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Terrier écossais
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Standard FCI Nº 73
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Origine
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Grande-Bretagne |
Traduction
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Prof. R. Triquet. Mise à jour : J. Mulholland / Version originale : (EN) |
Groupe
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Groupe 3 Terriers |
Section
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Section 2 Terriers de petite taille |
Epreuve
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Sans épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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lundi 18 octobre 1954 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mercredi 13 octobre 2010 |
Dernière mise à jour
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vendredi 15 juin 2012 |
In English, this breed is said
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Scottish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Schottischer Terrier |
En español, esta raza se dice
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Scottish Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Schotse Terrier |
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Bref aperçu historique
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The Scottish Terrier Club a été créé en 1882, un an après que le premier standard de la race ait été rédigé et juste trois ans après que le Capitaine Gordon Murray ait démarré la race telle que l’on le connaît aujourd’hui.
Il a été très soutenu par le fondateur et premier Chairman du Kennel Club, M. Sewallis Evelyn Shirley.
Pour le public, ce terrier à pattes courtes venant des Highlands, donne souvent l’image d’un écossais sévère mais, auprès de sa famille et amis, il est affectueux et joyeux. Cependant il réagira au moindre bruit, avec une attitude protectrice pour se préparer à défendre les siens. |
Aspect général
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| Chien trapu, d'une taille qui convient au travail sous terre (ce qui exclu les chiens ayant un poids excessif), aux membres courts, à l'allure vive et qui donne l'impression d'une grande puissance et d'une grande activité‚ sous un petit volume. La tête donne l'impression d'être longue pour un chien de cette taille. Très agile et actif malgré ses membres courts. |
Proportions importantes
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| Le crâne et le chanfrein sont de longueur égale. |
Comportement / caractère
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| Fidèle et attaché à son maître, plein de dignité, indépendant et peu démonstratif, mais courageux et très intelligent. Hardi, mais jamais agressif. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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Longue sans être disproportionnée par rapport à la taille du chien. Portée par un cou de longueur modérée dégageant de la classe. |
Crâne
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Sa longueur lui permet d'être d'une largeur suffisante tout en conservant un aspect étroit. Il est presque plat. |
Stop
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Léger, mais net entre le crâne et le chanfrein, juste au niveau des yeux. |
Région faciale
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Truffe
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Noire. Grande; de profil, la ligne qui va de la truffe au menton apparaît inclinée vers l'arrière. |
Museau
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Construit solidement, haut sur toute sa longueur. |
Mâchoires et dents
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Les dents sont grandes et présentent un articulé en ciseaux parfait, régulier et complet, c'est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les incisives inférieures dans un contact étroit et sont implantées d’aplomb par rapport aux mâchoires. |
Joues
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Les zygomatiques ne sont pas saillants. |
Yeux
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Yeux en amande, de couleur brun foncé, assez écartés, placés bien sous les sourcils; expression vive et intelligente. |
Oreilles
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Bien dessinées, de texture fine, pointues, droites et attachées au sommet du crâne, mais pas trop près l'une de l'autre. Les oreilles grandes ou dont la base est large sont de graves défauts. |
Cou
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| Musclé et de longueur moyenne dégageant de la classe. |
Corps
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Ligne du dessus
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La ligne supérieure du corps est droite et de niveau. |
Dos
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Proportionnellement court et très musclé. |
Rein
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Musclé et bien descendu. |
Poitrine
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Assez large et bien descendue entre les antérieurs. |
Côtes
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Côtes bien arrondies qui deviennent ensuite plus plates pour former une poitrine bien descendue ; elles s’étendent bien vers l'arrière. |
Flanc
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Les flancs sont puissants. |
Queue
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| De longueur moyenne pour donner au chien un équilibre général; épaisse à la base, elle va en s'amenuisant vers l'extrémité. Elle est portée droite ou légèrement courbée. |
Membres antérieurs
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Généralités
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Le poitrail est bien en avant des membres antérieurs. |
Epaules
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Longues, inclinées. |
Coudes
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Ne doivent être ni en dehors ni disposés sous le corps. |
Avant-bras
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Droits avec une bonne ossature. |
Métacarpe
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Droits. |
Pieds antérieurs
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De bonne taille, bons coussinets, doigts cambrés et serrés. Légèrement plus grands que les pieds postérieurs. |
Membres postérieurs
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Généralités
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D'une puissance remarquable pour la taille du chien. Fesses fortes et larges. |
Cuisses
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Bien descendues. |
Grassets
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Bien angulés. |
Métatarse
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Courts et forts, tournés ni vers l’intérieur ni vers l’extérieur. |
Pieds postérieurs
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De bonne taille, pourvus de bons coussinets. Les doigts sont bien cambrés et serrés; les pieds postérieurs sont légèrement plus petits que les antérieurs. |
Allures
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| Allure égale et sans contrainte, droit devant à l'arrière comme à l'avant. L'arrière donne l'impulsion et le mouvement uni de toute part. |
Robe
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Qualité du poil
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Poil double, serré contre le corps. Le sous-poil est court, dense et doux. Le poil de couverture est rêche, dense et dur (fil de fer). L'ensemble forme une protection à l'épreuve des intempéries. |
Couleur du poil
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Noir, froment ou bringé de n'importe quelle couleur. |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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De 25 à 28 cm |
Poids
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De 8,5 à 10,5 kg. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Défauts entrainant l’exclusion
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 Chien agressif ou peureux. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Les Français ne sont pas grands connaisseurs en Terriers. Tout au plus, si on leur demande d'en citer quelques races familières, à part le populaire Fox, ils ne manquent pas de nommer le Scottish Terrier (le Terrier Ecossais). Ils devraient pourtant penser auparavant au Cairn, au Westie ou à l'Airedale, qu'ils ont davantage l'occasion de croiser dans la rue.
Mais voilà: la forme très stylisée du Scottish (un rectangle pour le corps, d'où émerge seulement une queue pointant verticalement, et un autre rectangle pour la tête, surmonté d'oreilles triangulaires), noire de surcroît, se mémorise très facilement.
Cette silhouette devait fatalement inspirer un dessinateur : en l'occurrence, Pol Rab, dans les années trente, dont les facétieux Rie, Fox à poil dur tout blanc, et Raç, Scottish entièrement noir, ont acquis la célébrité. A un moment donné, Rac est pratiquement devenu le nom courant du Terrier Ecossais. Depuis lors, une étiquette de whisky a pris le relais pour qu'on n'oublie pas le Scottish. En passant du dessin humoristique à la publicité, la race a simplement changé de partenaire: elle se trouve maintenant associée à l'immaculé Westie. La marque de whisky en question prend soin de rappeler son origine spécifiquement écossaise. D'ailleurs, le Scottish, affectueusement dénommé « Scottie » par les Britanniques, s'appela un moment « Scotch Terrier ».
Cet animal, si singulier à tous égards (pas seulement pour son apparence), est-il très ancien? On ne saurait dire qu'il l'est vraiment, si l'on considère son appellation de Scottish Terrier, qui ne date que de 1887, ou sa silhouette typique et sa couleur noire, qui remontent au plus tôt à 1920.
Il n'y a pourtant pas de doute que les Terriers Ecossais font partie du paysage et des traditions des rudes Highlands depuis de nombreux siècles. Ce type de chien était déjà connu là-bas, à l'époque des Stuarts, pour le moins. Un Ecossais farceur a même affirmé que « le Scottish Terrier vivait dans les Highlands quand l'Europe subissait l'occupation romaine, et même, quand Abraham cheminait vers Canaan ».
Alors, comme pour la plupart des autres races canines, ce sont d'abord les qualités de travail des Terriers qui intéressaient: leur rôle était de chasser les renards, les blaireaux et les lapins, et ils devaient donc être assez petits pour s'introduire dans les terriers, avec de préférence un poil rude leur permettant de ne pas craindre les intempéries. Mais, surtout, il leur fallait se montrer courageux, pugnaces, mordants et d'une robustesse à toute épreuve.
On peut penser qu'il en existait différentes variétés, en fonction de préférences locales ou selon les hasards des accouplements. Pratiquement, il est impossible de s'y reconnaître entre les différentes descriptions et les diverses dénominations des Terriers d'Ecosse, qui se sont multipliées tout au long du XIXe siècle. Il est très difficile de déterminer quel fut l'ancêtre du Cairn, du Scottish, du Westie, du Skye et du Dandie Dinmont, ou même de dire si l'un d'entre eux peut faire figure de père de tous les autres. En effet, d'une part, ces races telles que nous les connaissons ne ressemblent que d'assez loin aux Terriers d'Ecosse de « l'ancien temps », de l'autre, il y a eu, durant la majeure partie du siècle dernier, une totale confusion dans leur dénomination. Ainsi le Scottish, avant de recevoir ce nom, a été connu comme Aberdeen Terrier, Highland Terrier, Skye Terrier, Cairn Terrier, Scotch Terrier et autres.
La tentation est donc grande de suivre l'avis de Thomas Bell, qui, en 1837, dans History of British Quadrupeds, ne distinguait que deux sortes de Terriers : d'un côté, les Terriers anglais, décrits comme assez hauts sur pattes (tels le Fox ou le Manchester), à poil lisse le plus souvent, fréquemment de couleur noir et feu; de l'autre côté, les Terriers écossais, bas sur pattes, d'apparence hirsute pour la plupart, et de teintes très diverses. Il faut cependant mentionner certains ouvrages contemporains de celui de Bell, qui ont tenté d'y voir plus clair. Thomson Gray, dans Dogs of Scot/and, paru en 1833, et Saint-John, dans Highlands Sports, de 1846, décrivent tous deux un type de Terrier qui correspond assez bien au Scottish, mais qu'ils nomment Skye Terrier. Cette dénomination aura d'ailleurs la vie dure puisque Hugh Dalziel lui-même, en 1881, l'emploie encore dans son monumental Britisli Dogs, en l'appliquant à un Terrier à poil dur. A ce sujet, The Sportsman 's Cabinet (1803) fournissait des explications intéressantes : selon leur auteur, le nom de Skye Terrier pouvait désigner trois types de Terriers, dont un était à poil dur. Cependant, l'illustration qu'il donnait de ce dernier fait davantage penser à un Irish Terrier qu'à un Scottish. L'origine du nom Aberdeen Terrier est plus facile à déterminer: elle provient de ce qu'un éleveur de cette ville, un certain Van Best (appelé dans quelques ouvrages Ian Best), connut au début du XIXe siècle une belle renommée pour son élevage de Terriers.
Il ne faudrait pas déduire de ce développement que le Scottish apparut d'abord dans l'île de Skye ou à Aberdeen. En effet, aucun indice sérieux ne permet de le faire naître dans un coin particulier de l’Ecosse, et ses premiers pas semblent s'être longtemps perdus dans les brumes.
En fait, ce petit chien n'a commencé à émerger que dans le dernier tiers du siècle dernier, et il nous invite alors à suivre ses traces. En 1868, il est présenté, sous le nom de Skye à poil dur, à l'exposition de Brighton, et, en 1876, à celle du Crystal Palace de Londres, il figure dans des classes spéciales. Un club se forme en 1882 pour promouvoir la race, sans que les cynophiles soient encore bien d'accord sur le nom à lui donner. Celui de Scottish Terrier ne sera réellement adopté qu'à la suite de l'édition de 1887 de l'exposition du Crystal Palace.
En ce qui concerne son aspect, les choses ne se clarifieront qu'en 1889 avec la publication du premier standard, rédigé sous la direction de deux éleveurs les plus réputés, Mac Brayne et Irvine. Les points de discussion n'ont pas manqué: ses oreilles qu'il devait porter droites ou semi-tombantes, son corps, plus ou moins allongé, ses aplombs. Sa couleur, en revanche, ne soulève pas de polémique : le Scottish n'est pas encore noir, mais bringé sur fond rouge, avec un masque noir. A vrai dire, si les bringeures sont très serrées, le chien peut paraître quasiment noir, surtout que, avec un poil dur, les zébrures ne se détachent guère. Plus tard, l'arrivée du Cairn puis celle du Westie obligeront les partisans des uns et des autres à préciser les particularités de chacun.
Quel était l'aspect du Scottish à la fin du siècle dernier? Une gravure du Stock Keeper, représentant un des premiers champions, Kilde, nous montre un chien très robuste, au corps modérément allongé; bien campé sur des membres droits et pas excessivement courts; son poil, de couleur foncée, n'est pas long, il est couché sur le corps mais paraît très dur; il forme une collerette jusque sur le poitrail, des franges aux fesses, ainsi qu'une barbe et des moustaches au museau. La queue est assez courte, portée en sabre, presque verticale, les oreilles sont bien érigées et pointues, mais petites. Le profane trouvera sans doute que ce Scottish-Ià ne ressemble que d'assez loin à celui qu'il connaît, mais le spécialiste saura bien voir, lui, que l'essentiel de sa morphologie ne s'est pas radicalement transformé depuis. Ce qui change tout, serait-on tenté de dire, c'est évidemment le toilettage, qui fait paraître la tête plus longue et les pattes plus courtes. Certes, mais ces deux caractéristiques sont aussi le résultat d'un élevage sélectif.
La silhouette tout en lignes droites du Scottish ne fut vraiment au point que dans le début des années vingt, époque qui fut aussi celle de ses premiers succès. En Grande-Bretagne, sa vogue allait culminer dans les années trente, le Kennel Club dénombrant le chiffre record de 4 531 naissances en 1935. Aux Etats-Unis, la race fut suffisamment nombreuse dès 1925 pour justifier la rédaction d'un standard « américain » (dont la différence essentielle se trouve au paragraphe poids, qui doit être inférieur). Le Scottish se fit remarquer également en Europe continentale, en particulier en France, où il semble qu'il soit arrivé un peu avant la Grande Guerre pour devenir réellement à la mode une quinzaine d'années plus tard.
A la mode, pour le Scottish, ne signifie pas excessivement répandu. « C'est le chien du monde élégant, de la grande ville, qu'on rencontre partout à Paris: dans les rues, sur les boulevards, au bois, dans les Grands Magasins, servant surtout de complément à l'élégance féminine », a pu écrire J. Dhers.
Bien sûr, un Scottish fut un faire-valoir tout à fait assorti à une robe de chez Jean Poiret. Mais le style dépouillé, aux angles vifs du chien écossais semble autant correspondre à l'art cubiste, à la fonctionnalité sobre de la décoration et du mobilier des années trente: il eût pu être dessiné par un Francis Jourdain pour évoluer dans les salons et bureaux que ce grand designer concevait. Il paraît douteux que les éleveurs et toiletteurs britanniques aient été à l'affût des courants artistiques de leur époque, qu'ils aient été inspirés par la muse qui soufflait leurs idées aux créateurs des années 1925-1935. Mais cette adéquation explique au moins le succès de la race, succès qui se prolongera bien après la Seconde Guerre mondiale. Il est vrai que le célèbre Fala, Scottish du président américain Roosevelt, est venu à point pour que les Anglo-Saxons n'oublient pas la race.
Curieux destin que celui de ce chien, petit mais formidablement puissant et courageux, né pour en découdre avec de petits fauves dans leurs sombres tanières, fouissant sans relâche la terre et la boue, déambulant des journées entières parmi les amas de rochers, et qui, soudain, a senti se déclencher en lui une métamorphose : près de cinquante plus tard, il était devenu ce chien chic qu'il n'a jamais cessé d'être depuis. Le Scottish est incontestablement une des plus fortes personnalités de la tribu des Terriers, qui ne manque pourtant pas de « têtes brûlées » et de « forts en gueule ». Ce n'est pas pour rien que, Outre-Manche, on lui a donné le surnom de « coq du Nord ».
Aucun autre chien ne paraît plus assuré, aussi empreint de dignité. Il semble toujours savoir ce qu'il veut et où il va, montrer un profond entêtement : on sent qu'il est totalement inutile de lui crier dessus, et plus encore de le frapper. Voilà de quoi il a l'air: un peu froid et dédaigneux, complètement snob, méfiant ou tout au moins indifférent à l'égard des étrangers (il est bon gardien à l'occasion). Certes, on peut lui trouver des allures un peu cocasses, lorsqu'il se déplace somme en glissant, qu'il trottine à l'économie, en bon Ecossais, mais personne n'aurait l'idée de se moquer de lui, tant il en impose, malgré sa petite taille. Dans le privé, ce chien indépendant et désinvolte, qui n'a peur de rien ni de personne, a une personnalité fort différente. Bien dans sa peau, il est d'une bonne humeur indéfectible. Ce gentleman, qui snobait les visiteurs, devient alors un gai luron, un vrai clown: espiègle, plein d'humour, expert en ruses pour parvenir à ses fins.
Il n'est pas un modèle d'obéissance, c'est sûr, mais il connaît fort bien les limites qu'il ne faut pas outrepasser. On doit seulement lui laisser le temps de se sortir honorablement de cette situation où il doit obtempérer. S'il n'a rien d'un automate ou d'un valet servile, ce n'est pas non plus un chien difficile à vivre. Il ne cherche nullement les conflits. Au contraire, cette assurance permet de le laisser tout seul à la maison sans qu'il s'affole et commette des dégâts. C'est également un chien qui s'adapte à tous les environnements, à la ville ou à la campagne, et sous tous les climats. Confident rêvé d'une personne seule, il sait écouter, rester calme, donner son affection sans devenir « collant» ou bruyant; il n'a pas son pareil pour égayer une maison vide tout en sachant se faire discret quand il le faut. Dans une maison avec des enfants, c'est le pitre qui participe à tous les jeux, mais qui sait se faire respecter par les petits diables : pas question de le considérer comme une peluche, il rappellera à l'ordre celui qui prétend lui tirer les oreilles.
Dans son costume tiré à quatre épingles, c'est un citadin pondéré qu'on peut emmener partout sans qu'il fasse d'esclandre. Il paraît avoir toujours vécu dans un intérieur très « cosy ». Mais laissez-lui l'occasion de chasser le mulot ou la taupe : en un rien de temps, il a jeté le frac aux orties, et on le retrouve crotté de la tête aux pieds. Ce seigneur joue au petit bourgeois et au paysan avec une égale facilité. Il convient sans doute aux maîtres dotés d'une certaine personnalité et qui aiment avoir en face d'eux un être spontané, franc, extraverti et joyeux. Avec le Scottish, ils trouvent « à qui parler », dans tous les sens de l'expression, mais il n'en résultera jamais de problèmes. Son apparence robuste, et même puissante, va de pair avec une santé sans faiblesse. Il ne souffre ni du froid ni de la chaleur. En outre, il sait faire la paix avec le chat de la maison.
Son toilettage (pour un chien de compagnie) n'est pas plus contraignant et fréquent que celui d'un Caniche, par exemple. Mais les méthodes à employer sont entièrement différentes: il doit être épilé (technique sans douleur) et non tondu. En le faisant passer tous les deux mois, environ, chez le toiletteur, ses maîtres auront l'assurance d'avoir un chien élégant et propre, qui ne laisse pas de poils sur le tapis ou sur le fauteuil (qu'il occupe dès qu'ils ont le dos tourné). |
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Scottish Terrier
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FCI standard Nº 73
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Origin
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Great Britain |
Group
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Group 3 Terriers |
Section
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Section 2 Small-sized Terriers |
Working
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Without working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Monday 18 October 1954 |
Publication of the official valid standard
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Wednesday 13 October 2010 |
Last update
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Monday 10 January 2011 |
En français, cette race se dit
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Terrier écossais |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Schottischer Terrier |
En español, esta raza se dice
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Scottish Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Schotse Terrier |
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Brief historical summary
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The Scottish Terrier Club was formed in 1882, a year after the first standard for the breed was drawn up, and just three years after the start of the breed as we know it today by Capt Gordon Murray. He was strongly supported by the founder and first chairman of the Kennel Club, Mr Sewallis Evelyn Shirley.
The public image of this short-legged terrier from the Highlands is often that of a dour Scot, but to his family and friends he is affectionate and cheerful although he will soon rouse himself at the slightest sound, with protectiveness as he prepares to guard his house and home. |
General appearance
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| Thick-set, of suitable size to go to ground, which would preclude dogs of excessive body weight, short-legged, alert in carriage and suggestive of great power and activity in small compass. Head gives impression of being long for size of dog. Very agile and active in spite of short legs. |
Important proportions
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| Skull and foreface of equal length. |
Behaviour / temperament
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| Loyal and faithful. Dignified, independent and reserved, but courageous and highly intelligent. Bold, but never aggressive. |
Head
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Cranial region
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Head
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Long without being out of proportion to size of dog. Carried on muscular neck of moderate length showing quality. |
Skull
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Nearly flat. Length of skull enabling it to be fairly wide and yet retain narrow appearance. |
Stop
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Slight but distinct stop between skull and foreface just in front of eye. |
Facial region
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Nose
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Black. Large, and, in profile, the line from nose towards chin appears to slope backwards. |
Muzzle
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Foreface strongly constructed and deep throughout. |
Jaws and teeth
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Teeth large with perfect and regular scissor bite, i.e. upper teeth closely overlapping the lower teeth and set square to the jaws. |
Cheeks
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Cheek bones not protruding. |
Eyes
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Almond-shaped, dark brown, fairly wide apart, well set under eyebrows with keen, intelligent expression. |
Ears
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Neat, fine texture, pointed, erect and set on top of skull but not too close together. Large, wide-based ears highly undesirable. |
Neck
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| Muscular and of moderate length showing quality. |
Body
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Topline
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Straight and level. |
Back
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Proportionately short and very muscular. |
Loin
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Muscular and deep. |
Chest
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Fairly broad and hung between forelegs. Well rounded ribs flattening to deep chest and carried well back. Powerfully coupling ribs to hindquarters. |
Tail
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| Moderate length giving general balance to dog, thick at root and tapering towards tip. Set on with upright carriage or slight bend. |
Forequarters
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Generality
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Brisket well in front of forelegs. |
Shoulders
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Long, sloping. |
Elbows
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Must not be out nor placed under body. |
Forearm
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Straight, well boned. |
Pastern
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Straight. |
Forefeet
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Good size, well padded, toes well arched and close-knit, forefeet slightly larger than hind feet. |
Hindquarters
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Generality
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Remarkably powerful for size of dog. Big, wide buttocks. |
Upper thigh
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Deep. |
Stifle
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Well bent. |
Hock
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Hocks short, strong, turning neither in nor out. |
Hind feet
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Good size, well padded, toes well arched and close-knit, hind feet slightly smaller than forefeet. |
Gait and movement
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| Smooth and free, straight both back and front with drive from behind and level gait throughout. |
Coat
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Hair
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Close-lying, double coat; undercoat short, dense and soft; outer coat harsh, dense and wiry, together making a weather-resisting covering. |
Colour
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Black, wheaten or brindle of any shade. |
Size and weight
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Height at withers
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25 – 28 cms. |
Weight
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8,5 - 10,5 kgs. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Disqualifying faults
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| Aggressive or overly shy dogs. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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The French are not great connoisseurs of Terriers. At most, if they are asked to name a few familiar breeds, apart from the popular Fox, they do not fail to name the Scottish Terrier (the Scottish Terrier). They should think before Cairn, Westie or Airedale, they have more opportunity to cross in the street.
But here it is: the very stylized form of the Scottish (a rectangle for the body, from which emerges only a tail pointing vertically, and another rectangle for the head, surmounted by triangular ears), black in addition, is memorized very easily.
This silhouette was bound to inspire a draftsman: in this case, Pol Rab, in the thirties, whose facetious Rie, fox-haired Fox all white, and Raç, Scottish all-black, acquired fame. At one point, Rac almost became the common name of the Scottish Terrier. Since then, a label of whiskey has taken over so that we do not forget the Scottish. Moving from cartoons to advertising, the breed has simply changed partners: it is now associated with the immaculate Westie. The whiskey brand in question takes care to recall its specific Scottish origin. Moreover, the Scottish, affectionately called "Scottie" by the British, was called a "Scotch Terrier" moment.
This animal, so singular in all respects (not only for its appearance), is it very old? We can not say that it really is, considering its name of Scottish Terrier, which dates only from 1887, or its typical silhouette and its black color, dating back to 1920 at the earliest.
There is no doubt that Scottish Terriers have been part of the landscape and traditions of the rugged Highlands for many centuries. This type of dog was already known there, at the time of the Stuarts, at least. A joker from Scotland even claimed that "the Scottish Terrier lived in the Highlands when Europe was under Roman occupation, and even when Abraham was on his way to Canaan".
Then, as for most other dog breeds, it was first the working qualities of the Terriers that interested: their role was to hunt foxes, badgers and rabbits, and they had to be small enough to get in. in the burrows, preferably with a rough coat allowing them not to fear the weather. But, above all, they had to be brave, pugnacious, biting and robust to any event.
It may be thought that there were different varieties, depending on local preferences or the chances of mating. Practically, it is impossible to recognize between the different descriptions and the various denominations of the Scottish Terriers, which multiplied throughout the nineteenth century. It is very difficult to determine who was the ancestor of Cairn, Scottish, Westie, Skye and Dandie Dinmont, or even to say whether one of them could be the father of all the others. In fact, on the one hand, these races as we know them only resemble far enough to the Scottish Terriers of the "old time", on the other hand, there was, during most of the last century, a total confusion in their denomination. Thus the Scottish, before receiving this name, was known as Aberdeen Terrier, Highland Terrier, Skye Terrier, Cairn Terrier, Scotch Terrier and others.
The temptation is therefore great to follow the advice of Thomas Bell, who, in 1837, in History of British Quadrupeds, distinguished only two kinds of Terriers: on one side, the English Terriers, described as rather high on legs (such the Fox or the Manchester), smooth-haired most often, frequently of black and fire color; on the other side, Scottish terriers, low-legged, mostly shaggy in appearance, and of very different hues. However, we must mention some contemporary works of Bell, who have tried to see more clearly. Thomson Gray, in 1833 in Dogs of Scot / and St. John in Highlands Sports, 1846, both describe a type of Terrier that corresponds quite well to Scottish, but which they call Skye Terrier. This denomination will also have a hard life since Hugh Dalziel himself, in 1881, still uses it in his monumental Britisli Dogs, applying it to a hard-haired Terrier. On this subject, The Sportsman's Cabinet (1803) provided interesting explanations: according to their author, the name of Skye Terrier could designate three types of Terriers, one of which was naked. However, the illustration he gave of the latter is more reminiscent of an Irish Terrier than a Scottish. The origin of the name Aberdeen Terrier is easier to determine: it comes from the fact that a breeder from this town, a certain Van Best (called in some Ian Best books), knew at the beginning of the 19th century a beautiful reputation for his breeding of Terriers.
It should not be inferred from this development that the Scottish first appeared on the Isle of Skye or Aberdeen. In fact, there is no serious clue to its birth in a particular corner of Scotland, and its first steps seem to have been lost for a long time in the mists.
In fact, this little dog only began to emerge in the last third of the last century, and he invites us to follow in his footsteps. In 1868 he was introduced as Bright-haired Skye at the Brighton Exhibition, and in 1876 at the Crystal Palace in London, he entered special classes. A club was formed in 1882 to promote the breed, without the dogs still agree on the name to give him. The Scottish Terrier will only be really adopted after the 1887 edition of the Crystal Palace exhibition.
As for its appearance, things will not be clarified until 1889 with the publication of the first standard, written under the direction of two most famous breeders, Mac Brayne and Irvine. The points of discussion were not lacking: his ears he had to wear straight or semi-drooping, his body, more or less elongated, his feet. Its color, however, does not raise controversy: the Scottish is not yet black, but brindle on a red background, with a black mask. In fact, if the brindle are very tight, the dog may look almost black, especially that, with a hard coat, the welts are hardly detached. Later, the arrival of the Cairn and the Westie will force the supporters of each other to specify the particularities of each.
What was the Scottish look at the end of the last century? An engraving of Stock Keeper, representing one of the first champions, Kilde, shows us a very robust dog with a moderately elongated body; well camped on straight limbs and not excessively short; his coat, dark in color, is not long, he is lying on the body but seems very hard; it forms a collar on the chest, fringes on the buttocks, and a beard and whiskers on the muzzle. The tail is quite short, carried in saber, almost vertical, the ears are well erected and pointed, but small. The profane will undoubtedly find that Scottish-Ia does not look that far enough to the one he knows, but the specialist will be able to see, he, that the bulk of his morphology has not changed radically since. What changes everything, one would be tempted to say, it is obviously the grooming, which makes appear the head longer and the legs shorter. Certainly, but these two characteristics are also the result of a selective breeding.
The silhouette in straight lines of the Scottish was really at the point that in the early twenties, which was also his first success. In Great Britain, its popularity would culminate in the thirties, the Kennel Club counting the record number of 4,531 births in 1935. In the United States, the race was large enough in 1925 to justify the drafting of a standard "American "(Whose essential difference is in the paragraph weight, which must be lower). The Scottish was also noticed in continental Europe, especially in France, where it seems that he arrived a little before the Great War to become really fashionable fifteen years later.
In fashion, for the Scottish, does not mean excessively widespread. "It is the dog of the elegant world, of the big city, which one meets everywhere in Paris: in the streets, on the boulevards, in the wood, in the department stores, serving mainly as a complement to the feminine elegance", could write J. Dhers.
Of course, a Scottish was a stooge very much in line with a Jean Poiret dress. But the stripped-down style, with the sharp angles of the Scottish dog seems to correspond as much to the cubist art, to the sober functionality of the decoration and the furniture of the Thirties: it could have been designed by a Francis Jourdain to evolve in the living rooms and offices that this great designer conceived. It seems doubtful that British breeders and groomers were on the lookout for the artistic currents of their time, whether they were inspired by the muse that blew their ideas to the creators of the years 1925-1935. But this adequacy explains at least the success of the breed, a success that will continue long after the Second World War. It is true that the famous Fala, Scottish of the American president Roosevelt, came to a point so that the Anglo-Saxons do not forget the race.
Curious fate as that of this dog, small but extraordinarily powerful and courageous, born to fight with little wild beasts in their dark dens, burrowing relentlessly the earth and the mud, wandering whole days among the piles of rocks, and who, Suddenly, he felt a metamorphosis in himself: almost fifty years later, he had become that chic dog he has never ceased to be since. The Scottish is undoubtedly one of the strongest personalities of the tribe of the Terriers, which does not lack however "heads burned" and "strong in mouth". It is not for nothing that, across the Channel, it has been given the nickname "rooster North".
No other dog seems more secure and dignified. He always seems to know what he wants and where he goes, to show a deep stubbornness: one feels that it is totally useless to shout at him, and even more to hit him. This is what he looks like: a little cold and disdainful, completely snobbish, suspicious or at least indifferent to strangers (he is a good guard on occasion). Certainly, we can find him a little funny, when he moves sum slippery, he trots to the economy, good Scottish, but nobody would have the idea to make fun of him, as he imposes, despite its small size. In the private, this independent and casual dog, who is not afraid of anything or anyone, has a very different personality. Good in his skin, he is in a good mood unfailing. This gentleman, who snubbed visitors, then becomes a cheerful luron, a real clown: mischievous, full of humor, expert in ruses to achieve his ends.
He is not a model of obedience, that's for sure, but he knows very well the limits that must not be exceeded. We must only give him the time to honorably leave this situation where he must obey. If he is not an automaton or a servile servant, he is not a dog difficult to live with. He does not seek conflicts. On the contrary, this insurance allows him to leave him alone at home without him panicking and committing damage. It is also a dog that adapts to all environments, in the city or in the countryside, and in all climates. Confident dreamed of a single person, he can listen, stay calm, give affection without becoming "sticky" or noisy; he has no equal to brighten an empty house while knowing how to be discreet when necessary. In a house with children, it is the clown who participates in all games, but who knows how to be respected by the little devils: no question of considering it as a stuffed animal, he will call to order the one who claims to shoot him ears.
In his well-dressed outfit, he is a weighted city dweller who can be taken everywhere without making a mess. He seems to have always lived in a very "cozy" interior. But give him the opportunity to hunt the field mouse or the mole: in no time at all, he threw the sting to the nettles, and found it muddy from head to toe. This lord plays the petty bourgeois and the peasant with equal ease. It is probably appropriate for teachers with a certain personality and who like to have in front of them a spontaneous, frank, extrovert and happy. With the Scottish, they find "who to talk to" in every sense of the word, but there will never be problems. Its robust, even powerful appearance goes hand-in-hand with unhealthy health. He does not suffer from cold or heat. In addition, he knows how to make peace with the cat of the house.
His grooming (for a pet dog) is no more restrictive and frequent than that of a Poodle, for example. But the methods to be used are entirely different: it must be epilated (technique without pain) and not shorn. By passing it every two months, at the groomer, his teachers will be sure to have a sleek and clean dog, which leaves no hair on the carpet or on the chair (which he occupies as soon as they have their back turned). |
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Schottischer Terrier
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FCI-Standard Nº 73
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Ursprung
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Grossbritannien |
Übersetzung
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Frau Wiebke Steen, ergänzt & überarbeitet, Christina Bailey / Offizielle Originalsprache (EN) |
Gruppe
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Gruppe 3 Terrier |
Sektion
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Sektion 2 Niederläufige Terrier |
Arbeitsprüfung
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Ohne Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Montag 18 Oktober 1954 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Mittwoch 13 Oktober 2010 |
Letzten Aktualisierung
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Freitag 03 Februar 2012 |
En français, cette race se dit
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Terrier écossais |
In English, this breed is said
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Scottish Terrier |
En español, esta raza se dice
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Scottish Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Schotse Terrier |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Der Schottische Terrier Club wurde im Jahr 1882, ein Jahr nach dem der erste Standard geschrieben war und nur drei Jahre nach dem Start dieser Rasse wie wir sie heute kennen, von Capt. Gordon Murray gegründet. Er wurde von dem Gründer und ersten Vorsitzenden des Kennel Club’s Mr Sewallis Evelyn Shirley stark unterstützt.
Das allgemeine Bild dieses kurzbeinigen Terrier’s von den Hochländern ist sehr oft das eines mürrischen Schotten’s, aber für seine Familie und Freunde ist er anhänglich und lustig, trotzdem schnell bereit sich beim kleinsten Geräusch beschützend zu erheben und sein Haus und Heim zu bewachen. |
Allgemeines erscheinungsbild
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| Untersetzter Hund, von seiner Grösse für die Bauarbeit geeignet, was Hunde mit übermässigem Gewicht ausschliesst, kurzläufig, aufmerksame Haltung, lässt erkennen, über wieviel Kraft und Behendigkeit er trotz seiner geringen Masse verfügt. Kopf erscheint lang im Verhältnis zur Grösse des Hundes. Flink und aktiv trotz seiner kurzen Gliedmassen. |
Wichtige proportionen
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| Schädel und Vorgesicht von gleicher Länge. |
Verhalten / charakter (wesen)
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| Treu und zuverlässig, würdevoll, unabhängig und zurückhaltend, aber mutig und hochintelligent. Unerschrocken, aber niemals aggressiv. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Lang, jedoch im richtigen Verhältnis zur Grösse des Hundes. Auf einem gut bemuskelten Hals von mässiger Länge getragen, Qualität zeigend. |
Schädel
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Nahezu flach. Die Schädellänge ermöglicht eine angemessene Breite, lässt aber dadurch den Oberkopf trotzdem schmal erscheinen. |
Stop
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Leichter, jedoch deutlicher Stop zwischen Schädel und Vorgesicht unmittelbar vor den Augen. |
Facial region
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Nasenschwamm
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Schwarz. Gross; die Linie der Nase erscheint von der Seite gesehen zum Kinn nach hinten verlaufend. |
Fang
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Vorgesicht stark und durchwegs tief. |
Kiefer / Zähne
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Grosse Zähne mit perfektem, regelmässigem Scherengebiss, wobei die obere Schneidezahnreihe ohne Zwischenraum über die untere greift und die Zähne senkrecht im Kiefer stehen. |
Wangen
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Jochbein nicht hervortretend. |
Augen
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Mandelförmig, dunkelbraun, ziemlich weit auseinanderliegend und gut tief unter den Augenbrauen gebettet, mit kühnem, intelligentem Ausdruck. |
Ohren
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Zierlich, dünne Struktur, spitz, aufrecht getragen; hoch am Schädel und nicht zu dicht beieinander angesetzt. Grosse, am Ansatz breite Ohren sind höchst unerwünscht. |
Hals
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| Kräftig und gemässigt lang, Qualität zeigend. |
Körper
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Obere Profillinie
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Gerade und eben. |
Rücken
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Verhältnismässig kurz und sehr muskulös. |
Lenden
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Kräftig und tief. |
Brust
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Ziemlich breit und zwischen den Vorderläufen hängend. Die gut gewölbten Rippen flachen zu einer tiefen Brust ab und reichen weit nach hinten zurück. Kraftvolle Verbindung zwischen dem Rippenkorb und der Hinterhand. |
Rute
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| Mittellang, um den Hund ausgewogen erscheinen zu lassen. Dick am Ansatz und sich zur Spitze verjüngend. Hochangesetzt, aufrecht oder leicht gebogen getragen. |
Vorderhand
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Allgemeines
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Brustkorb gut vor den Vorderläufen liegend. |
Schultern
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Lang, abfallend. |
Ellenbogen
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Dürfen weder ausgedreht werden noch unter dem Körper plaziert sein. |
Unterarm
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Gerade, gute Knochenstärke. |
Vordermittelfuss
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Aufrecht. |
Vorderpfoten
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Gute Grösse, gut gepolsterte Ballen, Zehen schön gebogen und fest geschlossen. Vorderpfoten etwas grösser als die Hinterpfoten. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Bemerkenswert kräftig für die Grösse des Hundes. Kräftige, breite Keulen. |
Oberschenkel
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Tiefreichend. |
Knie
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Gut gewinkelt. |
Sprunggelenk
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Hacken kurz, kräftig, weder nach innen noch nach aussen gerichtet. |
Hinterpfoten
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Gute Grösse, gut gepolsterte Ballen, Zehen schön gebogen und fest geschlossen. Hinterpfoten etwas kleiner als die Vorderpfoten. |
Gangwerk
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| Flüssig und frei, die Läufe der Vor- und Hinterhand bewegen sich mit gutem Schub und gutem Vortritt geradeaus. |
Coat
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Haar
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Fest anliegendes, doppeltes Haarkleid; Unterhaar kurz dicht und weich; Deckhaar rauh, dicht und drahtig, beides zusammen ergibt eine wetterabweisende (Schutz-) decke. |
Farbe
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Schwarz, weizenfarben oder gestromt in jeder Schattierung. |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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25 - 28 cm. |
Gewicht
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8,5 - 10, 5 kg. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Disqualifizierende fehler
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| Aggressive und übermässig ängstliche Hunde. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Die Franzosen sind keine großen Kenner von Terriern. Allenfalls wenn sie gebeten werden, einige bekannte Rassen zu nennen, außer dem populären Fox, versäumen sie es nicht, den Scottish Terrier (den Scottish Terrier) zu nennen. Sie sollten vor Cairn, Westie oder Airedale denken, sie haben mehr Gelegenheit, auf der Straße zu durchqueren.
Aber hier ist es: die sehr stilisierte Form des Schottischen (ein Rechteck für den Körper, aus dem nur ein senkrecht zeigender Schwanz hervortritt, und ein weiteres Rechteck für den Kopf, bekrönt von dreieckigen Ohren), schwarz dazu, ist sehr leicht auswendig gelernt.
Diese Silhouette sollte einen Zeichner inspirieren: In diesem Fall erwarb Pol Rab, in den dreißiger Jahren, dessen witzige Rie, Fuchs mit allen weißen Haaren, und Raç, schottisch ganz schwarz, die Berühmtheit. An einem Punkt wurde Rac fast der allgemeine Name des schottischen Terriers. Seither hat sich ein Whisky-Label durchgesetzt, damit wir die Schotten nicht vergessen. Von Cartoons zu Werbung wechselnd, hat die Rasse einfach ihre Partner gewechselt: Sie ist jetzt mit der makellosen Westie verbunden. Die betreffende Whisky-Marke erinnert sich an ihre spezifische schottische Herkunft. Außerdem wurde der Scottish, der von den Briten liebevoll "Scottie" genannt wurde, als "Scotch Terrier" -Moment bezeichnet.
Dieses Tier, das in jeder Hinsicht so einzigartig ist (nicht nur wegen seiner Erscheinung), ist es sehr alt? Wir können nicht sagen, dass es wirklich ist, wenn man bedenkt, dass der Name Scottish Terrier nur aus dem Jahr 1887 stammt oder seine typische Silhouette und seine schwarze Farbe, die frühestens im Jahr 1920 entstanden ist.
Es besteht kein Zweifel, dass schottische Terrier seit vielen Jahrhunderten Teil der Landschaft und Traditionen der zerklüfteten Highlands sind. Diese Art von Hund war dort schon zur Zeit der Stuarts bekannt. Ein Joker aus Schottland behauptete sogar, dass "der schottische Terrier in den Highlands lebte, als Europa unter römischer Besatzung stand, und sogar als Abraham auf dem Weg nach Kanaan war".
Wie bei den meisten anderen Hunderassen interessierten sich zunächst die Arbeitseigenschaften der Terrier: Ihre Aufgabe war es, Füchse, Dachse und Hasen zu jagen, und sie mussten klein genug sein, um eingeführt zu werden in den Baugruben, vorzugsweise mit einem rauhen Mantel, der ihnen erlaubt, das Wetter nicht zu fürchten. Vor allem aber mussten sie tapfer, streitlustig, beißend und robust sein.
Es kann angenommen werden, dass es verschiedene Sorten gab, abhängig von lokalen Präferenzen oder den Chancen einer Paarung. Praktisch ist es unmöglich, zwischen den verschiedenen Beschreibungen und den verschiedenen Bezeichnungen der schottischen Terrier zu erkennen, die sich im Laufe des neunzehnten Jahrhunderts vervielfachten. Es ist sehr schwierig zu bestimmen, wer der Vorfahre von Cairn, Scottish, Westie, Skye und Dandie Dinmont war, oder sogar zu sagen, ob einer von ihnen der Vater aller anderen sein könnte. Auf der einen Seite ähneln diese Rassen, wie wir sie kennen, nur weit genug den schottischen Terriern der "alten Zeiten", auf der anderen Seite gab es während der meisten Zeit letztes Jahrhundert, eine totale Verwirrung in ihrer Bezeichnung. So war der Schotte, bevor er diesen Namen erhielt, als Aberdeen Terrier, Highland Terrier, Skye Terrier, Cairn Terrier, Scotch Terrier und andere bekannt.
Die Versuchung ist daher großartig, dem Rat von Thomas Bell zu folgen, der 1837 in der Geschichte der britischen Vierfüßler nur zwei Arten von Terriern unterschieden hat: auf der einen Seite die englischen Terrier, die als ziemlich hoch auf Beinen beschrieben werden (z der Fuchs oder das Manchester), am häufigsten glatthaarig, häufig von der schwarzen und Feuerfarbe; auf der anderen Seite, schottische Terrier, niedrigbeinig, meist struppig im Aussehen und von sehr unterschiedlichen Farben. Allerdings müssen wir einige zeitgenössische Arbeiten von Bell erwähnen, die versucht haben, klarer zu sehen. Thomson Grey, 1833 in Dogs of Scot / und St. John in Highlands Sports, 1846, beschreiben beide eine Art Terrier, die ziemlich gut zu schottischen entspricht, die sie aber Skye Terrier nennen. Diese Bezeichnung wird auch ein hartes Leben haben, seit Hugh Dalziel selbst, 1881, es immer noch in seinen monumentalen Britisli-Hunden verwendet und es auf einen harthaarigen Terrier anwendet. Zu diesem Thema lieferte The Sportsman's Cabinet (1803) interessante Erklärungen: Laut ihrem Autor könnte der Name des Skye Terriers drei Arten von Terrier bezeichnen, von denen einer nackt war. Die Darstellung des letzteren erinnert jedoch eher an einen irischen Terrier als an einen schottischen. Die Herkunft des Namens Aberdeen Terrier ist leichter zu bestimmen: Es kommt von der Tatsache, dass ein Züchter aus dieser Stadt, ein gewisser Van Best (in einigen Ian Best Werken genannt), zu Beginn des XIX. Jahrhunderts einen schönen Ruf für seine Zucht kannte von Terriern.
Aus dieser Entwicklung sollte nicht geschlossen werden, dass die schottischen zuerst auf der Isle of Skye oder Aberdeen erschienen. Tatsächlich gibt es keinen ernsthaften Hinweis auf seine Geburt in einer bestimmten Ecke von Schottland, und seine ersten Schritte scheinen lange Zeit in den Nebeln verloren gegangen zu sein.
Tatsächlich tauchte dieser kleine Hund erst im letzten Drittel des letzten Jahrhunderts auf und er lädt uns ein, in seine Fußstapfen zu treten. 1868 wurde er als Bright-haired Skye bei der Brighton Exhibition vorgestellt, und 1876 trat er im Crystal Palace in London in spezielle Klassen ein. Ein Club wurde 1882 gegründet, um die Rasse zu fördern, ohne dass die Hunde sich noch auf den Namen einigen würden, um ihn zu geben. Der Scottish Terrier wird erst nach der 1887er Ausgabe der Crystal Palace Ausstellung angenommen.
Was sein Aussehen betrifft, so werden die Dinge erst 1889 mit der Veröffentlichung des ersten Standards geklärt, der unter der Leitung von zwei der berühmtesten Züchter, Mac Brayne und Irvine, geschrieben wurde. Die Diskussionspunkte fehlten nicht: seine Ohren musste er gerade oder halb hängend tragen, sein Körper mehr oder weniger länglich, seine Füße. Seine Farbe wirft jedoch keine Kontroversen auf: Der Schotte ist noch nicht schwarz, sondern auf einem roten Hintergrund mit einer schwarzen Maske gestromt. In der Tat, wenn die gestromt sind sehr eng, kann der Hund fast schwarz aussehen, vor allem, dass, mit einem harten Mantel, die Striemen sind kaum gelöst. Später wird die Ankunft der Cairn und der Westie die Unterstützer von einander zwingen, die Besonderheiten von jedem zu spezifizieren.
Was war der schottische Blick am Ende des letzten Jahrhunderts? Eine Gravur von Stock Keeper, der einen der ersten Champions, Kilde, darstellt, zeigt uns einen sehr robusten Hund mit einem mäßig verlängerten Körper; gut auf geraden Gliedmaßen gelagert und nicht zu kurz; sein Mantel, dunkel in der Farbe, ist nicht lang, er liegt auf dem Körper, scheint aber sehr hart; es bildet einen Kragen auf der Brust, Fransen auf dem Gesäß und einen Bart und Schnurrhaare auf der Schnauze. Der Schwanz ist ziemlich kurz, getragen in Säbel, fast vertikal, die Ohren sind gut aufgestellt und spitz, aber klein. Der Profane wird zweifellos feststellen, dass Scottish-Ia nicht so weit ausschaut wie der, den er kennt, aber der Spezialist wird sehen können, dass sich der Großteil seiner Morphologie seither nicht radikal verändert hat. Was alles verändert, wäre man versucht zu sagen, es ist offensichtlich die Pflege, die den Kopf länger und die Beine kürzer erscheinen lässt. Sicher, aber diese beiden Eigenschaften sind auch das Ergebnis einer selektiven Zucht.
Die Silhouette in gerader Linie der Schotten war wirklich an dem Punkt, dass in den frühen zwanziger Jahren auch sein erster Erfolg war. In Großbritannien würde seine Popularität in den dreißiger Jahren gipfeln, der Kennel Club zählte die Rekordzahl von 4.531 Geburten im Jahr 1935. In den Vereinigten Staaten war das Rennen groß genug im Jahr 1925, um die Ausarbeitung eines Standards "American "(Wessen wesentlicher Unterschied ist das Absatzgewicht, das niedriger sein muss). Der Schotte wurde auch in Kontinentaleuropa bemerkt, besonders in Frankreich, wo er anscheinend kurz vor dem Ersten Weltkrieg erschien, um fünfzehn Jahre später in Mode zu kommen.
In der Mode, für die Schotten, bedeutet das nicht übermäßig verbreitet. "Es ist der Hund der eleganten Welt, der großen Stadt, die man überall in Paris trifft: in den Straßen, auf den Boulevards, im Wald, in den Kaufhäusern, die hauptsächlich als Ergänzung der weiblichen Eleganz dienen", könnte J. Dhers schreiben.
Natürlich war ein Schotte ein Handlanger, der sehr gut zu einem Kleid von Jean Poiret passte. Aber der reduzierte Stil mit den scharfen Winkeln des schottischen Hundes scheint der kubistischen Kunst ebenso zu entsprechen wie der nüchternen Funktionalität der Dekoration und der Möbel der dreißiger Jahre: Sie könnte von einem Francis Jourdain entworfen worden sein, um sich in den Wohnzimmern und Büros zu entwickeln das hat dieser großartige Designer konzipiert. Es scheint zweifelhaft zu sein, dass britische Züchter und Pfleger nach den künstlerischen Strömungen ihrer Zeit Ausschau hielten, ob sie von der Muse inspiriert waren, die ihre Ideen den Schöpfern der Jahre 1925-1935 zuwarf. Aber diese Angemessenheit erklärt zumindest den Erfolg der Rasse, ein Erfolg, der noch lange nach dem Zweiten Weltkrieg anhält. Es ist wahr, dass der berühmte Fala, Schotte des amerikanischen Präsidenten Roosevelt, zu einem Punkt kam, so dass die Angelsachsen das Rennen nicht vergessen.
Seltsames Schicksal wie das dieses Hundes, klein, aber ungeheuer mächtig und mutig, geboren, um mit kleinen wilden Tieren in ihren dunklen Höhlen zu kämpfen, unerbittlich die Erde und den Schlamm zu graben, ganze Tage zwischen den Steinhaufen zu wandern, und wer, Plötzlich fühlte er eine Metamorphose in sich: fast fünfzig Jahre später war er der schicke Hund geworden, den er seitdem nie mehr verlassen hat. Der Schotte gehört zweifellos zu den stärksten Persönlichkeiten des Stammes der Terrier, denen es jedoch nicht an "verbrannten Köpfen" und "stark im Mund" mangelt. Es ist nicht umsonst, dass es über den Kanal den Spitznamen "Hahn North" erhielt.
Kein anderer Hund scheint sicherer und würdevoller. Er scheint immer zu wissen, was er will und wohin er geht, um eine tiefe Sturheit zu zeigen: man fühlt, dass es völlig nutzlos ist, ihn anzuschreien und noch mehr, ihn zu schlagen. So sieht er aus: ein bisschen kalt und verächtlich, völlig snobistisch, verdächtig oder zumindest gleichgültig gegenüber Fremden (gelegentlich ist er ein guter Wächter). Sicher, wir können ihn ein wenig komisch finden, wenn er sich schlüpfrig bewegt, trottet er in die Wirtschaft, gute Schotten, aber niemand hätte die Idee, sich über ihn lustig zu machen, wie er auferlegt, trotz seiner geringen Größe. Im privaten Bereich hat dieser unabhängige und zwanglose Hund, der vor nichts und niemandem Angst hat, eine ganz andere Persönlichkeit. Gut in seiner Haut, ist er gut gelaunt. Dieser Gentleman, der die Besucher brüskiert, wird dann zum fröhlichen Luron, zum echten Clown: schelmisch, humorvoll, Routinier, um seine Ziele zu erreichen.
Er ist kein Modell des Gehorsams, das ist sicher, aber er kennt sehr gut die Grenzen, die nicht überschritten werden dürfen. Wir müssen ihm nur die Zeit geben, diese Situation ehrenhaft zu verlassen, wo er gehorchen muss. Wenn er kein Automat oder Diener ist, ist er kein Hund, mit dem es schwer zu leben ist. Er sucht keine Konflikte. Im Gegenteil, diese Versicherung erlaubt es ihm, ihn in Ruhe zu lassen, ohne dass er in Panik gerät und Schaden anrichtet. Es ist auch ein Hund, der sich an alle Umgebungen anpasst, in der Stadt oder auf dem Land und in allen Klimazonen. Zuversichtlich geträumt von einer einzelnen Person, kann er zuhören, ruhig bleiben, Zuneigung geben, ohne "klebrig" oder laut zu werden; Er ist nicht in der Lage, ein leeres Haus zu erhellen und dabei zu wissen, wie diskret es sein kann, wenn es nötig ist. In einem Haus mit Kindern ist es der Clown, der an allen Spielen teilnimmt, aber wer weiß, wie man von den kleinen Teufeln respektiert wird: keine Frage, es als ein Stofftier zu betrachten, wird er rufen, um denjenigen zu bestellen, der behauptet, ihn zu erschießen die Ohren.
In seinem gut gekleideten Outfit ist er ein gewichteter Stadtbewohner, der überall hin mitgenommen werden kann, ohne Unordnung zu stiften. Er scheint immer in einem sehr "gemütlichen" Interieur gelebt zu haben. Aber geben Sie ihm die Gelegenheit, die Feldmaus oder den Maulwurf zu jagen: in kürzester Zeit warf er den Stich in die Brennnesseln und fand ihn von Kopf bis Fuß schlammig. Dieser Herr spielt den Kleinbürger und den Bauern mit gleicher Leichtigkeit. Es ist wahrscheinlich für Lehrer mit einer bestimmten Persönlichkeit geeignet, die gerne spontan, offen, extrovertiert und glücklich vor sich haben. Mit den Schotten finden sie im wahrsten Sinne des Wortes "mit wem zu reden", aber es wird nie Probleme geben. Sein robustes, sogar kraftvolles Aussehen geht Hand in Hand mit ungesunder Gesundheit. Er leidet nicht unter Kälte oder Hitze. Außerdem versteht er es, mit der Katze des Hauses Frieden zu schließen.
Seine Fellpflege (für einen Hund) ist nicht restriktiver und häufiger als die eines Pudels. Aber die zu verwendenden Methoden sind völlig verschieden: Sie müssen epiliert (Technik ohne Schmerz) und nicht geschoren werden. Wenn sie alle zwei Monate beim Pistenfahrzeug vorbeikommen, werden seine Lehrer sicher sein, einen schnittigen und sauberen Hund zu haben, der keine Haare auf dem Teppich oder auf dem Stuhl zurücklässt (den er so bald wie besetzt) sie haben ihren Rücken gedreht). |
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Scottish Terrier
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FCI Standard Nº 73
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Origen
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Gran Bretaña |
Traducción
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Brígida Nestler / Versión original : (EN)
Supervisión Técnica : Miguel Ángel Martínez |
Grupo
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Grupo 3 Terriers |
Sección
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Sección 2 Terriers de talla pequeña |
Prueba de trabajo
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Sin prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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lunes 18 octubre 1954 |
Publicación del estándar oficial válido
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miércoles 13 octubre 2010 |
Última actualización
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lunes 10 enero 2011 |
En français, cette race se dit
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Terrier écossais |
In English, this breed is said
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Scottish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Schottischer Terrier |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Schotse Terrier |
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Breve resumen historico
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El Club del Scottish Terrier se formó en el año 1882 y un año después se delineó el primer estándar de la raza. Tres años más tarde, la raza comenzó a formarse, tal como la conocemos en la actualidad, por el Capitán Gordon Muray. Fue fuertemente sostenida por su fundador y primer presidente del Kennel Club, Mr. Sewallis Evelyn Shirley.
La imagen pública de este terrier de Highland, de extremidades cortas, es muchas veces la de un adusto escocés, pero para su familia y amigos es afectivo y alegre aunque atento al ruido más leve con instinto protector de su hogar. |
Aspecto general
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| Es un perro compacto, de tamaño apropiado para caza bajo tierra que debe excluir perros de excesivo peso. Sus miembros son cortos; de porte alerta, presenta una imagen de gran potencia y actividad en un volumen reducido. La cabeza da la impresión de ser larga en comparación con la talla del perro. Es muy ágil y activo a pesar de sus miembros cortos. |
Proporciones importantes
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| El cráneo y el hocico tienen la misma longitud. |
Temperamento / comportamiento
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| Es un perro fiel, leal, noble, independiente y reservado, pero valiente y muy inteligente. Osado, pero nunca agresivo. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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Larga pero proporcional al tamaño del perro. Porte sobre un cuello musculoso de largo moderado, mostrando calidad. |
Cráneo
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El largo del cráneo debe permitirle bastante anchura, aunque manteniendo la apariencia de ser estrecho. El cráneo debe ser casi plano. |
Depresión naso-frontal (stop)
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Leve, pero visible, entre cráneo y hocico, justo a la altura de los ojos. |
Facial region
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Trufa
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Negra. Larga; de perfil la línea que va desde la nariz hacia el mentón parece descender hacia atrás. |
Hocico
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Debe ser fuerte y profundo en toda su extensión. |
Belfos
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No deben ser prominentes. |
Mandíbulas / Dientes
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Dientes grandes, con mordida en tijera perfecta y completa, es decir que la cara interna de los incisivos superiores esté en contacto estrecho con la cara externa de los incisivos inferiores y los dientes deben ser implantados en ángulo recto en las mandíbulas. |
Ojos
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De forma almendrada, de color castaño oscuro, colocados bastante separados entre sí y bien debajo de las cejas con una expresión aguda e inteligente. |
Orejas
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Limpias, de textura fina, puntiagudas, erectas y de implantación arriba en el cráneo, pero no muy juntas entre sí. Orejas grandes y anchas en la base son muy indeseables. |
Cuello
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| Musculoso y de largo moderado mostrando calidad. |
Cuerpo
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Línea superior
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La línea superior del cuerpo es recta y nivelada. |
Espalda
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Proporcionalmente corta y muy musculosa. |
Lomo
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Musculoso y profundo. |
Pecho
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Algo ancho suspendido entre las extremidades anteriores. Costillas bien redondeadas y colocadas bien hacia atrás aplanándose para dar profundidad al pecho. El tórax vigorosamente acoplado a los miembros posteriores. |
Cola
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| Debe ser de largo moderado confiriendo al perro una armonía general. Gruesa en su implantación y adelgazándose hacia la punta, llevada vertical o con una ligera curvatura. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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El tórax es bien colocado en frente de los miembros anteriores. |
Hombro
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Largos e inclinados. |
Codo
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No debe girarse hacia afuera ni ser colocado debajo del cuerpo. |
Antebrazo
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Derecho con buena osamenta. |
Metacarpo
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Recto. |
Pies delanteros
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De buen tamaño, con buenas almohadillas plantares, dedos bien arqueados y juntos. Los pies anteriores son ligeramente más grandes que los posteriores. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Notablemente poderosos para el tamaño del perro. Nalgas gruesas y anchas. |
Muslo
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Profundo. |
Rodilla
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Bien angulada. |
Corvejón
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Corvejones cortos, fuertes, sin girarse hacia adentro ni hacia afuera. |
Pies traseros
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De buen tamaño, con buenas almohadillas plantares, dedos bien arqueados y juntos. Los pies posteriores son ligeramente más pequeños que los posteriores anteriores. |
Movimiento
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| Uniforme y desenvuelto, derecho tanto atrás y adelante con un empuje desde atrás llevando un paso regular. |
Manto
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Pelo
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Pegado al cuerpo; doble capa : capa interna corta, densa y suave; capa externa dura, densa y de textura de alambre; las dos capas lo protegen de la intemperie. |
Color
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Negro, trigo o de cualquier color atigrado. |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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25 - 28 cm. |
Peso
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8,5 – 10,5 kg. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Faltas descalificantes:
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| Perro agresivo o temeroso. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Los franceses no son grandes conocedores de Terriers. A lo sumo, si se les pide que nombren algunas razas familiares, aparte del popular Fox, no dejan de nombrar al Scottish Terrier (el Terrier escocés). Deben pensar antes de Cairn, Westie o Airedale, tienen más oportunidad de cruzar la calle.
Pero aquí está: la forma muy estilizada del escocés (un rectángulo para el cuerpo, del cual emerge solo una cola apuntando verticalmente, y otro rectángulo para la cabeza, coronado por orejas triangulares), negro además, se memoriza muy fácilmente.
Esta silueta estaba destinada a inspirar a un dibujante: en este caso, Pol Rab, en los años treinta, cuya graciosa Rie, zorro con todo el pelo blanco, y Raç, escocés totalmente negro, adquirió la fama. En un momento dado, Rac casi se convirtió en el nombre común de Scottish Terrier. Desde entonces, una etiqueta de whisky se ha hecho cargo para que no olvidemos el escocés. Pasando de las caricaturas a la publicidad, la raza simplemente ha cambiado de pareja: ahora está asociada con la inmaculada Westie. La marca de whisky en cuestión se ocupa de recordar su origen escocés específico. Por otra parte, el escocés, cariñosamente llamado "Scottie" por los británicos, se llamó un momento "Scotch Terrier".
Este animal, tan singular en todos los aspectos (no solo por su apariencia), ¿es muy viejo? No podemos decir que realmente lo es, teniendo en cuenta su nombre de Scottish Terrier, que data solo de 1887, o su silueta típica y su color negro, que se remonta a 1920 como muy pronto.
No hay duda de que los Scottish Terriers han sido parte del paisaje y las tradiciones de las escarpadas Highlands durante muchos siglos. Este tipo de perro ya se conocía allí, en el momento de los Estuardo, al menos. Un bromista de Escocia incluso afirmó que "el Terrier escocés vivió en las Tierras Altas cuando Europa estaba bajo ocupación romana, e incluso cuando Abraham se dirigía a Canaán".
Entonces, como para la mayoría de las otras razas de perros, fueron las cualidades de trabajo de los Terriers lo primero que les interesó: su papel era cazar zorros, tejones y conejos, y tenían que ser lo suficientemente pequeños como para ser introducidos. en las madrigueras, preferiblemente con un abrigo áspero que les permita no temer el clima. Pero, sobre todo, tenían que ser valientes, belicosos, mordaces y resistentes a cualquier prueba.
Se puede pensar que hubo diferentes variedades, dependiendo de las preferencias locales o las posibilidades de apareamiento. Prácticamente, es imposible reconocer entre las diferentes descripciones y las diversas denominaciones de los escoceses terriers, que se multiplicaron a lo largo del siglo XIX. Es muy difícil determinar quién fue el antepasado de Cairn, Scottish, Westie, Skye y Dandie Dinmont, o incluso decir si uno de ellos podría ser el padre de todos los demás. De hecho, por un lado, estas carreras, tal como las conocemos, solo se parecen lo suficiente a los Scottish Terriers del "viejo tiempo", por otro lado, hubo durante la mayor parte del tiempo. siglo pasado, una confusión total en su denominación. Así, el escocés, antes de recibir este nombre, era conocido como Aberdeen Terrier, Highland Terrier, Skye Terrier, Cairn Terrier, Scotch Terrier y otros.
La tentación, por lo tanto, es excelente para seguir el consejo de Thomas Bell, quien, en 1837, en History of British Quadrupeds, distinguió solo dos tipos de Terriers: por un lado, los English Terriers, descritos como bastante altos en las piernas (tales el Fox o el Manchester), con el pelo liso más a menudo, con frecuencia de color negro y fuego; en el otro lado, Scottish Terriers, de piernas bajas, en su mayoría de aspecto peludo, y de tonos muy diferentes. Sin embargo, debemos mencionar algunas obras contemporáneas de Bell, que han intentado ver más claramente. Thomson Gray, en 1833 en Dogs of Scot / y St. John en Highlands Sports, 1846, describen un tipo de Terrier que se corresponde bastante bien con el escocés, pero al que llaman Skye Terrier. Esta denominación también tendrá una vida difícil ya que el propio Hugh Dalziel, en 1881, todavía la usa en su monumental Britisli Dogs, aplicándola a un Terrier de pelo duro. Sobre este tema, The Sportsman's Cabinet (1803) proporcionó explicaciones interesantes: según su autor, el nombre de Skye Terrier podía designar tres tipos de Terriers, uno de los cuales estaba desnudo. Sin embargo, la ilustración que dio de este último recuerda más a un Terrier irlandés que a un escocés. El origen del nombre Aberdeen Terrier es más fácil de determinar: proviene del hecho de que un criador de esta ciudad, un tal Van Best (llamado en algunos libros de Ian Best), conoció a principios del siglo XIX una hermosa reputación por su crianza de Terriers.
No debe deducirse de este desarrollo que el escocés apareció por primera vez en la isla de Skye o Aberdeen. De hecho, no hay una pista seria de su nacimiento en un rincón particular de Escocia, y sus primeros pasos parecen haberse perdido durante mucho tiempo en las brumas.
De hecho, este pequeño perro solo comenzó a surgir en el último tercio del siglo pasado, y nos invita a seguir sus pasos. En 1868 fue presentado como Bright-haired Skye en la exposición de Brighton, y en 1876 en el Crystal Palace de Londres, entró en clases especiales. Un club se formó en 1882 para promover la raza, sin que los perros todavía estén de acuerdo en el nombre para darle. El Scottish Terrier solo será adoptado realmente después de la edición de 1887 de la exposición Crystal Palace.
En cuanto a su apariencia, las cosas no se aclararán hasta 1889 con la publicación de la primera norma, escrita bajo la dirección de dos criadores más famosos, Mac Brayne e Irvine. No faltaron los puntos de discusión: tenía que usar las orejas rectas o semicavidas, su cuerpo, más o menos alargado, los pies. Su color, sin embargo, no genera controversia: el escocés aún no es negro, pero atigrado sobre fondo rojo, con una máscara negra. De hecho, si el atigrado es muy apretado, el perro puede parecer casi negro, especialmente que, con una capa dura, las ronchas apenas se desprenden. Más tarde, la llegada de Cairn y Westie obligará a los partidarios del uno al otro a especificar las particularidades de cada uno.
¿Cuál era el aspecto escocés a finales del siglo pasado? Un grabado de Stock Keeper, que representa a uno de los primeros campeones, Kilde, nos muestra un perro muy robusto con un cuerpo moderadamente alargado; bien acampado en extremidades rectas y no excesivamente corto; su abrigo, de color oscuro, no es largo, está acostado sobre el cuerpo pero parece muy duro; forma un collar en el pecho, flecos en las nalgas y una barba y bigotes en el hocico. La cola es bastante corta, llevada en sable, casi vertical, las orejas están bien erguidas y puntiagudas, pero pequeñas. Lo profano sin duda encontrará que la escocesa-Ia no se ve tan bien como la que él conoce, pero el especialista podrá ver, él, que la mayor parte de su morfología no ha cambiado radicalmente desde entonces. Lo que lo cambia todo, uno estaría tentado de decir, obviamente es la preparación, lo que hace que la cabeza parezca más larga y las piernas más cortas. Ciertamente, pero estas dos características también son el resultado de una crianza selectiva.
La silueta en líneas rectas del escocés fue realmente en el punto que a principios de los años veinte, que también fue su primer éxito. En Gran Bretaña, su popularidad culminaría en los años treinta, el Kennel Club contando el número récord de 4.531 nacimientos en 1935. En los Estados Unidos, la carrera fue lo suficientemente grande en 1925 para justificar la redacción de un estándar "estadounidense". "(Cuya diferencia esencial está en el peso del párrafo, que debe ser más bajo). El escocés también se notó en Europa continental, especialmente en Francia, donde parece que llegó un poco antes de la Gran Guerra para ponerse realmente de moda quince años más tarde.
En la moda, para los escoceses, no significa excesivamente extendido. "Es el perro del mundo elegante, de la gran ciudad, que se encuentra en todas partes en París: en las calles, en los bulevares, en el bosque, en los grandes almacenes, que sirve principalmente como complemento de la elegancia femenina", podría escribir J. Dhers.
Por supuesto, un escocés era un títere muy en línea con un vestido de Jean Poiret. Pero el estilo despojado, con los ángulos agudos del perro escocés parece corresponder tanto al arte cubista, a la funcionalidad sobria de la decoración y el mobiliario de los años treinta: podría haber sido dibujado por un Francis Jourdain para evolucionar en las salas de estar y oficinas que este gran diseñador concibió Parece dudoso que los criadores y peluqueros británicos estuvieran al acecho de las corrientes artísticas de su tiempo, ya fueran inspirados por la musa que sopló sus ideas a los creadores de los años 1925-1935. Pero esta adecuación explica al menos el éxito de la raza, un éxito que continuará mucho después de la Segunda Guerra Mundial. Es cierto que el famoso Fala, escocés del presidente estadounidense Roosevelt, llegó a un punto para que los anglosajones no olvidaran la raza.
Curioso destino como el de este perro, pequeño pero extraordinariamente poderoso y valiente, nacido para luchar con pequeñas bestias salvajes en sus guaridas oscuras, excavando implacablemente la tierra y el barro, vagando durante días enteros entre las pilas de rocas, y quién, De repente, sintió una metamorfosis en sí mismo: casi cincuenta años después, se había convertido en el perro elegante que nunca dejó de ser. El escocés es, sin duda, una de las personalidades más fuertes de la tribu de los Terriers, que no le falta, sin embargo, "cabezas quemadas" y "fuerte en la boca". No en vano, al otro lado del Canal, se le ha dado el sobrenombre de "gallo Norte".
Ningún otro perro parece más seguro y digno. Siempre parece saber lo que quiere y adónde va, para mostrar una terquedad profunda: uno siente que es totalmente inútil gritarle, y más aún golpearlo. Así es como se ve: un poco frío y desdeñoso, completamente esnob, desconfiado o al menos indiferente a los extraños (en ocasiones es un buen guardia). Ciertamente, podemos encontrarlo un poco divertido, cuando se mueve resbaladizo, trota a la economía, buen escocés, pero nadie tendría la idea de burlarse de él, ya que impone, a pesar de su pequeño tamaño. En lo privado, este perro independiente e informal, que no teme a nada ni a nadie, tiene una personalidad muy diferente. Bien en su piel, está de buen humor infalible. Este caballero, que desairó a los visitantes, se convierte en un alegre luron, un verdadero payaso: travieso, lleno de humor, experto en artimañas para lograr sus fines.
No es un modelo de obediencia, eso es seguro, pero conoce muy bien los límites que no deben excederse. Solo debemos darle el tiempo para dejar honorablemente esta situación donde debe obedecer. Si no es un autómata o un servidor servil, no es un perro difícil de vivir. Él no busca conflictos. Por el contrario, este seguro le permite dejarlo solo en su casa sin que él entre en pánico y cometa daños. También es un perro que se adapta a todos los ambientes, en la ciudad o en el campo, y en todos los climas. Confiado soñado con una sola persona, él puede escuchar, mantener la calma, dar afecto sin ser "pegajoso" o ruidoso; no tiene igual para alegrar una casa vacía mientras se sabe cómo ser discreto cuando es necesario. En una casa con niños, es el payaso el que participa en todos los juegos, pero quién sabe cómo ser respetado por los diablitos: no se trata de considerarlo como un peluche, llamará al orden al que dice dispararle. las orejas.
Con su atuendo bien vestido, es un habitante de la ciudad ponderado que se puede llevar a todas partes sin ensuciar. Parece que siempre ha vivido en un interior muy "acogedor". Pero dele la oportunidad de cazar al ratón de campo o al lunar: en un abrir y cerrar de ojos, arrojó el aguijón a las ortigas y lo encontró embarrado de pies a cabeza. Este señor interpreta al pequeño burgués y al campesino con la misma facilidad. Probablemente sea apropiado para profesores con cierta personalidad y a quienes les gusta tener delante de ellos a un hombre espontáneo, franco, extrovertido y feliz. Con los escoceses, encuentran "con quién hablar" en todo el sentido de la palabra, pero nunca habrá problemas. Su apariencia robusta e incluso potente va de la mano con una salud poco saludable. Él no sufre de frío o calor. Además, él sabe cómo hacer las paces con el gato de la casa.
Su preparación (para un perro de compañía) no es más restrictiva y frecuente que la de un Poodle, por ejemplo. Pero los métodos que se utilizarán son completamente diferentes: deben ser depilados (técnica sin dolor) y no cortados. Al pasarlo cada dos meses, en el groomer, sus maestros se asegurarán de tener un perro elegante y limpio, que no deje pelos en la alfombra o en la silla (que ocupará tan pronto como sea posible). ellos tienen su espalda vuelta). |
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Schotse Terrier
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FCI standaard Nº 73
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Land van oorsprong
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Groot-Brittannië |
Vertaling
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Francis Vandersteen |
Groep
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Groep 3 Terriërs |
Sectie
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Sectie 2 Kleine en middelgrote Terriers |
Werkproef
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Zonder werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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maandag 18 oktober 1954 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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woensdag 13 oktober 2010 |
Laatste update
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maandag 10 januari 2011 |
En français, cette race se dit
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Terrier écossais |
In English, this breed is said
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Scottish Terrier |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Schottischer Terrier |
En español, esta raza se dice
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Scottish Terrier |
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Kort historisch overzicht
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De Schotse Terriër Club werd opgericht in 1882, een jaar na de eerste rasstandaard geschreven en slechts drie jaar nadat Captain Gordon Murray de race is begonnen zoals we het vandaag kennen.
Het werd sterk gesteund door de oprichter en eerste voorzitter van de Raad van Beheer, de heer Evelyn Shirley Sewallis.
Voor het publiek, dit kortbenige terrier van de Highlands, geeft vaak het beeld van een strenge Schotse maar aan zijn familie en vrienden, is hij liefdevol en vreugdevol. Het zal echter reageren op de geringste geluid, met een beschermende houding te bereiden zijn eigen verdedigen. |
Algemeen totaalbeeld
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| Gedrongen hond, van een formaat dat geschikt is voor ondergrondse werkzaamheden (die honden met overgewicht uitsluit), korte ledematen, tot levendige kijken en geeft de indruk van grote kracht en grote activiteit, in een klein volume. Het hoofd geeft de indruk dat lang voor een hond van dit formaat. Zeer wendbaar en actieve ondanks zijn korte benen. |
Belangrijke verhoudingen
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| De schedel en de snuit zijn van gelijke lengte. |
Gedrag en karakter (aard)
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| Trouw en toegewijd aan zijn meester, waardig, onafhankelijk en undemonstrative, maar moedig en zeer intelligent. Vet, maar nooit agressief. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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Lange zonder grote omvang van de hond. Gedragen door een hals van gemiddelde lengte loslaten van de klas. |
Schedel
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Zijn lengte maakt het mogelijk om van voldoende breedte met behoud van een loep. Het is bijna plat. |
Stop
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Lichte maar net tussen de schedel en de snuit, net op ooghoogte. |
Facial region
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Neus
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Zwart. Grote, profiel, verschijnt de lijn die loopt van de neus tot de kin terug gekanteld. |
Voorsnuit
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Stevig opgebouwd over de gehele lengte. |
Kiezen / tanden
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De tanden zijn groot en hebben een perfect schaargebit, regelmatig en compleet, dat wil zeggen, de bovenste snijtanden overlappen de onderste snijtanden in nauw contact en worden loodrecht gemonteerd op de kaken. |
Wangen
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De jukbeenderen zijn niet uitsteken. |
Ogen
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Amandelvormige ogen, donkerbruin, tamelijk wijd uit elkaar, goed geplaatst onder de wenkbrauwen, levendige, intelligente uitdrukking. |
Oren
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Goed ontworpen, fijne, scherpe, rechte en gehecht aan de bovenkant van de schedel, maar niet te dicht bij elkaar textuur. Grote oren of de basis is breed zijn ernstige fouten. |
Hals
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| Gespierd en van gemiddelde lengte vrijgeven van de klas. |
Lichaam
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Bovenlijn
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De bovenste regel van het lichaam is recht en vlak. |
Rug
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Verhoudingsgewijs kort en zeer gespierd. |
Lendenpartij
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Gespierd en goed in de steek gelaten. |
Borst
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Tamelijk breed en diep tussen de voorpoten. |
Ribben
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Goed afgeronde ribben die worden vlakker een diepe borst te vormen, ze reiken tot ver terug. |
Flank
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De zijkanten zijn krachtig. |
Staart
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| Halflang om de hond een algemeen evenwicht, dik aan de basis te geven, loopt uit naar het einde. Het is recht of licht gebogen uitgevoerd. |
Voorhand
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Algemeen
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De borst is ruim voor de voorpoten. |
Schouders
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Lang, schuin. |
Ellebogen
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Moeten niet buiten of onder het lichaam. |
Onderarm
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Rechten met goede bone. |
Voormiddenvoet
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Rechten. |
Voorvoeten
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Goede grootte, goed gevuld, gebogen en strak. Iets groter dan de achterpoten. |
Achterhand
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Algemeen
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Opmerkelijk voor de grootte van de hond kracht. Sterke en grote billen. |
Dijbeen
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Goed laag. |
Knie
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Goed gehoekt. |
Spronggewricht
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Kort en krachtig, noch naar binnen noch naar buiten. |
Achtervoeten
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Goed formaat, goed gevuld. De tenen zijn goed gebogen en strak, achterpoten zijn iets kleiner dan de vorige. |
Gangwerk
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| Gelijk tempo en zonder beperking, recht voor naar achter als de voorkant. De achterkant geeft de impuls en verenigde beweging aan alle kanten. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Dubbele vacht, strak tegen het lichaam. De ondervacht is kort, dicht en zacht. De toplaag is ruw, dicht en hard (draad). Samen vormen ze een beschermende weersbestendige. |
Haarkleur
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Zwart, wheaten of gestroomd van elke kleur. |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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25 tot 28 cm. |
Gewicht
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Van 8,5-10,5 kg. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Defecten die leiden tot uitsluiting
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| Agressief of schuw. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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De Fransen zijn geen grote kenners van Terriers. Hoogstens, als ze gevraagd worden om enkele bekende rassen te noemen, behalve de populaire Fox, falen ze om de Scottish Terrier (de Scottish Terrier) te noemen. Ze moeten nadenken voor Cairn, Westie of Airedale, ze hebben meer kans om de straat over te steken.
Maar hier is het: de zeer gestileerde vorm van de Schot (een rechthoek voor het lichaam, waaruit alleen een verticaal verticaal staande staart tevoorschijn komt, en een andere rechthoek voor het hoofd, bekroond door driehoekige oren), zwart bovendien, wordt heel gemakkelijk onthouden.
Dit silhouet zou ongetwijfeld een tekenaar inspireren: in dit geval kreeg Pol Rab, in de jaren dertig, wiens roekeloze Rie, Fox met vossenharen helemaal wit, en Raç, Schots all-black, roem verworven. Op een gegeven moment werd Rac bijna de algemene naam van de Schotse Terriër. Sindsdien heeft een whisky-label het roer overgenomen, zodat we de Schotten niet vergeten. Verhuizen van tekenfilms naar reclame, het ras is gewoon van partner veranderd: het wordt nu geassocieerd met de onberispelijke Westie. Het whiskymerk in kwestie zorgt ervoor dat het zijn specifieke Schotse afkomst onthoudt. Bovendien werd de Schot, liefkozend "Scottie" genoemd door de Britten, een "Scotch Terrier" -moment genoemd.
Dit dier, in alle opzichten uniek (niet alleen voor zijn uiterlijk), is het erg oud? We kunnen niet zeggen dat het echt is, gezien de naam van de Schotse Terriër, die dateert uit 1887, of zijn typische silhouet en zijn zwarte kleur, die op zijn vroegst uit 1920 stamt.
Het lijdt geen twijfel dat de Schotse Terriers al eeuwenlang deel uitmaken van het landschap en de tradities van de ruige Hooglanden. Dit type hond was daar al bekend, ten tijde van de Stuarts. Een joker uit Schotland beweerde zelfs dat "de Schotse Terriër in de Hooglanden leefde toen Europa onder Romeinse bezetting was en zelfs toen Abraham op weg was naar Kanaän".
Dan, zoals voor de meeste andere hondenrassen, waren het eerst de werkende kwaliteiten van de Terriers die geïnteresseerd waren: hun rol was om op vossen, dassen en konijnen te jagen, en ze moesten klein genoeg zijn om geïntroduceerd te worden in de holen, bij voorkeur met een ruwe laag waardoor ze niet hoeven te vrezen voor het weer. Maar bovenal moesten ze dapper, vechtlustig, bijtend en robuust zijn voor elke test.
Er kan worden gedacht dat er verschillende variëteiten waren, afhankelijk van lokale voorkeuren of de kansen op paring. Praktisch gezien is het onmogelijk om te herkennen tussen de verschillende beschrijvingen en de verschillende benamingen van de Schotse Terriërs, die zich in de loop van de negentiende eeuw vermenigvuldigden. Het is heel moeilijk om te bepalen wie de voorouder was van Cairn, Scottish, Westie, Skye en Dandie Dinmont, of zelfs om te zeggen of een van hen de vader van alle anderen kon zijn. In feite, aan de ene kant, lijken deze rassen zoals we ze kennen alleen ver genoeg op de Schotse Terriërs van de "oude tijd", aan de andere kant was er tijdens de meeste van de vorige eeuw, een totale verwarring in hun denominatie. Dus de Schotse, vóór het ontvangen van deze naam, stond bekend als Aberdeen Terrier, Highland Terrier, Skye Terrier, Cairn Terrier, Scotch Terrier en anderen.
De verleiding is daarom geweldig om het advies van Thomas Bell te volgen, die in 1837, in de geschiedenis van de Britse viervoeters, slechts twee soorten Terriers onderscheidde: aan de ene kant de Engelse Terriers, beschreven als vrij hoog op poten (zoals de Vos of de Manchester), meestal met de meeste haarkleur, vaak zwart en vuurkleurig; aan de andere kant, Schotse Terriers, laagbenige, meestal ruige uiterlijk, en van heel verschillende tinten. We moeten echter enkele hedendaagse werken van Bell noemen, die geprobeerd hebben om duidelijker te zien. Thomson Gray, in 1833 in Dogs of Scot / en St. John in Highlands Sports, 1846, beschrijven allebei een type terriër dat redelijk goed overeenkomt met het Schotse, maar dat ze Skye Terrier noemen. Deze denominatie zal ook een moeilijk leven leiden, aangezien Hugh Dalziel zelf, in 1881, het nog steeds gebruikt in zijn monumentale Britisli-honden, en het toepast op een hardharige Terrier. Over dit onderwerp gaf The Sportsman's Cabinet (1803) interessante verklaringen: volgens hun auteur kon de naam Skye Terrier drie soorten Terriers aanwijzen, waarvan er één naakt was. De illustratie die hij van de laatste gaf, doet echter meer denken aan een Ierse Terriër dan een Schotse. De oorsprong van de naam Aberdeen Terrier is gemakkelijker te bepalen: het komt van het feit dat een fokker uit deze stad, een zekere Van Best (genoemd in sommige Ian Best-boeken), aan het begin van de 19e eeuw een mooie reputatie kende voor zijn fokkerij van Terriers.
Uit deze ontwikkeling mag niet worden afgeleid dat de Schotse voor het eerst op het eiland Skye of Aberdeen verscheen. In feite is er geen serieuze aanwijzing voor de geboorte in een bepaalde hoek van Schotland, en de eerste stappen lijken al lang verloren te zijn in de nevelen.
In feite, deze kleine hond begon pas op te duiken in het laatste derde deel van de vorige eeuw, en hij nodigt ons uit om in zijn voetsporen te treden. In 1868 werd hij geïntroduceerd als Bright-haired Skye op de Brighton Exhibition, en in 1876 in het Crystal Palace in Londen, ging hij naar speciale klassen. Een club werd opgericht in 1882 om het ras te promoten, zonder dat de honden het nog steeds eens zijn over de naam die hij moet geven. De Scottish Terrier zal pas echt worden geadopteerd na de editie van 1887 van de Crystal Palace-tentoonstelling.
Wat betreft het uiterlijk, dingen zullen niet worden opgehelderd tot 1889 met de publicatie van de eerste standaard, geschreven onder leiding van twee meest bekende fokkers, Mac Brayne en Irvine. De discussiepunten ontbraken niet: zijn oren dat hij recht of semi-hangend moest dragen, zijn lichaam, min of meer uitgerekt, zijn voeten. Zijn kleur roept echter geen controverse op: de Schotse is nog niet zwart, maar gestroomd op een rode achtergrond, met een zwart masker. Sterker nog, als de gestroomde te strak is, kan de hond er bijna zwart uitzien, vooral dat, met een harde vacht, de striemen nauwelijks loskomen. Later zullen de komst van de Cairn en Westie de supporters van elkaar dwingen om de bijzonderheden van elk te specificeren.
Hoe zag de Schotse stijl aan het einde van de vorige eeuw eruit? Een gravure van Stock Keeper, een van de eerste kampioenen, Kilde, toont ons een zeer robuuste hond met een tamelijk langgerekt lichaam; goed gekampeerd op rechte ledematen en niet overdreven kort; zijn jas, donker van kleur, is niet lang, hij ligt op het lichaam maar lijkt erg hard; het vormt een kraag op de borst, franjes op de billen en een baard en snorharen op de snuit. De staart is vrij kort, gedragen in sabel, bijna verticaal, de oren zijn goed opgezet en puntig, maar klein. De profaan zal ongetwijfeld ontdekken dat Schot-Ia er niet zo ver uitziet als hij die kent, maar de specialist zal kunnen zien, hij, dat het merendeel van zijn morfologie sindsdien niet radicaal is veranderd. Wat alles verandert, zou je in de verleiding kunnen brengen om te zeggen, het is duidelijk de verzorging, waardoor het hoofd langer lijkt en de benen korter. Zeker, maar deze twee kenmerken zijn ook het resultaat van een selectieve fokkerij.
Het silhouet in rechte lijnen van de Schotse was echt op het punt dat in de vroege jaren twintig, dat was ook zijn eerste succes. In Groot-Brittannië zou zijn populariteit culmineren in de jaren dertig, de Kennel Club telde het recordaantal van 4.531 geboorten in 1935. In de Verenigde Staten was de race in 1925 groot genoeg om het opstellen van een standaard "Amerikaans" te rechtvaardigen "(Waarvan het essentiële verschil in het paragraafgewicht ligt, dat lager moet zijn). De Schot werd ook opgemerkt in continentaal Europa, vooral in Frankrijk, waar het lijkt alsof hij net voor de Grote Oorlog arriveerde om vijftien jaar later echt in de mode te zijn.
In de mode betekent dit voor de Schotten niet overdreven wijdverbreid. "Het is de hond van de elegante wereld, van de grote stad, die je overal in Parijs tegenkomt: in de straten, op de boulevards, in het bos, in de warenhuizen, vooral als aanvulling op de vrouwelijke elegantie", zou J. Dhers kunnen schrijven.
Natuurlijk was een Schot een stroman die heel erg in lijn was met een jurk van Jean Poiret. Maar de uitgeklede stijl, met de scherpe hoeken van de Schotse hond lijkt evenveel overeen te komen met de kubistische kunst, als de sobere functionaliteit van de decoratie en het meubilair van de jaren dertig: het kan zijn ontworpen door een Francis Jourdain om zich te ontwikkelen in de woonkamers en kantoren dat deze geweldige ontwerper werd bedacht. Het lijkt twijfelachtig dat Britse fokkers en trimmers op zoek waren naar de artistieke stroming van hun tijd, of ze nu geïnspireerd waren door de muze die hun ideeën blies met de makers van de jaren 1925-1935. Maar deze adequaatheid verklaart op zijn minst het succes van het ras, een succes dat lang na de Tweede Wereldoorlog zal voortduren. Het is waar dat de beroemde Fala, Schot van de Amerikaanse president Roosevelt, op een punt kwam dat de Anglo-Saksen de race niet vergeten.
Nieuwsgierig lot als dat van deze hond, klein maar buitengewoon krachtig en moedig, geboren om te vechten met kleine wilde beesten in hun donkere holen, meedogenloos de aarde en de modder gravende, zwervende hele dagen tussen de bergen rotsen, en wie, Plots voelde hij een metamorfose in zichzelf: bijna vijftig jaar later was hij de chique hond geworden die hij sindsdien nooit meer is geweest. De Schotse is ongetwijfeld een van de sterkste persoonlijkheden van de stam van de Terriers, die echter niet ontbreekt aan "hoofden verbrand" en "sterk in de mond". Het is niet voor niets dat het over het Kanaal de bijnaam "haan Noord" heeft gekregen.
Geen andere hond lijkt veiliger en waardiger te zijn. Hij lijkt altijd te weten wat hij wil en waar hij naartoe gaat, om een diepe koppigheid te tonen: men voelt dat het totaal nutteloos is om tegen hem te schreeuwen, en nog meer om hem te slaan. Dit is hoe hij eruit ziet: een beetje koud en minachtend, volledig snobistisch, achterdochtig of op zijn minst onverschillig tegenover vreemden (hij is een goede bewaker bij gelegenheid). Zeker, we kunnen hem een beetje grappig vinden, wanneer hij somig glijdt, draaft hij naar de economie, goede Schot, maar niemand zou het idee hebben om hem te bespotten, zoals hij legt op, ondanks zijn kleine formaat. In de privésfeer heeft deze onafhankelijke en nonchalante hond, die voor niets of niemand bang is, een heel andere persoonlijkheid. Goed in zijn vel, hij is in een goed humeur niet aflatende. Deze heer, die de bezoekers afsloeg, wordt dan een vrolijke luron, een echte clown: ondeugend, vol humor, expert in listen om zijn doel te bereiken.
Hij is geen model van gehoorzaamheid, dat is zeker, maar hij weet heel goed welke grenzen niet mogen worden overschreden. We moeten hem alleen de tijd gunnen om deze situatie eervol te verlaten, waar hij moet gehoorzamen. Als hij geen automaat of slaaf is, is hij geen moeilijk te leven hond. Hij zoekt geen conflicten. Integendeel, deze verzekering stelt hem in staat om hem alleen thuis te laten zonder dat hij in paniek raakt en schade toebrengt. Het is ook een hond die zich aanpast aan alle omgevingen, in de stad of op het platteland, en in alle klimaten. Zelfverzekerd gedroomd van een persoon, hij kan luisteren, kalm blijven, genegenheid geven zonder "kleverig" of lawaaierig te worden; hij heeft geen gelijke om een leeg huis op te vrolijken terwijl hij weet hoe hij discreet moet zijn wanneer dat nodig is. In een huis met kinderen is het de clown die deelneemt aan alle spellen, maar die weet hoe hij gerespecteerd moet worden door de kleine duivels: geen kwestie van het als een knuffel beschouwen, hij zal hem bellen die beweert dat hij op hem schiet de oren.
In zijn goedgeklede outfit is hij een gewogen stedeling die overal naartoe kan worden gebracht zonder er een puinhoop van te maken. Hij lijkt altijd in een heel "gezellig" interieur te hebben gewoond. Maar geef hem de gelegenheid om op de veldmuis of de mol te jagen: in een mum van tijd gooide hij de angel naar de brandnetels en vond hij modderig van top tot teen. Deze heer speelt de kleinburger en de boer met evenveel gemak. Het is waarschijnlijk geschikt voor leraren met een bepaalde persoonlijkheid en die graag voor zich hebben een spontane, openhartige, extraverte en gelukkige. Bij de Schotten vinden ze "met wie je praat" in alle betekenissen van het woord, maar er zullen nooit problemen zijn. Zijn robuuste, zelfs krachtige uitstraling gaat hand in hand met ongezonde gezondheid. Hij heeft geen last van kou of hitte. Bovendien weet hij hoe hij vrede kan sluiten met de kat des huizes.
Zijn verzorging (voor een hond) is niet beperkter en frequenter dan die van een poedel bijvoorbeeld. Maar de te gebruiken methoden zijn heel anders: het moet worden geëpileerd (techniek zonder pijn) en niet worden geschoren. Door het elke twee maanden bij de trimmer te laten passeren, zullen zijn leraren er zeker van zijn een slanke en schone hond te hebben, die geen haar op het tapijt of op de stoel achterlaat (die hij zo snel inneemt). zij hebben hun rug). |
