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Chien de berger des Pyrénées à face rase Standard FCI Nº 138
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Origine
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France |
Groupe
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Groupe 1 Chiens de berger et de bouvier (sauf chiens de bouvier suisse) |
Section
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Section 1 Chiens de berger |
Epreuve
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Avec épreuve de travail |
Reconnaissance à titre définitif par la FCI
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mercredi 26 janvier 1955 |
Publication du standard officiel en vigueur
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mardi 13 mars 2001 |
Dernière mise à jour
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lundi 02 avril 2001 |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog smooth faced |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Pyrenäen schäferhund mit kurzhaarigem gesicht |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de cara rasa |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond à face rase |
Utilisation
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Chien de berger. |
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Bref aperçu historique
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Cette variété du berger des Pyrénées se trouvait essentiellement dans le piémont pyrénéen ou elle était « très appréciée des maquignons et des toucheurs de bestiaux » selon M. Bernard SÉNAC-LAGRANGE (annuaire de 1927). Ses particularités par rapport aux autres types de bergers des Pyrénées lui ont valu une annexe au standard de la race dès les années 1920. |
Aspect général
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Dans l'ensemble, le chien de berger des Pyrénées à face rase possède les mêmes caractéristiques que le berger pyrénéen à poil long. |
Proportions importantes
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• Le crâne est à peu près aussi large que long. • Le museau est un peu plus court que le crâne, mais plus long que celui du poil long ou mi-long. • La longueur du corps est presque égale à sa hauteur. • La distance du coude au sol est supérieure à la moitié de la taille au garrot. |
Comportement / caractère
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Ce chien est vif, malléable, parfois méfiant envers les étrangers. |
Tête
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Région crânienne
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Tête
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Elle est garnie de poils courts et fins ( d'où la dénomination « face rase »). |
Région faciale
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Museau
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Le museau est un peu plus long que celui du berger des Pyrénées à poil long ou mi-long. |
Corps
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Généralité
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Il est un peu plus court que celui du berger des Pyrénées à poil long, il se rapproche du format inscriptible dans un carré. |
Membres antérieurs
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Généralités
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Ils portent un poil ras avec une légère frange de poil aux antérieurs et une culotte aux postérieurs. |
Membres postérieurs
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Généralités
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Ils portent un poil ras avec une légère frange de poil aux antérieurs et une culotte aux postérieurs. |
Pieds
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Le pied est à la fois plus serré et plus cambré que celui du berger à poil long. Les angulations sont plus ouvertes dans cette variété. |
Allures
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Aux allures, le berger des Pyrénées à face rase à une prise de terrain moindre que celle du poil long. |
Robe
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Qualité du poil
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Sur le corps, le poil est mi-long ou moins que mi-long. Il atteint sa plus grande longueur sur le cou et au garrot (6-7 cm), et sur la ligne médiane du dos (4-5 cm). |
Taille et poids
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Hauteur au garrot
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De 40 à 54 cm pour les mâles et de 40 à 52 cm pour les femelles. |
Défauts
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• Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité et de ses conséquences sur la santé et le bien-être du chien et sa capacité à accomplir son travail traditionnel. • Les défauts doivent être listés en fonction de leur gravité. |
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Important
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Les défauts et défauts éliminatoires sont les mêmes que ceux indiqués pour la variété à poil long, sauf en ce qui concerne le poil et les proportions. |
NB :
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• Tout chien présentant de façon évidente des anomalies d'ordre physique ou comportemental sera disqualifié. • Les défauts mentionnés ci-dessus, lorsqu'ils surviennent à un degré très marqué ou fréquent, sont éliminatoires. • Les mâles doivent avoir deux testicules d'aspect normal complètement descendus dans le scrotum. • Seuls les chiens sains et capables d’accomplir les fonctions pour lesquelles ils ont été sélectionnés, et dont la morphologie est typique de la race, peuvent être utilisés pour la reproduction. |
Historique détaillé
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Destin paradoxal que celui du Berger des Pyrénées, puisque ce chien, pourtant fort ancien, a été l'une des races bergères françaises les plus tardivement reconnues, bien après le Briard ou le Beauceron notamment, alors même que son aspect, contrairement à celui de ses rivaux, avait fort peu changé au cours des siècles.
Selon les études les plus récentes, les Bergers des Pyrénées actuels auraient en effet pour aïeux des petits chiens de troupeau, eux-mêmes issus des Terriers du Tibet qui, aux côtés de chiens plus gros descendant du Dogue du Tibet, avaient accompagné les hordes asiatiques lors des grandes invasions du IVe siècle. A mesure de la progression vers l'ouest des armées d'Attila et de Gengis Khan, Dogues et Terriers du Tibet auraient été croisés à des souches indigènes pour donner naissance, d'une part, aux ancêtres des Nizinny, des Bergers des Tatras et autres molosses à robe blanche et, d'autre part, à ceux des Bergers Catalans (Gos d'Atura) et des Bergers des Pyrénées.
Cette thèse, sans conteste la plus convaincante qui ait été émise sur la question, anéantit du même coup bon nombre de théories soutenues naguère par certains spécialistes pour qui le Berger des Pyrénées serait un descendant du Berger de Brie. Si ces races ont à l'évidence un certain nombre de points communs, ne serait-ce que parce qu'elles sont toutes deux bergères, il est fort peu probable qu'elles aient eu jamais l'occasion de se croiser à des époques où les moyens de communication pas très développés faisaient de chaque province, surtout lorsqu'elle était montagneuse, une véritable « île continentale ».
Et en admettant même que de telles « infusions » génétiques aient pu se produire entre un chien connu seulement dans le quart sud-ouest de la France et un autre répandu surtout dans les plaines du nord du pays, on voit mal comment le Briard aurait pu donner naissance au petit Pyrénéen, alors que ce dernier est, selon la tradition orale de son terroir d'origine, bien antérieur à son ancêtre présumé.
Pour couronner le tout et achever de jeter le trouble dans l'esprit du public, certains cynologues de la fin du XlXe siècle sont même allés jusqu'à prétendre que Berger des Pyrénées et Chien de Montagne des Pyrénées ne formaient qu'une seule et même race, alors que tout distingue notre athlète léger de son compère, digne représentant d'un autre groupe, lui aussi très ancien, celui des molossoïdes. L'origine de ces confusions successives se trouve probablement dans les errements d'auteurs anciens, habituellement mieux inspirés, dont les travaux sur le Berger des Pyrénées, menés souvent à partir d'informations non recoupées ou vérifiées sur le terrain, procédaient davantage de l'œuvre d'imagination que de l'observation scientifique. Ainsi, des sommités aussi renommées que Brehm en Allemagne, Reul en Belgique, le comte de Bylandt aux Pays-Bas évoquèrent dans leurs ouvrages respectifs un Berger des Pyrénées à la limite de la fantaisie, bien différent en tout cas du sujet réel. Témoin cet avant-projet de standard que proposait en 1897 le comte de Bylandt dans son livre Les Races de chiens, et qui décrivait un chien au poil broussailleux et demi-long, au crâne peu bombé, au museau long, aux oreilles petites, aux yeux parfois vairons et au corps assez long, ou cette citation de l'Allemand Brehm, qui évoque un chien au poil presque dur, frisé lorsqu'il est jeune, blanc taché de larges plaques noires, de haute taille, court et musclé, avec les doigts largement palmés, la tête large et développée, les oreilles assez pointues et tombantes, le museau long, carré, et de grands yeux bleus saillants soulignant l'intelligence, la douceur, l'intrépidité.
Plus proche du sujet et visiblement mieux renseigné, Pierre Mégnin, pour sa part, brossait ainsi le portrait du Berger des Pyrénées : « C'est un Griffon dont la tête est peu chargée de poils; à peine a-t-il quelques poils longs sur les sourcils, mais il n'a ni moustache ni barbiche prononcées. C'est au train arrière que s'est accumulé le poil. Là, il a de fortes culottes et, sur les cuisses, un épais matelas. Les membres sont presque ras. Les pieds sont très étalés et rappellent la patte de l'ours. Les oreilles aussi sont droites au lieu d'être couchées. Quant à la couleur, ce n'est pas blanc avec de larges plaques noires, mais gris argenté avec lesdites taches noires, avec ou sans feu aux pattes, couleur que l'on appelle vulgairement danoisé. Les yeux sont fréquemment vairons, c'est-à-dire à iris bleu clair. »
Malgré l'intérêt que les cynophiles français et étrangers commençaient à porter au Berger des Pyrénées, il fallut attendre la Première Guerre mondiale pour que ce chien sorte véritablement de l'ombre. En 1916, le sous-lieutenant Paul Mégnin, le commandant Malric et le vétérinaire Hérout, qui avait sous sa responsabilité le Service des chiens de guerre, suggérèrent à l'état-major français d'utiliser le Berger des Pyrénées comme chien de liaison et accompagnateur de patrouilles. L'idée fut aussitôt retenue par les responsables militaires, et le Service des chiens de guerre envoya dans la région pyrénéenne Théodore Dretzen, fin connaisseur de la race, pour qu'il y recrute le plus grand nombre de sujets possible. Plus fins de nez que beaucoup d'autres races bergères, les petits Pyrénéens allaient bientôt devenir de précieux auxiliaires pour les fantassins alliés. Témoin cette appréciation de J. Dhers publiée plus tard dans les colonnes de L'Eleveur, journal dont il était entre-temps devenu collaborateur : « En ma qualité d'ancien officier dresseur du Service des chiens de guerre, il est de mon devoir de proclamer hautement que c'est la race du petit Berger des Pyrénées qui a fourni à l'armée les chiens de liaison les plus intelligents, les plus roublards, les plus rapides et les plus habiles. »
Ces états de service éloquents devaient contribuer à la renommée du Berger des Pyrénées dans l'immédiat après-guerre, et aboutir à la création en 1923 ; sous la houlette de Bernard Senac-Lagrange, à qui nous devons une étude exhaustive de ses caractères raciaux, et de quelques cynophiles pyrénéens ; de la Réunion des amateurs de chiens pyrénéens. Ce club ayant rédigé un standard, rien ne s'opposait désormais à la reconnaissance du Berger des Pyrénées par la Société centrale canine et par le ministère de l'Agriculture, reconnaissance qui intervint en 1926. Ce chien pouvait dès lors participer, au même titre que les autres races bergères telles que le Beauceron et le Briard, au Concours central général agricole.
Fait rare dans les annales de la cynophilie, les rédacteurs du standard avaient eu soin de distinguer deux variétés de Bergers des Pyrénées: l'une dont la tête, dans sa forme générale, rappelle celle de l'ours brun, avec le museau en forme de coin, l'autre à face rase et au poil un peu plus court sur le corps; ils avaient en outre admis une différence de dix centimètres dans la taille des sujets. Nombre d'amateurs s'en sont étonnés, notamment J. Dhers, à la fin du siècle dernier, qui expliquait cette particularité par l'insularité continentale évoquée plus haut, et qui écrivait : « Bien que la race soit très nettement fixée et définie, on constate dans nos montagnes que les types varient quelque peu de vallée à vallée. Le standard reste le même, mais certains petits détails n'échappent pas aux cynophiles montagnards. C'est ainsi que le chien d'Arbazzie serait le type modèle du standard. Le petit chien de Saint-Béat est costaud, a la tête ronde. On dirait un Bobtail miniature. Le Berger d'Azun, toujours noir, semble un diminutif du Groenendael ».
Ces différences morphologiques s'expliquent en effet essentiellement par des raisons géographiques, et notamment par les difficultés de communication entre les pôles d'habitat en altitude, qui favorisaient la fixation de certains types locaux hautement consanguins.
A l'inverse, le type à face rase proprement dit est, selon les spécialistes, issu de croisements entre le Berger des Pyrénées dit « classique » et des chiens des régions subpyrénéennes. Charles Duconte, juge de la SCC et fin connaisseur de la race, écrivait d'ailleurs à ce sujet : « Il existe dans la région sous-pyrénéenne, et particulièrement dans le Béarn, la Bigorre et le bassin de l'Adour, un grand nombre de chiens .de berger. Leur proximité d'habitat, la transhumance de certains troupeaux qu'accompagnaient les chiens font qu'il y a eu forcément des unions entre eux et leurs frères montagnards. Il en est résulté en général un chien plus haut sur jambes, à poil demi-long sur le corps, ras sur la tête et sur les membres, dont la boîte crânienne, un peu plus développée, rappelle cependant par sa forme celle du pur montagnard. Ces chiens sont, d'ailleurs, très appréciés des maquignons et "toucheurs de bestiaux" qui courent les foires dans la région. »
Très estimé pour ses aptitudes à la conduite de moutons et de chevaux, loué par les militaires pour les services qu'il avait rendus en temps de guerre, le Berger des Pyrénées avait acquis des titres de noblesse qui lui permirent d'entamer une irrésistible ascension. Dès 1927, Dutrey de Rabastens lui consacrait une remarquable thèse de doctorat vétérinaire intitulée Le Berceau d'une race canine: le chien de berger des Pyrénées ; cette thèse inspirera plus tard Duconte et Sabouraud pour leur ouvrage Les Chiens pyrénéens. Le petit Pyrénéen était donc désormais au cœur des préoccupations des cynologues distingués.
Après la Seconde Guerre mondiale, le développement du tourisme, qui permit à des milliers de citadins de se familiariser avec ce petit chien, accrut encore sa popularité, qui devint dès lors internationale. Le Berger des Pyrénées était peut-être la dernière race bergère que le monde de la cynophilie découvrît, mais sa notoriété ne devait plus jamais être remise en cause. A telle enseigne qu'il est aujourd'hui un chien de compagnie fort apprécié. On pourrait dire du Berger des Pyrénées qu'il jouit d'une réputation inversement proportionnelle à son gabarit. La race est en effet unanimement louée, et par les professionnels qui ont choisi de la faire travailler et par les particuliers qui l'ont adoptée comme chien de compagnie. C'est avant tout un chien remarquablement adapté à l'altitude. Son corps s'inscrit dans un rectangle, et son centre de gravité, près de terre, lui assure une stabilité maximale dans les pentes accentuées. Il a le pied sec et la sole maigre, et tient fort bien le rocher. Légèrement tournés vers l'extérieur, ses membres postérieurs lui facilitent en outre la marche en montagne. Ses besoins alimentaires raisonnables et sa petite taille, qui lui évitait de renverser un mouton en le bousculant, en faisaient autrefois l'auxiliaire idéal des bergers.
Au travail, son comportement reflète parfaitement ses deux qualités essentielles : vigilance et vivacité. Très rapide, il pousse les traînards d'un coup de museau, fait rentrer dans le rang les isolés, fonce en tête du troupeau pour indiquer aux moutons ou aux brebis la direction à suivre. Mais, quand il le faut, il sait également mettre un frein à sa fougue. Dans les passages dangereux, adroitement, il dirigera les bêtes une par une d'une manière vigilante pour les mettre en lieu sûr.
S'il est un domaine où le Berger des Pyrénées surpasse le berger lui-même, c'est bien dans la recherche d'une bête égarée. Un mouton manque à l'appel. Précédant le berger, le petit Pyrénéen entame ses recherches, fouille les recoins les plus difficiles d'accès, explore la moindre faille. Un sens du devoir que nous décrit ainsi un berger: « Durant l'hiver, pour l'engraissement des jeunes, j'avais l'habitude de conduire les agneaux dans un box spécial pour leur donner une ration supplémentaire. Les agneaux comprenaient très vite le but de la manœuvre et me rendaient ainsi la tâche plus facile. Willy, un Berger des Pyrénées, assistait régulièrement à l'opération, assis près de la porte. On aurait juré qu'il comptait les agneaux au passage. Un jour, alors que les agneaux avaient fini de manger et avaient quitté le box, le chien partit, comme il le faisait habituellement, visiter le lieu d'où venaient les petits et, affolé, revint aussitôt vers ma femme, essayant de lui faire comprendre qu'il fallait y aller voir. Devant son indifférence, il tira le bas de son tablier. Ma femme décida enfin de se rendre compte sur place et trouva un agneau coincé derrière un râtelier, à bout de souffle à force de s'être débattu. Willy lécha pendant plus de cinq minutes la tête du petit animal pour le réconforter et l'accompagna auprès de sa mère. »
Un autre berger, Philippe Defrance, évoque à son tour les qualités du petit Pyrénéen : « Les réflexes du Berger Pyrénéen sont incomparables et supérieurs à ceux de toutes les autres races bergères. Son obéissance et sa fidélité sont remarquables. Son initiative, son jugement et sa mémoire ne font jamais défaut dès qu'il est mis à l'épreuve. Son courage résulte de son endurcissement à la souffrance. Les lices n'en sont pas moins excellentes laitières quand elles trouvent dans leurs rations les matières nutritives nécessaires. »
Assez exclusif, le Berger des Pyrénées a tendance à ne connaître qu'un seul maître, auquel il restera passionnément attaché, supportant tout de lui s'il sent qu'il est utile. Sa vigilance au travail n'a d'égale que sa méfiance à la maison. Sa bravoure est, elle aussi, légendaire. On dit même que jadis il n'hésitait pas à s'attaquer aux ours qui se seraient un peu trop approchés du troupeau de son maître. Assez batailleur, le Berger des Pyrénées est souvent à l'origine de bagarres avec d'autres chiens. Dans ces moments-là, il fait preuve de souplesse, de rapidité, n'offrant que peu de prise à son adversaire, et, par une succession d'esquives adroites et d'attaques imprévues, il place quelques coups de dents bien sentis. C'est un athlète léger, un lutteur sans faiblesse, caractéristiques que l'on a parfois tendance à oublier lorsque ce chien vit en ville.
Pour préserver les qualités du Berger Pyrénéen, les éleveurs et les responsables du club La Réunion des amateurs de chiens pyrénéens ont repris à leur compte, depuis quelques années le credo de tous les « bergérophiles » : hors du travail, point de salut. Ce qui veut dire, d'une manière plus explicite: on ne peut retirer au chien de berger les fonctions de chien de travail qu'il remplit depuis de nombreux siècles sans courir à la dégénérescence du type. A cette fin, le Berger des Pyrénées, qui, pour des raisons économiques évidentes, n'avait plus d'avenir dans la conduite des moutons, s'est reconverti dans de nouvelles tâches, reconversion que sa polyvalence lui a permis de réussir pleinement.
N'hésitant pas à mordre si nécessaire, le petit Pyrénéen s'est ainsi initié au rôle de chien de défense et de police. Si sa taille l'empêche de sauter aussi haut que certains autres, sa détente n'en force pas moins l'admiration. On a même vu un mâle blessé à une patte antérieure franchir un mur de pierre de 1,70 mètre et une clôture surmontée de barbelés. Doté de telles possibilités, le Berger des Pyrénées était donc tout naturellement appelé à devenir un gardien d'enfants, d'autant qu'il sait se montrer calme en présence d'un plus faible, lui qui est d'ordinaire si exubérant.
Très sportif, il supporte assez mal d'être confiné dans un appartement, et même dans un jardin s'il n'a pas la possibilité de courir sur de plus grands espaces. Dans son milieu naturel, il peut parcourir de 15 à 40 kilomètres par jour. Il a grand besoin de la présence de son maître ; s'il doit rester seul trop souvent, et surtout s'il se sent inutile, il peut devenir maussade, voire agressif. Hormis ce cas, il ne pose pas de problèmes particuliers, et, à la condition que son éducation ait été ferme mais juste et dispensée entre deux et six mois, il peut être emmené partout.
Laissé seul à la maison ou dans une voiture, le Berger des Pyrénées aura tendance à aboyer. Quelquefois gênante, cette propension à faire entendre sa voix fait partie de sa personnalité, qu'il n'est jamais bon de contrarier systématiquement. Animal de compagnie depuis qu'il n'a plus à se dépenser sur les versants pyrénéens, ce chien n'en reste pas moins héréditairement marqué par la vie de ses ancêtres. Même si son domaine est de plus en plus celui des grandes villes, il a besoin de mener une vie qui lui permettra, quotidiennement, d'exprimer sa vitalité et son intelligence.
Tous ; ou presque tous les propriétaires de Bergers des Pyrénées sont certains et fiers d'avoir un chien qui n'est pas « comme les autres ». Ils n'ont pas forcément tort. Appelé dans sa région originelle « le chien qui a vu Dieu » en raison de son regard expressif qui dénote l'intelligence et parfois même l'exaltation, ce montagnard dans l'âme a montré depuis longtemps qu'il savait s'adapter à d'autres lieux, urbains ou ruraux. |
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Pyrenean sheepdog smooth faced FCI Standard No. 138
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Origin
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France |
Translation
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Mrs. Pamela Jeans-Brown revised by Alain Pécoult and Raymond Triquet |
Group
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Group 1 Sheepdogs and Cattle Dogs (except Swiss Cattle Dogs) |
Section
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Section 1 Sheepdogs |
Working
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With working trial |
Acceptance on a definitive basis by the FCI
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Wednesday 26 January 1955 |
Publication of the official valid standard
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Tuesday 13 March 2001 |
Last update
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Friday 15 April 2005 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à face rase |
Diese Norm ist in deutscher Sprache sichtbar
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Pyrenäen schäferhund mit kurzhaarigem gesicht |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de cara rasa |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond à face rase |
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Brief historical summary
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This variety of Pyrenean Sheepdog was principally found in the Pyrenean foot-hills where it was “much appreciated by horse-dealers and cattle-drovers” according to Bernard SÉNAC-LAGRANGE (1927 club’s yearbook) . Its distinctive features compared with those of other types of Pyrenean Sheepdogs gained it an appendix in the breed standard from the 1920s. |
General appearance
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Overall, the smooth-faced Pyrenean Sheepdog has the same characteristics as the long-coated Pyrenean Sheepdog. |
Important proportions
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• The skull is approximately as wide as long. • The muzzle is slightly shorter than the skull, but longer than that of the long or semi-long coated varieties. • The length of the body is almost equals its height. • The distance from the elbow to the ground is greater than half the height at the withers. |
Behaviour / temperament
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Lively, biddable dog, sometimes wary of strangers. |
Head
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Cranial region
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Head
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Furnished with short fine hair (hence the name “smooth-faced”). |
Facial region
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Muzzle
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The muzzle is a little longer than that of the semi-long coated Pyrenean Sheepdogs. |
Body
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Body
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A little shorter than that of the long-coated Pyrenean Sheepdog, it is a more square-shaped body. |
Forequarters
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Generality
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Covered in smooth hair with a light fringe of hair on the front legs and breeches on the hind legs. |
Hindquarters
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Generality
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Covered in smooth hair with a light fringe of hair on the front legs and breeches on the hind legs. |
Feet
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The foot is both tighter and more arched than that of the long-coated sheepdog. Angulations are more open in this variety. |
Gait and movement
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On the move, the smooth-faced Pyrenean Sheepdog has a shorter stride than the long-coated variety. |
Coat
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Hair
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On the body the hair is semi-long or less than semi-long. It reaches its longest length on the neck and withers (6-7 cm) and on the median line of the back (4-5 cm). |
Size and weight
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Height at withers
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Males 40-54 cm, females 40-52 cm. |
Faults
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• Any departure from the foregoing points should be considered a fault and the seriousness with which the fault should be regarded should be in exact proportion to its degree and its effect upon the health and welfare of the dog and its ability to perform its traditional work. • Faults listed should be in degree of seriousness. |
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Important
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The faults and eliminating faults are the same as those indicated for the long-coated variety, except for those describing coat and proportions. |
NB :
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• Any dog clearly showing physical or behavioural abnormalities shall be disqualified. • The above mentioned faults when occurring to a highly marked degree or frequently are disqualifying. • Male animals should have two apparently normal testicles fully descended into the scrotum. • Only functionally and clinically healthy dogs, with breed typical conformation should be used for breeding. |
Detailed history
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Paradoxical destiny as that of the Shepherd of the Pyrenees, since this dog, yet very old, was one of the breeds shepherds French later recognized, well after the Briard or Beauceron in particular, even though its appearance, unlike that of its rivals had changed very little over the centuries.
According to the most recent studies, the current Pyrenean Shepherds would have for their ancestors small herd dogs, themselves from the Tibetan Terriers who, along with larger dogs descended from the Tibetan Mastiff, had accompanied the Asian hordes. during the great invasions of the fourth century. As the westward advance of Attila's and Genghis Khan's armies, Mastiffs and Terriers of Tibet were allegedly crossed with native stumps to give birth to the ancestors of the Nizinny, Tatra Shepherds and other white-clothed mastiffs and, on the other hand, those of the Catalan Shepherds (Gos d'Atura) and the Pyrenean Shepherds.
This thesis, unquestionably the most convincing that has been issued on the question, at the same time destroys many of the theories previously supported by certain specialists for whom the Pyrenean Shepherd would be a descendant of the Berger de Brie. If these races clearly have a certain number of points in common, if only because they are both shepherdesses, it is highly unlikely that they have ever had the opportunity to meet at times when the means of communication not very developed made each province, especially when it was mountainous, a true "continental island".
And even assuming that such genetic "infusions" could have occurred between a dog known only in the southwestern quarter of France and another widespread especially in the plains of the north of the country, it is hard to see how the Briard could have to give birth to the small Pyrenean, while the latter is, according to the oral tradition of his home soil, much earlier than his presumed ancestor.
To top it all off and to end up disturbing the public mind, some cynologists of the late nineteenth century went so far as to claim that the Pyrenean Shepherd and the Pyrenean Mountain Dog were one and the same. race, while everything distinguishes our light athlete from his friend, a worthy representative of another group, also very old, that of molossoids. The origin of these successive confusions is probably found in the errors of ancient authors, usually better inspired, whose work on the Berger des Pyrénées, often conducted from information not checked or verified in the field, proceeded more from the imagination than scientific observation. Thus, luminaries as famous as Brehm in Germany, Reul in Belgium, the Earl of Bylandt in the Netherlands evoked in their respective works a Pyrenean Shepherd at the limit of fantasy, quite different in any case from the real subject. Witness this preliminary draft standard proposed by the Earl of Bylandt in 1897 in his book The Dog Breeds, and which described a dog with hair bushy and half-long, with a little curved skull, long snout, small ears, eyes sometimes narrowed and long-bodied, or this quote from the German Brehm, which evokes a dog with almost hard hair, curly when young, white stained with large black plates, tall, short and muscular, with the fingers are broadly webbed, the head broad and developed, the ears fairly pointed and drooping, the snout long, square, and large blue eyes salient emphasizing intelligence, gentleness, intrepidity.
Closer to the subject and visibly better informed, Pierre Mégnin, for his part, portrayed the portrait of the Pyrenean Shepherd: "It is a Griffon whose head is scarcely loaded with hair; he has barely a few long hairs on his eyebrows, but he has neither mustache nor pronounced goatee. It is at the rear end that the hair has accumulated. There, he has strong panties and, on the thighs, a thick mattress. The members are almost flush. The feet are very spread out and remind the paw of the bear. The ears are straight instead of lying down. As for the color, it is not white with large black plates, but silver gray with the said black spots, with or without fire on the legs, a color that is vulgarly called Danish. The eyes are frequently minnows, that is, with a light blue iris. "
Despite the interest that French and foreign dogs began to bring to the Shepherd of the Pyrenees, it was not until the First World War that this dog really emerged from the shadows. In 1916, Sub-Lieutenant Paul Mégnin, Commander Malric and Veterinarian Hérout, who had been under his responsibility for the Service des chiens de guerre, suggested to the French staff that the Pyrenean Shepherd be used as a liaison dog. patrol officer. The idea was immediately adopted by the military officials, and the Service of the dogs of war sent to the Pyrenean region Théodore Dretzen, a connoisseur of the race, to recruit as many subjects as possible. Narrower than many other shepherd breeds, the Pyrenean were soon to become valuable auxiliaries for the Allied infantrymen. Witness this appreciation of J. Dhers later published in the columns of L'Eleveur, newspaper in which he had meanwhile become a collaborator: "As a former training officer of the Service of the dogs of war, it is my duty to to proclaim loudly that it is the race of the little Pyrenean Shepherd who has furnished the army with the most intelligent, the most cunning, the quickest, and the most skilful liaison dogs. "
These eloquent statements of service were to contribute to the renown of the Pyrenean Shepherd in the immediate post-war period, culminating in the creation in 1923; under the leadership of Bernard Senac-Lagrange, to whom we owe an exhaustive study of his racial characters, and some Pyrenean dogs; of the Meeting of Pyrenean dog lovers. This club having drafted a standard, nothing was now opposed to the recognition of the Shepherd of the Pyrenees by the Central Canine Society and the Ministry of Agriculture, recognition which intervened in 1926. This dog could therefore participate, the same other shepherd breeds such as Beauceron and Briard at the Central Agricultural General Competition.
A rarity in the annals of dog breeding, the drafters of the standard had been careful to distinguish two varieties of Pyrenean Shepherds: one whose head, in its general form, is reminiscent of the brown bear, with the muzzle shaped corner, the other with a clean face and a little shorter hair on the body; they had moreover admitted a difference of ten centimeters in the size of the subjects. Many amateurs were surprised, especially J. Dhers, at the end of the last century, who explained this particularity by the continental insularity mentioned above, and who wrote: "Although the race is very clearly fixed and defined we see in our mountains that the types vary somewhat from valley to valley. The standard remains the same, but some small details do not escape the mountain cynophiles. This is how Arbazzie's dog would be the model type of the standard. The little dog Saint-Beat is beefy, with a round head. Looks like a miniature Bobtail. The Shepherd of Azun, always black, seems a diminutive of the Groenendael.
These morphological differences are explained mainly by geographical reasons, and especially by the difficulties of communication between the poles of habitat at altitude, which favored the fixation of certain local types highly consanguineous.
Conversely, the clean-face type proper is, according to specialists, derived from crosses between the so-called "classical" Berger des Pyrénées and dogs from subpyrenees. Charles Duconte, judge of the SCC and end connoisseur of the race, wrote besides on this subject: "There exists in the sub-Pyrenean region, and particularly in Béarn, the Bigorre and the Adour basin, a big number of sheep dogs. Their proximity of habitat, the transhumance of certain herds which accompanied the dogs make that there were necessarily unions between them and their mountain brothers. This resulted in general a dog higher on legs, half-long hair on the body, flush on the head and limbs, whose cranial box, a little more developed, yet reminds by its shape that of pure mountain . These dogs are, moreover, very much appreciated by the horse traders and "beaters" who run the fairs in the region. "
Highly esteemed for his ability to drive sheep and horses, praised by the military for the services he had rendered in time of war, the Pyrenean Shepherd had acquired titles of nobility that allowed him to begin an irresistible rise . As early as 1927, Dutrey de Rabastens devoted to him a remarkable doctoral thesis entitled The Cradle of a Canine Race: the Pyrenean Sheepdog; this thesis will later inspire Duconte and Sabouraud for their book Pyrenean Dogs. The small Pyrenean was henceforth at the heart of the concerns of distinguished cynologists.
After the Second World War, the development of tourism, which allowed thousands of townspeople to get acquainted with this little dog, further increased its popularity, which became international. The Pyrenean Shepherd was perhaps the last shepherd race that the world of dog-eating discovered, but its notoriety should never be questioned again. So much so that today he is a very appreciated pet dog. We could say that the Pyrenean Shepherd enjoys a reputation inversely proportional to its size. The breed is indeed unanimously praised, and by the professionals who chose to make it work and by the individuals who adopted it as a pet dog. It is above all a dog remarkably adapted to the altitude. Its body is in a rectangle, and its center of gravity, close to the ground, ensures maximum stability in the accentuated slopes. He has a dry foot and lean sole, and holds the rock very well. Slightly turned outwards, her hind limbs make it easier for her to walk in the mountains. His reasonable food needs and small size, which prevented him from overturning a sheep by jostling him, made him once the ideal auxiliary for shepherds.
At work, his behavior perfectly reflects his two essential qualities: alertness and alertness. Very fast, he pushes the stragglers with a blow of muzzle, makes return in the row the insulated, darkness in front of the herd to indicate the sheep or the sheep the direction to follow. But when necessary, he also knows how to stop his passion. In dangerous passages, deftly, he will direct the animals one by one in a vigilant manner to put them in a safe place.
If there is one area where the Shepherd of the Pyrenees surpasses the shepherd himself, it is in the search for a lost animal. A sheep is missing. Preceding the shepherd, the small Pyrenean begins his search, searches the most difficult to access corners, explores the slightest flaw. A sense of duty described to us by a shepherd: "During the winter, for the fattening of the young, I used to drive the lambs in a special box to give them an extra ration. The lambs quickly understood the purpose of the maneuver and thus made the job easier. Willy, a Pyrenean Shepherd, regularly attended the operation, sitting near the door. One would have sworn he counted the lambs in passing. One day, when the lambs had finished eating and had left the box, the dog went, as he usually did, to visit the place where the little ones came from and, panicked, returned immediately to my wife, trying to make him understand that you have to go see. Before his indifference, he pulled the bottom of his apron. My wife finally decided to realize on the spot and found a lamb stuck behind a rack, breathless from having struggled. Willy licked the little animal's head for more than five minutes to comfort him and accompanied him to his mother. "
Another shepherd, Philippe Defrance, evokes in his turn the qualities of the small Pyrenees: "The reflexes of the Pyrenean Shepherd are incomparable and superior to those of all the other shepherd races. His obedience and faithfulness are remarkable. His initiative, his judgment and his memory are never lacking as soon as he is put to the test. His courage results from his hardening to suffering. The lices are no less excellent dairy when they find in their rations the necessary nutrients. "
Quite exclusive, the Pyrenean Shepherd tends to know only one master, to which he will remain passionately attached, supporting everything of him if he feels that it is useful. His vigilance at work is matched only by his mistrust at home. His bravery is legendary too. It is even said that formerly he did not hesitate to attack the bears who would have approached a little too closely his master's flock. Quite a fighter, the Pyrenean Shepherd is often at the origin of fights with other dogs. In these moments, he shows flexibility, rapidity, offering only little grip to his adversary, and, by a succession of skilful dodges and unexpected attacks, he places a few well-felt teeth. He is a light athlete, a fighter without weakness, characteristics that we sometimes tend to forget when this dog lives in the city.
To preserve the qualities of the Pyrenean Shepherd, the breeders and managers of the Reunion club of Pyrenean dog lovers have taken over, for some years now, the credo of all the "bergérophiles": out of work, no salvation. Which means, in a more explicit way: the dog can not be removed from the functions of a working dog which he has filled for many centuries without running to the degeneracy of the type. To this end, the Pyrenean Shepherd, who, for obvious economic reasons, had no future in driving sheep, has reconverted to new tasks, reconversion that his versatility has allowed him to succeed fully.
Not hesitating to bite if necessary, the small Pyrenean was thus initiated to the role of dog of defense and police. If its size prevents it from jumping as high as some others, its relaxation does not less than admire. One injured male was seen on an anterior paw crossing a stone wall of 1.70 meters and a fence surmounted by barbed wire. With such possibilities, the Pyrenean Shepherd was naturally called to become a guardian of children, especially since he knows how to be calm in the presence of a weaker, he is usually so exuberant.
Very sporty, he can hardly stand being confined to an apartment, and even in a garden if he does not have the opportunity to run on larger spaces. In its natural environment, it can travel from 15 to 40 kilometers per day. He badly needs the presence of his master; if he has to stay alone too often, and especially if he feels useless, he can become sullen, even aggressive. Apart from this case, he does not pose any particular problems, and, provided his education has been firm but fair and given between two and six months, he can be taken everywhere.
Left alone at home or in a car, the Pyrenean Shepherd will tend to bark. Sometimes embarrassing, this propensity to make his voice heard is part of his personality, which is never good to annoy systematically. Pet since he no longer has to spend on the slopes of the Pyrenees, this dog remains hereditarily marked by the lives of his ancestors. Although his field is increasingly that of large cities, he needs to lead a life that will allow him, daily, to express his vitality and intelligence.
All; or almost all owners of Pyrenean Shepherds are certain and proud to have a dog that is not "like the others". They are not necessarily wrong. Called in his original region "the dog who saw God" because of his expressive look that denotes intelligence and sometimes even exaltation, this mountaineer in the soul has shown for a long time that he knew how to adapt to other places, urban or rural. |
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Pyrenäen schäferhund mit kurzhaarigem gesicht FCI-Standard Nr. 138
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Ursprung
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Frankreich |
Übersetzung
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Josef Müller |
Gruppe
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Gruppe 1 Hütehunde und Treibhunde (ausgenommen Schweizer Sennenhunde) |
Sektion
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Sektion 1 Schäferhunde |
Arbeitsprüfung
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Mit Arbeitsprüfung |
Endgültigen Anerkennung der Rasse durch die FCI
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Mittwoch 26 Januar 1955 |
Publikation des gültigen offiziellen Standards
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Dienstag 13 März 2001 |
Letzten Aktualisierung
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Mittwoch 06 Februar 2002 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à face rase |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog smooth faced |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de cara rasa |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond à face rase |
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Kurzer geschichtlicher abriss
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Diese Varietät des Pyrenäen-Schäferhundes existierte vornehmlich im Vorgebirge der Pyrenäen, wo sie, wie Bernard Sénac-Lagrange im Jahrbuch von 1927 schreibt, „von den Viehhändlern und Viehtreibern sehr geschätzt wurde“. Die besonderen Merkmale, die sie von den anderen Typen der Pyrenäen-Schäferhunde unterscheiden, führten zu einem |
Allgemeines erscheinungsbild
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In seiner Gesamterscheinung besitzt der Pyrenäenschäferhund mit kurzhaarigem Gesicht die gleichen Merkmale wie der langhaarige Pyrenäenschäferhund. |
Wichtige proportionen
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• Der Schädel ist beinahe ebenso breit wie lang. • Der Fang ist ein wenig kürzer als der Schädel, aber länger als der des langhaarigen oder mittellanghaarigen Pyrenäenschäfer-hundes. • Die Länge des Körpers entspricht annähernd seiner Höhe. • Die Entfernung des Ellenbogens vom Boden übertrifft die Hälfte der Widerristhöhe. |
Verhalten / charakter (wesen)
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Dieser Hund ist lebhaft, führig, manchmal mißtrauisch Fremden gegenüber. |
Kopf
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Oberkopf
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Kopf
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Von kurzen, feinen Haaren bedeckt (daher die Bezeichnung „mit kurzhaarigem Gesicht“). |
Facial region
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Fang
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Der Fang ist ein wenig Pyrenäenschäferhundes. |
Körper
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Allgemeinheit
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Ein wenig kürzer als der des langhaarigen Pyrenäenschäferhundes; er hat annähernd quadratisches Format. |
Vorderhand
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Allgemeines
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Glatthaarig mit leichter Befransung an den Vorderläufen und Hosen an den Hinterläufen. |
Hinterhand
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Allgemeines
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Glatthaarig mit leichter Befransung an den Vorderläufen und Hosen an den Hinterläufen. |
Pfoten
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Die Pfoten sind sowohl geschlossener als auch stärker gewölbt als die des langhaarigen Pyrenäenschäferhundes. Die Winkelungen in dieser Varietät sind offener. |
Gangwerk
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In der Bewegung hat der Pyrenäenschäferhund mit kurzhaarigem Gesicht einen geringeren Raumgriff als der langhaarige. |
Coat
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Haar
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Auf dem Körper ist das Haar halblang oder kürzer. Am längsten ist es am Hals und am Widerrist (6 – 7 cm) und auf der Mittellinie des Rückens ( 4 – 5 cm). |
Grösse und gewicht
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Widerristhöhe
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Rüden 40 bis 54 cm, hündinnen 40 bis 52 cm. |
Fehler
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• Jede Abweichung von den vorgenannten Punkten muss als Fehler angesehen werden, dessen Bewertung in genauem Verhältnis zum Grad der Abweichung stehen sollte und dessen Einfluss auf die Gesundheit und das Wohlbefinden des Hundes zu beachten ist, und seine Fähigkeit, die verlangte rassetypische Arbeit zu erbringen. • Fehler sollten nach Grad der Schwere aufgenommen werden. |
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Wichtige
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Die Fehler und ausschließenden Fehler entsprechen denjenigen der langhaarigen Varietät mit Ausnahme der das Haarkleid und die Proportionen betreffenden. |
NB :
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• Hunde, die deutlich physische Abnormalitäten oder Verhaltensstörungen aufweisen, müssen disqualifiziert werden. • Die in starker Ausprägung oder gehäuft vorkommenden oben angeführten Fehler sind ausschließend. • Rüden müssen zwei offensichtlich normal entwickelte Hoden aufweisen, die sich vollständig im Hodensack befinden. • Zur Zucht sollen ausschließlich funktional und klinisch gesunde, rassetypische Hunde verwendet werden. |
Detaillierter Verlauf
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Paradoxes Schicksal wie das des Hirten der Pyrenäen, da dieser Hund, noch sehr alt, eine der Rassen war, die Schäferhunde später, besonders nach dem Briard oder Beauceron im Besonderen, anerkannten, obwohl sein Aussehen, anders als das von Seine Rivalen hatten sich über die Jahrhunderte nur wenig verändert.
Jüngsten Studien zufolge hätten die heutigen Pyrenäen-Hirten für ihre Vorfahren kleine Herdenhunde, die von den Tibet-Terriern stammen, die zusammen mit größeren Hunden, die vom Tibet-Mastiff abstammen, die asiatischen Horden begleitet hatten. während der großen Invasionen des vierten Jahrhunderts. Als der westliche Vormarsch von Attilas und Dschingis Khans Armeen, Mastiffs und Terrier von Tibet angeblich mit einheimischen Stümpfen gekreuzt wurden, um die Vorfahren der Nizinny, Tatra Shepherds und andere weiß gekleidete Mastiffs und andererseits die katalanischen Hirten (Gos d'Atura) und die Pyrenäen-Hirten.
Diese zweifellos überzeugendste These, die zu dieser Frage veröffentlicht wurde, zerstört gleichzeitig viele der Theorien, die früher von gewissen Spezialisten unterstützt wurden, für die der Pyrenäen-Schäfer ein Nachkomme des Berger de Brie sein würde. Wenn diese Rassen eine gewisse Anzahl von Punkten gemeinsam haben, schon allein deshalb, weil sie beide Hirtinnen sind, ist es höchst unwahrscheinlich, dass sie jemals die Gelegenheit hatten, sich zu bestimmten Zeiten zu treffen die Mittel der Kommunikation, die nicht sehr entwickelt sind, machten jede Provinz, besonders wenn es gebirgig war, eine wahre "kontinentale Insel".
Und selbst wenn man annimmt, dass solche genetischen "Infusionen" zwischen einem Hund, der nur im südwestlichen Viertel Frankreichs bekannt ist, und einem anderen, der besonders in den Ebenen des Nordens des Landes verbreitet ist, aufgetreten sind, ist es schwer zu sehen, wie der Briard aussehen könnte um die kleinen Pyrenäen zu gebären, während die letztere, nach der mündlichen Überlieferung seines Heimatbodens, viel früher als sein vermutlicher Vorfahre ist.
Um das Ganze abzurunden und am Ende die öffentliche Meinung zu stören, gingen einige Kynologen des späten neunzehnten Jahrhunderts so weit, zu behaupten, dass der Pyrenäen-Hirte und der Pyrenäen-Sennenhund ein und dasselbe seien. Rennen, während alles unseren leichten Athleten von seinem Freund unterscheidet, ein würdiger Vertreter einer anderen Gruppe, auch sehr alt, das von molossoids. Der Ursprung dieser sukzessiven Verwirrungen liegt wahrscheinlich in den Fehlern der meist besser inspirierten antiken Autoren, deren Arbeit am Berger des Pyrénées, die oft aus nicht überprüften oder verifizierten Informationen durchgeführt wurde, die meiste Zeit verlief. Imagination als wissenschaftliche Beobachtung. So haben Koryphäen wie Brehm in Deutschland, Reul in Belgien, der Graf von Bylandt in den Niederlanden in ihren jeweiligen Werken einen Pyrenäen-Hirten an der Grenze der Phantasie heraufbeschworen, der sich vom eigentlichen Gegenstand jedenfalls durchaus unterscheidet. Man beachte diesen vorläufigen Entwurf, den der Graf von Bylandt 1897 in seinem Buch Die Hunderassen vorgeschlagen hatte und der einen Hund mit buschigen und halb langen Haaren, mit einem kleinen gekrümmten Schädel, einer langen Schnauze, kleinen Ohren, Augen manchmal verengt und lang, oder dieses Zitat aus dem deutschen Brehm, das an einen Hund mit fast hartem Haar erinnert, lockig wenn jung, weiß mit großen schwarzen Platten befleckt, groß, kurz und muskulös, mit die Finger sind breit gewebet, der Kopf breit und entwickelt, die Ohren ziemlich spitz und hängenden, die Schnauze lang, quadratisch, und große blaue Augen, die hervortreten, betonen Intelligenz, Sanftheit, Unerschrockenheit.
Näher am Thema und sichtlich besser informiert, porträtierte Pierre Mégnin seinerseits das Porträt des Hirten der Pyrenäen: "Es ist ein Griffon, dessen Kopf nicht sehr voller Haare ist; er hat kaum ein paar lange Haare auf seinen Augenbrauen, aber er hat weder Schnurrbart noch ausgeprägten Spitzbart. Es ist am hinteren Ende, dass die Haare angesammelt haben. Dort hat er starke Höschen und an den Oberschenkeln eine dicke Matratze. Die Mitglieder sind fast bündig. Die Füße sind sehr weit gespreizt und erinnern an die Pfote des Bären. Die Ohren sind gerade anstatt zu liegen. Was die Farbe betrifft, ist sie nicht weiß mit großen schwarzen Platten, sondern silbergrau mit den genannten schwarzen Flecken, mit oder ohne Feuer an den Beinen, eine Farbe, die gemeinhin Dänisch heißt. Die Augen sind häufig Elritzen, also mit einer hellblauen Iris. "
Trotz des Interesses, das französische und ausländische Hunde dem Schäfer der Pyrenäen zu bringen begannen, kam dieser Hund erst im Ersten Weltkrieg wirklich aus dem Schatten. Im Jahr 1916 schlugen Unterleutnant Paul Mégnin, Kommandant Malric und Tierarzt Hérout, der unter seiner Verantwortung für den Dienst der Chiens de Guerre war, den französischen Mitarbeitern vor, dass der Pyrenäen-Schäferhund als Verbindungshund verwendet werden sollte. Streifenpolizist. Die Idee wurde sofort von den Militärs angenommen, und der Dienst der Kriegshunde schickte Théodore Dretzen, einen Kenner der Rasse, in die Pyrenäenregion, um möglichst viele Untertanen zu rekrutieren. Schmaler als viele andere Hirtenrassen waren die Pyrenäen bald wertvolle Hilfstruppen für die alliierten Infanteristen. Zeuge dieser Wertschätzung von J. Dhers später veröffentlicht in den Kolumnen von L'Eleveur, Zeitung, in der er inzwischen ein Kollaborateur geworden war: "Als ehemaliger Ausbildungsoffizier des Dienstes der Kriegshunde ist es meine Pflicht um laut zu verkünden, dass es die Rasse des kleinen Pyrenäen-Hirten ist, der die Armee mit den intelligentesten, den schlauesten, den schnellsten und den geschicktesten Verbindungshunden ausgestattet hat. "
Diese eloquenten Aussagen des Dienstes sollten zur Berühmtheit des Pyrenäen-Hirten in der unmittelbaren Nachkriegszeit beitragen, die in der Schaffung 1923 kulminierte; unter der Leitung von Bernard Senac-Lagrange, dem wir eine gründliche Studie seiner Rassecharaktere und einiger Pyrenäen-Hunde verdanken; des Treffens der Pyrenäen-Hundeliebhaber. Nachdem dieser Club einen Standard entworfen hatte, war nichts gegen die Anerkennung des Hirten der Pyrenäen durch die Central Canine Society und das Landwirtschaftsministerium, Anerkennung, die im Jahr 1926 intervenierte. Dieser Hund konnte daher teilnehmen andere Schäferrassen wie Beauceron und Briard beim Central Agricultural General Competition.
Eine Seltenheit in den Annalen der Hundezucht, hatten die Herausgeber des Standards darauf geachtet, zwei Sorten von Pyrenäen-Hirten zu unterscheiden: einer, dessen Kopf in seiner allgemeinen Form an den braunen Bären erinnert, mit der Schnauze geformt Ecke, die andere mit einem sauberen Gesicht und ein wenig kürzeres Haar am Körper; sie hatten darüber hinaus einen Unterschied von zehn Zentimetern in der Größe der Probanden zugegeben. Viele Amateure waren überrascht, besonders J. Dhers am Ende des letzten Jahrhunderts, der diese Besonderheit durch die oben erwähnte kontinentale Insularität erklärte und schrieb: "Obwohl die Rasse sehr klar festgelegt und definiert ist Wir sehen in unseren Bergen, dass die Arten von Tal zu Tal variieren. Der Standard bleibt der gleiche, aber einige kleine Details entgehen den Bergzynophilen nicht. So wäre der Hund von Arbazzie der Modelltyp des Standards. Der kleine Hund Saint-Beat ist bullig und hat einen runden Kopf. Sieht aus wie ein Miniatur Bobtail. Der Schäfer von Azun, immer schwarz, scheint eine Verkleinerungsform des Groenendael zu sein.
Diese morphologischen Unterschiede werden hauptsächlich durch geographische Gründe erklärt, und insbesondere durch die Schwierigkeiten der Kommunikation zwischen den Polen des Habitats in der Höhe, was die Fixierung bestimmter lokaler Arten stark blutsverwandt begünstigte.
Umgekehrt stammt der Typ der reinen Gesichtshaut nach Ansicht von Spezialisten aus Kreuzungen zwischen dem sogenannten "klassischen" Berger des Pyrénées und Hunden aus Subpyrenäen. Charles Duconte, Richter am SCC und Endkenner der Rasse, schrieb dazu: "Es gibt in der subpyrenäischen Region, und besonders in Béarn, das Bigorre und das Adour-Becken, ein großes Anzahl der Schäferhunde. Ihre Nähe zum Lebensraum, die Transhumanz bestimmter Herden, die die Hunde begleiteten, führten dazu, dass es notwendigerweise Verbindungen zwischen ihnen und ihren Bergbrüdern gab. Dies führte in der Regel zu einem Hund höher auf den Beinen, halb-lange Haare auf dem Körper, bündig auf dem Kopf und Gliedmaßen, deren Schädel-Box, ein wenig mehr entwickelt, erinnert jedoch durch seine Form, die von reinem Berg . Diese Hunde werden außerdem von den Pferdehändlern und "Treibern", die die Messen in der Region leiten, sehr geschätzt. "
Sehr geschätzt für seine Fähigkeit, Schafe und Pferde zu fahren, die vom Militär für die Dienste, die er in Kriegszeiten geleistet hatte, gelobt wurden, hatte der Pyrenäen-Hirte Adelstitel erworben, die ihm einen unwiderstehlichen Aufstieg ermöglichten . Bereits 1927 widmete ihm Du- trey de Rabastens eine bemerkenswerte Dissertation mit dem Titel Die Wiege einer Hunde- Rasse: der Pyrenäen-Schäferhund; Diese These wird später Duconte und Sabouraud für ihr Buch Pyrenean Dogs inspirieren. Das kleine Pyrenäengebiet stand fortan im Mittelpunkt der Interessen der angesehenen Kynologen.
Nach dem Zweiten Weltkrieg hat die Entwicklung des Tourismus, die es Tausenden von Städtern ermöglichte, sich mit diesem kleinen Hund vertraut zu machen, seine Popularität weiter erhöht, die international wurde. Der Pyrenäen-Hirte war vielleicht das letzte Hirtenvolk, das die Welt des Hundeessens entdeckte, aber seine Bekanntheit sollte nie wieder hinterfragt werden. So sehr, dass er heute ein sehr geschätzter Haustierhund ist. Wir können sagen, dass der Pyrenäen-Hirte einen Ruf genießt, der umgekehrt proportional zu seiner Größe ist. Die Rasse wird in der Tat einstimmig gelobt, und von den Fachleuten, die sich dafür entschieden haben, es zu arbeiten, und von den Personen, die es als ein Hund angenommen haben. Es ist vor allem ein Hund, der bemerkenswert an die Höhe angepasst ist. Sein Körper ist in einem Rechteck und sein Schwerpunkt, nahe dem Boden, sorgt für maximale Stabilität in den akzentuierten Hängen. Er hat einen trockenen Fuß und eine schlanke Sohle und hält den Stein sehr gut. Leicht nach außen gedreht, erleichtern ihre Hinterbeine das Gehen in den Bergen. Seine vernünftigen Nahrungsbedürfnisse und seine geringe Größe, die ihn daran hinderten, ein Schaf zu schlagen, indem sie ihn drängten, machten ihn einst zum idealen Hilfsmittel für Hirten.
Bei der Arbeit reflektiert sein Verhalten perfekt seine zwei wesentlichen Eigenschaften: Wachheit und Wachsamkeit. Sehr schnell schiebt er die Nachzügler mit einem Mündungsstoß, lässt im Isolierfeld die Dunkelheit vor der Herde zurückkehren, um den Schafen oder den Schafen die Richtung anzuzeigen, der sie folgen sollen. Aber wenn es nötig ist, weiß er auch, wie er seine Leidenschaft stoppen kann. In gefährlichen Passagen wird er geschickt die Tiere einer nach dem anderen aufmerksam führen, um sie an einen sicheren Ort zu bringen.
Wenn es einen Bereich gibt, wo der Hirte der Pyrenäen den Hirten selbst übertrifft, ist es auf der Suche nach einem verlorenen Tier. Ein Schaf fehlt. Vor dem Hirten beginnt die kleine Pyrenäen ihre Suche, sucht die am schwersten zugänglichen Ecken ab, erkundet den kleinsten Fehler. Ein Pflichtbewusstsein, das uns ein Hirte beschrieb: "Im Winter, zur Mast der Jungen, habe ich die Lämmer in einer speziellen Kiste gefüttert, um ihnen eine zusätzliche Ration zu geben. Die Lämmer verstanden schnell den Zweck des Manövers und erleichterten so die Arbeit. Willy, ein Schäfer aus den Pyrenäen, besuchte regelmäßig die Operation und saß neben der Tür. Man hätte geschworen, dass er die Lämmer im Vorbeigehen zählte. Eines Tages, als die Lämmer mit dem Essen fertig waren und die Kiste verlassen hatten, ging der Hund, wie er es gewöhnlich tat, zu dem Ort, wo die Kleinen herkamen, und kehrte in Panik zu meiner Frau zurück und versuchte ihn zu machen verstehe, dass du gehen musst. Vor seiner Gleichgültigkeit zog er die Schürze hoch. Meine Frau entschied sich schließlich, auf der Stelle zu erkennen und fand ein Lamm, das hinter einem Gestell steckte, atemlos vom Kämpfen. Willy leckte den Kopf des kleinen Tieres für mehr als fünf Minuten, um ihn zu trösten und begleitete ihn zu seiner Mutter. "
Ein anderer Hirte, Philippe Defrance, erinnert an die Qualitäten der kleinen Pyrenäen: "Die Reflexe des Hirten der Pyrenäen sind unvergleichlich und denen aller anderen Hirtenrassen überlegen. Sein Gehorsam und seine Treue sind bemerkenswert. Seine Initiative, sein Urteilsvermögen und seine Erinnerung werden nie fehlen, sobald er auf die Probe gestellt wird. Sein Mut resultiert aus seiner Verhärtung zum Leiden. Die Läuse sind nicht minder ausgezeichnete Molkereien, wenn sie in ihren Rationen die notwendigen Nährstoffe finden. "
Ganz exklusiv, der Pyrenäen-Hirte neigt dazu, nur einen Meister zu kennen, dem er leidenschaftlich verbunden bleibt und alles von ihm unterstützt, wenn er das Gefühl hat, dass es nützlich ist. Seine Wachsamkeit bei der Arbeit wird nur von seinem Misstrauen zu Hause verglichen. Seine Tapferkeit ist auch legendär. Es wird sogar gesagt, dass er früher nicht zögerte, die Bären anzugreifen, die sich der Herde seines Meisters ein wenig zu nahe genähert hätten. Der Pyrenäen-Hirte ist ein ziemlicher Kämpfer und oft der Ursprung von Kämpfen mit anderen Hunden. In diesen Momenten zeigt er Flexibilität, Schnelligkeit und bietet seinem Gegner nur wenig Griff, und durch eine Reihe von geschickten Ausweichmanövern und unerwarteten Angriffen legt er ein paar gut gefühlt Zähne. Er ist ein Leichtathlet, ein Kämpfer ohne Schwäche, Eigenschaften, die wir manchmal vergessen, wenn dieser Hund in der Stadt lebt.
Um die Qualitäten des Pyrenäen-Hirten zu bewahren, haben die Züchter und Manager des Club de la Réunion der Pyrenäen-Hundeliebhaber seit einigen Jahren das Credo aller "Bergérophilen" übernommen: ohne Arbeit, ohne Erlösung. Was deutlicher heißt: Der Hund kann nicht aus den Funktionen eines Arbeitshundes entfernt werden, den er seit vielen Jahrhunderten gefüllt hat, ohne in die Entartung des Typs zu geraten. Zu diesem Zweck hat der Pyrenäen-Hirte, der aus offensichtlichen wirtschaftlichen Gründen keine Zukunft in der Schafzucht hatte, sich wieder neuen Aufgaben zuwenden können, die er durch seine Vielseitigkeit wiedererlangen konnte.
Ohne zu zögern, bei Bedarf zu beißen, wurde die kleine Pyrenäen so zur Rolle des Hundes der Verteidigung und der Polizei initiiert. Wenn seine Größe verhindert, dass es so hoch springt wie andere, ist seine Entspannung nicht weniger als bewundernswert. Ein verletzter Mann wurde an einer Vorderpfote gesehen, die eine Steinmauer von 1,70 Metern und einen Zaun mit Stacheldraht überquerte. Mit solchen Möglichkeiten wurde der Pyrenäen-Hirte natürlich dazu berufen, ein Wächter der Kinder zu werden, zumal er in Gegenwart eines Schwächeren ruhig zu sein weiß, er ist normalerweise so überschwänglich.
Sehr sportlich, kann er es kaum ertragen, in einer Wohnung und sogar in einem Garten eingesperrt zu sein, wenn er nicht die Möglichkeit hat, auf größeren Räumen zu laufen. In seiner natürlichen Umgebung kann es 15 bis 40 Kilometer pro Tag zurücklegen. Er braucht dringend die Anwesenheit seines Meisters; wenn er zu oft allein bleiben muss, und besonders wenn er sich nutzlos fühlt, kann er mürrisch, sogar aggressiv werden. Abgesehen von diesem Fall stellt er keine besonderen Probleme, und wenn seine Ausbildung fest, aber fair und zwischen zwei und sechs Monaten gegeben ist, kann er überall hin mitgenommen werden.
Zu Hause oder in einem Auto allein gelassen, neigt der Pyrenäen-Schäfer dazu, zu bellen. Manchmal ist es peinlich, dass diese Neigung, seine Stimme zu Gehör zu bringen, Teil seiner Persönlichkeit ist, die nie gut ist, um systematisch zu nerven. Pet, da er nicht mehr an den Hängen der Pyrenäen verbringen muss, bleibt dieser Hund erblich geprägt von den Leben seiner Vorfahren. Obwohl sein Gebiet zunehmend das von großen Städten ist, muss er ein Leben führen, das es ihm täglich ermöglicht, seine Vitalität und Intelligenz auszudrücken.
Alles; oder fast alle Besitzer von Pyrenäen-Hirten sind sicher und stolz darauf, einen Hund zu haben, der nicht "wie die anderen" ist. Sie sind nicht unbedingt falsch. In seiner ursprünglichen Region "der Hund, der Gott sah" aufgrund seines ausdrucksvollen Aussehens, das Intelligenz und manchmal sogar Erhöhung bedeutet, genannt, hat dieser Bergsteiger in der Seele lange gezeigt, dass er sich anzupassen wusste andere Orte, städtische oder ländliche. |
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Pastor de los Pirineos de cara rasa FCI Standard No. 138
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Origen
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Francia |
Traducción
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Iris Carrillo (Federación Canófila de Puerto Rico) |
Grupo
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Grupo 1 Perros de pastor y perros boyeros (excepto perros boyeros suizos) |
Sección
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Sección 1 Perros de pastor |
Prueba de trabajo
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Con prueba de trabajo |
Reconocimiento a título definitivo por la FCI
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miércoles 26 enero 1955 |
Publicación del estándar oficial válido
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martes 13 marzo 2001 |
Última actualización
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viernes 17 mayo 2002 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à face rase |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog smooth faced |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Pyrenäen schäferhund mit kurzhaarigem gesicht |
In het Nederlands, wordt dit ras gezegd
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Pyreneese herdershond à face rase |
Utilizacion
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Perro de pastor. |
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Breve resumen historico
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Esta variedad del Perro de pastor de los Pirineos se encontraba esencialmente en el Piemonte pirenaico en donde era « muy apreciada por los tratantes de caballos y por los conductores de ganado », según el Sr. Bernard SÉNAC-LAGRANGE (anuario de 1972). Sus características particulares con relación a los otros tipos de perros de pastor de los Pirineos le han valido un anexo en el estándar de la raza desde los años 1920. |
Aspecto general
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En conjunto, el Perro de pastor de cara rasa posee las mismas características que el Perro de pastor de los Pirineos de pelo largo. |
Proporciones importantes
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• El cráneo tiene aproximadamente la misma amplitud y longitud. • El hocico es un poco más corto que el cráneo, pero más largo que el del Pastor de pelo largo o semi-largo. • La longitud del cuerpo es casi igual a su altitud. • La distancia del codo al terreno es superior a la mitad del tamaño a la cruz. |
Temperamento / comportamiento
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Este perro es un perro enérgico, maleable y a veces desconfiado con los extraños. |
Cabeza
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Region craneal
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Cabeza
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Está provista de pelos cortos y finos (de ahí la denominación de « cara rasa ». |
Facial region
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Hocico
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El hocico es un poco más largo que el del Perro de pastor de los Pirineos de pelo largo o semi-largo. |
Cuerpo
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Generalidad
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Es un poco más corto que el del Perro de pastor de los Pirineos de pelo largo, su forma es casi la de un cuadrado. |
Miembros anteriores
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Generalidad
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Presentan un pelo raso, con un ligero fleco de pelo en los miembros anteriores y un pantalón en los miembros posteriores. |
Miembros posteriores
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Generalidad
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Presentan un pelo raso, con un ligero fleco de pelo en los miembros anteriores y un pantalón en los miembros posteriores. |
Pies
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El pie es al mismo tiempo más ceñido y más arqueado que el del pastor de pelo largo. Las angulaciones son más abiertas en esta variedad. |
Movimiento
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El Perro de pastor de los Pirineos de cara rasa cubre menos terreno que el de pelo largo. |
Manto
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Pelo
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Sobre el cuerpo el pelo es semi-largo o menos que semi-largo. Alcanza su mayor longitud sobre el cuello y la cruz (6-7 cm), y sobre la línea media de la espalda (4-5 cm). |
Tamaño y peso
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Altura a la cruz
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Machos 40 a 54 cm., hembras : 40 a 52 cm. |
Faltas
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• Cualquier desviación de los criterios antes mencionados se considera como falta, y la gravedad de ésta se considera al grado de desviación al estándar y de sus consecuencias sobre la salud y el bienestar del perro y de la capacidad del perro para realizar su tarea tradicional. • Las faltas que se enumeran deben estar en grado a su gravedad. |
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Importante
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Las faltas y faltas eliminatorias son las mismas que las que se indican para la variedad de pelo largo, excepto en lo que concierne al pelo y a las proporciones. |
NB :
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• Cualquier perro mostrando claras señales de anormalidades físicas o de comportamiento debe ser descalificado. • Las faltas antes mencionadas más pronunciadas o más marcadas son eliminatorias. • Los machos deben tener dos testículos de apariencia normal completamente descendidos en el escroto. • Sólo los perros funcionalmente y clínicamente saludables, con la conformación típica de la raza, deberán usarse para la crianza. |
Historia detallada
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Destino paradójico como el del Pastor de los Pirineos, ya que este perro, aunque muy viejo, fue uno de los pastores de razas que Francia reconoció más tarde, bien después del Briard o Beauceron en particular, aunque su apariencia, a diferencia de la de sus rivales habían cambiado muy poco a lo largo de los siglos.
Según los estudios más recientes, los actuales pastores pirenaicos tendrían para sus antepasados pequeños perros de rebaño, ellos mismos de los Terriers tibetanos que, junto con perros más grandes descendientes del mastín tibetano, habían acompañado a las hordas asiáticas. durante las grandes invasiones del siglo IV. Como el avance hacia el oeste de los ejércitos de Atila y Genghis Khan, los mastines y terrieres del Tíbet fueron supuestamente cruzados con tocones nativos para dar a luz a los antepasados de los Nizinny, Tatra Shepherds y otros mastines vestidos de blanco y, por otro lado, los de los pastores catalanes (Gos d'Atura) y los pastores pirenaicos.
Esta tesis, indiscutiblemente la más convincente que se ha emitido sobre la cuestión, al mismo tiempo destruye muchas de las teorías previamente apoyadas por ciertos especialistas para quienes el Pastor Pirenaico sería descendiente del Berger de Brie. Si estas razas tienen claramente un cierto número de puntos en común, aunque solo sea porque ambas son pastoras, es muy poco probable que alguna vez hayan tenido la oportunidad de encontrarse a veces cuando los medios de comunicación no muy desarrollados hicieron que cada provincia, especialmente cuando era montañosa, fuera una verdadera "isla continental".
E incluso suponiendo que esas "infusiones" genéticas podrían haber ocurrido entre un perro conocido solo en el sudoeste de Francia y otro ampliamente diseminado especialmente en las llanuras del norte del país, es difícil ver cómo podría haberlo tenido el Briard. para dar a luz al pequeño Pirineo, mientras que el segundo es, de acuerdo con la tradición oral de su tierra natal, mucho antes que su presunto antepasado.
Para colmo, y para terminar perturbando la mente del público, algunos cinólogos de finales del siglo XIX llegaron a afirmar que el Pastor de los Pirineos y el Perro de Montaña de los Pirineos eran uno y el mismo. raza, mientras que todo distingue a nuestro atleta ligero de su amigo, un digno representante de otro grupo, también muy viejo, el de los molosoides. El origen de estas confusiones sucesivas se encuentra probablemente en los errores de los autores antiguos, por lo general mejor inspirados, cuyo trabajo en el Berger des Pyrénées, a menudo realizado a partir de información no verificada o verificada en el campo, procedió más de la imaginación más que observación científica Así, luminarias tan famosas como Brehm en Alemania, Reul en Bélgica, el conde de Bylandt en los Países Bajos evocaron en sus respectivas obras a un pastor pirenaico en el límite de la fantasía, bastante diferente en cualquier caso del sujeto real. Sea testigo de este anteproyecto de norma propuesto por el conde de Bylandt en 1897 en su libro The Dog Breeds, y que describe a un perro con pelo espeso y medio largo, con una pequeña calavera curvada, hocico largo, orejas pequeñas, ojos a veces estrechados y de cuerpo largo, o esta cita del alemán Brehm, que evoca a un perro con el pelo casi duro, rizado cuando joven, blanco manchado con grandes placas negras, alto, bajo y musculoso, con los dedos están ampliamente palmeados, la cabeza ancha y desarrollada, las orejas bastante puntiagudas y caídas, el hocico largo, cuadrado y grandes ojos azules que resaltan la inteligencia, la dulzura, la intrepidez.
Más cerca del tema y visiblemente mejor informado, Pierre Mégnin, por su parte, retrató el retrato del Pastor Pirenaico: "Es un Grifón cuya cabeza no está muy llena de pelo; tiene apenas unos pocos pelos largos en las cejas, pero no tiene bigote ni barbita pronunciada. Es en la parte trasera donde el cabello se ha acumulado. Allí, tiene bragas fuertes y, en los muslos, un grueso colchón. Los miembros están casi enrojecidos. Los pies están muy extendidos y recuerdan la pata del oso. Las orejas son rectas en lugar de estar acostadas. En cuanto al color, no es blanco con grandes placas negras, sino gris plateado con dichas manchas negras, con o sin fuego en las patas, un color vulgarmente llamado danés. Los ojos son frecuentemente pececillos, es decir, con un iris azul claro. "
A pesar del interés que los perros franceses y extranjeros comenzaron a traer al Pastor de los Pirineos, no fue hasta la Primera Guerra Mundial que este perro realmente emergió de las sombras. En 1916, el sub teniente Paul Mégnin, el comandante Malric y el veterinario Hérout, que habían estado bajo su responsabilidad por el Servicio de Chiens de Guerre, sugirieron al personal francés que el Pastor Pirenaico se usara como perro de enlace. patrullero La idea fue adoptada de inmediato por los oficiales militares, y el Servicio de los perros de guerra envió a la región pirenaica a Théodore Dretzen, un conocedor de la raza, para reclutar tantos súbditos como fuera posible. Más estrechos que muchas otras razas de pastores, los Pirineos pronto se convertirían en valiosos auxiliares para los soldados de infantería aliados. Sea testigo de esta apreciación de J. Dhers publicada más tarde en las columnas de L'Eleveur, periódico que, mientras tanto, se había convertido en colaborador: "En mi calidad de antiguo oficial de entrenamiento del Servicio de perros de guerra, es mi deber proclamar en voz alta que es la raza del pequeño pastor pirenaico que ha proporcionado al ejército los perros de enlace más inteligentes, astutos, rápidos y hábiles. "
Estas elocuentes declaraciones de servicio contribuyeron a la fama del pastor pirenaico en el período inmediatamente posterior a la guerra, que culminó en la creación en 1923; bajo la dirección de Bernard Senac-Lagrange, a quien debemos un estudio exhaustivo de sus personajes raciales, y algunos perros pirenaicos; del Encuentro de amantes de los perros de los Pirineos. Este club había redactado un estándar, nada se oponía al reconocimiento del Pastor de los Pirineos por parte de la Sociedad Central Canina y el Ministerio de Agricultura, reconocimiento que intervino en 1926. Este perro pudo por lo tanto participar, el mismo otras razas de pastores como Beauceron y Briard en la Competencia General Agrícola Central.
Una rareza en los anales de la cría de perros, los redactores de la norma habían tenido cuidado de distinguir dos variedades de pastores pirenaicos: uno cuya cabeza, en su forma general, es una reminiscencia del oso pardo, con la forma del hocico esquina, el otro con una cara limpia y un pelo un poco más corto en el cuerpo; además, admitieron una diferencia de diez centímetros en el tamaño de los sujetos. Muchos aficionados se sorprendieron, especialmente J. Dhers, a finales del siglo pasado, que explicaron esta particularidad por la insularidad continental mencionada anteriormente, y que escribió: "Aunque la raza está claramente definida y definida vemos en nuestras montañas que los tipos varían un poco de valle a valle. El estándar sigue siendo el mismo, pero algunos pequeños detalles no escapan a los cinófilos de montaña. Así es como el perro de Arbazzie sería el tipo de modelo del estándar. El pequeño perro Saint-Beat es carnoso, con una cabeza redonda. Parece una Bobtail miniatura. El Pastor de Azun, siempre negro, parece un diminutivo del Groenendael.
Estas diferencias morfológicas se explican principalmente por razones geográficas, y especialmente por las dificultades de comunicación entre los polos del hábitat en altitud, lo que favoreció la fijación de ciertos tipos locales altamente consanguíneos.
Por el contrario, el tipo de cara limpia propiamente dicha es, según los especialistas, derivado de los cruces entre los llamados "clásicos" Berger des Pyrénées y los perros de los subpirenos. Charles Duconte, juez del SCC y experto en la raza, escribió además sobre este tema: "Existe en la región subpirenaica, y particularmente en Béarn, Bigorre y la cuenca Adour, una gran cantidad de perros ovejeros Su proximidad de hábitat, la trashumancia de ciertas manadas que acompañaban a los perros hacen que necesariamente haya uniones entre ellos y sus hermanos de la montaña. Esto resultó en general un perro más alto en las piernas, pelo medio largo en el cuerpo, al ras en la cabeza y las extremidades, cuya caja craneal, un poco más desarrollada, aún recuerda por su forma la de la montaña pura . Estos perros son, además, muy apreciados por los comerciantes de caballos y "batidores" que dirigen las ferias en la región. "
Muy apreciado por su habilidad para conducir ovejas y caballos, elogiado por los militares por los servicios que prestó en tiempo de guerra, el Pastor Pirenaico había adquirido títulos de nobleza que le permitieron comenzar un irresistible ascenso. . Ya en 1927, Dutrey de Rabastens le dedicó una notable tesis doctoral titulada La cuna de una raza canina: el perro ovejero pirenaico; Esta tesis inspirará más tarde a Duconte y Sabouraud en su libro The Pyrenean Dogs. El pequeño Pirineo estaba en lo sucesivo en el centro de las preocupaciones de distinguidos cinólogos.
Después de la Segunda Guerra Mundial, el desarrollo del turismo, que permitió a miles de ciudadanos conocer a este pequeño perro, aumentó aún más su popularidad, que se convirtió en internacional. El Pastor Pirenaico fue tal vez la última raza de pastores que descubrió el mundo de la comida canina, pero su notoriedad nunca debería ser cuestionada de nuevo. Tanto que hoy es un perro muy apreciado. Podríamos decir que el Pastor de los Pirineos goza de una reputación inversamente proporcional a su tamaño. La raza es de hecho unánimemente elogiada, y por los profesionales que eligieron hacerlo funcionar y por los individuos que la adoptaron como mascota. Es sobre todo un perro notablemente adaptado a la altitud. Su cuerpo está en un rectángulo, y su centro de gravedad, cerca del suelo, asegura la máxima estabilidad en las pendientes acentuadas. Él tiene un pie seco y una suela delgada, y sostiene la roca muy bien. Ligeramente hacia afuera, sus patas traseras le facilitan caminar en las montañas. Sus necesidades alimenticias razonables y su pequeño tamaño, que le impedían volcar una oveja empujándolo, lo hicieron una vez el auxiliar ideal para los pastores.
En el trabajo, su comportamiento refleja perfectamente sus dos cualidades esenciales: estado de alerta y alerta. Muy rápido, empuja a los rezagados con un golpe de hocico, hace que regresen al sonido aislado, la oscuridad frente a la manada para indicar a las ovejas o las ovejas la dirección a seguir. Pero cuando es necesario, también sabe cómo detener su pasión. En pasajes peligrosos, hábilmente, dirigirá a los animales uno por uno de forma vigilante para ponerlos en un lugar seguro.
Si hay un área donde el Pastor de los Pirineos supera al pastor, es en la búsqueda de un animal perdido. Una oveja está perdida. Precediendo al pastor, el pequeño Pirineo comienza su búsqueda, busca en las esquinas de más difícil acceso, explora la más mínima falla. Un sentido del deber que nos describe un pastor: "Durante el invierno, para el engorde de los jóvenes, solía llevar los corderos en una caja especial para darles una ración extra. Los corderos entendieron rápidamente el propósito de la maniobra y así facilitaron el trabajo. Willy, un pastor pirenaico, asistía regularmente a la operación, sentado cerca de la puerta. Uno habría jurado que contó los corderos de paso. Un día, cuando los corderos habían terminado de comer y habían dejado la caja, el perro fue, como solía hacer, a visitar el lugar del que provenían los pequeños y, presa del pánico, regresó inmediatamente con mi esposa, tratando de obligarlo a hacerlo. entiende que tienes que ir a ver. Ante su indiferencia, tiró de la parte inferior de su delantal. Mi esposa finalmente decidió darse cuenta en el acto y encontró un cordero atrapado detrás de una rejilla, sin aliento por haber luchado. Willy lamió la cabeza del pequeño animal por más de cinco minutos para consolarlo y lo acompañó a su madre. "
Otro pastor, Philippe Defrance, evoca a su vez las cualidades de los pequeños Pirineos: "Los reflejos del Pastor Pirenaico son incomparables y superiores a los de todas las demás razas de pastores. Su obediencia y fidelidad son notables. Su iniciativa, su juicio y su memoria nunca faltan tan pronto como es puesto a prueba. Su coraje es el resultado de su endurecimiento al sufrimiento. Los licios no son menos excelentes lácteos cuando encuentran en sus raciones los nutrientes necesarios. "
Muy exclusivo, el Pastor de los Pirineos tiende a conocer un solo maestro, al que permanecerá apasionadamente unido, apoyando todo de él si siente que es útil. Su vigilancia en el trabajo solo se corresponde con su desconfianza en casa. Su valentía es legendaria también. Incluso se dice que antes no dudó en atacar a los osos que se habrían acercado demasiado al rebaño de su amo. Muy luchador, el Pastor Pirenaico a menudo está en el origen de las peleas con otros perros. En estos momentos, muestra flexibilidad, rapidez, ofreciendo poco agarre a su adversario y, mediante una sucesión de esquivas diestras y ataques imprevistos, coloca unos buenos dientes. Es un atleta ligero, un luchador sin debilidad, características que a veces tendemos a olvidar cuando este perro vive en la ciudad.
Para preservar las cualidades del Pastor Pirenaico, los criadores y gestores del Club de la Reunión de amantes de los perros de los Pirineos han asumido, desde hace algunos años, el credo de todos los "bergérophiles": sin trabajo, sin salvación. Lo que significa, de una manera más explícita: el perro de las ovejas no puede ser eliminado de las funciones de un perro de trabajo que ha llenado durante muchos siglos sin correr a la degeneración del tipo. Con este fin, el pastor pirenaico, que, por razones económicas obvias, no tenía futuro en la conducción de ovejas, se ha reconvertido a nuevas tareas, reconversión que su versatilidad le ha permitido tener éxito por completo.
Sin dudar en morder si es necesario, el pequeño Pirineo se inició así en el papel de perro de la defensa y la policía. Si su tamaño le impide saltar tan alto como otros, su relajación no es menos que admirarlo. Se observó a un hombre herido en una pata anterior que cruzaba una pared de piedra de 1,70 metros y una cerca coronada por alambre de púas. Con tales posibilidades, el Pastor de los Pirineos fue llamado naturalmente a convertirse en guardián de los niños, especialmente porque sabe calmarse en presencia de un ser más débil, por lo general es tan exuberante.
Muy deportivo, apenas puede soportar estar confinado en un departamento, e incluso en un jardín si no tiene la oportunidad de correr en espacios más grandes. En su entorno natural, puede viajar de 15 a 40 kilómetros por día. Él necesita desesperadamente la presencia de su maestro; si tiene que quedarse solo demasiado seguido, y especialmente si se siente inútil, puede volverse hosco, incluso agresivo. Aparte de este caso, él no plantea ningún problema en particular, y, siempre que su educación haya sido firme pero justa y se haya dado entre dos y seis meses, puede ser llevado a todas partes.
Si se queda solo en casa o en un automóvil, el pastor pirenaico tenderá a ladrar. A veces embarazosa, esta propensión a hacer que su voz se escuche es parte de su personalidad, lo que nunca es bueno para molestar sistemáticamente. Debido a que ya no tiene que pasar en las laderas de los Pirineos, este perro sigue marcado hereditariamente por la vida de sus antepasados. Aunque su campo es cada vez más el de las grandes ciudades, necesita llevar una vida que le permita, diariamente, expresar su vitalidad e inteligencia.
Todo; o casi todos los propietarios de los pastores pirenaicos están seguros y orgullosos de tener un perro que no sea "como los demás". No son necesariamente incorrectos. Llamado en su región original "el perro que vio a Dios" debido a su aspecto expresivo que denota inteligencia y, a veces incluso exaltación, este montañista en el alma ha demostrado durante mucho tiempo que sabía cómo adaptarse a otros lugares, urbanos o rurales. |
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Pyreneese herdershond à face rase FCI standaard nr. 138
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Land van oorsprong
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Frankrijk |
Groep
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Groep 1 Herdershonden en veedrijvers (uitgezonderd Zwitserse berg en sennenhonden) |
Sectie
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Sectie 1 Herdershonden |
Werkproef
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Met werkproef |
Definitieve erkenning door de FCI
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woensdag 26 januari 1955 |
Publicatie van de geldende officiële norm
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dinsdag 13 maart 2001 |
Laatste update
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maandag 02 april 2001 |
En français, cette race se dit
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Chien de berger des Pyrénées à face rase |
In English, this breed is said
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Pyrenean sheepdog smooth faced |
Auf Deutsch, heißt diese Rasse
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Pyrenäen schäferhund mit kurzhaarigem gesicht |
En español, esta raza se dice
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Pastor de los Pirineos de cara rasa |
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Kort historisch overzicht
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Deze variëteit van de Pyreneese herdershond vindt men voornamelijk in het piémont gedeelte van de Pyreneëen alwaar hij volgens dhr. Bernard SÉNAC-LAGRANGE ( zie jaarboek 1927) "zeer gewaardeerd werd door paardenhandelaren en veedrijvers". Zijn eigenaardigheden t.o.v. de andere typen van de Pyreneese herdershond hebben hem vanaf 1920 een bijlage op de rasstandaard opgeleverd. |
Algemeen totaalbeeld
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In zijn totaliteit bezit de Pyreneese herdershond face rase dezelfde karakteristieken als de Pyreneese herdershond langhaar. |
Belangrijke verhoudingen
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• De schedel is ongeveer even breed als lang. • De snuit is iets korter dan de schedel, maar langer dan die van de lang- of halflang haar. • De lichaamslengte is ongeveer gelijk aan de schofthoogte. • De afstand van de elleboog tot de bodem bedraagt meer dan de helft van de schofthoogte. |
Gedrag en karakter (aard)
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De hond is levendig, plooibaar, soms wantrouwend tegenover vreemden. |
Hoofd
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Bovenschedel
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Hoofd
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Het hoofd is bedekt met kort, fijn haar (vandaar de naam "face rase"). |
Facial region
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Voorsnuit
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De snuit is iets langer dan die van de Pyreneese herder met lang- of halflang haar. |
Lichaam
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Algemeenheid
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Het lichaam is wat korter dan dat van de Pyreneese herder met langhaar; hij benadert een vierkante bouw. |
Voorhand
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Algemeen
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De ledematen zijn bedekt met een gladde vacht met lichte bevedering aan de voorpoten en een broek aan de achterpoten. |
Achterhand
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Algemeen
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De ledematen zijn bedekt met een gladde vacht met lichte bevedering aan de voorpoten en een broek aan de achterpoten. |
Voeten
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De voet is tevens meer gesloten en meer gewelfd dan die van de langharige herder. De hoekingen zijn bij deze variëteit meer open. |
Gangwerk
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Voor wat het gangwerk betreft heeft de Pyreneese herder face rase een minder uitgrijpend gangwerk dan die van de langhaar. |
Coat
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Haarkwaliteit
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Op het lichaam is de vacht halflang of minder dan halflang. Hij bereikt zijn grootste lengte aan de hals en op de schoft (6-7 cm.), en op de ruglijn (4-5 cm.). |
Maat en gewicht
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Schouderhoogte
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Reuen van 40 tot 54 cm, teven van 40 tot 52 cm. |
Defecten
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• Elke afwijking van de voorgaande punten moet worden beschouwd als een fout en de ernst waarmee de fout aangemerkt moet worden, in verhouding staan tot de mate en het effect ervan op de gezondheid en het welzijn van betreffende hond en zijn vermogen om zijn oorspronkelijke werk te kunnen verrichten. • De vermelde fouten moeten in ernst zijn. |
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Belangrijk
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De fouten en diskwalificerende fouten zijn dezelfde als die zijn aangegeven bij de langharige variëteit, uitgezonderd die waar het de vacht en de proporties betreft. |
NB :
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• Elke hond die duidelijk lichamelijke of gedragsafwijkingen moet worden gediskwalificeerd. • De gebreken hierboven vermeld, wanneer zij zich voordoen in een zeer duidelijke graad of frequent, zijn diskwalificerende. • Reuen moeten twee duidelijk normaal ontwikkelde testikels hebben die in de balzak zijn ingedaald. • Alleen functioneel en klinisch gezonde honden, met rastypische bouw moet worden gebruikt voor de fokkerij. |
Gedetailleerde geschiedenis
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Paradoxale bestemming als die van de Herder van de Pyreneeën, aangezien deze hond, nog zeer oud, een van de herders van het ras was die later door Fransen werd herkend, zeker na de Briard of Beauceron in het bijzonder, hoewel het uiterlijk ervan, in tegenstelling tot dat van zijn rivalen waren in de loop van de eeuwen heel weinig veranderd.
Volgens de meest recente studies zouden de huidige Pyreneese herders voor hun voorouders kleine kuddehonden hebben, zelf van de Tibetaanse Terriërs die, samen met grotere honden afstammelingen van de Tibetaanse Mastiff, de Aziatische hordes hadden vergezeld. tijdens de grote invasies van de vierde eeuw. Toen de westwaartse opmars van de legers van Attila en Genghis Khan, Mastiffs en Terriers of Tibet, naar verluidt werden gekruist met inheemse stompen om de voorouders van de Nizinny, Tatra Shepherds en andere wit geklede mastiffs en, aan de andere kant, die van de Catalaanse herders (Gos d'Atura) en de Pyrenese herders.
Dit proefschrift, ongetwijfeld het meest overtuigend dat is uitgegeven over de vraag, vernietigt tegelijkertijd veel van de theorieën die eerder werden ondersteund door bepaalde specialisten voor wie de Pyreneese herder een afstammeling van de Berger de Brie zou zijn. Als deze races duidelijk een bepaald aantal punten gemeen hebben, al was het alleen maar omdat ze beiden herderinnen zijn, is het hoogst onwaarschijnlijk dat ze ooit de gelegenheid hebben gehad elkaar te ontmoeten op momenten dat het communicatiemiddel niet erg ontwikkeld maakte elke provincie, vooral toen het bergachtig was, een echt "continentaal eiland".
En zelfs in de veronderstelling dat dergelijke genetische "infusies" kunnen hebben plaatsgevonden tussen een hond die alleen bekend is in de zuidwestelijke wijk van Frankrijk en een andere die wijdverspreid is, vooral in de vlaktes van het noorden van het land, is het moeilijk te zien hoe de Briard zou kunnen hebben om de kleine Pyreneeën te baren, terwijl de laatste, volgens de mondelinge traditie van zijn thuisland, veel eerder is dan zijn veronderstelde voorouder.
Als klap op de vuurpijl en om de publieke opinie te verstoren, gingen enkele cynologen van de late negentiende eeuw zo ver dat ze beweerden dat de Pyreneese herder en de Pyreneese berghond een en dezelfde waren. ras, terwijl alles onze lichte atleet onderscheidt van zijn vriend, een waardige vertegenwoordiger van een andere groep, ook erg oud, die van molossoïden. De oorsprong van deze opeenvolgende verwarringen is waarschijnlijk te vinden in de fouten van oude auteurs, meestal beter geïnspireerd, wiens werk aan de Berger des Pyrénées, vaak uitgevoerd vanuit informatie die niet is gecontroleerd of geverifieerd in het veld, meer is voortgekomen uit de verbeelding dan wetenschappelijke waarneming. Aldus hebben beroemdheden zoals Brehm in Duitsland, Reul in België, de graaf van Bylandt in Nederland in hun respectievelijke werken een Pyreneese herder opgeroepen met de grens van fantasie, in elk geval heel verschillend van het echte onderwerp. Wees getuige van deze voorlopige ontwerpnorm die door de graaf van Bylandt in 1897 werd voorgesteld in zijn boek De hondenrassen, en die een hond beschreef met haar borstelig en halflang, met een kleine gebogen schedel, lange snuit, kleine oren, ogen soms versmald en lang gebouwd, of dit citaat uit de Duitse Brehm, dat een hond oproept met bijna harde haren, krullend als ze jong zijn, wit gekleurd met grote zwarte platen, lang, kort en gespierd, met de vingers zijn breedvliezen, het hoofd breed en ontwikkeld, de oren vrij spits en hangend, de snuit lange, vierkante en grote blauwe ogen springen in het oog door intelligentie, zachtheid, onverschrokkenheid te benadrukken.
Dichter bij het onderwerp en zichtbaar beter geïnformeerd, beeldde Pierre Mégnin van zijn kant het portret van de Pyreneese herder af: "Het is een Griffon wiens hoofd niet erg vol haren is; hij heeft nauwelijks een paar lange haren op zijn wenkbrauwen, maar hij heeft noch snor noch uitgesproken sik. Het is aan de achterkant dat het haar zich heeft opgehoopt. Daar heeft hij stevig slipje en op de dijen een dikke matras. De leden zijn bijna gelijk. De voeten zijn erg verspreid en herinneren de poot van de beer. De oren zijn recht in plaats van liggen. Wat betreft de kleur, het is niet wit met grote zwarte platen, maar zilvergrijs met de genoemde zwarte vlekken, met of zonder vuur op de benen, een kleur die vulgair Deens wordt genoemd. De ogen zijn vaak minnows, dat wil zeggen met een lichtblauwe iris. "
Ondanks de interesse die Franse en buitenlandse honden begonnen te brengen aan de herder van de Pyreneeën, duurde het tot de eerste wereldoorlog dat deze hond echt uit de schaduw tevoorschijn kwam. In 1916 stelde sub-luitenant Paul Mégnin, commandant Malric en dierenarts Hérout, die onder zijn verantwoordelijkheid voor de dienst des chiens de guerre was geweest, het Franse personeel voor dat de Pyreneese herder als een verbindingshond zou worden gebruikt. patrouille officier. Het idee werd onmiddellijk aangenomen door de militaire functionarissen, en de dienst van de honden van oorlog gestuurd naar de Pyrenese regio Théodore Dretzen, een kenner van het ras, om zoveel mogelijk onderwerpen te rekruteren. Kleiner dan veel andere herdersrassen, zouden de Pyreneanen weldra waardevolle assistenten worden voor de geallieerde infanteristen. Getuige deze waardering van J. Dhers later gepubliceerd in de kolommen van L'Eleveur, een krant die hij ondertussen medewerker was geworden: "In mijn hoedanigheid als voormalig trainingsofficier van de Dienst van de honden van oorlog, is het mijn plicht om hardop te verkondigen dat het de race is van de kleine Pyreneese herder die het leger heeft voorzien van de meest intelligente, sluwste, de snelste en de meest vaardige verbindingshonden. "
Deze welsprekende dienstbetuigingen zouden bijdragen aan de faam van de Pyreneese herder in de onmiddellijke naoorlogse periode, culminerend in de creatie in 1923; onder leiding van Bernard Senac-Lagrange, aan wie we een grondige studie van zijn raciale karakters en enkele Pyrenese honden te danken hebben; van de Ontmoeting van hondenliefhebbers uit de Pyreneeën. Deze club had een standaard opgesteld, niets was nu tegengesteld aan de erkenning van de Herder van de Pyreneeën door de Centrale Hondenmaatschappij en het Ministerie van Landbouw, erkenning die tussenbeide kwam in 1926. Deze hond kon dus deelnemen, dezelfde andere herdersrassen zoals Beauceron en Briard op de Centrale Algemene Agrarische Wedstrijd.
Een zeldzaamheid in de annalen van de hondenfokkerij, de redactie van de standaard had zorgvuldig twee soorten Pyreneese herders onderscheiden: een waarvan het hoofd in zijn algemene vorm doet denken aan de bruine beer, met de snuit gevormd hoek, de andere met een schoon gezicht en iets korter haar op het lichaam; ze hadden bovendien een verschil van tien centimeter in de grootte van de onderwerpen toegegeven. Veel amateurs waren verrast, vooral J. Dhers, aan het einde van de vorige eeuw, die deze bijzonderheid verklaarde door de hierboven genoemde continentale insulariteit, en die schreef: "Hoewel de race heel duidelijk is vastgesteld en gedefinieerd we zien in onze bergen dat de typen enigszins variëren van vallei tot vallei. De standaard blijft hetzelfde, maar sommige kleine details ontsnappen niet aan de bergcynofielen. Dit is hoe Arbazzie's hond het modeltype van de standaard zou zijn. De kleine hond Saint-Beat is vlezig, met een ronde kop. Lijkt op een miniatuur Bobtail. De herder van Azun, altijd zwart, lijkt een verkleinwoord van het Groenendael.
Deze morfologische verschillen worden hoofdzakelijk verklaard door geografische redenen, en vooral door de moeilijkheden van communicatie tussen de polen van habitat op hoogte, die de bevestiging van bepaalde lokale soorten zeer consanguineous bevorderden.
Omgekeerd is het eigenlijke type schoon gezicht volgens specialisten afgeleid van kruisen tussen de zogenaamde "klassieke" Berger des Pyrénées en honden van subpyrenees. Charles Duconte, rechter van de SCC en eindkenner van het ras, schreef verder over dit onderwerp: "Er bestaat in de sub-Pyrenese regio, en in het bijzonder in Béarn, de Bigorre en het Adour-bekken, een grote aantal schapenhonden. Hun nabijheid van leefgebied, de transhumance van bepaalde kuddes die de honden vergezelden, maken dat er noodzakelijkerwijs bonden waren tussen hen en hun bergbroeders. Dit resulteerde in het algemeen in een hond hoger op poten, halflang haar op het lichaam, gelijk op het hoofd en ledematen, waarvan de craniale box een beetje meer ontwikkeld is, maar herinnert aan zijn vorm die van pure berg . Deze honden worden bovendien zeer gewaardeerd door de paardenhandelaren en "kloppers" die de beurzen in de regio runnen. "
Hoog gewaardeerd om zijn vermogen om schapen en paarden te drijven, geprezen door het leger voor de diensten die hij had geleverd in tijden van oorlog, had de Pyreneese herder titels van adel gekregen die hem in staat stelden een onweerstaanbare opkomst te beginnen . Al in 1927 wijdde Dutrey de Rabastens hem een opmerkelijke proefschrift getiteld The Cradle of a Canine Race: de Pyrenese herdershond; dit proefschrift zal later Duconte en Sabouraud inspireren voor hun boek Pyrenese honden. De kleine Pyreneeën vormden voortaan het hart van de zorgen van vooraanstaande cynologen.
Na de Tweede Wereldoorlog nam de ontwikkeling van het toerisme, waardoor duizenden stedelingen kennis konden maken met deze kleine hond, de populariteit ervan verder op, die internationaal werd. De Pyreneese herder was misschien wel de laatste herdervlucht die de wereld van het hondeneten ontdekte, maar de bekendheid ervan mag nooit opnieuw ter discussie worden gesteld. Zozeer zelfs dat hij vandaag een zeer gewaardeerde hond is. We zouden kunnen zeggen dat de Pyreneese herder een reputatie heeft die omgekeerd evenredig is aan zijn grootte. Het ras wordt inderdaad unaniem geprezen, en door de professionals die ervoor kozen om het te laten werken en door de personen die het als een hond hebben geadopteerd. Het is vooral een hond die opmerkelijk is aangepast aan de hoogte. Zijn lichaam bevindt zich in een rechthoek, en zijn zwaartepunt, dicht bij de grond, zorgt voor maximale stabiliteit in de geaccentueerde hellingen. Hij heeft een droge voet en een magere zool en houdt de rots heel goed vast. Lichtjes naar buiten gekeerd, maken haar achterpoten het gemakkelijker voor haar om in de bergen te lopen. Zijn redelijke voedselbehoeften en kleine omvang, die hem verhinderden om een schaap omver te werpen door hem te verdringen, maakten hem ooit de ideale hulp voor herders.
Op het werk weerspiegelt zijn gedrag perfect zijn twee essentiële eigenschappen: alertheid en alertheid. Zeer snel, duwt hij de achterblijvers met een snuit van de snuit, keert terug in de rij de geïsoleerde duisternis voor de kudde om de schapen of de schapen de richting aan te geven die moet volgen. Maar waar nodig, weet hij ook hoe hij zijn passie moet stoppen. In gevaarlijke passages, behendig, zal hij de dieren één voor één op een waakzame manier leiden om ze op een veilige plaats te zetten.
Als er een gebied is waar de Herder van de Pyreneeën de herder zelf overtreft, is het op zoek naar een verloren dier. Er ontbreekt een schaap. Voorafgaand aan de herder begint de kleine Pyreneeën zijn zoektocht, doorzoekt de moeilijkst bereikbare hoeken, onderzoekt de minste fout. Een plichtsgevoel dat ons door een herder is beschreven: "Tijdens de winter, voor het mesten van de jongen, reed ik de lammeren in een speciale doos om ze een extra rantsoen te geven. De lammeren begrepen snel het doel van de manoeuvre en maakten het werk dus gemakkelijker. Willy, een Pyreneese herder, woonde regelmatig de operatie bij, zittend bij de deur. Men zou gezworen hebben dat hij de lammeren terloops telde. Op een dag, toen de lammeren klaar waren met eten en de kist hadden verlaten, ging de hond, zoals hij gewoonlijk deed, naar de plaats waar de kleintjes vandaan kwamen en raakte in paniek onmiddellijk naar mijn vrouw terug, in een poging hem te maken begrijp dat je moet gaan kijken. Voor zijn onverschilligheid trok hij de bodem van zijn schort. Mijn vrouw besloot uiteindelijk ter plekke te beseffen dat er achter een rek een lam zat vastgelopen, zonder adem te hebben gekregen. Willy likte het hoofd van het diertje langer dan vijf minuten om hem te troosten en vergezelde hem naar zijn moeder. "
Een andere herder, Philippe Defrance, roept op zijn beurt de kwaliteiten van de kleine Pyreneeën op: "De reflexen van de Pyreneese herder zijn onvergelijkbaar en superieur aan die van alle andere herdervluchten. Zijn gehoorzaamheid en trouw zijn opmerkelijk. Zijn initiatief, zijn oordeel en zijn geheugen ontbreken nooit zodra hij op de proef wordt gesteld. Zijn moed komt voort uit zijn verharding tot lijden. De luizen zijn niet minder uitstekende zuivelproducten wanneer ze in hun rantsoenen de noodzakelijke voedingsstoffen vinden. "
Heel exclusief, de Pyreneese Herder heeft de neiging om slechts één meester te kennen, waaraan hij hartstochtelijk gehecht zal blijven, en die alles van hem steunt als hij vindt dat het nuttig is. Zijn waakzaamheid op het werk wordt alleen geëvenaard door zijn wantrouwen thuis. Zijn dapperheid is ook legendarisch. Er wordt zelfs gezegd dat hij vroeger niet aarzelde om de beren aan te vallen, die een beetje te dichtbij de kudde van zijn meester zouden hebben benaderd. Nogal een vechter, de Pyreneese herder is vaak de oorzaak van gevechten met andere honden. Op deze momenten toont hij flexibiliteit, snelheid en biedt hij zijn tegenstander maar weinig houvast, en door een opeenvolging van bekwame bewegingen en onvoorziene aanvallen plaatst hij een paar goede tanden. Hij is een lichte atleet, een jager zonder zwakte, eigenschappen die we soms neigen te vergeten wanneer deze hond in de stad woont.
Om de kwaliteiten van de Pyreneese herder te behouden, hebben de fokkers en managers van de reünieclub van hondenliefhebbers in de Pyreneeën sinds enkele jaren het credo van alle "bergérophiles" overgenomen: zonder werk, zonder behoud. Dat betekent, op een meer expliciete manier: de hond van schapen kan niet worden verwijderd uit de functies van een werkhond die hij vele eeuwen heeft gevuld zonder naar de degeneratie van het type te rennen. Te dien einde is de Pyreneese herder, die om voor de hand liggende economische redenen geen toekomst had in het drijven van schapen, teruggekeerd naar nieuwe taken, reconversie die hem door zijn veelzijdigheid volledig heeft kunnen slagen.
Niet aarzelend om te bijten indien nodig, werd de kleine Pyreneeën dus ingewijd in de rol van hond van defensie en politie. Als de grootte ervan voorkomt dat hij zo hoog springt als sommige anderen, bewondert zijn ontspanning niet minder dan bewondering. Een gewonde man werd gezien op een voorste klauw door een stenen muur van 1,70 meter en een hek met prikkeldraad erboven. Met dergelijke mogelijkheden, werd de Pyreneese herder natuurlijk geroepen om een bewaker van kinderen te worden, vooral omdat hij weet hoe kalm te zijn in aanwezigheid van een zwakker, hij is meestal zo uitbundig.
Zeer sportief, hij kan het nauwelijks verdragen zich te beperken tot een appartement, en zelfs in een tuin als hij niet de mogelijkheid heeft om op grotere plaatsen te rennen. In zijn natuurlijke omgeving kan hij reizen van 15 tot 40 kilometer per dag. Hij heeft de aanwezigheid van zijn meester dringend nodig; als hij te vaak alleen moet blijven, en vooral als hij zich nutteloos voelt, kan hij nors worden, zelfs agressief. Afgezien van deze zaak stelt hij geen specifieke problemen en, mits zijn opleiding stevig maar eerlijk is en tussen twee en zes maanden gegeven, kan hij overal worden meegenomen.
Alleen gelaten thuis of in een auto, zal de Pyreneese herder neigen te blaffen. Soms beschamend, is deze geneigdheid om zijn stem te laten horen deel van zijn persoonlijkheid, wat nooit goed is om systematisch te ergeren. Huisdier, omdat hij niet langer op de hellingen van de Pyreneeën hoeft te spenderen, deze hond blijft erfelijk getekend door het leven van zijn voorouders. Hoewel zijn vakgebied steeds meer die van grote steden is, moet hij een leven leiden dat hem dagelijks zijn vitaliteit en intelligentie kan laten uiten.
alle; of bijna alle eigenaren van Pyreneese herders zijn er zeker van en trots op een hond die niet "is zoals de anderen". Ze zijn niet per se verkeerd. Genaamd in zijn oorspronkelijke regio "de hond die God zag" vanwege zijn expressieve blik die duidt op intelligentie en soms zelfs op verhoging, heeft deze bergbeklimmer in de ziel al lang bewezen dat hij wist hoe hij zich moest aanpassen aan andere plaatsen, stedelijk of landelijk. |