Dogue de Bordeaux

Français

		Dogue de Bordeaux
		Standard FCI Nº 116


Origine			France
Groupe			Groupe 2 Chiens de type Pinscher et Schnauzer - Molossoïdes - Chiens de montagne et de bouvier suisse
Section			Section 2.1 Molossoïdes de type dogue
Epreuve			Sans épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI			vendredi 01 janvier 1954
Publication du standard officiel en vigueur			mardi 04 novembre 2008
Dernière mise à jour			vendredi 23 janvier 2009
In English, this breed is said			Dogue de Bordeaux
Auf Deutsch, heißt diese Rasse			Bordeaux dogge
En español, esta raza se dice			Dogo de Burdeos
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd			Bordeaux Dog

Utilisation

Garde, défense et dissuasion.

Bref aperçu historique

Le dogue de Bordeaux est l'un des chiens français les plus anciens, descendant probable des Alans et, en particulier, de l'alan vautre dont Gaston Phébus (ou Fébus) Comte de Foix dit, au XlVème siècle, dans son Livre de Chasse, qu'il "tient plus fort sa morsure que ne feraient trois lévriers". Le mot "dogue" apparaît à la fin du XIVème siècle. Au milieu du XIXème siècle, ces anciens dogues n'étaient guère renommés qu'en Aquitaine. On les utilisait à la chasse au gros gibier (sanglier), aux combats (souvent codifiés), à la garde des maisons et du bétail, au service des bouchers. En 1863 eut lieu à Paris, au Jardin d'Acclimatation, la 1ère exposition canine française. Les dogues de Bordeaux figuraient sous leur nom actuel. Il a existé différents types : type toulousain, type parisien, type bordelais, à l'origine du dogue actuel. La race qui avait beaucoup souffert pendant les deux guerres mondiales, au point d'être menacée d'extinction après la guerre de 1939-1945, reprit son essor dans les années 1960.
1er standard ("caractère des vrais dogues") in Pierre Mégnin, Le Dogue de Bordeaux, 1896.
2ème standard in J. Kunstler, Etude critique du Dogue de Bordeaux, 1910.
3ème standard par Raymond Triquet, avec la collaboration du Docteur Vétérinaire Maurice Luquet, 1971.
4ème standard reformulé selon le modèle de Jérusalem (F.C.I.) par Raymond Triquet avec la collaboration de PhiIippe Sérouil, Président, et du Comité de la Société des Amateurs de Dogues de Bordeaux, 1993.
Standard précisé en 2007 par Raymond Triquet (Président d’honneur de la SADB), Sylviane Tompousky (Présidente de la SADB) et Philippe Sérouil (membre du Comité de la SADB).

Aspect général

Typiquement un molossoïde brachycéphale concaviligne. Le Dogue de Bordeaux est un chien très puissant, dont le corps très musclé conserve un ensemble harmonieux. Il est construit plutôt près de terre, c’est à dire que la distance sternum-sol est légèrement inférieure à la hauteur de la poitrine.
Trapu, athlétique, imposant, il a un aspect dissuasif.

Proportions importantes

La longueur du corps, de la pointe de l'épaule à la pointe de la fesse, est supérieure à la hauteur au garrot dans la proportion de 11/10.
La hauteur de la poitrine est supérieure à la moitié de la hauteur au garrot.
La longueur maximale du chanfrein est égale au tiers de la longueur de. la tête.
La longueur minimale du chanfrein est égale au quart de la longueur de la tête.
Chez le mâle, le périmètre céphalique correspond à peu près à la hauteur au garrot.

Comportement / caractère

Ancien chien de combat, le dogue de Bordeaux est doué pour la garde qu'il assume avec vigilance et un grand courage mais sans agressivité. Bon compagnon, il est très attaché à son maître et très affectueux. Calme, équilibré avec seuil de réponse (réaction) élevé. Le mâle a un caractère généralement dominant.

Tête
Région crânienne
Tête		Volumineuse, anguleuse, large, assez courte, trapézoïdale quand elle est vue de face et de dessus. Les axes longitudinaux du crâne et du chanfrein sont convergents (vers l’avant). La tête est sillonnée de rides symétriques de chaque côté du sillon médian. Ces rides profondes et tourmentées sont mobiles selon que le chien est attentif ou non. La ride qui va de la commissure interne de l’œil à la commissure des lèvres est typique. La ride allant de la commissure externe de l’œil à la commissure des lèvres ou vers le fanon, si elle est présente, doit rester discrète.
Crâne		Chez le mâle : le périmètre du crâne, pris au niveau de la plus grande largeur, correspond à peu près à la hauteur au garrot. Chez la femelle : il peut être légèrement inférieur. Son volume et sa forme sont les conséquences du développement très important des temporaux, des arcades sus-orbitaires, des arcades zygomatiques et de l’écartement des branches du maxillaire inférieur. La région supérieure du crâne est légèrement convexe d’un côté à l’autre. Dépression frontale profonde s’atténuant vers l’extrémité postérieure de la tête. Le front domine la face mais ne la surplombe pas. Il est pourtant encore plus large que haut.
Stop		Très accusé formant avec le chanfrein un angle presque droit (95 à 100°).

Région faciale
Truffe		Large, aux narines bien ouvertes, bien pigmentée selon la couleur du masque ; truffe remouchée (retroussée) admise mais pas renfoncée vers les yeux.
Museau		Puissant, large, épais, mais non empâté sous les yeux, assez court, profil supérieur très légèrement concave, aux plis sobrement indiqués. Sa largeur diminuant à peine jusqu’au bout du museau, il a, vu de dessus, la forme générale d’un carré. Par rapport à la région supérieure du crâne, la ligne du chanfrein forme un angle très obtus ouvert vers le haut. Lorsque la tête est horizontale, le bout du museau tronqué, épais et large à la base se trouve en avant d’une verticale tangente à la face antérieure de la truffe. Son périmètre approche les deux tiers de celui de la tête. Sa longueur se situe entre le quart et le tiers de la longueur totale de la tête, de la truffe à l’occiput. Les limites supérieure (du tiers) et inférieure (du quart de la longueur de la tête) sont admises mais non recherchées, la longueur idéale du museau se situant entre ces extrêmes.
Lèvres		Lèvre supérieure épaisse, modérément pendante, rétractile. Vue de profil elle présente une ligne inférieure arrondie. Elle recouvre la mâchoire inférieure sur les côtés. A l’avant le bord de la lèvre supérieure est en contact avec la lèvre inférieure, puis descend de chaque côté en formant en V renversé évasé.
Mâchoires et dents		Mâchoires : Très puissantes, larges. Le chien est prognathe inférieur (le prognathisme est un caractère racial). La face postérieure des incisives inférieures est en avant et non au contact de la face antérieure des incisives supérieures. La mâchoire inférieure s’incurve vers le haut. Le menton est bien marqué et ne doit ni dépasser exagérément la lèvre supérieure ni être recouvert par elle. Dents : Fortes, en particulier les canines. Canines inférieures écartées et légèrement recourbées. Incisives bien alignées surtout à la mâchoire inférieure où elles forment une ligne apparemment droite.
Joues		Saillantes par suite d’un très fort développement musculaire.
Yeux		Ovales, largement espacés. L’espace entre les angles internes des paupières équivaut à environ deux fois la longueur de l’œil (ouverture palpébrale). Regard franc. La conjonctive ne doit pas être apparente. Couleur noisette à brun foncé pour les dogues à masque noir, couleur moins foncée tolérée mais non recherchée chez les sujets à masque marron ou sans masque.
Oreilles		Relativement petites, de couleur un peu plus foncée que la robe. A leur attache, la base antérieure est légèrement relevée. Elles doivent retomber, mais non pendre mollement, le bord antérieur étant contre la joue quand le chien est attentif. L’extrémité inférieure est légèrement arrondie ; elle ne doit pas pouvoir dépasser l’œil. Elles sont attachées assez haut, au niveau de la ligne supérieure du crâne dont elles semblent encore accentuer la largeur.

Cou

Très fort, musclé, presque cylindrique. Sa peau est ample, lâche et souple. Sa circonférence moyenne égale presque celle de la tête. Il est séparé de la tête par un sillon transversal peu accentué, légèrement courbe. Son profil supérieur est légèrement convexe. Le fanon, bien marqué, débute au niveau de la gorge formant des plis jusqu’au poitrail sans pendre exagérément. Le cou, très large à la base se fond sans heurt avec les épaules.

Corps
Ligne du dessus		Bien soutenue.
Garrot		Bien marqué.
Dos		Large et musclé.
Rein		Large, assez court et solide.
Croupe		Modérément oblique jusqu’à la naissance de la queue.
Poitrine		Puissante, longue, haute et large, descendant plus bas que le coude ; poitrail large et puissant dont la ligne inférieure (inter-ars) est convexe vers le bas. Côtes bien descendues et bien cintrées mais pas en tonneau. La circonférence de la poitrine doit être de 25 cm à 35 cm supérieure à la hauteur au garrot.
Ligne du dessous		Ligne harpée, de la poitrine bien descendue au ventre assez relevé et ferme, ni tombant ni levretté.

Queue

Très épaisse à la racine. Sa pointe atteint de préférence le jarret sans le dépasser. Portée bas, elle n’est ni cassée ni nouée mais souple.
Tombante au repos, elle se relève en général de 90 à 120 ° par rapport à cette position, lorsque le chien est en action, sans s’incurver sur le dos ni s’enrouler.

Membres

Membres antérieurs
Généralités		Ossature forte, membres très musclés.
Epaules		Puissante, aux muscles saillants. Obliquité de l’omoplate moyenne (45° environ sur l’horizontale), angle de l’articulation scapulo-humérale : un peu plus de 90 °.
Bras		Très musclé.
Coudes		Dans l’axe du corps, ni trop serrés contre la paroi thoracique ni en dehors.
Avant-bras		Vus de face, droits ou un peu inclinés de dehors en dedans de façon à se rapprocher légèrement du plan médian, surtout chez les chiens à très large poitrine. Vus de profil, verticaux.
Métacarpe		Région métacarpienne puissante. De profil, légèrement inclinée. Vue de face parfois légèrement en dehors pour compenser la légère inclinaison de l’avant-bras vers l’intérieur.
Pieds antérieurs		Forts, doigts serrés, ongles courbes et forts, coussinets bien développés et souples ; le dogue est bien digitigrade malgré son poids.

Membres postérieurs
Généralités		Membres robustes avec forte ossature, bien angulés. Vus de derrière : les postérieurs bien parallèles et verticaux donnent une impression de puissance bien que l’arrière-main soit légèrement moins large que l’avant main.
Cuisses		Très développée et épaisse, aux muscles apparents.
Grassets		Dans un plan parallèle au plan médian ou très légèrement en dehors.
Jambes		Relativement courte, musclée, descendant bas.
Jarret		Court, nerveux, angle du jarret modérément ouvert.
Métatarse		Robuste, absence d’ergot.
Pieds postérieurs		Un peu plus longs que les antérieurs, doigts serrés.

Allures

Assez souples pour un molosse. Au pas, mouvement ample et souple au ras du sol. Bonne poussée des postérieurs, bonne amplitude des mouvements des antérieurs, surtout au trot, qui est l’allure préférée. Quand le trot s’accélère, la tête a tendance à se baisser, le dessus à s’incliner vers l’avant, les pieds antérieurs à se rapprocher du plan médian en allant chercher la terre loin devant. Petit galop avec déplacement vertical assez important. Capable de grande vitesse en déboulant au ras du sol sur de courtes distances.

Peau

Epaisse et suffisamment ample, sans excès de rides.

Robe
Qualité du poil		Fin, court et doux au toucher.
Couleur du poil		Unicolore, dans toute la gamme du fauve, de l’acajou à l’isabelle. On recherche une bonne pigmentation. Les taches blanches peu étendues sont admises au poitrail et à l’extrémité des membres. Masque noir : Le masque est souvent assez peu étendu et ne doit pas envahir la région crânienne. Il peut être accompagné de légères charbonnures sur le crâne, les oreilles, le cou, et le dessus du corps. La truffe est noire. Masque marron (anciennement dit rouge ou bistre): La truffe est marron, le bord des paupières est également marron ainsi que le bord des lèvres. Il peut être accompagné de charbonnures marron non envahissantes, chaque poil comporte une zone fauve ou sable et une zone marron ; les parties déclives sont alors plus claires. Sans masque : Le poil est fauve ; la peau apparaît rouge (également appelé jadis « masque rouge »). La truffe peut alors être rougeâtre.

Taille et poids
Hauteur au garrot		Taille devant correspondre à peu près au périmètre céphalique Hauteur au garrot : Mâle 60 à 68 cm au garrot, femelle 58 à 66 cm au garrot. On tolérera 1 cm en moins et 2 cm en plus.
Poids		Mâle 50 kg au moins, femelle 45 kg au moins avec caractères identiques à ceux des mâles mais moins accusés.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

Défauts graves

Tête disproportionnée (trop petite ou exagérément volumineuse).

Hypertype bouledogué : crâne plat, chanfrein mesurant moins du quart de la longueur totale de la tête, ride boursoufflée derrière la truffe.

Repli important entourant la tête.

Déviation latérale importante de la mandibule.

Incisives visibles de façon constante, la gueule étant fermée.

Incisives très petites implantées de façon irrégulière.

Dos voussé (convexe).

Queue présentant des vertèbres soudées mais non déviée.

Pieds antérieurs tournés en dedans, même légèrement.

Pieds antérieurs exagérément tournés en dehors.

Cuisses plates.

Angle du jarret trop ouvert (angulation droite).

Angles trop fermés, chien sous lui du derrière.

Jarrets de vache, jarrets en tonneau.

Allure béquillarde ou roulis important à l’arrière.

Essoufflement excessif, respiration rauque.

Blanc à l’extrémité de la queue ou sur la région antérieure des membres, au dessus du carpe et du tarse ou blanc couvrant sans interruption l’avant du tronc, du poitrail à la gorge.

Défauts entrainant l’exclusion

Chien agressif ou peureux.

Tête longue et étroite au stop peu accentué, au chanfrein mesurant plus du tiers de la longueur totale de la tête (manque de type en tête).

Chanfrein parallèle à la ligne supérieure du crâne ou descendant, chanfrein busqué.

Torsion de la mâchoire.

Dogue non prognathe inférieur.

Canines visibles de façon constante, la gueule étant fermée.

Langue sortant de façon constante la gueule étant fermée.

Yeux bleus, yeux exorbités.

Queue à la fois nouée et déviée latéralement ou tordue (en tire-bouchon).

Queue atrophiée.

Avant-bras tors avec région métacarpienne très affaissée.

Angle du jarret ouvert vers l’arrière (tarse dévié vers l’avant).

Blanc en tête ou sur le corps, autre couleur de robe que le fauve (charbonné ou non) et en particulier robe bringée et robe uniformément marron dite « chocolat » (chaque poil est alors entièrement marron).

Tare invalidante repérable.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

Le Dogue de Bordeaux, dont l'histoire, comme celle de tous les Dogues, remonte à la nuit des temps, a eu l'incomparable privilège d'être reconnu par les instances cynophiles du siècle dernier comme le Dogue français le plus important. Selon le très célèbre vétérinaire Pierre Mégnin, le Dogue de Bordeaux serait issu des Alans (également appelés Allants), ces puissants molossoïdes qui accompagnèrent les Alains, une peuplade d'origine indo-européenne installée entre l'Oural et le Caucase, lorsque, poussé par les Huns, ils déferlèrent sur les terres de l'Empire romain, jusqu'en Gaule et en Espagne. Les Alains disparurent au Ve siècle, mais, en Aquitaine et dans le nord de l'Espagne, leurs célèbres Molosses croisés avec des chiens autochtones aux caractéristiques assez voisines (on en a retrouvé des ossements datant de la préhistoire), auraient respectivement donné naissance au Dogue de Bordeaux et au Dogue de Burgos (lequel fut représenté en Espagne à partir du Moyen Age). C'est également la thèse que défendit l'éminent professeur Kunstler, qui enseignait l'anatomie comparée à l'université de Bordeaux.

Utilisés essentiellement comme chiens de combat, les Dogues d'Aquitaine ; ils ne seront appelés Dogues de Bordeaux qu'au XlXe siècle ; attaquaient en meute, et de façon efficace, semble-t-il, puisque, au XIIe siècle, ils contribuèrent pour une large part à la déroute des troupes anglaises. Ce n'est que bien plus tard, au XVIIIe siècle, que l'on retrouve trace du Dogue d'Aquitaine, et ce, comme le note le docteur Maurice Luquet dans son ouvrage Dogues et Bouledogues, sous le pinceau du célèbre peintre animalier Jean-Baptiste Oudry qui le fait figurer dans deux de ses œuvres. Quant à Buffon, il en fait également mention dans son Histoire naturelle.

Toujours est-il, et c'est un cas quasi général dans l'histoire de la gent canine, que ce n'est qu'au XIXe siècle que la race se vit reconnaître une identité bien spécifique. En 1863, en effet, eut lieu au jardin d'Acclimatation, à Paris, la première exposition canine. Si, dans l'esprit des cynologues d'alors, il s'agissait non pas de juger les chiens les uns par rapport aux autres, mais plutôt de dresser un inventaire aussi complet que possible des races existant en cette seconde moitié du XIXe siècle, cette exposition n'en permit pas moins au Dogue d'Aquitaine de conquérir ses lettres de noblesse auprès d'un public venu nombreux. S'imposant vite face aux autres Dogues d'origine française grâce à ses évidentes particularités, notamment dans le type, le Dogue d'Aquitaine, que l'on commença à appeler Dogue de Bordeaux, polarisa toute l'attention des éleveurs qui, pendant près de trente ans, allaient s'affronter pour façonner l'avenir de cette race si singulière. Ces querelles, qui portaient naturellement sur les caractères précis à attribuer définitivement au Dogue de Bordeaux, notamment sur sa taille, sa conformation, la forme et la longueur de son museau, mais également sur la couleur de son masque, l'existence du prognathisme et l'importance à lui donner, enfin sur la couleur de sa robe, n'eurent d'autres conséquences que de retarder la fixation de la race. En 1880, après que certains éleveurs, sans connaissances précises sur l'animal, eurent enrichi le Dogue de Bordeaux d'un apport de sang de Mastiff, Pierre Mégnin et, avec lui, le marquis de Cherville alertèrent le comité de la Société centrale canine pour que l'on mette fin à ces retrempes opérées sans discernement et qui risquaient de dénaturer à tout jamais la race, et pour que l'on s'attache enfin à mettre au point un standard digne de ce nom. L'action de ces deux cynologues éclairés ne fut pas sans résultat, puisque l'un des premiers actes du comité, comme le note non sans humour le docteur Luquet, fut de « renvoyer à leurs chères études ces juges, pour la plupart britanniques et néerlandais, n'ayant jamais vu ni étudié cette race et qui connaissaient certainement mieux les recettes de confection de cocktails que les pedigrees des races qu'ils jugeaient ».

Quoi qu'il en soit, aucun standard n'avait encore été rédigé en 1910, et l'on se trouvait toujours dans l'incapacité de donner au Dogue de Bordeaux des critères morphologiques précis, les spécialistes hésitant notamment entre le masque rouge et le noir. Quant à la taille, au poids et au type de tête, ils étaient tellement divers que l'on commença ni plus ni moins à distinguer trois types de chiens : le Bordelais, le Toulousain et le Parisien (certains spécimens étant en effet implantés en Ile de France).

Le professeur Kunstler publia alors une étude très approfondie sur la race, Prolégomènes pour servir à l'établissement du standard du Dogue de Bordeaux, qui, si elle n'avait pas été présentée à un Club français du Dogue de Bordeaux dont les membres s'affrontaient en querelles stériles, aurait eu toutes les chances de clarifier les choses une bonne fois pour toutes. Ce club fut dissous, et de ses cendres naquirent deux autres clubs en 1913 : la Société centrale du Dogue de Bordeaux et le Club bordelais du Dogue de Bordeaux. D'âpres discussions opposèrent encore Paul Mégnin et le professeur Kunstler, le premier affirmant que le Dogue de Bordeaux devait présenter une mâchoire normale, le second, qui faisait référence aux pratiques des éleveurs de la région Aquitaine, se montrant, lui, un fervent partisan du prognathisme. Il fallut attendre 1926 pour que les deux clubs se mettent enfin d'accord. Un standard put ainsi être rédigé, ses auteurs prenant soin de ménager les susceptibilités de chacun, en admettant dorénavant l'existence de deux masques, le rouge et le noir.

Les Dogues de Bordeaux souffrirent terriblement des deux guerres mondiales. Nombre d'éleveurs ou bien s'étaient dispersés, ou bien avaient quasiment disparu ; et, en 1966, le seul club existant ne comptait plus qu'une dizaine de membres. En 1970, toutefois, la publication, sous la houlette de Raymond Triquet et avec la collaboration du docteur Luquet, d'un standard plus complet et surtout plus précis que celui élaboré à la fin des années vingt permit à la race d'être définitivement reconnue par la Fédération cynologique internationale.

Depuis 1972, la Société des amateurs de Dogues de Bordeaux a pour tâche de développer la race en France ; fort heureusement après une période d'après-guerre particulièrement difficile, on peut considérer que le Dogue de Bordeaux y est maintenant bien établi : de façon logique, dans le Sud-Ouest, mais également en Provence, dans la région parisienne, dans l'Est et dans le Nord; et on peut estimer le cheptel à environ deux mille sujets, ce qui est plus qu'honorable. La race est également implantée en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie, en Suisse, en Espagne et sur les continents américain, africain et asiatique.

L'aspect rébarbatif et le lourd passé de ce chien de combat peuvent laisser croire que le Dogue de Bordeaux est un animal redoutable. Il n'en est rien. Tous les propriétaires s'accordent même à dire que ces Dogues sont avant tout des chiens fort amicaux, doux, qui n'aspirent qu'à une chose: se trouver près, très près, de leur maître. Avec les enfants, tout particulièrement, ce molosse de plus de 50 kilos ne fait preuve d'aucune agressivité; bien au contraire, il joue à leur égard le rôle de protecteur, avec une bonhommie qui, vu son gabarit, pourrait paraître quelque peu paradoxale.

Toutefois, pour être certain d'avoir avec soi un chien bien équilibré, c'est-à-dire de toute confiance, il convient de l'éduquer dès son plus jeune âge. C'est la condition sine qua non pour faire de lui à la fois un gardien hors pair et un véritable compagnon, qui s'intégrera au sein du milieu familial. Le Dogue de Bordeaux supporterait en effet difficilement d'être laissé attaché toute la journée à l'extérieur de la maison. Bien sûr, son dressage ne doit passer par aucune forme de coercition. La force et la brutalité, sous prétexte que l'on se trouve face à un animal doté d'une puissance hors du commun, n'aboutiraient qu'aux résultats contraires. Certes, il faut savoir s'imposer face au chiot dès qu'il a l'âge de quatre ou cinq mois, mais toujours avec justice. Le maître saura être chaleureux, caresser son chien, le flatter même, s'il a bien répondu à un commandement.

Bien évidemment, que les ancêtres du Dogue de Bordeaux aient été chiens de combat ne veut pas dire qu'ils aient été des animaux sans grande intelligence. Ce Dogue, si l'on sait s'y prendre, comprend très bien ce que l'on attend de lui. Bien dressé, il réagit à la moindre parole exprimée par son maître, et se montre parfois aussi pressé d'obéir que certains chiens de chasse. Le Dogue de Bordeaux est naturellement apte à la garde ; même si certains spécimens, parce que leur maître a souhaité qu'il en soit ainsi, accueillent l'étranger dans la plus parfaite indifférence. En outre, avec un dressage approprié, il est tout à fait efficace comme chien de défense. Même des détonations ne suffisent pas à l'impressionner, comme en témoignait un imprimeur du Bordelais, Barès, au début du siècle.

Pour ce qui est des dépenses nécessitées par son alimentation, il est vrai qu'elles peuvent rebuter plus d'un acquéreur potentiel. Car il est tout aussi certain que, au cours de ses deux premières années, ce chien a des besoins carnés très nettement supérieurs à la moyenne, ce qui n'a rien de bien étonnant au vu de son gabarit. Cela étant, il faut savoir que cet effort est indispensable pour éviter toute insuffisance de son squelette. La race, impressionnante par bien des aspects, peut en effet se révéler de santé fragile. Les Dogues de Bordeaux, fort tragiquement d'ailleurs, vivent un peu moins vieux que la moyenne de leurs congénères, peut-être précisément en raison de leur caractère massif. Il n'empêche, ce Dogue, pour les quelque deux mille familles françaises qui l'ont accueilli, est un bien précieux et attachant compagnon.

English

		Dogue de Bordeaux
		FCI standard Nº 116

Origin		France
Translation		Tim Taylor and Raymond Triquet. Revised by Jennifer Mulholland 2007
Group		Group 2 Pinscher and Schnauzer-Molossoid breeds- Swiss mountain and Cattle Dogs
Section		Section 2.1 Molossoid breeds
Working		Without working trial
Acceptance on a definitive basis by the FCI		Friday 01 January 1954
Publication of the official valid standard		Tuesday 04 November 2008
Last update		Friday 23 January 2009
En français, cette race se dit		Dogue de Bordeaux
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar		Bordeaux dogge
En español, esta raza se dice		Dogo de Burdeos
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Bordeaux Dog

Usage

Guard, defence and dissuasion.

Brief historical summary

The dogue de Bordeaux is one of the most ancient French breeds, probably a descendant of the Alans and, in particular, the alan vautre of which Gaston Phebus (or Febus), Count of Foix, wrote in the 14th century, in hisLivre de Chasse that “he holds his bite stronger than three sighthounds”. The word “dogue” appeared at the end of the 14th century.
In the middle of the 19th century these ancient dogues were hardly renowned outside the region of Aquitaine. They were used for hunting large game such as boar, for fighting (often codified), for the guarding of houses and cattle and in the service of butchers. In 1863 the first French dog show took place in Paris in the Jardin d’Acclimatation. The Dogues de Bordeaux were entered under their present name. There have been different types : The Toulouse type, the Paris type and the Bordeaux type, which is the origin of today’s Dogue.
The breed, which had suffered greatly during the two world wars, to the point of being threat ened with extinction after the second world war, got off to a fresh start in the 1960’s.
1st standard (“Caractère des vrais dogues”) in Pierre Megnin, Le Dogue de Bordeaux , 1896.
2nd standard in J. Kunstler, Etude critique du Dogue de Bordeaux, 1910.
3rd standard by Raymond Triquet, with the collaboration of Vet. Dr. Maurice Luquet, 1971.
4th standard reformulated according to Jerusalem model (FCI) by Raymond Triquet, with the collaboration of Philippe Serouil, President of the French Dogue de Bordeaux Club and its Committee, 1993.
Precisions were added in 2007 by Raymond Triquet (Honorary President of the SADB), Sylviane Tompousky (President of the SADB) and Philippe Sérouil (committee member of the SADB).

General appearance

Typical concave lined brachycephalic molossoid. The Dogue de Bordeaux is a very powerful dog, with a very muscular body yet retaining a harmonious general outline. It is built rather close to the ground, the distance sternum-ground being slightly less than the depth of the chest. Stocky, athletic and imposing, it has a very dissuasive aspect.

Important proportions

• The length of the body, measured from the point of the shoulder to the point of the buttock, is superior to the height at the withers, in the proportion of 11/10.
• The depth of the chest is more than half the height at the withers.
• The maximum length of the muzzle is equal to one third of the length of the head.
• The minimum length of the muzzle is equal to one quarter of the length of the head.
• In the male, the perimeter of the skull corresponds more or less to the height at the withers.

Behaviour / temperament

An ancient fighting dog, the Dogue de Bordeaux is gifted for guarding, which it assumes with vigilance and great courage but without aggressiveness. A good companion, very attached to its master and very affectionate. Calm, balanced with a high stimulus threshold. The male normally has a dominant character.

Head
Cranial region
Head		Voluminous, angular, broad, rather short, trapezoid when viewed from above and in front. The longitudinal axes of the skull out of the bridge of nose are convergent (towards the front). The head is furrowed with symmetrical wrinkles, each side of the median groove. These deep ropes of wrinkle are mobile depending on whether the dog is attentive or not. The wrinkle which runs from the inner corner of the eye to the corner of the mouth is typical. If present, the wrinkle running from the outer corner of the eye to either the corner of the mouth or the dewlap should be discreet.
Skull		- In the male: the perimeter of the skull measured at the level of its greatest width corresponds roughly to the height at the withers. - In bitches : it may be slightly less. Its volume and shape are the consequences of the very important development of the temporals, supra-orbital arches, zygomatic arches and the spacing of the branches of the lower jaw. The upper region of the skull is slightly convex from one side to the other. The frontal groove is deep, diminishing towards the posterior end of the head. The forehead dominates the face but does not overhang it. Howeverit is still wider than high.
Stop		Very pronounced, almost forming a right angle with the muzzle (95° to 100°).

Facial region
Nose		Broad, well opened nostrils, well pigmented according to the colour of the mask. Upturned nose permissible but not if it is set back towards the eyes.
Muzzle		Powerful, broad, thick, but not fleshy below the eyes, rather short, upper profile very slightly concave, with moderately obvious folds. Its width hardly decreasing towards the tip of the muzzle, when viewed from above it has the general shape of a square. In relation to the upper region of the skull, the line of the muzzle forms a very obtuse angle upwards. When the head is held horizontally the tip of the muzzle, truncated, thick and broad at the base, is in front of a vertical tangent to the anterior face of the nose. Its perimeter is almost two thirds of that of the head. Its length varies between one third and minimum one quarter of the total length of the head, from the nose to the occipital crest. The limits stated (maximum one third and minimum one quarter of the total length of the head) are permissible but not sought after, the ideal length of the muzzle being between these two extremes.
Lips		Upper lip thick, moderately pendulous, rectractile. When viewed in profile it shows a rounded lower line. It covers the lower jaw on the sides. In front the edge of the upper lip is in contact with the lower lip, then drops on either side thus forming an inverted wide V.
Jaws and teeth		Jaws : Jaws powerful, broad. Undershot (the unders hot condition being a characteristic of the breed). The back of the lower incisors is in front of and not in contact with the front face of the upper incisors. The lower jaw curves upwards. The chin is well marked and must neither overlap the upper lip exaggeratedly nor be covered by it. Teeth : Strong, particularly the canines. Lower canines set wide apart and slightly curved. Incisors well aligned especially in the lower jaw where they form an apparently straight line.
Cheeks		Prominent, due to the very strong development of the muscles.
Eyes		Oval, set wide apart. The space between the two inner corners of the eyelids is equal to about twice the length of the eye (eye opening). Frank expression. The haw must not be visible. Colour : hazel to dark brown for a dog with a black mask, lighter colour tolerated but not sought after in dogs with either a brown mask or without a mask.
Ears		Relatively small, of a slightly darker colour than the coat. At its set on, the front of the base of the ear is slightly raised. They must fall down, but not hang limply, the front edge being close to the cheek when the dog is attentive. The tip of the ear is slightly rounded; it must not reach beyond the eye. Set rather high, at the level of the upper line of the skull, thus appearing to accentuate its width even more.

Neck

Very strong, muscular, almost cylindrical. This skin is supple, ample and loose. The average circumference almost equals that of the head. It is separated from the head by a slightly accentuated transversal furrow, slightly curved. Its upper edge is slightly convex. The well defined dewlap starts at the level of the throat forming folds down to the chest, without hanging exaggeratedly. The neck, very broad at its base, merges smoothly with the shoulders.

Body
Topline		Well sustained.
Withers		Well marked.
Back		Broad and muscular.
Loin		Broad. Rather short and solid.
Croup		Moderately sloping down to the root of the tail.
Chest		Powerful, long, deep, broad, let down lower than the elbows. Broad and powerful forechest whose lower line (inter-axillae) is convex towards the bottom. Ribs well let down and well sprung but not barrel shaped. The circumference of the chest must be between 25 cm to 35 cm greater than the height at the withers.
Underline and belly		Curved from the deep brisket to the rather tucked up, firm abdomen, being neither pendulous nor too tucked up.

Tail

Very thick at the base. Its tip preferably reaching the hock and not below. Carried low, it is neither broken nor kinked but supple. Hanging when the dog is at rest, generally rising by 90° to 120° from that position when the dog is in action, without curving over the back or being curled.

Limbs

Forequarters
Generality		Strong bone structure, legs very muscular.
Shoulders		Powerful, prominent muscles. Slant of shoulder-blade medium (about 45° to the horizontal), angle of the scapular-humeral articulation a little more than 90°.
Upper arm		Very muscular.
Elbows		In the axis of the body, neither too close to the ribcage nor turned out.
Forearm		Viewed from the front, straight or inclining slightly inwards thus getting closer to the median plane, especially in dogs with a very broad chest. Viewed in profile, vertical.
Pastern		Powerful. Viewed in profile, slightly sloping. Viewed from the front sometimes slightly outwards compensating for the slight inclination of the forearm inwards.
Forefeet		Strong. Toes tight, nails curved and strong, pads well developed and supple : the Dogue is well up on his toes despite his weight.

Hindquarters
Generality		Robust legs with strong bone structure; well angulated. When viewed from behind the hindquarter s are parallel and vertical thus giving an impression of power even though the hindquarters are not quite as broad as the forequarters.
Upper thigh		Very developed and thick with visible muscles.
Lower thigh		Relatively short, muscled, descending low.
Stifle		In a parallel plane to the median plane or very slightly out.
Metatarsus		Robust, no dewclaws.
Hock		Short, sinewy, angle of the hock joint moderately open.
Hind feet		Slightly longer than the front feet, toes tight.

Gait and movement

Quite supple for a molossoid. When walking the movement is free and supple, close to the ground. Good drive from the hindquarters, good extension of the forelegs, especially when trotting, which is the preferred gait. When the trot quickens, the head tends to drop, the topline inclines towards the front, and the front feet get closer to the median plane while striding out with a long reaching movement of the front legs. Canter with rather important vertical movement. Capable of great speed over short distances by bolting along close to the ground.

Skin

Thick and sufficiently loose fitting, without excessive wrinkles.

Coat
Hair		Fine, short and soft to the touch.
Colour		Self-coloured, in all shades of fawn, from mahogany to isabella. A good pigmentation is desirable. Limit ed white patches are permissible on the forechest and the extremities of the limbs. • Black mask : The mask is often only slightly spread out and must not invade the cranial region. There may be slight black shading on the skull, ears, neck and top of body. The nose is black. • Brown mask : (used to be called red or bistre). The nose is brown; the eyerims and edges of the lips are also brown. There may be non-invasive brown shading; each hair having a fawn or sandy zone and a brown zone. In this case the inclined parts of the body are a paler colour. • No mask : The coat is fawn : the skin appears red (also formerly called “red mask”). The nose can then be reddish.

Size and weight
Height at withers		Height should more or less correspond to the perimeter of the skull. Height at the withers : For males: 60-68 cm. For females : 58-66 cm. 1 cm under and 2 cm over will be tolerated.
Weight		Dogs : at least 50 kg. Bitches : at least 45 kg. Females: Identical characteristics but less pronounced.

Faults

• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness.

Serious faults

Disproportioned head (too small or exaggerately voluminous).

Bulldoggy hypertype : Flat skull, muzzle measuring less than a quarter of the total length of the head.

Swollen fold (roll) behind the nose.

Important fold around the head.

Important lateral deviation of the lower jaw.

Incisors constantly visible when the mouth is closed.

Very small incisors, unevenly set.

Arched back (convex).

Fused but not deviated vertebrae of the tail.

Forefeet turning inwards (even slightly).

Forefeet turning outwards too much.

Flat thighs.

Angle of hock too open (straight angulation).

Angle of the hock too closed, dog standing under himself behind.

Cow hocks or barrel hocks.

Stilted movement or serious rolling of rear.

Excessive shortness of breath, rasping.

White on tip of tail or on the front part of the forelegs, above the carpus (wrist) and the tarsus (hock) or white, without interruption, on the front of the body from the forechest to the throat.

Disqualifying faults

Aggressive or overly shy.

Long, narrow head with insufficiently pronounced stop, with a muzzle measuring more than a third of the total length of the head (lack of type in head).

Muzzle parallel to the top line of the skull or downfaced, Roman nose.

Twisted jaw.

Mouth not undershot.

Canines constantly visible when the mouth is closed.

Tongue constantly hanging out when the mouth is closed.

Blue eyes; bulging eyes.

Tail knotted and laterally deviated or twisted (screw tail, kink tail).

Atrophied tail.

Fiddle front and down on pasterns.

Angle of the hock open towards the rear (inverted hock).

White on the head or body, any other colour of the coat than fawn (shaded or not) and in particular brindle or solid brown called “chocolate” (each hair being entirely brown).

Identifiable disabling defect.

NB :

• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding.

Bibliography

http://www.fci.be/

Detailed history

The Dogue de Bordeaux, whose history, like that of all the Dogues, goes back to the dawn of time, had the incomparable privilege of being recognized by the cynophile authorities of the last century as the most important French Mastiff. According to the famous veterinarian Pierre Mégnin, the Dogue de Bordeaux is derived from the Alans (also called Allants), these powerful molossoids that accompanied the Alans, a tribe of Indo-European origin settled between the Urals and the Caucasus, when pushed by the Huns, they swept over the lands of the Roman Empire, as far as Gaul and Spain. The Alans disappeared in the fifth century, but in Aquitaine and northern Spain, their famous Molosses crossed with autochthonous dogs with rather similar characteristics (we found some bones dating from prehistory), would have given birth to Dogue de Bordeaux and the Dogue de Burgos (which was represented in Spain from the Middle Ages). This is also the thesis defended by the eminent Professor Kunstler, who taught comparative anatomy at the University of Bordeaux.

Used mainly as fighting dogs, the Aquitaine Dogs; they will only be called "masters of Bordeaux" in the nineteenth century; attacked in packs, and apparently, because, in the twelfth century, they contributed largely to the defeat of the English troops. It is only much later, in the eighteenth century, that we find trace of the Great Dane, and this, as noted by Dr. Maurice Luquet in his work Dogs and Bulldogs, under the brush of the famous animal painter Jean -Baptist Oudry who makes him appear in two of his works. As for Buffon, he also mentions it in his Histoire naturelle.

Still, and it is an almost universal case in the history of the canine gent, it is only in the nineteenth century that the race was recognized a very specific identity. In 1863, in fact, the first dog show took place in the Jardin d'Acclimatation in Paris. If, in the minds of the cynologists of the time, it was not to judge the dogs against each other, but rather to draw up an inventory as complete as possible of the breeds existing in the second half of the nineteenth century, this exhibition allowed the Dogue d'Aquitaine to conquer its letters of nobility among a large public. Imposing himself quickly against the other Mastiffs of French origin thanks to his obvious peculiarities, especially in the type, the Dogue of Aquitaine, which one began to call Dogue de Bordeaux, polarized all the attention of the breeders who, during nearly thirty years old were going to fight each other to shape the future of this singular breed. These quarrels, which naturally concerned the definite characters to be definitively attributed to the Dogue de Bordeaux, especially its size, its conformation, the shape and length of its muzzle, but also the color of its mask, the existence of the prognathism and the importance of giving him, finally, over the color of his dress, had no other consequence than to delay the fixing of the race. In 1880, after certain breeders, without precise knowledge of the animal, had enriched the Dogue de Bordeaux with Mastiff blood, Pierre Mégnin and, with him, the Marquis de Cherville alerted the Committee of the Central Canine Society to put an end to these retreats, carried out indiscriminately and which threatened to distort the race for ever, and to finally endeavor to develop a standard worthy of the name. The action of these two enlightened cynologists was not without result, since one of the first acts of the committee, as noted humorously Dr. Luquet, was to "send back to their dear studies these judges, mostly British and Dutch, having never seen or studied this breed and who certainly knew better the recipes of making cocktails than the pedigrees of the races which they judged ".

In any case, no standard had yet been written in 1910, and we were still unable to give the Dogue de Bordeaux precise morphological criteria, the specialists hesitating especially between the red mask and the black. As for the size, the weight and the type of head, they were so diverse that we began to distinguish three types of dogs: Bordeaux, Toulouse and Paris (some specimens being in fact implanted in France). of France).

Professor Kunstler then published a very thorough study on the breed, Prolegomena to be used to establish the standard of the Dogue de Bordeaux, which, if it had not been presented to a French club Dogue de Bordeaux whose members s' confronted in sterile quarrels, would have had every chance of clarifying things once and for all. This club was dissolved, and from its ashes were born two other clubs in 1913: the Central Society of Dogue de Bordeaux and the Bordeaux Club of Dogue de Bordeaux. In sharp discussions, Paul Mégnin and Professor Kunstler were still the first to argue that the Dogue de Bordeaux had to have a normal jaw, the second, which referred to the practices of the breeders of the Aquitaine region, showing himself to be a strong supporter. of prognathism. It was not until 1926 that the two clubs finally agreed. A standard could be written, its authors taking care to spare the susceptibilities of each, admitting from now on the existence of two masks, red and black.

The Bordeaux Dogs suffered terribly from the two world wars. Many breeders either dispersed or had almost disappeared; and in 1966, the only existing club had only about ten members. In 1970, however, the publication, under the leadership of Raymond Triquet and with the collaboration of Dr. Luquet, of a more complete and especially more precise standard than that elaborated at the end of the twenties, allowed the breed to be definitively recognized. by the International Cynological Federation.

Since 1972, the Society of the amateurs of Dogues de Bordeaux has for task to develop the race in France; fortunately, after a particularly difficult post-war period, we can consider that the Dogue de Bordeaux is now well established there: in a logical way, in the South-West, but also in Provence, in the Paris region, in the East and in the North; and the herd can be estimated at about two thousand subjects, which is more than honorable. The breed is also established in Germany, the Netherlands, Italy, Switzerland, Spain and on the American, African and Asian continents.

The forbidding aspect and heavy past of this fighting dog may suggest that the Dogue de Bordeaux is a formidable animal. It is not so. All the owners even agree that these dogs are above all dogs very friendly, sweet, who aspire to one thing: to be near, very close to their master. Especially with the children, this mastiff weighing more than 50 kilos shows no aggression; on the contrary, he plays with them the role of protector, with a kindness that, given its size, might seem somewhat paradoxical.

However, to be certain of having a well-balanced dog with you, that is to say of all confidence, it is advisable to educate him from an early age. It is the sine qua non to make him both an outstanding caretaker and a true companion, who will fit into the family environment. The Dogue de Bordeaux would hardly bear to be left attached all day outside the house. Of course, his training must not go through any form of coercion. Force and brutality, under the pretext that one is faced with an animal endowed with an extraordinary power, would only end up with contrary results. Admittedly, you have to be able to win against the puppy as soon as he is four or five months old, but always with justice. The master will know how to be warm, caress his dog, flatter him even if he has answered a command.

Of course, that the ancestors of the Dogue de Bordeaux were fighting dogs does not mean that they were animals without great intelligence. This Great Dane, if we know how to do it, understands very well what is expected of him. Well trained, he reacts to any word expressed by his master, and is sometimes as eager to obey as some hunting dogs. The Dogue de Bordeaux is naturally fit for the guard; even if certain specimens, because their master wished it to be so, welcome the stranger in the most perfect indifference. In addition, with proper training, he is quite effective as a defense dog. Even detonations are not enough to impress him, as testified by a printer from Bordeaux, Barès, at the beginning of the century.

When it comes to the expenses of food, it is true that they can put off more than one potential buyer. Because it is just as certain that, during his first two years, this dog has meat requirements well above average, which is not very surprising given its size. That being the case, we must know that this effort is essential to avoid any insufficiency of its skeleton. The breed, impressive in many ways, can indeed prove to be fragile health. The Dogues de Bordeaux, tragically too, live a little less old than the average of their congeners, perhaps precisely because of their massive nature. Nevertheless, this Dogue, for the some two thousand French families who have welcomed him, is a precious and endearing companion.

Deutsch

		Bordeaux dogge
		FCI-Standard Nº 116

Ursprung		Frankreich
Übersetzung		Francis Vandersteen
Gruppe		Gruppe 2 Pinscher und Schnauzer - Molossoide - Schweizer Sennen
Sektion		Abschnitt 2.1 Molosser Mastiff-Typ
Arbeitsprüfung		Ohne Arbeitsprüfung
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI		Freitag 01 Januar 1954
Publikation des gültigen offiziellen Standards		Dienstag 04 November 2008
Letzten Aktualisierung		Donnerstag 01 Oktober 2015
En français, cette race se dit		Dogue de Bordeaux
In English, this breed is said		Dogue de Bordeaux
En español, esta raza se dice		Dogo de Burdeos
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Bordeaux Dog

Verwendung

Garde, Verteidigung und Abschreckung.

Kurzer geschichtlicher abriss

Die Bordeauxdogge ist eine der ältesten Französisch Hunde der Regel von der Alanen und insbesondere abstammen, die alan schwelgt welche Gaston Phebus (oder Phoebus) Graf von Foix, sagte in dem vierzehnten Jahrhundert, in seinem Livre de Chasse er "hält seine Beute besser als dies drei Windhunde tun würde." Das Wort "dog" wird am Ende des vierzehnten Jahrhunderts. Die Mitte des neunzehnten Jahrhunderts wurden diese alten Hunde kaum in Aquitaine bekannt. Sie wurden für die Großwildjagd (Wildschwein) kämpfen (oft kodifiziert) verwendet, um die Häuser und Vieh in den Dienst der Metzger bewachen. Im Jahre 1863 fand in Paris im Zoo, dem ersten Französisch Hundeshow. Mastiffs Bordeaux wurden unter ihrer heutigen Bezeichnung aufgeführt. Es wurden verschiedene Arten Toulouse Typ, der Pariser Typ, der Bordeaux-Typ, der Ursprung der heutigen Dogge. Rennen, die stark in den beiden Weltkriegen bis zur vom Aussterben nach dem Krieg von 1939-1945 bedroht gelitten hatte, zog in den 1960er Jahren.
1-Standard ("Natur der wahren Hunde") in Pierre Megnin, der Dogue de Bordeaux, 1896.
2. Standard in J. Kunstler, Kritik von Dogue de Bordeaux 1910 Studie.
3. Standard von Raymond Triquet, in Zusammenarbeit mit dem Tierarzt Maurice Luquet 1971.
Nach Jerusalem Modell (FCI) von Raymond Triquet Zusammenarbeit mit PhiIippe Sérouil, Präsident, Präsident, und dem Ausschuss der Gesellschaft für Amateure von Dogue de Bordeaux, 1993 4. Standard formuliert.
Standard von Raymond Triquet (Ehrenpräsident des SADB), Sylviane Tompousky (Präsident der SADB) und Philippe Sérouil (Mitglied des Ausschusses für SADB) im Jahr 2007 festgelegt.

Allgemeines erscheinungsbild

Typischerweise konkaver Linien brachyzephalen molossoid. Die Bordeauxdogge ist ein sehr kräftiger Hund, dessen sehr muskulöser Körper und dennoch mit einem harmonischen Ganzen. Es ist gebaut und nicht nahe am Boden, dh die Entfernung Brustbein-Boden etwas kleiner als die Höhe der Brust.
Untersetzt, athletisch, imposant, hat er eine abschreckende Wirkung.

Wichtige proportionen

Die Länge des Körpers vom Punkt der Schulter bis zum Punkt der Gesäß, ist größer als die Widerristhöhe, im Verhältnis von 11/10.
Die Höhe der Brust ist mehr als die Hälfte der Widerristhöhe.
Die maximale Länge der Fase gleich einem Drittel der Länge. Kopf.
Die minimale Länge der Fase gleich einem Viertel der Länge des Kopfes.
In der männlichen entspricht der Kopfumfang ungefähr der Widerristhöhe.

Verhalten / charakter (wesen)

Eine alte Kampfhund, der Dogue de Bordeaux ist für die Bewachung, die sie mit Aufmerksamkeit und großem Mut, aber ohne Aggressivität erfüllt begabt. Ein guter Begleiter, zu seinem Herrn sehr verbunden und sehr anhänglich. Ruhig, mit Schwellenreaktion (Reaktion) hoch ausgewogen. Der Mann hat in der Regel einen dominanten Charakter.

Kopf
Oberkopf
Kopf		Voluminösen, eckig, breit, ziemlich kurz, Trapez, von vorne und von oben betrachtet. Die Längsachsen von Schädel und Fang sind konvergent (vorwärts). Der Kopf ist durch symmetrische Falten, jeder Seite des Medianfurche durchfurcht. Diese tiefen und gewundene Falten sind beweglich, je nachdem, ob der Hund aufmerksam ist oder nicht. Die Fahrt, die vom inneren Augenwinkel zum Mundwinkel geht, ist typisch. Die Fahrt von der äußeren Ecke des Auges, um die Ecke des Mundes oder der Wamme, falls vorhanden, müssen diskret bleiben.
Schädel		Im männlichen: der Umfang des Schädels gemessen an der größten Breite entspricht in etwa der Höhe am Widerrist. Bei der Frau: er könnte ein wenig niedriger sein. Form und Volumen sind die Folgen der sehr wichtige Entwicklung von Schläfen, Supraorbitalbögen, Jochbogen und der Abstand der Äste des Unterkiefers. Der obere Bereich des Kopfes leicht konvex ist von Seite zu Seite. Tiefe Stirnfurche, sinkende zum hinteren Ende des Kopfes. Die Stirn dominiert das Gesicht, aber nicht darüber. Jedoch ist es immer noch breiter als hoch.
Stop		Sehr mit der Bildung einer nahezu geraden Kegelwinkel (95-100 °) aufgeladen.

Facial region
Nasenschwamm		Große, gut geöffneten Nasenlöchern, auch nach der Maskenfarbe pigmentiert; Stupsnase (Stupsnase) erlaubt, aber nicht in die Augen versenkt.
Fang		Kräftig, breit, dick, aber nicht fleischig unter den Augen, ziemlich kurz, obere Begrenzungslinie sehr leicht konkav, mit mäßig ausgeprägten Falten. Seine Breite kaum in Richtung der Spitze der Schnauze ab, die er von oben auf die allgemeine Form eines Quadrats gesehen hat. Im Vergleich zu dem oberen Bereich des Schädels bildet der Verlauf des Nasenbeins einen sehr stumpfen Winkel öffnen. Wenn der Kopf horizontal, die Schnauzenspitze abgeschnitten, dick und breit an der Basis, ist vor einer vertikalen Tangente an der vorderen Fläche der Nase. Sein Umfang ist zwei Drittel der des Kopfes. Seine Länge beträgt zwischen einem Viertel und einem Drittel der Gesamtlänge des Kopfes, von der Nase bis zum Hinterkopf. Die oberen Grenzen (dritte) und unteren (ein Viertel der Länge des Kopfes) sind zulässig, aber nicht angestrebt, die ideale Länge der Schnauze zwischen diesen Extremen.
Lefzen		Oberlippe dick, mäßig hängend, retractile. Benutzer-Profile zeigt es eine abgerundete untere Zeile. Es umfasst die Unterkieferseiten. An der vorderen Kante der oberen Lippe in Kontakt mit der Unterlippe und unten je Seite bildet ein umgekehrtes V aufgeweitet.
Kiefer / Zähne		Kiefer: Sehr kräftig, breit. Der Hund ist unterschritten (Prognathie ist ein Rassencharakter). Die hintere Fläche der unteren Schneidezähne in Vorder, nicht in Kontakt mit der vorderen Fläche der oberen Schneidezähne. Die Unterkiefer-Kurven nach oben. Das Kinn ist gut markiert und darf weder übertrieben unter der Oberlefze noch von dieser verdeckt werden. Zähne: Kräftige, besonders die Eckzähne. Unteren Eckzähne auseinander und leicht gebogen. Schneidezähne gut, vor allem im Unterkiefer, wo sie eine scheinbar gerade Linie bilden ausgerichtet.
Wangen		Projektionen aufgrund der starken Muskelentwicklung.
Augen		Oval, weit auseinander. Der Raum zwischen den inneren Augenlidwinkeln entspricht etwa der doppelten Länge des Auges (Augenöffnung). Schauen Franken. Die Bindehaut nicht ersichtlich. Hazel bis dunkelbraun für einen Hund mit einer schwarzen Maske, hellere Farbe zulässig, aber nicht bei Hunden mit braunen Maske oder ohne Maske gesucht.
Ohren		Relativ klein, etwas dunkler als der Mantel. An ihrem Haus, ist das vordere Basis leicht angehoben. Herabfallende, aber nicht schlaff hängen, wobei die Vorderkante gegen die Wange, wenn der Hund aufmerksam ist. Das untere Ende ist leicht abgerundet; es sollte nicht über das Auge reicht. Sie sind ziemlich hoch, in der oberen Zeile des Schädels, so erscheinen zu seiner Breite zu betonen.

Hals

Sehr stark, muskulös, nahezu zylindrisch. Ihre Haut ist lose, locker und flexibel. Die durchschnittliche Umfang fast gleich der des Kopfes. Es ist aus dem Kopf durch eine leicht akzentuierten Querfurche, leicht gekrümmt getrennt. Seine obere Profil ist leicht konvex. Die gut definierte Wamme beginnt auf der Ebene der Kehlbereich und bildet Falten auf der Brust, ohne übertrieben hängen. Der Hals, sehr breit an der Basis, fügt sich nahtlos mit den Schultern.

Körper
Obere Profillinie		Nun unterstützt.
Widerrist		Gut markiert.
Rücken		Große und muskulös.
Lenden		Breit, recht kurze und feste.
Kruppe		Mässig schräg nach unten an der Wurzel des Schwanzes.
Brust		Leistungsstark, lang, hoch und breit, unterhalb des Ellenbogens absteigend; Breit und kraftvolle Brust, dessen untere Linie (inter-Achselhöhlen) konvex nach unten. Nun lassen Sie nach unten und gut gewölbt, aber nicht tonnen Rippen. Der Umfang der Brust sollte 25 cm bis 35 cm größer als die Höhe am Widerrist sein.
Untere Profillinie und Bauch		Harpee Linie, gut bis auf das, mässig aufgezogenen festen Bauch, weder Hänge- oder windig.

Rute

Sehr dick an der Wurzel. Seine Spitze reicht vorzugsweise bis zum Sprunggelenk und nicht unten. Tief getragen, ist es weder gebrochen noch geknickt, aber geschmeidig.
Fallen in Ruhe, in der Regel fällt er von 90 bis 120 ° in bezug auf diese Position, wenn der Hund in Bewegung ist, ohne Krümmen über die Rückseite oder wickeln.

Gliedmassen

Vorderhand
Allgemeines		Starke Knochen, sehr muskulös Gliedmaßen.
Schultern		Leistungsstark, prominente Muskeln. Schrägschnitt (etwa 45 ° zur Horizontalen), Winkel des Schultergelenk: ein wenig mehr als 90 °.
Oberarm		Sehr muskulös.
Ellenbogen		Im Einklang mit dem Körper nicht zu fest gegen die Brustwand oder heraus.
Unterarm		Von vorne gesehen, gerade oder leicht abgewinkelt nach innen so etwas näher an der Mittelebene, vor allem bei Hunden mit sehr breiter Brust. Im Profil, Vertikal gesehen.
Vordermittelfuss		Leistungsstarke Mittelhandbereich. Profil, leicht abfallend. Von vorn besehen manchmal etwas ausge Kompensation der leichten Neigung des Unterarms nach innen.
Vorderpfoten		Starke, Zehen eng, Nägel gekrümmte und stark, Ballen gut entwickelt und geschmeidig; der Hund ist seine Zehen trotz seinem Gewicht.

Hinterhand
Allgemeines		Robuste Beine mit starken Knochen, gut gewinkelt. Wenn von hinten den parallelen und vertikalen Pfosten angesehen vermittelt einen Eindruck von Macht, obwohl die Hinterhand ist etwas schmaler als die vordere Hand.
Oberschenkel		Sehr entwickelt und dick, mit sichtbaren Muskeln.
Unterschenkel		Relativ kurz, muskulös, tief unten.
Knie		In einer Ebene parallel zu der Mittelebene oder leicht nach außen.
Hintermittelfuss		Robust, kein Pin.
Sprunggelenk		Kurz, trocken, Winkel der mäßig offener Sprunggelenks.
Hinterpfoten		Ein wenig mehr als die bisherigen, engen Fingern.

Gangwerk

Flexibel genug für eine Dogge. Pitch, geschmeidig, in der Nähe der Bodenbewegung. Gute Fahrt von der Hinterhand, gute Erweiterung der Vorderläufe, besonders im Trab, der bevorzugten Gangart ist. Wenn der Trab schneller, neigt den Kopf zu fallen, neigt sich die Rückenlinie nach vorne, um die vorderen Füße näher an die Medianebene im schritt aus Land vorwärts zu kommen. Canter mit Vertikalbewegung ziemlich wichtig. Fähig zur Hochgeschwindigkeits Taumeln über den Boden über kurze Strecken.

Haut

Dick und breit genug, ohne überschüssige Falten.

Coat
Haar		Fein, kurz und weich im Griff.
Farbe		Farbige, in allen Bereich von Kitz, von Mahagoni mit Isabella. Wollte eine gute Pigmentierung. Begrenzt weiße Flecken auf der Brust und den Extremitäten der Glieder zulässig. Black Mask: Die Maske wird oft nur wenig ausgedehnt und darf nicht in die Schädelregion reichen. Es kann von leichtem Ruß auf dem Schädel, Ohren, Hals und Oberkörper sein. Die Nase ist schwarz. Brown Maske (ehemals roten oder bistre genannten): Die Nase ist braun, die Ränder der Augenlider sind braun, und die Ränder der Lippen. Es kann durch nicht-invasive braunen Schattierungen begleitet werden, hat jedes Haar einen tan oder Sand und eine braune Fläche; die Unterseite ist heller dann. Keine Maske: Das Fell ist Kitz: die Haut erscheint rot (früher ebenfalls "rote Maske" bezeichnet). Trüffel können dann rötlich sein.

Grösse und gewicht
Widerristhöhe		Größe in etwa dem Kopfumfang entsprechen Widerristhöhe: Männlich 60-68 Zoll am Widerrist, Weibchen 58-66 cm Widerristhöhe. Wir tolerieren mindestens 1 cm und 2 cm über.
Gewicht		Mindestens 50 kg männlich, weiblich 45 kg mit mindestens gleich wie die männlichen Charaktere, aber weniger ausgeprägt.

Fehler

• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden.

Schwere fehler

Unverhältnismäßig Kopf (zu klein oder übermäßig groß).

Hypertype Bulldog: flacher Schädel, Nasenbein weniger als ein Viertel der Gesamtlänge des Kopfes, geschwollene Fahrt hinter der Nase.

Deutlichen Rückgang um den Kopf.

Wichtige seitliche Abweichung des Unterkiefers.

Schneidezähne konsequent sichtbar, wenn der Mund geschlossen ist.

Schneidezähne sehr klein implantiert unsachgemäß.

Zurück gewölbt (konvex).

Schwanz, sondern verschmolzen mit Wirbeln unabgelenkt.

Vorderpfoten drehte sich in sogar leicht.

Vorderpfoten übermäßig herausstellte.

Wohnung Oberschenkel.

Sprunggelenkswinkel zu offen (steile Winkelung).

Winkeln zu geschlossen, stand unter sich hinter.

Kuhhessigkeit, Fass Sprunggelenke.

Gestelzter oder schwere Roll zurück.

Übermäßige Kurzatmigkeit, heiser.

Weiß Spitze des Schwanzes oder der vorderen Mitglieder, über dem Carpus und Tarsus weiß oder Abdecken des vorderen ununterbrochener Rumpf, Brust Hals.

Disqualifizierende fehler

Aggressiv oder ängstlich.

Lange, schmale Kopf mit wenig markiertem Stop Nasenbein mehr als ein Drittel der Gesamtlänge des Kopfes (Mangel an Typ Kopf).

Muzzle parallel zur oberen Linie des Schädels oder unten, römische Nase.

Torsion des Kiefers.

Dogue nicht niedriger unterschritten wird.

Eckzähne ständig sichtbar, wenn der Mund geschlossen ist.

Sprache heraus stetig der Mund geschlossen ist.

Blaue Augen, hervorquellenden Augen.

Schwanz sowohl verknotet und seitlich gekrümmt oder gedreht (Korkenzieher).

Schwanz verkümmert.

Unterarm mit sehr Mittelhandbereich verdreht zusammengebrochen.

Sprunggelenkswinkel nach hinten offen (tarsal abgewichen nach vorne).

Weiß auf dem Kopf oder Körper, andere Fellfarbe als Kitz (Kitz oder nicht), insbesondere auf brindle Mantel und braunen Kleid einheitlich als "Schokolade" (jedes Haar ist dann vollständig braun).

Tare Deaktivieren identifizierbar.

NB :

• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Detaillierter Verlauf

Die Dogue de Bordeaux, deren Geschichte wie die aller Dogues bis in die frühen Tage zurückreicht, hatte das unvergleichliche Privileg, von den cynophilen Autoritäten des letzten Jahrhunderts als der bedeutendste französische Mastiff anerkannt zu werden. Laut dem berühmten Tierarzt Pierre Mégnin ist die Dogue de Bordeaux von den Alanen (auch Allants genannt) abgeleitet, diesen mächtigen Molossoiden, die die Alanen begleiteten, ein Stamm indogermanischen Ursprungs, der sich zwischen Ural und Kaukasus niederließ Von den Hunnen fegten sie über die Länder des Römischen Reiches bis nach Gallien und Spanien. Die Alanen verschwanden im fünften Jahrhundert, aber in Aquitanien und Nordspanien kreuzten sich ihre berühmten Molosse mit autochthonen Hunden mit ziemlich ähnlichen Eigenschaften (wir fanden einige Knochen aus der Vorgeschichte) bzw. gebar Dogue de Bordeaux und die Dogue de Burgos (die in Spanien aus dem Mittelalter vertreten war). Dies ist auch die These des bedeutenden Professors Kunstler, der an der Universität von Bordeaux vergleichende Anatomie lehrte.

Hauptsächlich als Kampfhunde eingesetzt, die Aquitaine Dogs; sie werden im 19. Jahrhundert nur "Herren von Bordeaux" genannt werden; in Rudeln angegriffen, und anscheinend, weil sie im zwölften Jahrhundert größtenteils zur Niederlage der englischen Truppen beitrugen. Erst viel später, im achtzehnten Jahrhundert, finden wir Spuren der Dogge, wie Dr. Maurice Luquet in seiner Arbeit Dogs and Bulldogs unter dem Pinsel des berühmten Tiermalers John bemerkte -Baptist Oudry, der ihn in zwei seiner Werke erscheinen lässt. Was Buffon angeht, erwähnt er es auch in seiner Histoire naturelle.

Dennoch, und es ist ein fast universeller Fall in der Geschichte des Hundezüchters, erst im neunzehnten Jahrhundert wurde der Rasse eine sehr spezifische Identität anerkannt. Im Jahr 1863 fand die erste Hundeausstellung im Jardin d'Acclimatation in Paris statt. Wenn es nach Ansicht der damaligen Kynologen nicht darum ging, die Hunde gegeneinander zu urteilen, sondern um möglichst vollständige Bestandsaufnahmen der in der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts vorhandenen Rassen zu erstellen, Diese Ausstellung ermöglichte es der Dogue d'Aquitaine, ihre Adelsbriefe in einem großen Publikum zu erobern. Er stellte sich schnell gegen die anderen Mastiffs französischer Herkunft dank seiner offensichtlichen Eigenheiten, vor allem in der Art, die Dogue von Aquitaine, die man Dogue de Bordeaux zu nennen begann, polarisierte die ganze Aufmerksamkeit der Züchter, die, während fast dreißig Jahre alt würden gegeneinander kämpfen, um die Zukunft dieser einzigartigen Rasse zu gestalten. Diese Streitigkeiten, die natürlich die definitiven Merkmale betreffen, die definitiv der Dogue de Bordeaux zugeschrieben werden, besonders seine Größe, seine Konformation, die Form und Länge seiner Mündung, aber auch die Farbe seiner Maske, die Existenz des Prognathismus und die Wichtigkeit, ihm schließlich die Farbe seiner Kleidung zu geben, hatte keine andere Folge als die Verzögerung des Rennens zu verzögern. Nachdem bestimmte Züchter, ohne genaue Kenntnis des Tieres, die Dogue de Bordeaux 1880 mit einer Mastiff-Blutversorgung bereichert hatten, warnten Pierre Mégnin und mit ihm der Marquis de Cherville das Komitee der Central Canine Society diese Rückzüge, die wahllos ausgeführt wurden und die die Rasse für immer zu verzerren drohten, zu beenden und endlich einen Standard zu entwickeln, der diesen Namen verdient. Die Aktion dieser beiden aufgeklärten Kynologen war nicht ohne Ergebnis, da eine der ersten Handlungen des Komitees, wie humoristisch Dr. Luquet bemerkt, war, "diesen Richtern, meist Briten und Holländer, die diese Rasse nie gesehen oder studiert hatten und die Rezepte der Herstellung von Cocktails sicher besser kannten als die Stammbäume der Rassen, die sie beurteilten ".

Jedenfalls war 1910 noch kein Standard geschrieben worden, und wir konnten der Dogue de Bordeaux noch immer keine genauen morphologischen Kriterien geben, da die Spezialisten vor allem zwischen der roten Maske und der schwarz. Die Größe, das Gewicht und die Art des Kopfes waren so unterschiedlich, dass wir drei Arten von Hunden unterschieden: Bordeaux, Toulouse und Paris (einige Exemplare wurden tatsächlich in Frankreich implantiert). von Frankreich).

Professor Kunstler veröffentlichte daraufhin eine sehr gründliche Studie über die Rasse, Prolegomena, die verwendet werden sollte, um den Standard der Dogue de Bordeaux zu etablieren, der, wenn er nicht einem französischen Club Dogue de Bordeaux präsentiert worden wäre, dessen Mitglieder in sterilen Auseinandersetzungen konfrontiert, hätte jede Gelegenheit gehabt, Dinge ein für alle Mal zu klären. Dieser Club wurde aufgelöst, und aus seiner Asche wurden 1913 zwei weitere Clubs geboren: die Central Society der Dogue de Bordeaux und der Bordeaux Club der Dogue de Bordeaux. In scharfen Diskussionen argumentierten Paul Mégnin und Professor Kunstler immer noch als Erste, dass die Dogue de Bordeaux einen normalen Kiefer haben müsse, der zweite, der sich auf die Praktiken der Züchter der Region Aquitaine bezog, sich als starker Unterstützer zeigte. von Prognathie. Erst 1926 stimmten die beiden Clubs zu. Ein Standard könnte geschrieben werden, dessen Autoren darauf bedacht sind, die Empfindlichkeiten jedes einzelnen zu verschonen, und von nun an die Existenz von zwei Masken, rot und schwarz, zulassen.

Die Bordeaux Dogs litten schrecklich unter den zwei Weltkriegen. Viele Züchter waren entweder verstreut oder fast verschwunden; und im Jahr 1966 hatte der einzige bestehende Club nur etwa zehn Mitglieder. Im Jahr 1970 jedoch ermöglichte die Veröffentlichung unter Leitung von Raymond Triquet und in Zusammenarbeit mit Dr. Luquet einen umfassenderen und vor allem präziseren Standard als Ende der zwanziger Jahre, die Rasse endgültig zu erkennen. von der Internationalen Kynologischen Föderation.

Seit 1972 hat die Gesellschaft der Amateure der Dogues de Bordeaux die Aufgabe, das Rennen in Frankreich zu entwickeln; Glücklicherweise können wir nach einer besonders schwierigen Nachkriegszeit davon ausgehen, dass die Bordeauxdogge hier gut etabliert ist: auf logische Weise, im Südwesten, aber auch in der Provence, in der Region Paris, in der Osten und Norden; und die Herde kann auf ungefähr zweitausend Themen geschätzt werden, was mehr als ehrenwert ist. Die Rasse ist auch in Deutschland, den Niederlanden, Italien, der Schweiz, Spanien und auf dem amerikanischen, afrikanischen und asiatischen Kontinent etabliert.

Der verbietende Aspekt und die schwere Vergangenheit dieses Kampfhundes mögen darauf hindeuten, dass die Bordeauxdogge ein furchtbares Tier ist. Es ist nicht so. Alle Besitzer sind sich sogar einig, dass diese Hunde vor allem sehr freundliche, süße Hunde sind, die nach einer Sache streben: nahe bei ihrem Meister zu sein. Besonders bei den Kindern zeigt dieser mehr als 50 Kilo schwere Mastiff keine Aggression; im Gegenteil, er spielt mit ihnen die Rolle des Beschützers, mit einer Freundlichkeit, die angesichts ihrer Größe etwas paradox erscheinen mag.

Um sicher zu sein, einen ausgeglichenen Hund bei sich zu haben, also von ganzem Vertrauen, ist es ratsam, ihn von früh an zu erziehen. Es ist die unabdingbare Voraussetzung, dass er sowohl ein hervorragender Hausmeister als auch ein wahrer Begleiter wird, der sich in das familiäre Umfeld einfügt. Die Dogue de Bordeaux würde es kaum ertragen, den ganzen Tag außerhalb des Hauses hängen zu bleiben. Natürlich darf seine Ausbildung keine Form von Zwang durchmachen. Gewalt und Brutalität, unter dem Vorwand, dass man einem Tier gegenübersteht, das mit einer außerordentlichen Macht ausgestattet ist, würden nur zu widersprüchlichen Ergebnissen führen. Zugegebenermaßen muss man gegen den Welpen gewinnen können, sobald er vier oder fünf Monate alt ist, aber immer mit Gerechtigkeit. Der Meister wird wissen, wie man warm ist, streichelt seinen Hund, schmeichelt ihm, auch wenn er einen Befehl beantwortet hat.

Dass die Vorfahren der Dogue de Bordeaux kämpfende Hunde waren, bedeutet natürlich nicht, dass sie Tiere ohne große Intelligenz waren. Wenn wir wissen, wie man es macht, versteht dieser Deutsche sehr gut, was von ihm erwartet wird. Gut ausgebildet, reagiert er auf jedes von seinem Meister geäußerte Wort und ist manchmal so begierig zu gehorchen wie einige Jagdhunde. Die Dogue de Bordeaux ist natürlich für die Wache geeignet; selbst wenn gewisse Exemplare, weil ihr Meister es wünschte, den Fremden in der vollkommensten Gleichgültigkeit begrüßten. Darüber hinaus ist er bei entsprechender Ausbildung als Abwehrhund sehr effektiv. Selbst Detonationen sind nicht genug, um ihn zu beeindrucken, wie ein Drucker des Bordelais, Barès, zu Beginn des Jahrhunderts bezeugte.

Wenn es um die Ausgaben für Lebensmittel geht, ist es wahr, dass sie mehr als einen potenziellen Käufer abschrecken können. Denn genauso sicher ist, dass dieser Hund in den ersten zwei Jahren einen überdurchschnittlich hohen Fleischbedarf hat, was angesichts seiner Größe nicht verwunderlich ist. In diesem Fall müssen wir wissen, dass diese Bemühungen unerlässlich sind, um eine Unzulänglichkeit ihres Skeletts zu vermeiden. Die Rasse, die in vielerlei Hinsicht beeindruckend ist, kann sich in der Tat als fragile Gesundheit erweisen. Auch die Dogues de Bordeaux leben tragischerweise etwas weniger alt als der Durchschnitt ihrer Kongeneren, vielleicht gerade wegen ihrer massiven Natur. Nichtsdestotrotz ist diese Dogue für die rund zweitausend französischen Familien, die ihn willkommen geheißen haben, ein wertvoller und liebenswerter Begleiter.

Español

		Dogo de Burdeos
		FCI Standard Nº 116

Origen		Francia
Traducción		Iris Carrillo (Federación Canófila de Puerto Rico) Revisión Técnica : Miguel Ángel Martínez (Federación Cinólogica Argentina)
Grupo		Grupo 2 Perros tipo Pinscher y Schnauzer, Molosoides, Perros tipo montaña y Boyeros suizos
Sección		Sección 2.1 Molosoides tipo montaña
Prueba de trabajo		Sin prueba de trabajo
Reconocimiento a título definitivo por la FCI		viernes 01 enero 1954
Publicación del estándar oficial válido		martes 04 noviembre 2008
Última actualización		viernes 23 enero 2009
En français, cette race se dit		Dogue de Bordeaux
In English, this breed is said		Dogue de Bordeaux
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Bordeaux dogge
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Bordeaux Dog

Utilizacion

Perro guardián, de defensa y disuasión.

Breve resumen historico

El Dogo de Burdeos es una de las razas francesas más antiguas, probablemente descendientes del Alano y en particulares el alano vautre sobre el cual escribió Gastón Phebus (o Febos), Conde de Foix en el siglo 14 en su Livre de Chasse “sostiene su mordida, que es más fuerte que la de treslebreles”. La palabra “dogo” recién aparece a finales del siglo 14. A mediados del siglo 19 este antiguo dogo fue renombrado exclusivamente en la región de Aquitania. Eran utilizados para la casa mayor como la del jabalí, para la pelea, para la guardia de casas y ganado y al servicio de los carniceros. En 1863 en Paris se realizó la primer exposición en el Jardin d'Acclimatation. El Dogo de Burdeos fue presentado con su actual nombre. Existían diferentes tipos: el tipo Toulouse, el tipo Paris y el tipo Bordeaux, el cual es el origen del actual dogo. La raza, que ha sufrido enormemente durante las dos Guerras Mundiales, hasta tal punto de estar amenazada con suextinción luego de la Segunda Guerra Mundial, logró un nuevo comienzo en 1960.
1. estándar (“Caractere des vrais dogues”) por Pierre Megnin Le Dogue de Bordeaux,1896.
2. estándar en Etude critique du Dogue de Bordeaux de J. Kunstler, 1910.
3. estándar por Raymond Triquet con la colaboración de Med. Vet. Maurice Luquet, 1971.
4. estándar reformulado acorde al modelo Jerusalem (FCI) por Raymond Triquet con la colaboración de Philippe Serouil, presidente del Club French Dogue de Bordeaux y su comité, 1933.
Precisiones fueron agregadas en 2007 por Raymond Triquet (Presidente honorario de SADB), Sylviane Tompousky (Presidenta de SADB) y Philippe Sérouil (miembro del comité de SADB)

Aspecto general

Típico moloso braquicefálico de líneas cóncavas. El Dogo de Burdeos es un perro muy fuerte con un cuerpo muy musculoso pero manteniendo una línea general armoniosa. Su estructura es más bien cerca del suelo, la distancia esternón – suelo es algo menor que la profundidad de pecho.
Fornido, atlético eimponente, su aspecto es muy disuasivo.

Proporciones importantes

• El largo del cuerpo medido desde la punta del hombro a la punta del isquion es superior que la altura a la cruz en una proporción de 11 / 10.
• La profundidad de pecho es mayor que la mitad de la altura a la cruz.
• El largo máximo del hocico es igual a un tercio del largo de la cabeza.
• El largo mínimo del hocico es igual a un cuarto del largo de la cabeza.
• En los machos, el perímetro del cráneo corresponde más o menos a la altura a la cruz.

Temperamento / comportamiento

Un antiguo perro de pelea, el Dogo de Burdeos es apto como guardián, lo que asume con atención y gran coraje pero sin agresividad. Un buen compañero, muy apegado a su amo y muy afectuoso. Calmo, balanceado con un alto estímulo. El macho por lo general tiene un carácter dominante.

Cabeza
Region craneal
Cabeza		Voluminosa, angular, ancha, más bien corta, trapezoide vista de arriba y de frente. Los ejes longitudinales del cráneo y el puente nasal son convergentes (hacia el frente). La cabeza está cubierta de arrugas, a ambos lados del surco central. Estas cuerdas profundas de arrugas son móviles dependiendo si el perro está atentoo no. El pliegue que va desde el ángulo interno delojo al ángulo de la boca es típico. Si está presente, el pliegue que va desde el ángulo externo del ojo al ángulo de la boca o la papada de be ser discreto.
Cráneo		- En el macho: El perímetro del cráneo medido a nivel de su ancho máximo corresponde aproximadamente a su altura a la cruz. - En las hembras: puede ser menor. Su volumen y forma son la consecuencia de un desarrollo muy importante de los temporales, arcos supra orbitales , arcos cigomáticos y los espacios de la mandíbula inferior. La región superior del cráneo es levemente convexa de un ladoal otro. El surco frontal es profundo disminuyendo hacia el final posterior de la cabeza. La antecara domina la cabeza pero no la sobrepasa. De todas formas es más ancha que alta.
Depresión naso-frontal (stop)		Muy pronunciado, casi formando un ángulo recto con el hocico. (95º - 100º)

Facial region
Trufa		Ancha, ventanas nasales bien abiertas, bien pigmentada acorde al color de la máscara. Se permite una trufa inclinada hacia arriba pero no si está hacia atrás, dirigida hacia los ojos.
Hocico		Fuerte, ancho, grueso pero no carnoso debajo de los ojos, más bien corto, perfil superior algo cóncavo con pliegues moderadamente visibles. Su ancho decrece levemente hacia la punta; vista desde arriba tiene una apariencia general cuadrada. Con relación a la parte superior del cráneo la líne a del hocico forma un ángulo muy obtuso ascendente. Cuando la cabeza es sostenida horizontalmente, la punta del hocico, truncado y grueso en la base, está enfrente a una tangente vertical a la cara anterior de la trufa. Su perímetro por lo general es de dos tercios al de la cabeza. Su largo varía entre un tercio y mínimo un cuarto dellargo total de la cabeza, desde la trufa a la cresta occipital. Los límites establecidos (máximo un tercio y mínimo un cuarto del largo total de la cabeza) son permitidos pero no buscados, el largo ideal del hocico debe estarentre estos dos extremos.
Belfos		Labio superior grueso, moderadamente pendular, retráctil. Visto de perfil muestra una línea inferior redondeada. Cubre la mandíbula inferior a los costados. En el frente el borde del labio superior está en contacto con el labio inferior, luego cae a ambos lados lo que forma una V invertida y amplia.
Mandíbulas / Dientes		Mandíbulas: Mandíbulas fuertes y anchas. Prognatismo (el prognatismo es una característica de la raza). La parte posterior de los incisivos inferiores están por delante y no en contacto con la cara anterior de los incisivos superiores. La mandíbula inferior se curva hacia arriba. El mentón está bien marcado y nunca debe sobrepasar el labio superior exageradamente ni estar cubierto por él. Dientes: Fuertes, particularmente los caninos. Los caninos inferiores colocados bien separados y levemente curvados. Incisivos bien alineados especialmente en la mandíbula inferior donde forman una línea aparentemente recta.
Mejillas		Prominentes debido al muy fuerte desarrollo de los músculos.
Ojos		De forma oval colocados bien separados. El espacio entre los dos ángulos interiores de los párpados es igual a dos veces el largo del ojo (apertura del ojo). Expresión franca. El tercer párpado no debe estar visible. Color de avellana a marrón oscuro para un perro con máscara negra, se tolera un color más claro pero no es buscado en perros con máscara marrón o con ausencia de máscara.
Orejas		Relativamente pequeñas de un color algo más oscuro que el manto. En su inserción, el frente de la base de la oreja es levemente elevado. Deben ser caídas pero no colgar; el borde anterior pegado a las mejillas cuando el perro está atento. El borde de las orejas redondeado levemente; no debe llegar más abajo del ojo. Inserción bastante alta, a nivel de la línea superior del cráneo lo que acentúa aún más su ancho.

Cuello

Muy fuerte y muscular, casi cilíndrico. La piel es fina, flexible, abundante y suelta. El promedio de su circunferencia casi igual al de la cabeza. Está separado de la cabeza por un pliegue transversal levemente acentuado, levemente curvado. El borde superior es levemente convexo. La papada bien definida comienza a nivel de la garganta formando pliegues hacia el pecho, sin que cuelguen exageradamente. El cuello, muy ancho en su base se fusiona suavemente con los hombros.

Cuerpo
Línea superior		Bien sostenida.
Cruz		Bien marcada.
Espalda		Ancho y muscular.
Lomo		Ancho. Más bien corto y sólido.
Grupa		Moderadamente descendente hacia la base de la cola.
Pecho		Fuerte, largo, profundo, ancho, descendiendo más abajo del nivel de los codos. Antepecho amplio y fuerte cuya línea inferior (inter axilar) es convexa hacia el final. Costillas bien descendidas y bien arqueadas pero no en forma de barril. La circunferencia del pecho debe ser entre 25 a 35 cm. más que la altura a la cruz.
Línea inferior		Curvada desde el pecho profundo hacia un abdomen algo retraído y firme. Nunca debe ser pendular ni demasiado retraído.

Cola

Muy gruesa en la base. La punta llegando preferente mente a la altura del corvejón y no por debajo. Porte bajo, nunca quebrada ni curvada pero si flexible. Colgante cuando el perro está tranquilo, generalmente elevándose de 90º a 120º desde esa posición cuando el perro está en acción sin curvarse sobre el dorso o enroscarse.

Extremidades

Miembros anteriores
Generalidad		Estructura ósea fuerte, miembros muy musculosos.
Hombro		Fuertes, músculos prominentes. La inclinación de la escápula media (aprox. 45º del horizontal), ángulo de la articulación escápulo-humeral algo mayor que 90º.
Brazo		Muy musculoso.
Codo		En el eje del cuerpo, nunca demasiado pegados al tórax ni inclinados hacia fuera.
Antebrazo		Visto de frente, derecho o levemente inclinado hacia adentro acercándose al plano medo, especialmente en perros con un pecho muy amplio. Visto de perfil vertical.
Metacarpo		Fuerte. Visto de perfil algo inclinado. Visto de frente, algunas veces levemente hacia fuera compensando la leve inclinación del antebrazo hacia adentro.
Pies delanteros		Fuertes. Dedos cerrados, uñas curvadas y fuertes, almohadillas bien desarrolladas y elásticas: el Dog o de Burdeos está bien parado sobre sus dedos a pesar de su peso.

Miembros posteriores
Generalidad		Extremidades robustas con una fuerte estructura ósea. Bien anguladas. Visto de atrás los posteriores son paralelos y verticales lo que da la impresión de fuerza aunque la parte posterior no sea tan ancha como el frente.
Muslo		Muy desarrollado, grueso con musculatura visible.
Pierna		Relativamente corta, musculada, descendiente.
Rodilla		En plano paralelo al plano medio o levemente hacia fuera.
Metatarso		Robusto, sin espolones.
Corvejón		Corto, tendinoso, su ángulo moderadamente abierto.
Pies traseros		Algo más largos que los anteriores, dedos apretados.

Movimiento

Elástico para un moloso. Cuando camina el movimiento es libre y elástico, pegado al suelo. Buen empuje desde el posterior, buena extensión de los miembros anteriores especialmente durante el trote que es el movimiento preferido. Cuando el trote es acelerado la cabeza tiende a bajar, la línea superior se inclina hacia el frente y los pies anteriores se juntas más hacia el plano medio dando pasos hacia fuera con un movimiento de largo alcance de los miembros anteriores. El medio galope con un movimiento vertical bastante importante. Capaz de gran velocidad en distancias cortas pegado al piso.

Piel

Gruesa, suficientemente suelta, sin excesivos pliegues.

Manto
Pelo		Fino, corto y suave al tacto.
Color		Todas las tonalidades de leonado desde caobaa isabella. Se desea una buena pigmentación. Se permiten manchas blancas delimitadas en el antepecho y en las extremidades de los miembros. Máscara negra: La máscara por lo general solo levemente extendida y no debe invadir la región craneal. Puede haber un sombreado levemente negro sobre el cráneo, orejas, cuello y parte superior del cuerpo. La trufa es negra. Máscara marrón: (Generalmente llamada roja o bistre). La trufa es marrón, la pigmentación de los párpados y el borde de los labios marrones. Puede haber sombreado marrón no invasivo; cada pelo debe tener una zona leonada o color arena y una zona marrón. En este caso las partes inclinadas del cuerpo son de un color más claro. Sin máscara: El pelo es leonado: la piel aparece roja (Anteriormente llamada “máscara roja”). La nariz puede ser rojiza.

Tamaño y peso
Altura a la cruz		La altura debe corresponder en más o en menos al perímetro del cráneo. Altura a la cruz: Machos: 60 – 68 cm. Hembras: 58 – 66 cm. Se tolera 1 cm. por debajo o 2 cm. por encima de es tos límites.
Peso		Machos: Mínimo 50 Kg. Hembras: Mínimo 45 Kg. Hembras: Idénticas características pero menos acentuadas.

Faltas

• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad.

Faltas graves

Cabeza desproporcionada (demasiado pequeña o exageradamente voluminosa).

Hypertipo Bulldog: (cráneo plano, hocico con medida inferior a un cuarto del largo total de la cabeza, pliegues abultados (rollos) detrás de la trufa).

Pliegues importantes alrededor de la cabeza.

Desviación lateral importante de la mandíbula inferior.

Incisivos permanentemente visibles cuando la boca está cerrada.

Incisivos muy pequeños, colocación despareja.

Dorso arqueado (Convexo).

Vértebras de la cola fusionadas pero no desviadas.

Pies anteriores inclinados hacia adentro (aun levemente).

Pies anteriores inclinados demasiado hacia fuera.

Muslos planos.

Ángulo del corvejón demasiado abierto (Angulación recta).

Ángulo del corvejón demasiado cerrado, el perro parado debajo de sí mismo en el posterior.

Corvejón de vaca o abarrilado.

Movimiento forzado o severo movimiento ondulante del posterior.

Respiración excesivamente corta, carraspeo.

Blanco en la punta de la cola o en la zona delantera de los miembros anteriores, sobre el carpo (muñeca) y tarso (corvejón) o blanco sin interrupción en el frente del cuerpo desde el antepecho a la garganta.

Faltas descalificantes:

Agresividad o extrema timidez.

Cabeza larga y estrecha con un stop insuficientemente pronunciado, con un hocico midiendo más que un tercio del largo total de la cabeza (ausencia de tipicidad de la cabeza).

Hocico paralelo a la línea superior del cráneo o convexo.

Nariz romana.

Mandíbula torcida.

Boca no prognática.

Caninos constantemente visibles cuando la boca está cerrada.

Lengua constantemente visible cuando la boca está cerrada.

Ojos azules.

Ojos protuberantes.

Cola anudada y desviada a los lados, torcida - (cola enroscada, quebrada).

Cola atrofiada.

Frente de violín y tarsos cortos.

Ángulo del corvejón abierto hacia atrás (corvejón invertido).

Blanco sobre la cabeza o cuerpo, cualquier otro color del manto que leonado (sombreado o no) y en un atigrado particular o marrón sólido llamado “chocolate” (cada pelo totalmente marrón).

Defectos identificables de invalidez.

NB :

• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza.

Bibliografía

http://www.fci.be/

Historia detallada

El Dogo de Burdeos, cuya historia, como la de todos los Dogos, se remonta a los albores del tiempo, tuvo el privilegio incomparable de ser reconocido por las autoridades cinófilas del siglo pasado como el mastín francés más importante. Según el famoso veterinario Pierre Mégnin, el Dogo de Burdeos deriva de los alanos (también llamados Allants), estos poderosos molosoides que acompañaron a los alanos, una tribu de origen indoeuropeo asentada entre los Urales y el Cáucaso, cuando fueron empujados por los hunos, barrieron las tierras del Imperio Romano, hasta Galia y España. Los alanos desaparecieron en el siglo V, pero en Aquitania y el norte de España, sus famosas Moloses cruzadas con perros autóctonos con características bastante similares (encontramos algunos huesos que datan de la prehistoria), habrían dado a luz a Dogo de Burdeos y el Dogo de Burgos (que estuvo representado en España desde la Edad Media). Esta es también la tesis defendida por el eminente profesor Kunstler, que enseñó anatomía comparada en la Universidad de Burdeos.

Utilizado principalmente como perros de pelea, los perros de Aquitania; solo serán llamados "maestros de Burdeos" en el siglo diecinueve; atacaron en manadas, y aparentemente, porque, en el siglo XII, contribuyeron en gran medida a la derrota de las tropas inglesas. Sólo mucho más tarde, en el siglo XVIII, encontramos rastros del Gran Danés, y esto, como lo notó el Dr. Maurice Luquet en su obra Perros y Bulldogs, bajo el pincel del famoso pintor de animales Jean -Baptista Oudry que lo hace aparecer en dos de sus obras. En cuanto a Buffon, también lo menciona en su Histoire naturelle.

Aún así, y es un caso casi universal en la historia del perro canino, solo en el siglo XIX se reconoció a la raza como una identidad muy específica. En 1863, de hecho, la primera exposición canina tuvo lugar en el Jardin d'Acclimatation en París. Si, en la mente de los cinólogos de la época, no era para juzgar a los perros entre sí, sino para elaborar un inventario lo más completo posible de las razas existentes en la segunda mitad del siglo XIX, esta exposición le permitió al Dogue d'Aquitaine conquistar sus cartas de nobleza entre un gran público. Se impuso rápidamente contra los otros mastines de origen francés gracias a sus obvias peculiaridades, especialmente en el tipo, el Dogo de Aquitania, que comenzó a llamarse Dogo de Burdeos, polarizó toda la atención de los criadores que, durante casi treinta años iban a pelear entre sí para dar forma al futuro de esta singular raza. Estas disputas, que naturalmente concernían a los personajes definidos para ser definitivamente atribuidos al Dogo de Burdeos, especialmente su tamaño, su conformación, la forma y la longitud de su hocico, sino también el color de su máscara, la existencia del prognatismo y la importancia de darle, finalmente, el color de su vestido, no tuvo otra consecuencia que retrasar la fijación de la carrera. En 1880, después de que ciertos criadores, sin un conocimiento preciso del animal, hubieran enriquecido el Dogo de Burdeos con un suministro de sangre de mastín, Pierre Mégnin y, junto con él, el marqués de Cherville alertaron al comité de la Sociedad Canina Central. poner fin a estos retiros, llevados a cabo de forma indiscriminada, y que amenazaban con distorsionar la raza para siempre, y finalmente esforzarse por desarrollar un estándar digno de ese nombre. La acción de estos dos cinólogos ilustrados no fue sin resultado, ya que uno de los primeros actos del comité, como se señaló con humor Dr. Luquet, fue "devolver a sus queridos estudios a estos jueces, en su mayoría británicos y Holandés, que nunca había visto o estudiado esta raza y que sin duda conocía mejor las recetas para hacer cócteles que los pedigrí de las carreras que juzgaron ".

En cualquier caso, todavía no se había escrito ningún estándar en 1910, y todavía no podíamos dar los criterios morfológicos precisos al Dogo de Burdeos, los especialistas vacilaron especialmente entre la máscara roja y la máscara roja. negro. En cuanto al tamaño, el peso y el tipo de cabeza, fueron tan diversos que comenzamos a distinguir entre tres tipos de perros: Burdeos, Toulouse y París (algunos ejemplares se implantan en Francia) de Francia).

El profesor Kunstler luego publicó un estudio muy completo sobre la raza Prolegomena que se utilizará para establecer el estándar del Dogo de Burdeos, que, de no haber sido presentado al club francés Dogo de Burdeos, cuyos miembros son enfrentado en disputas estériles, habría tenido todas las posibilidades de aclarar las cosas de una vez por todas. Este club se disolvió, y de sus cenizas nacieron otros dos clubes en 1913: la Sociedad Central de Dogo de Burdeos y el Club Burdeos de Dogo de Burdeos. En agudas discusiones, Paul Mégnin y el profesor Kunstler fueron los primeros en argumentar que el Dogo de Burdeos debía tener una mandíbula normal, el segundo, que se refería a las prácticas de los criadores de la región de Aquitania, demostrando que era un firme defensor. de prognatismo. No fue hasta 1926 que los dos clubes finalmente estuvieron de acuerdo. Se podría escribir un estándar, cuyos autores se preocupen por evitar las susceptibilidades de cada uno, admitiendo a partir de ahora la existencia de dos máscaras, rojas y negras.

Los perros de Bordeaux sufrieron terriblemente a causa de las dos guerras mundiales. Muchos criadores se dispersaron o casi desaparecieron; y en 1966, el único club existente tenía solo unos diez miembros. Sin embargo, en 1970, la publicación, bajo el liderazgo de Raymond Triquet y con la colaboración del Dr. Luquet, de un estándar más completo y especialmente más preciso que el elaborado a fines de los años veinte, permitió que la raza fuera reconocida definitivamente. por la Federación Cinológica Internacional.

Desde 1972, la Sociedad de aficionados de Dogues de Bordeaux tiene la tarea de desarrollar la carrera en Francia; afortunadamente, después de un período de posguerra particularmente difícil, podemos considerar que el Dogo de Burdeos está ahora bien establecido allí: de manera lógica, en el sudoeste, pero también en Provenza, en la región de París, en el Este y en el norte; y el rebaño se puede estimar en alrededor de dos mil sujetos, lo cual es más que honorable. La raza también está establecida en Alemania, los Países Bajos, Italia, Suiza, España y en los continentes americano, africano y asiático.

El aspecto imponente y el pasado pesado de este perro de pelea pueden sugerir que el Dogo de Burdeos es un animal formidable. No es así. Todos los dueños incluso están de acuerdo en que estos perros son sobre todo perros muy amigables, dulces, que aspiran a una cosa: estar cerca, muy cerca de su dueño. Especialmente con los niños, este mastín que pesa más de 50 kilos no muestra agresión; por el contrario, juega con ellos el papel de protector, con una bondad que, dado su tamaño, puede parecer algo paradójica.

Sin embargo, para estar seguro de tener un perro bien equilibrado con usted, es decir de toda confianza, es aconsejable educarlo desde una edad temprana. Es la condición sine qua non para que sea un cuidador sobresaliente y un verdadero compañero, que se ajuste al entorno familiar. El Dogo de Burdeos difícilmente soportaría quedarse todo el día fuera de la casa. Por supuesto, su entrenamiento no debe pasar por ninguna forma de coacción. La fuerza y la brutalidad, bajo el pretexto de que uno se enfrenta a un animal dotado de un poder extraordinario, solo terminaría con resultados contrarios. Es cierto que debes poder ganar contra el cachorro tan pronto como tenga cuatro o cinco meses, pero siempre con justicia. El maestro sabrá cómo calentarse, acariciará a su perro, lo adulará aunque haya respondido a una orden.

Por supuesto, que los antepasados del Dogue de Bordeaux fueran perros de pelea no significa que fueran animales sin gran inteligencia. Este Gran Danés, si sabemos cómo hacerlo, entiende muy bien lo que se espera de él. Bien entrenado, reacciona a cualquier palabra expresada por su maestro, y a veces está tan ansioso de obedecer como algunos perros de caza. El Dogo de Burdeos es naturalmente apto para el guardia; incluso si ciertos especímenes, porque su amo deseaba que así fuera, reciban al extraño en la más perfecta indiferencia. Además, con el entrenamiento adecuado, es bastante eficaz como perro de defensa. Incluso las detonaciones no son suficientes para impresionarlo, como atestiguó un impresor del Bordelais, Barès, a principios de siglo.

Cuando se trata de los gastos de comida, es cierto que pueden aplazar a más de un posible comprador. Porque es tan cierto que, durante sus primeros dos años, este perro tiene requisitos de carne muy superiores a la media, lo cual no es sorprendente dado su tamaño. Siendo ese el caso, debemos saber que este esfuerzo es esencial para evitar cualquier insuficiencia de su esqueleto. La raza, impresionante de muchas maneras, puede demostrar ser de salud frágil. Los Dogues de Bordeaux, trágicamente también, viven un poco menos viejos que el promedio de sus congéneres, tal vez precisamente debido a su naturaleza masiva. Sin embargo, este Dogue, para las aproximadamente dos mil familias francesas que lo han recibido, es un compañero precioso y entrañable.

Nederlands

		Bordeaux Dog
		FCI standaard Nº 116

Land van oorsprong		Frankrijk
Vertaling		Francis Vandersteen
Groep		Groep 2 Pinschers, Schnauzers - Molossers rassen - Zwitserse bergen en vee
Sectie		Sectie 2.1 Molossers mastiff-type
Werkproef		Zonder werkproef
Definitieve erkenning door de FCI		vrijdag 01 januari 1954
Publicatie van de geldende officiële norm		dinsdag 04 november 2008
Laatste update		vrijdag 23 januari 2009
En français, cette race se dit		Dogue de Bordeaux
In English, this breed is said		Dogue de Bordeaux
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Bordeaux dogge
En español, esta raza se dice		Dogo de Burdeos

Gebruik

Guard, verdediging en afschrikking.

Kort historisch overzicht

De Bordeaux Dog is een van de oudste Franse honden waarschijnlijk afstammen van de Alanen en, in het bijzonder, de alan wentelt die Gaston Phebus (of Phoebus) graaf van Foix, zei in de veertiende eeuw, in zijn Livre de Chasse hij "houdt zijn beet sterker dan drie windhonden zou doen." Het woord "hond" verschijnt aan het einde van de veertiende eeuw. Het midden van de negentiende eeuw werden deze oude honden nauwelijks bekend in Aquitaine. Ze werden gebruikt voor de jacht op groot wild (wilde zwijnen) vechten (vaak gecodificeerd), naar de huizen en vee te bewaken in de dienst van de slagers. In 1863 vond in Parijs in de dierentuin, de eerste Franse hondententoonstelling. Mastiffs Bordeaux werden onder hun huidige naam ingevoerd. Er zijn verschillende types Toulouse Type, het type van Parijs en het type Bordeaux, de oorsprong van dogue vandaag geweest. Race die sterk tijdens de twee wereldoorlogen had geleden, tot het punt van met uitsterven bedreigd na de oorlog van 1939-1945, nam in de jaren 1960.
1 standaard ("aard van ware honden") in Pierre Megnin, de Bordeauxdog, 1896.
2 standaard in J. Kunstler, kritiek van Bordeauxdog 1910 studie.
3 standaard door Raymond Triquet, in samenwerking met de Veterinaire Dokter Maurice Luquet 1971.
4 standaard geherformuleerd volgens Jeruzalem model (FCI) door Raymond Triquet samenwerking met PhiIippe Sérouil, Voorzitter, en het Comité van de Vereniging van Liefhebbers van Bordeauxdog, 1993.
Standard genoemd in 2007 door Raymond Triquet (erevoorzitter van de SADB), Sylviane Tompousky (voorzitter van de SADB) en Philippe Sérouil (lid van de Commissie SADB).

Algemeen totaalbeeld

Typisch concaaf gevoerd kortschedelige molosser. De Bordeaux Dog is een zeer krachtige hond, met een zeer gespierd lichaam maar met behoud van een harmonieus geheel. Het is gebouwd vrij dicht bij de grond, dat wil zeggen de afstand borstbeen grond wordt iets kleiner dan de hoogte van de borst.
Gedrongen, atletisch, imposant, hij heeft een afschrikkende werking.

Belangrijke verhoudingen

De lengte van het lichaam van het punt van schouder tot de punt van bil, groter dan de hoogte van de schoft, in de verhouding van 11/10.
De hoogte van de borst is meer dan de helft van de schofthoogte.
De maximale lengte van de afkanting is gelijk aan een derde van de lengte. hoofd.
De minimale lengte van de afschuining is gelijk aan een kwart van de lengte van het hoofd.
Bij de reuen, de hoofdomtrek komt ruwweg overeen met de schofthoogte.

Gedrag en karakter (aard)

Een oude vechthond, de Bordeauxdog is begaafd zijn voor de bewaking, die hij aanneemt met waakzaamheid en veel moed maar zonder agressiviteit. Een goede metgezel, erg gehecht aan zijn baas en erg aanhankelijk. Kalm, evenwichtig met drempel respons (reactie) hoog. Het mannetje heeft meestal een dominant karakter.

Hoofd
Bovenschedel
Hoofd		Volumineuze, hoekig, breed, tamelijk kort, trapezoïde gezien van voren en van boven. De lengteas van de schedel en de snuit zijn convergent (vooruit). De kop wordt doorkruist met symmetrische rimpels, elke zijde van de mediaan groef. Deze diepe touwen rimpel mobiel naargelang de hond attent of niet. De rit die gaat van de binnenste hoek van het oog naar de hoek van de mond is een typisch voorbeeld. De rit van de buitenste hoek van het oog naar de hoek van de mond of aan de keelhuid, indien aanwezig, discreet moet blijven.
Schedel		Bij de reu: de omtrek van de schedel gemeten bij de grootste breedte ongeveer overeenkomt met de hoogte van de schoft. Bij de vrouw: kan enigszins lager zijn. Het volume en de vorm zijn de gevolgen van de zeer belangrijke ontwikkeling van de tijdelijke dingen, supra-orbitale bogen, jukbeenderen en de afstand tussen de takken van de onderkaak. Het bovenste deel van het hoofd is licht convex van links naar rechts. Frontale groef diep, afneemt in de richting van de achterzijde van het hoofd. Het voorhoofd domineert het gezicht, maar niet erboven. Het is echter nog steeds breder dan hoog.
Stop		Zeer belast met de vorming van een bijna meteen de schuine hoek (95-100 °).

Facial region
Neus		Grote, goed geopende neusgaten, goed gepigmenteerd volgens het masker kleur; Wipneus (afgesnauwd) toegestaan, maar niet verzonken in de ogen.
Voorsnuit		Krachtig, breed, dik, maar niet vlezige onder de ogen, tamelijk kort, bovenprofiel zeer licht gebogen, met matig hand liggende plooien. De breedte nauwelijks afneemt naar de punt van de snuit, heeft hij van bovenaf gezien, de algemene vorm van een vierkant. Vergeleken met het bovenste gebied van de schedel, de lijn van de snuit vormt een stompe hoek geopend. Wanneer het hoofd horizontaal, de punt van de snuit afgeknotte dik en breed aan de basis is voor een verticale raaklijn aan het voorste deel van de neus. De perimeter is tweederde van dat van de kop. De lengte is tussen een kwart en een derde van de totale lengte van het hoofd, van de neus naar de achterhoofdsknobbel. De bovengrenzen (derde) en lager (een kwart van de lengte van het hoofd) zijn toegestaan, maar niet gevraagd, is de ideale lengte van de snuit zijn tussen deze uitersten.
Lippen		Bovenlip dik, matig hangend, intrekbaar. Profiel bekijken het toont een afgeronde onderste lijn. Het heeft betrekking op de onderkaak zijkanten. Aan de voorrand van de bovenste lip in contact met de onderlip en neer elke zijde, die een omgekeerde V afgefakkeld.
Kiezen / tanden		Kaken: Zeer krachtig, breed. De hond is onderbeet (prognathie is een raciale karakter). Het achterste oppervlak van de onderste snijtanden zich voor, niet in contact met het voorste oppervlak van de bovenste snijtanden. De onderkaak bochten omhoog. De kin is goed aangegeven en mogen niet overlappen de bovenlip overdreven noch worden gedekt door het. Tanden: Sterk, vooral de hoektanden. Onderste hoektanden uit elkaar en licht gebogen. Snijtanden goed uitgelijnd met name in de onderkaak waar ze vormen een schijnbaar rechte lijn.
Wangen		Projecties door sterke spierontwikkeling.
Ogen		Ovale, wijd uit elkaar. De ruimte tussen de binnenste hoeken van de oogleden gelijk aan ongeveer tweemaal de lengte van het oog (eye opening). Kijk franc. De conjunctiva mag niet zichtbaar. Na Hazel tot donkerbruine voor een hond met een zwart masker, lichtere kleur getolereerd maar niet gezocht in honden met bruine masker of zonder masker.
Oren		Relatief kleine, van een iets donkerder kleur dan de vacht. In hun huis, is de voorste voet iets verhoogd. Ze moeten terug te vallen, maar niet hangen slap, de voorkant wordt tegen de wang als de hond attent. De onderkant is iets afgerond; moet niet verder reiken dan het oog. Ze zijn vrij hoog, op de bovenste regel van de schedel, en lijkt daarmee te zijn breedte accentueren.

Hals

Zeer sterk, gespierd, bijna cilindrisch. Haar huid is los, los en flexibel. De gemiddelde omtrek is gelijk aan bijna die van het hoofd. Het is gescheiden van de kop door een enigszins geaccentueerd transversale groef, licht gebogen. Het bovenprofiel iets convex. De goed gedefinieerde keelhuid begint op het niveau van de keel vormen plooien tot aan de borst, zonder opknoping overdreven. De hals, zeer breed aan de basis, fuseert soepel met de schouders.

Lichaam
Bovenlijn		Goed ondersteund.
Schoft		Goed gemarkeerd.
Rug		Groot en gespierd.
Lendenpartij		Brede, tamelijk kort en solide.
Croupe		Matig aflopend tot aan de wortel van de staart.
Borst		Krachtig, lang, hoog en breed, te dalen tot onder de elleboog; Brede en krachtige borst waarvan het onderste lijn (inter-oksels) is convex naar beneden. Goed diep en goed gewelfd, maar niet vat ribben. De omtrek van de borst zou moeten zijn 25 cm tot 35 cm groter dan de schofthoogte.
Onderlijn en buik		Harpée lijn, goed laag aan de nogal opgetrokken, stevige buik, die noch afhangend, noch iel.

Staart

Zeer dik bij de wortel. Zijn tip bij voorkeur bereiken van de hak en niet hieronder. Laag gedragen, is het noch gebroken noch geknikt, maar soepel.
Vallen in rust, valt gewoonlijk 90-120 ° ten opzichte van die positie als de hond in actie, zonder gebogen over de rug of wikkel.

Ledematen

Voorhand
Algemeen		Sterke botten, zeer gespierde ledematen.
Schouders		Krachtig, prominent spieren. Schuine gemiddelde (ongeveer 45 ° met de horizontaal), hoek van het schoudergewricht: iets meer dan 90 °.
Opperarm		Zeer gespierd.
Ellebogen		In lijn met het lichaam, niet te strak tegen de borstwand of buiten.
Onderarm		Van voren gezien, recht of licht schuin naar binnen, zodat iets dichter bij het middenvlak, vooral bij honden met een zeer brede borst. In profiel gezien, verticaal.
Voormiddenvoet		Krachtige middenhandsbeentje regio. Profiel, licht hellend. Van voren soms iets naar buiten compensatie van de geringe helling van de onderarm naar binnen.
Voorvoeten		Sterke, tenen strak, nagels gebogen en sterk, pads goed ontwikkeld en soepel; de hond is zijn tenen ondanks zijn gewicht.

Achterhand
Algemeen		Robuuste poten met sterke botten, goed gehoekt. Wanneer bekeken van achter de parallelle en verticale bericht geeft een indruk van de macht, hoewel de achterhand is iets smaller dan de voorkant kant.
Dijbeen		Zeer ontwikkeld en dik met zichtbare spieren.
Onderbeen		Relatief kort, gespierd, onderaan laag.
Knie		In een vlak evenwijdig aan het middenvlak of licht naar buiten.
Achtermiddenvoet		Stevige, geen pin.
Spronggewricht		Kortom, pezig, hoek van het spronggewricht matig geopend.
Achtervoeten		Een beetje langer dan de vorige, strakke vingers.

Gangwerk

Flexibel genoeg voor een mastiff. Pitch, soepel, dicht bij de grond beweging. Goede stuwing vanuit de achterhand, goede uitbreiding van de voorbenen, vooral wanneer draven, dat is de geprefereerde manier van lopen. Als de draf versnelt, de kop heeft de neiging te dalen, de topline neigt naar voren, de voorpoten om dichter bij het middenvlak terwijl schrijdend out land vooruit te komen. Canter met verticale beweging nogal belangrijk. Kan een hoge snelheid tuimelen over de grond over korte afstanden.

Huid

Dik en breed genoeg zonder overtollige rimpels.

Coat
Haarkwaliteit		Fijn, kort en zacht aanvoelt.
Haarkleur		Gekleurd in alle gamma fawn van mahonie tot isabella. Gezocht een goede pigmentatie. Beperkt witte vlekken zijn toegestaan op de borst en de uiteinden van de ledematen. Black Mask: Het masker wordt vaak slechts in geringe mate verspreid en moet de craniale regio niet binnen te vallen. Er kunnen geringe zwarte schaduw op de schedel, oren, nek en bovenlichaam zijn. De neus is zwart. Bruin masker (voorheen rood of bistre zei): De neus is bruin, de randen van de oogleden ook bruin en de randen van de lippen. Het kan gepaard gaan met niet-invasieve bruine schakeringen, elke haar heeft een tan of zand en een bruine gebied; de buik zijn dan lichter. Geen masker: De vacht is fawn: de huid lijkt rood (vroeger ook wel "rood masker '). Truffels kunnen dan roodachtig.

Maat en gewicht
Schouderhoogte		Grootte te komen ruwweg overeen met de hoofdomtrek Schofthoogte: Reuen 60-68 centimeter schofthoogte, teven 58-66 centimeter schofthoogte. We tolereren minimaal 1 cm en 2 cm boven.
Gewicht		Ten minste 50 kg voor reuen 45 kg ten minste overeenkomt met de reuen personages maar minder uitgesproken.

Defecten

• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn.

Zware defecten

Onevenredige hoofd (te kleine of te grote).

Hypertype Bulldog: platte schedel, snuit van minder dan een kwart van de totale lengte van het hoofd, gezwollen rit achter de neus.

Drastische neergang rond het hoofd.

Belangrijke laterale deviatie van de onderkaak.

Snijtanden consequent zichtbaar als de mond gesloten is.

Snijtanden zeer kleine geïmplanteerd onjuist.

Rug gewelfd (convex).

Staart maar hebben versmolten wervels onafgebogen.

Voorvoeten gedraaid zelfs lichtjes.

Voorpoten overdreven bleek.

Flat dijen.

Hoek van het spronggewricht te open (recht gehoekt).

Hoeken te gesloten, hond staan onder zichzelf achter.

Koehakkigheid, vat spronggewricht.

Hoogdravend beweging of ernstige rollen rug.

Overmatige kortademigheid, schor.

Wit puntje van de staart of de voorste leden, boven de voorknie- wit of dat de voorkant van ononderbroken romp, borst keel.

Defecten die leiden tot uitsluiting

Agressief of schuw.

Lange, smalle kop met onvoldoende uitgesproken stop, met een snuit van meer dan een derde van de totale lengte van het hoofd (gebrek aan hoofdtype).

Snuit parallel aan de bovenste lijn van de schedel of omlaag, Romeinse neus.

Torsie van de kaak.

Dogue niet lager onderschreden.

Hoektanden constant zichtbaar als de mond gesloten is.

Taal out gestaag de mond gesloten.

Blauwe ogen, uitpuilende ogen.

Staart zowel geknoopt en lateraal afgeweken of gedraaid (kurkentrekker).

Staart verschraalde.

Onderarm gedraaid met zeer middenhandsbeentje regio ingestort.

Hoek van het spronggewricht naar achteren toe open (tarsal afgeweken naar voren).

Wit op het hoofd of lichaam, andere vachtkleur dan fawn (fawn of niet) en in het bijzonder gestroomd jas en bruine jurk uniform genaamd "chocolate" (elke haar is dan helemaal bruin).

Tarra uitschakelen identificeerbaar.

NB :

• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Gedetailleerde geschiedenis

De Dogue de Bordeaux, wiens geschiedenis, zoals die van alle Dogues, teruggaat tot het begin der tijden, had het onvergelijkelijke voorrecht om door de cynofiele autoriteiten van de vorige eeuw als de belangrijkste Franse Mastiff te worden erkend. Volgens de beroemde dierenarts Pierre Mégnin is de Dogue de Bordeaux afgeleid van de Alans (ook wel Allants genoemd), deze krachtige molossoïden die de Alanen vergezelden, een stam van Indo-Europese origine die zich vestigde tussen de Oeral en de Kaukasus, toen hij werd geduwd bij de Hunnen vaagden ze over de landen van het Romeinse Rijk, tot aan Gallië en Spanje. De Alanen verdwenen in de vijfde eeuw, maar in Aquitaine en Noord-Spanje kruisten hun beroemde Molosses met autochtone honden met vrij vergelijkbare kenmerken (we vonden enkele botten uit de prehistorie), zouden zijn bevallen Dogue de Bordeaux en de Dogue de Burgos (die in de Middeleeuwen in Spanje werd vertegenwoordigd). Dit is ook het proefschrift verdedigd door de eminente professor Kunstler, die vergelijkende anatomie doceerde aan de Universiteit van Bordeaux.

Vooral gebruikt als vechthonden, de Aquitaine Dogs; ze zullen pas in de negentiende eeuw "meesters van Bordeaux" worden genoemd; aangevallen in packs, en blijkbaar, omdat ze in de twaalfde eeuw grotendeels hebben bijgedragen aan de nederlaag van de Engelse troepen. Pas veel later, in de achttiende eeuw, vinden we sporen van de Duitse dog, en dit, zoals opgemerkt door Dr. Maurice Luquet in zijn werk Dogs and Bulldogs, onder de borstel van de beroemde dierenschilder Jean -Baptist Oudry die hem in twee van zijn werken laat verschijnen. Wat Buffon betreft, vermeldt hij het ook in zijn Histoire naturelle.

Toch, en het is een bijna universeel geval in de geschiedenis van de hondentiener, is het pas in de negentiende eeuw dat de race een heel specifieke identiteit herkende. In 1863 vond zelfs de eerste hondenshow plaats in de Jardin d'Acclimatation in Parijs. Als het in de geest van de cynologen van die tijd niet was om de honden tegen elkaar te beoordelen, maar eerder om een zo volledig mogelijke inventaris op te maken van de rassen die in de tweede helft van de negentiende eeuw bestonden, deze tentoonstelling liet de Dogue d'Aquitaine toe om zijn adellijke brieven onder een groot publiek te veroveren. Zichzelf snel opdringend tegen de andere Mastiffs van Franse afkomst dankzij zijn overduidelijke eigenaardigheden, vooral in het type, de Dogue van Aquitaine, die men Dogue de Bordeaux begon te noemen, polariseerde alle aandacht van de fokkers die, tijdens Bijna dertig jaar oud gingen tegen elkaar vechten om de toekomst van dit bijzondere ras vorm te geven. Deze ruzies, die van nature betrekking hadden op de definitieve karakters die definitief worden toegeschreven aan de Dogue de Bordeaux, vooral de grootte, de exterieur, de vorm en lengte van de snuit, maar ook de kleur van het masker, het bestaan van het prognathisme en het belang om hem ten slotte de kleur van zijn jurk te geven, had geen andere consequentie dan het uitstellen van de race uit te stellen. In 1880, nadat bepaalde fokkers, zonder precieze kennis van het dier, de Dogue de Bordeaux hadden verrijkt met Mastiff-bloed, Pierre Mégnin en, met hem, de markies de Cherville waarschuwde het Comité van de Centrale Hondsuniversiteit om een einde te maken aan deze retraites, die zonder onderscheid worden uitgevoerd en die dreigden de race voor altijd te verstoren, en om eindelijk een standaard te ontwikkelen die de naam waardig is. De actie van deze twee verlichte cynologen was niet zonder resultaat, aangezien een van de eerste handelingen van de commissie, zoals met humor genoteerd Dr. Luquet, was om deze rechters, meestal Britse en Nederlanders, die dit ras nooit hebben gezien of bestudeerd en die zeker beter wisten van de recepten om cocktails te maken dan de stambomen van de rassen die zij beoordeelden ".

In 1910 was er in elk geval nog geen norm geschreven en we konden de Dogue de Bordeaux nog steeds geen precieze morfologische criteria geven. De specialisten aarzelden in het bijzonder tussen het rode masker en de zwart. Wat betreft de grootte, het gewicht en het type hoofd, ze waren zo divers dat we begonnen te onderscheiden tussen drie soorten honden: Bordeaux, Toulouse en Parijs (sommige exemplaren werden geïmplanteerd in Frankrijk). van Frankrijk).

Professor Kunstler publiceerde vervolgens een zeer grondig onderzoek naar het ras Prolegomena om de standaard van de Dogue de Bordeaux te bepalen, die, als hij niet was gepresenteerd aan een Franse club Dogue de Bordeaux wiens leden ' geconfronteerd met steriele ruzies, zou alle kansen gehad hebben om voor eens en altijd duidelijkheid te scheppen. Deze club werd ontbonden en uit haar as werden twee andere clubs geboren in 1913: de Central Society of Dogue de Bordeaux en de Bordeaux Club of Dogue de Bordeaux. In scherpe discussies waren Paul Mégnin en professor Kunstler nog steeds de eersten die beweerden dat de Dogue de Bordeaux een normale kaak moest hebben, de tweede, die refereerde aan de praktijken van de fokkers van de regio Aquitaine, die zichzelf een sterke voorstander toonde. van prognathisme. Het duurde tot 1926 voordat de twee clubs het uiteindelijk eens waren. Er kan een standaard worden geschreven, waarbij de auteurs ervoor zorgen dat ze de vatbaarheid van elk behouden, en van nu af aan het bestaan van twee maskers, rood en zwart, toegeven.

De Bordeaux-honden hebben verschrikkelijk geleden onder de twee wereldoorlogen. Veel fokkers verspreidden zich of waren bijna verdwenen; en in 1966 had de enige bestaande club slechts ongeveer tien leden. In 1970 liet de publicatie, onder leiding van Raymond Triquet en met medewerking van Dr. Luquet, van een completere en vooral meer precieze standaard dan die uitgewerkt aan het einde van de jaren twintig, het ras definitief erkend worden. door de Internationale Cynologische Federatie.

Sinds 1972 heeft de Sociëteit van de amateurs van Dogues de Bordeaux de taak om de race in Frankrijk te ontwikkelen; gelukkig, na een bijzonder moeilijke naoorlogse periode, kunnen we bedenken dat de Dogue de Bordeaux daar nu goed ingeburgerd is: op een logische manier, in het zuidwesten, maar ook in de Provence, in de regio Parijs, in de Oost en in het noorden; en de kudde kan geschat worden op ongeveer tweeduizend onderwerpen, wat meer dan eervol is. Het ras is ook gevestigd in Duitsland, Nederland, Italië, Zwitserland, Spanje en op het Amerikaanse, Afrikaanse en Aziatische continent.

Het verbiedende en zware verleden van deze vechthond kan erop wijzen dat de Bordeauxdog een formidabel beest is. Het is niet zo. Alle eigenaren zijn het er zelfs over eens dat deze honden bovenal erg vriendelijk en lief zijn, die één ding nastreven: dicht bij hun meester zijn. Vooral met de kinderen vertoont deze mastiff met een gewicht van meer dan 50 kilo geen agressie; integendeel, hij speelt met hen de rol van beschermer, met een vriendelijkheid die, gezien zijn grootte, enigszins paradoxaal lijkt.

Om zeker te zijn van een evenwichtige hond met u, dat wil zeggen van alle vertrouwen, is het raadzaam om hem al vanaf jonge leeftijd op te voeden. Het is de sine qua non om hem zowel een uitstekende verzorger als een echte metgezel te maken, die in de gezinsomgeving past. De Dogue de Bordeaux zou het nauwelijks verdragen om de hele dag buiten het huis vast te zitten. Natuurlijk mag zijn training geen enkele vorm van dwang doorstaan. Kracht en wreedheid, onder het voorwendsel dat iemand wordt geconfronteerd met een dier met een buitengewone kracht, zou alleen maar eindigen met tegengestelde resultaten. Toegegeven, je moet in staat zijn om te winnen tegen de pup zodra hij vier of vijf maanden oud is, maar altijd met gerechtigheid. De meester zal weten hoe hij warm moet zijn, zijn hond moet strelen, hem moet vleien, zelfs als hij een bevel heeft beantwoord.

Natuurlijk, dat de voorouders van de Dogue de Bordeaux vechthonden waren, betekent niet dat ze dieren waren zonder grote intelligentie. Deze Grote Deen begrijpt heel goed wat er van hem verwacht wordt, als we weten hoe hij het moet doen. Hij is goed opgeleid en reageert op elk woord dat door zijn meester wordt geuit, en is soms zo graag gehoorzamen als sommige jachthonden. De Dogue de Bordeaux is van nature geschikt voor de bewaker; zelfs als bepaalde exemplaren, omdat hun meester dat zo wilde, verwelkomen de vreemdeling in de meest perfecte onverschilligheid. Bovendien, met de juiste training, is hij behoorlijk effectief als een verdedigingshond. Zelfs ontploffingen zijn niet voldoende om indruk op hem te maken, zoals getuigd door een drukker uit Bordeaux, Barès, aan het begin van de eeuw.

Als het gaat om de kosten van voedsel, is het waar dat ze meer dan één potentiële koper kunnen uitstellen. Omdat het net zo zeker is dat deze hond gedurende zijn eerste twee jaar vleesbehoeften heeft die ver boven het gemiddelde liggen, wat niet zo verwonderlijk is gezien zijn grootte. Als dat zo is, moeten we weten dat deze inspanning essentieel is om te voorkomen dat het skelet beschadigd raakt. Het ras, indrukwekkend op vele manieren, kan inderdaad een kwetsbare gezondheid blijken te zijn. De Dogues de Bordeaux, tragisch genoeg, leven een beetje minder oud dan het gemiddelde van hun soortgenootjes, misschien juist vanwege hun enorme aard. Niettemin is deze Dogue, voor de ongeveer tweeduizend Franse families die hem hebben verwelkomd, een kostbare en vertederende metgezel.

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