Cavalier King Charles Spaniel

Français

Cavalier King Charles Spaniel
Standard FCI Nº 136


Origine			Grande-Bretagne
Traduction			Prof. R. Triquet
Groupe			Groupe 9 Chiens d'agrément et de compagnie
Section			Section 7 Epagneuls anglais d'agrément
Epreuve			Sans épreuve de travail
Reconnaissance à titre définitif par la FCI			jeudi 20 janvier 1955
Publication du standard officiel en vigueur			mardi 04 novembre 2008
Dernière mise à jour			lundi 12 janvier 2009
In English, this breed is said			Cavalier King Charles Spaniel
Auf Deutsch, heißt diese Rasse			Cavalier King Charles Spaniel
En español, esta raza se dice			Cavalier King Charles Spaniel
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd			Cavalier King Charles Spaniel

Utilisation

Chiens d'agrément.

Aspect général

Plein d'allant, affectueux, il n'a vraiment peur de rien. Gai, amical, non agressif; aucune tendance à être craintif.

Comportement / caractère

Plein d'allant, affectueux, il n'a vraiment peur de rien. Gai, amical, non agressif; aucune tendance à être craintif.

Tête
Région crânienne
Crâne		Presque plat entre les oreilles.
Stop		Peu accentué.

Région faciale
Truffe		Narines noires et bien développées sans taches de ladre.
Museau		La longueur de la base du stop au bout du museau est d'environ 1 ½ pouce (3,8 cm). Le museau va en s'amenuisant. La face doit être bien remplie sous les yeux. Il faut éviter toute tendance au museau en sifflet.
Lèvres		Bien développées, mais non pendantes.
Mâchoires et dents		Fortes. Articulé en ciseaux parfait, régulier et complet, c'est-à-dire que les incisives supérieures recouvrent les inférieures dans un contact étroit et sont implantées bien d'équerre par rapport aux mâchoires.
Yeux		Grands, sombres et ronds mais pas saillants. Les yeux sont bien écartés.
Oreilles		Longues, attachées haut. Franges abondantes.

Cou

De longueur moyenne; légèrement galbé.

Corps
Dos		Droit.
Rein		Court.
Poitrine		Moyenne.
Côtes		Les côtes sont bien cintrées.

Queue

La longueur de la queue est proportionnée à celle du corps. Elle est bien attachée, portée joyeusement, mais jamais très au-dessus de la ligne du dos. Auparavant la caudectomie était facultative. Il ne fallait pas enlever plus que le tiers de la queue.

Membres

Membres antérieurs
Généralités		Ossature moyenne, membres droits.
Epaules		Bien obliques.

Membres postérieurs
Généralités		Ossature moyenne.
Grassets		Bien placés.
Jarret		Aucune tendance aux jarrets de vache ou aux jarrets fermés.

Pieds

Compacts, pourvus de bons coussinets, bien emplumés.

Allures

Mouvement dégagé et élégant, avec beaucoup d'impulsion de l'arrière. Qu'ils soient vus de devant ou de derrière, les membres antérieurs et postérieurs se déplacent dans des plans parallèles.

Robe
Qualité du poil		Poil long, soyeux, sans boucles. On admet une légère ondulation. Franges abondantes. Ne doit absolument pas être toiletté.
Couleur du poil		Les couleurs reconnues sont : Noir et feu : Noir aile de corbeau avec des taches feu au-dessus des yeux, sur les joues, à l'intérieur des oreilles, sur la poitrine, les membres et sous la queue. La couleur feu doit être vive. Les marques blanches ne sont pas admises. Ruby : Unicolore, d'un rouge intense. Les marques blanches ne sont pas admises. Blenheim : Marques châtain vif bien réparties sur un fond blanc perle. Les marques doivent se scinder de façon égale sur la tête, laissant la place entre les oreilles pour la tache ou pastille qui est très appréciée ( c'est une caractéristique de la race). Tricolore : Noir et blanc bien espacés et bien répartis avec des marques feu au-dessus des yeux, sur les joues, à l'intérieur des oreilles, à l'intérieur des membres et sous la queue. Toute autre couleur ou combinaison de couleurs est à rejeter.

Taille et poids
Poids		12 à 18 livres anglaises ( 5,4 à 8 kg). Il faut rechercher un petit chien harmonieux entre ces limites de poids.

Défauts

• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel.
• Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité.

NB :

• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié.
• Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires.
• Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum.
• Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction.

Bibliographie

http://www.fci.be/

Historique détaillé

Ce chien facile à vivre a été doté d’une dénomination bien compliquée, mais qui a le mérite de résumer parfaitement ses origines et son histoire.

Le Cavalier King Charles Spaniel fait partie des Spaniels ; autrement dit des Epagneuls. Son « cousin », le King Charles Spaniel, est d'ailleurs souvent répertorié, par les auteurs français, sous le nom « d’Epagneul Nain Anglais ». A partir de la Renaissance, les Epagneuls sont devenus, après les antiques Bichons, les chiens de compagnie les plus recherchés des deux côtés de la Manche. Des Epagneuls Nains furent les favoris de Charles 1er, de Charles II, d'Henriette d'Angleterre, de la douce Marie Stuart et de la terrible Elisabeth Ire. Une sanglante anecdote veut que Marie Stuart (1542 - 1587) ait été accompagnée jusque dans la mort par son Epagneul Nain, qui avait l'habitude de se blottir sous ses jupes et que l'on retrouva dans cette position alors que Marie Stuart venait de mourir sur l'échafaud. A vrai dire, plusieurs races revendiquent ce tragique honneur, car Marie Stuart possédait de nombreux chiens. En France, Henri III est représenté sur un tableau avec un Epagneul qui lui aurait été ramené d'Italie ; Louis XIV et le dauphin eurent aussi pour compagnons des King Charles Spaniels.

Ces chiens doivent leur nom au roi d'Angleterre Charles II (1630 - 1685), qui raffolait de ces Epagneuls miniatures et en possédait un grand nombre. Ils circulaient librement dans les palais royaux, notamment à Whitehall, et étaient de ce fait considérés comme des favoris tout à fait privilégiés. Ils figurent sur tous les tableaux représentant le souverain, qui les emmenait avec lui dans tous ses déplacements, « même lorsqu'il s'occupait des affaires de l'Etat », soulignait avec réprobation l'écrivain Samuel Pepys (1633 - 1703). Charles II ne manifestait d'ailleurs qu'un intérêt très modéré pour sa charge et préférait souvent la compagnie de ses petits Epagneuls : « Tout ce que je vois me confirme la puérilité du roi, qui joue avec ses chiens sans arrêt, en ne se préoccupant guère de ses devoirs », se lamentait dans son Journal le même Samuel Pepys. Le souverain faisait même coucher ses chiens dans sa chambre, il y installait les chiennes qui mettaient bas, et les chiots étaient ensuite élevés dans l'intimité royale, ce qui rendait la cour « répugnante et puante », selon un écrit de l'époque. L'aristocratie anglaise ne tarda pas, du coup, à adopter ces chiens, et de façon durable, comme en témoignent les tableaux fameux de William Hogarth (1697 - 1764) et de Thomas Gainsborough (1727 - 1788).

Les Epagneuls King Charles se scindaient en plusieurs « familles » selon leurs coloris. Une des plus célèbres possédait une robe blanc et orange, appelée « Blenheim » (la nuance orange a évolué au fil du temps vers un ton plus soutenu, brun vif). Blenheim est une ville de Bavière, sur la rive nord du Rhin ; en 1704, John Churchill, duc de Marlborough, capitaine général des armées britanniques, y remporta une victoire décisive sur l'armée française lors de la guerre de Succession d’Espagne , Marlborough avait comme chiens favoris des petits Epagneuls blanc et orange ; son épouse, la duchesse Sarah, espérait vainement de ses nouvelles lorsque, tenant sur ses genoux une femelle Epagneul attendant des petits, elle appuya fortement avec son pouce sur le front de l'animal. Lorsque les chiots naquirent, on s'aperçut qu'ils portaient tous sur le front une marque orange, la « marque du pouce de la duchesse Sarah ». Quand la nouvelle de la victoire du duc fut connue, les petits Epagneuls blanc et orange portant une marque distinctive au front furent appelés « Blenheim ». Cette marque existe toujours dans la variété actuelle Blenheim, sous le nom de « lozenge ».

Les Epagneuls King Charles, nantis de parrainages on ne peut plus prestigieux, coulèrent donc des jours heureux jusqu'à ce que l'aristocratie anglaise s'entiche d'un nouveau venu, au faciès absolument étonnant, le Carlin. La race King Charles Spaniel dut s'adapter aux exigences du jour et sa tête acquit une physionomie tout à fait différente, due à l'intervention des Carlins mais aussi, à partir du milieu du XIXe siècle, des premiers Epagneuls Japonais (Tchin) et Pékinois, qui détrônèrent le Carlin dans les cœurs de la « high society ». Transformation radicale, comme le confirme le cynologue Stonehenge en 1879 : « La brièveté de leur museau n'a plus rien à voir avec l'ancien standard, lorsqu'elle a été amenée au point où elle triomphe actuellement. » Et transformation rapide, puisque nous avons un tableau du célèbre peintre animalier Landseer, datant des années 1830, intitulé King Charles Spaniels, ou les favoris du Prince, et montrant deux chiens au museau allongé.

Il est probable qu’au phénomène de mode s'en est superposé un autre. Du fait de leur relative rareté à cette époque, les races de, compagnie finissaient par s'étioler ; les apports des Epagneuls asiatiques à face courte et du Carlin furent sans doute aussi nécessaires que bénéfiques à ces « animaux féeriques fourvoyés parmi les chiens », pour employer l'expression du journal The Field au sujet des Epagneuls King Charles.

Le désir de retrouver l'aspect des King Charles du XVIIe siècle ne se concrétisa que dans les années 1920. Et c'est plus précisément en 1926 qu'un Américain de Long Island, Roswell Elridge, prit l'initiative d'encourager les éleveurs recherchant le type originel, avec un museau allongé, peu de stop et un crâne ne s'arrondissant pas en dôme, en offrant à cet effet un prix de 25 livres, dans le cadre de l'exposition de Cruft, pendant cinq ans. Ce prix ne s'adressait qu'au King Charles de la variété Blenheim, présentant en outre le « lozenge » caractéristique. Les éleveurs anglais relevèrent le défi, et, au bout de quelques années, on put revoir des King Charles tels qu'ils figuraient dans les tableaux de Hogarth et de Gainsborough.

Les débuts furent cependant difficiles car les éleveurs hésitaient à reprendre en sens inverse le travail qui les avait amenés au nez court. Quelques éleveurs, dont Mrs. Hewitt Pitt, se décidèrent à tenter l’expérience en utilisant les laissés pour compte à nez trop long des King Charles. Compte tenu des résultats, un standard fut rédigé en 1928, qui prit pour modèle le sujet s'approchant le plus des chiens représentés sur les anciens tableaux, un certain Ann's Son, appartenant à Miss Mostyn Walker. On décida alors de nommer Cavalier King Charles ces chiens au type retrouvé afin de les différencier des King Charles, au nez plat et au crâne en dôme, qui constituent encore une race actuellement. En somme, qu'ils aient le museau aplati ou allongé, les sujets des deux types ont droit à la référence au roi Charles. Dans certains pays, d'ailleurs, comme les Etats-Unis, les deux chiens se retrouvent sous la ,dénomination commune de Toys English Spaniels (Epagneuls Toys Anglais).

Le Kennel Club a cependant tenu, en 1945, à consacrer la distinction entre le King Charles, dit familièrement « Charlie », et le Cavalier King Charles. Depuis, la partition a plutôt tourné à l'avantage du Cavalier, qui a plus de succès que son « cousin ». Dès 1928, d'ailleurs, le Cavalier King Charles disposait d'un club de race spécial reconnu par le Kennel Club ; bien avant, donc, qu'une inscription séparée ne fût envisagée. A partir de 1946, des titres distincts de champions ont été décernés. Un des éléments déterminants de la popularité du Cavalier fut sans conteste son entrée dans la famille royale d'Angleterre. En 1960, en effet, la princesse Margaret et son mari lord Snowdon adoptèrent un Cavalier, qu'ils baptisèrent Rowley, clin d'œil à un lointain ancêtre de la princesse, nommé Old Rowley.

La consécration cynophile lui, vint grâce au sujet nommé Alansmere Aquarius. A dix-sept mois, ce Cavalier fut successivement jugé le meilleur de sa race à l'exposition de Cruft en 1973, puis le meilleur du groupe « Toy », et enfin « Best in show ». Il était à la fois le premier Cavalier à remporter ce titre, et le premier Toy. Dix ans plus tôt, Amelia of Lagun avait ouvert la voie en devenant le meilleur du groupe des Toys. Depuis, le succès de la race n'a fait que s'amplifier. Elle est aujourd'hui, en Angleterre, parmi les cinq races les plus populaires, talonnant, avec 10.000 naissances annuelles, le Yorkshire Terrier. En Europe continentale, le Cavalier est principalement répandu en Hollande, en Suisse et dans les pays nordiques (Suède et Finlande). Les débuts du Cavalier en France ont été fort discrets. D'abord jugé avec les King Charles Spaniels, on notait en 1969, lors de l'exposition de championnat de France, l'apparition d'une classe de Cavaliers, avec la participation de deux sujets. Mais l'élevage n'a véritablement débuté qu'en 1975, progressant dès lors à grands pas. Ainsi, l'année 1987 a vu la naissance de 692 sujets.

La situation est encore relativement confuse aux Etats-Unis puisque le Cavalier, faisant toujours partie des Epagneuls Toys Anglais, ne peut concourir qu'en « classes diverses ». Cependant, Ronald Reagan ayant offert à son épouse Nancy un Cavalier en 1986, il n'y a pas de doute que la race va pouvoir s'y développer rapidement ; les médias jouant, dans le domaine des modes canines comme en d'autres, leur rôle de promoteurs publicitaires.

La race a gardé du Spaniel son adaptabilité, sa gentillesse, ses capacités d'affection proverbiales. Mais son format est moindre : son poids se situe entre 5 et 9 kg, pour une taille moyenne de 32 à 36 cm. Ce qui en fait un chien fort peu encombrant, sans être pour autant miniature. Il est suffisamment robuste ; le standard insiste sur la nécessité pour le Cavalier d'être bien construit ; pour suivre ses maîtres dans leurs promenades. Le cas échéant, il peut se révéler un véritable petit sportif ; ce charmant objet de luxe se souvenant sans doute que ses ancêtres furent jadis des chasseurs réputés. Il est d'ailleurs doté d'une ouïe très fine. Le Cavalier est donc bien plus qu'un carpet-spaniel (mot à mot, un « Epagneul de tapis »), un Epagneul de salon; s'il n'est pas trop lourd pour qu'on le porte, il montre sa vraie nature dès qu'on le pose à terre, où il a un comportement qui n'est en rien celui d'un joli bibelot. Il a certes un côté « british » et chic, une histoire des plus prestigieuses, lui permettant de ne pas déparer les intérieurs les plus luxueux, mais il est surtout un petit chien familial par excellence.

Très sociable, il donne l'impression d'avoir comme but avoué, dans l'existence, de se faire des amis : avec les autres chiens, chaque rencontre est une occasion de trouver un compagnon de jeux ; même avec la gent féline, il est très accommodant et les différends ne seront jamais de son fait. Mais c'est surtout avec les enfants qu'il montre son inaltérable joie de vivre, son goût permanent pour le jeu ; même lorsqu'il prend de l'âge. Compte tenu de sa taille, il peut être confié, pour les promenades, à de jeunes enfants.

Ni exclusif, ni jaloux, il est la vivante illustration de l'adage selon lequel plus on est de fous, plus on s'amuse. Mais il n'est pas pour autant exagérément exubérant, ni survolté. Il s'éduque d'ailleurs facilement, car il n'est pas têtu, comprend vite et dispose d'une excellente mémoire. Les Anglais aiment le faire participer à leurs épreuves d'Obédience (programme d'obéissance), où il obtient de jolis succès. Avec un rien de patience et un peu de fermeté, alliés à du bon sens, on fera du Cavalier un chien facile à vivre, ne suscitant pas de difficultés. Mais avec des maîtres par trop débonnaires, le Cavalier peut se révéler malicieux, voire capricieux.

Ordinairement, le Cavalier aboie peu, mais un sujet laissé trop souvent seul, qui s'ennuie, pourra devenir aboyeur, car il aime par-dessus tout la compagnie et supporte mal une solitude prolongée. S'il ne doit pas être pris pour un chien de garde, il signalera facilement un bruit inhabituel; la présence d'un visiteur ou du facteur, sans jamais jouer un rôle défensif car sa gentillesse et son amabilité sont telles qu'il semble ne pouvoir traiter quelqu'un en ennemi. Le Cavalier, fait pour apporter de la joie dans un groupe, n'a à l'évidence pas vocation à devenir chef de meute ou à prendre au sérieux la défense du territoire.

Les créateurs de la race, dans les années vingt, ont insisté pour que leurs chiens restent no trimming, c'est-à-dire qu'ils soient présentés « nature » dans les expositions canines, sans aucun artifice de toilettage. Il est vrai que le poil du Cavalier, soyeux, long mais non bouclé, parfois légèrement ondulé, abondant sans être épais, ne nécessite pas de soins fastidieux. Un brossage régulier suivi d'un coup de peigne est tout à fait suffisant. Cependant, c'est au prix d'un tel entretien, même sommaire, que le Cavalier aura la mise soignée que l'on peut admirer sur les photos. Deux à trois fois par semaine, on brossera de façon plus approfondie les oreilles, les aisselles, l'intérieur et l'arrière des cuisses. Les oreilles seront fréquemment vérifiées, en particulier à la belle saison, ainsi que les espaces interdigitaux qui sont, selon le standard, bien « emplumés », c'est-à-dire garnis de longs poils : des « épillets », ou épis de graminées, très durs, peuvent se loger dans ces régions du corps si le chien se promène dans la campagne, et provoquer des kystes, des infections entre les doigts ou de vives douleurs auriculaires.

Chien de compagnie, au meilleur sens du terme, le Cavalier se révèle un chien équilibré, resté à l'abri des exagérations morphologiques (miniaturisation extrême). Ses qualités comportementales expliquent son succès, immense en Grande-Bretagne, débutant en France : il satisfait en effet pleinement tous ceux qui, ayant fait l'expérience soit de races de poche, exclusivement d'appartement, soit de chiens à forte personnalité, mais difficiles à tenir, soit de chiens d'apparence fastueuse mais exigeant en contrepartie des soins attentifs et quotidiens, aiment retrouver dans le Cavalier des traits qu'ils apprécient sans en supporter les inconvénients.

English

		Cavalier King Charles Spaniel FCI Standard No. 136

Origin		Great Britain
Group		Group 9 Companion and Toy Dogs
Section		Section 7 English Toy Spaniels
Working		Without working trial
Acceptance on a definitive basis by the FCI		Thursday 20 January 1955
Publication of the official valid standard		Tuesday 04 November 2008
Last update		Monday 12 January 2009
En français, cette race se dit		Cavalier King Charles Spaniel
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar		Cavalier King Charles Spaniel
En español, esta raza se dice		Cavalier King Charles Spaniel
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Cavalier King Charles Spaniel

Usage

Companion and Toy.

General appearance

Active, graceful and well balanced, with gentle expression.

Behaviour / temperament

Sporting, affectionate, absolutely fearless. Gay, friendly, non-aggressive; no tendency towards nervousness.

Head
Cranial region
Skull		Almost flat between ears.
Stop		Shallow.

Facial region
Nose		Nostrils black and well developed without flesh marks.
Muzzle		Length from base of stop to tip of nose about 1 1/2 ins. (3,8 cm). Well tapered. Face well filled below eyes. Any tendency to snipiness undesirable.
Lips		Well developed and not pendulous.
Jaws and teeth		Jaws strong, with a perfect, regular and complete scissor bite, i.e. the upper teeth closely overlapping the lower teeth and set square to the jaws.
Eyes		Large, dark, round but not prominent; spaced well apart.
Ears		Long, set high, with plenty of feather.

Neck

Moderate length, slightly arched.

Body
Back		Level.
Loin		Short-coupled.
Chest		Moderate; good spring of ribs.

Tail

Length of tail in balance with body, well set on, carried happily but never much above the level of the back. Docking previously optional when no more than one-third was to be removed.

Limbs

Forequarters
Generality		Legs moderately boned, straight.
Shoulders		Well laid back.

Hindquarters
Generality		Legs with moderate bone.
Stifle		Well turned.
Hock		No tendency to cow- or sickle-hocks.

Feet

Compact, cushioned and well feathered.

Gait and movement

Free-moving and elegant in action, plenty of drive from behind. Fore-and hindlegs move parallel when viewed from in front and behind.

Coat
Hair		Long, silky, free from curl. Slight wave permissible. Plenty of feathering. Totally free from trimming.
Colour		Recognized colours are : Black and Tan : Raven black with tan markings above the eyes, on cheeks, inside ears, on chest and legs and underside of tail. Tan should be bright. White marks undesirable. Ruby : Whole coloured rich red. White markings undesirable. Blenheim : Rich chestnut markings well broken up, on pearly white ground. Markings evenly divided on head, leaving room between ears for much valued lozenge mark or spot (a unique characteristic of the breed). Tricolour : Black and white well spaced, broken up, with tan markings over eyes, cheeks, inside ears, inside legs, and on underside of tail. Any other colour or combination of colours highly undesirable.

Size and weight
Weight		5,4 - 8 kg (12 - 18 lbs). A small, well-balanced dog well within these weights desirable.

Faults

• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work.
• Faults listed should be in degree of seriousness.

NB :

• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified.
• The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying.
• Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum.
• Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding.

Bibliography

http://www.fci.be/

Detailed history

This easy-going dog has been given a very complicated name, but it has the merit of perfectly summarizing its origins and history.

The Cavalier King Charles Spaniel is part of the Spaniels; in other words, Spaniels. His "cousin", the King Charles Spaniel, is also often listed by the French authors under the name "Epagneul Nain Anglais". From the Renaissance, the Spaniels became, after the ancient Bichons, the most sought after pet dogs on both sides of the Channel. Dwarf Spaniels were the favorites of Charles I, Charles II, Henriette of England, the gentle Mary Stuart and the terrible Elisabeth Ire. A bloody anecdote is that Mary Stuart (1542 - 1587) was accompanied to death by her Dwarf Spaniel, who used to snuggle under her skirts and was found in this position while Mary Stuart was coming from die on the scaffold. To tell the truth, several races claim this tragic honor, for Mary Stuart possessed many dogs. In France, Henry III is represented on a picture with a Spaniel who would have been brought back from Italy; Louis XIV and the Dauphin also had as companions King Charles Spaniels.

These dogs owe their name to the King of England Charles II (1630 - 1685), who loved these miniature Spaniels and had a large number of them. They circulated freely in the royal palaces, especially at Whitehall, and were therefore considered as privileged favorites. They appear on all the paintings representing the sovereign, who took them with him in all his travels, "even when he was in charge of the affairs of the state," wrote the writer Samuel Pepys (1633-1703) with disapproval. Charles II also showed a very moderate interest in his office and often preferred the company of his little Spaniels: "All that I see confirms to me the puerility of the king, who plays with his dogs without stopping, not not very concerned about his duties, "lamented Samuel Pepys in his diary. The king even slept his dogs in his room, he installed the dogs that gave birth, and the puppies were then raised in the royal intimacy, which made the court "disgusting and stinking", according to a writing of the time . The English aristocracy was not long in adopting these dogs, and in a sustainable way, as evidenced by the famous paintings of William Hogarth (1697 - 1764) and Thomas Gainsborough (1727 - 1788).

The King Charles Spaniels were divided into several "families" according to their colors. One of the most famous had a white and orange dress, called "Blenheim" (the orange shade has evolved over time to a brighter tone, bright brown). Blenheim is a town in Bavaria, on the north bank of the Rhine; in 1704, John Churchill, Duke of Marlborough, captain general of the British armies, won a decisive victory over the French army during the War of the Spanish Succession, Marlborough had as favorite dogs small white and orange Spaniels; his wife, the Duchess Sarah, was hoping in vain for news when, holding on her knees a female Spaniel waiting for little ones, she pressed her thumb firmly on the forehead of the animal. When the puppies were born, it was found that they all wore on the forehead an orange mark, the "mark of the duchess Sarah's thumb." When the news of the duke's victory was known, the small white and orange Spaniels bearing a distinctive mark on the forehead were called "Blenheim". This mark still exists in the current variety Blenheim, under the name of "lozenge".

The King Charles Spaniels, with their most prestigious sponsorships, ran happy days until the English aristocracy became infatuated with a newcomer, with an absolutely amazing facet, the Carlin. The King Charles Spaniel breed had to adapt to the demands of the day and its head acquired a very different physiognomy, due to the intervention of the Pugs but also, from the mid-nineteenth century, the first Japanese Spaniels (Tchin) and Pekingese, who dethroned the Carlin in the hearts of the "high society". Radical transformation, as confirmed by the cynologist Stonehenge in 1879: "The brevity of their muzzle has nothing to do with the old standard, when it was brought to the point where it is currently triumphing. And fast transformation, since we have a painting of the famous animal painter Landseer, dating from the 1830s, titled King Charles Spaniels, or the Prince's favorites, and showing two dogs with elongated snouts.

It is likely that the fashion phenomenon is superimposed another. Because of their relative rarity at that time, the breeds of company ended up withering; the contributions of the short-faced Asian Spaniels and the Carlin were probably as necessary as they were beneficial to these "fairy animals misled among the dogs", to use the expression of the newspaper The Field about the King Charles Spaniels.

The desire to return to the appearance of the 17th century King Charles did not materialize until the 1920s. And it was more precisely in 1926 that a Long Island American, Roswell Elridge, took the initiative to encourage the breeders looking for the original type, with an elongated muzzle, little stop and a skull not dome domed, offering for this purpose a price of 25 pounds, as part of the exhibition Cruft for five years. This price was only addressed to King Charles of the Blenheim variety, presenting in addition the characteristic "lozenge". The English breeders took up the challenge, and after a few years they were able to see King Charles as they appeared in the Hogarth and Gainsborough paintings.

The beginnings, however, were difficult because the breeders were reluctant to take back in the opposite direction the work that had brought them to the short nose. Some breeders, including Mrs. Hewitt Pitt, decided to try the experiment using the left-overs King Charles. Based on the results, a standard was written in 1928, which took as a model the subject closest to the dogs represented on the old paintings, a certain Ann's Son, belonging to Miss Mostyn Walker. It was then decided to name Cavalier King Charles these dogs to the type found to differentiate them from King Charles, with a flat nose and dome-shaped skull, which still constitute a race at present. In short, whether they have flattened or elongated snouts, subjects of both types are entitled to the reference to King Charles. In some countries, moreover, like the United States, the two dogs are found under the, common name of Toys English Spaniels (English Spaniels Toys).

The Kennel Club, however, held, in 1945, to dedicate the distinction between King Charles, known colloquially as "Charlie", and Cavalier King Charles. Since then, the score has turned to the advantage of the Cavalier, who has more success than his "cousin". By 1928, moreover, Cavalier King Charles had a special breed club recognized by the Kennel Club; long before, therefore, a separate inscription was envisaged. From 1946, separate titles of champions were awarded. One of the determining factors of the Cavalier's popularity was undoubtedly his entry into the Royal Family of England. In 1960, Princess Margaret and her husband Lord Snowdon adopted a Cavalier, whom they named Rowley, a nod to a distant ancestor of the Princess, named Old Rowley.

The cynophilic consecration came to him thanks to the subject named Alansmere Aquarius. At seventeen months, this Cavalier was successively judged the best of his race at the exhibition of Cruft in 1973, then the best of the group "Toy", and finally "Best in show". He was both the first Cavalier to win this title, and the first Toy. Ten years ago, Amelia of Lagun led the way by becoming the best of the Toys group. Since then, the breed's success has only grown. She is today, in England, among the five most popular breeds, clamoring, with 10,000 births annually, the Yorkshire Terrier. In continental Europe, the Cavalier is mainly used in Holland, Switzerland and the Nordic countries (Sweden and Finland). The beginnings of the Cavalier in France were very discreet. First judged with the King Charles Spaniels, it was noted in 1969, during the exhibition of championship of France, the appearance of a class of Cavaliers, with the participation of two subjects. But the breeding did not really start until 1975, progressing then with big steps. Thus, the year 1987 saw the birth of 692 subjects.

The situation is still relatively confused in the United States since the Cavalier, still part of the English Spaniel Toys, can compete in "various classes". However, Ronald Reagan having offered his wife Nancy a Cavalier in 1986, there is no doubt that the race will develop quickly; the media playing, in the field of canine fashions as in others, their role as advertising promoters.

The breed has kept the Spaniel adaptability, kindness, proverbial abilities of affection. But its format is less: its weight is between 5 and 9 kg, for an average size of 32 to 36 cm. This makes it a very compact dog, without being miniature. It is robust enough; the standard insists on the need for the Cavalier to be well built; to follow his masters in their walks. If necessary, it can be a real little sportsman; this charming luxury object, no doubt remembering that his ancestors were once famous hunters. It is also endowed with a very fine hearing. The Cavalier is thus much more than a carpet-spaniel (word for word, a "carpet spaniel"), a living spaniel; if it is not too heavy to wear, it shows its true nature as soon as it is placed on the ground, where it has a behavior that is in no way that of a pretty trinket. It certainly has a "British" and chic side, a history of the most prestigious, allowing him not to disassemble the most luxurious interiors, but he is above all a small family dog par excellence.

Very sociable, he gives the impression of having an avowed goal, in existence, to make friends: with other dogs, each meeting is an opportunity to find a playmate; even with the feline kind, he is very accommodating and disputes will never be his. But it is especially with children that he shows his unalterable joie de vivre, his permanent taste for play; even when he is getting older. Given its size, it can be entrusted, for walks, to young children.

Neither exclusive nor jealous, it is the living illustration of the adage that the more we are crazy, the more fun we have. But it is not exaggerated or exuberant. He is easily educated because he is not stubborn, understands quickly and has an excellent memory. The English like to make him participate in their Obedience tests (obedience program), where he gets some pretty good results. With a little patience and a little firmness, combined with common sense, we will make the Cavalier a dog easy to live, not causing difficulties. But with masters too good, the Cavalier can be malicious, even capricious.

Usually, the Cavalier barks little, but a subject left too often alone, who is bored, may become a barker, for he loves the company above all else, and ill endures a prolonged solitude. If it is not to be taken for a watchdog, it will easily signal an unusual sound; the presence of a visitor or factor, without ever playing a defensive role because his kindness and friendliness are such that he seems unable to treat someone as an enemy. The Cavalier, made to bring joy in a group, obviously has no vocation to become leader of the pack or to take seriously the defense of the territory.

The creators of the breed, in the twenties, insisted that their dogs remain trimming, that is to say that they are presented "nature" in dog shows, without any grooming artifice. It is true that the hair of the Cavalier, silky, long but not curly, sometimes slightly waved, abundant without being thick, does not require tedious care. Regular brushing followed by a comb is quite sufficient. However, it is at the price of such an interview, even summary, that the Cavalier will have the careful layout that can be admired in the photos. Two to three times a week, the ears, armpits, inside and back of the thighs will be thoroughly brushed. The ears will be frequently checked, especially in the summer, as well as the interdigital spaces which are, according to the standard, well "feathered", that is to say, furnished with long hairs: "spikelets", or ears of Grasses, very hard, can lodge in these areas of the body if the dog walks in the countryside, and cause cysts, infections between the fingers or severe ear pain.

Pet dog, in the best sense of the word, the Cavalier is a balanced dog, immune to morphological exaggerations (extreme miniaturization). His behavioral qualities explain his success, huge in Britain, starting in France: he fully satisfies all those who, having experienced either pocket races, exclusively flat, or dogs with strong personality, but difficult to hold, or dogs of ostentatious appearance but demanding in return for attentive and daily care, like to find in the Cavalier traits that they appreciate without bearing the inconveniences.

Deutsch

		Cavalier King Charles Spaniel FCI-Standard Nr. 136

Ursprung		Grossbritannien
Übersetzung		Frau Karin Biala, überprüft durch Herrn Uwe Fischer
Gruppe		Gruppe 9 Gesellschafts- und Begleithunde
Sektion		Sektion 7 Englische Gesellschaftsspaniel
Arbeitsprüfung		Ohne Arbeitsprüfung
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI		Donnerstag 20 Januar 1955
Publikation des gültigen offiziellen Standards		Dienstag 04 November 2008
Letzten Aktualisierung		Montag 12 Januar 2009
En français, cette race se dit		Cavalier King Charles Spaniel
In English, this breed is said		Cavalier King Charles Spaniel
En español, esta raza se dice		Cavalier King Charles Spaniel
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Cavalier King Charles Spaniel

Verwendung

Gesellschaftsspaniel.

Allgemeines erscheinungsbild

Aktiv, anmutig und ausgewogen, mit sanftem Ausdruck.

Verhalten / charakter (wesen)

Unternehmungs-lustig, liebevoll, absolut furchtlos. Fröhlich, freundlich, nicht streitsüchtig, keinerlei Neigung zu Nervosität.

Kopf
Oberkopf
Schädel		Schädel zwischen den Ohren flach.
Stop		Flach.

Facial region
Nasenschwamm		Schwarz und gut entwickelt, ohne fleischfarbene Markierungen.
Fang		Länge des Fangs von Stop bis zur Nasenspitze ungefähr 3,8 cm ( 1 ½ ins), sich gut verjüngend. Die Partie unter den Augen ist gut ausgefüllt. Jegliches Zeichen eines schwachen, spitzen Fangs ist unerwünscht.
Lefzen		Gut entwickelt, aber nicht hängend.
Kiefer / Zähne		Kräftige Kiefer mit einem perfekten, regelmässigen und vollständigen Scherengebiss, wobei die obere Schneidezahnreihe ohne Zwischenraum über die untere greift und die Zähne senkrecht im Kiefer stehen.
Augen		Gross, dunkel, rund, jedoch nicht vorstehend; mit gutem Abstand voneinander.
Ohren		Lang, hoch angesetzt, mit reichlicher Befederung.

Hals

Mässig lang, leicht gebogen.

Körper
Rücken		Gerade.
Lenden		Kurz-geschlossen.
Brust		Mässig entwickelt.
Rippen		Rippen gut gewölbt.

Rute

Rutenlänge im Einklang mit dem Gebäude, gut angesetzt, lustig aber niemals deutlich über der Rückenlinie getragen. Kupieren der Rute ehemals gestattet; jedoch höchstens um ein Drittel.

Gliedmassen

Vorderhand
Allgemeines		Läufe gerade mit mittelmässiger Knochenstärke.
Schultern		Gut zurückliegend.

Hinterhand
Allgemeines		Läufe mit mittelmässiger Knochenstärke.
Knie		Gut gewinkelt.
Sprunggelenk		Keine Anzeichen von Kuhhessigkeit oder Über-winkelung.

Pfoten

Kompakt, gepolstert und gut befedert.

Gangwerk

Freier und eleganter Bewegungsablauf. Sehr viel Schub aus der Hinterhand. Vorderläufe und Hinterläufe bewegen sich parallel zueinander von vorn oder von hinten gesehen.

Coat
Haar		Lang, seidig, ohne Locken. Leichte Wellung gestattet. Üppige Befederung. Darf absolut nicht getrimmt werden.
Farbe		Folgende Farben sind anerkannt : Black and Tan : Rabenschwarz mit lohfarbenen Abzeichen über den Augen, an den Wangen, an der Innenseite der Ohren, an der Brust, an den Läufen und an der Unterseite der Rute. Die Lohfarbe sollte leuchtend sein. Weisse Flecken unerwünscht. Ruby : Einfarbig tiefrot. Weisse Flecken unerwünscht. Blenheim : Gut unterbrochene intensiv kastanienrote Abzeichen auf perlweisser Grundfarbe. Abzeichen am Kopf gleichmässig verteilt und lassen ausreichend Zwischenraum für den sehr geschätzen « Lozenge - Flecken » (ein einzigartiges Merkmal dieser Rasse). Tricolour : Gut verteiltes und gut unterbrochenes schwarz-weiss mit lohfarbenen Abzeichen über den Augen, an den Wangen, an der Innenseite der Ohren, an der Innenseite der Läufe und an der Unterseite der Rute. Jede andere Farbe oder Farbzusammensetzung ist höchst unerwünscht.

Grösse und gewicht
Gewicht		5,5 bis ca. 8 kg (12 - 18 pounds). Ein kleiner, sehr ausgeglichener Hund in diesen Grenzen erwünscht.

Fehler

• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen.
• Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden.

NB :

• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden.
• Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend.
• Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden.
• Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Detaillierter Verlauf

Dieser unbekümmerte Hund hat einen sehr komplizierten Namen bekommen, aber er hat den Vorzug, seine Herkunft und Geschichte perfekt zusammenzufassen.

Der Cavalier King Charles Spaniel ist Teil der Spaniels; mit anderen Worten, Spaniels. Sein "Cousin", der King Charles Spaniel, wird von den französischen Autoren auch oft unter dem Namen "Epagneul Nain Anglais" aufgeführt. Seit der Renaissance sind die Spaniel nach den alten Bichons die begehrtesten Hunde auf beiden Seiten des Kanals. Zwergspaniels waren die Lieblinge von Charles I, Charles II, Henriette von England, der sanften Mary Stuart und der schrecklichen Elisabeth Ire. Eine blutige Anekdote ist, dass Mary Stuart (1542 - 1587) von ihrem Zwerg Spaniel, der sich unter ihren Röcken kuschelte und in dieser Position gefunden wurde, während Mary Stuart kam, zu Tode begleitet wurde stirb auf dem Gerüst. Um die Wahrheit zu sagen, behaupten mehrere Rassen diese tragische Ehre, denn Mary Stuart besaß viele Hunde. In Frankreich ist Heinrich III. Auf einem Bild mit einem Spaniel vertreten, der aus Italien zurückgebracht worden wäre; Louis XIV und der Dauphin hatten auch als Begleiter King Charles Spaniels.

Diese Hunde verdanken ihren Namen dem König von England, Charles II. (1630 - 1685), der diese Miniatur-Spaniels liebte und eine große Anzahl von ihnen hatte. Sie zirkulierten frei in den königlichen Palästen, besonders in Whitehall, und galten somit als privilegierte Favoriten. Sie erscheinen auf allen Gemälden, die den Souverän darstellen, der sie auf allen seinen Reisen mitnahm, "sogar als er für die Staatsangelegenheiten zuständig war", schrieb Samuel Pepys (1633-1703) mißbilligend. Charles II. Zeigte auch ein sehr gemäßigtes Interesse an seinem Büro und bevorzugte oft die Gesellschaft seiner kleinen Spaniels: "Alles, was ich sehe, bestätigt mir die Kindlichkeit des Königs, der mit seinen Hunden spielt, ohne anzuhalten, nicht nicht sehr besorgt über seine Pflichten ", klagte Samuel Pepys in seinem Tagebuch. Der König schlief sogar seine Hunde in seinem Zimmer, er installierte die Hunde, die geboren wurden, und die Welpen wurden dann in der königlichen Intimität erzogen, was den Hof "ekelhaft und stinkend" machte, nach einer Schrift der Zeit . Die englische Aristokratie hat diese Hunde nicht lange adoptiert, und dies auf nachhaltige Weise, wie die berühmten Gemälde von William Hogarth (1697 - 1764) und Thomas Gainsborough (1727 - 1788) zeigen.

Die King Charles Spaniels wurden in verschiedene "Familien" nach ihren Farben eingeteilt. Einer der berühmtesten war ein weiß-orangenes Kleid namens "Blenheim" (der orangefarbene Farbton hat sich im Laufe der Zeit zu einem helleren Ton entwickelt, hellbraun). Blenheim ist eine Stadt in Bayern, am Nordufer des Rheins; 1704 gewann John Churchill, Herzog von Marlborough, Hauptmann der britischen Armeen, einen entscheidenden Sieg über die französische Armee während des Spanischen Erbfolgekrieges, Marlborough hatte als Lieblingshunde kleine weiße und orangefarbene Spaniels; seine Frau, die Herzogin Sarah, hoffte vergeblich auf Neuigkeiten, als sie, auf ihren Knien eine Spanielin auf die Kleinen wartend, ihren Daumen fest auf die Stirn des Tieres drückte. Als die Welpen geboren wurden, stellte man fest, dass sie alle auf der Stirn ein orangefarbenes Zeichen trugen, das "Zeichen des Daumens Sarahs Daumen". Als die Nachricht von dem Sieg des Herzogs bekannt wurde, wurden die kleinen weißen und orangefarbenen Spaniels, die ein unverwechselbares Zeichen auf der Stirn trugen, "Blenheim" genannt. Diese Marke existiert noch in der aktuellen Sorte Blenheim, unter dem Namen "Raute".

Die King Charles Spaniels, mit ihren prestigeträchtigsten Patenschaften, hatten glückliche Tage, bis die englische Aristokratie von einem Neuankömmling fasziniert wurde, mit einer absolut erstaunlichen Facette, dem Carlin. Die Rasse King Charles Spaniel musste sich den Anforderungen des Tages anpassen und ihr Kopf erhielt eine ganz andere Physiognomie, bedingt durch die Intervention der Pugs, aber ab Mitte des 19. Jahrhunderts auch die ersten japanischen Spaniels (Tchin) und Pekinese, der den Carlin in den Herzen der "High Society" entthronte. Radikale Transformation, wie der Kynologe Stonehenge 1879 bestätigte: "Die Kürze ihrer Schnauze hat nichts mit dem alten Standard zu tun, als er an den Punkt gebracht wurde, an dem er gerade triumphiert. Und eine schnelle Verwandlung, denn wir haben ein Gemälde des berühmten Tiermalers Landseer aus den 1830er Jahren mit dem Titel King Charles Spaniel oder der Liebling des Prinzen und zeigen zwei Hunde mit langgezogenen Schnauzen.

Es ist wahrscheinlich, dass das Modephänomen ein anderes überlagert. Wegen ihrer relativen Seltenheit zu dieser Zeit, die Rassen der Kompanie sind verwelkt; die Beiträge der Kurzgesichtigen Asian Spaniels und der Carlin waren wahrscheinlich ebenso notwendig wie nützlich für diese "Märchentiere, die unter den Hunden irregeführt wurden", um den Ausdruck der Zeitung The Field über den King Charles Spaniel zu verwenden.

Der Wunsch, zum Äußeren des Königs Charles aus dem 17. Jahrhundert zurückzukehren, kam erst in den 1920er Jahren auf, und genauer gesagt, im Jahr 1926 ergriff ein Amerikaner aus Long Island, Roswell Elridge, die Initiative, um die Züchter zu ermutigen auf der Suche nach dem ursprünglichen Typ, mit einer langgestreckten Schnauze, einem kleinen Stop und einem Schädel, der nicht gewölbt ist und zu diesem Zweck einen Preis von 25 Pfund anbietet, als Teil der Ausstellung Cruft für fünf Jahre. Dieser Preis wurde nur an König Charles der Sorte Blenheim gerichtet, der zusätzlich die charakteristische "Raute" präsentierte. Die englischen Züchter nahmen die Herausforderung an, und nach ein paar Jahren konnten sie König Charles sehen, wie sie in den Hogarth- und Gainsborough-Gemälden erschienen.

Die Anfänge waren jedoch schwierig, weil die Züchter nur ungern die Arbeit, die sie an die kurze Nase gebracht hatte, in die entgegengesetzte Richtung zurücknahmen. Einige Züchter, einschließlich Frau Hewitt Pitt entschied sich, das Experiment mit dem übrig gebliebenen King Charles zu versuchen. Basierend auf den Ergebnissen wurde 1928 ein Standard geschrieben, der das den Hunden auf den alten Gemälden am nächsten stehende Thema, einen gewissen Ann's Son, der Miss Mostyn Walker gehörte, zum Vorbild nahm. Es wurde dann beschlossen, Cavalier King Charles diese Hunde zu dem Typ zu nennen, der sie von König Charles unterscheidet, mit einer flachen Nase und einem kuppelförmigen Schädel, die zur Zeit noch eine Rasse bilden. Kurz gesagt, ob sie die Schnauzen platt gemacht oder verlängert haben, die Subjekte beider Typen haben Anspruch auf den Hinweis auf König Charles. In einigen Ländern, wie den Vereinigten Staaten, werden die beiden Hunde unter dem gemeinsamen Namen Toys English Spaniels (English Spaniels Toys) gefunden.

Der Kennel Club hielt jedoch 1945 die Unterscheidung zwischen König Charles, der umgangssprachlich als "Charlie" bekannt ist, und Cavalier King Charles. Seitdem hat sich das Ergebnis zum Vorteil des Cavalier entwickelt, der mehr Erfolg hat als sein "Cousin". Bis 1928 hatte Cavalier King Charles außerdem einen speziellen Zuchtverein, der vom Kennel Club anerkannt wurde; lange vorher war deshalb eine gesonderte Inschrift vorgesehen. Ab 1946 wurden separate Meistertitel vergeben. Einer der bestimmenden Faktoren für die Popularität des Cavalier war zweifellos sein Eintritt in die königliche Familie von England. Im Jahr 1960 adoptierten Prinzessin Margaret und ihr Ehemann Lord Snowdon einen Kavalier, den sie Rowley nannten, eine Anspielung auf einen entfernten Vorfahren der Prinzessin namens Old Rowley.

Die cynophile Weihe kam ihm dank des Themas namens Alansmere Aquarius. Mit siebzehn Monaten wurde dieser Cavalier 1973 auf der Cruft-Ausstellung als bestes seiner Rasse gewertet, dann das Beste aus der Gruppe "Toy" und schließlich "Best in Show". Er war sowohl der erste Cavalier, der diesen Titel gewann, als auch das erste Toy. Vor zehn Jahren hat Amelia von Lagun die Spitze der Toys-Gruppe angeführt. Seitdem ist der Erfolg der Rasse nur gewachsen. Sie gehört heute, in England, zu den fünf beliebtesten Rassen, die mit jährlich 10.000 Geburten den Yorkshire Terrier lärmen. In Kontinentaleuropa wird der Cavalier hauptsächlich in Holland, der Schweiz und den nordischen Ländern (Schweden und Finnland) verwendet. Die Anfänge des Cavalier in Frankreich waren sehr diskret. Zuerst mit den King Charles Spaniels beurteilt, wurde 1969, während der Ausstellung der Meisterschaft von Frankreich, der Auftritt einer Klasse von Cavaliers unter der Teilnahme von zwei Themen bemerkt. Aber die Zucht begann erst 1975, dann mit großen Schritten. So wurden 1987 692 Personen geboren.

Die Situation ist in den Vereinigten Staaten immer noch relativ verwirrt, da der Cavalier, der immer noch Teil des englischen Spaniel Toys ist, in "verschiedenen Klassen" antreten kann. Da Ronald Reagan seiner Frau Nancy 1986 einen Cavalier angeboten hat, besteht kein Zweifel, dass sich das Rennen schnell entwickeln wird; die Medien spielen im Bereich der Hunde-Mode wie in anderen ihre Rolle als Werbeträger.

Die Rasse hat die Spaniel Anpassungsfähigkeit, Freundlichkeit, sprichwörtliche Fähigkeiten der Zuneigung gehalten. Aber sein Format ist weniger: Sein Gewicht liegt zwischen 5 und 9 kg, für eine durchschnittliche Größe von 32 bis 36 cm. Dies macht es zu einem sehr kompakten Hund, ohne Miniatur zu sein. Es ist robust genug; Der Standard besteht auf der Notwendigkeit, dass der Cavalier gut gebaut ist; seinen Meistern auf ihren Spaziergängen zu folgen. Bei Bedarf kann es ein echter kleiner Sportler sein; dieses charmante Luxusobjekt, ohne Zweifel daran erinnern, dass seine Vorfahren einst berühmte Jäger waren. Es ist auch mit einem sehr feinen Gehör ausgestattet. Der Cavalier ist also viel mehr als ein Teppich-Spaniel (Wort für Wort, ein "Teppich-Spaniel"), ein lebender Spaniel; Wenn es nicht zu schwer ist, um es zu tragen, zeigt es seine wahre Natur, sobald es auf den Boden gelegt wird, wo es ein Verhalten hat, das keinesfalls ein hübsches Schmuckstück ist. Es hat sicherlich eine "britische" und schicke Seite, eine Geschichte der angesehensten, die es ihm erlaubt, nicht die luxuriösesten Innenräume zu zerlegen, aber er ist vor allem ein kleiner Familienhund par excellence.

Sehr gesellig macht er den Eindruck, ein erklärtes Ziel zu haben, Freunde zu finden: mit anderen Hunden ist jedes Treffen eine Gelegenheit, einen Spielkameraden zu finden; Selbst mit der Katzenart ist er sehr zuvorkommend und Streitigkeiten werden nie seine sein. Aber gerade bei Kindern zeigt er seine unveränderliche Lebensfreude, seinen permanenten Spielgeschmack; auch wenn er älter wird. Aufgrund seiner Größe kann es kleinen Kindern als Spaziergänger anvertraut werden.

Weder exklusiv noch eifersüchtig, es ist die lebendige Illustration des Sprichworts, dass je mehr wir verrückt sind, desto mehr Spaß haben wir. Aber es ist nicht übertrieben oder überschwänglich. Er ist leicht erzogen, weil er nicht stur ist, schnell versteht und ein ausgezeichnetes Gedächtnis hat. Die Engländer machen ihn gerne an ihren Obedience-Tests (Gehorsams-Programm) teilnehmen, wo er einige ziemlich gute Ergebnisse erzielt. Mit etwas Geduld und ein wenig Strenge, kombiniert mit gesundem Menschenverstand, werden wir den Cavalier zu einem Hund machen, der leicht zu leben ist und keine Schwierigkeiten verursacht. Aber mit zu guten Meistern kann der Cavalier böswillig, sogar launisch sein.

Gewöhnlich bellt der Cavalier wenig, aber ein zu oft allein gelassener Mensch, der gelangweilt ist, kann ein Beller werden, denn er liebt die Gesellschaft über alles und erträgt eine lange Einsamkeit. Wenn es nicht für einen Wachhund gehalten wird, wird es leicht einen ungewöhnlichen Ton signalisieren; die Anwesenheit eines Besuchers oder Faktors, ohne jemals eine defensive Rolle zu spielen, weil seine Freundlichkeit und Freundlichkeit so sind, dass er nicht in der Lage ist, jemanden als Feind zu behandeln. Der Cavalier, der gemacht ist, um in einer Gruppe Freude zu bringen, hat offensichtlich keine Berufung, Führer des Rudels zu werden oder die Verteidigung des Territoriums ernst zu nehmen.

Die Schöpfer der Rasse, in den zwanziger Jahren, bestanden darauf, dass ihre Hunde trimmen bleiben, das heißt, dass sie "Natur" in Hundeausstellungen präsentiert werden, ohne jegliche Kunstgriffe. Es ist wahr, dass das Haar des Cavalier, seidig, lang, aber nicht lockig, manchmal leicht gewellt, reichlich ohne dick zu sein, keine langweilige Sorge erfordert. Regelmäßiges Bürsten gefolgt von einem Kamm ist völlig ausreichend. Es ist jedoch der Preis eines solchen Interviews, sogar eine Zusammenfassung, dass der Cavalier das sorgfältige Layout haben wird, das auf den Fotos zu bewundern ist. Zwei bis drei Mal pro Woche werden die Ohren, Achselhöhlen, Innen- und Rückseite der Oberschenkel gründlich gebürstet. Die Ohren werden besonders im Sommer, sowie die Interdigitalräume, die nach dem Standard gut gefiedert, dh mit langen Haaren versehen sind, regelmäßig überprüft: "Ährchen" oder Ohren von Gräser, die sehr hart sind, können sich in diesen Bereichen des Körpers ansiedeln, wenn der Hund auf dem Land spazieren geht und Zysten, Infektionen zwischen den Fingern oder starke Ohrenschmerzen verursacht.

Haustierhund, im besten Sinne des Wortes, ist der Cavalier ein ausgewogener Hund, immun gegen morphologische Übertreibungen (extreme Miniaturisierung). Seine Verhaltensqualitäten erklären seinen großen Erfolg in Großbritannien, beginnend in Frankreich: er befriedigt alle diejenigen, die, entweder mit Pocket Races, ausschließlich flache, oder Hunde mit starker Persönlichkeit, erlebt haben Schwer zu halten, oder Hunde von protzigem Aussehen, aber fordernd für die aufmerksame und tägliche Sorge, mögen in den Cavaliermerkmalen finden, die sie schätzen, ohne die Unannehmlichkeiten zu tragen.

Español

		Cavalier King Charles Spaniel FCI Standard No. 136

Origen		Gran Bretaña
Traducción		Lic. Oscar Valverde Calvo (Costa Rica)
Grupo		Grupo 9 Perros de compañia
Sección		Sección 7 Spaniels ingleses de compañia
Prueba de trabajo		Sin prueba de trabajo
Reconocimiento a título definitivo por la FCI		jueves 20 enero 1955
Publicación del estándar oficial válido		martes 04 noviembre 2008
Última actualización		lunes 12 enero 2009
En français, cette race se dit		Cavalier King Charles Spaniel
In English, this breed is said		Cavalier King Charles Spaniel
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Cavalier King Charles Spaniel
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd		Cavalier King Charles Spaniel

Utilizacion

Perro de compañia.

Aspecto general

Perro activo, gracioso y bien equilibrado, con una expresión amable.

Temperamento / comportamiento

Es un perro deportivo, afectuoso y sin timidez alguna. Alegre, amigable, no agresivo y sin ningún asomo de nerviosismo.

Cabeza
Region craneal
Cráneo		Casi plano entre las orejas.
Depresión naso-frontal (stop)		Poco profunda.

Facial region
Trufa		Bien desarrollada y de color negro, sin manchas color carne.
Hocico		La distancia desde la base de la depresión fronto nasal a la punta de la nariz es de 1 1/2 pulgadas (3,8 cm). El hocico disminuye progresivamente hacia la punta. La cara está bien rellena debajo de los ojos. Cualquier asomo de afinimiento es indeseable.
Belfos		Bien desarrollados, pero sin colgar.
Mandíbulas / Dientes		Maxilares fuertes, con mordida en tijera perfecta, regular y completa, es decir, que la cara interna de los incisivos superiores esté en contacto estrecho con la cara externa de los incisivos inferiores; los dientes deben ser implantados en ángulo recto en las mandíbulas.
Ojos		Grandes, oscuros, redondos pero no protuberantes, bastante separados entre sí.
Orejas		Largas, de implantación alta y cubiertas de abundante pelo flecoso.

Cuello

Moderadamente largo y ligeramente arqueado.

Cuerpo
Espalda		Nivelado.
Lomo		Corto.
Pecho		Moderadamente desarrollado con costillas bien arqueadas.

Cola

El largo de la cola debe estar en armonía con el cuerpo, bien implantada, llevada alegremente pero nunca sobre la línea dorsal. Su amputación anteriormente optativa cuando no debía amputarse más de la tercera parte.

Extremidades

Miembros anteriores
Generalidad		Miembros rectos y de huesos moderadamente desarrollados.
Hombro		Bien inclinados.

Miembros posteriores
Generalidad		De huesos moderadamente desarrollados.
Rodilla		Bien anguladas.
Corvejón		No deben presentar ningún asomo de tener forma de vaca o forma de hoz.

Pies

Compactos, con almohadillas plantares gruesas y bien cubiertas de pelo largo flecoso.

Movimiento

De movimiento desenvuelto y elegante con mucho impulso dado por sus miembros posteriores. Vistos desde frente o desde atrás, las extremidades anteriores y posteriores se mueven en un plano paralelo.

Manto
Pelo		Largo, sedoso, y sin rizarse. Se permite una ligera ondulación. Con muchos flecos. No se debe recortar en absoluto.
Color		Los colores reconocidos son : Negro y Fuego : Negro brillante con manchas fuego sobre los ojos, en las mejillas, adentro de las orejas, en el pecho, en las extremidades y en la parte inferior de la cola. El color fuego debe ser brillante. Las manchas blancas son indeseables. Rubí : Un color rojo intenso uniforme. Las manchas blancas son indeseables. Blenhein : Manchas de color castaño vivo bien repartidas sobre un fondo blanco. Las manchas deben estar divididas en partes iguales sobre la cabeza, dejando un espacio libre entre las orejas para una marca (lunar, lozenge mark) blanca muy apreciada (una característica distintiva de la raza). Tricolor : Negro y blanco bien espaciado y repartido, con manchas fuego sobre los ojos, mejillas, adentro de las orejas, en la parte interior de las extremidades y en la inferior de la cola. Cualquier otro color u otra combinación de colores es muy indeseable.

Tamaño y peso
Peso		Entre 12 y 18 libras inglesas (5,4 a 8 kg). Es deseable un perro pequeño bien equilibrado que se encuentre entre estos pesos.

Faltas

• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional.
• Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad.

NB :

• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado.
• Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias.
• Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto.
• Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza.

Bibliografía

http://www.fci.be/

Historia detallada

A este perro tranquilo se le ha dado un nombre muy complicado, pero tiene el mérito de resumir perfectamente sus orígenes e historia.

El Cavalier King Charles Spaniel es parte de los Spaniels; en otras palabras, Spaniels. Su "primo", el King Charles Spaniel, también es mencionado a menudo por los autores franceses bajo el nombre "Epagneul Nain Anglais". Desde el Renacimiento, los Spaniels se convirtieron, después de los Bichones antiguos, en los perros domésticos más buscados en ambos lados del Canal de la Mancha. Los Spaniels enanos eran los favoritos de Charles I, Charles II, Henriette de Inglaterra, la gentil Mary Stuart y la terrible Elisabeth Ire. Una anécdota sangrienta es que Mary Stuart (1542-1587) fue acompañada hasta la muerte por su Dwarf Spaniel, quien solía acurrucarse debajo de sus faldas y fue encontrada en esta posición mientras Mary Stuart venía de morir en el andamio. A decir verdad, varias razas reclaman este honor trágico, porque Mary Stuart poseía muchos perros. En Francia, Henry III está representado en una imagen con un Spaniel que habría sido traído de Italia; Louis XIV y el Delfín también tenían como compañeros King Charles Spaniels.

Estos perros deben su nombre al Rey de Inglaterra Carlos II (1630 - 1685), que amaba estos Spaniels en miniatura y tenía un gran número de ellos. Circuló libremente en los palacios reales, especialmente en Whitehall, y por lo tanto se consideraron como favoritos privilegiados. Aparecen en todas las pinturas que representan al soberano, que las llevó consigo en todos sus viajes, "incluso cuando estaba a cargo de los asuntos del estado", escribió el escritor Samuel Pepys (1633-1703) con desaprobación. Carlos II también mostró un interés muy moderado en su oficina y a menudo prefería la compañía de sus pequeños perros de sangre: "Todo lo que veo me confirma la infantilidad del rey, que juega con sus perros sin parar, no no muy preocupado por sus deberes ", se lamentó Samuel Pepys en su diario. El rey incluso durmió a sus perros en su habitación, instaló a los perros que dieron a luz, y los cachorros fueron criados en la intimidad real, lo que hizo que la corte "asquerosa y maloliente", según un escrito de la época. . La aristocracia inglesa no tardó en adoptar estos perros, y de forma sostenible, como lo demuestran las famosas pinturas de William Hogarth (1697 - 1764) y Thomas Gainsborough (1727 - 1788).

Los King Charles Spaniels se dividieron en varias "familias" según sus colores. Uno de los más famosos tenía un vestido blanco y naranja, llamado "Blenheim" (el tono naranja ha evolucionado con el tiempo a un tono más brillante, marrón brillante). Blenheim es una ciudad en Baviera, en la orilla norte del Rin; en 1704, John Churchill, duque de Marlborough, capitán general de los ejércitos británicos, obtuvo una victoria decisiva sobre el ejército francés durante la Guerra de Sucesión española, Marlborough tenía como perros favoritos pequeños Spaniels blancos y naranjas; su esposa, la duquesa Sarah, esperaba en vano noticias cuando, apoyando sobre sus rodillas a un perro de aguas femenino esperando a los pequeños, apretó con firmeza el pulgar en la frente del animal. Cuando nacieron los cachorros, se descubrió que todos llevaban en la frente una marca naranja, la "marca de la duquesa, el pulgar de Sarah". Cuando se supo la noticia de la victoria del duque, los pequeños Spaniels blancos y anaranjados con una marca distintiva en la frente se llamaron "Blenheim". Esta marca todavía existe en la variedad actual Blenheim, bajo el nombre de "pastilla".

Los King Charles Spaniels, con sus patrocinios más prestigiosos, corrieron días felices hasta que la aristocracia inglesa se enamoró de un recién llegado, con una faceta absolutamente increíble, el Carlin. La raza King Charles Spaniel tuvo que adaptarse a las demandas del día y su cabeza adquirió una fisonomía muy diferente, debido a la intervención de los Pugs pero también, a partir de mediados del siglo XIX, los primeros Spaniels japoneses (Tchin) y Pekingese, quien destronó a los Carlin en los corazones de la "alta sociedad". Transformación radical, como lo confirmó el cinólogo Stonehenge en 1879: "La brevedad de su hocico no tiene nada que ver con el viejo estándar, cuando llegó al punto en que actualmente triunfa. Y una rápida transformación, ya que tenemos una pintura del famoso pintor de animales Landseer, que data de la década de 1830, titulada King Charles Spaniels, o los favoritos del Príncipe, y que muestra dos perros con hocicos alargados.

Es probable que el fenómeno de la moda se superponga a otro. Debido a su relativa rareza en ese momento, las razas de la compañía terminaron marchitándose; las contribuciones de los Short-faced Asian Spaniels y Carlin fueron probablemente tan necesarias como beneficiosas para estos "hadas extraviados entre los perros", para usar la expresión del periódico The Field about the King Charles Spaniels.

El deseo de volver a la apariencia del rey Carlos del siglo XVII no se materializó hasta la década de 1920. Y fue más precisamente en 1926 que un estadounidense de Long Island, Roswell Elridge, tomó la iniciativa de alentar a los criadores buscando el tipo original, con un hocico alargado, una pequeña parada y una calavera no abovedada, ofreciendo para este propósito un precio de 25 libras, como parte de la exposición Cruft durante cinco años. Este precio solo se destinó a la variedad King Charles of the Blenheim, presentando además la característica "pastilla". Los criadores ingleses aceptaron el reto, y después de unos años pudieron ver al Rey Carlos tal como aparecían en las pinturas de Hogarth y Gainsborough.

Los comienzos, sin embargo, fueron difíciles porque los criadores eran reacios a llevar en la dirección opuesta el trabajo que los había llevado a la nariz corta. Algunos criadores, incluida la Sra. Hewitt Pitt, decidió probar el experimento con las sobras del Rey Carlos. En base a los resultados, se redactó un estándar en 1928, que tomó como modelo el tema más cercano a los perros representados en las pinturas antiguas, un cierto Hijo de Ann, perteneciente a la señorita Mostyn Walker. Entonces se decidió nombrar al Cavalier King Charles estos perros al tipo encontrado para diferenciarlos del Rey Charles, con una nariz plana y un cráneo en forma de cúpula, que todavía constituyen una raza en este momento. En resumen, ya sea que tengan hocicos achatados o alargados, los sujetos de ambos tipos tienen derecho a la referencia al Rey Carlos. En algunos países, además, como en los Estados Unidos, los dos perros se encuentran bajo el nombre común de Toys English Spaniels (English Spaniels Toys).

El Kennel Club, sin embargo, sostuvo, en 1945, dedicar la distinción entre el Rey Carlos, conocido coloquialmente como "Charlie", y el Cavalier King Charles. Desde entonces, el puntaje se ha convertido en una ventaja para el Cavalier, que tiene más éxito que su "primo". En 1928, además, Cavalier King Charles tenía un club de raza especial reconocido por el Kennel Club; mucho antes, por lo tanto, se concibió una inscripción por separado. A partir de 1946, se otorgaron títulos de campeones por separado. Uno de los factores determinantes de la popularidad del Cavalier fue, sin duda, su ingreso a la Familia Real de Inglaterra. En 1960, la Princesa Margaret y su esposo Lord Snowdon adoptaron un Cavalier, al que llamaron Rowley, un guiño a un ancestro lejano de la Princesa, llamado Old Rowley.

La consagración cinófila vino a él gracias al sujeto llamado Alansmere Acuario. En diecisiete meses, este Cavalier fue juzgado sucesivamente como el mejor de su raza en la exhibición de Cruft en 1973, luego el mejor del grupo "Toy", y finalmente "Best in show". Fue el primer Cavalier en ganar este título y el primer Toy. Diez años atrás, Amelia de Lagun lideró el camino al convertirse en la mejor del grupo Toys. Desde entonces, el éxito de la raza solo ha crecido. Ella es hoy, en Inglaterra, una de las cinco razas más populares, clamando, con 10,000 nacimientos por año, el Yorkshire Terrier. En Europa continental, el Cavalier se usa principalmente en Holanda, Suiza y los países nórdicos (Suecia y Finlandia). Los comienzos del Cavalier en Francia fueron muy discretos. Primero juzgado con los King Charles Spaniels, se observó en 1969, durante la exhibición del campeonato de Francia, la aparición de una clase de Cavaliers, con la participación de dos sujetos. Pero la crianza en realidad no comenzó hasta 1975, progresando luego con grandes pasos. Por lo tanto, el año 1987 vio el nacimiento de 692 sujetos.

La situación todavía es relativamente confusa en los Estados Unidos ya que el Cavalier, que todavía forma parte de English Spaniel Toys, puede competir en "varias clases". Sin embargo, cuando Ronald Reagan le ofreció a su esposa Nancy un Cavalier en 1986, no hay duda de que la carrera se desarrollará rápidamente; los medios jugando, en el campo de la moda canina como en otros, su papel como promotores publicitarios.

La raza ha mantenido la capacidad de adaptación, amabilidad y proverbial capacidad de afecto de Spaniel. Pero su formato es menor: su peso está entre 5 y 9 kg, para un tamaño promedio de 32 a 36 cm. Esto lo convierte en un perro muy compacto, sin ser en miniatura. Es lo suficientemente robusto; el estándar insiste en la necesidad de que el Cavalier esté bien construido; seguir a sus maestros en sus paseos. Si es necesario, puede ser un verdadero pequeño deportista; este encantador objeto de lujo, sin duda recordando que sus antepasados fueron una vez cazadores famosos. También está dotado de una audiencia muy fina. El Cavalier es mucho más que un spaniel de alfombra (palabra por palabra, un "spaniel de alfombra"), un spaniel viviente; si no es demasiado pesado para usar, muestra su verdadera naturaleza tan pronto como se coloca en el suelo, donde tiene un comportamiento que no es en absoluto el de una bonita baratija. Sin duda tiene un lado "británico" y chic, una historia de los más prestigiosos, que le permite no desarmar los interiores más lujosos, pero es sobre todo un pequeño perro familiar por excelencia.

Muy sociable, da la impresión de tener un objetivo declarado, en existencia, de hacer amigos: con otros perros, cada reunión es una oportunidad para encontrar un compañero de juegos; incluso con el tipo felino, él es muy complaciente y las disputas nunca serán suyas. Pero es especialmente con los niños que muestra su inalterable alegría de vivir, su permanente gusto por el juego; incluso cuando se está haciendo mayor. Dado su tamaño, se puede confiar, para paseos, a niños pequeños.

Ni exclusivo ni celoso, es la viva ilustración del adagio de que cuanto más nos volvemos locos, más diversión tenemos. Pero no es exagerado ni exuberante. Él es educado fácilmente porque no es obstinado, entiende rápidamente y tiene una excelente memoria. A los ingleses les gusta hacer que participe en sus pruebas de Obediencia (programa de obediencia), donde obtiene algunos resultados bastante buenos. Con un poco de paciencia y un poco de firmeza, combinado con el sentido común, haremos que el Cavalier sea un perro fácil de vivir, sin causar dificultades. Pero con los maestros demasiado buenos, el Cavalier puede ser malicioso, incluso caprichoso.

Por lo general, el Cavalier ladra poco, pero un sujeto que con demasiada frecuencia se queda solo, que está aburrido, puede convertirse en un ladrón, porque ama a la compañía por encima de todo y soporta una soledad prolongada. Si no se toma como un perro guardián, será fácilmente señal de un sonido inusual; la presencia de un visitante o factor, sin jugar nunca un papel defensivo porque su amabilidad y amabilidad son tales que parece incapaz de tratar a alguien como un enemigo. El Cavalier, hecho para alegrar a un grupo, obviamente no tiene vocación de convertirse en líder de la manada ni de tomarse en serio la defensa del territorio.

Los creadores de la raza, en los años veinte, insistieron en que sus perros siguen recortándose, es decir que se les presenta la "naturaleza" en exposiciones caninas, sin ningún artificio de aseo. Es cierto que el pelo del Cavalier, sedoso, largo pero no rizado, a veces ligeramente ondulado, abundante sin ser grueso, no requiere cuidados tediosos. El cepillado regular seguido de un peine es suficiente. Sin embargo, es al precio de una entrevista, incluso un resumen, que el Cavalier tendrá el conjunto ordenado que podemos admirar en las fotos. Dos o tres veces a la semana, las orejas, las axilas, el interior y la parte posterior de los muslos se cepillarán a fondo. Las orejas se revisarán con frecuencia, especialmente en el verano, así como los espacios interdigitales que, según el estándar, están bien "emplumados", es decir, provistos de pelos largos: "espiguillas" u orejas de Los pastos, muy duros, pueden alojarse en estas áreas del cuerpo si el perro camina en el campo y causar quistes, infecciones entre los dedos o dolor de oído severo.

Perro de mascota, en el mejor sentido de la palabra, el Cavalier es un perro equilibrado, inmune a las exageraciones morfológicas (miniaturización extrema). Sus cualidades de comportamiento explican su éxito, enorme en Gran Bretaña, comenzando en Francia: satisface plenamente a todos aquellos que, habiendo experimentado ya sea razas de bolsillo, exclusivamente planas, o perros con personalidad fuerte, pero difíciles de sostener, o perros de aspecto ostentoso pero exigentes a cambio de un cuidado atento y diario, como para encontrar en los rasgos de Cavalier que aprecien sin soportar los inconvenientes.

Nederlands

		Cavalier King Charles Spaniel FCI standaard nr. 136

Land van oorsprong		Groot-Brittannië
Groep		Groep 9 Gezelschapshonden
Sectie		Sectie 7 Engels Toy Spaniels
Werkproef		Zonder werkproef
Definitieve erkenning door de FCI		donderdag 20 januari 1955
Publicatie van de geldende officiële norm		dinsdag 04 november 2008
Laatste update		maandag 12 januari 2009
En français, cette race se dit		Cavalier King Charles Spaniel
In English, this breed is said		Cavalier King Charles Spaniel
Auf Deutsch, heißt diese Rasse		Cavalier King Charles Spaniel
En español, esta raza se dice		Cavalier King Charles Spaniel

Gebruik

Gezelschapshond.

Algemeen totaalbeeld

Levendig, sierlijk en harmonieus; met zachte expressie.

Gedrag en karakter (aard)

Sportief, aanhankelijk, beslist zonder angst. Vrolijk, vriendelijk, niet agressief; geen enkele neiging tot nerveusheid.

Hoofd
Bovenschedel
Schedel		Schedel bijna vlak tussen de oren.
Stop		Ondiepe stop.

Facial region
Neus		Zwarte neusspiegel zonder vleeskleurige aftekening.
Voorsnuit		Lengte van de voorsnuit is ongeveer 1,5 inch= 3,8 cm. Voorsnuit naar de punt toe versmallend. Goed ontwikkelde niet bungelende lippen. Gezicht goed opgevuld onder de ogen. Elke neiging tot een smalle en spitse snuit is ongewenst.
Lippen		Goed ontwikkeld maar niet afhangend.
Kiezen / tanden		Sterke kaken, met een perfect, regelmatig en kompleet schaargebit, d.w.z.: dat de boventanden sluitend over de ondertanden staan en recht in de kaken geplaatst zijn.
Ogen		Donker, groot en rond, maar niet puilend; goed uiteen geplaatst.
Oren		Lang en hoog aangezet, met overvloedig behang.

Hals

Middelmatige lengte en licht gebogen.

Lichaam
Rug		Horizontale rugbelijning.
Lendenpartij		Korte lendenen met goede ribwelving.
Borst		Gemiddelde.

Staart

De staart lengte overeenkomt met dit van het lichaam. Het is goed aangezet, vrolijk gedragen maar nooit veel boven de ruglijn. Docking was eerder optioneel. Je moet niet verwijderen meer dan een derde van de staart.

Ledematen

Voorhand
Algemeen		Middelmatige borstkas, rechte benen van middelmatig bot.
Schouders		Goed teugliggende schouders.

Achterhand
Algemeen		Benen van middelmatig zwaar bot.
Knie		Goed geplaatst.
Spronggewricht		Geen neiging tot koehakkigheid of sikkelhakken.

Voeten

Compact, met stevige voetkussens, van goede beharing voorzien.

Gangwerk

Vrij lopend en elegant in beweging met veel stuwing vanuit de achterhand. De benen van voor en achter gezien paralle bewegend.

Coat
Haarkwaliteit		Lang, zijdeachtig en zonder krullen. Een lichte golving is toegestaan. Overvloedig bevederd. In het geheel vrij van trimmen.
Haarkleur		De erkende kleuren zijn : Black & Tan : Ravenzwart met "tan" aftekening boven de ogen, op de wangen, aan de binnenkant van de oren, op de borst en benen en onder de staart. Het "tan" behoort helder te zijn. Witte aftekening is ongewenst. Ruby : Geheel diep rood gekleurd. Witte aftekening is ongewenst. Blenheim : Diep kastanjekleurige aftekening, goed gebroken op een parelwitte ondergrond. De aftekening moet gelijkelijk op het hoofd verdeeld zijn en tussen de oren ruimte laten voor de zeer gewaardeerde ruitvormige vlek of "spot" (een uniek raskenmerk). Tricolour : Zwart en wit goed verdeeld en gebroken, met "tan" aftekening boven de ogen, op de wangen, aan de binnenkant van de oren,onder de staart en eventueel aan de binnenkant van de benen. Iedere andere kleur of combinatie van kleuren wordt afgewezen.

Maat en gewicht
Gewicht		Van 5,4 tot 8,0 kg. Een kleine, goed in verhouding zijnde hond binnen de gestelde grenzen is wenselijk.

Defecten

• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten.
• De vermelde fouten moeten in ernst zijn.

NB :

• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd.
• De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende.
• Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald.
• Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij.

Bibliografie

http://www.fci.be/

Gedetailleerde geschiedenis

Deze gemakkelijke hond heeft een zeer gecompliceerde naam gekregen, maar hij heeft de verdienste dat hij zijn oorsprong en geschiedenis perfect samenvat.

De Cavalier King Charles Spaniel maakt deel uit van de Spaniels; met andere woorden, Spaniels. Zijn "neef", de King Charles Spaniel, wordt ook vaak vermeld door de Franse auteurs onder de naam "Epagneul Nain Anglais". Vanaf de Renaissance werden de Spaniels, na de oude Bichons, de meest gewilde huisdierenhonden aan beide zijden van het Kanaal. Dwergspaniels waren de favorieten van Charles I, Charles II, Henriette van Engeland, de vriendelijke Mary Stuart en de verschrikkelijke Elisabeth Ire. Een bloedige anekdote is dat Mary Stuart (1542 - 1587) met de dood werd vergezeld door haar dwergspaniël, die zich vroeger onder haar rokken nestelde en in deze positie werd aangetroffen terwijl Mary Stuart afkomstig was sterf op het schavot. Om de waarheid te zeggen, verschillende rassen beweren deze tragische eer, want Mary Stuart bezat veel honden. In Frankrijk wordt Hendrik III afgebeeld op een foto met een Spaniel die uit Italië zou zijn teruggebracht; Lodewijk XIV en de Dauphin hadden ook als metgezellen koning Charles Spaniels.

Deze honden danken hun naam aan de koning van Engeland Charles II (1630 - 1685), die dol was op deze miniatuur Spaniels en een groot aantal van hen had. Ze circuleerden vrijelijk in de koninklijke paleizen, vooral in Whitehall, en werden daarom als bevoorrechte favorieten beschouwd. Ze verschijnen op alle schilderijen die de soeverein vertegenwoordigen, die ze meenam op al zijn reizen, "zelfs wanneer hij de leiding had over de zaken van de staat", schreef de schrijver Samuel Pepys (1633-1703) met afkeuring. Charles II toonde ook een zeer gematigde interesse in zijn kantoor en verkoos vaak het gezelschap van zijn kleine spaniels: "Alles wat ik zie, bevestigt mij de kinderachtigheid van de koning, die met zijn honden speelt zonder te stoppen, niet niet een beetje bezig met zijn plichten, "klaagde Samuel Pepys in zijn dagboek. De koning sliep zelfs zijn honden in zijn kamer, hij installeerde de honden die bevallen waren, en de pups werden vervolgens grootgebracht in de koninklijke intimiteit, waardoor het hof "walgelijk en stinkend" was, volgens een schrift uit die tijd . De Engelse aristocratie deed er niet lang over om deze honden, en op een duurzame manier, te adopteren, zoals blijkt uit de beroemde schilderijen van William Hogarth (1697 - 1764) en Thomas Gainsborough (1727 - 1788).

De King Charles Spaniels waren verdeeld in verschillende "families" volgens hun kleuren. Een van de beroemdste had een witte en oranje jurk, genaamd "Blenheim" (de oranje tint is in de loop van de tijd geëvolueerd naar een helderdere toon, helder bruin). Blenheim is een stad in Beieren, aan de noordoever van de Rijn; in 1704, John Churchill, hertog van Marlborough, kapitein-generaal van de Britse legers, won een beslissende overwinning op het Franse leger tijdens de Spaanse Successieoorlog, Marlborough had als favoriete honden kleine witte en oranje Spaniels; zijn vrouw, hertogin Sarah, hoopte tevergeefs op nieuws toen ze, terwijl ze op haar knieën een vrouwelijke spaniël op de kleintjes had zitten wachten, haar duim stevig op het voorhoofd van het dier drukte. Toen de pups werden geboren, bleek dat ze allemaal op het voorhoofd een oranje vlek droegen, het "merkteken van de duim van de hertogin Sarah". Toen het nieuws over de overwinning van de hertog bekend was, werden de kleine witte en oranje Spanielen met een kenmerkend merkteken op het voorhoofd "Blenheim" genoemd. Dit merk bestaat nog steeds in de huidige variëteit Blenheim, onder de naam "zuigtablet".

De King Charles Spaniels, met hun meest prestigieuze sponsorschappen, hadden gelukkige dagen tot de Engelse aristocratie werd verliefd op een nieuwkomer, met een absoluut verbazingwekkend facet, de Carlin. Het King Charles Spaniel-ras moest zich aanpassen aan de eisen van de dag en zijn hoofd kreeg een heel andere fysionomie, dankzij de tussenkomst van de Mopsen maar ook, vanaf het midden van de negentiende eeuw, de eerste Japanse Spaniels (Tchin) en Pekinees, die de Carlin onttroonde in de harten van de 'high society'. Radicale transformatie, zoals bevestigd door de cynoloog Stonehenge in 1879: "De beknoptheid van hun snuit heeft niets te maken met de oude standaard, toen het werd gebracht tot het punt waarop het momenteel triomfeert. En snelle transformatie, want we hebben een schilderij van de beroemde dierenschilder Landseer, daterend uit de jaren 1830, met de titel King Charles Spaniels of de favorieten van de prins en met twee honden met langwerpige snuiten.

Het is waarschijnlijk dat het mode-fenomeen een ander is toegevoegd. Vanwege hun relatieve zeldzaamheid in die tijd, eindigden de rassen van het bedrijf; de bijdragen van de kortstondige Aziatische Spaniels en de Carlin waren waarschijnlijk net zo noodzakelijk als nuttig voor deze "sprookjesdieren die tussen de honden werden misleid", om de uitdrukking van de krant The Field over de King Charles Spaniels te gebruiken.

De wens om terug te keren naar het uiterlijk van de 17e-eeuwse koning Charles kwam pas in de jaren 1920 tot stand. En het was meer precies in 1926 dat een Amerikaan uit Long Island, Roswell Elridge, het initiatief nam om de fokkers aan te moedigen. op zoek naar het originele type, met een langwerpige snuit, een kleine stop en een schedel die niet overkoepeld is, en biedt hiervoor een prijs van 25 pond, als onderdeel van de tentoonstelling Cruft voor vijf jaar. Deze prijs was alleen bestemd voor de koning Charles van de Blenheim-soort en bevatte daarnaast de karakteristieke "zuigtablet". De Engelse fokkers namen de uitdaging aan en na een paar jaar konden ze King Charles zien zoals ze op de schilderijen van Hogarth en Gainsborough verschenen.

Het begin was echter moeilijk omdat de fokkers terughoudend waren om het werk dat hen naar de korte neus had gebracht terug te nemen in de tegenovergestelde richting. Sommige fokkers, inclusief mevrouw Hewitt Pitt besloot het experiment uit te proberen met de overgebleven koning Charles. Gebaseerd op de resultaten, werd een norm geschreven in 1928, die als model het onderwerp nam dat het dichtst bij de honden stond op de oude schilderijen, een zekere Ann's Son, behorend tot Miss Mostyn Walker. Er werd toen besloten om Cavalier King Charles deze honden te noemen naar het type dat werd gevonden om hen te onderscheiden van King Charles, met een platte neus en een koepelvormige schedel, die op dit moment nog steeds een race vormen. Kortom, of ze afgevlakte of langwerpige snuiten hebben, onderwerpen van beide typen hebben recht op de verwijzing naar koning Charles. In sommige landen worden bovendien, net als de Verenigde Staten, de twee honden gevonden onder de, veel voorkomende naam Toys English Spaniels (English Spaniels Toys).

De Kennel Club hield echter in 1945 vast aan het onderscheid tussen koning Charles, in de volksmond "Charlie" genoemd, en Cavalier King Charles. Sindsdien is de score in het voordeel van de Cavalier, die meer succes heeft dan zijn "neef". In 1928 had Cavalier King Charles bovendien een speciale rasclub erkend door de Kennel Club; lang daarvoor was daarom een afzonderlijke inscriptie voorzien. Vanaf 1946 werden afzonderlijke titels van kampioenen toegekend. Een van de bepalende factoren van de populariteit van de Cavalier was ongetwijfeld zijn binnenkomst in de koninklijke familie van Engeland. In 1960 adopteerden prinses Margaret en haar echtgenoot Lord Snowdon een Cavalier, die ze Rowley noemden, een knipoog naar een verre voorouder van de prinses, genaamd Old Rowley.

De cynofiele wijding kwam naar hem toe dankzij het onderwerp genaamd Alansmere Aquarius. Op zeventien maanden, werd deze Cavalier achtereenvolgens beoordeeld als de beste van zijn race op de tentoonstelling van Cruft in 1973, toen de beste van de groep "Toy" en uiteindelijk "Best in show". Hij was zowel de eerste Cavalier om deze titel te winnen, als de eerste Toy. Tien jaar geleden leidde Amelia van Lagun de weg door de beste te worden van de Toys-groep. Sindsdien is het succes van het ras alleen maar groter geworden. Ze is vandaag, in Engeland, een van de vijf meest populaire rassen, schreeuwend, met 10.000 geboorten per jaar, de Yorkshire Terrier. In continentaal Europa wordt de Cavalier voornamelijk gebruikt in Nederland, Zwitserland en de Scandinavische landen (Zweden en Finland). Het begin van de Cavalier in Frankrijk was zeer discreet. Eerst beoordeeld met de King Charles Spaniels, werd opgemerkt in 1969, tijdens de tentoonstelling van het kampioenschap van Frankrijk, het verschijnen van een klasse van Cavaliers, met de deelname van twee onderwerpen. Maar de fokkerij begon pas echt in 1975, en ging toen verder met grote stappen. Dus het jaar 1987 zag de geboorte van 692 proefpersonen.

De situatie is nog steeds relatief verwarrend in de Verenigde Staten sinds de Cavalier, nog steeds onderdeel van het Engelse Spaniel Toys, kan concurreren in "verschillende klassen". Hoewel Ronald Reagan zijn vrouw Nancy in 1986 een Cavalier heeft aangeboden, lijdt het geen twijfel dat de race zich snel zal ontwikkelen; de media spelen, zowel op het gebied van de hondmode als in andere, hun rol als reclamepromotor.

Het ras heeft de Spaniel aanpassingsvermogen, vriendelijkheid, spreekwoordelijke vaardigheden van genegenheid. Maar het formaat is minder: het gewicht ligt tussen 5 en 9 kg, voor een gemiddelde grootte van 32 tot 36 cm. Dit maakt het een zeer compacte hond, zonder miniatuur te zijn. Het is robuust genoeg; de norm benadrukt dat de Cavalier goed moet worden gebouwd; om zijn meesters te volgen tijdens hun wandelingen. Indien nodig kan het een echte kleine sportman zijn; dit charmante luxe object, ongetwijfeld herinnerend dat zijn voorouders eens beroemde jagers waren. Het is ook begiftigd met een zeer fijne hoorzitting. De Cavalier is dus veel meer dan een tapijt-spaniel (woord voor woord, een "tapijtspaniel"), een levend spaniel; als het niet te zwaar is om te dragen, toont het zijn ware aard zodra het op de grond wordt geplaatst, waar het een gedrag vertoont dat op geen enkele manier dat van een mooie snuisterij is. Het heeft zeker een "Britse" en chique kant, een geschiedenis van de meest prestigieuze, waardoor hij niet de meest luxe interieurs kan demonteren, maar hij is vooral een kleine gezinshond bij uitstek.

Heel sociaal, hij geeft de indruk dat hij al een bestaand doel heeft om vrienden te maken: bij andere honden is elke ontmoeting een gelegenheid om een speelkameraadje te vinden; zelfs met de katachtige soort, is hij zeer meegaand en zullen geschillen hem nooit zijn. Maar het is vooral met de kinderen dat hij zijn onveranderlijke joie de vivre laat zien, zijn permanente smaak voor spel; zelfs als hij ouder wordt. Gezien zijn omvang, kan het worden toevertrouwd, voor wandelingen, aan jonge kinderen.

Exclusief noch jaloers, het is de levende illustratie van het gezegde dat hoe meer we gek zijn, hoe leuker we zijn. Maar het is niet overdreven of uitbundig. Hij is gemakkelijk opgeleid omdat hij niet koppig is, snel begrijpt en een uitstekend geheugen heeft. De Engelsen houden ervan hem te laten deelnemen aan hun Gehoorzaamheidstests (gehoorzaamheidsprogramma), waar hij behoorlijk goede resultaten behaalt. Met een beetje geduld en een beetje stevigheid, gecombineerd met gezond verstand, zullen we van de Cavalier een hond maken die gemakkelijk te leven is en geen problemen veroorzaakt. Maar met meesters te goed, kan de Cavalier kwaadaardig zijn, zelfs wispelturig.

Gewoonlijk blaft de Cavalier weinig, maar een onderwerp dat te vaak alleen is overgebleven, wie zich verveelt, kan een barker worden, want hij houdt van het gezelschap boven alles, en ziek houdt een langdurige eenzaamheid aan. Als het niet als een waakhond wordt beschouwd, zal het gemakkelijk een ongewoon geluid signaleren; de aanwezigheid van een bezoeker of factor, zonder ooit een verdedigende rol te spelen, omdat zijn vriendelijkheid en vriendelijkheid zodanig zijn dat hij niet in staat lijkt iemand als een vijand te behandelen. De Cavalier, gemaakt om vreugde te brengen in een groep, heeft duidelijk geen roeping om leider van het peloton te worden of om de verdediging van het territorium serieus te nemen.

De makers van het ras, in de jaren twintig, drongen erop aan dat hun honden in orde blijven, dat wil zeggen dat ze "de natuur" worden gepresenteerd in hondenshows, zonder enige verzorging. Het is waar dat het haar van de Cavalier, zijdeachtig, lang maar niet gekruld, soms licht bewogen, overvloedig is zonder dik te zijn, geen saaie zorg behoeft. Regelmatig poetsen gevolgd door een kam is voldoende. Het is echter de prijs van zo'n interview, zelfs samenvatting, dat de Cavalier de zorgvuldige lay-out heeft die op de foto's te bewonderen is. Twee tot drie keer per week worden de oren, oksels, binnenkant en achterkant van de dijen grondig geborsteld. De oren zullen vaak worden gecontroleerd, vooral in de zomer, evenals de interdigitale ruimten die, volgens de norm, goed "bevederd" zijn, dat wil zeggen, voorzien van lange haren: "aartjes", of oren van Grassen, heel hard, kunnen zich in deze delen van het lichaam nestelen als de hond op het platteland loopt en cysten, infecties tussen de vingers of hevige oorpijn veroorzaken.

Hond, in de beste zin van het woord, de Cavalier is een uitgebalanceerde hond, immuun voor morfologische overdrijvingen (extreme miniaturisatie). Zijn gedragskenmerken verklaren zijn succes, groots in Groot-Brittannië, beginnend in Frankrijk: hij voldoet volledig aan al diegenen die, hetzij pocket races hebben meegemaakt, exclusief flat, of honden met een sterke persoonlijkheid, maar moeilijk vast te houden, of honden van opzichtige uiterlijk maar veeleisend in ruil voor attente en dagelijkse verzorging, vinden graag de Cavalier-eigenschappen die ze waarderen zonder het ongemak te dragen.

Cavalier King Charles Spaniel

Français

Cavalier King Charles SpanielStandard FCI Nº 136

Origine

Traduction

Groupe

Section

Epreuve

Reconnaissance à titre définitif par la FCI

Publication du standard officiel en vigueur

Dernière mise à jour

In English, this breed is said

Auf Deutsch, heißt diese Rasse

En español, esta raza se dice

In het Nederlands, wordt dit ras gezegd

Utilisation

Aspect général

Comportement / caractère

Tête

Région crânienne

Crâne

Stop

Région faciale

Truffe

Museau

Lèvres

Mâchoires et dents

Yeux

Oreilles

Cou

Corps

Dos

Rein

Poitrine

Côtes

Queue

Membres

Membres antérieurs

Généralités

Epaules

Membres postérieurs

Généralités

Grassets

Jarret

Pieds

Allures

Robe

Qualité du poil

Couleur du poil

Taille et poids

Poids

Défauts

NB :

Bibliographie

Historique détaillé

English

Cavalier King Charles SpanielFCI Standard No. 136

Origin

Group

Section

Working

Acceptance on a definitive basis by the FCI

Publication of the official valid standard

Last update

En français, cette race se dit

Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar

En español, esta raza se dice

In het Nederlands, wordt dit ras gezegd

Usage

General appearance

Behaviour / temperament

Head

Cranial region

Skull

Stop

Facial region

Nose

Muzzle

Lips

Jaws and teeth

Cavalier King Charles Spaniel
Standard FCI Nº 136

Cavalier King Charles Spaniel
FCI Standard No. 136

Cavalier King Charles Spaniel
FCI-Standard Nr. 136