earth policy" leave many of their sheepdogs. Later, around 1240, a people of Turkish origin, the Cumans, pushed to Hungary and left some memories, but, as far as dogs are concerned, it would be more like Kuvasz, as corroborates the fact that there are still now Turkish dogs (called Akbash in the Anglo-Saxon countries) presenting great analogies with this Hungarian race.

We must therefore finally turn to the Magyars of Prince Arpàd, arrived in the puszta in 896, to find probably the first masters Puli. The word Puli (plural: Pulik) also has a Magyar root and means "sheepdog", quite simply.

It is supposed that the Puli from a thousand years ago had to be bigger than today's subjects: "At first he did a job as a drover, where he needed a large dog (50 at 60 cm), so that you can measure yourself against the imposing gray oxen with long horns, or with the black buffaloes. Even racka sheep with twisted horns could be dangerous for dogs that were not lively enough, agile and robust, "says Bela Szlamka, secretary of the French Club of the breed. He was taller, certainly, but did not really risk being confused with his imposing kinsman, the Komondor: the latter was, and still is, essentially a watchdog and protection dog, which combines strength and size , while the Puli saw itself in charge of the management of the flocks, an activity requiring much more vivacity.

The Puli and the Komondor, which, with their long hair and furnished, more or less felted or corded, have a characteristic aspect, are certainly the two oldest representatives of the type of long-haired shepherd dog. Such breeds are numerous in Europe (in France, we know the Briard and the little Pyrenean Shepherd), and especially in Eastern Europe (where there is the Polish Nizinny, the Shepherd of Southern Russia). Several authors think that this canine type comes from Asia, and that it would have been introduced at the same time as the big mountain dogs. As the presumed ancestor of these is the Tibetan Mastiff, it was thought that the original long-haired shepherd dog would be none other than the Tibetan Terrier (badly named, since its function was to lead the herds). However, the hypothesis of the Tibetan Mastiff as an ancestor of the European mastiffs is itself very fragile, so it is better not to dwell on the starting point of the Tibetan Terrier.

Be that as it may, there is no doubt that the very protective fleece of the Puli was well adapted to the continental climate of the Hungarian puszta, where the temperature usually drops to -30 ° C in winter and can, in on the other hand, to exceed 35 ° C in summer (that is why, it was used to mow it at the same time as that of sheep, so that the activity of the dog is not reduced). The typical pastoral occupation of the puszta (open-air breeding all year round with large herds of cattle and sheep) continued until the 19th century, so it is likely that the Puli did not undergone significant evolution since his arrival.

During the eighteenth century, however, an event had undoubtedly an impact on the Puli. At that time, merino sheep with incomparable wool qualities were imported from Western Europe. The shepherd dogs that brought these flocks to Hungary, which could be Spanish, French and German, did not fail to settle in the puszta and mix with the local Pulik. From these crossings resulted a new breed, the Pumi, obviously related to the Puli for many of its characteristics, but also showing a clearly visible Spitz pedigree (its erected ears, for example); besides, this dog had, before that of Pumi, other appellations like that of Puli with erect ears or that of Somogy Puli (Somogy being the name of a region of Hungary). In the Puli, this influx of foreign races translated into a new character: the appearance of dark, black or russet black dresses. One can also think that, becoming a specialist in the conduct of merino sheep, he saw his size decrease somewhat.

Another fact must be noted: during a fairly long period of time (between the sixteenth and eighteenth centuries), the Puli was employed in a task radically different from herd management, namely swamp hunting, particularly as a specialist in duck. That may surprise: his dress, certainly protective to evolve in icy waters, did not it embarrassed to swim? It seems that no; on the contrary, it would have served as a float, and we can notice today that many Pulik have a taste for the aquatic element. In addition, this function reflects the tremendous adaptability of the breed. Thus the Puli was also called the "Hungarian water dog". In 1751, a German author named Heppe used this name with a description which corresponds perfectly to that of the Puli.

If the literature concerning Puli in its traditional activity of herdsman is practically non-existent (very few scholars were interested in the things of the countryside), the seniority of the breed is amply confirmed, for example thanks to the abundance of Hungarian proverbs relating to Puli. Mr. Szlamka gives us some, very revealing of the originality of the breed: "There is the Puli and the other dogs", or: "The Puli is a Puli and not a dog", and: "Observe Puli, you'll know who's in front of you! "

However, as the nineteenth century progressed, transhumance herds increasingly gave way to crops, and the Puli eventually deserted the Hungarian countryside, except in a few areas. He was still used as a watchdog in the villages and farms, and then, with the rural exodus, he found himself in the cities, still as a watchdog. This task of cerberus went so well that in the years 1920 - 1930, the police employed it successfully, choosing of course the largest specimens (50 cm at the withers and more). The current standard still mentions this old assignment.

This reference to the standard allows to come to the dog's race period. The first standard Puli was written in 1924 and made official the following year (it was reviewed in 1955, then in 1966). At the same time, a club of the breed was founded, whereas previously there was only one association of Hungarian sheepdog breeders. Quickly, the Puli became one of the favorite breeds in his country: statistics from 1935 tell us that he was then second in number. The Book of Hungarian Origins then counted 992 Pulis inscriptions for 1,700 inscriptions of Kuvasz (the most popular Hungarian Shepherd breed at the time), 972 of Komondors and 293 of Pumis. From then on, the breed was quickly known in the West, and primarily in the United States, because many Hungarians had expatriated themselves overseas. His corded dress having caused a sensation in 1930, it aroused enough interest to be officially recognized by the American Kennel Club since 1936.

It was also in 1936 that the first specimen of the breed was added to the Book of French Origins. In France, the Puli however remained very discreet until recently. In 1960, there were still practically no import possibilities. It was only in 1980, with the creation of a section of Hungarian sheepdogs within the Shetland Club, that the breed could grow in numbers and begin to emerge from anonymity. Recognition much needed, because most of the dog books, when they did not omit to report the existence of the Puli, gave fanciful descriptions, both in terms of its weight, indicated for example as twice as high, that his hair, that some subjects would have had "even long and corded". If, on the physical side, the Puli is certainly not an ordinary dog, its character is no less original, which, moreover, is suggested by the Hungarian proverbs mentioned above.

We will focus first on its appearance. When the Puli lies at a distance, we can see only an indistinct mass of tangled hairs; on approaching, perhaps one will see a lingering tongue, and will one deduce that it is an animal. That the latter gets up, and we will not be much better informed: certainly, we now know by "what end to take", since a round mass emerges, which is obviously a head, with its truffle and language; ears and eyes, point. From neck, there does not seem to be any, neither tail. And, if it is a beautiful subject aged three or four years (whose dress has reached its full development), it is just if there are members to support this hairy mass, most often black or brown -Black, or even entirely red (in the latter case, it is a black that has scorched, not a real brown or bronze, because the truffle remains black and not brown). But here it comes alive, leaps, as if mounted on springs. Doubt is then no longer allowed, it is indeed a dog, extremely lively, petulant, soon testifying to his friendship for his family or vigorously repelling intruders. It is then said that a race with such a curious appearance must require very restrictive care, or that its silhouette owes much less to nature than to a particular grooming. Error! This propensity for the hair of Puli to form ropes, mats or ribbons depending on the case is quite natural, and it is only necessary that the owner gives, at the appropriate moment, a small "boost". In this case, for dresses that tend to felting, it will prevent the braids, which begin to form from the age of one year (or a little before), do get entangled, do not mix. No artifice so in this intervention, but especially a regular examination of the dress. Frequent baths are to be avoided because they would change the texture of the hair. For the lower part of the fur, which gets dirty faster, some partial washes in the year may be necessary. Otherwise, one or two full baths per year should be sufficient. Finally, it can be said that maintenance of the Puli requires, in most cases, less time than that of most other long-haired breeds.

At birth, the baby Puli has a short hair, shiny, curly and curly. Two months later, the dress has become longer (4 to 8 cm) and provided, it is still soft to the touch, but it does not loop any more than slightly. At puberty, a new "metamorphosis": the "young hair" is replaced by that of adult, where the undercoat, called "fluffy hair" in the standard, will start felting the dress. From this moment, it will be necessary to avoid the frequent interventions of the brush (of the kind of a brush in quack grass) hitherto used. If the dress tends to string, it will require almost no maintenance. If, on the contrary, it tends to fel in large plates, it will be necessary to regularly put the fingers, to remove the dead hair and especially to facilitate the formation of "ribbons". Between these two extremes, there are other types of dresses, with braids or ribbons more or less wide. These differences are related to the abundance of the undercoat compared to that of the jar hair. They are also genetic. Finally, note that the complete development of the dress is reached only from the age of two or three years.

But the originality of its hair system should not overshadow the very typical character of Puli. It is first of all a dog very alive, not at all embarrassed in his movements by his thick fleece, loving to spend in the middle of nature or in the garden, and, in addition, it is an excellent jumper. His galloping, very jerky, is quite curious, but apparently effective. This rustic dog in the soul, no inclement weather can not deter from going out, can live with a city life, provided to benefit from frequent exits.

The second trait that immediately jumps to the eye is his highly developed ability to guard. His suspicion is innate, and if necessary, he can show initiative and courage. Nothing escapes him, and he does not hesitate to point it out. If left unattended all day long, it is possible that he will become an unrepentant talker, but this defect can be corrected by means of an appropriate education, and by offering him various activities: barking dogs, whatever race they belong to, are most often dogs who deceive their boredom. In total, the Puli can be considered as a very good guard dog. It compensates for its moderate size with a confusing appearance that impresses.

These provisions for the care are supplemented by a good receptivity to the dressage: in this respect, his gifts of observation and his great memory have often and precisely been underlined. Nevertheless, one must take into account his proud, independent, exclusive temperament: therefore, no unfair or disproportionate punishments, no long and repetitive exercises. We will work in joy and complicity. These tips are obviously valid for all breeds, but it should be noted that the Puli is impervious to a "mechanical" and coercive education. On the contrary, by counting on his tendency to become attached to his master, on his taste for the game (in this area he makes an onslaught of invention and petulance with the children of the family), we can certainly obtain excellent results. Puli has been a police dog in his country, we do not forget, and in the United States, many Pulik are successfully trained in obedience and even in defense. The Puli shares his very curious dress with the huge Komondor. Its diffusion is facilitated by its moderate size: about forty centimeters at the withers for a weight between 10 and 15 kilos. In no case, however, can it be considered a "little dog", thanks to its assertive temperament. As long as his master and his family make the effort to understand him, he can adapt to the most diverse living conditions. The interest shown to him over the past ten years has nothing to do with a flash of fire, of an ephemeral fashion: the Puli is original by whatever end it takes. At first glance, her appearance is surprising, but it is throughout her life that her intelligence, her capacity for initiative and her ease of adaptation are astonishing. And, as its good health is accompanied by longevity, one can predict that the future buyers of Puli will not regret their choice.

Deutsch

		Puli FCI-Standard Nr. 55

Ursprung		Ungarn
Übersetzung		Peter Weit
Gruppe		Gruppe 1 Hüte- und Treibhunde (ausgenommen Schweizer Sennenhunde)
Sektion		Sektion 1 Schäferhunde
Arbeitsprüfung		Ohne Arbeitsprüfung
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI		Mittwoch 11 August 1954
Publikation des gültigen offiziellen Standards		Dienstag 29 Oktober 2013
Letzten Aktualisierung		Freitag 06 Dezember 2013
En français, cette race se dit		Puli
In English, this breed is said		Puli
En español, esta raza se dice		Puli
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Puli

Verwendung

Treibhund.

Kurzer geschichtlicher abriss

Es handelt sich um eine ungarische Treibhunderasse asiatischen Ursprungs. Seine ursprünglichen Vorfahren kamen aller Wahrscheinlichkeit nach mit den wandernden, als Nomaden von der Viehzucht lebenden Altmagyaren ins Karpatenbecken.

Allgemeines erscheinungsbild

Hund von mittlerer Grösse, fester Konstitution, quadratischem Körperbau und feiner, aber nicht zu leichter Knochenstruktur. Der etwas hagere Körper ist in allen Teilen gut bemuskelt. Die Gestaltung der einzelnen Körperteile ist schwer zu beurteilen, weil der ganze Körper von einem stark entwickelten, zur Bildung von Zotten und Schnüren neigenden Haarkleid bedeckt ist. Es ist deshalb zweckmässig, während des Richtens den Hund abzutasten. Die Kopfbehaarung ist so üppig, dass sie den Kopf rund erscheinen lässt und die Augen abschirmt. Die nach vorne über die Kruppe eingerollte, üppig behaarte Rute verursacht scheinbar eine nach hinten leicht ansteigende Körperform.

Wichtige proportionen

Die Körperlänge entspricht der Widerristhöhe.
Die Brustkorbtiefe beträgt etwas weniger als die Hälfte der Widerristhöhe.
Die Fanglänge entspricht einem Drittel der Kopflänge.

Verhalten / charakter (wesen)

Von lebhaftem Temperament, ausserordentlich lernfähig. Er ist kinderliebend und ein ausgezeichneter Wachhund. Seine gegenwärtige Form hat sich an die Verwendung im Hundesport angepasst.

Kopf
Oberkopf
Kopf		Von vorne gesehen rund, von der Seite gesehen scheint er elliptisch zu sein.
Schädel		Klein und fein. Augenbrauenbogen stark entwickelt.
Stop		Schwach ausgebildet.

Facial region
Nasenschwamm		Relativ klein, schwarz.
Fang		Nicht spitz; Nasenrücken gerade.
Lefzen		Straff, dunkel pigmentiert.
Kiefer / Zähne		Vollzahniges Scherengebiss mit der Zahnformel entsprechenden 42 Zähnen.
Augen		Die mittelgrossen, dunkelbraunen Augen sind leicht schräg und mittelweit voneinander eingesetzt. Der Ausdruck ist lebhaft und intelligent. Die Lidränder sind straff am Augapfel anliegend und gut pigmentiert.
Ohren		Mittelhoch angesetzt mit breiter Basis. Die hängenden Ohrlappen haben eine an der Spitze abgerundete V-Form.

Hals

Mittellang, straff, gut bemuskelt. Er bildet mit der Horizontalen einen Winkel von 45 Grad und ist mit dichtem Haar bedeckt.

Körper
Obere Profillinie		Gerade, wegen der Rutenhaltung scheinbar nach hinten leicht ansteigend.
Widerrist		Er ragt nur in geringem Masse über die Oberlinie hinaus.
Rücken		Mittellang, gerade, straff, bemuskelt.
Lenden		Reichlich bemuskelt, kurz.
Kruppe		Kurz, leicht abfallend.
Brust		Tief, lang, mit gut gewölbten Rippen.
Untere Profillinie und Bauch		Bauch : Allmählich nach hinten ansteigend.

Rute

Die mittelhoch angesetzte Rute ist über die Kruppe flach eingerollt und dicht mit Haar bedeckt. Wenn sie ausgestreckt wird, reicht sie in der Länge bis zum Sprunggelenk.

Gliedmassen

Vorderhand
Schultern		Schulterblatt schräg, straff am Brustkorb anliegend. Eine vom Widerrist aus gefällte Vertikale streift die Vorderfront der Brust an deren tiefsten Punkt. Der Winkel zwischen Schulterblatt und Oberarm beträgt 100 bis 110 Grad.
Oberarm		Mittellang und gut bemuskelt.
Ellenbogen		Eng an den Brustkorb anliegend. Der Winkel zwischen Oberarm und Unterarm beträgt 120 bis 130 Grad.
Unterarm		Lang, gerade, mit einer trockenen Muskulatur.
Vorderpfoten		Kurz, rundlich, straff, mit eng aneinanderliegenden Zehen. Die Krallen sind schwarz oder dunkel-schiefergrau. Die Ballen sind dunkel gefärbt und elastisch. Die Pfoten sind parallel, nach vorne gerichtet und stehen mittelweit auseinander.

Hinterhand
Allgemeines		Die Stellung der Läufe ist mittelweit und parallel. Der Winkel zwischen Becken und Oberschenkel beträgt zirka 100-110 Grad; die Winkelung im Kniegelenk beträgt 100-110 Grad.
Oberschenkel		Lang und gut bemuskelt.
Unterschenkel		Lang und gut bemuskelt.
Hintermittelfuss		Kurz.
Sprunggelenk		Trocken, klar umrissen.
Hinterpfoten		Ein wenig flacher als die Vorderpfoten, sonst gleich.

Gangwerk

Bewegung sehr lebhaft und temperamentvoll. Schritt kurz. Die Bewegung ist oft typisch trippelnd und hüpfend. Der Hund hat die Tendenz, sich wirbelnd um die eigene Achse zu drehen.

Haut

Ohne Falten, straff, stark pigmentiert. Die freien Hautflächen sind bei jeder Farbvarietät schwarz oder schiefergrau.

Coat
Haar		Das Haar der Welpen ist dicht, gewellt oder gekräuselt. Später bilden sich Haarbüschel und danach kräftig strukturierte Zotten und Schnüre. Die Behaarung besteht aus einem gröberen Deckhaar und einer feineren Unterwolle. Das Verhältnis der beiden Haartypen zueinander bestimmt den Charakter des Haarkleids. Wenn das Deckhaar viel stärker entwickelt ist als die Unterwolle ist die Behaarung atypisch strukturiert und die Haare etwas abstehend. Wenn die Unterwolle unerwünschterweise zu stark überwiegt, entsteht eine allzu weich strukturierte, verfilzte Behaarung, die schwer zu pflegen ist. Das genetisch bestimmte richtige Verhältnis der beiden Haarsorten ergibt die ästhetisch vorteilhafte Zotten- oder Schnürenform, die leicht zu pflegen ist. Die Schnüre sind in der Lenden- und Kruppengegend und an der Hinterseite der Oberschenkel am längsten (20 bis 30 cm). Sie sind am Kopf und an den Gliedmassen am kürzesten (10 bis 12 cm). Die Behaarung des Kopfes ist ideal, wenn die Haare eine kräftige schnürenartige Struktur aufweisen und den Gesichtsbereich abschirmen. Sowohl die ausgekämmte als auch die vernachlässigte und zerzauste Behaarung ist unerwünscht.
Farbe		a) - Schwarz. - Schwarz mit geringen rostroten oder grauen Nuancen. - Falbfarben (fakó) mit deutlicher, schwarzer Maske. In der Brustgegend ist ein weisser Fleck von höchstens 3 cm Durchmesser zulässig. Weiss zwischen den Zehen gilt nicht als Fehler. b) - Perlenweiss, ohne eine Spur von semmelblonder Schattierung. Alle von den vorgenannten abweichenden Farben und Abzeichen sind unerwünscht.

Grösse und gewicht
Widerristhöhe		Für Rüden 39 bis 45 cm, Idealgrösse 41 bis 43 cm. Für Hündinnen 36 bis 42 cm, Idealgrösse 38 bis 40 cm.
Gewicht		Für Rüden 13 bis 15 kg, Für Hündinnen 10 bis 13 kg.

Fehler

• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden.

Disqualifizierende fehler

Aggressiv oder ängstlich.

Fehlen von einem Zahn oder mehrerer Zähne von den Schneidezähnen, den Eckzähnen, den Prämolaren 2-4 und den Molaren 1-2.

Fehlen von mehr als 2 PM1; die M3 werden nicht berücksichtigt.

Vor- oder Rückbiss, Kreuzgebiss.

Rute sichelförmig oder horizontal getragen.

Kurze, glatte, einzelstehende Haare.

Farbfehler und unerwünschte Abzeichen und Flecken.

Grösse von den im Standard festgesetzten Normen abweichend.

NB :

• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Ergänzungen durch die Besucher

Detaillierter Verlauf

Woher kommt Puli? Wenn es dank seines dicken und ursprünglichen Vlieses seine Formen kaum erraten kann, kann man auch sagen, dass der am meisten verbreitete der ungarischen Schäferhunde nicht sehr bereit ist, seine genauen Ursprünge zu offenbaren.

Nach einer Hypothese, die in einer belgischen Publikation veröffentlicht wurde, könnte die Puli im dritten Jahrtausend vor Christus geboren worden sein. Tatsächlich hätten sumerische Keilschrift-Inschriften drei Namen von Hunden gegeben, die seltsamerweise den Namen von drei aktuellen ungarischen Rassen ähneln: ku-mun-dur (heute Komondor), ku-assa (Kuvasz) und pu-ly (Puli). Aber vielleicht ist das nur ein sprachlicher Zufall, denn außer dass man nicht weiß, wie diese sumerischen Hunde aussehen könnten, gibt es keine historischen Beweise, die ihre Ankunft in Ungarn erklären könnten.

Die Große Ungarische Tiefebene war der Ort der Passage oder Besiedlung vieler Nomadenvölker aus Asien. Da der Puli seit Hunderten von Jahren bekannt ist, versuchten wir, seine Ankunft in der Zeit der verschiedenen Invasionen zu finden, von denen die Donau-Region das Theater war. Es gab im vierten Jahrhundert die furchtbaren Hunnen, aber sie sind gerade vergangen, und wir sehen kaum, dass diese Anhänger der "Politik der verbrannten Erde" viele ihrer Schäferhunde verlassen. Später, um 1240, stieß ein türkischstämmiges Volk, die Kumanen, nach Ungarn und hinterließ dort einige Erinnerungen, aber was die Hunde betrifft, wäre es eher wie Kuvasz, wie bestätigt die Tatsache, dass es noch immer türkische Hunde gibt (in den angelsächsischen Ländern Akbash genannt), die große Analogien zu dieser ungarischen Rasse aufweisen.

Wir müssen uns also endlich den Magyaren des Prinzen Arpàd zuwenden, die 896 in der Puszta eingetroffen sind, um wahrscheinlich die ersten Meister Pulis zu finden. Das Wort Puli (Plural: Pulik) hat auch eine Magyar-Wurzel und bedeutet ganz einfach "Schäferhund".

Es wird vermutet, dass der Puli vor tausend Jahren größer sein musste als heutige Subjekte: "Zuerst machte er einen Job als Viehtreiber, wo er einen großen Hund brauchte (50 um 60 cm), so dass Sie sich mit den imposanten langhornigen grauen Ochsen oder mit den schwarzen Büffeln messen können. Selbst Rocha-Schafe mit gedrehten Hörnern könnten gefährlich für Hunde sein, die nicht lebhaft genug, wendig und robust sind ", sagt Bela Szlamka, Sekretär des französischen Club der Rasse. Er war zwar größer, aber nicht wirklich riskiert, mit seinem imponierenden Verwandten, dem Komondor, verwechselt zu werden. Letzterer war und ist im Wesentlichen ein Wach- und Schutzhund, der Stärke und Größe vereint , während sich die Puli für die Bewirtschaftung der Herden verantwortlich sah, eine Tätigkeit, die viel mehr Lebendigkeit erforderte.

Die Puli und die Komondor, die mit ihren langen Haaren und möbliert, mehr oder weniger gefilzt oder geschnürt, ein charakteristisches Aussehen haben, sind sicherlich die zwei ältesten Vertreter der Art von langhaarigen Schäferhund. Solche Rassen sind zahlreich in Europa (in Frankreich kennen wir den Briard und den kleinen Pyrenäen-Schäfer) und besonders in Osteuropa (wo es den polnischen Nizinny, den Hirten Südrusslands gibt). Mehrere Autoren glauben, dass dieser Hundstypus aus Asien stammt und gleichzeitig mit den großen Berghunden eingeführt wurde. Da der mutmaßliche Vorfahre dieser Rasse der Tibet Mastiff ist, dachte man, dass der ursprüngliche langhaarige Hirtenhund niemand anderes als der Tibet Terrier sein würde (schlecht benannt, da er die Herde führen sollte). Die Hypothese des Tibet Mastiff als Vorfahre der europäischen Mastiffs ist jedoch selbst sehr fragil, weshalb es besser ist, nicht am Ausgangspunkt des Tibet Terrier zu verweilen.

Wie dem auch sei, es besteht kein Zweifel, dass das sehr schützende Vlies des Puli gut an das kontinentale Klima der ungarischen Puszta angepasst war, wo die Temperatur im Winter gewöhnlich auf -30 ° C fällt und in andererseits im Sommer 35 ° C zu überschreiten (deshalb wurde es gleichzeitig mit dem Schafen gemäht, damit die Aktivität des Hundes nicht gemindert wird). Die typische pastorale Besetzung der Puszta (Freilandhaltung ganzjährig mit großen Herden von Rindern und Schafen) dauerte bis ins 19. Jahrhundert, so ist es wahrscheinlich, dass die Puli nicht hat seit seiner Ankunft eine bedeutende Entwicklung durchgemacht.

Während des 18. Jahrhunderts hatte jedoch ein Ereignis zweifellos Auswirkungen auf das Puli. Zu dieser Zeit wurden Merinoschafe mit unvergleichlichen Wollqualitäten aus Westeuropa importiert. Die Schäferhunde, die diese Herden nach Ungarn brachten, die spanisch, französisch und deutsch sein konnten, versäumten es nicht, sich in der Puszta niederzulassen und sich mit dem lokalen Pulik zu vermischen. Aus diesen Übergängen entstand eine neue Rasse, die Pumi, die offensichtlich mit der Puli für viele ihrer Merkmale verwandt ist, aber auch einen deutlich sichtbaren Spitz-Stammbaum zeigt (z. B. die aufgerichteten Ohren); außerdem hatte dieser Hund vor dem von Pumi andere Appellationen wie die von Puli mit aufgerichteten Ohren oder die von Somogy Puli (Somogy ist der Name einer Region von Ungarn). Im Puli hat dieser Zustrom fremder Rassen in einen neuen Charakter übersetzt: das Auftreten dunkler, schwarzer oder rostbrauner Kleider. Man kann auch denken, dass er, als Spezialist für das Verhalten von Merinoschafen, seine Größe etwas sinken sah.

Eine andere Tatsache ist zu bemerken: während einer längeren Zeit (zwischen dem sechzehnten und achtzehnten Jahrhundert), wurde die Puli in einer radikal anderen Aufgabe des Herdenmanagements, nämlich Sumpfjagd, vor allem als Spezialist in Ente. Das mag überraschen: Seine Kleidung, die sich in eisigen Gewässern sicher schützen würde, war es nicht peinlich zu schwimmen? Es scheint, dass nein; im Gegenteil, es hätte als Float gedient, und wir können heute feststellen, dass viele Pulik eine Vorliebe für das aquatische Element haben. Darüber hinaus spiegelt diese Funktion die enorme Anpassungsfähigkeit der Rasse wider. So wurde der Puli auch "ungarischer Wasserhund" genannt. Im Jahr 1751 verwendete ein deutscher Autor namens Heppe diesen Namen mit einer Beschreibung, die perfekt der des Puli entspricht.

Wenn die Literatur über den Puli in seiner traditionellen Tätigkeit als Hirte fast nicht existiert (sehr wenige Gelehrte waren an den Dingen des Feldzuges interessiert), so ist der Dienstalter der Rasse, zum Beispiel dank der Fülle von Ungarische Sprichwörter in Bezug auf Puli. Herr Szlamka gibt uns einige, sehr aufschlussreiche über die Originalität der Rasse: "Es gibt die Puli und die anderen Hunde", oder: "Der Puli ist ein Puli und kein Hund", und: "Beobachten Puli, du wirst wissen, wer vor dir steht! "

Im weiteren Verlauf des 19. Jahrhunderts wichen die Herden der Transhumanz jedoch zunehmend der Ernte aus, und die Puli verließen schließlich das ungarische Land, mit Ausnahme einiger weniger Gebiete. Er wurde immer noch als Wachhund in den Dörfern und auf den Farmen eingesetzt, und dann, mit dem Landflucht, fand er sich in den Städten wieder, immer als Wachhund. Diese Aufgabe von Cerberus ging so gut, dass die Polizei es in den Jahren 1920 - 1930 erfolgreich einsetzte und natürlich die größten Exemplare auswählte (50 cm am Widerrist und mehr). Der aktuelle Standard erwähnt noch immer diese alte Aufgabe.

Dieser Verweis auf den Standard erlaubt es, zur Rennzeit des Hundes zu kommen. Der erste Standard Puli wurde 1924 geschrieben und im folgenden Jahr offiziell gemacht (er wurde 1955, dann 1966 überprüft). Zur gleichen Zeit wurde ein Club der Rasse gegründet, während es zuvor nur einen Verein von ungarischen Schäferhundezüchtern gab. Schnell wurde der Puli zu einer der beliebtesten Rassen in seinem Land: Statistiken aus dem Jahr 1935 sagen uns, dass er damals an zweiter Stelle lag. Das Buch der ungarischen Ursprünge zählte dann 992 Pulis-Inschriften für 1.700 Inschriften von Kuvasz (der populärste ungarische Schäferhund zu der Zeit), 972 von Komondors und 293 von Pumis. Von nun an war die Rasse im Westen und vor allem in den Vereinigten Staaten schnell bekannt, weil viele Ungarn sich in Übersee ausgebreitet hatten. Sein mit Schnürsenkeln besetztes Kleid sorgte 1930 für Aufsehen und erweckte genügend Interesse, um seit 1936 vom American Kennel Club offiziell anerkannt zu werden.

Es war auch im Jahr 1936, dass das erste Exemplar der Rasse in das Buch der französischen Ursprünge aufgenommen wurde. In Frankreich blieb der Puli jedoch bis vor kurzem sehr diskret. 1960 gab es noch praktisch keine Importmöglichkeiten. Erst 1980, als ein Teil der ungarischen Schäferhunde im Shetland Club gegründet wurde, konnte die Rasse zahlenmäßig wachsen und aus der Anonymität hervorgehen. Anerkennung sehr nötig, weil die meisten Hundebücher, wenn sie die Existenz des Puli nicht ausgelassen haben, phantastische Beschreibungen gaben, sowohl in Bezug auf sein Gewicht, das zum Beispiel doppelt so hoch angegeben wurde, als auch sein Haar, das manche Untertanen "sogar lang und schnurgebunden" hätten. Wenn der Puli auf der physischen Seite sicherlich kein gewöhnlicher Hund ist, so ist sein Charakter nicht weniger originell, was übrigens von den oben erwähnten ungarischen Sprichwörtern nahegelegt wird.

Wir werden uns zuerst auf sein Aussehen konzentrieren. Wenn der Puli in einiger Entfernung liegt, können wir nur eine undeutliche Masse verfilzter Haare sehen; Wenn man sich nähert, sieht man vielleicht eine lange Zunge, und man wird daraus schließen, dass es ein Tier ist. Dass letzteres aufsteht, und wir nicht viel besser informiert sein werden: Gewiß, wir wissen jetzt durch "welches Ende zu nehmen", da eine runde Masse auftaucht, die offensichtlich ein Kopf ist, mit seinem Trüffel und seiner Sprache; Ohren und Augen, Punkt. Vom Hals scheint es keinen zu geben, auch keinen Schwanz. Und wenn es ein schönes Objekt ist, das drei oder vier Jahre alt ist (dessen Kleid seine volle Entwicklung erreicht hat), ist es nur, wenn es Mitglieder gibt, die diese behaarte Masse tragen, meist schwarz oder braun - Schwarz, oder sogar ganz rot (im letzteren Fall ist es ein schwarz, das verbrannt ist, kein echtes Braun oder Bronze, weil der Trüffel schwarz und nicht braun bleibt). Aber hier wird es lebendig, springt, wie auf Federn montiert. Zweifel ist nicht mehr erlaubt, es ist in der Tat ein Hund, äußerst lebhaft, gereizt, der bald seine Freundschaft für seine Verwandten bezeugt oder die Eindringlinge energisch zurückweist. Es wird dann gesagt, dass eine Rasse mit solch einem neugierigen Äußeren sehr einschränkende Sorgfalt erfordern muss, oder dass ihre Silhouette viel weniger zur Natur als zu einer bestimmten Pflegeheilung verdankt. Fehler! Diese Neigung der Haare von Puli, Seile, Matten oder Bänder zu bilden, ist ganz natürlich, und es ist nur notwendig, dass der Besitzer im geeigneten Moment einen kleinen "Schub" gibt. In diesem Fall wird es bei Kleidern, die zum Verfilzen neigen, verhindern, dass sich die Zöpfe, die sich ab einem Jahr (oder etwas früher) bilden, verheddern, sich nicht vermischen. Kein Kunstgriff also in diesem Eingriff, sondern vor allem eine regelmäßige Untersuchung des Kleides. Häufige Bäder sind zu vermeiden, da sie die Haarstruktur verändern würden. Für den unteren Teil des Pelzes, der schneller schmutzig wird, können einige Teilwäschen im Jahr notwendig sein. Ansonsten sollten ein oder zwei Vollbäder pro Jahr ausreichen. Schließlich kann man sagen, dass die Aufrechterhaltung des Puli in den meisten Fällen weniger Zeit erfordert als die der meisten anderen langhaarigen Rassen.

Bei der Geburt hat das Baby Puli ein kurzes Haar, glänzend, lockig und lockig. Zwei Monate später wurde das Kleid länger (4 bis 8 cm) und versehen, es ist noch weich im Griff, aber es schlingert nicht mehr als ein bisschen. In der Pubertät, eine neue "Metamorphose": das "junge Haar" wird durch das des Erwachsenen ersetzt, wo das Unterhaar, das im Standard "flaumiges Haar" genannt wird, beginnt, das Kleid zu filzen. Von diesem Moment an wird es notwendig sein, die häufigen Interventionen der Bürste (von der Art eines Pinsels im Quakengras) zu vermeiden, die bis jetzt verwendet wurde. Wenn das Kleid dazu neigt, zu reihen, wird es fast wartungsfrei sein. Wenn es im Gegenteil dazu tendiert, große Platten zu zerbrechen, wird es notwendig sein, regelmäßig die Finger zu legen, das tote Haar zu entfernen und insbesondere die Bildung von "Bändern" zu erleichtern. Zwischen diesen beiden Extremen gibt es andere Arten von Kleidern mit mehr oder weniger breiten Zöpfen oder Bändern. Diese Unterschiede stehen im Zusammenhang mit der Fülle der Unterwolle im Vergleich zu der der Glashaare. Sie sind auch genetisch bedingt. Beachten Sie, dass die vollständige Entwicklung des Kleides erst im Alter von zwei oder drei Jahren erreicht wird.

Aber die Originalität seines Haarsystems sollte den sehr typischen Charakter von Puli nicht überschatten. Es ist vor allem ein sehr lebendiger Hund, der sich in seinen Bewegungen nicht durch sein dichtes Vlies, das mitten in der Natur oder im Garten liegt, peinlich berührt fühlt, und darüber hinaus ist er ein ausgezeichneter Springer. Sein Galoppieren, sehr ruckartig, ist ziemlich neugierig, aber anscheinend effektiv. Dieser rustikale Hund in der Seele, kein schlechtes Wetter kann nicht davon abhalten, auszugehen, kann mit einem Stadtleben leben, vorausgesetzt, von häufigen Ausgängen zu profitieren.

Der zweite Zug, der sofort ins Auge springt, ist seine hochentwickelte Wachsamkeit. Sein Verdacht ist angeboren, und wenn nötig, kann er Initiative und Mut zeigen. Nichts entgeht ihm, und er zögert nicht, darauf hinzuweisen. Wenn er den ganzen Tag unbeaufsichtigt bleibt, ist es möglich, dass er ein reueloser Redner wird, aber dieser Mangel kann durch eine entsprechende Ausbildung und durch das Angebot verschiedener Aktivitäten korrigiert werden: bellende Hunde, Zu welcher Rasse sie gehören, sind meistens Hunde, die ihre Langeweile täuschen. Insgesamt kann der Puli als sehr guter Wachhund angesehen werden. Es kompensiert seine moderate Größe mit einer verwirrenden Optik, die beeindruckt.

Diese Pflegevorkehrungen werden ergänzt durch eine gute Dressurempfänglichkeit. In dieser Hinsicht sind seine Beobachtungsgabe und sein großes Gedächtnis oft und genau hervorgehoben worden. Dennoch muss man sein stolzes, unabhängiges, exklusives Temperament berücksichtigen: daher keine unfairen oder unverhältnismäßigen Strafen, keine langen und sich wiederholenden Übungen. Wir werden in Freude und Mittäterschaft arbeiten. Diese Tipps gelten natürlich für alle Rassen, aber es ist anzumerken, dass der Puli für eine "mechanische" und erzwungene Erziehung undurchdringlich ist. Im Gegenteil, indem wir auf seine Neigung, sich an seinen Herrn zu binden, auf seinen Geschmack für das Spiel (in diesem Bereich macht er einen Ansturm von Erfindungen und Gereiztheit mit den Kindern der Familie) zählen, können wir sicherlich hervorragende Ergebnisse erzielen. Puli war ein Polizeihund in seinem Land, wir vergessen nicht, und in den Vereinigten Staaten sind viele Pulik erfolgreich im Gehorsam und sogar in der Verteidigung ausgebildet. Der Puli teilt sein sehr kurioses Kleid mit dem riesigen Komondor. Seine Verbreitung wird durch seine moderate Größe erleichtert: etwa vierzig Zentimeter im Widerrist für ein Gewicht zwischen 10 und 15 Kilo. In keinem Fall kann es jedoch aufgrund seines selbstbewussten Temperaments als "kleiner Hund" betrachtet werden. Solange sein Meister und seine Familie sich bemühen, ihn zu verstehen, kann er sich den unterschiedlichsten Lebensbedingungen anpassen. Das Interesse, das ihm in den letzten zehn Jahren entgegengebracht wurde, hat nichts mit einem kurzlebigen Feuerblitz zu tun: Der Puli ist originell, von welchem Ende auch immer. Auf den ersten Blick überrascht ihr Aussehen, aber ihr ganzes Leben lang werden ihre Intelligenz, ihre Fähigkeit zur Initiative und ihre Anpassungsfähigkeit überraschen. Und da seine gute Gesundheit von Langlebigkeit begleitet wird, kann man voraussagen, dass die zukünftigen Käufer von Puli ihre Wahl nicht bereuen werden.

Español

		Puli FCI Standard No. 55

Origen		Hungría
Traducción		Lucas Rodríguez Bazzurro
Grupo		Grupo 1 Perros de pastor y perros boyeros (excepto perros boyeros suizos)
Sección		Sección 1 Perros de pastor
Prueba de trabajo		Sin prueba de trabajo
Reconocimiento a título definitivo por la FCI		miércoles 11 agosto 1954
Publicación del estándar oficial válido		martes 29 octubre 2013
Última actualización		viernes 06 diciembre 2013
En français, cette race se dit		Puli
In English, this breed is said		Puli
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Puli
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Puli

Utilizacion

Perro boyero.

Breve resumen historico

Se trata de una raza húngara de perros boyeros con origen asiático. Sus antepasados vinieron, muy probablemente, con las tribus nómades de los antiguos Magyares a la cuenca de los Cárpatos. Como nómades vivían de la cría del ganado.

Aspecto general

Perro de talla media, constitución firme, construcción corporal cuadrada y estructura ósea delicada sin ser demasiado fina. El cuerpo, más o menos enjuto, está sin embargo bien musculado en todas sus partes. La estructura de cada una de las partes del cuerpo es a veces difícil de juzgar ya que todo el cuerpo está recubierto de un manto característico, fuertemente desarrollado, que forma mechones y cordones. Es por esto que es imprescindible durante el juzgamiento, tocar todas las partes del perro. El pelo de la cabeza es tan abundante que le da la impresión de ser redonda y que los ojos son cubiertos. La cola, abundantemente cubierta de pelo, está enroscada hacia adelante y se apoya sobre la grupa. En el conjunto del perro, ello causa en apariencia, una ligera elevación de la línea superior hacia atrás.

Proporciones importantes

El largo del cuerpo se corresponde con la altura a la cruz.
La profundidad del pecho llega hasta algo menos de la mitad de la altura a la cruz.
El largo del hocico corresponde a un tercio del largo de la cabeza.

Temperamento / comportamiento

Es de temperamento activo y con extraordinaria capacidad de aprendizaje. Ama a los niños y es también excelente guardián. Su forma actual es la adaptación en su utilidad al deporte de los perros.

Cabeza
Region craneal
Cabeza		Vista de frente redonda, vista de lado da la impresión de ser elíptica.
Cráneo		Pequeño y fino. Arcadas supraciliares fuertemente desarrolladas.
Depresión naso-frontal (stop)		Levemente marcada

Facial region
Trufa		Relativamente pequeña, negra.
Hocico		No puntiagudo, la caña nasal es recta.
Belfos		Tirantes, pigmentados oscuros.
Mandíbulas / Dientes		Mordida en tijera, completa (42 piezas de acuerdo a la fórmula dentaria).
Ojos		Tamaño medio, marrón oscuro, ligeramente oblicuos y colocados a una distancia media uno del otro. La mirada es inteligente y vivaz. Los bordes de los párpados se apoyan firmemente sobre el globo ocular y están bien pigmentados.
Orejas		Inserción a media altura y con una base ancha. Las orejas son colgantes y terminan hacia abajo en una ¨V¨ redondeada.

Cuello

De largo medio, firme y bien musculado. Se encuentra en un ángulo de 45º en relación a la horizontal y es recubierto de un pelo tupido.

Cuerpo
Línea superior		Recta, por causa del porte de la cola, da la imagen aparente de subir suavemente hacia atrás.
Cruz		Se eleva sólo en una mínima proporción sobre la línea superior.
Espalda		De largo medio, recta, firme, musculada.
Lomo		Corto, bien musculado.
Grupa		Corta, ligeramente descendente.
Pecho		Profundo, largo, con costillas bien arqueadas.
Línea inferior		Progresivamente recogiéndose hacia atrás.

Cola

Inserción media, posición arrollada plana sobre la grupa, profusamente recubierta de pelo. Si se la estira llega hasta el corvejón.

Extremidades

Miembros anteriores
Hombro		Escápula oblicua y firmemente apoyada a la caja torácica. Si se tirase una línea vertical imaginaria desde la cruz hacia abajo, tocaría el punto más bajo de la parte anterior del tórax. La escápula articula con el húmero en un ángulo de 100 a 110 grados.
Brazo		De largo medio y bien musculado.
Codo		Se apoya estrechamente a la caja torácica. La articulación entre el brazo y el antebrazo es de 120 hasta 130 grados.
Antebrazo		Largo, derecho, con una musculatura seca.
Pies delanteros		Cortos, redondeados, firmes, con dedos juntos. Las uñas son negras o gris pizarra oscuro. Las almohadillas son oscuras y elásticas. Los pies son paralelos y en dirección hacia delante; se ubican a una distancia media uno de otro.

Miembros posteriores
Generalidad		Son paralelos y ubicados a una distancia media uno de otro. La articulación entre la cadera y la pierna es de 100 a 110 grados. La articulación de la rodilla es de 100 a 110 grados.
Muslo		Largos y bien musculados.
Pierna		Largos y bien musculados.
Metatarso		Corto.
Corvejón		Seco, de contorno bien definido.
Pies traseros		Un poco más planos que los anteriores, por lo demás, idénticos.

Movimiento

Desplazamiento muy activo y lleno de temperamento. Paso corto. El movimiento típico es a menudo con pasitos cortos y rápidos y con pequeños saltitos. El perro tiene tendencia a hacer giros sobre su propio eje.

Piel

Sin arrugas, firme, fuertemente pigmentada. Las zonas libres de pelo son negras o gris pizarra, en todas las variedades de color de pelaje.

Manto
Pelo		El pelo de los cachorros es tupido, ondulado o rizado. Luego les crecen mechones de pelo y posteriormente mechones o cordones fuertemente estructurados. El manto está constituido por una capa externa externa rústica y una lanilla interior más fina. La proporción de los dos tipos de pelo interactuando son los que le dan su carácter al manto. Cuando la capa externa está mucho más fuertemente desarrollada que la lanilla interna, el manto es atípico y los pelos están algo parados, Cuando la lanilla interior está indeseablemente muy desarrollada, brinda un tipo de manto de estructura demásiado blanda, enmarañado, enredado y de difícil mantenimiento. La correcta proporción, genéticamente determinada, de ambos tipos de pelo, brinda los muy estéticos mechones y cordones que son de fácil mantenimiento. Los cordones alcanzan su largo máximo (20 hasta 30 cm.) en las regiones del lomo, de la grupa y sus inmediaciones y en la cara posterior de los miembros traseros. Los cordones más cortos se encuentran en la cabeza y en los miembros (10 hasta 12cm.). El pelaje de la cabeza es ideal cuando se mantiene la fuerte estructura de cordones cayendo en forma de paraguas sobre la cara. Despeinados, descuidados y desgreñados no son deseables.
Color		a) - Negro. - Negro con pequeñas manchas color herrumbre rojizo o grisáceo. - Leonado con máscara negra bien diferenciada. En el pecho se permite una pequeña mancha blanca de no más de 3 cm. de diámetro. Blanco entre los dedos no se considera falta. b) - Blanco perlado, sin ningún rastro de sombra color semilla amarillento. Cualquier desvío de los antedichos colores y manchas no es deseado.

Tamaño y peso
Altura a la cruz		Machos 39 hasta 45 cm, altura ideal 41 hasta 43 cm. Hembras 36 hasta 42 cm, altura ideal 38 hasta 40 cm.
Peso		Machos 13 hasta 15 kg, hembras 10 hasta 13 kg.

Faltas

• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad.

Faltas descalificantes:

Agresividad o extrema timidez.

Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.

Falta de un diente o más de un diente de los incisivos, de los caninos, de los premolares 2-4 y de los molares 1-2.

Falta de más de dos PM1, los M3 no serán tomados en consideración.

Prognatismo superior o inferior, arcada de los incisivos desviada.

Cola en forma de hoz o llevada horizontal.

Pelo corto, liso o pelos parados aislados.

Defectos de color y marcas no deseadas y manchas.

Tallas que se aparten de las establecidas en el estándar.

NB :

• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza.

Bibliografía

http://www.fci.be/

Adiciones realizadas por los visitantes

Historia detallada

¿De dónde viene Puli? Si, gracias a su grueso y original vellón, apenas deja adivinar sus formas, también se puede decir que el más extendido de los perros pastores húngaros no se muestra muy dispuesto a revelar sus orígenes exactos.

Según una hipótesis, expuesta en una publicación belga, el Puli podría haber nacido en el tercer milenio antes de Cristo. De hecho, las inscripciones cuneiformes sumerias habrían dado tres nombres de perros, extrañamente parecidos a los nombres de tres razas húngaras actuales: ku-mun-dur (hoy, Komondor), ku-assa (Kuvasz) y pu-ly (Puli). Pero tal vez esto sea simplemente una coincidencia lingüística, porque además de no saber cómo serían estos perros sumerios, no existe evidencia histórica para explicar su llegada a Hungría.

La Gran llanura húngara era el lugar de paso o asentamiento de muchos pueblos nómadas de Asia. Como el Puli se conoce desde hace cientos de años, intentamos localizar su llegada en el momento de las diversas invasiones de las cuales la región del Danubio era el teatro. Han existido los formidables hunos, en el siglo IV, pero acaban de pasar, y apenas vemos a estos seguidores de la "política de tierras quemadas" dejar a un gran número de sus perros pastores. Más tarde, alrededor de 1240, un pueblo de origen turco, los cumanos, se trasladó a Hungría y dejó algunos recuerdos, pero, en lo que respecta a los perros, sería más como Kuvasz, como corrobora el hecho de que todavía hay perros turcos (llamados Akbash en los países anglosajones) que presentan grandes analogías con esta raza húngara.

Por lo tanto, debemos recurrir finalmente a los magiares del Príncipe Arpàd, que llegaron a la puszta en 896, para encontrar probablemente los primeros maestros Puli. La palabra Puli (plural: Pulik) también tiene una raíz de Magyar y significa "perro de pastor", simplemente.

Se supone que el Puli de hace mil años tenía que ser más grande que los temas de hoy: "Al principio hizo un trabajo como ganadero, donde necesitaba un perro grande (50 a 60 cm), para que pueda medirse contra los imponentes bueyes grises de cuernos largos, o con los búfalos negros. Incluso las ovejas racka con cuernos retorcidos podrían ser peligrosas para perros que no eran lo suficientemente vivos, ágiles y robustos ", dijo Bela Szlamka, secretaria del Club Francés de la raza. Era más alto, sin duda, pero no se arriesgaba a ser confundido con su imponente pariente, el Komondor: este último era, y sigue siendo, esencialmente un perro guardián y de protección, que combina fuerza y tamaño. , mientras que el Puli se vio a cargo del manejo de los rebaños, una actividad que requería mucha más vivacidad.

El Puli y el Komondor, que, con su pelo largo y amueblado, más o menos afelpado o con cable, tienen un aspecto característico, son sin duda los dos representantes más antiguos del tipo de perro pastor con pelo largo. Tales razas son numerosas en Europa (en Francia, conocemos a Briard y al pequeño pastor pirenaico), y especialmente en Europa del Este (donde está el polaco Nizinny, el pastor del sur de Rusia). Varios autores piensan que este tipo canino proviene de Asia y que se habría introducido al mismo tiempo que los grandes perros de montaña. Como el supuesto antepasado de este último es el mastín tibetano, se pensó que el perro pastor de pelo largo original no sería otro que el Terrier tibetano (mal nombrado, ya que su función era dirigir las manadas). Sin embargo, la hipótesis del mastín tibetano como antepasado de los mastines europeos es muy frágil, por lo que es mejor no detenerse en el punto de partida del Terrier tibetano.

Sea como fuere, no hay duda de que el vellón muy protector del Puli se adaptó bien al clima continental de la puszta húngara, donde la temperatura generalmente baja a -30 ° C en invierno y puede, en por otro lado, superar los 35 ° C en verano (es por eso que se usó para cortarlo al mismo tiempo que el de las ovejas, para que la actividad del perro no se reduzca). La ocupación pastoral típica de la puszta (cría al aire libre durante todo el año con grandes rebaños de ganado bovino y ovino) continuó hasta el siglo XIX, por lo que es probable que el Puli no lo hiciera. ha experimentado una evolución significativa desde su llegada.

Durante el siglo dieciocho, sin embargo, un evento tuvo indudablemente un impacto en el Puli. En ese momento, ovejas merinas con incomparables cualidades de lana fueron importadas de Europa Occidental. Los perros pastores que trajeron estas bandadas a Hungría, y que podían ser españoles, franceses y alemanes, no dejaron de conformarse con la puszta y se mezclaron con el local Pulik. De estos cruces resultó una nueva raza, la Pumi, obviamente relacionada con la Puli por muchas de sus características, pero también mostrando un pedigrí de Spitz claramente visible (sus orejas erigidas, por ejemplo); además, este perro tenía, antes que Pumi, otras denominaciones como la de Puli con orejas erectas o la de Somogy Puli (Somogy es el nombre de una región de Hungría). En el Puli, esta afluencia de razas extranjeras se tradujo en un nuevo personaje: la aparición de vestidos negros oscuros, negros o rojizos. También se puede pensar que, al convertirse en un especialista en la conducta de ovejas merinas, vio que su tamaño disminuía un poco.

Hay que señalar otro hecho: durante un período de tiempo bastante largo (entre los siglos XVI y XVIII), el Puli se empleó en una tarea radicalmente diferente de la gestión del rebaño, a saber, la caza del pantano, especialmente como especialista en pato. Eso puede sorprender: su vestido, sin duda protector para evolucionar en aguas heladas, ¿no se avergonzaba de nadar? Parece que no; por el contrario, habría servido como un flotador, y podemos observar hoy que muchos Pulik tienen gusto por el elemento acuático. Además, esta función refleja la gran adaptabilidad de la raza. Por lo tanto, el Puli también fue llamado el "perro de agua húngaro". En 1751, un autor alemán llamado Heppe usó este nombre con una descripción que se corresponde perfectamente con la del Puli.

Si la literatura sobre Puli en su actividad tradicional de pastor es prácticamente inexistente (muy pocos académicos estaban interesados en las cosas del campo), la antigüedad de la raza está ampliamente confirmada, por ejemplo, gracias a la abundancia de Proverbios húngaros relacionados con Puli. El Sr. Szlamka nos da algo, muy revelador de la originalidad de la raza: "Está el Puli y los otros perros", o: "El Puli es un Puli y no un perro", y: "Observar ¡Puli, sabrás quién está frente a ti! "

Sin embargo, a medida que avanzaba el siglo XIX, las manadas de trashumancia cedieron terreno a los cultivos, y los Puli finalmente desertaron del campo húngaro, excepto en algunas áreas. Todavía lo usaban como perro guardián en los pueblos y granjas, y luego, con el éxodo rural, se encontró en las ciudades, todavía como perro guardián. Esta tarea de cerberus fue tan buena que en los años 1920 - 1930, la policía la empleó con éxito, eligiendo por supuesto los ejemplares más grandes (50 cm a la cruz y más). El estándar actual todavía menciona esta vieja asignación.

Esta referencia al estándar permite llegar al período de carrera del perro. El primer Puli estándar se escribió en 1924 y se oficializó el año siguiente (fue revisado en 1955, luego en 1966). Al mismo tiempo, se fundó un club de la raza, mientras que anteriormente solo había una asociación de criadores de perros pastores húngaros. Rápidamente, el Puli se convirtió en una de las razas favoritas en su país: las estadísticas de 1935 nos dicen que él era el segundo en número. El Libro de los orígenes húngaros contó entonces 992 inscripciones de Pulis por 1.700 inscripciones de Kuvasz (la raza de pastor húngaro más popular en ese momento), 972 de Komondors y 293 de Pumis. A partir de entonces, la raza fue rápidamente conocida en Occidente, y principalmente en los Estados Unidos, porque muchos húngaros se habían expatriado en el extranjero. Su vestido con cordones causó sensación en 1930, despertó suficiente interés para ser reconocido oficialmente por el American Kennel Club desde 1936.

También fue en 1936 cuando se agregó el primer espécimen de la raza al Libro de los orígenes franceses. En Francia, el Puli, sin embargo, permaneció muy discreto hasta hace poco. En 1960, prácticamente no había posibilidades de importación. No fue hasta 1980, con la creación de una sección de perros pastores húngaros en el Shetland Club, que la raza podría crecer en número y comenzar a emerger del anonimato. El reconocimiento era muy necesario, porque la mayoría de los libros de perros, cuando no omitían informar la existencia del Puli, daban descripciones fantasiosas, tanto en términos de su peso, indicado por ejemplo como el doble, que su cabello, que algunos sujetos tendrían "incluso largo y con cable". Si, por el lado físico, el Puli no es un perro ordinario, su carácter no es menos original, lo que, además, es sugerido por los proverbios húngaros mencionados anteriormente.

Nos enfocaremos primero en su apariencia. Cuando el Puli se encuentra a cierta distancia, solo podemos ver una masa indistinta de pelos enredados; al acercarse, tal vez uno verá una lengua persistente, y uno deducirá que es un animal. Que este último se levante, y no estaremos mucho mejor informados: ciertamente, ahora sabemos por "qué fin tomar", ya que emerge una masa redonda, que obviamente es una cabeza, con su trufa y lenguaje; oídos y ojos, punto. Desde el cuello, no parece haber ninguno, ni cola. Y, si se trata de un tema bello de tres o cuatro años (cuyo vestido ha alcanzado su pleno desarrollo), es solo si hay miembros para apoyar esta masa peluda, la mayoría de las veces negro o marrón -Negro, o incluso completamente rojo (en este último caso, es un negro chamuscado, no de color marrón o bronce real, porque la trufa permanece negra y no marrón). Pero aquí cobra vida, salta, como si estuviera montado en resortes. La duda ya no está permitida, de hecho es un perro, extremadamente animado, petulante, que pronto testifica de su amistad con su familia o repele vigorosamente a los intrusos. Luego se dice que una raza con una apariencia tan curiosa debe requerir un cuidado muy restrictivo, o que su silueta debe mucho menos a la naturaleza que a un arreglo particular. ¡Error! Esta propensión para que el cabello de Puli forme cuerdas, esteras o cintas, según corresponda, es bastante natural, y solo es necesario que el propietario dé, en el momento apropiado, un pequeño "impulso". En este caso, para los vestidos que tienden a afieltrarse, evitará que las trenzas, que comienzan a formarse a partir de la edad de un año (o un poco antes), se enreden, no se mezclen. No hay artificio en esta intervención, pero especialmente un examen regular del vestido. Se deben evitar baños frecuentes porque cambiarían la textura del cabello. Para la parte inferior del pelaje, que se ensucia más rápido, pueden ser necesarios algunos lavados parciales en el año. De lo contrario, uno o dos baños completos por año deberían ser suficientes. Finalmente, se puede decir que el mantenimiento del Puli requiere, en la mayoría de los casos, menos tiempo que el de la mayoría de las otras razas de pelo largo.

Al nacer, el bebé Puli tiene un cabello corto, brillante, rizado y rizado. Dos meses después, el vestido se ha hecho más largo (de 4 a 8 cm) y siempre y cuando esté suave al tacto, no se dobla más que ligeramente. En la pubertad, una nueva "metamorfosis": el "cabello joven" es reemplazado por el de un adulto, donde la capa inferior, llamada "cabello esponjoso" en el estándar, comenzará a enfurtir el vestido. A partir de este momento, será necesario evitar las frecuentes intervenciones del pincel (del tipo de pincel en pasto) utilizado hasta ahora. Si el vestido tiende a la secuencia, requerirá casi ningún mantenimiento. Si, por el contrario, tiende a enredarse en placas grandes, será necesario poner los dedos con regularidad, quitar el pelo muerto y especialmente facilitar la formación de "cintas". Entre estos dos extremos, hay otros tipos de vestidos, con trenzas o cintas más o menos anchas. Estas diferencias están relacionadas con la abundancia de la capa inferior en comparación con la del pelo de la jarra. Ellos también son genéticos. Finalmente, tenga en cuenta que el desarrollo completo del vestido se alcanza solo a partir de la edad de dos o tres años.

Pero la originalidad de su sistema capilar no debe eclipsar el carácter típico de Puli. Es ante todo un perro muy vivo, nada avergonzado en sus movimientos por su grueso vellón, amante de pasarlo en medio de la naturaleza o en el jardín, y, además, es un excelente saltador. Su galope, muy espasmódico, es bastante curioso, pero aparentemente efectivo. Este perro rústico en el alma, sin inclemencias del tiempo, no puede impedir que salga, puede vivir con una vida de ciudad, provista para beneficiarse de las salidas frecuentes.

El segundo rasgo que inmediatamente salta al ojo es su habilidad altamente desarrollada para proteger. Su sospecha es innata y, si es necesario, puede mostrar iniciativa y valentía. Nada se le escapa, y no duda en señalarlo. Si se deja desatendido durante todo el día, es posible que se convierta en un hablador impenitente, pero esta falta se puede corregir mediante una educación adecuada, y ofreciéndole diversas actividades: ladrar perros, cualquiera que sea la raza a la que pertenecen, a menudo son perros que engañan su aburrimiento. En total, el Puli se puede considerar como un muy buen perro guardián. Compensa su tamaño moderado con una apariencia confusa que impresiona.

Estas disposiciones para el cuidado se complementan con una buena receptividad a la doma: a este respecto, sus dones de observación y su gran memoria se han subrayado a menudo y con precisión. Sin embargo, uno debe tomar en cuenta su temperamento orgulloso, independiente y exclusivo: por lo tanto, no hay castigos injustos o desproporcionados, ni ejercicios largos y repetitivos. Trabajaremos con alegría y complicidad. Estos consejos son obviamente válidos para todas las razas, pero debe tenerse en cuenta que el Puli es impermeable a una educación "mecánica" y coercitiva. Por el contrario, al contar con su tendencia a apegarse a su maestro, en su gusto por el juego (en esta área él hace una embestida de invención y petulancia con los niños de la familia), ciertamente podemos obtener excelentes resultados. Puli ha sido un perro policía en su país, no lo olvidamos, y en los Estados Unidos, muchos Pulik son entrenados con éxito en obediencia e incluso en defensa. El Puli comparte su vestido muy curioso con el enorme Komondor. Su difusión se ve facilitada por su tamaño moderado: unos cuarenta centímetros a la cruz por un peso entre 10 y 15 kilos. En ningún caso, sin embargo, puede considerarse un "perrito", gracias a su temperamento asertivo. Mientras su maestro y su familia hagan el esfuerzo de entenderlo, él puede adaptarse a las más diversas condiciones de vida. El interés que se le mostró durante los últimos diez años no tiene nada que ver con un destello de fuego, de una moda efímera: el Puli es original por cualquier fin que se tome. A primera vista, su apariencia es sorprendente, pero es a lo largo de su vida que su inteligencia, su capacidad de iniciativa y su facilidad de adaptación son sorprendentes. Y, como su buena salud está acompañada por la longevidad, uno puede predecir que los futuros compradores de Puli no se arrepentirán de su elección.

Nederlands

		Puli FCI standaard nr. 55

Land van oorsprong		Hongarije
Vertaling		Francis Vandersteen
Groep		Groep 1: Herdershonden en veedrijvers (met uitzondering van de Zwitserse Sennenhonden)
Sectie		Sectie 1 Herdershonden
Werkproef		Zonder werkproef
Definitieve erkenning door de FCI		woensdag 11 augustus 1954
Publicatie van de geldende officiële norm		dinsdag 29 oktober 2013
Laatste update		vrijdag 06 december 2013
En français, cette race se dit		Puli
In English, this breed is said		Puli
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Puli
En español, esta raza se dice		Puli

Gebruik

Bouvier.

Kort historisch overzicht

Het is een ras van honden Hongaarse kudde van Aziatische afkomst. Het meest waarschijnlijk, zijn primitieve voorouders begeleid de oude Magyaren, een nomadisch volk die leefden op het vee in de vallei omringd door de Karpaten.

Algemeen totaalbeeld

Middelgrote hond en robuust grondwet ingeschreven op het plein. Het frame is dun zonder dat het te licht. Het lichaam, ietwat droog, is nog steeds goed gespierd in al zijn onderdelen. De exacte configuratie van de verschillende delen van het lichaam moeilijk te beoordelen omdat het lichaam volledig bedekt met een sterk ontwikkelde fleece dat de neiging tot vlokken of strings vormen heeft. Daarom, om de hond te beoordelen, is het raadzaam om te palperen. Leidt het haar is zo weelderig dat het een scherm vormt voor de ogen en het hoofd lijkt te zijn ronde. De staart overvloedig geleverd, is naar voren rolde op de romp, die de indruk wekt dat de toplijn licht stijgend naar achteren geeft.

Belangrijke verhoudingen

De lichaamslengte is de schofthoogte.
De hoogte van de borst is iets minder dan de helft van de schofthoogte.
Snuit lengte komt ongeveer overeen met een derde van de totale lengte van het hoofd.

Gedrag en karakter (aard)

Van een snelle bui, het is buitengewoon ijverig. Hij houdt van kinderen en is een grote waakhond. Zijn huidige conformatie heeft aangepast aan het gebruik ervan voor hondssport.

Hoofd
Bovenschedel
Hoofd		Voor rond gezicht, zijaanzicht lijkt het elliptisch om in vorm.
Schedel		Klein en slank. De wenkbrauwen zijn sterk ontwikkeld.
Stop		Slecht aangegeven.

Facial region
Neus		Relatief klein en zwart.
Voorsnuit		Niet scherp. Afschuining recht.
Lippen		Gespannen, een donkere pigmentatie.
Kiezen / tanden		Schaargebit, volledig gebit bestaat uit 42 tanden volgens de tandformule.
Ogen		Middelgrote, donkerbruine kleur, licht en matig schuin van elkaar gescheiden. De uitdrukking is levendig en intelligent. De randen van de oogleden stevig aangebracht op de oogbol en goed gepigmenteerd.
Oren		Gehecht halverwege, ze zijn breed aan de basis en hangende. Het paviljoen in de vorm van een "V" afgerond eind.

Hals

Gemiddelde lengte, strak en gespierd. De hals, die een hoek met de horizontaal van ongeveer 45 ° vormt, wordt bedekt met een dikke laag.

Lichaam
Bovenlijn		Recht, vanwege de positie van de staart het geeft de indruk iets omhoog.
Schoft		Het blijkt dat zeer weinig van de bovenste regel.
Rug		Middelmatige lengte, recht, stevig en gespierd.
Lendenpartij		Plenty gespierde, korte.
Croupe		Kortom, licht hellend.
Borst		Diepe, lange, goed gewelfde ribben.
Onderlijn en buik		Buik: Het dateert geleidelijk.

Staart

Halverwege verbonden, vormt een plat gevouwen op de romp lus en is bedekt met een dikke laag. Als het wordt uitgerekt, zijn lengte bereikt het spronggewricht.

Ledematen

Voorhand
Schouders		Het schouderblad is schuin en stevig aangebracht op de borst. Een denkbeeldige verticale lijn van de schoft raakt de voorkant van de borst op zijn laagste punt. De hoek tussen het blad en bovenarm 100-110 °.
Opperarm		Gemiddelde lengte en goed gespierd.
Ellebogen		Het is aan de ribbenkast bevestigd. De hoek tussen de arm en de onderarm 120-130 °.
Onderarm		Lange, rechte en slanke spieren.
Voorvoeten		Kort, rond en stevig met strakke vingers. De nagels zijn zwart of donker grijze leisteen. De pads zijn donker van kleur en elastisch. De voeten zijn parallel, recht naar voren en redelijk apart.

Achterhand
Algemeen		De achterbenen zijn matig gespreid en parallel, de hoek tussen het bekken en bovenbeen is ongeveer 100-110 ° en de hoek van de knie maat 100-110 °.
Dijbeen		De dijen en benen zijn lang en goed gespierd ..
Achtermiddenvoet		Kort.
Spronggewricht		Droge, goed ontworpen.
Achtervoeten		Een beetje vlakker dan de vorige, behalve dat dezelfde als de vorige.

Gangwerk

De vormen zijn zeer levendig, vol temperament, vaak trottinantes en springkasteel. De wandeling is kort. De hond heeft de neiging om te draaien en wervelen op het terrein.

Huid

Zonder rimpels, stevig, diep gepigmenteerd. In alle varianten van kleur, haarloze vlakken zijn zwart of leigrijs.

Coat
Haarkwaliteit		De vacht van de pups is strak, golvend of krullend. Later vormt plukjes die sterk gestructureerde vlokken of haar te laten groeien in het haar geregen. De jurk is gemaakt van een tamelijk grof haar deksel en een fijnere ondervacht. De relatieve verhouding tussen deze twee soorten haar bepaalt het karakter van het vlies. Als de vacht is veel meer ontwikkeld dan de ondervacht, het jurkje heeft een ongebruikelijke structuur en haren zijn enigszins uit elkaar. Als de onderlaag overheerst - hetgeen ongewenst - vormt een bont structuur te zacht en comfortabel, hetgeen moeilijk te handhaven. De juiste verhouding tussen de twee soorten haar, genetisch vastgesteld, bepaalt de structuur esthetisch voordelige vacht, gevormd vlokken strings en gemakkelijk te onderhouden. De langste snaren zijn in de lumbosacrale regio en achterste dij (20-30 cm), korter hoofd en de leden (10 tot 12 cm). Op het hoofd, de samenstelling van de vacht is ideaal wanneer de borstelharen hebben een krachtige klimmer structuur en vorm aan het gezicht regio weer te geven. Zowel het haar zorgvuldig gekamd de verwaarloosde en verwarde haren zijn ongewenst.
Haarkleur		a) - Zwart. - Zwart met discrete schaduw van roest-rood of grijs. - Fauve (Fako) met een duidelijk zwart masker. Een white label met een diameter van niet meer dan 3 cm is toegestaan op de borst. Spatie tussen de vingers wordt niet beschouwd als een defect. b) - Pearl White, zonder een spoor van tarwe-gouden tint (semmelblond). Alle kleuren en merken die afwijken van de bovenstaande kleuren zijn ongewenst.

Maat en gewicht
Schouderhoogte		Voor reuen: 39-45 cm, ideale hoogte 41-43 cm en teven 36-42 cm, ideale grootte 38-40 cm.
Gewicht		Het gewicht is 13 tot 15 kg voor reuen en 10 tot 13 kg voor teven.

Defecten

• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn.

Defecten die leiden tot uitsluiting

Agressief of schuw.

Afwezigheid van een of meer tanden (snijtanden, hoektanden, premolaren 2-4, molaren en 1 en 2).

Niet meer dan twee PM1; M3 worden niet in aanmerking genomen.

Of bovenvoorbeet, scheve mond.

Gedragen staart sikkel of horizontaal.

Kort haar, glad, niet de vorm van vlokken of van wieken geregen.

Defecte kleur merken en ongewenste vlekken.

Formaat dat afwijkt van de in de standaard normen.

NB :

• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Toevoegingen door bezoekers

Gedetailleerde geschiedenis

Waar komt Puli vandaan? Als het, dankzij zijn dikke en originele vlies nauwelijks zijn vormen kan raden, kan men ook zeggen dat de meest wijdverspreide Hongaarse herdershonden zich niet erg bereid tonen om de exacte oorsprong te onthullen.

Volgens een hypothese, uiteengezet in een Belgische publicatie, zou de Puli geboren kunnen zijn in het derde millennium voor Christus. In feite zouden Sumerische spijkerschriftinschrijvingen drie namen van honden hebben gegeven, vreemd genoeg gelijkend op de namen van drie huidige Hongaarse rassen: ku-mun-dur (vandaag, Komondor), ku-assa (Kuvasz) en pu-ly (Puli). Maar misschien is dit gewoon een taalkundig toeval, want, behalve dat het niet weet hoe deze Sumerische honden eruit kunnen zien, is er geen historisch bewijs om hun aankomst in Hongarije te verklaren.

De Grote Hongaarse Vlakte was de plaats van doorgang of vestiging van veel nomadische volken uit Azië. Omdat de Puli al honderden jaren bekend is, hebben we geprobeerd de aankomst te lokaliseren op het moment van de verschillende invasies waarvan de Donauregio het theater was. Er zijn de formidabele Hunnen geweest, in de vierde eeuw, maar ze zijn net gepasseerd en we zien nauwelijks dat deze volgelingen van het "verbrande aardebeleid" veel van hun herdershonden verlaten. Later, rond 1240, duwde een volk van Turkse afkomst, de Coumans, naar Hongarije en liet enkele herinneringen achter, maar wat honden betreft, zou het meer op Kuvasz lijken, zoals bevestigt het feit dat er nog steeds Turkse honden zijn (Akbash genaamd in de Angelsaksische landen) die grote analogieën vertonen met deze Hongaarse race.

We moeten ons daarom eindelijk tot de Magyaren van Prins Arpàd wenden, in 896 in de poesta aankomen om waarschijnlijk de eerste meesters Puli te vinden. Het woord Puli (meervoud: Pulik) heeft ook een Magyaarse wortel en betekent simpelweg "herdershond".

Er wordt verondersteld dat de Puli van duizend jaar geleden groter moest zijn dan de onderwerpen van vandaag: "Aanvankelijk deed hij zijn werk als veedrijver, waar hij een grote hond nodig had (50 op 60 cm), zodat je jezelf kunt meten met de imposante grijze ossen met lange hoorns, of met de zwarte buffels. Zelfs racka-schapen met gedraaide hoorns kunnen gevaarlijk zijn voor honden die niet levendig genoeg, behendig en robuust zijn, "zei Bela Szlamka, secretaris van de Franse Club van het ras. Hij was zeker langer, maar waagde het niet echt om verward te worden met zijn imposante bloedverwant, de Komondor: de laatste was, en is nog steeds, in wezen een waakhond en een beschermingshond, die sterkte en grootte combineert , terwijl de Puli zich verantwoordelijk zag voor het beheer van de kuddes, een activiteit die veel levendigheid vereist.

De Puli en de Komondor, die met hun lange haar en ingericht, min of meer vilten of geribd, een karakteristiek aspect hebben, zijn zonder twijfel de twee oudste vertegenwoordigers van het type herdershond met lang haar. Zulke rassen zijn talrijk in Europa (in Frankrijk kennen we de Briard en de kleine Pyrenese Herder), en vooral in Oost-Europa (waar de Poolse Nizinny, de Herder van Zuid-Rusland is). Verschillende auteurs denken dat dit type hond uit Azië komt en dat het tegelijkertijd met de grote berghonden zou zijn geïntroduceerd. Aangezien de veronderstelde voorouder hiervan de Tibetaanse Mastiff is, dacht men dat de oorspronkelijke langharige herdershond niemand minder zou zijn dan de Tibetaanse Terriër (slecht genoemd, omdat het zijn functie was om de kuddes te leiden). De hypothese van de Tibetaanse Mastiff als voorouder van de Europese Mastiffs is echter op zichzelf erg fragiel, dus het is beter om niet stil te staan bij het beginpunt van de Tibetaanse Terriër.

Hoe het ook zij, er bestaat geen twijfel over dat het zeer beschermende vlies van de Puli goed was aangepast aan het continentale klimaat van de Hongaarse poesta, waar de temperatuur gewoonlijk in de winter daalt tot -30 ° C en in aan de andere kant om in de zomer de 35 ° C te overschrijden (daarom werd het gebruikt om het te maaien op hetzelfde moment als dat van schapen, zodat de activiteit van de hond niet wordt verminderd). De typische pastorale bezetting van de puszta (het hele jaar door openlucht fokken met grote kuddes van runderen en schapen) duurde tot de 19e eeuw, dus het is waarschijnlijk dat de Puli niet heeft een significante evolutie ondergaan sinds zijn aankomst.

Tijdens de achttiende eeuw had een gebeurtenis ongetwijfeld een impact op de Puli. In die tijd werden merinowapen met onvergelijkbare wolkwaliteiten geïmporteerd uit West-Europa. De herdershonden die deze kuddes naar Hongarije brachten, wat Spaans, Frans en Duits kon zijn, faalden om zich in de poesta te vestigen en zich te mengen met de lokale Pulik. Uit deze kruisingen resulteerde een nieuw ras, de Pumi, duidelijk gerelateerd aan de Puli voor veel van zijn kenmerken, maar liet ook een duidelijk zichtbare Spitz-stamboom zien (zijn opgerichte oren bijvoorbeeld); bovendien had deze hond, vóór die van Pumi, andere benamingen zoals die van Puli met rechtopstaande oren of die van Somogy Puli (Somogy is de naam van een regio in Hongarije). In de Puli vertaalde deze toevloed van buitenlandse rassen zich in een nieuw personage: de verschijning van donkere, zwarte of roodbruine zwarte jurken. Men kan ook denken dat hij, door specialist te worden in het voeren van merinoschapen, zijn omvang enigszins zag afnemen.

Een ander feit moet worden opgemerkt: gedurende een vrij lange periode (tussen de zestiende en de achttiende eeuw), was de Puli werkzaam in een radicaal andere taak van kuddemanagement, namelijk moerasjacht, in het bijzonder als een specialist in eend. Dat kan verbazen: zijn jurk, zeker beschermend om te evolueren in ijskoude wateren, schaamde hij zich niet om te zwemmen? Het lijkt erop dat nee; integendeel, het zou als een float hebben gediend, en we kunnen vandaag vaststellen dat veel Pulik een voorkeur hebben voor het waterelement. Bovendien weerspiegelt deze functie het enorme aanpassingsvermogen van het ras. Zo werd de Puli ook wel de "Hongaarse waterhond" genoemd. In 1751 gebruikte een Duitse auteur genaamd Heppe deze naam met een beschrijving die perfect overeenkomt met die van de Puli.

Als de literatuur over Puli in zijn traditionele activiteit van veehoeder praktisch onbestaande is (zeer weinig geleerden waren geïnteresseerd in de dingen van het platteland), wordt de anciënniteit van het ras ruimschoots bevestigd, bijvoorbeeld dankzij de overvloed van Hongaarse spreekwoorden met betrekking tot Puli. Mr. Szlamka geeft ons een aantal, zeer onthullend van de originaliteit van het ras: "Er is de Puli en de andere honden", of: "De Puli is een Puli en geen hond", en: "Observeer Puli, je weet wie er voor je staat! "

Naarmate de negentiende eeuw vorderde, maakten de transhumance-kuddes echter steeds meer plaats voor gewassen en uiteindelijk verlieten de Puli het Hongaarse platteland, behalve in een paar gebieden. Hij werd nog steeds gebruikt als waakhond in de dorpen en boerderijen, en toen, met de landelijke exodus, bevond hij zich in de steden, altijd als waakhond. Deze taak van cerberus ging zo goed dat in de jaren 1920 - 1930 de politie het met succes had gebruikt, waarbij natuurlijk de grootste exemplaren werden gekozen (50 cm bij de schoft en meer). De huidige standaard noemt nog steeds deze oude opdracht.

Deze verwijzing naar de standaard maakt het mogelijk om tot de rasperiode van de hond te komen. De eerste standaard Puli werd geschreven in 1924 en werd het volgende jaar officieel (het werd herzien in 1955 en vervolgens in 1966). Tegelijkertijd werd een club van het ras opgericht, terwijl er vroeger maar één vereniging was van Hongaarse herdershondenfokkers. Al snel werd de Puli een van de favoriete rassen in zijn land: statistieken uit 1935 vertellen ons dat hij toen tweede was in aantal. Het boek met de Hongaarse oorsprong telde vervolgens 992 Puli-opschriften voor 1.700 inscripties van Kuvasz (het destijds populairste Hongaarse herdersras), 972 van Komondors en 293 van Pumis. Vanaf dat moment was het ras snel bekend in het Westen, en vooral in de Verenigde Staten, omdat veel Hongaren overzee waren geëxpatrieerd. Zijn geribde jurk had een sensatie veroorzaakt in 1930, het wekte genoeg interesse om officieel erkend te worden door de American Kennel Club sinds 1936.

Het was ook in 1936 dat het eerste exemplaar van het ras werd toegevoegd aan het boek van French Origins. In Frankrijk bleef de Puli echter tot voor kort zeer discreet. In 1960 waren er nog vrijwel geen invoermogelijkheden. Pas in 1980, met de oprichting van een afdeling Hongaarse herdershonden binnen de Shetland Club, kon het ras in aantal groeien en uit de anonimiteit komen. Erkenning hard nodig, omdat de meeste hondenboeken, toen ze nalieten het bestaan van de Puli te melden, fantasievolle beschrijvingen gaven, zowel wat betreft het gewicht ervan, dat bijvoorbeeld tweemaal zo hoog is aangegeven, dat zijn haar, dat sommige proefpersonen "zelfs lang en geribbeld" zouden hebben gehad. Als de Puli op het fysieke vlak beslist geen gewone hond is, is het karakter ervan niet minder origineel, wat overigens wordt gesuggereerd door de hierboven genoemde Hongaarse spreekwoorden.

We zullen ons eerst concentreren op het uiterlijk. Wanneer de Puli op een afstand ligt, kunnen we alleen een onduidelijke massa verwarde haren zien; bij naderende, zal misschien een sluimerende tong te zien zijn, en zal men afleiden dat het een dier is. Dat de laatste opstaat, en we zullen niet veel beter geïnformeerd worden: zeker weten we nu door "welk einde te nemen", aangezien er een ronde massa verschijnt, die duidelijk een hoofd is, met zijn truffel en taal; oren en ogen, punt. Van de nek lijkt er geen sprake te zijn, geen staart. En als het een prachtig onderwerp is van drie of vier jaar oud (waarvan de jurk zijn volledige ontwikkeling heeft bereikt), is het net of er leden zijn die deze harige massa ondersteunen, meestal zwart of bruin -Zwart of zelfs helemaal rood (in het laatste geval is het een zwart dat verbrand is, niet echt bruin of brons, omdat de truffel zwart blijft en niet bruin). Maar hier komt het tot leven, springt alsof het op veren is gemonteerd. Twijfel is dan niet meer toegestaan, het is inderdaad een hond, extreem levendig, nukkig, al snel getuigend van zijn vriendschap voor zijn familie of krachtig indringende indringers. Er wordt dan gezegd dat een ras met zo'n merkwaardige uiterlijk zeer restrictieve zorg vereist, of dat het silhouet veel minder aan de natuur te danken heeft aan een bepaalde verzorging. Fout! Deze neiging om het haar van Puli geschikt te maken voor het vormen van touwen, matten of linten is heel natuurlijk, en het is alleen nodig dat de eigenaar op het juiste moment een kleine "boost" geeft. In dit geval, voor jurken die de neiging hebben om te vilten, zal dit voorkomen dat de vlechten, die zich beginnen te vormen vanaf de leeftijd van een jaar (of een beetje eerder), verstrikt raken, niet mengen. Geen kunstgreep dus in deze interventie, maar vooral een regelmatig onderzoek van de jurk. Frequente baden moeten worden vermeden omdat ze de textuur van het haar zouden veranderen. Voor het onderste deel van de vacht, dat sneller vies wordt, kunnen sommige gedeeltelijke wasbeurten in het jaar nodig zijn. Anders zouden één of twee volledige baden per jaar voldoende moeten zijn. Ten slotte kan worden gesteld dat het onderhoud van de Puli in de meeste gevallen minder tijd vergt dan dat van de meeste andere langharige rassen.

Bij de geboorte heeft de baby Puli een kort haar, glanzend, gekruld en gekruld haar. Twee maanden later is de jurk langer geworden (4 tot 8 cm) en is hij nog steeds zacht aanvoelend, maar hij loopt niet meer dan een beetje door. In de puberteit, een nieuwe "metamorfose": het "jonge haar" wordt vervangen door dat van de volwassene, waar de ondervacht, die "pluizig haar" wordt genoemd, in de standaard begint te vilten in de jurk. Vanaf dit moment zal het noodzakelijk zijn om de frequente interventies van de borstel (van het soort borstel in kwakgras) die tot nu toe werd gebruikt, te vermijden. Als de jurk de neiging heeft om te rijgen, heeft deze bijna geen onderhoud nodig. Als het integendeel de neiging heeft om in grote platen te felsen, zal het nodig zijn om regelmatig de vingers te plaatsen, om het dode haar te verwijderen en vooral om de vorming van "linten" te vergemakkelijken. Tussen deze twee uitersten, zijn er andere soorten jurken, met vlechten of linten min of meer breed. Deze verschillen houden verband met de overvloed van de ondervacht vergeleken met die van het haar van de pot. Ze zijn ook genetisch. Merk tot slot op dat de volledige ontwikkeling van de jurk pas wordt bereikt vanaf de leeftijd van twee of drie jaar.

Maar de originaliteit van het haarsysteem mag het typische karakter van Puli niet overschaduwen. Het is in de eerste plaats een zeer levende hond, helemaal niet beschaamd in zijn bewegingen door zijn dikke vacht, liefhebbend om door te brengen in het midden van de natuur of in de tuin, en bovendien is het een uitstekende springer. Zijn galopperende, zeer schokkerige, is heel nieuwsgierig, maar blijkbaar effectief. Deze rustieke hond in de ziel, geen slecht weer kan niet afschrikken om uit te gaan, kan leven met een stadsleven, voorzien om te profiteren van frequente afritten.

De tweede eigenschap die meteen in het oog springt, is zijn sterk ontwikkelde vaardigheid om te bewaken. Zijn verdenking is aangeboren, en indien nodig kan hij initiatief en moed tonen. Niets ontsnapt aan hem, en hij aarzelt niet om het erop te wijzen. Als hij de hele dag onbeheerd achterblijft, is het mogelijk dat hij een onbekwame prater wordt, maar deze fout kan worden gecorrigeerd door middel van een passende opleiding en door hem verschillende activiteiten aan te bieden: blaffende honden, in welk ras ze ook horen, het zijn meestal honden die hun verveling misleiden. In totaal kan de Puli worden beschouwd als een zeer goede waakhond. Het compenseert voor de gemiddelde grootte met een verwarrende verschijning die indruk maakt.

Deze voorzieningen voor de verzorging worden aangevuld met een goede ontvankelijkheid voor dressuur: in dit opzicht zijn zijn waarnemingsgeschenken en zijn grote geheugen vaak en nauwkeurig onderstreept. Niettemin moet men rekening houden met zijn trotse, onafhankelijke, exclusieve temperament: daarom geen oneerlijke of disproportionele straffen, geen lange en repetitieve oefeningen. We zullen werken in vreugde en medeplichtigheid. Deze tips zijn uiteraard geldig voor alle rassen, maar het moet worden opgemerkt dat de Puli ongevoelig is voor een "mechanisch" en dwangonderwijs. Integendeel, door te rekenen op zijn neiging om gehecht te raken aan zijn meester, op zijn smaak voor het spel (in dit gebied maakt hij een aanval van uitvindingen en wulpsheid met de kinderen van het gezin), kunnen we zeker uitstekende resultaten behalen. Puli was een politiehond in zijn land, we vergeten het niet, en in de Verenigde Staten zijn veel Pulik met succes getraind in gehoorzaamheid en zelfs in verdediging. De Puli deelt zijn zeer nieuwsgierige jurk met de enorme Komondor. De diffusie wordt vergemakkelijkt door de matige grootte: ongeveer veertig centimeter op de schoften voor een gewicht tussen 10 en 15 kilo. In geen enkel geval kan het echter worden beschouwd als een "kleine hond", dankzij het assertieve temperament. Zolang zijn meester en zijn gezin de moeite nemen om hem te begrijpen, kan hij zich aanpassen aan de meest uiteenlopende levensomstandigheden. De belangstelling die hem de afgelopen tien jaar is getoond, lijkt niet op een flits van vuur, van een kortstondige manier: de Puli is origineel met welk doel dan ook. Op het eerste gezicht is haar uiterlijk verrassend, maar het is haar hele leven dat haar intelligentie, haar vermogen tot initiatief en haar gemak van aanpassing verbluffend zijn. En aangezien de goede gezondheid gepaard gaat met een lang leven, kan worden voorspeld dat de toekomstige kopers van Puli geen spijt zullen hebben van hun keuze.

Détails: Affichages : 599

Aucun commentaire

Pas de commentaires

Personne n'a encore publié de commentaire.

Puli

Français

PuliStandard FCI Nº 55

Origine

Traduction

Groupe

Section

Epreuve

Reconnaissance à titre définitif par la FCI

Publication du standard officiel en vigueur

Dernière mise à jour

In English, this breed is said

Auf Deutsch, heißt diese Rasse

En español, esta raza se dice

In het Nederlands, wordt dit ras gezegd

Utilisation

Bref aperçu historique

Aspect général

Proportions importantes

Comportement / caractère

Tête

Région crânienne

Tête

Crâne

Stop

Région faciale

Truffe

Museau

Lèvres

Chanfrein

Mâchoires et dents

Yeux

Oreilles

Cou

Corps

Ligne du dessus

Garrot

Dos

Rein

Croupe

Poitrine

Ligne du dessous

Queue

Membres

Membres antérieurs

Epaules

Bras

Coudes

Avant-bras

Pieds antérieurs

Membres postérieurs

Généralités

Cuisses

Jarret

Métatarse

Pieds postérieurs

Allures

Peau

Robe

Qualité du poil

Couleur du poil

Taille et poids

Hauteur au garrot

Poids

Défauts

Défauts entrainant l’exclusion

NB :

Bibliographie

Compléments apportés par les visiteurs

Historique détaillé

English

PuliFCI Standard No. 55

Origin

Translation

Group

Section

Working

Acceptance on a definitive basis by the FCI

Publication of the official valid standard

Last update

Puli
Standard FCI Nº 55

Puli
FCI Standard No. 55

Puli
FCI-Standard Nr. 55