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English Springer Spaniel
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Standard FCI Nº 125
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Origine
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Grande-Bretagne |
Traduction
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Prof. R. Triquet |
Groupe
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Groupe 8 Chiens rapporteurs de gibier - Chiens leveurs de gibier - Chiens d'eau |
Section
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Section 2 Chiens leveurs de gibier et broussailleurs |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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mercredi 29 décembre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mardi 28 juillet 2009 |
Dernière mise à jour
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lundi 23 novembre 2009 |
In English, this breed is said
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English Springer Spaniel |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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English Springer Spaniel |
En español, esta raza se dice
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Springer Spaniel inglés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Engels Springer Spaniel |
Utilisation
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Chien leveur et rapporteur de gibier. |
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Bref aperçu historique
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Race d’origine pure et ancienne. A l’origine, il était utilisé dans le but de trouver et de faire partir le gibier destiné au filet, au faucon ou au lévrier, mais à l’heure actuelle, sa fonction est de trouver, de lever et de rapporter le gibier pour le compte du chasseur. |
Aspect général
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Chien harmonieux, compact, fort, gai et actif. Il est le plus haut sur pattes et le plus enlevé de tous les spaniels britanniques de chasse en plaine et au bois. |
Comportement / caractère
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Amical et facile à vivre, de nature docile. Les sujets craintifs ou agressifs sont à rejeter. |
Tête
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Région crânienne
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Crâne
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De longueur moyenne, assez large, légèrement arrondi, montant à partir du chanfrein, en marquant le stop divisé par un sillon longitudinal entre les yeux. Ce sillon s’efface graduellement en remontant le front dans la direction de l’occiput qui ne doit pas être proéminent. |
Région faciale
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Truffe
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Les narines sont bien développées. |
Lèvres
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Assez carrées et descendues. |
Chanfrein
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La longueur du chanfrein est en proportion avec celle du crâne ; le chanfrein est large et haut, bien ciselé sous les yeux. |
Mâchoires et dents
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Les mâchoires sont fortes et présentent un articulé parfait, régulier et complet en ciseaux, c’est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les incisives inférieures dans un contact étroit et sont implantées à l’aplomb des mâchoires. |
Joues
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Plates. |
Yeux
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De dimension moyenne, en amande, ni saillants ni enfoncés, mais bien logés dans les orbites. Les conjonctives ne sont pas visibles. L’expression est vive et douce. La couleur est noisette foncée. L’oeil clair est un défaut. |
Oreilles
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En forme de lobe, placées plutôt contre la tête, de bonne longueur et de bonne largeur, attachées au niveau des yeux. Elles portent de jolies franges. |
Cou
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Fort et musclé, de bonne longueur, sans fanon, légèrement galbé et s’amenuisant vers la tête. |
Corps
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Généralité
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Fort, ni trop long ni trop court. |
Rein
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Musclé, fort, légèrement harpé et bien attaché. |
Poitrine
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Bien descendue et bien développée. |
Côtes
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Les côtes sont bien cintrées. |
Queue
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Auparavant la coutume était d’écourter la queue. Queue coupée : Attachée bas et jamais portée plus haut que le niveau du dos, elle est bien frangée et animée d’un mouvement vif. Queue non coupée : Attachée bas, jamais portée plus haut que le niveau du dos, elle est bien frangée et animée d’un mouvement vif. Proportionnée au reste du corps. |
Membres antérieurs
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Généralités
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Les membres antérieurs sont droits et offrent une bonne ossature. |
Epaules
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Bien inclinées en arrière. |
Coudes
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Bien au corps. |
Métacarpe
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Fort et flexible. |
Pieds antérieurs
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Les pieds sont serrés, compacts, bien arrondis avec des coussinets forts et bien remplis. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Les membres postérieurs sont bien descendus. |
Cuisses
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Larges, musclées, bien développées. |
Grassets
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Le grasset et le jarret sont modérément coudés. Les jarrets épais sont un défaut. |
Pieds postérieurs
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Les pieds sont serrés, compacts, bien arrondis avec des coussinets forts et bien remplis. |
Allures
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L’allure du Springer lui est bien particulière. Ses antérieurs se portent en avant, directement à partir de l’épaule, en lançant les pieds bien en avant dans une allure facile et franche. Il doit bien engager ses postérieurs sous la masse, dans la ligne des antérieurs. Aux allures lentes, il peut aller l’amble, ce qui est typique de la race. |
Robe
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Qualité du poil
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Le poil est serré, droit et résistant aux intempéries, jamais grossier. Présence de franges modérées aux oreilles, membres antérieurs, corps et membres postérieurs. |
Couleur du poil
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Foie et blanc, noir et blanc ou l’un de ces deux robes avec des marques feu. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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Approximativement de 20 pouces, soit 51 cm. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts entrainant l’exclusion
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Agressif ou peureux. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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L'English Springer Spaniel (Springer Anglais) est sans doute le plus ancien représentant de la famille des Spaniels, c'est-à-dire des Epagneuls revus et corrigés par les Britanniques.
L'appellation Spaniel pose évidemment le problème des origines espagnoles de la race, question qui a fait l'objet de nombreuses controverses sur lesquelles il n'est pas question de revenir ici. Ce qui est certain, en revanche, c'est que les Spaniels étaient bien présents en Grande-Bretagne dès la fin du Moyen Age. A la fin du XIVe siècle, le poète Chaucer citait le Spaniel, qu'il appréciait pour son comportement affectueux. Quelque deux siècles plus tard, en 1570, le docteur Johannes Caius inclut le Spaniel dans son panorama des chiens britanniques en le classant parmi les chiens de gentilshommes. Le savant exprimait déjà ses doutes quant à l'origine ibérique du chien : « Les gens du commun les appellent généralement spaniels, disait-il, comme si ces chiens venaient d'Espagne à l'origine. »
Les Spaniels furent très tôt utilisés par les seigneurs dans la chasse du gibier à plume, laquelle nécessitait des capacités que les limiers et autres chiens courants de Grande-Bretagne étaient loin de posséder. Et ils excellaient dans les diverses pratiques, dans la chasse au filet comme dans la fauconnerie ou dans la chasse avec les Lévriers, très répandue dans le pays. Les gentilshommes appréciaient d'autant plus les nombreuses aptitudes du Spaniel qu'ils n'avaient pas toujours les moyens d'entretenir de vastes et coûteuses meutes de chiens courants.
Pendant fort longtemps, les Spaniels sont restés des chiens de taille moyenne, malgré, sans doute, certaines variations locales. Et, parmi tous les types actuels de Spaniels, c'est assurément le Springer qui est le plus fidèle à cette stature originelle. Il a d'ailleurs également conservé la couleur de la robe, blanc tacheté de brun ou de roux, que décrivait déjà le docteur Caius. On rencontre pour la première fois la mention du Springer ou plutôt du Springing Spaniel dans l'ouvrage de Markham, Hunter's Prevention, publié en 1621. Depuis, la permanence de ce type canin a toujours été attestée, notamment à travers les illustrations de Philipp Reinagle, parues en 1803 dans The Sportsman Cabinet, qui nous montrent un chien ressemblant en tout point au Springer Spaniel moderne.
La situation des Spaniels s'est trouvée bouleversée dans le courant du XlXe siècle avec l'apparition de la cynologie. En effet, les spécialistes commencèrent à modifier la conformation de ces chiens « bons à tout faire », qui étaient jusque-là utilisés dans toutes les phases de la chasse, pour n'importe quel type de gibier et quelque soit le terrain, car il s'agissait désormais de les adapter en vue d'une utilisation plus spécialisée.
Cependant, dans les premiers temps, les Britanniques manquèrent beaucoup de vigilance, ou de rigueur. Comme le note Gérard Desjeux, ancien président du Spaniel Club français, ils n'hésitèrent pas à croiser les différentes variétés de Spaniels, qui ne se distinguaient d'ailleurs que par leur poids ou leurs couleurs ; distinctions qui n'étaient pas forcément sans équivoque, comme ce fut le cas avec les premiers spécimens appelés Cockers, lesquels étaient définis comme des Field Spaniels de moins de 28 livres : ainsi, le jeune chiot classé comme Cocker devenait par la suite un Field Spaniel, car son poids et sa stature ne correspondaient plus aux caractéristiques du Cocker. Par la suite, on fixa définitivement la taille de ces chiens, par croisement avec les Toy Spaniels, ce qui fit d'excellents sujets pour traquer la bécasse, voire le lapin, et c'est ainsi que l'on allait enfin connaître l'authentique Cocker. On créa également, pour satisfaire les chasseurs peu sportifs, des Spaniels lourds, qui furent très prisés des têtes couronnées.
Les Anglais songèrent aussi à faire du Spaniel un chien de compagnie. Son caractère bon et affectueux, sa robe soyeuse et sa taille le prédestinaient à ce genre d'emploi, et, quant à son esthétique, elle fut bien affinée en vue des expositions. Cependant, cette sélection se révéla parfois néfaste, comme ce fut le cas avec le Field Spaniel, dont l'élevage s'orienta vers le développement d'un Spaniel basset, au corps lourd et très long : présenté en extension, le ventre de l'animal touchait presque terre. Il n'était, bien sûr, plus question d'utiliser ce chien pour la chasse; ce nouveau type n'intéressa qu'un petit cercle de passionnés, au point que le Field faillit bien disparaître.
Le Springer, en revanche, n'allait cesser d'affirmer sa personnalité parmi les Spaniels. Sa taille ni son poids ne furent guère modifiés, et il resta exclusivement un chien de chasse pratique, avant de devenir, avec l'avènement des field-trials, un chien de sport. Cette spécificité très originale, source de son immense succès, est due au fait que, curieusement, la race a été longtemps tenue à l'écart des benches d'exposition, ce dont elle a profité finalement, car elle se présente à nous en ayant conservé intactes toutes ses qualités cynégétiques. En 1902, le Kennel Club reconnaissait officiellement l'existence du Springer Anglais, en le distinguant du Springer Gallois (même l'histoire des Springers n'est pas si simple.). Dès lors, les amateurs de beaux chiens finirent par lui faire honneur, et, aujourd'hui, le Springer Anglais est très présent dans les expositions canines, de même qu'il talonne le Cocker dans les statistiques de naissances outre-Manche, ce qui en dit long sur sa popularité comme chien de compagnie.
Aux Etats-Unis, le Springer fit une première apparition dès le milieu du XIXe siècle, mais son implantation officielle date de 1932. Depuis, la race a fait une honorable carrière dans le pays, aussi bien comme chien de chasse pratique qu'en tant que concurrent aux field-trials ou comme chien d'agrément.
En France, le Springer Anglais est mieux connu depuis une trentaine d'années, grâce à l'activité d'éleveurs passionnés qui ont importé et élevé des sujets d'excellente qualité dont ils n'ont négligé ni l'esthétique ni l'éducation au travail.
Qu'il soit chasseur ou non, l'heureux propriétaire d'un English Springer Spaniel ne peut que se féliciter d'avoir choisi un chien au caractère si agréable. Gai, actif, docile, sociable, coopératif, le Springer est, parmi les chiens, l'un des plus malléables et faciles à vivre. Il comprend vite et bien, de même qu'il agrée immédiatement les désirs de son maître. S'il paraît moins cajoleur qu'un Cocker, il est également moins taquin et têtu que lui. Bon sportif, ce n'est pas un animal exubérant ou sujet à une grande nervosité, pourvu qu'il puisse bénéficier d'un minimum d'exercice physique. Excellent compagnon, calme à la maison, aimant les enfants, son regard doux et serein exprime parfaitement l'équilibre de son tempérament.
C'est bien évidemment comme chien de chasse que le Springer est principalement apprécié. Son exceptionnelle endurance est la conséquence de sa constitution robuste et compacte, qui reste toutefois exempte de toute lourdeur, ce que traduit bien la juste proportion entre sa taille et son poids. Si le Springer n'est pas à proprement parler un spécialiste, ses qualités sont néanmoins au-dessus de la moyenne pour toutes les phases de la chasse. C'est le très bon élève, qui peut rivaliser avec les meilleurs dans chaque matière sans jamais obtenir une note médiocre ou moyenne. Une seule discipline lui est étrangère : comme tous les Spaniels, le Springer n'est pas un chien d'arrêt.
Mais il excelle en particulier dans le rapport au gibier, où il se place au premier plan autant par la facilité de son dressage que par son ardeur ou son goût de l'eau. Et, s'il faut lui décerner une mention spéciale, c'est assurément pour son aptitude au travail en terrains difficiles et variés. Aucune forme de végétation, qu'il s'agisse de bosquets, de bois, de ronciers ou de terres en friche, ne saurait refréner son allant, pas plus d'ailleurs qu'une pluie diluvienne ou qu'un froid exceptionnel, dont il se moque éperdument dès lors qu'il est au travail.
L'English Springer-Spaniel est bien le fleuron de l'excellente famille des Spaniels, et il est le plus à même de pouvoir soutenir la comparaison avec les meilleurs chiens de chasse actuels. Cela posé, il peut aussi convenir au chasseur sans grande expérience du dressage, qui manierait avec moins d'aisance l'incomparable pur-sang dont les spécialistes lui auraient vanté la valeur. D'ailleurs, ce chien s'est acquis une clientèle très fidèle au fil des ans. Les bécassiers, notamment, le tiennent en haute estime, sa prudence et sa sûreté sur l'émanation étant fort appréciées. |
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English Springer Spaniel
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FCI standard Nº 125
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Origin
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Great Britain |
Group
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Group 8 Retrievers-Flushing Dogs-Water Dogs |
Section
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Section 2 Flushing Dogs |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Wednesday 29 December 1954 |
Publication of the official valid standard
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Tuesday 28 July 2009 |
Last update
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Wednesday 28 October 2009 |
En français, cette race se dit
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English Springer Spaniel |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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English Springer Spaniel |
En español, esta raza se dice
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Springer Spaniel inglés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Engels Springer Spaniel |
Usage
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Flushing dog, Retriever. |
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Brief historical summary
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Breed is of ancient and pure origins, oldest of sporting gundogs; original purpose was finding and springing game for net, falcon or greyhound. Now used to find, flush and retrieve game for gun. |
General appearance
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Symmetrically built, compact, strong, merry, active. Highest on leg and raciest in build of all British land Spaniels. |
Important proportions
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Friendly, happy disposition, biddable. Timidity or aggression highly undesirable. |
Head
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Cranial region
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Skull
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Of medium length, fairly broad, slightly rounded, rising from foreface, making a brow or stop, divided by fluting between eyes, dying away along forehead towards occipital bone which should not be prominent. |
Facial region
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Nose
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Nostrils well developed. |
Muzzle
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Foreface of proportionate length to skull, fairly broad and deep, well chiselled below eyes. |
Lips
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Fairly deep and square. |
Jaws and teeth
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Jaws strong, with a perfect, regular and complete scissor bite, i.e. upper teeth closely overlapping lower teeth and set square to the jaws. |
Cheeks
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Flat. |
Eyes
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Medium size, almond-shaped, not prominent nor sunken, well set in (not showing haw), alert, kind expression. Dark hazel. Light eyes undesirable. |
Ears
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Lobular, good length and width, fairly close to head, set in line with eye. Nicely feathered. |
Neck
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Good length, strong and muscular, free from throatiness, slightly arched, tapering towards head. |
Body
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Body
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Strong, neither too long nor too short. |
Loin
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Muscular, strong with slight arch and well coupled. |
Chest
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Deep, well developed. Well sprung ribs. |
Tail
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Previously customarily docked. Docked: Set low, never carried above level of back. Well feathered with lively action. Undocked: Set low, never carried above level of back. Well feathered with lively action. In balance with the rest of the dog. |
Forequarters
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Generality
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Forelegs straight and well boned. |
Shoulders
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Sloping and well laid. |
Elbows
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Set well to body. |
Pastern
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Strong, flexible. |
Hindquarters
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Generality
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Hind legs well let down. |
Upper thigh
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Broad, muscular, well developed. |
Stifle
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Moderately bent. |
Hock
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Moderately bent. Coarse hocks undesirable. |
Feet
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Tight, compact, well rounded, with strong, full pads. |
Gait and movement
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Strictly his own. Forelegs swing straight forward from shoulder, throwing feet well forward in an easy free manner. Hocks driving well under body, following in line with forelegs. At slow movement may have a pacing stride typical of this breed. |
Coat
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Hair
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Close, straight and weather resisting, never coarse. Moderate feathering on ears, forelegs, body and hinquarters. |
Colour
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Liver and white, black and white, or either of these colours with tan markings. |
Size and weight
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Height at withers
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Approximate height at withers: 51 cm (20 ins). |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Disqualifying faults
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Aggressive or overly shy. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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The English Springer Spaniel is probably the oldest representative of the family Spaniels, that is to say, Spaniels reviewed and corrected by the British.
The name Spaniel obviously raises the problem of the Spanish origins of the breed, an issue that has been the subject of much controversy on which there is no question of returning here. What is certain, however, is that the Spaniels were very present in Britain from the end of the Middle Ages. At the end of the 14th century, the poet Chaucer quoted the Spaniel, whom he appreciated for his affectionate behavior. Some two centuries later, in 1570, Dr. Johannes Caius included the Spaniel in his panorama of British dogs by ranking him among gentlemen's dogs. The scientist already expressed his doubts about the Iberian origin of the dog: "The common people generally call them spaniels," he said, as if these dogs were originally from Spain. "
The Spaniels were used very early by the lords in the hunting of game birds, which required abilities that the bloodhounds and other common dogs of Great Britain were far from possessing. And they excelled in various practices, in net hunting as in falconry or hunting with greyhounds, widespread in the country. Gentlemen appreciated the Spaniel's many abilities all the more because they did not always have the means to maintain large and expensive packs of common dogs.
For a long time, Spaniels remained medium-sized dogs, despite, no doubt, some local variations. And of all the current types of Spaniels, it is certainly the Springer that is most faithful to this original stature. He has also preserved the color of the dress, white spotted with brown or red, that already described Dr. Caius. We meet for the first time the mention of the Springer or rather Springing Spaniel in the book Markham, Hunter's Prevention, published in 1621. Since then, the permanence of this canine type has always been attested, especially through the illustrations of Philipp Reinagle , published in 1803 in The Sportsman Cabinet, which show us a dog resembling in every respect the modern Springer Spaniel.
The situation of Spaniels was disrupted in the course of the nineteenth century with the appearance of cynology. Indeed, the specialists began to modify the conformation of these "jack-of-all-trades" dogs, which had hitherto been used in all phases of the hunt, for any type of game and whatever the terrain, because The aim was to adapt them for more specialized use.
However, in the early days, the British lacked much vigilance, or rigor. As Gérard Desjeux, former president of the French Spaniel Club, notes, they did not hesitate to cross the different varieties of Spaniels, which could only be distinguished by their weight or their colors; distinctions that were not necessarily unequivocal, as was the case with the first specimens called Cockers, which were defined as Field Spaniels less than 28 pounds: thus, the puppy classified as Cocker became thereafter a Field Spaniel because his weight and stature no longer matched the characteristics of the Cocker. Subsequently, the size of these dogs was fixed, by crossing with the Toy Spaniels, which made excellent subjects for stalking the woodcock, even the rabbit, and it was thus that we would finally know the authentic Cocker. To satisfy the sporadic hunters, heavy Spaniels were also created, which were very popular with crowned heads.
The English also thought of making Spaniel a pet dog. Her good and affectionate character, her silky dress and her size predestined her for this kind of work, and as for her aesthetic, she was well refined for the exhibitions. However, this selection proved sometimes harmful, as was the case with the Field Spaniel, whose breeding was oriented towards the development of a Spaniel Basset, the heavy body and very long: presented in extension, the belly of the animal touched almost ground. There was, of course, no question of using this dog for hunting; this new type interested only a small circle of enthusiasts, to the point that Field almost disappeared.
The Springer, on the other hand, was going to stop affirming his personality among the Spaniels. His height and weight were hardly changed, and he remained exclusively a practical hunting dog, before becoming, with the advent of field trials, a sport dog. This very original specificity, the source of its immense success, is due to the fact that, curiously, the race was long kept away from the benches of exhibition, which it finally benefited, because it presents itself to us having preserved intact all its hunting qualities. In 1902, the Kennel Club officially recognized the existence of the English Springer, distinguishing it from the Welsh Springer (even the history of the Springers is not so simple.). From then on, the lovers of beautiful dogs finally did him honor, and, today, the English Springer is very present in the exhibitions dog, as he heels the Cocker in the statistics of births across the Channel, which says a lot about his popularity as a pet dog.
In the United States, the Springer made its first appearance in the middle of the 19th century, but its official establishment dates back to 1932. Since then, the breed has made an honorable career in the country, both as a practical hunting dog and as a competitor in field trials or as a pleasure dog.
In France, the English Springer has been better known for thirty years, thanks to the activity of passionate breeders who imported and raised subjects of excellent quality which they neglected neither aesthetics nor education at work.
Whether hunter or not, the proud owner of an English Springer Spaniel can only congratulate himself for choosing a dog with such a pleasant character. Cheerful, active, docile, sociable and cooperative, the Springer is one of the most malleable and easygoing dogs among dogs. He understands quickly and well, just as he immediately approves the wishes of his master. If he seems less coaxing than a Cocker, he is also less teasing and stubborn than he is. Good sportsman, it is not an exuberant animal or subject to a great nervousness, provided that it can profit from a minimum of physical exercise. Excellent companion, calm at home, loving children, his gentle and serene look perfectly expresses the balance of his temperament.
It is obviously as a hunting dog that the Springer is mainly appreciated. Its exceptional endurance is the result of its robust and compact constitution, which however remains free of heaviness, which reflects the fair proportion between its size and weight. Although the Springer is not strictly speaking a specialist, its qualities are nevertheless above average for all phases of the hunt. He is the very good student, who can compete with the best in each subject without ever getting a mediocre or average grade. Only one discipline is foreign to him: like all Spaniels, the Springer is not a dog.
But he excels in particular in relation to game, where he is at the forefront as much by the ease of his training as his ardor or his taste for water. And, if it must be awarded a special mention, it is certainly for his ability to work in difficult and varied terrain. No form of vegetation, be it groves, woods, brambles or wastelands, can stop its going, any more than a torrential rain or an exceptional cold, which it do not care when he's at work.
The English Springer-Spaniel is the flagship of the excellent family of Spaniels, and is best able to support the comparison with the best hunting dogs today. This posed, it may also be suitable for the hunter without much experience of training, who would handle with less ease the incomparable thoroughbred whose specialists would have praised the value. Moreover, this dog has acquired a loyal clientele over the years. The wood-scavengers, especially, hold him in high esteem, his prudence and safety on the emanation being much appreciated. |
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English Springer Spaniel
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FCI-Standard Nº 125
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Ursprung
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Grossbritannien |
Übersetzung
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Harry G.A.Hinckeldeyn / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
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Gruppe 8 Apportierhunde, Stöberhunde, Wasserhunde |
Sektion
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Sektion 2 Stöberhunde |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Mittwoch 29 Dezember 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Dienstag 28 Juli 2009 |
Letzten Aktualisierung
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Mittwoch 03 Februar 2010 |
En français, cette race se dit
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English Springer Spaniel |
In English, this breed is said
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English Springer Spaniel |
En español, esta raza se dice
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Springer Spaniel inglés |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Engels Springer Spaniel |
Verwendung
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Stöber- und Apportierhund. |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Die Rasse ist alten und reinen Ursprungs, älteste der Gundog-Rassen. Ursprünglicher Zweck war das Finden und Aufjagen des Wildes bei der Netzjagd, der Jagd mit dem Falken oder dem Greyhound. Wird jetzt gebraucht, um Wild zu finden, hoch zu machen und nach dem Schuss zu apportieren. |
Allgemeines erscheinungsbild
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Symmetrisch gebaut, kompakt, kräftig, fröhlich, lebhaft. Von allen britischen Landspaniels am höchsten auf den Läufen und am rassigsten im Körperbau. |
Wichtige proportionen
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Freundlich, unbekümmert, gehorsam. Ängstlichkeit oder Aggressivität höchst unerwünscht. |
Kopf
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Oberkopf
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Schädel
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Von mittlerer Länge, verhältnismäßig breit, leicht gerundet, vom Fang an ansteigend. Augenbrauenwülste oder einen Stop bildend, geteilt durch eine Furche zwischen den Augen, von der Stirne zum Hinterhauptbein auslaufend; letzteres darf nicht hervortreten. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Nasenlöcher gut entwickelt. |
Fang
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Im richtigen Längenverhältnis zum Schädel, verhältnismäßig breit und tief, gut gemeißelt unter den Augen. |
Lefzen
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Mässig tief und quadratisch. |
Kiefer / Zähne
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Kräftige Kiefer mit einem perfekten, regelmäßigen und vollständigen Scherengebiss, wobei die obere Schneidezahnreihe ohne Zwischenraum über die untere greift und die Zähne senkrecht im Kiefer stehen. |
Wangen
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Flach. |
Augen
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Mittlere Größe, mandelförmig, nicht hervorstehend oder tiefliegend, gut eingesetzt (keine Nickhaut zeigend), wachsamer, freundlicher Ausdruck. Dunkelhaselnussbraun. Helle Augen unerwünscht. |
Ohren
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Lappig, gute Länge und Breite, ziemlich gut am Kopf anliegend, in Augenhöhe angesetzt. Schön befedert. |
Hals
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Gute Länge, kräftig und muskulös, keine lose Kehlhaut, leicht gebogen, sich zum Kopf hin verjüngend. |
Körper
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Allgemeinheit
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Kräftig, weder zu lang noch zu kurz. |
Lenden
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Muskulös, kräftig, leicht gewölbt und kurz. |
Brust
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Tiefer Brustkorb, gut entwickelt. Gute Ripp enwölbung. |
Rute
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Früher üblicherweise kupiert. Kupiert: Niedrig angesetzt, nie oberhalb der Rückenlinie getragen. Gut befedert, lebhaft bewegt. Unkupiert: Niedrig angesetzt, nie oberhalb der Rückenlinie getragen. Gut befedert, lebhaft bewegt. In Harmonie mit der Gesamterscheinung des Hundes. |
Vorderhand
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Allgemeines
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Vorderläufe gerade, von guter Knochenstärke. |
Schultern
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Schräg und gut zurückliegend. |
Ellenbogen
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Gut am Körper anliegend. |
Vordermittelfuss
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Stark, biegsam. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Hinterläufe gut herabgelassen. |
Oberschenkel
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Breit, muskulös und gut entwickelt. |
Knie
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Gut, aber nicht übertrieben gewinkelt. |
Sprunggelenk
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Gut, aber nicht übertrieben gewinkelt. Plumpe Sprunggelenke unerwünscht. |
Pfoten
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Zehen eng aneinanderliegend, Pfoten kompakt, gut gerundet, mit starken, gepolsterten Ballen. |
Gangwerk
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Von völlig eigener Art. Vorderläufe schwingen gerade aus der Schulter heraus, wobei die Pfoten in einer freien, leichten Art gut nach vorne geworfen werden. Sprunggelenke schwingen gut unter das Gebäude, der Vorhand in einer Linie folgend. Bei langsamer Gangart kann der Hund den für diese Rasse typischen Passgang zeigen. |
Coat
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Haar
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Dicht, glatt und wetterresistent, niemals grob. Mässige Befederung an Behang, Vorderläufen, Körper und Hinterhand. |
Farbe
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Leberbraun/Weiss, Schwarz/Weiss oder jede dieser Farben mit Loh-Abzeichen. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Ungefähre Höhe am Widerrist : 51 cm (20 ins.). |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Disqualifizierende fehler
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Aggressive oder übermässig ängstliche Hunde. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Englischer Springer Spaniel (English Springer) ist wahrscheinlich der älteste Vertreter der Familie Spaniels, das heißt Spaniel rezensiert und von den Briten korrigiert.
Der Name Spaniel wirft natürlich das Problem der spanischen Herkunft der Rasse auf, ein Thema, das Gegenstand vieler Kontroversen war, bei denen von einer Rückkehr hier keine Rede sein kann. Sicher ist jedoch, dass die Spaniels seit dem Ende des Mittelalters in Großbritannien sehr präsent waren. Am Ende des 14. Jahrhunderts zitierte der Dichter Chaucer den Spaniel, den er wegen seines liebevollen Verhaltens schätzte. Etwa zwei Jahrhunderte später, im Jahre 1570, nahm Dr. Johannes Caïus den Spaniel in sein Panorama britischer Hunde auf, indem er ihn unter die Hunde von Herren einordnete. Der Wissenschaftler äußerte bereits Zweifel an der iberischen Herkunft des Hundes: "Die einfachen Leute nennen sie im Allgemeinen Spaniel", sagte er, als ob diese Hunde ursprünglich aus Spanien kämen. "
Die Spaniels wurden sehr früh von den Herren bei der Jagd von Wildvögeln verwendet, was Fähigkeiten erforderte, die die Bluthunde und andere gewöhnliche Hunde Großbritanniens nicht besaßen. Und sie zeichneten sich in verschiedenen Praktiken aus, in der Netzjagd wie in der Falknerei oder der Jagd mit Windhunden, die im Land weit verbreitet sind. Die Herren schätzten die vielen Fähigkeiten des Spaniels umso mehr, als sie nicht immer die Mittel hatten, große und teure Rudel gewöhnlicher Hunde zu halten.
Spaniels blieben lange Zeit mittelgroße Hunde, trotz einiger lokaler Unterschiede. Und von allen aktuellen Spaniel-Typen ist es sicher der Springer, der dieser originalen Statur treu bleibt. Er hat auch die Farbe des weißen oder braungefärbten Kleides bewahrt, das Dr. Caius bereits beschrieben hat. Wir treffen zum ersten Mal die Erwähnung des Springers oder vielmehr des Springing Spaniel in dem 1621 erschienenen Buch Markham, Hunter's Prevention. Seitdem ist die Beständigkeit dieses Hundetyps immer bezeugt, besonders durch die Illustrationen von Philipp Reinagle , veröffentlicht 1803 in The Sportsman Cabinet, die uns einen Hund zeigen, der in jeder Hinsicht dem modernen Springer Spaniel ähnelt.
Die Situation von Spaniels wurde im Laufe des neunzehnten Jahrhunderts mit dem Auftreten von Kynologie gestört. In der Tat begannen die Spezialisten, die Konformation dieser "Tausendsassa" -Hunde, die bisher in allen Phasen der Jagd verwendet wurden, für jede Art von Wild und für jedes Terrain zu modifizieren, weil Ziel war es, sie für eine spezialisiertere Verwendung anzupassen.
In den frühen Tagen fehlte den Briten jedoch viel Wachsamkeit oder Strenge. Wie Gérard Desjeux, ehemaliger Präsident des französischen Spaniel-Clubs, feststellt, zögerten sie nicht, die verschiedenen Spaniel-Sorten zu durchqueren, die sich nur durch ihr Gewicht oder ihre Farben unterscheiden konnten. Unterschiede, die nicht unbedingt eindeutig waren, wie es bei den ersten Exemplaren, Cocker genannt, der Fall war, die als Field Spaniels unter 28 Pfund definiert wurden: So wurde der als Cocker klassifizierte Welpe danach ein Field Spaniel weil sein Gewicht und seine Statur nicht mehr den Eigenschaften des Cocker entsprechen. Anschließend wurde die Größe dieser Hunde festgelegt, indem man sie mit den Toy Spaniels kreuzte, die ausgezeichnete Jagdbegleiter waren, sogar den Hasen, und so lernten wir ihn endlich kennen. authentischer Cocker. Um den sporadischen Jägern gerecht zu werden, wurden auch schwere Spaniels geschaffen, die bei gekrönten Köpfen sehr beliebt waren.
Die Engländer dachten auch daran, Spaniel zu einem Hund zu machen. Ihr guter und zärtlicher Charakter, ihr seidiges Kleid und ihre Größe prädestinierten sie für diese Art von Arbeit, und für ihre Ästhetik war sie für die Ausstellungen gut verfeinert. Diese Selektion erwies sich jedoch manchmal als schädlich, so wie es beim Feldspaniel der Fall war, dessen Zucht auf die Entwicklung eines Spaniel - Bassets, des schweren Körpers und sehr lang war: in Verlängerung präsentiert sich der Bauch der Tier berührte fast den Boden. Es gab natürlich keine Frage, diesen Hund für die Jagd zu verwenden; Dieser neue Typ interessierte nur einen kleinen Kreis von Enthusiasten, bis zu dem Punkt, dass Field fast verschwunden war.
Der Springer dagegen würde aufhören, seine Persönlichkeit unter den Spaniels zu behaupten. Seine Größe und sein Gewicht wurden kaum verändert, und er blieb ausschließlich ein praktischer Jagdhund, bevor er mit dem Aufkommen von Feldversuchen ein Sporthund wurde. Diese sehr originelle Besonderheit, Quelle ihres immensen Erfolges, liegt daran, dass das Rennen merkwürdigerweise lange von den Schaukästen ferngehalten wurde, von denen es schließlich profitierte, weil es sich uns präsentiert intakt alle seine jagdlichen Qualitäten erhalten. Im Jahr 1902 erkannte der Kennel Club offiziell die Existenz des English Springer und unterschied ihn vom walisischen Springer (selbst die Geschichte der Springer ist nicht so einfach.). Von da an ehren ihn schließlich die Liebhaber schöner Hunde, und heute ist der englische Springer im Ausstellungshund sehr präsent, als er den Cocker in der Geburtenstatistik über den Kanal absetzt sagt viel über seine Popularität als Haustierhund.
In den Vereinigten Staaten tauchte der Springer erstmals Mitte des 19. Jahrhunderts auf, aber seine offizielle Gründung geht auf das Jahr 1932 zurück. Seitdem hat die Rasse eine ehrenvolle Karriere im Land gemacht, sowohl als praktischer Jagdhund als auch als Wettbewerber in Feldversuchen oder als Lusthund.
In Frankreich ist der English Springer seit 30 Jahren besser bekannt, dank der Tätigkeit leidenschaftlicher Züchter, die Gegenstände von ausgezeichneter Qualität importierten und aufbauten, die weder Ästhetik noch Bildung vernachlässigten bei der Arbeit.
Ob Jäger oder nicht, der stolze Besitzer eines englischen Springer Spaniels kann sich nur gratulieren, wenn er einen Hund mit einem so angenehmen Charakter wählt. Fröhlich, aktiv, fügsam, gesellig und kooperativ ist der Springer einer der formbarsten und gelassensten Hunde unter den Hunden. Er versteht schnell und gut, ebenso wie er sofort die Wünsche seines Meisters billigt. Wenn er weniger schmeichelnd wirkt als ein Cocker, ist er auch weniger neckisch und stur als er. Guter Sportler, es ist kein überschwängliches Tier oder unterliegt einer großen Nervosität, vorausgesetzt, dass es von einem Minimum an körperlicher Bewegung profitieren kann. Ausgezeichneter Begleiter, Ruhe zu Hause, liebevolle Kinder, sein sanftes und gelassenes Aussehen bringt das Gleichgewicht seines Temperaments perfekt zum Ausdruck.
Als Jagdhund wird der Springer vor allem geschätzt. Seine außergewöhnliche Ausdauer ist das Ergebnis seiner robusten und kompakten Konstitution, die jedoch frei von Schwere bleibt, die das gerechte Verhältnis zwischen seiner Größe und seinem Gewicht widerspiegelt. Obwohl der Springer kein Spezialist ist, sind seine Qualitäten in allen Phasen der Jagd dennoch überdurchschnittlich. Er ist der sehr gute Schüler, der sich in jedem Fach mit den Besten messen kann, ohne jemals eine mittelmäßige oder durchschnittliche Note zu bekommen. Nur eine Disziplin ist ihm fremd: Wie alle Spaniels ist der Springer kein Hund.
Aber er zeichnet sich besonders in Bezug auf das Spiel aus, wo er sowohl durch die Leichtigkeit seiner Ausbildung als auch durch seinen Geschmack für Wasser im Vordergrund steht. Und wenn es eine besondere Erwähnung verdient, ist es sicherlich seine Fähigkeit, in schwierigem und abwechslungsreichem Terrain zu arbeiten. Keine Form von Vegetation, ob Haine, Wälder, Dornen oder Ödland, kann aufhören, mehr als ein sintflutartiger Regen oder eine außergewöhnliche Erkältung, die es ist ist es egal, wenn er bei der Arbeit ist.
Der English Springer-Spaniel ist das Flaggschiff der ausgezeichneten Spaniel-Familie und unterstützt heute am besten den Vergleich mit den besten Jagdhunden. Dies könnte sich auch für den Jäger ohne viel Trainingserfahrung eignen, der mit weniger Leichtigkeit den unvergleichlichen Vollblüter behandeln würde, dessen Spezialisten den Wert gelobt hätten. Außerdem hat dieser Hund über die Jahre eine treue Kundschaft erworben. Besonders die Holzfäller schätzen ihn sehr, seine Umsicht und Sicherheit auf der Emanation wird sehr geschätzt. |
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Springer Spaniel inglés
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FCI Standard Nº 125
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Origen
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Gran Bretaña |
Traducción
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Lic. Oscar Valverde Calvo (Costa Rica) y Jorge Nallem (Uruguay) |
Grupo
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Grupo 8 Perros cobradores, perros levantadores de caza, perros de agua |
Sección
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Sección 2 Perros levantadores de caza |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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miércoles 29 diciembre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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martes 28 julio 2009 |
Última actualización
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miércoles 28 octubre 2009 |
En français, cette race se dit
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English Springer Spaniel |
In English, this breed is said
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English Springer Spaniel |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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English Springer Spaniel |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Engels Springer Spaniel |
Utilizacion
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Perro levantador y cobrador de caza. |
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Breve resumen historico
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El origen de la raza es antiguo y puro; es el más antiguo de todos los perros de caza deportiva. Su propósito original era encontrar y espantar la presa hacia la red, para el halcón o el lebrel. En la actualidad se le utiliza para encontrar, hacer volar las aves de caza y cobrar la presa para el cazador armado. |
Aspecto general
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Perro de figura simétrica, compacto, fuerte, alegre y activo. Es el más largo de miembros y el más esbelto de todos los Spaniels británicos terrestres. |
Proporciones importantes
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Perro amistoso, de ánimo alegre y dócil. La timidez y la agresividad son altamente indeseables. |
Cabeza
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Region craneal
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Cráneo
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De tamaño mediano, bastante ancho, ligeramente redondeado y se eleva desde la frente, formando una cresta o stop; está dividido entre los ojos por un surco que desaparece a lo largo de la frente hacia el occipital que no debe ser pronunciado. |
Facial region
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Trufa
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Nariz bien desarrollada. |
Hocico
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Su largura debe estar en proporción al cráneo; el hocico debe ser bastante ancho y profundo, bien moldeado debajo de los ojos. |
Belfos
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Bastante profundos y cuadrados. |
Mandíbulas / Dientes
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Maxilares fuertes con una mordida en tijera regular y completa, es decir que la cara interna de los incisivos superiores esté en contacto estrecho con la cara externa de los incisivos inferiores, los dientes siendo colocados verticalmente en los maxilares. |
Mejillas
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Planas. |
Ojos
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De tamaño mediano, almendrados, ni prominentes ni hundidos, bien colocados (que no muestren la mucosa ocular), de expresión vivaz y bondadosa. Color avellana oscuro. Los ojos claros son indeseables. |
Orejas
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Lobulares, de buen largo y anchura, colgando bastante pegadas a la cabeza y de inserción a nivel de la línea del ojo. Bien provistas de pelo largo en forma de pluma. |
Cuello
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De buen largo, fuerte y musculoso, sin papada. Debe ser ligeramente arqueado y adelgazarse hacia la cabeza. |
Cuerpo
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Generalidad
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Fuerte, ni demasiado largo ni muy corto. |
Lomo
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Musculoso, vigoroso, levemente arqueado y bien acoplado. |
Pecho
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Tórax profundo y bien desarrollado. Las costillas son bien arqueadas. |
Cola
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Anteriormente la costumbre era amputar la cola. Amputada: De inserción baja, nunca con su porte sobre la línea superior. Con buen fleco y alegre en acción. Sin amputar: De inserción baja, nunca con su porte sobre la línea superior. Con buen fleco y alegre en acción. En balance con el resto del perro. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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Los miembros delanteros son rectos y de buena osamenta. |
Hombro
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Bien colocado hacia atrás. |
Codo
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Bien colocado cerca del cuerpo. |
Metacarpo
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Fuerte, flexible. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Deben estar bien descendidos. |
Muslo
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Anchos, musculosos y bien desarrollados. |
Rodilla
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Le grasset et le jarret sont modérément coudés. Les jarrets épais sont un défaut. |
Corvejón
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Moderadamente anguladas. Los corvejones toscos son indeseables. |
Pies
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Apretados, compactos y bien redondos, con almohadillas gruesas y fuertes. |
Movimiento
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Tiene un movimiento estrictamente propio. Los miembros anteriores deberán extenderse hacia adelante desde los hombros, dando un paso largo, suave y sin esfuerzo. Los corvejones moviéndose bien debajo del cuerpo, siguiendo la línea de los miembros anteriores. En movimiento lento puede amblar, paso típico de esta raza. |
Manto
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Pelo
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Denso, lacio y resistente a las inclemencias del tiempo, nunca grueso. Las orejas, miembros anteriores y posterior es y el cuerpo están cubiertos de pelo en forma de pluma moderadamente largo. |
Color
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Hígado y blanco, negro y blanco, o cualquiera de estos dos colores con manchas fuego. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Altura a la cruz aproximada: 51 cm (20 pulgadas). |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas descalificantes:
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Agresividad o extrema timidez. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Springer Spaniel Inglés (Springer Inglés) es probablemente el representante más antiguo de la familia Spaniels, es decir, Spaniels revisados y corregidos por los británicos.
El nombre de Spaniel, obviamente, plantea el problema de los orígenes españoles de la raza, un tema que ha sido objeto de mucha controversia sobre el que no se trata de volver aquí. Lo que es seguro, sin embargo, es que los Spaniels estuvieron muy presentes en Gran Bretaña desde el final de la Edad Media. A fines del siglo XIV, el poeta Chaucer citó al Spaniel, a quien apreciaba por su comportamiento afectuoso. Unos dos siglos más tarde, en 1570, el Dr. Johannes Caius incluyó al Spaniel en su panorama de perros británicos colocándolo entre perros de caballeros. El científico ya expresó sus dudas sobre el origen ibérico del perro: "La gente común generalmente los llama spaniels", dijo, como si estos perros fueran originarios de España. "
Los lobos fueron utilizados muy temprano por los señores en la caza de aves de caza, lo que requería habilidades que los sabuesos y otros perros comunes de Gran Bretaña estaban lejos de poseer. Y se destacaron en diversas prácticas, en la caza de red como en la cetrería o la caza con galgos, muy extendida en el país. Los caballeros apreciaron mucho más las muchas habilidades del Spaniel porque no siempre tenían los medios para mantener paquetes grandes y caros de perros comunes.
Durante mucho tiempo, los perros de aguas se mantuvieron medianos, a pesar, sin duda, de algunas variaciones locales. Y de todos los tipos actuales de Spaniels, sin duda es el Springer que es más fiel a esta estatura original. También ha conservado el color del vestido, blanco manchado con marrón o rojo, que ya describió el Dr. Caius. Nos encontramos por primera vez con la mención del Springer o más bien de Springing Spaniel en el libro Markham, Hunter's Prevention, publicado en 1621. Desde entonces, la permanencia de este tipo canino siempre ha sido atestiguada, especialmente a través de las ilustraciones de Philipp Reinagle , publicado en 1803 en The Sportsman Cabinet, que nos muestra un perro que se asemeja en todos los aspectos al moderno Springer Spaniel.
La situación de los perros de aguas se vio interrumpida en el curso del siglo XIX con la aparición de la cinología. De hecho, los especialistas comenzaron a modificar la conformación de estos perros "de todos los oficios", que hasta ahora se habían utilizado en todas las fases de la caza, para cualquier tipo de juego y en cualquier terreno, porque El objetivo era adaptarlos para un uso más especializado.
Sin embargo, en los primeros días, los británicos carecían de mucha vigilancia o rigor. Como señala Gérard Desjeux, ex presidente del French Spaniel Club, no dudaron en cruzar las diferentes variedades de Spaniels, que solo podían distinguirse por su peso o sus colores; distinciones que no eran necesariamente inequívocas, como fue el caso con los primeros especímenes llamados Cockers, que se definieron como Field Spaniels de menos de 28 libras: por lo tanto, el cachorro clasificado como Cocker se convirtió a partir de entonces en Field Spaniel porque su peso y estatura ya no coincidían con las características del Cocker. Posteriormente, se corrigió el tamaño de estos perros, cruzando con los Toy Spaniels, que eran excelentes sujetos para acechar la becada, incluso el conejo, y así fue como finalmente lo conocimos. auténtico Cocker. Para satisfacer a los cazadores esporádicos, también se crearon Spaniels pesados, que eran muy populares entre las cabezas coronadas.
Los ingleses también pensaron en hacer de Spaniel un perro de compañía. Su carácter bueno y afectuoso, su vestido sedoso y su talla la predestinó para este tipo de trabajo, y en cuanto a su estética, estaba bien refinada para las exposiciones. Sin embargo, esta selección resultó a veces dañina, como fue el caso con el Field Spaniel, cuya crianza estaba orientada hacia el desarrollo de un Spaniel Basset, el cuerpo pesado y muy largo: presentado en extensión, el vientre del animal tocado casi tierra. Por supuesto, no se trataba de usar este perro para cazar; este nuevo tipo solo interesaba a un pequeño círculo de entusiastas, hasta el punto de que Field casi desapareció.
El Springer, por otro lado, iba a dejar de afirmar su personalidad entre los Spaniels. Su altura y peso apenas se modificaron, y se mantuvo exclusivamente como un perro de caza práctico, antes de convertirse, con el advenimiento de las pruebas de campo, en un perro deportivo. Esta especificidad muy original, fuente de su inmenso éxito, se debe al hecho de que, curiosamente, la carrera se mantuvo lejos de los escaparates, que finalmente se benefició, porque se nos presenta conserva intacto todas sus cualidades de caza. En 1902, el Kennel Club reconoció oficialmente la existencia del Springer inglés, distinguiéndolo del Welsh Springer (incluso la historia de los Springer no es tan simple). A partir de entonces, los amantes de los perros hermosos finalmente le hicieron honor, y, hoy, el Springer inglés está muy presente en el perro de exhibiciones, al igual que el Cocker en las estadísticas de nacimientos a través del Canal, que dice mucho sobre su popularidad como mascota.
En los Estados Unidos, Springer hizo su primera aparición a mediados del siglo XIX, pero su establecimiento oficial se remonta a 1932. Desde entonces, la raza ha hecho una carrera honorable en el país, como un perro de caza práctico y como un competidor en pruebas de campo o como un perro de placer.
En Francia, el Springer inglés es más conocido desde hace treinta años, gracias a la actividad de apasionados criadores que importaron y criaron temas de excelente calidad que no descuidaron ni la estética ni la educación en el trabajo.
Ya sea que sea cazador o no, el orgulloso propietario de un Springer Spaniel inglés solo puede felicitarse por haber elegido un perro con un carácter tan agradable. Alegre, activo, dócil, sociable y cooperativo, el Springer es uno de los perros más maleable y tolerante entre los perros. Él entiende rápido y bien, al igual que inmediatamente aprueba los deseos de su maestro. Si parece menos persuasivo que un Cocker, también es menos burlón y obstinado de lo que es. Buen deportista, no es un animal exuberante o está sujeto a un gran nerviosismo, siempre que pueda beneficiarse de un mínimo de ejercicio físico. Excelente compañero, tranquilo en casa, amando a los niños, su mirada amable y serena expresa perfectamente el equilibrio de su temperamento.
Es obviamente como un perro de caza que el Springer es apreciado principalmente. Su resistencia excepcional es el resultado de su constitución robusta y compacta, que sin embargo permanece libre de pesadez, lo que refleja la justa proporción entre su tamaño y peso. Aunque Springer no es estrictamente un especialista, sus cualidades son, sin embargo, superiores a la media en todas las fases de la caza. Él es el muy buen estudiante, que puede competir con los mejores en cada materia sin obtener una calificación mediocre o promedio. Solo una disciplina es extraña para él: como todos los Spaniels, el Springer no es un perro.
Pero sobresale en particular en relación con el juego, donde está a la vanguardia tanto por la facilidad de su entrenamiento como por su ardor o su gusto por el agua. Y, si se le debe otorgar una mención especial, sin duda es por su capacidad para trabajar en terrenos difíciles y variados. Ninguna forma de vegetación, ya sea arboledas, bosques, zarzas o páramos, puede detener su movimiento, más que una lluvia torrencial o un frío excepcional, que no me importa cuando está en el trabajo.
El Springer-Spaniel inglés es el buque insignia de la excelente familia de Spaniels, y es el más apto para apoyar la comparación con los mejores perros de caza de hoy. Posicionada, también puede ser adecuada para el cazador sin mucha experiencia en el entrenamiento, quien manejaría con menos facilidad al incomparable purasangre cuyos especialistas habrían elogiado el valor. Además, este perro ha adquirido una clientela leal a lo largo de los años. Los carroñeros, especialmente, lo tienen en alta estima, su prudencia y seguridad en la emanación son muy apreciadas. |
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Engels Springer Spaniel
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FCI standaard Nº 125
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Land van oorsprong
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Groot-Brittannië |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 8 Retrievers-Vlissingen Dogs-Water Dogs |
Sectie
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Sectie 2 Spaniels |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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woensdag 29 december 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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dinsdag 28 juli 2009 |
Laatste update
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woensdag 28 oktober 2009 |
En français, cette race se dit
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English Springer Spaniel |
In English, this breed is said
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English Springer Spaniel |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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English Springer Spaniel |
En español, esta raza se dice
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Springer Spaniel inglés |
Gebruik
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Blozen hond, Retriever. |
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Kort historisch overzicht
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Ras is van oude en zuivere oorsprong, de oudste van sportieve jachthonden; oorspronkelijke doel was het vinden en springen spel voor netto, valk of greyhound. Nu gebruikt om te vinden, flush en spel te halen voor het pistool. |
Algemeen totaalbeeld
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Symmetrically gebouwd, compact, sterk, vrolijk, actief. Hoogste op de been en spannendste in build van alle Britse land Spaniels. |
Belangrijke verhoudingen
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Vriendelijk, vrolijk karakter, gezeglijke. Verlegenheid of agressie hoogst ongewenst. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Schedel
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Van gemiddelde lengte, tamelijk breed, licht gewelfd, een stijging van snuit, het maken van een wenkbrauw of te stoppen, gedeeld door cannelures tussen ogen, sterven weg langs het voorhoofd naar occipitale bot dat niet prominent zou moeten zijn. |
Facial region
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Neus
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De neusgaten goed ontwikkeld. |
Voorsnuit
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Voorsnuit van evenredige lengte schedel, tamelijk breed en diep, goed gebeiteld onder de ogen. |
Lippen
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Vrij diepe en vierkant. |
Kiezen / tanden
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Sterke kaken, met een perfect, regelmatig en compleet schaargebit, dwz boventanden overlappen de ondertanden en staan recht in de kaken. |
Wangen
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Flat. |
Ogen
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Middelgroot, amandelvormig, niet uitpuilend, noch diepliggend, goed in (niet weergegeven haw), alert, vriendelijke uitdrukking. Donker hazelnoot. Lichte ogen ongewenst. |
Oren
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Lobulair, goede lengte en breedte, vrij dicht bij het hoofd, in lijn met de ogen. Mooi bevederd. |
Hals
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Goede lengte, sterk en gespierd, vrij van keelhuid, licht gebogen, taps toelopend naar het hoofd. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Sterk, niet te lang of te kort. |
Lendenpartij
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Gespierd, sterk met een lichte boog en goed gekoppeld. |
Borst
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Diepe, goed ontwikkeld. Goed gewelfde ribben. |
Staart
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Eerder gewoonlijk gecoupeerd. Gedokt: Stel laag, nooit boven de lijn van de rug. Goed ontwikkelde bevedering met levendige actie. Ongecoupeerd: Stel laag, nooit boven de lijn van de rug. Goed ontwikkelde bevedering met levendige actie. In evenwicht met de rest van de hond. |
Voorhand
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Algemeen
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Voorbenen recht en goed uitgebeend. |
Schouders
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Glooiend en goed ingedeeld. |
Ellebogen
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Goed ingesteld op het lichaam. |
Voormiddenvoet
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Sterk, flexibel. |
Achterhand
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Algemeen
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Achterpoten goed laag. |
Dijbeen
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Breed, gespierd, goed ontwikkeld. |
Knie
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Matig gebogen. |
Spronggewricht
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Matig gebogen. Grof hakken is ongewenst. |
Voeten
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Strak, compact, goed afgerond, met een sterke, volle pads. |
Gangwerk
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Strikt zijn eigen. Voorbenen swing recht vooruit vanaf de schouder, het gooien voeten goed naar voren in een makkelijk vrije manier. Spronggewricht goed rijden onder lichaam, volgende in lijn met de voorbenen. Bij langzame beweging kan een pacing stride typisch voor dit ras hebben. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Dicht, recht en weer weerstand, nooit grof. Matige bevedering op de oren, voorbenen, lichaam en hinquarters. |
Haarkleur
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Lever en wit, zwart en wit, of één van deze kleuren met tan aftekeningen. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Geschatte schofthoogte: 51 cm (20 ins). |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Defecten die leiden tot uitsluiting
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Agressief of schuw. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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De Engelse springerspaniël is waarschijnlijk de oudste vertegenwoordiger van de familie Spaniels, dat wil zeggen, Spaniels beoordeeld en gecorrigeerd door de Britten.
De naam Spaniel werpt duidelijk het probleem op van de Spaanse oorsprong van het ras, een kwestie waarover veel controversie is geschied en waarvan geen sprake is om hier terug te keren. Wat wel zeker is, is dat de Spaniels vanaf het einde van de Middeleeuwen erg aanwezig waren in Groot-Brittannië. Aan het einde van de 14e eeuw citeerde de dichter Chaucer de Spaniel, die hij op prijs stelde voor zijn aanhankelijke gedrag. Ongeveer twee eeuwen later, in 1570, nam dr. Johannes Caius de Spaniël op in zijn panorama van Britse honden door hem onder herenhonden te plaatsen. De wetenschapper drukte al zijn twijfels uit over de Iberische afkomst van de hond: "De gewone mensen noemen ze meestal spanielen", zei hij, alsof deze honden oorspronkelijk uit Spanje kwamen. "
De Spaniels werden al heel vroeg gebruikt door de heren in de jacht op jachtvogels, wat vaardigheden vereiste die de bloedhonden en andere gewone honden van Groot-Brittannië nog lang niet bezaten. En ze blonken uit in verschillende praktijken, in jachtnetten net als in valkerij of jagen met windhonden, wijdverspreid in het land. Heren waardeerden de vele talenten van de Spaniel des te meer omdat ze niet altijd over de middelen beschikten om grote en dure pakketten gewone honden te onderhouden.
Spaniels bleven lange tijd middelgrote honden, ondanks, ongetwijfeld, enkele lokale variaties. En van alle huidige soorten Spaniels is het zeker de Springer die het meest trouw is aan deze originele gestalte. Hij heeft ook de kleur van de jurk behouden, wit gespikkeld met bruin of rood, die Dr. Caius al beschreef. We ontmoeten voor de eerste keer de vermelding van de Springer of liever Springing Spaniel in het boek Markham, Hunter's Prevention, gepubliceerd in 1621. Sindsdien is de duurzaamheid van dit type hond altijd bevestigd, vooral door de illustraties van Philipp Reinagle , gepubliceerd in 1803 in The Sportsman Cabinet, die ons een hond laat zien die in elk opzicht lijkt op de moderne springerspaniël.
De situatie van Spaniels werd in de loop van de negentiende eeuw verstoord door de schijn van cynologie. Inderdaad, de specialisten begonnen de conformatie aan te passen van deze "jack-of-all-trades" -honden, die tot nu toe in alle fasen van de jacht werden gebruikt, voor elk type spel en ongeacht het terrein, omdat Het doel was om ze aan te passen voor meer gespecialiseerd gebruik.
Vroeger hadden de Britten echter weinig waakzaamheid of strengheid. Zoals Gérard Desjeux, voormalig voorzitter van de Franse Spanielclub, opmerkte, aarzelden zij niet om de verschillende variëteiten van Spaniels over te steken, die alleen konden worden onderscheiden door hun gewicht of hun kleuren; Onderscheidingen die niet noodzakelijkerwijs ondubbelzinnig waren, zoals het geval was met de eerste exemplaren genaamd Cockers, die werden gedefinieerd als veldspaniels van minder dan 28 pond: dus de puppy die als Cocker werd geclassificeerd, werd daarna een veldspaniel omdat zijn gewicht en statuur niet langer overeenkwamen met de kenmerken van de Cocker. Vervolgens werd de grootte van deze honden vastgesteld door te kruisen met de Toy Spaniels, die uitstekende onderwerpen vormden voor het besluipen van de houtsnip, zelfs het konijn, en dat was hoe we hem eindelijk zouden leren kennen. authentieke Cocker. Om de sporadische jagers te bevredigen, werden ook zware Spaniels gecreëerd, die erg populair waren bij gekroonde hoofden.
De Engelsen dachten er ook aan Spaniel een hond te maken. Haar goede en aanhankelijke karakter, haar zijdeachtige jurk en haar grootte predikten haar voor dit soort werk, en wat haar esthetiek betreft, ze was goed verfijnd voor de tentoonstellingen. Deze selectie bleek echter soms schadelijk, zoals het geval was met de veldspaniel, wiens fokkerij was gericht op de ontwikkeling van een Spaniel Basset, het zware lichaam en zeer lang: gepresenteerd in het verlengde, de buik van de dier raakte bijna de grond. Er was natuurlijk geen sprake van het gebruik van deze hond voor de jacht; dit nieuwe type interesseerde slechts een kleine kring van enthousiastelingen, tot het punt dat Field bijna verdwenen was.
De Springer zou echter zijn persoonlijkheid tussen de Spaniels niet langer bevestigen. Zijn lengte en gewicht waren nauwelijks veranderd en hij bleef uitsluitend een praktische jachthond, voordat hij, met de komst van veldproeven, een sporthond werd. Deze zeer originele specificiteit, de bron van het immense succes, is te danken aan het feit dat, vreemd genoeg, de race lang werd weggehouden van de showbanken, waar het uiteindelijk van profiteerde, want het presenteert zich aan ons met intact gebleven al zijn jachtkwaliteiten. In 1902 erkende de Kennel Club officieel het bestaan van de Engelse springer, en onderscheidde deze van de Welsh Springer (zelfs de geschiedenis van de Springers is niet zo eenvoudig.). Vanaf dat moment heeft de liefhebber van mooie honden hem eindelijk geëerd, en vandaag is de Engelse springer erg aanwezig in de tentoonstellingshond, terwijl hij de Cocker in de statistieken van geboorten over het Kanaal haakt, die zegt veel over zijn populariteit als huisdierhond.
In de Verenigde Staten verscheen de Springer voor het eerst in het midden van de 19e eeuw, maar de officiële oprichting dateert uit 1932. Sindsdien heeft het ras een eervolle carrière in het land gemaakt, zowel als een praktische jachthond als als een concurrent in veldproeven of als een plezierhond.
In Frankrijk is de Engelse springer dertig jaar beter bekend geworden, dankzij de activiteit van gepassioneerde fokkers die onderwerpen van uitstekende kwaliteit hebben geïmporteerd en grootgebracht die noch esthetiek, noch opleiding verwaarloosden op het werk.
Of je nu jager bent of niet, de trotse eigenaar van een Engelse springerspaniël kan zichzelf alleen feliciteren met het kiezen van een hond met zo'n prettig karakter. Vrolijk, actief, volgzaam, sociaal en coöperatief, de Springer is een van de meest plooibare en gemakkelijke honden bij honden. Hij begrijpt het snel en goed, net zoals hij onmiddellijk de wensen van zijn meester goedkeurt. Als hij minder aanlokkelijk lijkt dan een Cocker, is hij ook minder plagerig en eigenwijs dan hij is. Goede sportman, het is geen uitbundig dier of onderworpen aan een grote nervositeit, op voorwaarde dat het kan profiteren van een minimum aan lichaamsbeweging. Uitstekende metgezel, rust thuis, liefhebbende kinderen, zijn zachte en serene uiterlijk brengt perfect de balans van zijn temperament tot uitdrukking.
Het is natuurlijk als een jachthond dat de Springer vooral gewaardeerd wordt. Het uitzonderlijke uithoudingsvermogen is het resultaat van zijn robuuste en compacte samenstelling, die echter vrij blijft van zwaarte, wat de juiste verhouding tussen de grootte en het gewicht weerspiegelt. Hoewel de Springer strikt genomen geen specialist is, zijn zijn kwaliteiten toch bovengemiddeld voor alle fasen van de jacht. Hij is de zeer goede student, die kan concurreren met de beste in elk vak zonder ooit een middelmatige of gemiddelde beoordeling te krijgen. Slechts één discipline is hem vreemd: zoals alle Spaniels is de Springer geen hond.
Maar hij blinkt vooral uit in het spel, waar hij evenzeer op de voorgrond treedt door het gemak van zijn training als zijn passie of zijn smaak voor water. En als het een speciale vermelding verdient, is het zeker voor zijn vermogen om op moeilijk en gevarieerd terrein te werken. Geen enkele vorm van vegetatie, of het nu bosjes, bossen, braamstruiken of braakliggende terreinen zijn, kan het stoppen, net zo min als een hevige regen of een uitzonderlijke kou, maakt het niet uit wanneer hij aan het werk is.
De Engelse Springer-Spaniel is het vlaggenschip van de uitstekende familie van Spaniels en is het best in staat om de vergelijking met de beste jachthonden van vandaag te ondersteunen. Dit stelde, het kan ook geschikt zijn voor de jager zonder veel ervaring met training, die met minder gemak de onvergelijkbare volbloed zou behandelen waarvan de specialisten de waarde zouden hebben geprezen. Bovendien heeft deze hond in de loop der jaren een trouwe klantenkring opgebouwd. Met name de houtvangers houden hem hoog in het vaandel, zijn voorzichtigheid en veiligheid van de uitstraling worden zeer op prijs gesteld. |